首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 46 毫秒
1.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
  相似文献   

2.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
  相似文献   

3.
The available evidence is in agreement with the postulate that all phytophagous insects require chemotactic (usually gustatory) stimuli to release feeding activity. Some of the soluble nutrients in plants serve this function. In the case of oligophagous insects food selection is further guided by perception of non-nutritive substances (token stimuli) of limited botanical distribution. The food range of all phytophagous insects is circumscribed by the distribution of repellants, rejectants and toxins. These concepts are developed and outlined in symbolic form.
Résumé L'importance des stimulants alimentaires token a été clairement démontrée par exemple chez Plutella maculipennis Curt., Pieris brassicae L. et P. rapae L., lesquels, à l'état larvaire, reconnaissent leur plante-hôte, les Crucifères, au goût de glucosides de l'huile de moutarde tels que la sinigrine et la sinalbine. Bien qu'elles soient presque les seules démonstrations indiscutables de l'action de ces stimulants token parmi les insectes phytophages il a été admis que ce phénomène explique en général la sélection de la plante hôte par les insects oligophages et que la présence de substances désagréables au goût dans les végétaux est suffisant pour expliquer les préférences de plantes alimentaires des insectes polyphages. Cependant, ces vues ne rendent pas compte du fait que ces phagostimulants token peuvent exiger la présence de constituants nutritifs afin d'obtenir une réponse alimentaire chez les insectes oligophages. En outre les insectes polyphages demandent des stimuli chimiotactiques positifs pour déclancher une activité alimentaire. Aucun effet inhibiteur de substances végétales désagréables n'est simplement superposé à ce phénomène de base.Un autre fait significatif est que le saccharose, constituant universellement distribué chez les végétaux, est avidement goûté par de nombreux insectes, et on pourrait penser à priori que son rôle est important dans la nature comme stimulus effecteur d'alimentation chez les insectes phytophages. De récentes investigations ont montré que d'autres substances nutritives variées telles que le glucose, des acides aminés, des amides et des vitamines peuvent aussi déclancher d'une manière indépendante l'activité alimentaire.Une interprétation totale de la connaissance utile à présent est que de nombreuses conditions sont exigées pour rendre compte des phénomènes d'alimentation chez les insectes et de la sélection de l'hôte. Ceci inclut la présence de stimulants alimentaires token (si nécessaires), la présence de certains constituants sapides et l'absence de substances répulsives ou désagréables au goût. Tandis que ces conditions, admettant un substrat ingestible, sont nécessaires et suffisantes pour une alimentation normale un développement satisfaisant exige en plus la présence de constituants nutritifs essentiels autres que les substances sapides déjà mentionnées et l'absence de toxines.Certains constituants végétaux peuvent avoir plusieurs fonctions dans ce schéma et quelques exemples sont considérés.

  相似文献   

4.
In tests under controlled conditions Anopheles albimanus and A. stephensi were caught in significantly greater numbers by a 4-watt ultraviolet trap with a fan-generated updraft air stream than by a similarly equipped trap with a conventional downdraft air movement. Elevation in the test chambers also affected the traps' performance, which was best near the ceiling, poor near the floor. Mesh size of the hardware cloth screens on the traps influenced only the catches of A. albimanus females. Survival in both traps was improved by reduced air flow. This was accompanied by a marked decrease in total captures by the downdraft trap, but with the updraft model, capture levels were maintained despite substantial reduction in air velocity. The updraft trap therefore showed greater potential for recovery of live specimens. Observations of the mosquitoes' flight behavior near the traps offer an explanation for the superiority of the updraft principle.
Résumé Deux pièges à lumière ultraviolette sont comparés dans leur efficacité pour la capture des adultes Anopheles a.bimanus et A. stephensi en essai au laboratoire. Chaque trappe se compose d'une lampe BLB 4-watt fixée à une extrêmité d'un conduit de métal, l'autre extrêmité s'ouvrant sur une cage de grillage, cependant qu'un aspirateur (moteur 6-volts DC) placé dans le conduit fournit le courant d'air pour attraper les insectes. Dans un premier type de piège l'aspiration de l'air entraîne les insectes vers le bas dans la cage de grillage (downdraft trap), dans un second type les insectes sont au contraire tirés de bas vers le haut avec le courant d'air (updraft trap).Les tests ont été effectués dans les chambres à parois blanches de 1.8 m de côté. Les lampes BLB sont disposées à trois niveaux: (a) le plus haut à 20 cm sous le plafond: (b) le plus central à 91 cm au-dessus du plancher; et (c) le plus bas, 52 cm au-dessus du plancher. Tous les essais ont montré que le piège lumineux du type updraft était le meilleur pour la prise des adultes âgés de 5 à 6 jours. Les pièges disposés sous le plafond ont donné les meilleurs résultats.La survie des insectes capturés était meilleure dans le piège de type downdraft, pour une aspiration de l'air à une vitesse de 171 m/min. En réduisant le voltage à 5 ou 4 volts, la vitesse du courant d'air d'aspiration se réduit à 137 et 110 m/min et on observe une forte amélioration de la survie des insects capturés dans le piège updraft, sans qu'il y eut réduction du nombre des insectes capturés. Mais ce n'est pas le cas avec le piège de type down-draft pour lesquels le nombre des captures se trouve réduit avec diminution du voltage.Les observations du vol des moustiques autour des trappes permettent d'expliquer la supériorité du piège de type updraft.
  相似文献   

5.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
  相似文献   

6.
Résumé Les suçoirs deThesium humifusum renferment un pont transfert caractérisé par deux arcs de trachéides limitant un « tissu hyalin » et reliés d'une part aux vaisseaux de la racine mère par un massif de trachéides contenant des plages de parenchyme intertrachéidal et d'autre part au xylème de l'hôte par des cellules absorbantes lignifiées.Les observations que nous avons réalisées montrent que les cellules du tissu hyalin présentent des épaississements pariétaux importants au niveau des lacunes qu'elles limitent; ces formations dont nous avons établi la nature polysaccharidique pourraient provenir de l'émission du contenu de vésicules golgiennes qui renferment elles-mêmes de nombreuses granulations polysaccharidiques, et joueraient le rôle de « pièges à eau ».L'étude du contact hôte-parasite nous a aussi montré que les cellules absorbantes lignifiées sont de simples dérivations sur les vaisseaux de l'hôte et que les cellules absorbantes cellulosiques sont soit en contact direct avec le xylème de la racine nourricière soit séparées de ce dernier par une mince couche de substance lignifiée.L'ultrastructure des cellules du parenchyme intertrachéidal a permis d'établir qu'elles présentent les caractères de cellules douées d'une activité métabolique intense.Toutes ces observations confirment les suçoirs dans leur rôle d'organe de transit entre l'hôte et le parasite et d'organe de réserve.
About some aspects of the haustorium ultrastructure ofThesium humifusum L.
Summary The haustoria ofThesium humijusum contain a transfer bridge composed of two arches of tracheids which are bound laterally to a hyalin body, one side of the haustorium is continuous with the root vessels of the parasite via a tracheid mass, interspersed with parenchymatous areas, while the other side is connected to the host xylem by absorbing lignified cells.The hyalin body cells have some important wall thickenings opposite the intercellular spaces which are next to them; these structures are composed of polysaccharide and are presumably formed from Golgi vesicles containing many polysaccharide granules; they should function as water traps. It has been shown that the contact between host and parasite is by means of absorbing lignified cells which are simple branches on host vessels and the absorbing cellulosic cells either in direct contact with the host xylem or separated from it by a thin lignified layer.A study of the ultrastructure of the intertracheidal parenchyma cells shows they are probably intensively active metabolically.The results presented here show that the haustoria possess a dual function, as a storage organ and as an absorbing structure between host and parasite.
  相似文献   

7.
Thysanoptera drifting over and around a wheat field were trapped using black, green and white water traps, black cylindrical sticky traps and suction traps. Certain Taeniothrips spp., Thrips spp., and Aeolothrips spp. were strongly attracted to white but not to green or black; Limothrips cerealium Hal., Chirothrips manicatus Hal., and Stenothrips gramium Uzel were not markedly attracted to any of these colours. At crop level suction traps gave more consistent catches2 than either sticky or water traps; at higher levels, catches from sticky traps were more consistent than those from water traps. Up to 48 ft the aerial density of all species decreased with height but the rapidity of the decrease differed between species.
Sommaire Les Thysanoptères qui flottaient autour et au-dessus d'un champ de blé étaient attrapés par le moyen de pièges à l'eau noirs, verts ou blancs, de pièges cylindriques qui étaient visqueuz et noirs et d'aspirateurs. De certaines espèces des genres Taeniothrips, Thrips et Aeolothrips étaient très attirées par le blanc mais pas par le vert ni le noir: les espèces Limothrips cerealium Hal., Chirothrips manicatus Hal., et Stenothrips gramium Uzel n'étaient pas notablement attirées par chacune de ces couleurs. Au niveau des épis les données obtenues avec les aspirateurs étaient plus justes que ne l'étaient celles obtenues avec les pièges à glu ou les pièges à eau: plus haut les pièges à glu indiquaient des données plus justes que les pièges à eau. Jusqu'à quinze mètres environ de hauteur la densité aérienne de toutes les espèces diminuaient progressivement, mais la rapidité de la diminution était différente entre les espèces.
  相似文献   

8.
Catches of oriental fruit moth males, Grapholitha molesta (Busck), at traps baited with (Z)-8-dodecenyl acetate were not greatly influenced by design. Males were equally attracted to polyethylene dispensers containing 1-1000g of the pheromone. There was no evidence that small amounts of the E isomer produced significant increases in catch at pheromone sources, but reductions were apparent when the level of this isomer exceeded 23%. Synergistic effects resulted from the addition of (Z)-8-dodecenyl alcohol to the pheromone, and captures were also enhanced when dodecyl alcohol was used as a modifier. Traps at 2m caught more males than those located at 1m or 4m and this pattern was not altered by tree height. There was evidence that traps cleared daily caught fewer moths than those serviced at longer intervals.
Résumé Les captures de mâles de la Tordeuse orientale des fruits (Grapholitha molesta) par des pièges attractifs à base de (Z)-8-dodecenyl acetate sont peu influencées par le type de dispositif. Les mâles sont également attirés par des containers-évaporateurs contenant 1-1000g de phéromones. De petites quantités de l'isomère E n'entrainent pas d'augmentation significative des captures, mais si la teneur en cet isomère excède 23%, alors on observe des réductions des captures. L'addition de (Z)-8-dodecenyl alcool à la phéromone a des effets synergiques; les captures étant aussi augmentées quand de l'alcool dodecylique est utilisé comme élément de modification de l'attractif. Les pièges placés à 2 m de hauteur attrapent plus de mâles que ceux installés à 1 m ou à 4 m et cela s'observe quelle que soit la hauteur de l'arbre. On remarque que les pièges nettoyés chaque jour capturent moins de papillons que ceux révisés à de plus longs intervalles.
  相似文献   

9.
Résumé L'auteur décrit en particulier à l'aide du microscope électronique les différentes couches constituant la paroi du proventricule de Syllidiens (Annélides Polychètes) en insistant spécialement sur celles (zones sous-épithéliales) situées de part et d'autre de la couche des muscles radiaires caractéristique de cet organe. II est montré que, contrairement à ce qu'il était admis jusqu'à présent, les zones sous-épithéliales sont constituées par des fibres de collagène noyées dans un matériel granuleux vraisemblablement de nature mucopolysaccharidique. D'autre part, un système d'attache particulier entre zones sous-épithéliales et musculature radiaire est mis en évidence.Les fibres de collagène de périodicité 560 Å constituent, autour de la musculature radiaire, un réseau à mailles rectangulaires hautement organisé. Dans l'assise la plus interne de ce réseau, les fibres sont allongées parallèlement à l'axe antéro-postérieur du Ver; dans l'assise la plus externe, elles sont disposées circulairement dans des plans transversaux.La signification de la présence de ces fibres de collagène (les seules existant dans tout le corps des Syllis étudiés) est évoquée. Les problèmes de leur origine et du rôle possible de cellules différenciées (musculaires) dans la synthèse de ce collagène sont analysés.
Presence of collagen in the proventriculus of Syllids
Summary The layers of the wall of the proventriculus of Syllids (Annelids Polychetes) were studied, mainly with the aid of the electron microscope. The areas on both sides of the radial musculature (subepithelial zones) were given special attention. Contrary to previous views, it was shown that the subepithelial zones contain collagen fibrils within a granular material probably of mucopolysaccharide nature. Furthermore, a system of special attachment devices between subepithelial zones and radial musculature was demonstrated.The collagen fibrils (periodicity 560 Å) form a highly organized network with rectangular meshes around the radial musculature. In the innermost layer of this network, the fibers run parallel to the antero-posterior axis of the worm; in the outermost layer, they run circularly.The significance of the presence of these collagen fibers, the only in existence in the entire organism studied, is discussed. The problem of their origin, and the possible role played by differentiated (muscular) cells in the synthesis of this collagen are analyzed.
  相似文献   

10.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

11.
Crowding of lepidopterous larvae can influence adult morphology and physiology. With P. gamma and P. brassicae increasing emergence weight was not accompanied by proportionately as great increases in wing area. Larval crowding decreases both weight and wing area and accentuates thedisproportion in the relation between wing area and weight. In the two species fore- and hind-wings are differently affected and the sexes were also affected differently. A warmer season also decreases fore- and hind-wing areas but distinct differences exist in the relative extent of the decreases. To obtain adequate data, both fore- and hind-wings must be measured.
Résumé Le groupement chez les larves de lépidoptères provoque la réduction du poids et des dimensions des ailes chez les adultes, et il est possible qu'elle contribue à provoquer la migration par son effet sur la morphologie et la fonction. Le rapport entre le poids total et la surface des ailes est souvent appelé wing loading et on sait que ce rapport croît avec l'accroissement de poids des différentes espèces animales qui volent.L'effet du groupement larvaire sur le poids du corps et le wing loading chez Plusia gamma L. et Pieris brassicae L. a été étudié en comparant les adultes nouvellement éclos d'élevage de larves solitaires et de larves groupées. Le groupement réduit le poids et la surface des ailes d'une façon non proportionnelle, mais toutefois décroissante, wing loading. Pour chaque espèce et chaque sexe, le wing loading décroît pour un poids à l'éclosion décroissant, et ceci explique partiellement l'effet du groupement sur le wing loading.Chez P. gamma l'aile antériure était plus grande que l'aile postérieure. Toutefois l'aile antérieure était la plus réduite en dimensions par le groupement, l'effet étant le plus marqué chez la femelle. La température affectait aussi le poids et la surface des ailes. Dans les élevages d'individus isolés, des températures plus élevées réduisaient principalement le poids des mâles, et la surface de leurs ailes postérieures, tandis que les surfaces des ailes antérieures et postérieures des femelles étaient plus affectées, de sorte que le wing loading décroissait chez les mâles et augmentait chez les femelles.Chez P. brassicae l'aile postérieure est la plus grande et décroissait davantage avec le groupement. Le groupement ne paraissait pas affecter différemment les deux sexes, mais les résultats semblaient indiquer que l'effet pouvait être accentué chez les mâles et diminué chez les femelles quand les températures baissaient. Comme chez P. gamma des températures plus élevées diminuaient le poids et la surface des ailes chez P. brassicae mais du fait que la surface des ailes était la plus affectée, le wing loading augmentait chez les deux sexes. Le groupement, cependant, accentuait l'effet de la température sur le poids tandis qu'elle réduisait le wing loading. ainsi chez les deux espèces, les réductions du poids et de la surface des ailes dûes à l'élévation de la température ne sont pas identiques avec les réductions dûes au groupement.Les expériences ont montré également que, alors que les mesures directes de certaines dimensions pouvaient présenter une précision adéquate, les renseignements sur les ailes antérieures et postérieures devaient être groupés.
  相似文献   

12.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

13.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

14.
Résumé Cette étude met en évidence l'efficacité du dépôt d'un marquage odorant dans la reconnaissance de l'entrée du nid par les butineuses de bourdons. L'étude du comportement olfactif de ces ouvrières a consisté à observer leur réponse en présence d'un marqueur odorant déposé par d'autres ouvrières en utilisant la méthode du choix binaire. Les observations ont été faites avec des colonies de plusieurs espèces: Pyrobombus (P.) hypnorum L., Pyrobombus (M.) lapidarius L., Bombus lucorum L., Megabombus (T.) pascuorum Scop., Pyrobombus (P.) pratorum L. et Bombus terrestris L. L'expérimentation a consisté également à faire varier qualitativement la stimulation, ce qui a permis d'étudier la capacité des ouvrières à distinguer l'odeur de la substance déposée par les individus de leur propre colonie de celle déposée par les individus d'une autre colonie, isospécifique ou hétérospécifique. Pour chaque espèce étudiée, les ouvrières retournant au nid font un choix en fonction de la nature du marquage. L'écart entre les pourcentages de réponses est plus important dans le cas du choix entre papier marqué et papier vierge (expérience 1) que dans celui entre papier marqué par la colonie et papier marqué par une colonie étrangère hétérospécifique (expérience 3). Une moindre dispersion des réponses apparaît dans le choix entre papier marqué par la colonie et papier marqué par une colonie étrangère isospécifique (expérience 2). La discussion porte également sur le marquage de l'entrée du nid chez des espèces d'Hyménoptères solitaires terricoles, fonction attribuée à la sécrétion de la glande de Dufour. Le mécanisme de ce marquage chez les Apoïdes sociaux reste à étudier.  相似文献   

15.
A study was made of Hymenoptera, particularly aphid parasitoids in hop gardens receiving three different pesticide regimes. Aphidophagous species accounted for 50% of the total Hymenoptera caught in each site, using water traps, and comprised equal numbers of primary and hyperparasitoids. There was no significant increase in the proportion of aphid parasitoids captured when aphid populations were allowed to rise. However, there was a significant decrease in all Hymenoptera when weed control was employed.Parasitoids bred from the hop aphid, Phorodon humuli (Schrank), comprised three species of Aphidiinae which are primary parasitoids and five species of hyperparasitoid. From mummies which completed development, 48% hyperparasitism was recorded. However, 34% of mummies failed to emerge, most likely killed by predation from Anthocoridae or unsuccessful attack by hyperparasitoids. Native Aphidiinae do not appear to offer a significant contribution towards the integrated control of the hop aphid.
Résumé L'étude a porté sur les Hyménoptères, particulièrement parasitoïdes d'Aphides, des houblonnières du Kent, ayant reçu 3 traitements chimiques différents. L'intérêt de ces Hyménoptères dans la lutte contre le Puceron, Phorodon humuli, a été envisagé.Dans ces houblonnières, pendant la saison, 2286 Hyménoptères ont été capturés dans des pièges à eau (le maximum se situe en juillet et août), bien que dans un cas il semble que la lutte contre les mauvaises herbes ait réduit le nombre total d'Hyménoptères. Les aphidiphages correspondent à environ la moitié des Hyménoptères capturés, avec à peu près les mêmes nombres d'entomophages primaires et secondaires. Ces proportions ne varient pas avec l'importance de la canopée foliaire, l'abondance des mauvaises herbes, la présence de pucerons ou l'utilisation d'insecticides.L'élevage du puceron P. humuli a permis d'obtenir 3 espèces de parasitoïdes primaires (Aphidiinae) et 5 espèces d'hyperparasitoïdes; 34% des pucerons momifiés n'ont rien donné; 48% d'hyperparasitisme est enregistré à partir des momies qui ont donné naissance à des insectes.Les Aphidiinae indigènes ne semblent pas permettre d'espérer une contribution intéressante à la lutte intégrée contre P. humuli. Les taux de parasitisme les plus élevés sont obtenus aux faibles densités de pucerons et en absence de prédateurs ce qui ne se produit qu'avec une utilisation abondante de pesticides. L'hyperparasitisme réduit nettement toute population d'Aphidiinae bénéfiques.
  相似文献   

16.
Visual host finding and form recognition by the cabbage root fly, Delia radicum, were studied using four shapes of yellow sticky traps as plant models. Cross, disc, and Y traps caught similar numbers of flies. Cross traps caught more females than vertical or horizontal rectangular traps. Black borders did not increase rectangle trap catches. Discs (8 cm diam.) at ground level caught more females than discs at 40 cm above ground. Larger discs (11.2 and 13.8 cm diam.) caught more females per trap than 8 cm diam. discs, but not as many per unit area.Volatile mustard oils were added to sticky cross traps as single and multiple-component baits. Traps with multiple-component baits did not consistently catch more females than single baited traps. Yellow traps baited with isothiocyanates caught 4–7 times as many females as clear plastic allylisothiocyanate (ANCS)-baited traps.Results indicated yellow discs or crosses at ground level beited with ANCS effectively monitored female D. radicum. Main factors affecting landing of female D. radicum are suggested to be color of substrate, height above ground, presence of host volatiles in vicinity, visual prominence, and area of attractive color. The view that host finding in some insects is mediated by complex responses to multichannel stimuli was supported.
Résumé L'étude de la perception visuelle et de la reconnaissance des formes par les D. radicum adultes a été réalisée en utilisant des pièges jaunes gluants de quatre formes différentes comme leurres de plantes. Des pièges en croix, en disque et en Y ont permis la capture des mêmes nombres de mouches. Plus de femelles ont été capturées avec des pièges en croix qu'avec des pièges rectangulaires verticaux ou horizontaux. Les captures n'ont pas augmenté avec des pièges bordés de noir. Des disques de 8 cm de diamètre disposés au niveau du sol ont permis la capture de plus de femelles que des disques à 40 cm au-dessus du sol. La capture par piège a été supérieure avec des pièges de 11,2 et 13,8 cm de diamètre qu'avec ceux de 8 cm, mais moindre par unité de surface.Des essences volatiles de moutarde ont été ajoutées aux pièges en croix comme appâts simples ou composés. Les pièges avec appâtes composés n'ont pas été significativement plus efficaces que les pièges à appâts simples. Les pièges jaunes appâts avec de l'isothiocyanata ont entraîné la capture de 4 à 7 fois plus de mouches que des pièges en plastique transparent appâtés avec de l'allylisothiocyanate (ANCS). Les résultats ont montré que des disques ou des croix jaunes appâtés avec de l'ANCS au niveau du sol permettent d'organiser un avertissement agricole contre D. radicum. Les principaux facteurs intervenant dans l'atterrissage des femelles de D. radicum semblent être la couleur du substrat, l'élévation audessus du sol, le contraste visuel, la présence de substance de l'hôte dans le voisinage, et l'aire d'attractivité de la couleur. En conclusion, il est exact de considérer que la perception de l'hôte est provoquée chez quelques insectes par une réponse complexe à des stimuli multicanaux.
  相似文献   

17.
Very simply constructed aquatic sticky light traps employing a chemical solution emitting a bright light attracted large numbers of all larval instars, but few pupae of Aedes cantans in trials in England. During April numbers of larvae per trap ranged from 73±14.2 to 163±19.9, whereas dipping with a ladle yielded only 6.9±5.5 to 11.8±7.7 larvae/dip. The traps were also effective in sampling larvae of Culiseta morsitans and in Sierra Leone larvae of Aedes aegypti. It was concluded that sticky light traps could be valuable in sampling relative numbers of mosquito larvae and merited further evaluation.
Résumé Des pièges adhésifs lumineux faciles à réaliser sont construits pour les captures des larves de moustiques. Ils sont formés de paires de boîtes de Pétri en plastique contenant une solution émettrice de lumière provenant de bâtons lumineux chimiques Cyalume®. Chaque piège est recouvert d'une feuille de plastique de 16×16 cm enduite d'une substance qui reste adhésive sous l'eau. Les larves de moustiques attirées vers la source lumineuse viennent se coller à la feuille adhésive.Ces pièges ont été utilisés avec succès en Angleterre pour l'échantillonnage de tous les stades larvaires d'Aedes cantans, mais pas avec le même efficacité pour les nymphes. Des tests plus restreints ont montré que la technique était également utilisable pour les larves de Culiseta morsitans. Les nombres moyens d'A. cantans capturés pendant une piode de 12 h (73±14,2–163±19,9) étaient supérieux à ceux obtenus en plongeant une louche (6,9±5,5–11,8±7,7). En utilisant les pièges adhésifs lumineux, les captures moyennes de C. morsitans étaient également supérieures (12,6±4,7–35,8±8,9) contre (5,7±6,1–8,9±7,8) avec la méthode de la louche.En Sierra Leone, des stades larvaires immatures d'A. aegypti se développant dans des containers de stockage d'eau ont également pu être capturés à l'aide de ces pièges.Bien qu'une évaluation plus poussée soit encore nécessaire, il ne fait aucun doute que ces pièges adhésifs lumineux aient un intérêt considérable pour l'échantillonnage larvaire dans les sites inaccessibles, tels que les trous d'arbres ou les trous de crabes, où les méthodes d'échantillonage classiques sont souvent d'un emploi difficile.
  相似文献   

18.
Résumé Dans l'hypophyse du rat, la microscopie électronique permet de mettre en évidence à l'intérieur de tous les cordons épithéliaux de la pars distalis un réseau de cellules agranulaires: les cellules stellaires et folliculo-stellaires, satellites des cellules granuleuses hormonogènes. Les cellules de ce réseau se caractérisent à la fois par la multiplicité de leurs prolongements et par leur organisation autour de cavités pour la plupart submicroscopiques, «les follicules». Les cellules folliculo-stellaires correspondent à une partie des cellules chromophobes de la microscopie photonique.La fente hypophysaire, par de nombreux caractères, semble faire partie de ce système folliculo-stellaire, dont elle pourrait représenter une région privilégiée par sa situation, ses dimensions et son contenu.L'existence des cellules folliculo-stellaires dans un grand nombre d'espèces, leurs caractères cytologiques hautement différenciés, leurs relations étroites avec le milieu intérieur interstitiel et leurs modifications en fonction de l'âge et des conditions expérimentales permettent de penser qu'elles sont étroitement attachées à la fonction glandulaire.
The network of the folliculo-stellate cells and the follicles of the adenohypophysis in the rat (pars distalis)
Summary Electron microscopic investigation of the rat anterior pituitary reveals, throughout the whole pars distalis, a cellular network composed of agranular cells. These cells, the stellate and folliculo-stellate cells, are satellites of the granulated secretory cells.The cells of the network are characterized both by their multiple cytoplasmic processes and by their organization around cavities, most of them submicroscopic, the follicles. Those cells probably represent a large part of the chromophobe cells previously observed by light microscopy.On account of several characters, the pituitary cleft seems to be related to the réseau folliculo-stellaire and could be a peculiar part of this system because of its localization, size and contents.The réseau folliculo-stellaire is present in numerous species, showing a typical and differentiated cytology, and close relationships with the interstitial medium. Owing to its morphology and to modifications according to age and experimental conditions, this network seems to be a system intimately involved in the glandular function.
Je remercie Mr. le Professeur J. Racadot et toute l'équipe du Laboratoire pour l'aide apportée: Mme O. Racadot (clichés), Mme G. Porcile (tirages, manuscrit), Mlle B. Marie (technique), Mme A. Combrier (manuscrit). Ce travail a été effectué sous la direction de Mr. le Professeur L. Olivier que je remercie vivement pour ses conseils et pour son aide lors de la rédaction du manuscrit.  相似文献   

19.
Résumé Les capacités visuelles de la coccinelle H. axyridis, espèce utilisée en lutte biologique, ont été étudiées l'aide de formes géométriques différentes et de leurres qui miment un puceron. Les larves et les adultes de cette coccinelle semblent présenter une vision à distance (perception de formes géométriques) et une vision de proximité (perception de leurres comparables à des proies). Cette vision qui est plus développée chez les adultes, permet à cette coccinelle de changer l'orientation de ses déplacements soit pour entrer en contact avec ces cibles artificielles soit pour passer à proximité. Toutefois, ces performances ont été mises en évidence dans des conditions particulières, les cibles et les leurres présentant un fort contraste par rapport à l'environnement.  相似文献   

20.
Résumé Le spermatozoïde de Lithobius forficatus L. a été étudié grâce aux microscopes électroniques, classique et à balayage. Le spermatozoïde a une longueur d'environ 2 mm et comprend deux parties: la tête, avec l'acrosome et le noyau, et la queue, divisée en zone de liaison, pièce intermédiaire et pièce terminale.L'acrosome, entouré par du matériel fibrillaire exogène, a environ 4 de long sur 0,2–0,3 de large. Le noyau spiralé (300 à 400 de long) est constitué d'un axe fibrillaire et d'une spire granulaire dans la région postérieure. La zone de liaison est composée de la partie basale différenciée du noyau et des parties antérieures du complexe flagellaire et de la pièce intermédiaire. La pièce intermédiaire, particulièrement longue (1,5 mm environ) est formée par le flagelle entouré de ses gaines et du manchon mitochondrial. La pièce terminale est un court prolongement flagellaire (6 à 7 ). Les spermatozoïdes matures (prélevés dans les vésicules séminales) ont une structure mitochondriale légèrement différente de celle des spermatozoïdes prélevés dans le testicule.
Ultrastructural study of the spermatozoa of Lithobius forficatus L. (myriapoda chilopoda)
Summary The spermatozoon of Lithobius forficatus was investigated by transmission and scanning electron microscopy. The spermatozoon has a length of about 2 mm long, it is subdivided into a head with acrosome and nucleus, and a tail with a connecting piece, a middle piece and an end piece.The acrosome, surrounded by exogenous fibrillar material is about 4 long and 0.2–0.3 wide. The spiral nucleus (300–400 in length) consists of a fibrillar axis and of a whorl of granular material in the posterior part. The connecting piece is composed of the basal differentiated part of the nucleus and the anterior parts of the flagellar complex and middle piece. The latter is particularly long (about 1.5 mm) and consists of the flagellar complex and the mitochondrial sheath.The flagellar end piece is short (6–7 ). Mature spermatozoa (seminal vesicles) have a mitochondrial structure slightly different from those within the testis.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号