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1.
Investigations on the flight activity of adult Balanogastris kolae (Desbr.) in relation to infestation of kola nuts in the field were conducted using light, suction and impaction traps. Adult weevils were not attracted to light, and catches in suction traps at three heights up to 1.8 m were negligible and only made at 10.00 and 11.00 h (GMT + 1h). Catches on impaction traps showed a decrease with increase in the height of the traps up to 2.2 m.Low weevil catches with increase in the height of the impaction traps compared to the significantly high weevil infestation on the ground litter and at the upper parts (3 m) of the canopy, is attributable to the large numbers of dehisced pods unharvested in the canopy and those that have subsequently dropped onto the litter.Prompt harvesting of mature pods before dehiscence, and removal of overripe, dehisced and dropped pods from the debris will minimize the incidence of weevil infestation in the field.
Résumé Des recherches sur l'activité de vol de l'adulte de Balanogastris kolae ont été entreprises en utilisant des pièges lumineux, des pièges à succion et des pièges adhésifs, afin d'établir un rapport entre cette activité et le degré d'attaque des noix de Kola par ce charançon.Les charançons adultes ne sont pas attirés par la lumière; les captures dans les pièges à succion installés à trois niveaux différents, jusqu'à 1 m 80 de haut, sont négligeables et interviennent seulement entre 10h.00 et 11h.00 (GMT + 1h.). Les captures dans les pièges adhésifs diminuent avec la hauteur d'emplacement de ceux-ci, jusqu'à 2 m 20.Le petit nombre de captures de charançons en rapport avec l'emplacement à une hauteur croissante des pièges adhésifs, mis en parallèle avec l'infestation élevée constatée au niveau du sol et au sommet (3 m.) de la frondaison, peut être attribué au grand nombre de coques ouvertes non récoltées qui demeurent dans la partie haute de l'arbre et de celles qui sont tombées sur le sol.La récolte immédiate des noix mûres avant leur déhiscence et l'élimination de celles ayant passé le stade de la maturité qui ont éclaté et sont tombées sur le sol, devrait considérablement réduire le taux d'infestation par le charançon dans la nature.
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2.
Diapause termination under natural and simulated overwintering conditions, the effect of subzero temperature on postdiapause development and the relationship between postdiapause development rate and constant and fluctuating temperatures was studied in a Dutch population ofAphelinus mali Hald. (Hymenoptera: Aphelinidae).The rate of diapause termination was similar in larvae overwintering under natural and simulated conditions. Most larvae had terminated diapause by the last week of February. Some female larvae may have remained in diapause until the end of March. The exposure of postdiapause larvae to –10°C for two weeks did not affect their survival or postdiapause development rate.PostdiapauseA. mali larvae could complete development and the adults emerge from their mummified aphid hosts at constant temperatures from 12 to 24°C. Although some larvae completed postdiapause development at 10°C, few emerged. The theoretical threshold temperature (to) for postdiapause development was 9.4°C and the thermal constant (K) 136.4 degree-days. K was 121.4 and 134.8 for first and 50% emergence, respectively.The number of heat units accumulating above 9.4°C to 1st and 50% emergence was similar under constant and fluctuating temperatures.
Fin de la diapause et exigences thermiques pour le développement après la diapause d'Aphelinus mali soumis à des températures constantes ou à des thermopériodes
Résumé L'achèvement de la diapause en conditions naturelles ou simulant l'hiver, les effets des températures inférieures à zéro sur le développement après la diapause et les relations entre la vitesse de développement après la diapause et les températures constantes ou en thermopériodes ont été examinés sur des populations néerlandaises d'A. mali (Hymenop.; Aphélinidae).Les taux d'achèvement de la diapause de larves hivernantes étaient semblables en conditions naturelles ou simulées. La plupart des larves ont terminé leur diapause la dernière semaine de février. Quelques larves femelles sont restées en diapause jusqu'à fin mars. L'exposition pendant 2 semaines des larves sorties de diapause à –10 °C ne compromet pas leur survie ou leur taux de développement après la diapause.Les larves ayant diapause peuvent terminer leur développement et les adultes émerger des pucerons momifiés aux températures constantes comprises entre 12 et 24 °C. Bien que quelques larves achèvent leur développement à 10 °C, peu émergent. La température seuil théorique de développement après la diapause (to) a été de 9,4 °C et la constante thermique (K), 136,5 degrés-jours. Pour la première émergence et pour 50% d'émergences, les valeurs de K étaient respectivement: 121,4 et 134,8.Le nombre d'unités thermiques pour la première émergence et pour 50% d'émergences était le même à température constante ou avec une thermopériode.
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3.
A series of experiments were conducted to determine the infection sites of the entomopathogenic fungus Beauveria bassiana after ingestion by the larvae of Aedes aegypti. The timing of the host death in relation to larval molting, the principle sites of fungal infection and development in host tissues were studied. Fungal conidiospores (CS) and blastospores (BS) were used separately for treatment of mosquito larvae. Although in most instances CS germinated and developed within the host, in others there was a premature abortion of the fungal development cycle. On the other hand, BS ingested by the larvae showed differences in the fungal development stages in the larval tissues. While the two primary infection sites were the head and the anal region, the most preferred site for fungal development was the larval gut. No more than two cycles of fungal development can occur in the host. Although both CS and BS are effective as larvicides, BS is far more pathogenic.
Résumé Une série d'expériences a été menée afin de déterminer les emplacements d'infection du fongus entomopathogénique Beauveria bassiana (souche GK 2016) lequel avait été ingesté des larves d'Aedes aegypti. On a étudié le moment de la mort des hôtes en relation des mues des larves, les emplacements principaux où se conduit l'infection fongale et le développement du fongus dans des tissus divers d'hôte. On a utilisé les conidiospores (CS) et les blastospores (BS) séparément pour traitement des larves des moustiques. Bien que dans la plupart des cas CS ait germiné et se soit développé chez l'hôte, en d'autres cas, CS a germiné mais n'avait pas produit du BS évidemment grâce à l'avortement prématuré du cycle de développement des fongus chez l'hôte. Le BS qui avait été ingesté dans les larves présentait des stages différents de développement du fongus dans les tissus des larves. Quoique les deux emplacements placements principaux étaient la tête et la région anale, l'emplacement préféré pour le développement du fongus était l'intestin des larves. Nous montrons qu'il n'y a plus de deux cycles de développement du fongus chez l'hôte. Bien que CS et BS soient efficaces comme larvicides, BS est de loin plus pathogène.
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4.
A method for injection of substances into the intestinal lumen via the anal pore is described for fourth instar larvae of Aedes aegypti. Both oral and anal injections were possible with fourth instar larvae of Toxorhynchites amboinensis.
Résumé On a pu introduire à partir du pore anal des échantillons liquides d'environ 1/3 l dans la lumière intestinale de larves du 4e stade d'Aedes aegypti. Un colorant injecté s'est réparti dans l'intestin postérieur et l'intestin moyen.11 l de solution ont pu être injectés oralement ou analement dans des larves de 4e stade de Toxorhynchites amboinensis. Les mortalités moyennes ont été de 20% (0 à 30%) pour des larves de A. eegypti et de 4% (0 à 10%) pour les larves de T. amboinensis. Nous avons évalué l'interêt de cette technique pour l'étude de l'action directe de toxines et d'autres substances sur les cellules intestinales. Nous avons souligné les possiblités de prélèvement local et de mesures physiologiques (pH, potentiel électrique transépithélial).
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5.
Wheat (Triticum aestivum L.) and barley (Hordeum vulgare L.) stems in the Negev Desert of southern Israel are subject to mass infestations by stem sawflies larvae, primarily Trachelus tabidus F. (Cephidae, Hymenoptera). Infestations up to 55% and 50% in wheat and barley, respectively, were found in 1982/83. In addition, up to 8.6% of wild oat (Avena sp.) stems were cut by sawfly larvae in June 1983.The phenology of the insects was studied in 1981 to 1983 using yellow watertraps to catch adults and by dissecting infested stems to establish the pre-imaginal stages. Adults emerged at the end of February at magen and at the beginning of March at Gilat. Eggs and newly emerged larvae appeared in April. Larvae in diapause were found in cut stubs at the end of April and beginning of May. Pupae were found at the end of January and February.Of the sawfly specimens trapped in 1982 and 1983, the great majority was identified as T. tabidus and less than 5% as Cephus pygmaeus (Cephidae, Hymenoptera). The males of the sawflies appeared 4–6 days before the females, and were less numerous than them.About 12% of the larvae were parasitised by Tetrastichus sp. (Chalcidoidea, Eulophidae) in wheat, barley and wild oat, and about 4% by Collyria sp. (Ichneumoidea, Ichneumonidae) in wheat and barley stubs.
Résumé Les tiges de blé et d'orge subissent des attaques massives de tenthrèdes dans le désert du Négev au Sud d'Israël. Des attaques atteignant 55 et 50,4% ont été observée respectivement sur blé et orge en 1982/83.De plus, jusqu'à 8,6% de tiges d'avoine sauvage ont été coupées par les larves de tenthrèdes en juin 1983.La phénologie des insectes a été étudiée de 1981 à 83 en utilisant des pièges jaunes pleins d'eau pour capturer les adultes et en disséquant les tiges attaquées pour déterminer les stades préimaginaux.Les adultes ont émergé à fin de février et au début mars. Les oeufs et les larves sont apparus en avril. Les larves en diapause ont été trouvées dans les souches coupées à la fin de janvier et en février.La grande majorité de Cephidae adultes piégés en 1982 et 1983 a été identifiée Trachelus tabidus F., Cephus pygmaeus L. correspondait à moins de 5%. Les mâles de tenthrèdes sont apparus 4 à 6 jours avant les femelles qui étaient plus nombreuses.Environ 12% des larves étaient parasitées par un eulophide (Tetrastichus sp.) sur blé, orge et avoine sauvage, tandis que 3,6% l'étainent par un ichneumonide (Collyria sp.) dans les souches de blé et d'orge.
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6.
Mark-release studies of Calosoma sycophanta L. (Carabidae) in two 40000 m2 areas were done using traps deployed in 10 by 10 grids. In both areas, gypsy moths, Lymantria dispar L. (Lymantriidae), were abundant the first but not the second year of sampling. The distribution of carabid larvae was also investigated in the first year at one of the sites and the distribution of gypsy moth larvae found under burlap bands determined for 2 years at the other site. Dispersions of beetles and prey were evaluated by Taylor's logarithmic meanvariance method and Iwao's mean-mean crowding method. Taylor's method gave the most consistent results, and the slopes of the regression lines were used to determine degree of clumping.To evaluate dispersal of adult beetles, recapture data were analysed using the Fisher-Ford and Jolly-Seber methods in conjunction with Jackson's method for separating survival and emigration. A new method for estimating emigration was found to be most consistent with the Fisher-Ford-Jackson procedure. The tendency of the beetles to aggregate (measured via Taylor's method) was generally highest for males. In one site, emigration and degree of aggregation for males appeared to vary together, while at the other site no relationship was evident. Females showed few tendencies to aggregate. Both beetle larvae and gypsy moth larvae had clumped distributions.
Résumé L'étude par capture-recapture de Calosoma sycophanta L. (Carabidae) a été effectuée dans deux parcelles de 4 ha en utilisant des pièges distribués sur une grille de 10 sur 10. Pendant la première année d'échantillonnage, Lymantria dispar L. (Lymantriidae) était abondant et les calosomes se sont reproduits, tandis que la seconde année les papillons étaient beaucoup moins nombreux. La distribution des larves de carabes a été examinée aussi pendant la première année sur l'une des stations, et celle des chenilles pendant les deux années avec des toiles d'emballage sur l'autre station. Les dispersions des adultes et larves de calosomes et des chenilles de Lymantria ont été calculées en utilisant la régression du logarithme naturel de la variance de l'échantillon sur le logarithme naturel de la moyenne (méthode de Taylor) et la régression de l'indice de Lloyd d'agrégation moyenne sur la moyenne (méthode d'Iwao). La méthode de Taylor a donné les résultats les plus logiques, et les pentes ont servi à mesurer le degré d'agrégation. Les recaptures de calosomes adultes ont été analysées par les méthodes de Fisher-Ford et Jolly-Seber, associées à la méthode de Jackson pour séparer survie et migration. De même, une nouvelle méthode pour déterminer directement la migration en découvrant combien d'insectes recapturés ont abandonné les microparcelles s'est révélée comme la plus cohérente avec le procédé Fisher-Ford-Jackson. La tendance à l'agrégation est plus forte chez les mâles (d'après la pente du logarithme de la moyenne par rapport au logarithm e de la variance de l'échantillon). La migration et le degré d'agrégation paraissent varier ensemble dans une station, tandis que dans l'autre une telle relation n'apparaît pas clairement. Les femelles malgré des taux de migration variés mais généralement faibles, n'ont jamais pr'esenté de tendance significative à l'agrégation. A l'opposé, les larves de calosomes et de Lymantria ont presenté des distributions agrégatives.
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7.
Control of leafrollers using Insect Growth Regulators with juvenile-hormone acitivity (IGR) is a major issue in research on Integrated Pest Management in apple orchards. The IGR is applied at the time of emergence of the last-larval instar of leafrollers, thus causing a disturbance of metamorphosis.Simulation models on the development of Pandemis heparana (Denn. et Schiff.) and Adoxophyes orana (F.v.R.) were developed, partly on the basis of experiments, partly on data from literature, to predict the time of emergence of the various stages, particularly of the last-larval instar and the pupa. The models use the state-variable approach, and include only temperature as a driving variable.Simulated curves of emergence of last-instar larvae, pupae and moths corresponded well with observations on field-collected larvae, reared to adult stage in an outdoor insectary. The curves of pheromone trap catches showed a delay relative to the calculated and observed curves for the eclosion of pupae.To investigate whether the time of IGR application could be related to a temperature sum, the relation between emergence curves of last-instar larvae and temperature sums was studied for several years. For this purpose simulated curves were used, because observations on emergence of last-instar covered only a few years.
Résumé Le contrôle des Tordeuses par les régulateurs de croissance d'Insectes (IGR), à activité d'hormone juvénile, est un progrès majeur dans la recherche pour la lutte intégrée contre les ennemis des vergers de pommiers.L'IGR appliqué lors de l'apparition du dernier stade larvaire des Tordeuses, perturbe ainsi la métamorphose ultérieure. Afin de prévoir le moment d'apparition des différents stades, et plus particulièrement du dernier stade larvaire, des modèles de simulation du développement de Pandemis heparana (Denn. et Schiff.) et Adoxophyes orana (F.v.R.) ont été élaborés à partir d'expériences et en se basant sur des résultats de la littérature.Le modèle est basé sur l'examen de la variable d'état, la température étant la variable discriminante suivie.Les courbes simulées d'apparition des larves de dernier stade, des nymphes et des papillons correspondent aux observations faites sur les larves récoltées dans la nature et élevées jusqu'au stade adulte dans un insectarium en plein air.Le taux de capture dans les pièges à phéromone présente un retard par rapport aux courbes calculées et observées pour l'éclosion des nymphes. Différentes causes peuvent être attribuées à cette différence, mais l'influence d'aucune d'elles n'a été étudiée.Afin de déterminer si le moment de l'application d'IGR peut être lié à une somme de températures, les courbes d'apparition des larves de dernier stade ont été étudiées en relation avec les sommes de températures portant sur plusieurs années. Les observations concernant l'apparition des larves de dernier stade ne couvrant que 2 années, des courbes simulées ont été utilisées à cet effet. L'emploid de la relation liant le moment de l'apparition à la somme des températures permet de n'avoir à calculer que les sommes de températures pour déterminer le moment opportun de l'application des IGR.
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8.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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9.
Azadirachtin, a triterpenoid substance from the neem tree, Azadirachta indica A. Juss., Meliaceae, was evaluated for its antifeedant and insecticidal properties to the European corn borer Ostrinia nubilalis Hübner. The 50% protective concentration for larval feeding on treated corn disks (PC50) was 3.5 ppm for neonate larvae and 24 ppm for third instar larvae. Azadirachtin severely reduced larval growth at 1 and 10 ppm in a meridic diet and eventually caused 100% mortality at 10 ppm and 90% at 1 ppm. At 0.1 ppm azadirachtin showed no significant effect on larvae but altered the sex ratio in favor of male moths during adult emergence and arrested oviposition of female moths.Nutritional indices for naive and habituated third instar larvae suggested that reduction of growth was due to toxicity as shown by a lowered efficiency of conversion in the azadirachtin treated groups, rather than changes in digestibility. No clear evidence of tolerance was observed in the habituated group. The data suggest that at 10 ppm azadirachtin is an effective botanical insecticide for control of O. nubilalis.
Résumé On a examiné les propriétés anti-appétantes et insecticides de l'azadirachtine, une substance triterpénoïde provenant d'Azadirachta indica envers la pyrale du maïs Ostrinia nubilalis. La concentration effective pour causer 50% d'inhibition de l'alimentation larvaire (PC50) sur des disques foliaires a été de 3.5 ppm pour les larves de premier stade et de 24 g/8 pour celle de troisième stade. L'azadirachtine a sévèrement réduit la croissance larvaire à des concentrations de 1 et 10 ppm dans une diète méridique et, éventuellement, a causé 100% de mortalité à 10 ppm et 90% à 1 ppm. A 0.1 ppm l'azadirachtine n'a pas eu d'effet significatif sur les larves maïs a modifié l'indice de masculinité en faveur des mâles au moment de l'émergence et a empêché l'oviposition chez les femelles. Les indices nutritionnels pour les larves naïves de troisième âge et celles ayant subi une accoutumance suggèrent que la réduction de croissance est le résultat d'une intoxication comme le démontre une efficacité réduite de transformation chez les groupes traités à l'azadirachtine, plutôt que des changements de digestibilité. Il n'y a pas d'évidence claire de tolérance dans le groupe ayant subi l'accoutumance. Les résultats suggèrent qu'à 10 ppm l'azadirachtine est un insecticide botanique efficace envers O. nubilalis.
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10.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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11.
The possible usefulness of sex pheromones for controlling Adoxophyes orana (F. v. R.) has been tested in field experiments.The mating frequency of the female moths and the period of flight activity in the night have been determined. Light trap catches and random samples showed that 50–60% of the female moths mated once only and 22–37% mated twice. The percentage of virgin female moths was 4–8. These percentages were fairly constant throughout the whole summer flight period, except during the first days. Old female moths were especially attracted to the light trap. A. orana is a typical night flier with its maximum activity around midnight, as shown by light and sex traps. The length of the flight period depends on the length of the dark period.Some comparative catching experiments with sex traps were carried out. More males were caught in traps which contained two instead of one virgin female, or which contained more female equivalents. More than two virgin females per trap did not increase the catches. Mating caused considerable decrease in female attractiveness which recovered partly after a period of oviposition.Minimum night temperatures below 12° C lowered the flight activity and also the sex trap catches. The wind is a determining factor for the upwind orientation of the male moths to the attractive females. The ratio of moths caught flying upwind: flying downwind was 80 : 20 at wind velocities below 7m/sec; at wind velocities above 7m/sec this ratio altered to 60 : 40. More overshootings and downwind casts took place. During a preliminary release experiment all male moths were recaptured in the section of the area upwind from the release centre.
Résumé L'utilisation possible des phéromones sexuelles pour la lutte contre Adoxophyes orana a été testée dans une série d'expérimentations dans la nature.La fréquence des accouplements et la période d'activité de vol des papillons femelles ont été précisées. Les récoltes aux pièges lumineux et les échantillonages faits au hasard ont montré que 50 à 60% des femelles ne s'accouplaient qu'une fois, et 22 à 37% deux fois. Le pourcentage des femelles vierges était de 4 à 8%. Ces pourcentages furent à peu pr`es constants pendant toute la période de vol au cours de l'été, sauf durant le début de saison. Les femelles âgées étaient spécialement attirées par les pièges lumineux. A. orana est un insecte typiquement nocturne, dont l'activité de vol est maximum vers minuit, comme le révèlent les captures avec les pièges lumineux ou les attractifs sexuels. La durée de la période de vol dépend de la longueur de la nuit.Quelques expériences comparatives de capture avec des pièges à base d'attractifs sexuels ont été réalisées. Les mâles sont capturés en plus grand nombre dans les pièges contenant 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, ou qui contenaient davantage d'attractif sexuel. Le nombre de mâles capturé ne s'accroît pas plus si le piège renferme plus de 2 femelles vierges. L'attraction des femelles diminue considérablement après leur accouplement, mais se manifeste à nouveau partiellement après une période de ponte.Une température nocturne inférieure à 12° diminue l'activité de vol et le rendement des pièges sexuels. Le vent est un facteur déterminant, car les mâles s'orientent face au vent pour repérer et rejoindre les femelles attractives. La proportion des papillons capturées volant vent debout ou vent arrière est de 80 : 20 quand la vitesse du vent est inférieure ou égale à 7 m/sec. ; pour les vitesses du vent supérieures à 7 m/sec. cette proportion est modifiée et passe à 60 : 40. Plus la vitesse du vent s'accroît et dépasse cette valeur, plus on capture d'insectes emportés par le vent. Au cours d'expériences préliminaires de lâchers de papillons mâles, tous ceux-ci ont été recapturés dans la zone balayée par le vent à partir du point de lâcher.
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12.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

13.
Short-term variations in the relative catch in each of two or three interacting pheromone traps for the pea moth,Cydia nigricana (F.), were investigated for traps aligned along the wind. The proportional catch in each trap varied widely, although the mean values accorded with previous estimates. Over consecutive short intervals during a single trapping period the proportion caught in the centre trap of a three-trap line was constant. The proportion caught in the upwind trap of two-and three-trap lines showed trends in time. These trends differed between trapping periods, but two lines of traps operated simultaneously gave similar results to each other. It is suggested that these results, which are predicted by a model based on various components of moth orientation behaviour, are caused by changes in systematic behavioural processes, not random effects. Possible mechanisms are discussed.
Variations à court terme des captures deCydia nigricana dans des pièges à phéromones en interaction
Résumé Des données antérieures concernant les interactions entre des pièges à phéromone alignés le long du vent ont été utilisées pour déduire les caractéristiques du comportement d'orientation deC. nigricana. Ces données ont été introduites dans un modèle de simulation quantitative qui prédisait que quand les captures totales sur une ligne ont été regroupées sur une période globale de piégage, la proportion capturée dans chaque piège devrait aussi avoir des valeurs moyennes semblables, mais varie plus largement que précédemment indiqué. Les simulations concernant des intervalles consécutifs beaucoup plus courts pendant la même période de piégage ont suggéré une forme spécifique de cette variation.Cette note signale des variations à court terme dans la proportion capturée au piège qui confirment ces prédictions. Nous montrons que sur des intervalles consécutifs brefs pendant une simple période de piégage, la proportion capturée dans le piège central d'une ligne de 3 pièges est contstante, bien que sa valeur change suivant les périodes de piégage. La proportion capturée dans le piège face au vent de 2 ou 3 lignes de pièges suit cette tendance dans le temps, ce qui est généralement bien représenté avec des courbes simples. Ces tendances changent suivant les périodes de piégage, mais des lignes de pièges fonctionnant simultanément fournissaient des résultats similaires. On suggère que ces résultats sont dus à des changements dans des processus comportementaux systématiques et non à des effects aléatoires. Les mécanismes possibles sont discutés.
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14.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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15.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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16.
Alloxysta pleuralis parasitizes the larvae of Trioxys indicus, a parasitoid of Aphis craccivora. The pattern of host-searching of A. pleuralis was random regarding the host-stage. Earlier second instar to early fourth instar larvae of T. indicus within the haemocoel of the living aphid were found susceptible for attack, however, the third instar larvae were more parasitized. The rate of oviposition was very low (8.5 eggs/h). The number of pricks into the aphid was significantly more for the aphids that contained susceptible stages of the potential host. The occurrence of superhyperparasitism was lower when the hyperparasitoids were offered a choice of all host stages than were offered no-choice.
Résumé A. pleuralis est un hyperparasitoïde endophage de Trioxys indicus, parasitoïde d'Aphis craccivora, puceron de Cajanus cajan. Bien que les larves de T. indicus soient susceptibles d'être attaquées du début du second stade au début du quatrième stade, celles du troisième stade sont nettement préférées. L'absence de fifférence entre les fréquences de visites et de contacts avec les hôtes de différents stades a montré que le comportement de prospection de A. pleuralis s'effectue au hasard. Cependant, la fréquence des piqûres/hôte est significativement supérieure chez lez hôtes préférés, ce qui donne une indication sur le fait que A. pleuralis pique un puceron pour rechercher un hôte potentiel. Il est possible que la femelle perçoive la présence de l'hôte dans le puceron en décelant avec les récepteurs sensoiriels de sa tarière les changements physiologiques caractéristiques du puceron parasité, et qu'elle les utilise pour piquer à répétition le puceron jusqu'à ce qu'elle trouve l'hôte potentiel. Le superhyperparasitisme était relativement faible et plus fréquent dans les expériences où l'hyperparasite n'avait pas de choix.
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17.
The angle of inclination of the surface on which flies prefer to land in vegetable crops was studied in field plots and in field-cages using one-sided sticky traps aligned in one plane but orientated in eight directions. The four Delia species studied, D. antiqua, D. floralis, D. platura and D. radicum, preferred to land on horizontal surfaces, indicating that they are likely to be trapped in largest numbers on traps with a horizontal trapping surface, such as water traps. This trend was even more pronounced with the Syrphidae. In contrast, greatest numbers of the carrot fly, Psila rosae, were caught on the lower surface of traps inclined at 45° to the vertical. The advantages of using traps inclined in this way for trapping P. rosae are that more flies are caught on such surfaces, the sticky trapping compound is protected from the adverse effects of rain, and the traps are highly selective.
Résu,é L'angle d'inclinaison de la surface sur laquelle les mouches préfèrent atterrir dans les cultures de légumes a été examiné dans la nature, dans des parcelles et dans des cages, en utilisant des pièges englués sur un côté, alignés dans le même plan, mais orientés dans 8 directions. Les 4 espèces de Delia étudiées: D. antiqua, D. floralis, D. platura, D. radicum, ont préféré atterrir sur des surfaces horizontales, ce qui implique qu'elles sont probablement prises en plus grand nombre sur des pièges avec une surface de capture horizontale, comme des pièges liquides. Cette tendance est encore plus prononcée chez les Syrphidae. A l'opposé, de nombreuses mouches de la carotte, Psila rosae, ont été capturées sur la face inférieure de pièges inclinés de 45°. Il est avantageux d'utiliser des pièges inclinés de cette façon contre P. rosae parce que, d'une part ils sont très efficaces, d'autre part le produit actif est protégé de la pluie et enfin, le piège est très sélectif.
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18.
The effects of larval morphology and substrate quality on the searching efficiency of third stage larvae of Epistrophe eligans (Harris) and Metasyrphus luniger (Meigen) were examined. E. eligans has a smooth, flat undersurface and was able to grasp smooth, flat substrates where it achieved high casting rates and capture efficiencies. It is probably best suited to exploiting leaf-feeding, rather than stem-feeding aphids. However, M. luniger did best on stems and petiles where it used a special U-shaped grasping organ and lateral movements to hold on and move. On these substrates, as opposed to smooth, flat surfaces, it achieved high casting rates and capture efficiencies.
Résumé L'examen a proté sur les effets de la morphologie larvaire et de la nature du substrat sur les succès de la prospection des larves de troisième stade de E. elegans et de M. luniger. La surface ventrale de E. elegans est plate et molle, sans proéminences locomotrices. Sur les feuilles plutôt que sur les pétioles, il a mieux adhéré au substrat et a réalisé plus de captures avec une meilleure efficacité. E. elegans est probablement mieux adapté à l'exploitation des pucerons sur des surfaces molles et plates, comme les feuilles. M. luniger présente une disposition complexe de proéminences locomotrices, comprenant un organe de préhension en forme de U à l'extrémité du corps. Sur les tiges, les pétioles et les feuilles avec des nervures saillantes, il est capable de se fixer efficacement et de se déplacer sur des structures cylindriques en utilisant son organe de préhension, ses pièces buccales et des mouvements latéraux. Il a réalisé plus de captures avec une plus grande efficacité sur tiges et pétioles par comparaison avec des surfaces molles; il peut être mieux adapté à exploiter les pucerons associés aux surfaces cylindriques de ce type.
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19.
A comparison was made in a 16-sided outdoor cage measuring 15 m in diameter of the numbers and physiological stages of mosquitoes taken in a light trap sample from a known population. For each brood, six suction and five light collections were made each night for six successive nights. Both response to light and flight activity tended to increase with age. However, neither the numbers taken at different times during the night nor the ovarian composition of the samples were comparable to collections made outdoors. These differences were probably caused by the contrast between illumination levels inside and outside the cage interacting with the circadian rhythm of crepuscular activity and the physical restrictions of the cage.
Résumé Le but de cette étude est de déterminer le rapport existant entre un échantillonnage par piège lumineux et la population réelle.Des moustiques, venus d'atteindre le stade imaginal, sont relâchés dans une vaste cage de 15 m de diamètre et de 2.5 m d'hauteur, puis sont seulement alimentés de sucre. La proportion de femelles autogènes, le taux d'accouplements, et les réserves énergétiques de chaque couvée ont été précisés. Pour chaque couvée, un mécanisme d'échantillonnage fait alternativement des échantillons par aspiration ou par lumière (en realité aspiration et lumière) pendant six nuits successives. L'échantillon par aspiration 1er commençait au coucher de soleil et terminait au crépuscule astronomique. Un échantillon (échantillon 2me), de duration 5 minutes, se faisait à cette heure et encore à 2200 (échantillon 4me), 0000 (échantillon 6me), 0200 (échantillon 8me) et au crépuscule astronomique du matin (échantillon 10me). Les échantillons 3me, 5me, 7me, 9me et 11me occupaient toutes les autres heures. Du clair de lune simulé se fournissait pour maintenir un niveau uniforme d'illumination pendant toutes les heures sauf les temps des échantillons crépusculaires. En compensation pour les durées inégales des échantillons par aspiration, on a reduit les données au nombre d'individus capturés en 5 minutes. Un échantillon à filet de balayage se faisait suivant les opérations de chaque nuit. Chaque jour on collectionnait les moustiques morts et on estimait les moustiques vivants dans la cage. On examinait les moustiques capturés pour déterminer l'état des ovaires des femelles. En addition, on opérait le mécanisme d'échantillonnage au dehors de la cage.Chaque couvée possédait ses propres caractéristiques concernant la proportion de femelles autogènes et accouplés, et pour les deux sexes la proportion alimenté de sucre, les réserves énergétiques, la mortalité, la réaction à la lumière et le niveau de l'activité du vol. Pour les femelles le niveau de l'activité du vol et la réaction à la lumière semblaient à augmenter avec l'âge, et la réaction à la lumière accroissait plus rapidement qu'accroissait l'activité du vol. A des heures différentes de la nuit il y avait peu de variation d'état des ovaires des femelles échantillonnées, mais il y avait plus de variation entre les échantillons par les méthodes différentes; par example, la proportion la plus petite des femelles gravides s'échantillonnait par filet de balayage et la proportion la plus grande par piège lumineux. La proportion la plus grande des moustiques alimentés de sucre aussi s'échantillonnait par filet de balayage.Les échantillons par aspiration 1er et 11me étaient petits et ne montraient pas des cimes d'activité crépusculaire, tandis que les échantillons 7me et 9me étaient plus grands que les 3e et 5me. Les échantillons par piège de lumière 2e et 10me prenaient deux fois plus des femelles que chacun des autres échantillons par piège de lumière. Le dessin des échantillons par aspiration et par piège de lumière dans la cage ne ressemblait pas au dessin au dehors. Ces différences probablement ont été causées par le contraste entre les niveaux d'illumination à l'intérieur et à l'extérieur de la cage qui s'entragit avec le rhythme circadien d'activité crépusculaire et les restrictions physiques imposées par la cage. Le comportement normal n'était pas possible et les résultats d'échantillonnage obtenus dans une cage, même tellement grande, n'étaient pas comparable aux résultats aux conditions naturelles.
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20.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

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