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1.
The patterns of flight activity of adult Distantiella theobroma were recorded in an actograph placed in the field. Flight activity of virgin females showed a non-linear increase with age, was highest around mid-day and related to sex attraction behaviour. Mated females and males both showed sharp peaks of activity in the late afternoons. Male flight was depressed by low light intensities and all activity declined with falling light intensity in the evenings and ceased entirely during the hours of darkness.
Résumé Un appareil a été conçu pour enregistrer l'activité de vol dans les conditions naturelles et a été utilisé pour étudier le comportement des mâles et des femelles de D. theobroma, aux diverses phases de leur vie imaginale.L'activité de vol de D. theobroma eest exclusivement diurne. Les femelles restent relativement inactives pendant les premiers trois jours de leur vie imaginale. Après le début de maturité et bien que non encore accouplées, on note un accroissement de leur activité qui est maximum vers le milieu du jour, mais s'atténue pendant la fin de l'après-midi, alors qu'elles manifestent un comportement d'appel et se révèlent attractives pour les mâles.Les femelles qui se sont accouplées montrent un début d'activité tôt le matin et qui s'accroît pour atteindre un pic bien marqué en fin de l'après-midi, pour décliner ensuite avec la baisse de l'intensité lumineuse. L'activité des mâles commence plus tard et atteint son maximum vers 16h30. Ceci coïncide avec le moment où le plus grand nombre de femelles manifestent un comportement d'appel. Le vol des mâles n'apparaît qu'au-dessus d'un certain seuil d'intensité lumineuse et est inhibé par la pluie.Le changement avec l'âge de l'activité des femelles vierges présente des modalités caractéristiques qui se révèlent concorder avec les variations du nombre de mâles attirés par les femelles vierges de différents âges.


This work was done as part of the programme of the International Capsid Research Team which was sponsored by the International Office of Cocoa and Chocolate.  相似文献   

2.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

3.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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4.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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5.
The possible usefulness of sex pheromones for controlling Adoxophyes orana (F. v. R.) has been tested in field experiments.The mating frequency of the female moths and the period of flight activity in the night have been determined. Light trap catches and random samples showed that 50–60% of the female moths mated once only and 22–37% mated twice. The percentage of virgin female moths was 4–8. These percentages were fairly constant throughout the whole summer flight period, except during the first days. Old female moths were especially attracted to the light trap. A. orana is a typical night flier with its maximum activity around midnight, as shown by light and sex traps. The length of the flight period depends on the length of the dark period.Some comparative catching experiments with sex traps were carried out. More males were caught in traps which contained two instead of one virgin female, or which contained more female equivalents. More than two virgin females per trap did not increase the catches. Mating caused considerable decrease in female attractiveness which recovered partly after a period of oviposition.Minimum night temperatures below 12° C lowered the flight activity and also the sex trap catches. The wind is a determining factor for the upwind orientation of the male moths to the attractive females. The ratio of moths caught flying upwind: flying downwind was 80 : 20 at wind velocities below 7m/sec; at wind velocities above 7m/sec this ratio altered to 60 : 40. More overshootings and downwind casts took place. During a preliminary release experiment all male moths were recaptured in the section of the area upwind from the release centre.
Résumé L'utilisation possible des phéromones sexuelles pour la lutte contre Adoxophyes orana a été testée dans une série d'expérimentations dans la nature.La fréquence des accouplements et la période d'activité de vol des papillons femelles ont été précisées. Les récoltes aux pièges lumineux et les échantillonages faits au hasard ont montré que 50 à 60% des femelles ne s'accouplaient qu'une fois, et 22 à 37% deux fois. Le pourcentage des femelles vierges était de 4 à 8%. Ces pourcentages furent à peu pr`es constants pendant toute la période de vol au cours de l'été, sauf durant le début de saison. Les femelles âgées étaient spécialement attirées par les pièges lumineux. A. orana est un insecte typiquement nocturne, dont l'activité de vol est maximum vers minuit, comme le révèlent les captures avec les pièges lumineux ou les attractifs sexuels. La durée de la période de vol dépend de la longueur de la nuit.Quelques expériences comparatives de capture avec des pièges à base d'attractifs sexuels ont été réalisées. Les mâles sont capturés en plus grand nombre dans les pièges contenant 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, ou qui contenaient davantage d'attractif sexuel. Le nombre de mâles capturé ne s'accroît pas plus si le piège renferme plus de 2 femelles vierges. L'attraction des femelles diminue considérablement après leur accouplement, mais se manifeste à nouveau partiellement après une période de ponte.Une température nocturne inférieure à 12° diminue l'activité de vol et le rendement des pièges sexuels. Le vent est un facteur déterminant, car les mâles s'orientent face au vent pour repérer et rejoindre les femelles attractives. La proportion des papillons capturées volant vent debout ou vent arrière est de 80 : 20 quand la vitesse du vent est inférieure ou égale à 7 m/sec. ; pour les vitesses du vent supérieures à 7 m/sec. cette proportion est modifiée et passe à 60 : 40. Plus la vitesse du vent s'accroît et dépasse cette valeur, plus on capture d'insectes emportés par le vent. Au cours d'expériences préliminaires de lâchers de papillons mâles, tous ceux-ci ont été recapturés dans la zone balayée par le vent à partir du point de lâcher.
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6.
This paper determines reproductive limits and variation in performance of male twospotted spider mites Tetranychus urticae Koch when virgin females are provided ad libitum over the first eight days of adult life. Theree phases of male reproduction were studied: copulations, insemination and reproduction. An average one day old male copulated 15 times, inseminated 15 females, and contributed to 336 daughters. All parameters declined with age. The average male inseminated 70 females and contributed to 1145 daughters in the first days. Variability between males was small for all parameters considered. These data suggest that the number of sperm transferred at each insemination, rather than the number of inseminations, is the limiting step to higher male reproductive output.
Résumé La reproduction est un processus qui nécessite généralement un mâle et une femelle. Cependant la biologie des populations ne s'est traditionnellement intéressée qu'à la contribution des femelles dans ce processus. Un effet de cet accent sur les femelles est que l'activité reproductrice des mâles a été très ignorée. Cet article examine, dans un contexte démographique, l'activité reproductrice des mâles de T. urticae, acarien arrhénotoque et phytophage. Trois séquences de l'activité reproductrice des mâles ont été examinées: 1) la copulation, 2) l'insémination, 3) la reproduction.En moyenne un mâle de 1 jour a copulé 15 fois, inséminé 15 femelles et a eu 336 filles. Pendant les 8 premiers jours, le mâle moyen a inséminé 70 femelles et a eu 1145 filles. Ces résultats suggèrent que le nombre de spermatozoïdes transférés à chaque insémination, plus que le nombre d'inséminations, est le facteur limitant d'une forte contribution du mâle à la reproduction.
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7.
The calling behaviour of 0-day-old and 2-day-old virgin female eastern spruce budworm moths, Choristoneura fumiferana (Clem.) was observed during exposure to different concentrations of the synthetic female sex pheromone. Regardless of whether the females were exposed to pheromone or not, there were two daily peak periods of calling activity, one in the afternoon and the other after dusk. Those moths exposed to pheromone commenced calling at least 2 h earlier during their first peak of calling activity. Also, a greater number of moths engaged in calling when exposed to pheromone than those under control conditions.
Résumé Des expériences ont été menées au laboratoire pour examiner si la phéromone sexuelle synthétique de C. fumiferana pouvait altérer le comportement d'appel de femelles vierges de la même espèce. Un appareil a été conçu pour libérer alternativement — à des intervalles déterminés — un courant d'air portant de la phéromone sexuelle ou un courant d'air pur, dans plusieurs flacons contenant des femelles vierges. Le comportement sexuel de mouches de 0 et 2 jours a ainsi été observé. Indépendamment de l'exposition des femelles à la phéromone, il y avait deux pics quotidiens d'activité d'appel, l'un dans l'après-midi et l'autre après le crépuscule. Des papillons exposés au 1×10–6 mg ou 1×10–3 mg de phéromone avaient un premier pic d'appel au moins antérieur de 2 heures par rapport aux témoins. Ainsiily a vait un plus grand nombre de papillons engagés dans une activité d'appel en présence de la phéromone que chez les témoins.
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8.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

9.
In the tsetse fly Glossina pallidipes Austen multiple mating of females and the inseminating capacity of males was investigated with the aim of economizing on the number of males in mass rearing. Forty five percent of mated but uninseminated females and 9% of inseminated females remated.Virgin males inseminated four times in succession and remained eager to copulate thereafter. Restoration of the inseminating ability took 2 h rest. Experienced and virgin males were equally successful at mating. Insemination occurred during the last 30 s of the copulation and one male inseminated nine females on the average. Females mated in a 1:1 or a 1:3 / ratio were equally productive. The females that were mated in a 1:3 ratio survived better.Series of three successive matings, alternated with periods of rest, showed that the males did not regain their original inseminating capacity. In the first series all three mates were inseminated, but in subsequent series only the first and the second. An efficacious reduction of the number of males to 20% of the number of females to be mated may be possible by using the males first in a 1:3 and subsequently in a 1:2 / ratio.
Résumé Afin d'économiser le nombre de mâles à maintenir dans des élevages de masse pour des études sur les méthodes de protection contre Glossina pallidipes, les accouplements multiples des mâles et des femelles ont été étudiés au laboratoire.7 à 9 jours après leur émergence, les femelles ont eu pour la première fois la possibilité de s'accoupler avec des mâles vierges ou non. La réceptivité lors des accouplements ultérieurs a été testée immédiatement après le premier accouplement. 45% des femelles non inséminées se réaccouplent. Parmi les femelles inséminées, seulement 9% copulent à nouveau dans les 6 h qui suivent le premier accouplement.Les mâles présentés à une succession de femelles restaient avides de copuler, mais la majorité était incapable de les inséminer après la 4ème copulation; la restauration du pouvoir fertilisant demandait une période de repos de 2 h.En laboratoire, les mâles vierges ou expérimentés ne présentaient aucun avantage sexuel les uns par rapport aux autres. Les femelles semblaient avoir été inséminées dans les 30 dernières secondes de la copulation.Aucune différence de productivité n'a été observée quand les accouplements ont eu lieu avec 1 mâle pour 1 ou 3 femelles.Des séries de 3 accouplements successifs, alternant avec des periodes de repos, ont montré que le pouvoir fertilisant ne retrouvait pas son niveau initial. Dans les premières séries, toutes les 3 femelles ont été inséminées, mais dans les séries ultérieures seulement la 1ère et la 2nde. En moyenne, un maximum de 9 femelles était inséminé, marqué par un remplissage de la spermathèque de plus de 50% ou une fécondité supérieure à 0,8. Une réduction efficace du nombre de mâles, au cinquième de celui des femelles à accoupler, est possible en utilisant d'abord 1 mâle pour 3 femelles et ensuite 1 mâle pour 2 femelles.
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10.
The sex ratio of the progeny of single females parasitizing large hosts favoured the females (sex ratio=0.26); but on small hosts favoured the males (0.73). No differences in mortality of the sexes were detected. The sex ratio was independent of female age when large hosts were used. The percentage of males observed in the progeny of the first day of female oviposition was significantly greater than the mean, irrespective of the age at which female oviposition began. When females were exposed to small hosts, a greater percentage of females was observed in the progeny from the last days of oviposition.
Résumé L'influence de la taille de l'hôteret de l'âge de la femelle sur le taux sexuel de la descendance a été étudiée sur le parasitoïde Opius concolor Szépl.Le taux sexuel de la descendance des femelles isolées est favorable aux femelles (t.s.=0,26) quand elles ont à leur disposition des hôtes de grande taille, tandis qu'avec des hôtes petits le taux sexuel est favorable aux mâles (t.s.=0.73). On n'a pas détecté de mortalité différentielle des sexes.Les pourcentage de mâles obtenu le premier jour de ponte des femelles sur les hôtes de grande taille est significativement différent de la moyenne, indépendamment de l'âge de la femelle à ce moment. Cependant, sur des hôtes petits, bien que restant favorable aux mâles dans l'ensemble, une plus grande proportion de femelles à partir des premiers jours de ponte a pu être observée.
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11.
Samples of males and females of G. pallidipes and G. fuscipes were collected at Lugala, Uganda, by seven different methods. There were marked differences between the infection rates of the various samples. In the case of G. pallidipes the differences in infection rate were closely associated with differences in mean age of the samples, but in the case of G. fuscipes the agreement was less close.
L'influence de la methode d'echantillonnage sur les taux d'infection a trypanosome des Glossina pallidipes et G. Fuscipes capturees
Résumé Des échantillons de Glossina pallidipes et G. fuscipes des deux sexes ont été récoltés à Lugala, Uganda, sur un buf en marche, sur un buf à l'arrêt, sur un véhicule se déplaçant lentement, dans des pièges, au repos, sur des hommes à l'arrêt, et sur des hommes en marche. Les nombres obtenus par les 7 méthodes sont indiqués mais le principal intérêt réside dans leurs taux d'infection.Pour les deux espèces il y eut des variations considérables entre les taux d'infection des échantillons recueillis et beaucoup de ces différences étaient persistantes sur plusieurs répétitions. Les femelles de G. pallidipes capturées sur les bufs et dans les pièges étaient plus infectées que celles capturées sur l'homme, sur le véhicule et au repos. Les mâles au repos de cette espèce avaient un taux d'infection élevé constant, tandis que les mâles capturés dans les pièges avaient le taux d'infection le plus élevé durant les premières captures et le plus bas durant les dernières captures. Les différences dans le taux d'infection étaient en liaison étroite avec les différences correspondantes dans l'âge moyen. Parmi les échantillons de G. pallidipes capturés sur bufs, et dans les pièges, les femelles avaient constamment un taux d'infection plus élevé que les mâles, tandis que parmi les captures sur le véhicule, sur l'homme, et chez les mouches au repos, les mâles avaient le taux d'infection le plus élevé.Les femelles de G. fuscipes capturées sur l'homme, et au repos avaient, avec une exception, des taux d'infection constamment plus élevés que celles recueillies par d'autres méthodes. Les mâles de cette espèce capturés buf au repos, sur véhicule et au repos avaient des taux d'infection constamment plus élevés. Le rapport entre l'âge moyen et le taux d'infection des différents échantillons était moins étroit que dans le cas de G. pallidipes.
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12.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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13.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
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14.
The cocoa-capsid Distantiella theobroma flies from its canopy substrate spontaneously but when disturbed first falls 1.2 to 1.9 m before flying. Adults are capable of flight 18 to 20 hr after the final moult. Flight is directly sunwards when the sun is low, but when it is high the bugs fly upwards in spirals and zigzags. Flight is terminated by the sight of vertical objects. Mean flight speed is 3.1±0.5 m/sec at 23°. Potential range is at least 1.1 km in females, 2.3 km in males. The other cocoa-capsid, Sahlbergella singularis, differs in being markedly nocturnal in its dispersal flights. Males fly far more often than females.Other factors affecting flight are discussed and the implications of the flight potential for control methods are mentioned. No part of Ghana's cocoa is out of range of colonisation by either species.
Résumé Le Capside du Cacao Distantiella theobroma s'envole spontanément et directement de son support, mais quand l'insecte est dérangé, il se laisse d'abord tomber et ne prend son vol qu'après une chute de 1,2 à 1,9 m. Les adultes sont capables de voler dans un délai de 18 à 20 h. après la dernière mue. Leur vol est orienté en direction du soleil quand celui-ci est bas sur l'horizon, mais s'il est haut l'insecte s'élève vers le ciel en effectuant des spirales et zig-zags. La vue de tout objet vertical provoque l'arrêt du vol et la pose sur ce support. La vitesse moyenne du vol est de 3,1±0,5 m/sec. à une température de 23°. Le rayon de vol est au moins de 1,1 km pour les femelles et de 2,3 km pour les mâles. L'autre punaise du cacao Sahlbergella singularis diffère de la précédente, ses vols de dispersion étant nettement nocturnes. Les mâles volent beaucoup plus souvent que les femelles.D'autres facteurs affectant le vol sont également discutés ainsi que les conséquences des potentialités de vol pour la mise au point de méthode de lutte. Toutes les zones du Ghana où se trouvent des plantations de cacao sont dans le périmètre de dispersion de chacune des deux espèces.
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15.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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16.
Short-term variations in the relative catch in each of two or three interacting pheromone traps for the pea moth,Cydia nigricana (F.), were investigated for traps aligned along the wind. The proportional catch in each trap varied widely, although the mean values accorded with previous estimates. Over consecutive short intervals during a single trapping period the proportion caught in the centre trap of a three-trap line was constant. The proportion caught in the upwind trap of two-and three-trap lines showed trends in time. These trends differed between trapping periods, but two lines of traps operated simultaneously gave similar results to each other. It is suggested that these results, which are predicted by a model based on various components of moth orientation behaviour, are caused by changes in systematic behavioural processes, not random effects. Possible mechanisms are discussed.
Variations à court terme des captures deCydia nigricana dans des pièges à phéromones en interaction
Résumé Des données antérieures concernant les interactions entre des pièges à phéromone alignés le long du vent ont été utilisées pour déduire les caractéristiques du comportement d'orientation deC. nigricana. Ces données ont été introduites dans un modèle de simulation quantitative qui prédisait que quand les captures totales sur une ligne ont été regroupées sur une période globale de piégage, la proportion capturée dans chaque piège devrait aussi avoir des valeurs moyennes semblables, mais varie plus largement que précédemment indiqué. Les simulations concernant des intervalles consécutifs beaucoup plus courts pendant la même période de piégage ont suggéré une forme spécifique de cette variation.Cette note signale des variations à court terme dans la proportion capturée au piège qui confirment ces prédictions. Nous montrons que sur des intervalles consécutifs brefs pendant une simple période de piégage, la proportion capturée dans le piège central d'une ligne de 3 pièges est contstante, bien que sa valeur change suivant les périodes de piégage. La proportion capturée dans le piège face au vent de 2 ou 3 lignes de pièges suit cette tendance dans le temps, ce qui est généralement bien représenté avec des courbes simples. Ces tendances changent suivant les périodes de piégage, mais des lignes de pièges fonctionnant simultanément fournissaient des résultats similaires. On suggère que ces résultats sont dus à des changements dans des processus comportementaux systématiques et non à des effects aléatoires. Les mécanismes possibles sont discutés.
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17.
Interspecific pheromone responses indicate that the sex pheromones of eight species of the genus Yponomeuta Latreille are species specific. Female calling activity reaches a peak in the dark period, but at times varying from 1 to 10 days for different species. The response of the males to some chemicals corresponds with electrophysiological reaction patterns found by Van der Pers & Den Otter (1978).
Résumé Le comportement de pariade a été observé au laboratoire chez huit espèces du genre Yponomeuta avec des photopériodes 16/8 (L/O).Pendant l'appel sexuel, caractérisé par l'abaissement en avant de l'abdomen, provoquant l'extrusion de ses derniers segments et l'exposition des glandes à phéromones, il y a libération de la phéromone femelle.Toutes les espèces d'Yponomeuta ont le même comportement d'appel, mais le moment de la scotophase où il est maximum et l'âge auquel il débute, diffèrent suivant les espèces.La réponse des mâles aux phéromones sexuelles a été déterminée par un test biologique simple. Chaque espèce d'Yponomeuta présente un âge caractéristique de réponse optimale des mâles. L'étude du comportement des mâles en présence d'extraits d'abdomen femelles montre que chaque espèce possède une phéromone spécifique.Le comportement des mâles en présence de certaines substances chimiques est moins net qu'avec les phéromones femelles, bien qu'en accord avec les observations électrophysiologiques d'autres auteurs.
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18.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
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19.
A simple artificial diet consisting of minced tea leaves and brewer's yeast was found to be suitable for mass-rearing the Tea Tortrix, Homona coffearia, in the laboratory. Growth and development on this diet approximated that observed in the field. At 24° and 75% R.H., the average larval periods were 22.4 days for males and 26.7 days for females while average pupal duration was 6 days for both. The average pupal weights were 35.7 mg for males and 72.2 mg for females. The survival of inoculated 1st-instar larvae to adults was 78% and oviposition rates were superior to those observed in the field. Additional dietary ingredients did not result in any further improvement, on the contrary, an excess supply of enzymatic hydrolysate of casein suppressed development.
Résumé Un aliment artificiel simple, formé d'un mélange de feuilles de thé hachées et de levure de brasserie s'est révélé convenable pour l'élevage de masse en laboratoire de la Tordeuse du thé Homona coffearia. La croissance et le développement sur ce milieu est très comparable à ceux observés dans la nature. A 24° et pour une humidité relative de 75%, la durée du développement larvaire est en moyenne de 22.4 jours pour les mâles et 26.7 jours pour les femelles, cependant que la durée du développement nymphal est en moyenne de 6 jours pour les deux sexes. Le poids moyen de pupes obtenues est de 35.7 mg pour les mâles et 72.2 pour les femelles.La survie moyenne du premier stade larvaire au stade adulte est de 78% et la ponte des femelles issues des élevages est supérieure à celle de femelles provenant de chrysalides récoltées dans la nature.L'addition de sucrose, d'acide linoléique, de chlorure de choline, d'acide ascorbique et de vitamines du groupe B n'apporte aucune amélioration, au contraire, un apport en excès d'hydrolysat enzymatique de caséine empêche le développement.
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20.
The Panzano strain of the migratory locust, Locusta migratoria, originating from North Italy, was used for laboratory experiments under conditions of either 12 or 16 hrs illumination per day. Preliminary experiments demonstrated that in this strain 16 hrs day-length led to delayed and reduced egg-laying, while 12 hrs day-length induced early and intensive oviposition. In subsequent experiments sexual behaviour of males kept under either regime of the photoperiod was observed in the presence of receptive females. Kept under 12 hrs day-length, males exhibited vigorous sexual behaviour, approximately at the same level of intensity from the 2nd till the 5th–6th week of the experiment. In contrast, under 16 hrs illumination the intensity of male sexual behaviour gradually increased from the 2nd till the 9th–10th week. Thus, photoperiod affected the intensity of male sexual behaviour in this strain.
Résumé La souche Panzano de Locusta migratoria provenant du nord de l'Italie, a été utilisée pour des expériences de laboratoire sous des conditions d'éclairement de 12 h ou 16 h par jour. Des expériences préliminaires avaient montré que chez cette souche, une durée d'éclairement de 16 h par jour retardait et réduisait la ponte, tandis qu'avec un éclairement de 12 h celle-ci était précoce et intense. Dans les expériences ultérieures on a observé le comportement sexuel de mâles, en présence de femelles réceptrices, alors qu'ils sont soumis à l'une ou l'autre de ces deux photopériodes. Maintenus sous une photopériode de 12 h les mâles montraient un comportement sexuel intense, se maintenant à peu près au même niveau de la seconde semaine jusqu'à la 5ème ou 6ème semaine de l'expérience. Au contraire, avec un éclairement de 16 h, l'intensité du comportement sexuel s'accroissait graduellement de la seconde semaine jusqu'à la 9ème ou 10ème semaine. Ainsi, la photopériode modifiait l'intensité du comportement sexuel mâle chez cette souche de Locusta migratoria.
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