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1.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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2.
Short-term variations in the relative catch in each of two or three interacting pheromone traps for the pea moth,Cydia nigricana (F.), were investigated for traps aligned along the wind. The proportional catch in each trap varied widely, although the mean values accorded with previous estimates. Over consecutive short intervals during a single trapping period the proportion caught in the centre trap of a three-trap line was constant. The proportion caught in the upwind trap of two-and three-trap lines showed trends in time. These trends differed between trapping periods, but two lines of traps operated simultaneously gave similar results to each other. It is suggested that these results, which are predicted by a model based on various components of moth orientation behaviour, are caused by changes in systematic behavioural processes, not random effects. Possible mechanisms are discussed.
Variations à court terme des captures deCydia nigricana dans des pièges à phéromones en interaction
Résumé Des données antérieures concernant les interactions entre des pièges à phéromone alignés le long du vent ont été utilisées pour déduire les caractéristiques du comportement d'orientation deC. nigricana. Ces données ont été introduites dans un modèle de simulation quantitative qui prédisait que quand les captures totales sur une ligne ont été regroupées sur une période globale de piégage, la proportion capturée dans chaque piège devrait aussi avoir des valeurs moyennes semblables, mais varie plus largement que précédemment indiqué. Les simulations concernant des intervalles consécutifs beaucoup plus courts pendant la même période de piégage ont suggéré une forme spécifique de cette variation.Cette note signale des variations à court terme dans la proportion capturée au piège qui confirment ces prédictions. Nous montrons que sur des intervalles consécutifs brefs pendant une simple période de piégage, la proportion capturée dans le piège central d'une ligne de 3 pièges est contstante, bien que sa valeur change suivant les périodes de piégage. La proportion capturée dans le piège face au vent de 2 ou 3 lignes de pièges suit cette tendance dans le temps, ce qui est généralement bien représenté avec des courbes simples. Ces tendances changent suivant les périodes de piégage, mais des lignes de pièges fonctionnant simultanément fournissaient des résultats similaires. On suggère que ces résultats sont dus à des changements dans des processus comportementaux systématiques et non à des effects aléatoires. Les mécanismes possibles sont discutés.
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3.
A novel olefinic analog, Z,Z-1,12,14-heptadecatriene, was synthesized from Z,Z-11,13-hexadecadienal, a major pheromone component of the navel orangeworm, Amyelois transitella (Walker) (Lepidoptera: Pyralidae), and evaluated as a potential disruptant of mating communication in commercial almond orchards. The effectiveness of the triene as a disruptant was compared to that of the aldehyde by evaluating the reduction in captures of feral males in female-baited traps and the reduction in mating success for females. The triene was highly effective in bringing about reductions in male captures in traps in all tests relative to controls. This effectiveness lasted as long as 5 weeks in one test and was influenced by type of dispenser, release rate and proximity of dispensers to female-baited traps. In none of the tests did the triene outperform the aldehyde in reducing male captures. The results of mating success tests showed the triene to be ineffective relative to controls (26% reduction) while the aldehyde yielded 100% reductions in matings during a 6-day period.
Résumé Le Z-Z-1,12,14-heptacécatriène, qui mime l'aldéhyde Z-Z-11,13-hexadécadénial, principal composé de la phéromone de A. transitella Walker, a été essayé pour interrompre les accouplements dans la nature. Un conditionnement avec plastique stratifié a mieux dispersé le triène que la présentation en capsules de polyéthylène. Comme dans le cas des autres produits examinés précédemment, ce triène a interrompu l'attraction sexuelle (réduction du nombre de mâles capturés dans les pièges, réduction du nombre d'accouplements) de A. transitella dans les vergers d'amandiers, pendant moins longtemps que l'aldéhyde. Placé dans des pièges contenant des femelles vierges, il est efficace comme l'aldehyde pendant 5 semaines, pendant 3 semaines lorsqu'il est placé autour des pièges et pendant 13 jours quand il est utilisé dans des parcelles de 9 arbres. Des essais ultérieurs avec d'autres présentations et des quantités plus élevées de triène devraient montrer si ce produit peut être utilisé pour l'interruption des accouplements. Les analogues de phéromones ont généralement une plus grande stabilité et un coût de synthèse moins élevé que les aldéhydes.
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4.
During large-scale field experiments in 1981 and 1982, designed to assess the effects of the insecticides Fenitrothion and Sumicidin (Fenvalerate) on beneficial arthropods in spring barley, significant increases in pitfall-trap catches of Pterostichus melanarius (Illiger) were observed in treated plots compared to untreated controls, several weeks after treatment. Significantly more female P. melanarius were caught in treated plots during these post-treatment increases. Corresponding decreases were observed in prey populations following treatments. Individual female P. melanarius from treated plots had significantly fewer of their gut areas full of solid (arthropod) food when compared to those from untreated control plots.Earlier workers observed both faster recapture rates in pitfalls and higher mobility in hungry carabid beetles. The following hypothesis is suggested: reducing prey populations by the application of insecticides results in hungrier carabid beetles with consequently higher activity. Since pitfall-trap catch is determined not only by population size but also activity, it is argued that pitfall-trap catches alone cannot give a true measure of the effects of insecticides on carabid populations in the field.
Relations entre les captures de Pterostichus melanarius (Col.; Carabidae) dans des trappes, le contenu de l'intestin, et la densité de proies, dans des parcelles d'orge de printemps traitées ou non
Résumé Au cours d'essais à grande échelle, effectués en 1981 et 1982, sur orge de printemps, pour évaleur l'effet des insecticides Fenitrothion et Sumicidine (fenvalerate) sur les arthropodes utiles, un accroissement significatif des captures, dans des trappes pièges de Barber, de Pterostichus melanarius (Illiger) a été observé plusierus semaines après le traitement dans les lots traités par rapport aux lots témoins. Significativement plus de femelles de P. melanarius ont été capturées dans les parcelles traitées pendant cette période d'accroissement après traitement.Une diminution correspondante dans les populations de proies a été observée à la suite des traitements.Chaque femelle de P. melanarius des parcelles traitées avait une fraction significativement moins importance de son intestin remplie d'aliments solides (arthropodes) que celles des parcelles non traitées.Des auteurs précédents avaient observé des taux de capture plus rapides dans les trappes et ne plus grande mobilité des carabes affamés. La réduction des populations proies par l'application d'insecticides affamerait les carabes dont l'activité serait par suite plus élevée. Comme le taux de captures dans les trappes est dû à la fois à la taille de la population et à son activité, on en déduit que la capture par trappes seule ne peut donner une image exacte de l'effet des insecticides sur les populations de carabes dans les champs.
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5.
Samples of males and females of G. pallidipes and G. fuscipes were collected at Lugala, Uganda, by seven different methods. There were marked differences between the infection rates of the various samples. In the case of G. pallidipes the differences in infection rate were closely associated with differences in mean age of the samples, but in the case of G. fuscipes the agreement was less close.
L'influence de la methode d'echantillonnage sur les taux d'infection a trypanosome des Glossina pallidipes et G. Fuscipes capturees
Résumé Des échantillons de Glossina pallidipes et G. fuscipes des deux sexes ont été récoltés à Lugala, Uganda, sur un buf en marche, sur un buf à l'arrêt, sur un véhicule se déplaçant lentement, dans des pièges, au repos, sur des hommes à l'arrêt, et sur des hommes en marche. Les nombres obtenus par les 7 méthodes sont indiqués mais le principal intérêt réside dans leurs taux d'infection.Pour les deux espèces il y eut des variations considérables entre les taux d'infection des échantillons recueillis et beaucoup de ces différences étaient persistantes sur plusieurs répétitions. Les femelles de G. pallidipes capturées sur les bufs et dans les pièges étaient plus infectées que celles capturées sur l'homme, sur le véhicule et au repos. Les mâles au repos de cette espèce avaient un taux d'infection élevé constant, tandis que les mâles capturés dans les pièges avaient le taux d'infection le plus élevé durant les premières captures et le plus bas durant les dernières captures. Les différences dans le taux d'infection étaient en liaison étroite avec les différences correspondantes dans l'âge moyen. Parmi les échantillons de G. pallidipes capturés sur bufs, et dans les pièges, les femelles avaient constamment un taux d'infection plus élevé que les mâles, tandis que parmi les captures sur le véhicule, sur l'homme, et chez les mouches au repos, les mâles avaient le taux d'infection le plus élevé.Les femelles de G. fuscipes capturées sur l'homme, et au repos avaient, avec une exception, des taux d'infection constamment plus élevés que celles recueillies par d'autres méthodes. Les mâles de cette espèce capturés buf au repos, sur véhicule et au repos avaient des taux d'infection constamment plus élevés. Le rapport entre l'âge moyen et le taux d'infection des différents échantillons était moins étroit que dans le cas de G. pallidipes.
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6.
After a chill (5°) period of >16 weeks, the mean post-chill time to initial hatch of eggs of the western corn rootworm, diabrotica virgifera, was 19 days; peak hatch occurred a mean of 5 days after the initiation of hatch, and hatch lasted a mean of 5 weeks. The postchill time to initial hatch was influenced negatively by chill periods lasting up to ca. 3 weeks; however, chilling for >3 weeks and <60 weeks did not significantly affect the time to initial hatch. The duration of hatch was not significantly altered by chill periods up to 4 weeks, however, no longer had an effect. The viability of rootworm eggs was not influenced by chill periods up to 12 weeks, but, as chill periods were extended beyond 16 weeks, the eggs slowly begin to lose viability; over a period of about a year, the viability had been reduced by 80%.
Résumé Après avoir été exposés, avant expérimentation, à un séjour de 2 semaines à une température de 20°–22°, des ufs de Diabrotica virgifera sont soumis à des périodes de refroidissement à 5°, variant de 1 à 60 semaines. La viabilité des ufs est appréciée après retour à une température d'incubation de 20°–22°, en analysant les variations qui affectent le délai d'apparition des premières et des dernières éclosions ainsi que le maximum journalier d'éclosions.Aprés un séjour à 5° d'une durée égale ou supérieure à 16 semaines les ufs de Diabrotica virgifera commencent à éclore en moyenne le 19ème jour suivant la fin du traitement; le maximum des éclosions intervient le 23ème jour (5 jours en moyenne après les premières éclosions), et celles-ci se prolongent pendant 5 semaines.Des périodes de refroidissement inférieures à 3 semaines réduisent le délai d'apparition des premières éclosions, mais ce délai n'est plus modifié de façon significative pour des périodes comprises entre 4 et 60 semaines.La durée pendant laquelle se prolongent les éclosions n'est pas altérée de façon significative par des traitements à 5° inférieurs à 4 semaines, mais celle-ci est nettement réduite aprés des traitements de 8 à 12 semaines. Cependant au-delà de 16 semaines, le refroidissement n'a plus d'effet.La viabilité des ufs de Diabrotica virgifera n'est pas modifiée par des traitements à 5° d'une durée inférieure à 12 semaines, mais celle-ci est affectée au-delà de 16 semaines et décroît régulièrement; le taux d'éclosion est réduit de 80% après un séjour à 5° de près d'un an.
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7.
Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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8.
Des tanins condensés sont extraits et isolés à partir du tégument de Vicia faba var. Géante Portugaise. Quatre polymères sont quantifiés et identifiés à quatre fractions: A, B, C et D. Ces fractions sont incorporées, en mélange ou séparées à différentes concentrations, dans un milieu nutritif favorable au développement de Callosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae).Les composés phénoliques provoquent la mortalité d'une partie de la population et retardent le développement des survivants. La mortalité observée varie suivant les fractions, leurs doses et le stade de développement de la bruche.La barrière constituée par le tégument des fèves est bien de nature chimique et concerne les tanins condensés.Dans un système de production agricole, l'utilisation des cultivars de fèves riches en tanins faiblement condensés pourrait permettre de réduire les taux d'infestation des graines de V. faba par C. maculatus.  相似文献   

9.
The effects of plant age and growing conditions on the wound-induced responses of tomatoes (Lycopersicon esculentum Mill) was studied. The impact of these variables on the suitability of tomato foliage as food was assessed both by growth rates of neonate Manduca sexta Johannson larvae and by radiometric assay for proteinase inhibitor concentration. Plant quality (as assessed by M. sexta growth rates) was decreased by wounding regardless of plant age or environmental conditions at the time of wounding. The decrease in quality was not necessarily associated with increased concentrations of proteinase inhibitor. When tested directly, high concentrations of proteinase inhibitor did not affect larval growth rates. Induction of foliar proteinase inhibitors in response to wounding was found to peak while the plants were young and decrease as the plants matured.
Résumé Le feuillage de pieds de tomates (Lycospersicon esculentum Mill) a été endommagé à différents âges et dans différentes conditions écologiques. Les modifications de sa valeur alimentaire ont été testées avec des chenilles néonates de Manduca sexta Johannson et par des dosages radiométriques de sa concentration en inhibiteurs de protéïnase. Des plantes endommagées à 2 semaines provoquent une croissance larvaire plus lente que des plantes endommagées à 2 semaines provoquent une croissance larvaire plus lente que des plantes endommagées à 4 semaines. Des plantes soumises à une forte intensité lumineuse et à des températures élevées lors de leur altération provoquent une croissance larvaire plus lente que des plantes maintenues en serre pendant cette période. Les changements de la qualité des plantes mis en évidence par les taux de croissance larvaire n'étaient pas liés à l'importance de l'induction des inhibiteurs de protéïnase dans le feuillage. Quand les plantes sont endommagées à 3 jours d'intervalle, 10 à 30 jours après la germination, l'induction des inhibiteurs de protéïnase est maximale le 16e jour et diminue ensuite. M. sexta se développe aussi bien sur les feuilles mûres de tomate, qu'elles contiennent ou non des concentrations élevées en inhibiteurs de protéïnase. Ces résultats montrent que la blessure a un impact négatif sur la valeur comme aliment pour M. sexta du feuillage de tomate, qui ne dépend pas de la quantité d'inhibiteurs de protéïnase induite dans les feuilles.
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10.
Very simply constructed aquatic sticky light traps employing a chemical solution emitting a bright light attracted large numbers of all larval instars, but few pupae of Aedes cantans in trials in England. During April numbers of larvae per trap ranged from 73±14.2 to 163±19.9, whereas dipping with a ladle yielded only 6.9±5.5 to 11.8±7.7 larvae/dip. The traps were also effective in sampling larvae of Culiseta morsitans and in Sierra Leone larvae of Aedes aegypti. It was concluded that sticky light traps could be valuable in sampling relative numbers of mosquito larvae and merited further evaluation.
Résumé Des pièges adhésifs lumineux faciles à réaliser sont construits pour les captures des larves de moustiques. Ils sont formés de paires de boîtes de Pétri en plastique contenant une solution émettrice de lumière provenant de bâtons lumineux chimiques Cyalume®. Chaque piège est recouvert d'une feuille de plastique de 16×16 cm enduite d'une substance qui reste adhésive sous l'eau. Les larves de moustiques attirées vers la source lumineuse viennent se coller à la feuille adhésive.Ces pièges ont été utilisés avec succès en Angleterre pour l'échantillonnage de tous les stades larvaires d'Aedes cantans, mais pas avec le même efficacité pour les nymphes. Des tests plus restreints ont montré que la technique était également utilisable pour les larves de Culiseta morsitans. Les nombres moyens d'A. cantans capturés pendant une piode de 12 h (73±14,2–163±19,9) étaient supérieux à ceux obtenus en plongeant une louche (6,9±5,5–11,8±7,7). En utilisant les pièges adhésifs lumineux, les captures moyennes de C. morsitans étaient également supérieures (12,6±4,7–35,8±8,9) contre (5,7±6,1–8,9±7,8) avec la méthode de la louche.En Sierra Leone, des stades larvaires immatures d'A. aegypti se développant dans des containers de stockage d'eau ont également pu être capturés à l'aide de ces pièges.Bien qu'une évaluation plus poussée soit encore nécessaire, il ne fait aucun doute que ces pièges adhésifs lumineux aient un intérêt considérable pour l'échantillonnage larvaire dans les sites inaccessibles, tels que les trous d'arbres ou les trous de crabes, où les méthodes d'échantillonage classiques sont souvent d'un emploi difficile.
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11.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

12.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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13.
Rates of dispersal of adult Dacus oleae Gmel. were measured on Corfu during June and early July using grids of McPhail traps. When released into an area with no new season fruit crop the mean distance travelled by the flies was over 400 m during the first 7 days. When released at an earlier stage into an olive grove with 30% of trees bearing a fruit crop estimated dispersal rates were lower (approx. 180 m in 7 days). These results indicate that adults which emerge in late May and June in areas with no new season fruit crop, which is a common situation because of the biannual fruiting cycle of the olive tree, start to disperse immediately despite the hot dry conditions and immaturity of the fruit in other areas. The significance of these findings in relation to current control strategies is discussed.
Résumé En 1977 et 1979, la dispersion des adultes de Dacus oleae a été étudiée en juin-juillet sur deux sites de l'île de Corfou, afin de réunir des informations concernant leur comportement en été. Des adultes élevés au laboratoire, et marqués à l'émergence avec une poudre fluorescente, ont été libérés dans une oliveraie au centre d'un réseau de trappes McPhail contenant un attractif d'hydrolisat de protéines et disposées en forme de croix. Les mouches capturées étaient prélevées régulièrement et examinées au laboratoire sous lumière ultraviolette. L'analyse des captures de mouches marquées a permis de définir la distance moyenne parcourue après le lâcher en fonction du temps (Fletcher & Economopoulos, 1976).La distance moyenne parcourue par les mouches la première semaine était de plus de 400 m si le lâcher avait lieu dans une oliveraie dépourvue de fruits; elle était de quelque 180 m si le lâcher avait lieu plus tôt, dans une oliveraie dont 30% des arbres portaient des fruits. Il est done plausible que les adultes émergeant en mai-juin dans des oliveraies dépourvues de fruits—situation courante à Corfou en raison de la fructification en général cyclique et synchronisée tous les deux ans des oliviers—se déplacent aussitôt en dépit du climat sec et chaud et de l'absence de fruits mûrs alentour. Les résultats montrent qu'en été, les mouches quittent leur zone d'émergence si les olives mûrissantes font défaut pour se concentrer dans des oliveraies portant de nouveaux fruits, confirmant ainsi le bien-fondé de la lutte actuellement pratiquée à Corfou.
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14.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
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15.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

16.
A respirometer is described that operates with a flowing gas stream. The respirometer is based on the use of two differential gas analyzers in series, a paramagnetic oxygen analyzer and a diaferometer that can be applied with low rates of airflow (1500–300 ml/h). Techniques for drying the gas stream and calibration and the consecutive steps in calculating the respiration rate are given in detail. The respirometer makes it possible to measure continuously the respiration rate of undisturbed, actively feeding caterpillars of Pieris brassicae L. (Pieridae: Lepidoptera) during their complete final instar, involving a net growth from 100 to 400 mg fresh body weights in a 90 h period. Caterpillar respiration (l O2/individual/h) showed a certain time pattern in the course of the final instar, which differed from the pattern in the weight-specific rate (l O2/mg fresh weight/h). Maximum rates were considerably lower on an artificial diet than on leaf material of a host plant, Brassica oleracea L. Both an alternative artificial diet containing a lower protein level and an alternative host plant affected both the time pattern in respiration rate and total respiration over the instar. The coefficient of variation in rate of carbon dioxide production between individuals varied between 1.8 and 6.3%. Intraindividual variation was less than 3%. Differences between closed-vessel respirometry and the flow-through system presented are discussed.
Résumé La respiration des insectes a généralement été mesurée dans des systèmes à récipient clos comme l'appareil de Gilson, parfois équipés pour un apport électronique d'oxygène. Le respiromètre décrit dans cet article fonctionne avec un écoulement de gaz. II est basé sur l'utilisation de 2 analyseurs différentiels de gaz montés en série et d'un diaféromètre qui peut être employé avec des flux faibles (1.500–3.000 ml/h). Des détails sont fournis sur les techniques utilisées pour assécher le courant de gaz et le calibrer, et impliquées par les étapes ultérieures du calcul du taux de respiration. Le respiromètre rend possible la mesure en continu de la respiration de chenilles de Pieris brassicae (Lep.: Pieridae), pendant l'alimentation et sans les perturber. La respiration des derniers stades a été enregistrée pendant 90 heures, pendant lesquelles la croissance nette s'est traduite par une augmentation du poids frais de 100 mg à 400 mg. La respiration des chenilles (l O2/individu/h) présente une structuration temporelle au cours du dernier stade, montrant une croissance régulière pendant les 50 premières heures du stade, suivie d'une stabilisation pendant 10–15 h, avec ensuite une rapide diminution jusqu'à la nymphose.Le respiromètre a été utilisé pour examiner les effets éventuels de l'alimentation sur la respiration. Les taux maximaux sont nettement plus bas sur alimentation artificielle que sur feuilles de Brassica oleracea L. Le temps nécessaire pour obtenir la nymphose était plus long en alimentation artificielle. Dans des expériences particulières, un régime alimentaire artificiel alterné contenant une faible teneur en protéines et une plante différente ont été fournis à un groupe de chenilles, et comparé aux résultats d'un groupe témoin ayant eu accès au régimé artificiel examiné pendant leur développement jusqu'au dernier stade. Le régime alterné affecte aussi bien la structure temporelle de la respiration que la respiration totale pendant le stade. Le quotient respiratoire a oscillé entre 0,90 et 1,15 et a été fortement affecté par le type de régime alimentaire. Le taux de respiration en fonction du poids (l O2/mg poids frais/h) a atteint un maximum (2,15 fois la valeur initiale) après 15 h dans les groupes alimentés sur plante, tandis qu'avec le régime artificiel standard, le maximum (1,45) n'a été atteint qu'après 53 h. Après obtention du maximum, la biomasse est devenue, en considération du poids, métaboliquement moins active.Le coefficient de variation du taux de production de CO2 entre individus s'est situé entre 1,8 et 6,3%. La variation intraindividuelle était inférieure à 3%. En associant les observations de comportement aux mesures individuelles de respiration des chenilles, on a constaté que le taux maximal de respiration était invariablement précédé par une prise d'aliment ayant cessé 5 à 6 minutes avant. La discussion a porté sur la comparaison du système à écoulement avec la respirométrie en récipient clos.
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17.
The squash bug, Anasa tristis DeGeer (Heteroptera: Coreidae), is a major pest of cultivated cucurbits in much of North America. Its seasonal population dynamics are determined in large part by the early season phenological adaptations of the overwintered adults. Squash bugs were maintained on pumpkin, Cucurbita moschata Duchesne (Cucurbitaceae), seedlings. Factors influencing the termination of diapause in squash bugs were studied. Squash bugs transferred from outdoors to long-day conditions during their prediapause period in October (when the respiratory rate declines to diapause levels) required longer to terminate diapause than squash bugs transferred in the winter after the prediapause period was completed. Females did not oviposit after up to 150 days in short-day conditions. Squash bugs maintained outdoors under natural photoperiods remained in diapause until at least late April. Food was shown to be necessary for the prompt termination of diapause.
Résumé A. tristis (Hétéropt.: Coreidae) est un ravageur important des cucurbitacées dans une grande partie de l'Amérique du Nord, particulièrement de Cucurbita spp. Les événements phénologiques du début de la saison conditionnent la dynamique de population pour la saison entière. Cette étude concerne l'influence de la photopériode et de l'alimentation dans l'achèvement de la diapause. Les adultes ont été maintenus sur des plantules de Cucurbita moschata Duchesne (var. Libbey's Select). La diapause était établie par la mesure du taux respiratoire et par l'absence de ponte. La diapause était surveillée chez des insectes maintenus à l'extérieur en conditions naturelles, leurs taux respiratoires se maintenaient au taux correspondant à la diapause jusqu'à la fin avril au moins. Placés après novembre en jours longs et à 25°C, la diapause s'interrompait rapidement. Ceux transférés en jours longs plus tôt ont interompu leur diapause mais ont demandé plus de temps pour réagir au changement de photopériode. Transférés à 25°C mais en jours courts, leur diapause n'était pas interrompue jusqu'à la fin de l'expérience 150 jours plus tard. L'alimentation est nécessaire pour une interruption rapide de la diapause en jours longs. L'alimentation associée à des jours longs ou croissants semble nécessaire à l'achèvement de la diapause de A. tristis dans les conditions naturelles.
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18.
The hypothesis that arbivorous insects are protein limited was tested by feeding larvae of Datana ministra mature leaves of Tilia americana that were coated with a mixture of protein. Larvae fed the protein supplement had a lower ingestion rate and net growth efficienty but higher apparent digestion efficiency and apparent assimilation rate than control larvae. Protein supplement had no effect on the rate of growth of 5th instar larvae although larvae fed added protein pupated at a lower weight than control larvae. The added protein placed a metabolic load on the larvae, perhaps by excessive nitrogen excretion demands and osmotic imbalance. The results do not support the hypothesis that arbivorous insects are protein limited.
Résumé L'hypothèse suivant laquelle la croissance des larves d'insectes est limitée par l'insuffisance des protéines disponibles dans les feuilles d'arbres a été examinée par l'alimentation des chenilles de Datana ministra Drury sur feuilles développées de Tilia americana L. enduites d'une mixture de protéines d'oeuf et de lait. Des chenilles de second stade, prélevées dans des colonies naturelles, ont été séparées en un lot témoin élevé en masse sur feuilles coupées et un lot expérimental élevé sur feuiles coupées mais enduites de protéines. Le bilan en matière sèche, le taux de croissance, la relation entre ce taux de croissance et la quantité de matière ingérée, le poids des prénymphes ont été déterminés sur 10 chenilles de dernier stade dans chaque lot. Les chenilles ayant consommé un supplément de protéine ont présenté un plus faible taux d'ingestion et un plus faible rendement de croissance, mais une meilleure efficacité apparente d'ingestion et un meilleur taux apparent d'assimilation que les témoins.Le complément protéique n'a pas eu d'effet sur le taux de croissance des chenilles de 5ème stade bien que l'alimentation avec addition de protéines ait provoqué la nymphose à un poids larvaire plus faible. L'addition de protéines avait provoqué une chargé métabolique pour les chenilles, peut-être en provoquant une demande d'excrétion d'azote excessive ou en créant un déséquilibre osmotique, ce qui aurait provoqué une réduction du taux de croissance et du poids des chenilles malgré un taux d'assimilation supérieur. Ces résultats ne confirment pas l'hypothèse que les insectes des arbres sont carencés en protéines.
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19.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
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20.
Euphyllura phillyreae Foerster (Homoptera: Aphalaridae) which infests olive trees in Greece, is monovoltine and has an aestival-autumnal-hibernal reproductive dormancy as an adult which starts in June. Adult females collected periodically from June through February were maintained for 4 weeks at 12L:12D and 20° L:18° D, then the stage of ovarian development was recorded.In the field, diapause was terminated between mid December and early January. Subsequently, the insects remain in reproductive quiescence until February or early March when environmental conditions allow ovarian development and reproduction.In females collected in June, summerlike laboratory conditions, followed by winterlike, and then by springlike conditions were effective for diapause termination. Springlike conditions alone, or preceded by only summerlike or only by winterlike conditions were not effective. In females collected in August the requirement for summerlike conditions was much less or nil.
Résumé Euphyllura phillyreae Foerster qui s'attaque sur l'olivier en Grèce, est une espèce oligophage, monovoltine, qui a une dormance reproductive aestivo-autumno-hivernale au stade adulte, qui commence en juin.Des femelles adultes ont été ramassées par les arbres périodiquement de juin au février et maintenues pendant 4 semaines à 12L:12D et 20° L:18° D. Après cette période, le stade du développement des ovaires a été le critère de la termination de leur diapause. La diapause fut considéré comme terminée quand au moins 50% des femelles avaient leurs ovaires au stade III ou même plus avancées.La diapause fut terminé entre mi-decembre et début janvier. En suite, les insectes restent à une quiescence reproductive jusqu'au février ou début de mars, lorsque les conditions environmentales permettent le développement des ovaires et la reproduction.Des femelles ramassées en juin et en août ont été soumises à certaines conditions de photopériode et de temperature en laboratoire, pour faire terminer leur diapause. Pour celles ramassées en juin, qui étaient au commencement de leur diapause, des conditions semblables à l'été, suivies par des conditions semblables à l'hiver et puis par des conditions semblables au printemps furent effectives pour la termination de la diapause. Seules des conditions semblables au printemps, ou précédées par des conditions semblables seulement à l'été, ou seulement à l'hiver, ne furent pas effectives. Pour les femelles ramassées en août, le besoin pour des conditions semblables à l'été fut beaucoup moin ou nul.
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