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1.
Visual host finding and form recognition by the cabbage root fly, Delia radicum, were studied using four shapes of yellow sticky traps as plant models. Cross, disc, and Y traps caught similar numbers of flies. Cross traps caught more females than vertical or horizontal rectangular traps. Black borders did not increase rectangle trap catches. Discs (8 cm diam.) at ground level caught more females than discs at 40 cm above ground. Larger discs (11.2 and 13.8 cm diam.) caught more females per trap than 8 cm diam. discs, but not as many per unit area.Volatile mustard oils were added to sticky cross traps as single and multiple-component baits. Traps with multiple-component baits did not consistently catch more females than single baited traps. Yellow traps baited with isothiocyanates caught 4–7 times as many females as clear plastic allylisothiocyanate (ANCS)-baited traps.Results indicated yellow discs or crosses at ground level beited with ANCS effectively monitored female D. radicum. Main factors affecting landing of female D. radicum are suggested to be color of substrate, height above ground, presence of host volatiles in vicinity, visual prominence, and area of attractive color. The view that host finding in some insects is mediated by complex responses to multichannel stimuli was supported.
Résumé L'étude de la perception visuelle et de la reconnaissance des formes par les D. radicum adultes a été réalisée en utilisant des pièges jaunes gluants de quatre formes différentes comme leurres de plantes. Des pièges en croix, en disque et en Y ont permis la capture des mêmes nombres de mouches. Plus de femelles ont été capturées avec des pièges en croix qu'avec des pièges rectangulaires verticaux ou horizontaux. Les captures n'ont pas augmenté avec des pièges bordés de noir. Des disques de 8 cm de diamètre disposés au niveau du sol ont permis la capture de plus de femelles que des disques à 40 cm au-dessus du sol. La capture par piège a été supérieure avec des pièges de 11,2 et 13,8 cm de diamètre qu'avec ceux de 8 cm, mais moindre par unité de surface.Des essences volatiles de moutarde ont été ajoutées aux pièges en croix comme appâts simples ou composés. Les pièges avec appâtes composés n'ont pas été significativement plus efficaces que les pièges à appâts simples. Les pièges jaunes appâts avec de l'isothiocyanata ont entraîné la capture de 4 à 7 fois plus de mouches que des pièges en plastique transparent appâtés avec de l'allylisothiocyanate (ANCS). Les résultats ont montré que des disques ou des croix jaunes appâtés avec de l'ANCS au niveau du sol permettent d'organiser un avertissement agricole contre D. radicum. Les principaux facteurs intervenant dans l'atterrissage des femelles de D. radicum semblent être la couleur du substrat, l'élévation audessus du sol, le contraste visuel, la présence de substance de l'hôte dans le voisinage, et l'aire d'attractivité de la couleur. En conclusion, il est exact de considérer que la perception de l'hôte est provoquée chez quelques insectes par une réponse complexe à des stimuli multicanaux.
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2.
Short-term variations in the relative catch in each of two or three interacting pheromone traps for the pea moth,Cydia nigricana (F.), were investigated for traps aligned along the wind. The proportional catch in each trap varied widely, although the mean values accorded with previous estimates. Over consecutive short intervals during a single trapping period the proportion caught in the centre trap of a three-trap line was constant. The proportion caught in the upwind trap of two-and three-trap lines showed trends in time. These trends differed between trapping periods, but two lines of traps operated simultaneously gave similar results to each other. It is suggested that these results, which are predicted by a model based on various components of moth orientation behaviour, are caused by changes in systematic behavioural processes, not random effects. Possible mechanisms are discussed.
Variations à court terme des captures deCydia nigricana dans des pièges à phéromones en interaction
Résumé Des données antérieures concernant les interactions entre des pièges à phéromone alignés le long du vent ont été utilisées pour déduire les caractéristiques du comportement d'orientation deC. nigricana. Ces données ont été introduites dans un modèle de simulation quantitative qui prédisait que quand les captures totales sur une ligne ont été regroupées sur une période globale de piégage, la proportion capturée dans chaque piège devrait aussi avoir des valeurs moyennes semblables, mais varie plus largement que précédemment indiqué. Les simulations concernant des intervalles consécutifs beaucoup plus courts pendant la même période de piégage ont suggéré une forme spécifique de cette variation.Cette note signale des variations à court terme dans la proportion capturée au piège qui confirment ces prédictions. Nous montrons que sur des intervalles consécutifs brefs pendant une simple période de piégage, la proportion capturée dans le piège central d'une ligne de 3 pièges est contstante, bien que sa valeur change suivant les périodes de piégage. La proportion capturée dans le piège face au vent de 2 ou 3 lignes de pièges suit cette tendance dans le temps, ce qui est généralement bien représenté avec des courbes simples. Ces tendances changent suivant les périodes de piégage, mais des lignes de pièges fonctionnant simultanément fournissaient des résultats similaires. On suggère que ces résultats sont dus à des changements dans des processus comportementaux systématiques et non à des effects aléatoires. Les mécanismes possibles sont discutés.
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3.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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4.
A novel olefinic analog, Z,Z-1,12,14-heptadecatriene, was synthesized from Z,Z-11,13-hexadecadienal, a major pheromone component of the navel orangeworm, Amyelois transitella (Walker) (Lepidoptera: Pyralidae), and evaluated as a potential disruptant of mating communication in commercial almond orchards. The effectiveness of the triene as a disruptant was compared to that of the aldehyde by evaluating the reduction in captures of feral males in female-baited traps and the reduction in mating success for females. The triene was highly effective in bringing about reductions in male captures in traps in all tests relative to controls. This effectiveness lasted as long as 5 weeks in one test and was influenced by type of dispenser, release rate and proximity of dispensers to female-baited traps. In none of the tests did the triene outperform the aldehyde in reducing male captures. The results of mating success tests showed the triene to be ineffective relative to controls (26% reduction) while the aldehyde yielded 100% reductions in matings during a 6-day period.
Résumé Le Z-Z-1,12,14-heptacécatriène, qui mime l'aldéhyde Z-Z-11,13-hexadécadénial, principal composé de la phéromone de A. transitella Walker, a été essayé pour interrompre les accouplements dans la nature. Un conditionnement avec plastique stratifié a mieux dispersé le triène que la présentation en capsules de polyéthylène. Comme dans le cas des autres produits examinés précédemment, ce triène a interrompu l'attraction sexuelle (réduction du nombre de mâles capturés dans les pièges, réduction du nombre d'accouplements) de A. transitella dans les vergers d'amandiers, pendant moins longtemps que l'aldéhyde. Placé dans des pièges contenant des femelles vierges, il est efficace comme l'aldehyde pendant 5 semaines, pendant 3 semaines lorsqu'il est placé autour des pièges et pendant 13 jours quand il est utilisé dans des parcelles de 9 arbres. Des essais ultérieurs avec d'autres présentations et des quantités plus élevées de triène devraient montrer si ce produit peut être utilisé pour l'interruption des accouplements. Les analogues de phéromones ont généralement une plus grande stabilité et un coût de synthèse moins élevé que les aldéhydes.
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5.
Mixed cropping carrots with onions reduced attacks by carrot fly,Psila rosae Fab., on carrots andThrips tabaci Lind. on onions, compared with those on carrots and onions inmonoculture. Increased plant density also reduced the numbers of carrot-willow aphid,Cavariella aegopodii Scop., Carabid and staphylinid predators ofP. rosae eggs were trapped in higher numbers on the intercropped plots with higher onion:carrot plant density ratios (PDR) over bothP. rosae generations but losses of exposed markedP. rosae eggs were not consistent with these differences. In addition, the PDR treatment effect was greatest when the carrots were intercropped with young onions and virtually ineffective once the onions began to bulb.Over 90% of adultP. rosae trapped entering carrot plots were female and the majority approached the plots upwind at a height of <40 cm above the ground possibly in response to the carrot odour. Row-intercropping with onions caused fewer flies to enter the plots. Mixed cropping of carrots with onions probably reducedP. rosae attack by the onion volatiles disturbing host-plant finding particularly when the onions were young. Mixed cropping with the French marigold,Tagetes patula L. was ineffective. C. aegopodii was not directly affected by intercropping as wasT. tabaci, the latter being reduced in numbers by increased PDR possibly due to reduced apparancy of the onion plants.
Effet de l'association culturale sur quelques insectes attaquant carottes et oignons
Résumé L'association culturale des carrottes et des oignons réduit les attaques dePsila rosae Fab sur carottes et deThrips tabaci Lind sur oignons, par rapport aux monocultures. L'accroissement de la densité végétale réduit de même le nombre de pucerons de la carotte,Cavariella aegopodii Scop. Les carabes et staphylins prédateurs d'oeufs dePsila rosae sont piégés en plus grand nombre en culture alternée avec une densité élevée (PDR) d'oignons et de carottes, pendant les 2 générations deP. rosae; mais les pertes d'oeufs marqués exposés deP. rosae ne confirment pas ces différences. De plus, l'effet du PDR est plus important quand les carottes alternent avec de jeunes oignons et virtuellement sans effet quand les bulbes des oignons commencent à se former. Plus de 90% des adultes deP. rosae piégés en entrant dans les parcelles de carottes étaient des femelles, et la majorité se dirigeait face au vent à moins de 40 cm au dessus du sol, vraisemblablement en réponse à l'odeur de carotte. L'alternance avec des rangs d'oignons limite le nombre de mouches pénétrant dans les parcelles. L'association de carottes et d'oignons a réduit probablement les attaques deP. rosae par l'action de substances volatiles des oignons, en perturbant la découverte de la plante hôte, particulièrement quand les oignons étaient jeunes. L'association avecTagetes patula L. n'a pas eu d'effet. C. aegopodii n'a pas été directement affecté par l'association comme l'étaitT. tabaci, l'effectif de ce dernier ayant pu être limité par un PDR élevé qui aurait réduit l'individualisation des pieds d'oignons.
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6.
A method of field application of strontium chloride (SrCl2) and the assessment of local dispersal of marked Helicoverpa armigera moths in a mark-capture experiment in southern India are described. A 1.7 ha field of pigeonpea sustaining a population of approximately 400,000 larvae was treated with a single application of SrCl2 plus surfactant at 10 kg/ha, using a motorised high volume sprayer. An estimated 50,400 moths emerging over a 20 day period were unequivocally marked with Sr at a marking efficiency of 55%. Catches of moths in an array of 14 battery operated light traps and 29 pheromone traps, up to 3.5 km distant were analysed by atomic absorption spectrophotometry. Low recaptures of marked moths (7%) in the treated field suggested the rapid exodus of emergent moths, even while the crop remained attractive, and their dilution or replacement by immigrants. The distribution of marked moths in lights and pheromone traps is consistent with a predominantly downwind dispersal close to the ground during the early part of the night and more random movement later on.
Résumé L'exposé concerne une méthode de traitement en champ des chenilles par le chlorure de strontium (SrCl2) et de la mesure de la dispersion locale des papillons marqués de H. armigera Hübner (Lépido.: Noctuida) dans le sud de l'Inde. Un champ de 1,7 ha de C. cajan (cultivar ICPL138) qui hébergeait une population d'environ 400 000 chenilles a été traité en une seule fois avec un pulvérisateur motorisé de forte capacité à raison de 10 kg/ha de SrCl2 additionné de 0,1% Triton X-100 comme surfactant. 55% des 50 400 papillons émergeant sur une période de 20 jours étaient sans ambiguïté marqués au strontium. Les papillons, capturés dans des rangées de 14 pièges lumineux et 33 pièges à phéromones attractifs jusqu'à 3,5 km, ont été examinés au spectrophotomètre à absorption atomique. Les faibles recapturés (7%) dans le champ traité suggèrent un rapide exode des mouches ayant émergé ou leur remplacement par des immigrants. Les captures révèlent, au début de la nuit, une dispersion majoritairement dans le sens du vent, près du sol et, plus tard dans la nuit, un mouvement plus au hasard.
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7.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

8.
Very simply constructed aquatic sticky light traps employing a chemical solution emitting a bright light attracted large numbers of all larval instars, but few pupae of Aedes cantans in trials in England. During April numbers of larvae per trap ranged from 73±14.2 to 163±19.9, whereas dipping with a ladle yielded only 6.9±5.5 to 11.8±7.7 larvae/dip. The traps were also effective in sampling larvae of Culiseta morsitans and in Sierra Leone larvae of Aedes aegypti. It was concluded that sticky light traps could be valuable in sampling relative numbers of mosquito larvae and merited further evaluation.
Résumé Des pièges adhésifs lumineux faciles à réaliser sont construits pour les captures des larves de moustiques. Ils sont formés de paires de boîtes de Pétri en plastique contenant une solution émettrice de lumière provenant de bâtons lumineux chimiques Cyalume®. Chaque piège est recouvert d'une feuille de plastique de 16×16 cm enduite d'une substance qui reste adhésive sous l'eau. Les larves de moustiques attirées vers la source lumineuse viennent se coller à la feuille adhésive.Ces pièges ont été utilisés avec succès en Angleterre pour l'échantillonnage de tous les stades larvaires d'Aedes cantans, mais pas avec le même efficacité pour les nymphes. Des tests plus restreints ont montré que la technique était également utilisable pour les larves de Culiseta morsitans. Les nombres moyens d'A. cantans capturés pendant une piode de 12 h (73±14,2–163±19,9) étaient supérieux à ceux obtenus en plongeant une louche (6,9±5,5–11,8±7,7). En utilisant les pièges adhésifs lumineux, les captures moyennes de C. morsitans étaient également supérieures (12,6±4,7–35,8±8,9) contre (5,7±6,1–8,9±7,8) avec la méthode de la louche.En Sierra Leone, des stades larvaires immatures d'A. aegypti se développant dans des containers de stockage d'eau ont également pu être capturés à l'aide de ces pièges.Bien qu'une évaluation plus poussée soit encore nécessaire, il ne fait aucun doute que ces pièges adhésifs lumineux aient un intérêt considérable pour l'échantillonnage larvaire dans les sites inaccessibles, tels que les trous d'arbres ou les trous de crabes, où les méthodes d'échantillonage classiques sont souvent d'un emploi difficile.
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9.
Comparative studies on the relative efficiency of two types of trap, commonly used for catching Glossina pallidipes Austin, the Langridge Box Screen (LBS) and the Awning Screen Skirt(ASS), were carried out for two allopatric populations of this species in Kenya. The relative efficiency of the two traps is different in the two populations. The ASS is more efficient than the LBS in collecting flies of one population, but not of the other. The test of independence indicates that the sex ratio in the catches is independent of the type of trap, but dependent on the population. The results indicate that the ASS is preferable to the LBS for sampling G. pallidipes. It is concluded that the difference in efficiency is related to behavioral differences between the flies of the two populations.
Résumé Deux types de pièges, utilisés fréquemment pour capturer Glossina pallidipes, — le Langridge Box Screen (LBS) et le Awning Screen Skirt (ASS) — ont été comparés sur deux populations allopatriques au Kenya. Deux pièges de chaque type ont été utilisés, soit quatre pièges dans chaque zone. L'étude des influences du site a été introduite. L'efficacité relative des deux types de pièges est différente pour les deux populations. ASS capture plus de Glossina pallidipes que LBS dans une population, mais pas dans l'autre. Un test d'indépendance (G. test) montre que le taux sexuel est indépendant du type de piège, mais pas de la population.Dans chaque zone, des nombres significativement différents de mouches ont été capturées dans les quatre sites, mais il n'y avait que de faibles différences entre les taux sexuels et les taux de captures de LBS et ASS. Ces dernières ne peuvent cependant, expliquer les différences observées entre les deux zones. La densité de population et les méthodes de capture ne peuvent expliquer — par suite de l'influence du site — les résultats différents des deux types de pièges entre les deux zones; on peut en conclure que les différences sont provoquées par des comportements différents des deux populations.ASS est le type de piège le plus efficace pour capturer Glossina pallidipes. Dans les deux zones, ASS capture le plus grand nombre de mouches, sans altération du taux sexuel, et présente le plus faible facteur de variation.
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10.
Investigations on the flight activity of adult Balanogastris kolae (Desbr.) in relation to infestation of kola nuts in the field were conducted using light, suction and impaction traps. Adult weevils were not attracted to light, and catches in suction traps at three heights up to 1.8 m were negligible and only made at 10.00 and 11.00 h (GMT + 1h). Catches on impaction traps showed a decrease with increase in the height of the traps up to 2.2 m.Low weevil catches with increase in the height of the impaction traps compared to the significantly high weevil infestation on the ground litter and at the upper parts (3 m) of the canopy, is attributable to the large numbers of dehisced pods unharvested in the canopy and those that have subsequently dropped onto the litter.Prompt harvesting of mature pods before dehiscence, and removal of overripe, dehisced and dropped pods from the debris will minimize the incidence of weevil infestation in the field.
Résumé Des recherches sur l'activité de vol de l'adulte de Balanogastris kolae ont été entreprises en utilisant des pièges lumineux, des pièges à succion et des pièges adhésifs, afin d'établir un rapport entre cette activité et le degré d'attaque des noix de Kola par ce charançon.Les charançons adultes ne sont pas attirés par la lumière; les captures dans les pièges à succion installés à trois niveaux différents, jusqu'à 1 m 80 de haut, sont négligeables et interviennent seulement entre 10h.00 et 11h.00 (GMT + 1h.). Les captures dans les pièges adhésifs diminuent avec la hauteur d'emplacement de ceux-ci, jusqu'à 2 m 20.Le petit nombre de captures de charançons en rapport avec l'emplacement à une hauteur croissante des pièges adhésifs, mis en parallèle avec l'infestation élevée constatée au niveau du sol et au sommet (3 m.) de la frondaison, peut être attribué au grand nombre de coques ouvertes non récoltées qui demeurent dans la partie haute de l'arbre et de celles qui sont tombées sur le sol.La récolte immédiate des noix mûres avant leur déhiscence et l'élimination de celles ayant passé le stade de la maturité qui ont éclaté et sont tombées sur le sol, devrait considérablement réduire le taux d'infestation par le charançon dans la nature.
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11.
In an isolated olive grove of approximately 350 trees, one yellow sticky trap combined with an ammonium acetate slow-release dispenser was hung in every tree of the large fruit varieties at the end of June or beginning of July for 3 consecutive years. In September, when small fruit varieties were becoming suitable for Dacus oleae (Gmelin) infestation, similar traps were also hung in all trees of these varieties, and the traps in the large fruit trees were replaced by new ones. All traps were removed at the end of December or in January, when harvest of the olive crop was completed. The olive fly population was low in the 1st year, while in the 2nd and 3rd it was high and very high, respectively.In the 1st year, the infestation in the experimental grove was kept very low and was comparable to, or even lower, than the infestation in olive groves treated with insecticides. In the 2nd year, in most cases the infestation was between 15–30%, while in the insecticide-treated groves it remained below 10%. In the 3rd year the infestation reached levels above 80% while in the insecticide-treated groves it reached levels between 30–45%.
Résumé Un piège gluant jaune associé à un diffuseur libérant lentement de l'acétate d'ammonium, a été suspendu dans chaque arbre d'une variété à gros fruits. L'expérience a eu lieu dans une oliveraie isolée de 350 arbres environ, pendant 3 années consécutives à la fin juin et au début juillet. En septembre, quand les variétés à petits fruits deviennent convenables pour la contamination par D. oleae, des pièges sont suspendus à tous les arbres de ces variétés, les pièges sur les arbres à gros fruits sont alors remplacés. Tous les pièges sont enlevés find décembre ou en janvier, quand la récolte des olives est terminée.En 1982, les températures maximales étaient chaque semaine très élevées de mi-juin à miseptembre (33°C et plus), tandis qu'elles n'étaient atteintes en 1983 et 1984 que de fin juin à mi-août. La population de mouches de l'olive était basse en 1982, tandis qu'elle était élevée en 1983 et très élevée en 1984.La première année (à population faible) l'attaque est restée basse et était comparable ou même plus faible à celle observée dans les oliveraies traitées avec insecticides. La seconde année (population élevée) elle était le plus souvent de 15 à 30% tandis que dans les oliveraies traitées, elle restait inférieure à 10%. La 3è année (population très élevée) l'attaque atteint 80% tandis que dans les oliveraies traitées, elle était de 30 à 45%.
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12.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
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13.
Second-stage integrated management of apple arthropod pests   总被引:2,自引:0,他引:2  
To date, integrated pest management (IPM) of arthropods in commercial apple orchards has been comprised almost exclusively of a suite of what we term first-stage IPM practices focused upon pest monitoring. These practices predict first appearance, rate of development, and abundance of pest and beneficial arthropods, which leads to recommendation of selective properly-timed pesticides as the sole tactic of controlling pests not effectively suppressed by beneficials. Here, we evaluated in Massachusetts the effectiveness of what we term second-stage IPM practices. These involved integration of pesticidal control of early season apple arthropod pests and behavioral, cultural and biological control of mid and late season apple arthropod pests in the absence of insecticide and acaricide application after mid June. The behavioral approach consisted of ringing the perimeter of several apple orchard blocks (each ca. 1 ha) with sticky-coated red spheres baited with synthetic apple odor to intercept immigrating Rhagoletis pomonella (Walsh) flies. The cultural approach focused on removing unmanaged host trees in a ring around the orchard block perimeter to prevent entry of Cydia pomonella (L.) and Argyrotaenia velutinana (Walker) females. The biological approach emphasized buildup of natural enemies of foliar pests in an orchard environment free of insecticide and acaricide use after mid June.During the second year (1988) of second-stage IPM implementation, test blocks in which baited red spheres were placed 5 m apart on perimeter apple trees and in which all unmanaged host trees within 100 m of the block perimeter had been removed received only 0.6% combined fruit injury by the above and all other pests active after mid June. Nearby blocks treated under first-stage IPM practices received 0.4% combined injury from such pests. As revealed by unbaited within-block monitoring traps, comparatively few R. pomonella flies penetrated the ring of interception traps, despite the large numbers caught on the latter. Beneficial predators of pest mites and aphids were nearly twice as common in second-stage as first-stage IPM blocks. Total cost was essentially the same for second-stage as first-stage IPM practices. But we propose a potentially much less costly, labor-saving method as a substitute for using a sticky substance to control R. pomonella flies alighting on perimeter-tree spheres.
Résumé A ce jour, la lutte intégrée (IPM) contre les arthropodes des vergers commerciaux de pommiers, —que nous nommons IPM de première génération —, est conçue presque exclusivement comme une suite de pratiques focalisées sur l'interception des insectes nuisibles. Ces pratiques calculent d'abord la date d'apparition, la vitesse de développement et l'abondance des phytophages et des entomophages, conduisant à l'épandage à des dates appropriées d'insecticides sélectifs, comme seule tactique de protection contre les phytophages qui ne sont pas supprimés efficacement par des entomophages.Nous avons examiné au Massachusetts l'efficacité de ce que nous avons appelé le seconde génération d'IPM. Elle implique l'intégration de la lutte chimique contre des insectes consommateurs précoces, et de la lutte comportementale, culturale et biologique contre les insectes de pleine saison et tardifs, sans traitements insecticides ou acaricides des pommiers à partir de la mi-juin.L'approche comportementale consiste à encercler plusieurs massifs de pommiers (chacun de 1 ha) avec des sphères rouges engluées d'odeur synthétique de pommier pour intercepter les vols de Rhagoletis pomonella Walsh. L'approche culturale est concentrée sur l'élimination autour du verger des pommiers non inclus dans le programme de protection pour empêcher la pénétration de femelles de Cydia pomonella L. et Argyrotaenia velutinana Walker. L'approche biologique insiste sur la mise en place après la mi-juin des entomophages des ennemis du feuillage dans un verger sans insecticide ni acaricide.Pendant la seconde année (1988) de l'application du programme, les fruits attaqués par tous les phytophages après la mi-juin n'ont été que de 0,6% pour les parcelles d'arbres témoins dans lesquels les pièges rouges avaient été placés tous les 5 mètres sur les arbres du pourtour et dont les arbres non inclus dans l'expérience, avaient été enlevés sur une bande de 100 m autour de la parcelle. Des parcelles proches, traitées avec IPM première génération, avaient un taux d'attaque de 0,4% par les mêmes espèces d'arthropodes. Par rapport aux parcelles sans sphères rouges, relativement peu de R. pomonella ont pénétré au-delà de la rangée de pièges, malgré le grand nombre de mouches capturées dans ceux-ci. Les prédateurs d'acariens et de pucerons nuisibles étaient 2 fois plus abondants dans les parcelles protégées par IPM de deuxième génération, que dans celles protégées par IPM de première génération. Les coûts totaux sont à peu près les mêmes, mais nous proposons une méthode potentiellement beaucoup moins coûteuse, demandant moins de maind'uvre, par remplacement l'utilisation de la glue sur les sphères comme protection contre la pénétration de R. pomonella dans la parcelle.
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14.
The interaction of ultraviolet (UV=350–400 nm) and visible (VISIBLE=400–650 nm) wavelengths in the visual behaviour of the onion fly, Delia antiqua (Meigen), was examined by measuring spontaneous alightment on various UV- and non-UV-reflecting, sticky cardboard traps in onion fields. Alightment on traps was negatively correlated with the percent UV (350 nm) and green (540–580 nm) reflectance and positively correlated with the percent blue (430–470 nm) reflectance. Alightment varied directly with the ratio of stimulatory/inhibitory reflected wavelengths. Males and females were similar in their response to both UV and VISIBLE wavelength reflectance, with the exception that males were more sensitive than females to UV-reflecting white surfaces. A multiple regression model, that used the intensity of 3 key wavelengths, 350, 450 and 560 nm, as independent variables, explained 90% of the variation in the combined male and female response to spectral reflectance from traps. These results indicate that some visual behaviours of D. antiqua are a function of the integration of sensory input from the entire spectral distribution of the stimulus, and not simply the dominant wavelengths or hue.
Résumé L'interaction des ondes ultraviolettes (UV=350–400 n nm) et des ondes visibles (VISIBLE=400–650 nm) sur le fonctionnement visuel de la mouche de l'oignon, Delia antiqua, a été examinée par le mesurage des descentes spontanées sur des pièges variés, construits de carton gluant, qui reflète le UV ou non, dans des champs d'oignons. Les descentes furent en rapport négativement avec le pour-cent de la réflexion de l'UV (350 nm) et du vert (540–580 nm), et en rapport positivement avec la réflexion du bleu (430–470 nm). Le chiffre des descentes était en rapport directement avec la porportion stimulantes/inhibitantes des ondes reflétées. Les mâles et les femelles étaent comparables en leurs réponses aux ondes UV et VISIBLES reflétées, sauf que les mâles fussent plus sensibles que les femelles aux surfaces blanches et UV-reflétantes. Une modèle d'analyse multiple de regression qui prenait en considération les intensités des trois ondes significatives, 350, 450 et 560 nm, en tant que les variables indépendants, a expliqué 90% de la variation en la réponse combinée des mâles et des femelles à la réflexion spectrale des pièges. Ces resultats indiquent que quelques fonctionnements visuels de la D. antiqua sont une fonction des données sensorielles de la distribution spectrale entière du stimulus, pas seulement une fonction des ondes dominantes ou de la teinte.
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15.
Pitfall traps baited with a lure containing a new pheromone component were used to catch adult Prostephanus truncatus (Horn) (Coleoptera: Bostrichidae) in the field in Tanzania. Traps baited with a mixture of Trunc-call (T1) and the new component Trunc-call (T2) caught ten times as many insects as traps baited with T1 alone. The data demonstrate for the first time that mixtures of T1 and T2 can be used as effective lures to trap P. truncatus in the field, and that P. truncatus is widespread outside of farm buildings in Africa.
Résumé Des pièges contre P. truncatus Horn, appâtés avec un leurre contenant une nouvelle phéromone ont été utilisés dans la nature en Tanzanie. Les pièges appâtés avec un mélange de Trunc-call 1 (T1) et du nouveau composé Trunc-call 2 (T2) capturent 10 fois plus d'insectes que ceux appâtés avec T1 seul. Ces résultats montrent pour la première fois que des mélanges de T1 et T2 peuvent être utilisés efficacement pour leurrer P. truncatus dans la nature, et que P. truncatus est abondant autour des fermes en Afrique.
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16.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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17.
The cabbage root fly, Delia radicum (L.), was deterred from laying eggs on cauliflower plants that had been sprayed with a suspension of the frass of caterpillars of the garden pebble moth, Evergestis forficalis (L.). Polar extracts of the frass deterred oviposition irrespective of the cruciferous plant species on which the caterpillars had been feeding. Non-polar extracts of the frass had no effect. Spraying plants with macerates from Brassica leaves stimulated fly oviposition whereas spraying plants with macerates from garlic mustard leaves deterred fly oviposition. Macerates from the leaves of all other plants tested had no effect. In field experiments the deterrent effect persisted 2–3 days after leaves were sprayed with frass extracts. Plants infested with feeding caterpillars and contaminated with only a few discrete frass pellets were as deterrent to the fly as those sprayed with frass suspensions.
Résumé D. radicum a évité de pondre sur des pieds de chou-fleur, qui avaient été pulvérisés avec une suspension d'excréments d'E. forficalis. Les extraits polaires de ces excréments empêchent la ponte quelle que soit l'espère de crucifère sur laquelle les chenilles se sont alimentées. Les extraits non polares sont sans effet. Dans la nature, l'action dissuadante persiste 2 à 3 jours après la pulvérisation des feuilles avec les extraits d'excréments. La pulvérisation tous les deux jours a maintenu l'action dissuadante. Des plantes contaminées par des chenilles en train de s'alimenter et souillées par quelques crottes sont aussi dissuadantes pour la mouche que celles pulvérisées avec une suspension d'excréments.
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18.
Traps baited with Z11-16:Ac, Z11-16:Ald, Z11-16:OH, and Z13-18:Ac, singly or in mixtures, were tested for their attractivity for males of microlepidoptera in an apple orchard, a mixed deciduous forest, and a coniferous forest. In particular, Z11-16:Ac and Z11-16: Ald attracted some Crambinae, one Glyphipteryx species, and several species of Argyresthia, including the injurous species A. fundella (on fir), A. conjugella (on apple), A. pruniella (on cherry), and A. thuiella (on Thuja).
Attraction sexuelle de microlépidoptères des sous-familles Argyresthiinae, Glyphipteryginae et Crambinae par des hexadécènes 11Z
Résumé L'attraction de microlépidoptères par des hexadécènes 11Z a été examinée en 1982 et 1983 à l'aide de pièges sexuels placés dans différents biotopes de Hollande. Ces pièges contenaient différents mélanges synthétiques d'acétoxy-1-hexadécènes 11Z (Z11-16:Ac), d'hexadécènal 11Z (Z11-16:Ald), d'hexadécénol 11Z (Z11-16:OH) et d'acétoxyl-1-octadécène 13Z (Z13-18:Ac). Les pièges étaient placés dans un verger de pommiers, dans un bois de feuillus aux essences diverses et dans un bois de résineux. Des mâles de 10 espèces de lépidoptères ont été capturés avec ces mélanges, parmi lesquels ceux de 3 espèces de Pyralidae, d'une espèce du genre Glyphipteryx et de 6 espèces du genre Argyresthia. Parmi les Argyresthia, certaines espèces sont considérées comme des déprédateurs: A. fundella sur sapin (Abies), A. conjugella sur pommier (Malus), A. pruniella sur cerisier (Prunus) et A. thuiella sur Thuja. Enfin, un tableau fournit 28 produits contenant des hexadécènes Z11 actuellement connus comme attractifs sexuels de microlépidoptères; la majorité des espèces appartient aux sous-familles Crambinae, Argyresthiinae, Glyphipteryginae et Acrolepiinae.
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19.
Loblolly pine (Pinus taeda L.) produces an induced defensive hypersensitive response in inner bark colonized by the southern pine beetle, Dendroctonus frontalis Zimm. (Coleoptera: Scolytidae), and its associated fungi. Adult beetles forced to colonize the induced response tissue in a laboratory study constructed galleries that were the same length as adults boring in normal phloem. However, each female laid fewer eggs in the induced tissue. Larval and pupal mortality were also higher in this tissue when compared to surrounding phloem. Beetles colonizing trees in response to pheromone baits constructed less gallery and laid fewer eggs in induced tissue than in surrounding normal phloem. These results suggest that the lesions produced by the induced defense system in conifers may not only contain the growth of fungi inoculated into trees during the attack phase of beetle colonization, but may also affect survival of bark beetle progeny.
Résumé Une réaction hypersensible de défense a été induite dans les couches profondes de l'écorce de P. taeda colonisée par D. frontalis et le champignon qui lui est associé. Au laboratoire, des adultes, contraints de coloniser les tissus où une réaction hypersensible e été induite, ont foré des galeries de même longueur que celles creusées dans du phloème sain. Cependant les femelles ont pondu moins d'oeufs dans les tissus induits; les mortalités larvaires et nymphales étaient aussi plus fortes dans ce tissu que dans le phloème voisin. Les scolytes, ayant colonisé les arbres après attraction par des pièges à phéromones, forent moins de galeries et pondent moins d'oeufs dans le tissu induit que dans le phloème sain voisin. Ces résultats suggèrent que les lésions, provoquées par le système de défense induit des conifères, peuvent non seulement limiter la croissance du champignon inoculé dans l'arbre au cours de la colonisation des scolytes, mais aussi affecter la survie des descendants dans l'écorce.
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20.
Alate female Rhopalosiphum padi (L.) were trapped alive in suction traps in autumn, 1986–1988. Alate exules and gynoparae were identified by the morph of their offspring. Gynoparae largely replaced alate exules in September indicating that most of the population were holocyclic even in southern England where the primary host, Prunus padus L., is scarce. However, a few alate exules occurred throughout the autumn indicating that a proportion of the population is anholocyclic. A morph intermediate between alate exules and gynoparae occurred at low frequency throughout the autumn. Alate exules and gynoparae preferred barley and P. padus, respectively, on which to settle and larviposit; gynoparae were less selective than exules possibly due to an incomplete physiological switch from a preference for Gramineae to P. padus on which the sexual cycle is completed. Intermediate individuals preferred to settle on P. padus, but their virginoparous and oviparous nymphs were produced on barley and P. padus respectively. Intermediate morphs maintained under continuous short day conditions (L12 : D12) produced mainly apterous virginoparae with males occurring at the end of their reproductive live; intermediates occurred occasionally amongst the apterae. It is proposed that intermediates are a programmed component of the morph structure and have the potential to contribute to both the holocyclic and anholocyclic portions of the population.
Résumé Des femelles de R. padi L. ont été capturées vivantes dans des pièges a succion en 1986–88. Les ailés exules et les gynopares ont été identifiés par le morphe de leurs descendants. Les gynopares ont remplacé généralement les ailés exules en septembre, ce qui montre que la majorité de la population est holocyclique même dans le sud de l'Angleterre où l'hôte primaire, Prunus padus L., est rare. Cependant, quelques ailés exules se maintiennent pendant l'automne montrant qu'une partie de la population est anholocyclique. Au cours de l'automne, on observe un morphe intermédiaire entre les ailés exules et les gynopares. Les exules ailés et les gynopares préfèrent respectivement l'orge et P. padus, sur lesquels ils s'installent et produisent des larves; les gynopares étaient moins sélectifs que les exules, peut-être par suite d'une rupture physiologique incomplète de leur préférence pour l'orge sur laquelle ils se développent rendant moins impérative leur attraction par P. padus sur lequel leur cycle sexuel est complet. Les individus intermédiaires préfèrent s'établir sur P. padus, mais leur larves virginipares et ovipares sont produites respectivement sur oreg et sur P. padus. Les morphes intermédiaires maintenus en jours courts (L12/N12) ont donné surtout des virginipares aptères les mâles apparaissant à la fin de leur vie; des intermédiaires sont apparus occasionnellement parmi les aptères. Les intermédiaires seraient une composante programmée de la structure polymorphe et contribueraient à la fois à l'apparition des fractions holocyclique et anholocyclique de la population.
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