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1.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

2.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

3.
Résumé Après l'invasion de la Nouvelle-Calédonie en 1985 parHeteropsylla cubana Crawford, psylle ravageur de la légumineuseLeucaena leucocephala (Lam.) de Wit, le coccinellide auxiliaireOlla v-nigrum Mulsant a été introduit depuis Tahiti, au début de 1987, et ses principaux paramètres biologiques ont été étudiés en conditions contr?lées. A 25,7°C (24,6/26,8) la valeur médiane de la durée du développement pré-imaginal est 16,5 jours, de la ponte de l'œuf à l'adulte. A 25,8°C (25/26,6), en adoptant le taux d'éclosion observé sur les pontes de femelles sauvages, la multiplication par génération R0=201,4, le taux intrinsèque d'accroissement rm=0,165, et la durée moyenne de génération T=32,2 j. En tenant compte de la baisse de fertilité observée en cours d'étude de la cohorte, ces valeurs deviennent: R0=153,9, rm=0,160, T=31,4 j. Comparées à celles mesurées pour d'autres proies, ces valeurs impliquent une bonne adaptation trophique àH. cubana, qui est toxique pour la plupart des prédateurs polyphages. En juillet 1989,O. v-nigrum était déjà établi sur la majeure partie de la Nouvelle-Calédonie.   相似文献   

4.
Résumé La persistance des conidiospores deNomuraea rileyi (F.) Samson à la surface du couvert végétal a été étudiéein situ en culture de féverole (?Féverole 1 et 2?) et de chou. L'effet du rayonnement solaire sur la survie du germe a été analysé, d'une part, dans des microparcelles recouvertes d'écrans sélectifs arrêtant les radiations de longueurs d'onde inférieures à 320 nm (UV A+) ou à 400 nm (UV) ou par un écran total vis-à-vis du rayonnement direct (RYT) et, d'autre part, dans une microparcelle découverte (RYT+). Les conditions microclimatiques ont été suivies pendant toute la durée des expérimentations et le contr?le de l'activité résiduelle du champignon a porté essentiellement sur le dénombrement des spores viables sur milieu nutritif après mise en suspension d'un broyat des échantillons de feuilles prélevés sur le terrain. Dans le cas des variantes expérimentales (RYT+) et (RYT) le potentiel infectieux a été éprouvé sur des larves deSpodoptera littoralis Boisd. (Lépidoptère Noctuidae) alimentées pendant 24 h avec des rondelles de feuilles recueillies dans le couvert. La durée de demi-vie de l'inoculum sporal est étroitement liée à l'ensoleillement; par temps clair elle peut atteindre un minimum de 3,6 h (?Féverole 1?), alors que dans les microparcelles totalement protégées du rayonnement direct, elle est supérieure à 40 h. Les données d'activité pathogène confirment l'inactivation de l'inoculum soumis au rayonnement solaire. Parallèlement, le recours aux écrans transparents (UV A+) ou opaques (UV) au proche ultra-violet (320–400 nm) a permis de démontrer clairement l'effet léthal de l'UV A naturel sur les conidiospores deN. rileyi, dont les demi-vies peuvent être réduites jusqu'à 4 fois (?Féverole 1?: XUV A +=11,6 h au lieu de XUV−=48,2 h). A partir de ces résultats, on estime que par temps ensoleillé en été, le potentiel d'inoculum deN. rileyi exposé au rayonnement solaire direct peut chuter de 104 fois en une semaine, alors que par temps couvert cette réduction n'aurait été que de 100 fois. Avec la collaboration technique deH. Vermeil de Conchard.  相似文献   

5.
The authors — all members of the recently established O.I.L.B. working group — give in this first report a brief introduction into the pest problem and the biological, economic and environmental aspects which are favourable for the application of genetic control methods againstR. cerasi.
Résumé En vue du développement des recherches sur la Mouche des cerises en Europe, un groupe de travail de l'O.I.L.B. pour la lutte génétique contreRhagoletis cerasi a été formé par les 4 auteurs. Des contributions du groupe seront désormais publiées sur le problème de la lutte autocide sous ce titre. Les hautes exigences imposées par le marché à la qualité intérieure et extérieure des cerises de table et de conserves d'une part, les pertes financières importantes causées par la disqualification des fruits infestés pour la distillation d'autre part, exigent des moyens de lutte efficaces. L'influence des mesures de lutte sur la biocénose doit cependant être minime. Les possibilités et avantages ainsi que les limites de l'application de la lutte génétique sont discutés en fonction de la situation favorable des points de vue topographique, écologique et biologique. En conclusion, la situation pour l'application de la lutte génétique peut être jugée favorable dans des cas choisis. Les taches de recherche qui en résultent sont commentées et complétées par un exposé sur la situation actuelle des travaux en cours.


First Report of the O.I.L.B. working group on genetic control of the European cherry fruit fly,Rhagoletis cerasi L.  相似文献   

6.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

7.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti. Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement 8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air, la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant un an et demi. A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu plus favorables aux élevages.   相似文献   

8.
Résumé La variabilité de la sensibilité des larves de la noctuelle égyptienne du coton,Spodoptera littoralis Boisduval à l'hyphomycète entomopathogèneNomuraea rileyi (Farlow) Samson a été abordée en étudiant la variabilité interclonale du champignon et la variabilité de l'insecte-h?te à travers des populations d'origines géographiques différentes. En raison de la polyphagie de l'espèce-cible, l'influence de la plante-h?te sur la sensibilité des larves phytophages a aussi été prise en compte. Les traitements ont consisté à exposer les larves à un inoculum sporal déposé par pulvérisation sur des rondelles de feuille calibrées pendant 24 h. L'activité pathogène, à l'égard des larves du 1er stade, des 12 clones monosporaux de la soucheN. rileyi 5 varie significativement (TL50 compris entre 4,7 et 6,2 j à la dose de 3.104 spores/cm2). Cette variabilité intraspécifique observée à un moment donné est néanmoins du même ordre que la variabilité de l'activité de la souche-mère polyclonale, relevée sur une période de 4 ans (TL50 compris entre 4,5 et 6,6 j). Les 3 populations originaires d'Isra?l, d'Egypte et du Maroc ont présenté une sensibilité comparable àN. rileyi 5 après contamination des larves nouveau-nées avec des doses croissantes d'inoculum (DL50 comprises entre 0,7.104 et 1,1.104 spores/cm2 et TL50 compris entre 5,1 et 5,5 j à la dose de 3.104 spores/cm2). L'alimentation des larves, depuis l'éclosion, sur 4 espèces végétales: chou, coton, féverole ou aubergine, n'a pas modifié significativement la sensibilité des larves du 3e stade (DL50 comprises entre 0,3.103 et 0,7.103 spores/cm2 et TL50 compris entre 4,0 et 4,3 j à la dose de 3.104 spores/cm2). La souche polyclonaleN. rileyi 5 para?t bien adaptée à la noctuelle égyptienne du coton en raison de sa stabilité, de son agressivité à l'égard des populations d'origines géographiques différentes et de l'absence d'effet de l'alimentation des larves sur l'infection.   相似文献   

9.
Drosophila melanogaster (Meigen) was used to test the power of isofemale lines in preserving genetic variability. We performed experiments in two ways. One series consisted of measuring the genetic variability for three enzymatic loci in 32 isofemale lines, in the first and 23rd generations of culture. In the second series, we tested the capacity of the larvae to eliminate a parasitoid by encapsulation after eight years of laboratory breeding. In general, individual isofemale lines appeared to change during the 23 generations of the study, but the global frequency of these alleles among the 32 isofemale lines stayed relatively unchanged. The only rare allele observed was also conserved. Changes in allozyme frequencies at any one locus were independent of those at other loci. Genetic variation of a biological trait, the capacity of the larvae to encapsulate a parasitoid, also changed, but it could be restored to a level close to that of the starting population by mass hybridizing together individuals of each line.
Résumé D. melanogaster (Meigen) a été utilisé pour tester la capacité des lignées isofemelles à conserver la variabilité génétique d'une population naturelle. Deux types d'expériences ont été réalisées. L'une a consisté à déterminer la variabilité génétique de 3 locus enzymatiques pour 32 lignées isofemelles à la première et à la 23ème génération d'élevage au laboratoire. L'autre a consisté à tester la capacité des larves à éliminer un parasito?de par le processus d'encapsulation après 8 années d'élevage au laboratoire. D'une fa?on générale, certaines lignées isofemelles perdent de la variabilité durant les 23 générations de l'étude. Mais la fréquence globale des allèles reste inchangée si l'on considère l'ensemble des 32 lignées. Le seul allèle rare observé a également été conservé. Les modifications des fréquences allèliques à chacun des locus ont lieu de fa?on indépendante les unes des autres. La variabilité génétique d'un caractère biologique, la capacité des larves à encapsuler le parasito?de, a également varié, mais elle a pu être restaurée à un niveau proche de la population initiale en rassemblant plusieurs individus de chacune des lignées.
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10.
Root flies,Delia radicum (L.) andD. floralis (Fallén) (Diptera: Anthomyiidae), trapped in swede crops in the south of Scotland, were infected withStrongwellsea castrans Batko and Weiser (Zygomycetes: Entomophthorales). The pathogen was associated mainly with females of the 1st and 2nd generations ofD. radicum and of the single generation ofD. floralis. Disease incidence showed time-lagged density dependence. Greatest sustained infection levels were recorded in the coolest wettest season. Higher proportions ofD. radicum were infected in the headland than in the crop. Unbaited yellow water traps caught greater proportions of infected flies than traps baited with mustard oil (allyl isothiocyanate). The reasons for high levels of infection in Scotland are discussed.
Résumé Les mouches des racines,Delia radicum (L.) etD. floralis (Fallén) [Diptera: Anthomyiidae] attrapées dans la culture du rutabaga dans le sud de l'écosse, étaient contaminées parStrongwellsea castrans Batko & Weiser [Zygomycetes: entomophthorales]. Le pathogène était surtout associé aux fe nelles de la lère et de la 2ème générations deD. radicum et de la seule génération deD. floralis. Les cas de maladie montraient avec retard leur dépendance avec la densité des mouches. Les niveaux d'infection les plus grands étaient enregistrés pendant la saison la plus froide et la plus humide. Les bordures en friche des parcelles hébergeaient de plus grandes proportions deD. radicum infectés que les cultures. Des pièges jaunes sans appat ont attrapé de plus grandes proportions de mouches que lorsqu'ils étaient appatés avec de l'huile de moutarde (allyl-isothiocyanate). Les raisons qui expliquent pourquoi les niveaux d'infection en écosse sont plus élevés qu'ailleurs sont discutées.
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11.
A. Kiyindou  G. Fabres 《BioControl》1987,32(2):181-189
Résumé Hyperaspis raynevali Mulsant est une coccinelle prédatrice dePhenacoccus herreni Cox & Williams en Guyane. Elle a été introduite au Congo pour particier à la régulation des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Avant les lachers de plein champ, une étude a été conduite au laboratoire pour tenter de quantifier son pouvoir de multiplication et comparer ce dernier à celui des coccinelles locales précédemment étudiées. La capacité d'accroissement d'une population deP. raynevali est de 0,081 (rc deLaughlin) dans les conditions du laboratoire avec un taux net de reproduction de 271,7 et une durée de génération de 69 jours. La durée du développement préimaginal est sensiblement allongée aux températures inférieures à 25°C et la mortalité embryonnaire reste élevée aux différentes conditions thermohygrométriques testées.   相似文献   

12.
Des adultes et des larves deC. septempunctata ont été observés individuellement dans un champ de blé afin de préciser, au cours de la journée et en fonction de la saison, leur distribution sur le végétal, la durée des principales séquences de leur comportement et leurs relations avec les pucerons. Au début du printemps, cette espèce thermophile est présente sur le sol et sur les feuilles basses des talles où elle est très mobile. Les adultes font très fréquemment la toilette des appendices de la tête. En juin, la population larvaire et imaginale se regroupe sur la partie supérieure des talles où se trouvent les pucerons. A cette époque, l'immobilité domine. Ces variations de la distribution verticale sont confirmées par la position sur le végétal des proies capturées. Les données suggèrent que, dans les champs, cette coccinelle consacre peu de temps à son alimentation. Le faible nombre de proies ingérées pose le problème de la couverture de ses besoins trophiques. Summary Observations were made in a wheat field during daylight hours to determine how the vertical distribution of adults and larvae ofCoccinella septempunctata changed with season and in response to aphid populations on which this coccinellid feeds. In early spring, this thermophilic coccinellid (larvae and adults) remained close to the ground and on the lower part of tiller leaves where it was highly active. Adults frequently groomed their head appendages. By June, most adults and larvae were found on the upper parts of tillers, the area preferred by their aphid prey. The beetles remained close to such sites and hence their vertical distribution corresponded to that of the aphids on which they fed. The fact that the beetles appeared to spend most of their time resting and moving within wheat crops, and little time feeding, raises the question of how the larvae and adults satisfy their dietary needs.
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13.
Les observations faites sur deux cucurbitacées africaines, Lagenaria siceraria Molina (Standl.) et Citrullus lanatus Thumb (Matsum & Nakai) ont permis d’inventorier l’entomofaune (utiles et ravageurs) associée à la pratique culturale. L’évaluation des dégâts occasionnés par les ravageurs a mis en évidence leur impact sur la production. Suivant un schéma expérimental, des parcelles de 49 m2 traitées au CYPERCAL 50 EC (50 g/l de Cypermétrine) et au FURADAN 5G (50 g/kg de Carbofuran) et non traitées ont été disposées en blocs aléatoires. Les observations ont porté sur l’identification et le dénombrement des insectes, sur le pourcentage de plants attaqués ainsi que sur la production de baies mûres et de graines. Au total, 71 espèces ont été identifiées, réparties en 41 familles et 10 ordres (Coléoptères, Hyménoptères, Diptères, Lépidoptères, Orthoptères, Homoptères, Hétéroptères, Dictyoptères, Odonates et Dermaptères). Les principaux ravageurs appartiennent à la famille des Chrysomelidae (Lamprocopa occidentalis, Aulacophora foveicolis, Aulacophora africana, Asbecesta cyanipennis, Ootheca mutabilis et Lilioceris livida), des Coccinellidae (Henosepilachna elaterii et Henosepilachna reticulata) et des Meloidae (Mylabris holosericea). Plus de 50 % de plants sains ont été recensés dans les parcelles traitées contre 0 à 33 % dans les parcelles témoins. Les nombres moyens des baies obtenues dans les parcelles traitées (37,16 ± 2,99 pour L. siceraria et 42,33 ± 2,58 pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) plus importants que ceux observés dans les parcelles témoins (29,33 ± 4,67 pour L. siceraria et 31,33 ± 3,5 pour C. lanatus). Les rendements moyens en graines dans les parcelles traitées (222,39 ± 15,78 kg/ha pour L. siceraria et 127,4 ± 8,16 kg/ha pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) supérieurs à ceux observés dans les parcelles témoins (144,4 ± 14,52 kg/ha pour L. siceraria et 88,18 ± 8,09 kg/ha pour C. lanatus). Les traitements insecticides, en réduisant les populations de ravageurs et les dégâts sur les plants, ont entrainé une augmentation du rendement à l’hectare de plus de 40 %.  相似文献   

14.
Metasyrphus corollae (F.) larvae ingested aphid contents at a decreasing rate over time because the contents of the aphid became increasingly difficult to obtain as the body of the prey was emptied. Starved larvae usually handled prey longer than wellfed larvae. Younger starved larvae fed longer than older larvae. Larvae starved for 24 h ate the most of a prey. Larvae held prey, on average, until 71% of dry mass was extracted after which the prey carcass was discarded. Prey handling time and amount of each prey consumed were determined by size and hunger of larvae and degree of depletion of prey contents.
Résumé Les larves deMetasyrphus corollae (F.) ingèrent de plus en plus lentement le contenu des pucerons en fonction du temps car ce contenu est de plus en plus difficile à extraire puisque la proie se vide. Les larves qui ont été privées de nourriture se nourrissent généralement plus longuement que les larves bien nourries, et les jeunes larves affamées plus longuement que les plus agées. Les larves qui n'ont pas mangé depuis 24 h sont celles qui consomment le plus. Les larves retiennent la proie, en moyenne, jusqu'à ce que 71% de son poids sec ait été extrait, après quoi la carcasse de la proie est jetée. Le temps de manipulation et la quantité consommée de la proie sont déterminés par la taille et la faim de la larve, ainsi que par l'épuisement du contenu de la proie. Il n'y a aucune preuve consistante que les larves deM. corollae répondent directement au nombre de proies.
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15.
Refined petroleum products have been used since last century for the control of phytophagous arthropod pests. The response ofHelicoverpa spp. and its natural enemies to petroleum oil sprays on cotton was investigated under laboratory choice/no-choice and small plot field conditions at the Australian Cotton Research Institute at Narrabri in New South Wales. In oviposition choice and no-choice tests, petroleum oil sprays suppressed oviposition inHelicoverpa punctigera (Wallengren) but notH. armigera (Hubner) (Lepidoptera: Noctuidae).H. punctigera females laid about seven times as many eggs on the control (water sprayed) cotton plants as on either petroleum oil spray alone or oil mixed with Kelgum. HoweverH. armigera females laid the same number of eggs on both treated and control plants. In field trials, the number of eggs per metre per sample date found on the plots treated with petroleum oil spray was 3.83 compared with 6.29 and 7.82 eggs respectively on plots treated with conventional insecticide sprays and the unsprayed plots. The number of larvae found on plots treated with petroleum oil sprays was 2.9 times higher than the conventional insecticide sprayed plot, however, this was 1.6 times fewer than the unsprayed plot. The cotton yields from plots treated with petroleum oil sprays was 3.70 bales/ha compared with 7.32 and 2.69 bales respectively from the conventional insecticide treated and the unsprayed plots. Petroleum oil sprays had little or no effect on predatory beetles, bugs, lacewings and spiders.
Résumé Des produits de pétrole raffiné ont été utilisés depuis le siècle dernier pour lutter contre les arthropodes ravageurs phytophages. La réponse deHelicoverpa spp. et des ses ennemis naturels à des pulvérisations d'huile de pétrole sur cotonnier a été étudiée en laboratoire dans des expériences de choix et d'absence de choix ainsi que dans de petites parcelles en plein champ à l'Institut de Recherche australien sur le coton (Narrabri, Nouvelles Galles du Sud). Dans des expériences de choix/non choix concernant l'oviposition, les pulvérisations d'huile de pétrole empêchaient la ponte d'Helicoverpa punctigera (Wallengren) mais pas deH. armigera (Hubner) (Lep.: Noctuidae). Les femelles deH. punctigera pondent environ 7 fois plus d'oeufs sur les plants de coton témoins (pulvérisés avec de l'eau) que sur les plants traités à l'huile de pétrole seule ou en mélange avec du Kelgum. Par contre,H. armigera pond le même nombre d'oeufs sur les plants traités ou témoins. Dans les essais en plein champ, les parcelles pulvérisées avec de l'huile de pétrole comportent significativement moins deHelicoverpa et présentent une récolte plus importante que celles non traitées; cependant le nombre de chenilles est plus élevé et la récolte moindre que dans les parcelles traitées avec des insecticides. Les pulvérisations d'huile de pétrole ont un effet faible ou nul sur la faune auxiliaire.
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16.
Les insectes butineurs de Cucumis sativus L. (Cucurbitaceae) ont été étudiés durant les floraisons de 2001 et de 2002 dans la région de Constantine (est algérien). Les observations ont montré que la majorité des visiteurs de la plante sont des hyménoptères apoïdes. Apis mellifera L., Ceratina cucurbitina Rossi, Megachile leachella Curtis et M. pilidens Alfken sont les espèces les plus fréquentes sur les fleurs. Les proportions de visites des abeilles sont plus élevées sur les fleurs staminées que sur les fleurs pistilées. En moyenne, les quatre espèces ont visité entre 6 et 8 fleurs par minute et leurs durées de visite sur les fleurs pistilées sont significativement plus lentes en comparaison avec les fleurs staminées.  相似文献   

17.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

18.
Résumé Trois annés d'éhantillonnage automnal de pyrale du ma?s dans différentes régions ma?sicoles de France ont permis de déterminer le taux de parasitisme par les Tachinidae. Ce taux varie de 1% à 51% selon les régions et les années. Les tachinaires sont préents dans toutes les zones étudiées.Lydella thompsoni Hert. est l'espèce la plus abondante et la plus répandue.Pseudoperichaeta nigrolineata Walk. se rencontre dans le Sud-Ouest. Les Tachinidae pourraient jouer un r?le important dans la régulation des populations de pyrale.   相似文献   

19.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

20.
Résumé Le ?psylle commun du poirier?Psylla pyri (L.) est le ravageur-clé de cette culture en France et dans de nombreux pays d'Europe. Parmi les antagonistes, nous avons étudié l'influence du complexe parasitaire sur la dynamique des populations du ravageur. Ce travail a recours au contr?le visuel des rameaux pour suivre le niveau des populations du phytophage. Une méthode d'isolement de larves de l'h?te au laboratoire est utilisée afin d'évaluer le taux de parasitisme ou prévalence. La parasitofaune est constituée de micro-hyménoptères parasito?des et hyperparasito?des de larves L4 et L5 de psylle.Trechnites psyllae (Ruschka) et dans une moindre mesurePrionomitus mitratus (Dalman) sont les parasito?des qui assurent la régulation dès la 1re génération du ravageur. L'hyperparasitisme, essentiellement d? àSyrphophagus mamitus (Walker), appara?t plus tard sur l'h?te-relaisPsylla pyrisuga Foerster présent en vergers entre la 1re et la 2e génération deP. pyri. Les autres hyperparasito?des,Pachyneuron muscarum (L.),Pachyneuron aphidis Bouche,Dendrocerus psyllarum Dessart,Dilyta subclavata Foerster etDilyta talitzkii Belizin sont encore plus tardifs. Les taux d'hyperparasitisme nuls enregistrés au cours de la 1re génération deP. pyri laissent escompter d'excellents résultats de la mise en pratique éventuelle d'une méthode de lachers précoces de parasito?des, pour réduire le plut t?t possible les populations du ravageur.   相似文献   

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