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1.
Corn-cob was used as a substrate in the production of oxytetracycline by Streptomyces rimosus TM-55 in a solidstate fermentation. Oxytetracycline was detected on day 4, and reached its maximum on day 8. Optimal conditions for oxytetracycline production were an initial pH of 5.2 to 6.3, an initial moisture content of 64% to 67%, supplementation with 20% (w/w) rice bran or 1.5% to 2.5% (w/w) (NH4)2SO4 as sole N source, 1.0% (w/w) CaCO3, 2% (w/w) MgSO4.7H2O, and 0.5% (w/w) KH2PO4, with incubation for 8 days at 25 to 30°C. Each g substrate produced 7 to 8 mg oxytetracycline.  相似文献   

2.
During oxytetracycline production by Streptomyces rimosus TM-55 on sweet potato residue in a solid-state column reactor, the moisture content increased by between 2 and 5% (w/w) during incubation, from an initial content of 70 to 73%, and pH initially increased from 6.0 to 7.3, followed by a gradual decrease to 6.2. Appropriate aeration enhanced oxytetracycline production, while mixing only once daily decreased it. The temperatures in the centre and upper layers of each reactor were higher than elsewhere in static non-aerated cultures. The maximum CO2 concentration ranged from 2.9 to 3.2% (v/v) and the minimum O2 concentration was 11.0 to 17.2% (v/v) in static cultures. Under optimal conditions, each gram of dry substrate produced the equivalent potency of 12 mg oxytetracycline.The authors are with the Department of Agricultural Chemistry, National Taiwan University, Taipei, Taiwan 10617, Republic of China  相似文献   

3.
Summary A bacterium isolated from an oil spillage sample and identified asPseudomonas aeruginosa degraded hexadecane and heptadecane by 47% and 58% with 9% and 12% of total carbon from the respective substrates being liberated as CO2. With octadecane and nonadecane as substrates, 73% and 60% were biodegraded while 27% and 25% of total carbon was evolved as CO2, respectively. Production of biosurfactant by this bacterium was studied using hexadecane 5% (v/v) as substrate. The surface tension of spent culture medium, as well as the supernatant, was 30 mN/m compared to 71 mN/m for water. When the supernatant was mixed with hexadecane (15, v/v) a stable emulsion was formed which deteriorated only by 10% after one month.
Dégradation de différents hydrocarbures et production de biosurfactants parPseudomonas aeruginosa isolé d'eaux côtières
Résumé Une bactérie, isolée d'un échantillon d'hydrocarbures épandus, et identifiée commePseudomonas aeruginosa, dégrade l'hexaet l'heptadécane à raison respective de 47 et de 58% du carbone total avec 9 et 12% des substrats respectifs libérés sous la forme de CO2. Avec l'octa- et le nonadécane comme substrats, la biodégradation atteint respectivement 73 et 60% avec 27 et 25% du carbone total transformé en CO2. On a étudié la production de biosurfactant par cette bactérie en utilisant l'hexadécane à 5% (v/v) comme substrat. La tension superficielle de la liqueur mixte, comme celle de son surnageant atteint 30 mN/m par comparaison à 71 mN/m pour l'eau. Lorsque le surnageant est mélangé à l'hexadécane (15, v/v), on forme une émulsion stable qui ne se détériore que de 10% au bout d'un mois.


This work was carried out at the Biotechnology Laboratories of the Nuclear Institute for Agriculture & Biology (NIAB), Faisalabad.  相似文献   

4.
Summary Aspergillus awamori ATCC 22342 was selected from 12 strainsof Aspergillus spp.and Rhizopus spp. as the best producer of amylase. Optimal growth conditions for the enzyme production in shake flasks were provided by: a medium containing 60 g/1 rice flour, 0.075% (w/v) NaNO2 and 0.075% (v/v) corn-steep liquor, a temperature of 30° C and initial pH value of 6.5. The enzyme was characterized as a glucoamylase with a molecular weight of 49,000. Maximum enzyme activity occurred at 45 C and pH 5.8. The enzyme was stable at 40° C and lost 70 and 90% of activity when heated for 30 min at 50 and 60°C, respectively. Thermal inactivation was slowed in the presence of starch. Michaelis-Menten constants for soluble starch and dextrin were estimated as 12.5 and 33.3 mg/ml, respectively. This enzyme may be used for the production of glucose-rich syrups from rice starch.
Producción de glucoamilasa por Aspergillus awamori en harina de arroz y caracterización parcial del enzima
Resumen Aspergillus awamori ATCC 22342 se seleccionó entre 12 cepas deAspergillus spp. y deRhizopus spp. como el mejor productor de amilasa. La condiciones óptimas de crecimiento para la producción del enzima en frascos de agitación fueron las siguientes: un medio con la composicion siguiente: 60 g/1 de harina de arroz, 0.075% (m/v) NaNO2 y 0.075% (v/v) de extracto de maíz (corn steep liquor); una temperatura de 30°C y un pH inicial de 6.5. El enzima fue caracterizado como una glucoamilasa de peso molecular 49,000. La máxima actividad enzimática se obtuvo a 45°C con un pH de 5.8. El enzima era estable a 40 C pero perdió un 70 y un 90% de su actividad cuando se calentó durante 30 min a 50 y 60° C respectivamente. La inactivación térmica fue más lenta en presencia de almidón. Las constantes de Michaelis-Menten para almidón soluble y para dextrina se estimaron como 12.5 y 33.3 mg/ml respectivamente. Este enzima puede utilizarse para la producción de jarabes ricos en glucosa a partir de almidón de arroz.

Production de glucoamylase par Aspergillus awamori cultivé sur milieu à la farine de riz et caractérisation partielle de l'enzyme
Résumé Aspergillus awamori ATCC 22342 a été sélectionné parmi 12 souches d'Aspergillus spp. et deRhizopus spp. comme étant le meilleur producteur d'amylase. Les conditions optimales de croissance pour la production d'enzyme en fioles agitées sont: un milieu contenant 60 g/1 de farine de riz, 0.075% (w/v) de NaNO2 et 0.075% (v/v) de liqueur de corn steep, une température de 30° C et un pH initial de 6.5. L'enzyme a été caractérisé comme étant une glucoamylase de poids moléculaire 49,000. L'activité maximum de l'enzyme se situe à 45°C et pH 5.8. L'enzyme est stable à 40°C et perd 70 et 90% de son activité par chauffage pendant 30 min à 50 et à 60°C, respectivement. L'inactivation thermique est ralentie en présence d'amidon. Les constantes de Michaelis-Menten pour l'amidon soluble et pour la dextrine ont été éstimées, respectivement, à 12.5 et 33.3 mg/ml. Cet enzyme peut être utilisé pour la production de sirops riches en glucose à partir d'amidon de riz.
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5.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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6.
Summary In a Sabouraud liquid medium system with NaHCO3 or KHCO3 at as low as 0.1% (w/v), the mycelial growth ofGeotrichum candidum was inhibited by greater than 90%. Bicarbonate may have a potential use as a microbial inhibitor in a variety of food systems.
Inhibition de Geotrichum candidum par le bicarbonate
Résumé La croissance mycélienne deGeotrichum candidum a été inhibée à plus de 90% dans le milieu liquide de Sabouraud contenant le NaHCO3 ou le KHCO3 à des concentrations aussi faibles que 0.1%. Le bicarbonate peut ainsi avoir un usage potentiel comme inhibiteur microbien dans divers systèmes nutritifs.
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7.
Immature Chrysopa sp. and Nabis capsiformis required 335 and 325 d°, respectively, for development from egg to adult, while larvae of Micromus tasmaniae were able to complete development at 5°. Mean adult female longevity and oviposition rate at 23° were 52 d (max. 83 d) and 18.1 eggs/d, and 30 d (max. 43 d) and 10.4 eggs/d for C. sp. and N. capsiformis respectively, and oviposition rate of M. tasmaniae averaged 19.1 eggs/d during 5 weeks. Reduced longevity and increased oviposition rate at higher temperatures were accounted for by basing adult biology on physiological time above the immature developmental thresholds. Intrinsic rates of increase were thus calculated as 9.820, 6.868, and 8.366 eggs/103 d° above thresholds of 10.5°, -2.9°, and 11.3° for C. sp., M. tasmaniae, and N. capsiformis, respectively.
Résumé L'examen a porté sur l'influence de différentes températures constantes sur le développement et la biologie imaginale de trois espèces prédatrices (Chrysopa sp., peut-être C. signata, Micromus tasmaniae et Nabis capsiformis) récoltées dans des champs de coton du sud-est du Queensland en Australie. C. sp. et N. capsiformis ont besoin respectivement de 335° au dessus d'un seuil de 10.5° et de 325° au dessus d'un seuil de 11.3°, pour se développer de l'oeuf à l'adulte. Les larves de M. tasmaniae pouvant effectuer la totalité de leur dévelopment a 5°.-A 23° les longévités des femelles adultes et les taux de ponte de C. sp. et N. capsiformis sout en moyenne de 52 j. (maximum 83) et 30 j. (maximum 43) d'une part et 18.1 et 10.4 ufs par jour d'autre part. Le taux de ponte de M. tasmaniae est de 19,1 ufs par jour pendant 5 semaines à 23°. La longévité réduite et le taux de ponte accru aux températures supérieures sont interprétés en basant la biologie imaginale sur le temps physiologique au dessus des seuils de développement.Les taux d'accroissement intrinsèque (rm) sont plus élevés aux températures élevées, principalement à la suite du taux de développement accru. M. tasmaniae possède le rm le plus élevé à toutes les températures par suite d'un développement rapide et de seuils thermiques bas, d'une brève période précédant la ponte et d'une date de ponte maximum précoce. Le rm de C. sp. est plus élevé que celui de N. capsiformis à la suite de son taux de ponte plus élevé.Les valeurs de rm fixées à partir du temps physiologique sont respectivement: 9,820, 6.868 et 8,366 ufs femelles/103 d° au dessus des seuils de 10,5°, -2,9° et 11,3° pour C. sp., M. tasmaniae et N. capsiformis.
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8.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

9.
L'analyse des régimes alimentaires de deux espèces d'Araignées à toile géométrique,Argiope bruennichi (Scopoli) etAraneus marmoreus (Clerk), montre qu'A. marmoreus capture 14,1 proies/jour surtout des Diptères (75%) et des proies de petite taille (0–4 mm) (86%) et qu'A. bruennichi capture 4,3 proies/jour. Les proies de cette dernière espèce sont plus diversifiées (Diptères, Hyménoptères, Orthoptères et Hémiptères) et de plus grande taille que pourA. marmoreus. L'analyse des proies potentielles disponibles montre que ces deux espèces occupent des strates différentes faunistiquement, dans un même milieu.  相似文献   

10.
Summary Optimal conditions for the production of glucoamylase from rice bran usingAspergillus terreus in stationary culture were a medium containing 20 g rice bran/l, 0.3% (w/v) (NH4)2SO4 and 0.2% (w/v) peptone at 30°C with an initial pH of 3.0. Enzymatic activity was maximal after 4 d. Glucose was the major reducing sugar produced by hydrolysis of starch. Carbohydrates favouring induction of glucoamylase were, in order: maltose, starch, cellobiose, lactose, glucose, fructose and galactose. Amino acids, in particular glycine, lysine, isoleucine and histidine, were vital for glucoamylase synthesis. Tween 80 and Triton X-100 enhanced the growth but suppressed glucoamylase synthesis.
Conditions de culture pour la production de glucoamylase à partir de son de riz parAspergillus terreus
Résumé Les conditions optimales pour la production de glucoamylase à partir de son de riz en utilisantAspergillus terreus en culture en état stationnaire, consistent en un milieu contenant 20 g de son de riz par litre, 0.3 % (poids/vol.) de (NH4)2 SO4 et 0.2 % (poids/vol.) de peptone, à 30 °C avec un pH initial de 3.0. L'activité enzymatique est maximum après 4 jours. Le glucose est le principal sucre réducteur produit par hydrolyse de l'amidon. Les hydrates de carbone qui favorisent l'induction de la glucoamylase, sont, dans l'ordre: le maltose, l'amidon, la cellobiose, le lactose, le glucose, le fructose et le galactose. Les acides aminés, en particulier la glycine, la lysine, l'isoleucine et l'histidine sont vitales pour la synthèse de glucoamylase. Le tween 80 et le triton X-100 augmentent la croissance mais suppriment la synthèse de glucoamylase.
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11.
Fifty-six compounds from the odor of calling, sexually mature, laboratory reared males of the Mediterranean fruit fly, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae) were isolated by headspace trapping on Tenax columns and identified using GC/MS techniques (69 total compounds were detected). Electroantennogram responses (EAGs) to 54 of the 56 identified compounds as well as 5 analogs were tested on both sexes. Significant differences between the sexes in their responsiveness were found in 9 of the 54 identified compounds tested. There was no correlation between the amplitude of the EAG response and the relative abundance of compound identified from headspace analysis. Of the five major identified components, three elicited relatively small EAG responses, while two elicited large EAGs compared to the hexan-1-ol standard. The relative ranking of EAG responses were: methyl and ethyl hexenoates and hexanoates > C4–C6 esters and/or acetates > ethyl and methyl octenoates > monoterpenes > sesquiterpenes > C2–C5 acetates, alcohols and ketones. Behavioral bioassays on each of the five major identified components as well as a blend of six of the compounds showed some degree of attractancy to virgin females which in some cases approached the response to a pheromonal standard (male odors absorbed onto filter paper). These results are discussed in relationship to the insect's antennal sensitivity to putative pheromone components and/or allomonal components and to other reported C. capitata pheromone studies.
Résumé Cinquante-six composés de l'odeur de mâles de C. capitata Weidemann, élevés en laboratoire, sexuellement mûrs et en appel, ont été isolés par piégeage sur colonnes tenax et identifiés par la technique GC/MS (69 composés avaient été détectés en tout). Les électroantennogrammes (EAGs) ont été examinés chez les deux sexes pour 54 des 56 composés identifiés et 5 de leurs analogues. Des différences significatives entre les sexes ont été observées pour 9 des 54 composés identifiés. Il n'y avait pas de corrélation entre l'ampleur de l'EAG et l'abondance relative du composé lors de son isolement. Pour les 5 principaux composés identifiés, 3 ont induit des EAGs relativement faibles, tandis que 2 étaient importants, par comparaison avec l'Hexane-1-ol utilisé comme témoin. Le classement relatif des EAG a été: hexénoates et hexanoates d'éthyl et de méthyl C4–C6 esters et/ou acétates octénoates d'éthyl ou de méthyl monoterpènes sesquiterpènes C2–C5 acétates, alcools et kétones. Les expériences de comportement avec chacun des 5 composés principaux identifiés, comme avec des mélanges de 6 composés ont mis en évidence une attraction des femelles vierges qui dans quelques cas avoisine la réponse à la phéromone témoin (odeur du mâle absorbée sur papier filtre). Ces résultats sont discutés en fonction de la sensibilité de l'antenne d'insexte aux composés supposés de la phéromone et aux composés allomonaux, et en fonction des autres études connues sur les phéromones de C. capitata.
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12.
Rearing larvae of Ips calligraphus (Germar) (Coleoptera: Scolytidae) in bolts of typical slash pine, Pinus elliottii Engelm. var. elliottii, with thin (TN; 0.5–1.5 mm) phloem (inner bark) relative to adult beetle body width significantly reduced body weight and lipid content of emerging adults compared with thick (TK; 2.5–3.5 mm) phloem-reared adults. Unmated (pre-nuptial) TK beetles averaged 2-fold longer daily and life-time flight duration than TN beetles. Daily flights were highly variable, averaging <20 min (longest daily flight=173 min). TK and TN beetles initiated flight, and the greatest number flew, on the first or second day after emergence form their rearing bolt; % of beetles flying and survival gradually declined to zero by day 9. Males (both TK and TN) averaged 2.5 days of flight, ca. 1 day longer than females. Fliers lived ca. 2-fold longer than non-fliers. Among TK and TN fliers, significant but weak positive correlations occurred between body weight and lifetime flight duration. Poor correlation between lifetime flight duration and longevity suggests little physiological cost to flight, but effects on fecundity were not assessed. Flight by mated, egg-laying (post-nuptial) beetles was substantially delayed (peaking on day 6), suggesting degeneration and subsequent regeneration of flight muscles.
Résumé Le comportement de vol d'Ips calligraphus GERMAR (Scolytidae) a été examiné au laboratoire par une technique de vol captif. La génération parentale avait été artificiellement introduite, suivant la taille des adultes (1,6 à 2,1 mm) dans des morceaux de Pinus elliottii Engelm. variété elliottii au phloeme épais (TK=2,5 à 3,5 mm) ou fin (TN=0,5 à 1,5 mm) les larves se sont développées dans ces morceaux de pin. Le poids et la teneur en lipide des adultes obtenus à partir de TN étaient significativement inférieure à ceux de TK. Le poids des mâles les plus gros a été plus réduit que celui des femelles; les mâles les plus petits semblaient être moins efficaces dans l'initiation des attaques sur les arbres, et les femelles les plus petites ont eu une fécondité réduite.Les durées de vol quotidiennes pendant la vie des mâles TK vierges étaient en moyenne deux fois plus longues que celles des mâles TN. Les durées de vol quotidiennes étaient très variables: en moyenne moins de 20 minutes, mais la plus longue a été de 173 mn. En moyennes les adultes TN et TK ont commencé à voler, et volaient en plus grand nombre, le premier et le second jour après l'émergence. Ensuite la fréquence d'adultes volants et le pourcentage de surviveants, ont graduellement diminué jusqu'à tomber à zéro le neuvième jour. Les mâles TN et TK avaient des vols quotidiens plus longs et volaient environ 1 jour de plus que les femelles. L'activité de vol accrue des mâles reflète leur besoin de trouver dans la nature des arbres convenables; les vols des femelles peuvent généralement être plus brefs, étant plus directement orientés comme une réponse aux phéromones mâles.Les voiliers ont vécu environ 2 fois plus longtemps que les non-voiliers. Parmi les voiliers TK et TN il y avait une corrélation positive étroite entre le poids du corps et la durée totale des vols. Il n'y en a qu'une faible corrélation entre cette durée totale des vols et la longévité, suggérant un faible coût physiologique du vol. L'influence de cette durée des vols et du prélèvement consécutif de lipides sur la fécondité n'a pas été examinée. L'initiation au vol chez les individus fécondés a été sérieusement retardée (maximum le sixième jour) par rapport aux vierges, ce qui suggère un dégénérescence des muscles du vol associée à la reproduction, suivie d'une régénération importante, comme cela a été signalé chez d'autres Scolytes.Ces résultats contribuent à notre compréhension des facteurs conditionnant le comportement de vol et d'autres aspects fondamentaux de la biologie des insectes des pins. Une telle connaissance est nécessaire au développement d'une politique efficace de protection.
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13.
An 8.4 kb Sau3AI DNA fragment containing the Streptomyces rimosus TM-55 -amylase gene (amy) was ligated to a vector pIJ702, named pCYL01, and cloned into amylase deficient mutant S. lividans M2 (amy ). Subcloning study showed that the amy gene was localized in 3.3 kbKpnI-PstI fragment. The molecular weight of the purified -amylases of S. lividans M2/pCYL01 and S. rimosus TM-55 were estimated to be 65.7 kDa. Different sizes of recombinant plasmids carrying the amy gene had been retransferred into the parental strain of S. rimosus TM-55. Among these S. rimosus transformants, TM-55/pCYL01, TM-55/pCYL12 and TM-55/pCYL36 showed amylase activity 1.36- to 2.05-fold at the seventh day (1.61 to 2.42 units vs 1.18 units), and oxytetracycline (OTC) production 2.00- to 2.50-fold at the ninth day (approximate 140 to 170 g ml–1 vs 72 g ml–1), higher than that of S. rimosus TM-55 alone, respectively. These results showed that industrial microorganisms could be improved by genetic and metabolic engineering.  相似文献   

14.
Diapause in Coccinella transversoguttata can be inhibited by exposing adult females to photoperiod regimens of LD 16 : 8 or 14 : 10 hours. The photoperiod regimen to which the immature instars are exposed has little effect on the diapause status of the adult female.
Résumé Coccinella transversoguttata est un des plus importants prédateurs des Pucerons de la pomme de terre dans l'État du Maine (U.S.A.). C'est la photopériode à laquelle les adultes sont soumis qui conditionne la diapause imaginale de cet insecte: une photopériode jour/nuit de 16 : 8 heures empêche la diapause, alors qu'une photopériode jour/nuit de 12 : 12 heures déclenche la diapause. Un éclairement permanent n'a pas d'effet significatif sur l'inhibition de la diapause. La photopériode à laquelle sont soumis les ufs, les larves et les nymphes n'a guère d'effet sur la diapause des adultes. La photopériode n'a pas non plus d'influence sur le développement larvaire ni sur la mortalité des larves ou des adultes.
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15.
2,3-Butanediol was produced at 12g/l (27% w/w yield) from the reducing sugars in wood hydrolysate byKlebsiella pneumoniae NRRL B-199. Ethanol was present at 4 g/l and acetoin at 0.4 g/l. Optimum conditions for a 48 h fermentation were pH 6.0, 30°C and 50 g reducing sugars/l. Adding 1% (w/v) malt extract to the medium-enhanced butanedlol production to 13.3 g/l (yield 29%) without changing ethanol production.
Résumé On a produit 12 g/l de 2,3-butanediol (27% de rendement en poids) à partir des sucres réducteurs dans un hydrolysat de bois au moyen deKlebsiella pneumoniae NRRL B-199. L'éthanol était présent à raison de 4 g/l et l'acétoïne de 0.4 g/l. Les conditions optimum pour une fermentation de 48 h étainent les suivantes: pH 6.0, 30°C, et 50 g de sucres réducteurs par litre. L'ajout de 1% (p/v) d'extrait de malt au millieu accroît la production de butanediol jusqu'à 13.3 g/l (29% de rendement) sans changer la production d'éthanol.
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16.
Adult reproductive performance is linked to the period of feeding done by the final instar larva after attainment of a larval critical weight (LCW). The highest weight attained by a final instar larva is referred to as the larval maximum weight (LMW) and is the onset of the pre-pupal period. The relationships between LCW, pupal weight (PW) and adult weight (AW) are described as functions of the LMW. In the leafroller Cnephasia jactatana (Walker) (Lepidoptera: Tortricidae) LCW was dependent on larval size and was approximately 75% of the mean LMW. LCW was about 29 mg and 36 mg for male and female larvae of 1.18 mm and 1.20 mm head-capsule width, respectively. Over three successive generations of laboratory rearing, PW was approximately 30% and 25% lower than the LMW for males and females, respectively. AW was consistently about 50% and 40% lower than the PW for males and females, respectively. The decrease in weight from LMW to PW was named as the constant DP and found to be 0.3 for males and 0.25 for females. The total decrease from LMW to AW was the constant DA and was 0.6 for males and 0.5 for females. The duration of the latent feeding period was positively correlated to PW and AW. LCW may be used to derive quality indices that describe and predict pupal and adult performance.
Résumé Les performances reproductives sont liées à la période d'alimentation du dernier stade larvaire après l'obtention d'un poids critique (LCW). Le poids maximal atteint au dernier stade larvaire est défini comme le poids larvaire maximal (LMW), il correspond au début de la période prénymphale. Les relations entre poids de la chrysalide (PW) et poids de l'audulte AW) sont présentées comme des fonctions de LMW). Chez Cnephasia jactatana Walker (Lep. Tortricidae), LCW dépend de la taille de la chenille et correspond à environ 75% de la valeur moyenne de LMW. LCW est respectivement de 29 mg et 36 mg pour les chenilles mâles et femelles dont les capsules céphaliques ont 1,18 et 1,20 mm. Pour 3 générations successives, PW est environ 30% et 25% inférieur à LMW des mâles et des femelles. La régression du poids de LMW à PW est désignée comme la constante DP et vaut 0,3 pour les mâles et 0,25 pour les femelles. La régression de LMW à AW est désignée comme la régression DM et vaut 0,6 pour les mâles et 0,5 pour les femelles. La durée de la période d'alimentation latente est liée positivement à PW et AW. LCW peut être utilisé comme indice dérivé décrivant et prédisant les potentialités nymphales et imaginales.
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17.
A methanol-utilizing yeast,Candida boidinii, was isolated from cow dung. It could grow on a medium containing methanol or liquid paraffin as the only carbon source. Its cell yield after 7 days of growth on methanol was 0.34 g g–1 and on paraffin 0.30 g g–1. The organism was able to tolerate up to 4% (v/v) methanol.
Résumé On a isolé une souche deCandida boidinii, levure utilisant le méthanol, à partir de bouse de vache. La souche était capable de croître sur un milieu contenant le méthanol ou la paraffine liquide, comme seule souche de carbone. Le rendement cellulaire après 7 jours de croissance était de 0.34 g par g de méthanol et 0.30 g par g de paraffine. L'organisme était capable de tolérer jusqu'à 4% (v/v) de méthanol.


This work was carried out while K. Kannan was at the Tamil Nadu Agricultural University.  相似文献   

18.
Summary The growth of nine strains of four different species ofRhizobium (R. leguminosarum, R. meliloti, R. phaseoli andR. japonicum) was studied with media containing malt sprouts extract (MSE), in place of yeast extract (YE), as source of nitrogen and growth factors. The results obtained in batch cultures indicated that all the strains grew well in MSE medium. In the case of fast-growing strains the biomass increased with increase in the concentration of MSE in the medium, but with the slow-growing strains, likeR. japonicum, growth was inhibited completely by using a concentration of MSE (containing 3.75% w/v of solids) of 40% v/v. With all the strains the concentration of cells attained was greater than 5×109 cells/ml, which clearly indicates that MSE is a suitable component of media, and one which can be used instead of YE. The results of continuous culture experiments showed that a high productivity of cells (15.3×108 cells/ml/h) could be obtained using MSE medium.
Producción de Rhizobium en cultivos batch y continuo sobre medio conteniendo extracto de raiz de malta
Resumen Se estudió el crecimiento de nueve cepas de cuatro especies diferentes deRhizobium (R. leguminosarum, R. meliloti, R. phaseoli y R. japonicum) en medios de cultivo conteniendo extracto de raíz de malta (ERM), en reemplazo de extracto de levaduras (EL), como fuente de nitrógeno y factores de crecimiento. Los resultados obtenidos en cultivos en batch indicaron que todas las cepas crecieron bien en los medios con ERM. En el caso de las cepas de crecimiento rápido la biomasa se incrementó con la concentración de ERM en el medio de cultivo, pero con las cepas de crecimiento lento(R. japonicum) el desarrollo celular se inhibió completamente para concentraciones de ERM (conteniendo 3,75% p/v de sólidos) de 40% v/v. Con todas las cepas empleadas la concentración celular alcanzada fue superior a 5×109 cél/ml, lo que indica claramente que el ERM es un adecuado componente para los medios de cultivo que puede reemplazar al EL. Los resultados de los experimentos realizados en sistema continuo mostraron que se puede alcanzar una alta productividad (15,3×108 cél/ml/h) utilizando un medio de cultivo suplementado con ERM.

Production de Rhizobium en culture discontinue et continue sur milieu à base de germes de malt
Résumé La croissance de neuf souches appartenant à quatre éspèces différentes deRhizobium (R. leguminosarum, R. meliloti, R. phaseoli etR. japonicum) a été étudiée avec des milieux contenant, comme source d'azote et de facteurs de croissance, un extrait de germes de malt (MSE) au lieu d'extrait de levure (YE). Les résultats obtenus en culture discontinue (batch) montrent que toutes les souches poussent bien en milieu MSE. Dans la cas des souches à croissance rapide, la biomasse augmente proportionnellement à la concentration de MSE dans le milieu. Par contre, pour les souches à croissance lente, commeR. japonicum, la croissance est complètement inhibée lorsque la concentration en MSE (contenant 3.75% w/v de solides) atteint 40% (v/v). Avec toutes les souches, on obtient une concentration en cellules supérieure à 5×109/ml, ce qui indique clairement que le MSE convient bien et peut être utilisé à la place de YE. Les expériences réalisées en culture continue montrent qu'on peut obtenir avec le milieu MSE une productivité en cellules très élevée (15.3×108 cellules/ml/h.).
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19.
Plant chemicals in three cruciferous crop species, Brassica napus L., B. juncea (L.) Czerniak, and Sinapis alba L., that stimulate oviposition in the diamondback moth, Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera: Plutellidae) were investigated in laboratory bioassays. Aerial portions of 4- to 6-week-old plants were extracted and fractionated using ion-exchange liquid chromatography. The oviposition stimulants were identified as glucosinolates, which are found in all Brassicaceae species. Activity of extracts was largely eliminated by treatment with myrosinase or sulphatase, enzymes which degrade glucosinolates. Reference standards of the same glucosinolates and in the same concentrations as in the extracts were equally stimulatory. A test with eight different glucosinolates demonstrated that the moths do not discriminate between glucosinolates with different side-chain structures. However, in tests using allylglucosinolate the oviposition response was dose-dependent. One of the species tested, S. alba, contained a possible oviposition deterrent.
Résumé Les produits chimiques trouvés dans trois espèces de crucifères cultivées, Brassica napus L., B. juncea (L.) Czerniak, et Sinapis alba L., qui stimulent l'oviposition chez la teigne des crucifères, Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera: Plutellidae) ont été examinés. La partie aérienne des plants agés de 4 à 6 semaines a été extraite avec le methanol bouillant à 80%, le methanol pur, et l'éther. La concentration par filtration sur célite a donné comme resultat un extrait aqueux. Le materiel restant sur la célite a été dissout avec hexane pour donner un extrait lipophillique. L'extrait aqueux a été fractionné à l'aide de la chromatographie liquide sur échangeur d'ion pour donner trois fractions: neutre, cationique, et anionique. Les extraits et les fractions ont été ajustés à 1 g poids frais de tissu de plant par ml, appliqués sur du papier filtre, et exposés aux papillons femelles dans les essais de choix d'oviposition. L'oviposition a été stimulée fortement en présence de l'extrait aqueux, la fraction anionique, et quelque sous-fractions anioniques. Plus tard, il a été déterminé que ces derniers contenaient des glucosinolates.Chez les trois espèces de crucifères, les stimulants d'oviposition ont été identifiés comme étant des glucosinolates, que l'on retrouve dans toutes les espèces de crucifères. L'activité des extraits a été éliminée en grande partie par traitement avec myrosinase ou sulphatase, des enzymes qui dégradent spécifiquement les glucosinolates. Des standards de references des mêmes glucosinolates et aux même concentrations que dans les extraits ont eu également un effet stimulant. Un essai avec huit glucosinolates differentes à une concentration de 50 g/ml appliquées sur du papier filter à 3.2 g/cm2 a démontré que les papillons ne discriminent pas entre les glucosinolates possédant des chaines secondaires differentes. Par contre, dans les essais utilisant l'allylglucosinolate, la réponse d'oviposition a été dépendente de la dose. S. alba a semblé contenir un inhibiteur de l'oviposition, qui est retrouvé dans l'extrait aqueux mais non pas dans la fraction anionique.
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20.
The freeflight behavior of Carpophilus hemipterus (L.) (Coleoptera: Nitidulidae) was investigated in a vertical flight chamber to measure takeoff propensity relative to beetle age and to determine the effect of food odors on phototactic orientation. A high-pressure sodium lamp presented from above induced a phototactic flight response, especially in beetles 3–7 days old. The majority of phototactic flights lasted less than 15 min for both males (73%) and females (85%), but ranged up to 100 min. A bimodal periodicity in flight propensity was recorded during the photophase with a small peak in activity occurring 14–10 h prior to scotophase and a large 4 h peak occurring from 3 h prior to scotophase to 1 h after when the onset of scotophase would normally have occurred. Beetles maintained with water as adults usually displayed higher levels of flight activity than did beetles maintained with artificial diet.After a period of vertical flight, photokinetic and phototactic response declined, and flight instability increased, as indicated by an overall decrease in the mean rate of climb, accompanied by an increase in the variability of this measure and an increase in horizontal displacement.When food odor (apple cider vinegar) was introduced the rate of climb dropped rapidly and beetles usually landed regardless of how long they had been in flight. When the food odor was removed, takeoff occurred and the beetle returned to its previous rate of climb. When food odor was repeatedly introduced during the same flight, there was no apparent cumulative effect, and each time it was removed, the beetle re-initiated phototactic flight. Unlike true migratory flight in which response to vegetative cues is temporarily inhibited until the insect has engaged in a period of phototactic flight, C. hemipterus flight could be better characterized as extended foraging in which phototactic flight is readily interrupted by encounters with food odor.
Résumé Le comportement de vol libre de C. hemipterus L. a été examiné dans une chambre à vent verticale pour déterminer la tendance au vol après l'émergence et observer l'influence de l'odeur d'aliments sur le vol phototactique. Une lampe à haute pression de sodium induit une réponse de col phototactique, qui débute le 3e jour et reste puissante jusqu'au 8e jour. La majorité des vols phototactiques duraient moins de 15 pour les mâles (73%) et les femelles (85%), mais pouvait se prolonger jusqu'à 100. Les femelles nourries sur régime artificiel présentaient la plus forte proportion de vol dépassant 35. Cependant, les adultes maintenus exclusivement en présence d'eau ont présenté un niveau d'activité de vol encore supérieur. Une tendance au vol à périodicité quotidienne bimodale a été notée avec un petit pic d'activité à 14–10 heures avant la scotophase et un grand pic durant 4 heures, de 3 heures avant la scotophase à une heure après le début de la scotophase.Après une période de vols verticaux, les réactions photocinétiques et phototactiques ont diminué, et l'instabilité des vols augmenté comme en a témoigné la diminution du taux total d'ascensions et l'accroissement de la variabilité de ce paramètre et des déplacements horizontaux. L'introduction d'odeurs d'aliments pendant le vol phototactique provoque une diminution immédiate du taux d'ascension et conduit généralement à un atterrissage indépendamment du temps antérieur de vol. Quand l'odeur était supprimée le décollage avait lieu et l'insecte retrouvait sont taux antérieur d'ascension. Quand la même odeur d'aliment a été réintroduite à répétition pendant le même vol, il n'y a pas eu d'effets cumulatifs apparents. Par opposition avec d'autres insectes présentant un véritable comportement migrateur pour lesquels la désinhibition des réactions végétatives ne se produit qu'après une longue période de locomotion continue, le vol de C. hemipterus est mieux caractérisé comme un comportement de prospection pour lequel les aliments inhibent immédiatement la dispersion.
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