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1.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

2.
A direct causal relationship was demonstrated between soil temperature and insect ovipositional propensity. When ovipositional substrates (soils) at 5, 15, 22, 30, 35, and 40°C were presented in multiple treatment (choice) tests with air temperature at 15 or 22°C, onion flies, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae), laid the most eggs in the 22°C substrate. Only 50 eggs were laid when air temperature was increased to 30°C, as compared to 454 and 1128 eggs at 22 and 15°C, respectively. Thus, an air temperature of 30°C appears to be near the upper limit of onion fly ovipositional activity. The numbers of flies observed (counts taken every 15 min) on substrates ranging from 15 to 40°C were not significantly different. Reduced alightment/arrestment does not explain reduced oviposition on the warmer substrates; however, it may partly explain reduced oviposition on 5°C substrates. The range of substrate temperatures facilitating substantial oviposition was narrower than that eliciting alightment/arrestment on the substrate. The ca. 20°C ovipositional optimum corresponds well with temperatures favoring egg survival and development.
Résumé La température du sol est réglée, dans les pondoirs de D. antiqua, par un thermoblock, tandis que toutes les autres variables, associées au succédané d'oignon servant de stimulus de ponte, sont maintenues constantes. Une relation causale entre température du sol et activité de ponte est mise en évidence. Quand il y a choix entre des substrats de ponte à 5, 15, 22, 30 et 40°C, avec une température de l'air de 22°C, les mouches pondent surtout dans le substrat à 22°C. L'optimum thermique est de 20°C quand la température de l'air est abaissée à 15°C. La ponte n'est que de 50 ufs quand la température de l'air est portée à 30°C, contre respectivement 454 et 1128 ufs à 22 et 15°C. Ainsi, une température de l'air de 30°C paraît proche de la limite supérieure de l'activité de ponte de D. antiqua. Le nombre de mouches observées sur le substrat (toutes les 15 min.) ne varie pas significativement quand la température du substrat est entre 15 et 40°C. La gamme de températures provoquant la fixation sur le substrat est plus large que celle des températures provoquant une ponte importante. L'optimum de 20°C correspond bien aux températures favorables à la survie et à la croissance de D. antiqua.Ce travail montre l'effet important de facteurs abiotiques sur l'acceptation de la plante-hôte.
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3.
The deposition of eggs by this strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) departs from randomness in three ways; eggs are uniformly dispersed, oviposition rates drop when beans begin to carry 2 or more eggs, and there are sharp host preferences. Using random egg placement for the unspecialized condition, these traits are evaluated for their effect on a female's contributions of offspring to the next generation (R0, the net reproductive rate). The major increases in R0 result from females dispersing eggs so uniformly that larval competition is either reduced or eliminated. Females reduce their oviposition rate when the larva from an egg added to a bean is almost certain to die in competitive encounters. Host preferences and larval survival in a host are positively associated with the abundance of the host in South India. The three oviposition traits act together to give and R0 that is 25–50% than that of eggs placed at random. These traits are known to be variable and heritable, hence, the conditions necessary for natural selection are statisfied.
Résumé Le taux partiel de reproduction nette (R inf0 sup* ) dépend de l'espèce de la plante sur laquelle les ufs sont pondus et du nombre de larves entrant dans la graine. La survie larvaire est réduite par 1/(le nombre de larves par graine) parce qu'une seule larve se développe dans une graine. La fécondité n'est pas modifiée par la compétition subie par les larves, la mortalité larvaire a l'effet le plus important sur R inf0 sup* . Les femelles éliminent ou réduisent la compétition larvaire en dispersant leurs ufs uniformément et font si peu d'erreurs avec une hyperdispersion que l'évolution d'un comportement plus précis n'accroîtrait R inf0 sup* que de 4% au maximum. Des femelles retournant à une distribution des ufs au hasard provoqueraient une réduction de R inf0 sup* de 25% au moins.Les légumineuses généralement cultivées dans l'Inde du Sud sont des hôtes acceptables quand elles sont présentées seules. Le choix des femelles entre 2 hôtes élève R inf0 sup* de 30% ou plus par rapport à une distribution au hasard. Les préférences les plus nettes concernent des combinaisons présentant la plus grande différence de R inf0 sup* . Les femelles qui hyperdispersent leurs ufs, choisissent leurs hôtes et évitent les pertes par compétition en empêchant que les ufs ne donnent plus de descendants que ne le ferait une ponte au hasard.Les particularités de la ponte sont variables et héritables. Les lignées se sélectionnent bien, en fonction de la dispersion de leurs ufs sur les graines, de la discrimination des plantes hôtes, et de la modulation de leur taux de ponte. La sélection naturelle maintient ces particularités du comportement d'une façon sédentaire.
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4.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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5.
Quality control charts were employed to monitor the quality of several parameters during mass rearing of the T : Y(wp +)30C strain of Ceratitis capitata (Wiedemann), in which male and female flies emerge from brown and white puparia, respectively. Egg hatch and pupal recovery in this genetic sexing strain were below that reported for a wild-type Sohag strain, whereas pupal size, adult emergence and flight ability were higher. The overall recovery from eggs to adult flies capable of flight was similar in the two strains but egg production in T:Y(wp +)30C was reduced to about 56% of that of Sohag. The quality control charts showed an acceptable level of variation within sets of data but the level between data sets was occasionally out of control. This indicated the presence of uncontrolled conditions during the rearing process, possibly arising from variations in the quality of the larval diet. It is concluded that the quality of T : Y(wp +)30C renders this strain suitable for mass rearing in sterile insect technique (SIT) programmes requiring the elimination of the female flies prior to the release of sterilized males. The next step should involve further quality assessments both under field cage and under field release conditions. The importance of optimal and standardized dietary conditions is stressed in relation to the quality of mass reared medflies.
Résumé Des normes de qualité ont été utilisées pour relever la valuer de plusieurs paramètres lors de l'élevage industriel de la souche T : Y(wp +)30C de C. capitata Wied. dont les mâles et les femelles émergent respectivement de pupes brunes et blanches. Les taux d'éclosion et d'obtention de pupes sont plus faibles avec cette souche qu'avec la souche souvage Sohag; par contre, la taille des pupes, le taux d'émergence des adultes et l'aptitude au vol étaient plus élevés. La fréquence totale des adultes capables de voler par rapport au nombre initial d'ufs a été de 0,297 contre environ 0,311 pour Sohag. Cependant, la production d'ufs a été réduite à environ 56% de celle de Sohag. Les tableaux de contrôle de la qualité ont révélé un niveau de variation acceptable à l'interieur rieur des lots de données, mais la variabilité entre les lots excédait les normes admissibles. Ceci implique des paramètres incontrôlés pendant l'élevage de masse, probablement liés à des variations de la qualité de l'aliment. On peut en conclure que la qualité de la souche T : Y(wp +)30C la rend utilisable pour un élevage de masse dans des programmes d'utilisation d'insectes stériles (SIT) exigeant l'élimination des femelles avant le lâcher de mâles stériles. La prochaine étape impliquera de nouvelles épreuves de qualité dans des cages en champ et dans les conditions de libération dans la nature. L'importance des conditions optimales d'une alimentation standardisée est soulignée par la qualité des mouches obtenues en élevage de masse.
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6.
    
The effect of various relative humidities on the eggs of artificially reared olive fruit flies, Dacus oleae, was examined at 20°. At constant humidities no eggs hatched below 90% r.h., while egg hatch at 100% and 95% r.h. was 96.7% and 72%, respectively. Reduced hatchability was observed when eggs were exposed to non-saturated atmospheres either at the beginning or at intermediate stages of embryonic development. The lower the humidity and the longer the exposure, the lower was the egg hatch. The early stages of development were more sensitive to non-saturated humidities than stages older than 24 hr. Egg development was extended at lower humidities and longer exposures.Effect of humidity on olive fruit fly eggs is compared with other insects, and discussed in relation to egg handling in the mass rearing of the fly.
Résumé A 20°, différentes humidités relatives ont été testées sur des ufs de mouche de l'olive, Dacus oleae, élevées sur régime artificiel. Quand l'H.R. était constamment inférieure à 90% aucun uf n'éclosait, à 95% il y en avait 72% et 64% des ufs non éclos contenaient des embryons avec des crochts oraux mélanisés, tandis qu'à 100% H.R. 96,7% des ufs éclosaient. Des ufs mis à incuber dans de l'eau ventilée ou dans de l'acide propionique à 0, 3% se développaient normalement, mais dans de l'eau non-ventilée il n'y avait que 62% d'éclosions. Une exposition des ufs après la ponte à 45% H.R. pendant plus de 6 heures avant leur transfert à 100% H.R. a réduit les éclosions de plus de 50%, tandis que pour une diminution similaire à 60%, 75% et 90% H.R. il fallait 8, 12 et 72 heures. Quatre heures d'exposition à 45% H.R. donnent 63% d'éclosions (contre 97,5% après une heure). Quand les ufs ont d'abord incubé à 100%, pour être transférés à 60% avant d'être remis à 100%, des expositions supérieures à 12 heures affectent le taux d'éclosion quand le transfert à 60% a eu lieu pendant les premières 24 heures. Cependant, quand le temps de latence entre la ponte et le transfert dépassait 24 heures, il n'y avait pas modification du taux d'éclosion. Le développement embryonnaire était plus long aux basses hygrométries ou après les expositions les plus prolongées.Par comparaison aux durées de développement à 100% la prolongation était de 5% pour 4 heures d'exposition à 45% H.R., de 20% pour 12 heures à 75% et de 10% pour 24 heures à 90%.Ces résultats sont comparés à ceux de différentes espèces de différents taxas, et leurs conséquences sur les manipulations d'insectes dans les élevages de masse de mouches de l'olive ont été examinées.
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7.
Eggs of Diabrotica virgifera from subtropical Mexico, when compared with those from South Dakota, are more resistant to desiccation and have a more intense diapause. Diapause occurs at the same embryological stage in the two populations and both can be dormant at humidities below 100%. The data suggest that the diapause mechanism evolved in a tropical climate to overcome a dry season and that same mechanism also adapts the species to a temperate climate.
Diapuse chez diabrotica virgifera (Coleoptera: chrysomelidae): comparaison de lévolution des oeufs provenant de populations adaptées au climat tempéré ou au climat subtropical
Résumé La diapause des ufs de Diabrotica virgifera, dans la zone subtropicale du Mexique, est plus intense que celle des ufs des populations du South Dakota, et ces ufs sont en même temps plus résistants à la dessication. La diapause intervient au même stade embryonnaire dans les deux populations et, dans les deux cas, la dormance peut se maintenir pour une humidité relative inférieure à 100%. Les faits observés suggèrent que le mécanisme de la diapause chez Diabrotica virgifera s'est développé sous un climat tropical pour assurer la survie pendant la saison sèche, ce même mécanisme ayant aussi permis à l'espèce de s'adapter à un climat tempéré.
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8.
The method of rearing Delia brassicae (Bouché) on rutabaga, one of its favoured hostplants, was improved and partly mechanized. During 3 months in 1978, about 2 million pupae were produced at an approximate cost of $ 720 U.S. The pupal yield averaged 50% of the number of eggs inoculated. Special attention was given to the number of eggs inoculated/g of plant food, to the conditions used during the rearing process and to the choice of a substrate suitable for larval pupation. The pupae were maintained at laboratory temperature until the first adults emerged and then they were stored for a maximum of 24 days at 3°. When such pupae were returned to laboratory temperatures, flies emerged from about 62% of them within 7days. A system for marking and collecting the emerging adults is described. The effects that rearing, storage, irradiation, marking and handling had on the quality of the adult flies are discussed.
Résumé L'élevage de la Mouche du chou, Delia brassicae (Bouché), sans conditionnement spécial et sur l'une des ses plantes-hôtes, le rutabaga, a été amélioré et partiellement mécanisé. En 1978, deux millions de pupes ont été produites en trois mois pour un prix de revient de 720 U.S. $. Un bon rendement est obtenu (50% des ufs donnent des pupes de poids supérieur ou égal à 12 mg) en inoculant 0,7 à 0,9 uf par gramme de rutabaga, dont la durée de conservation à 3° n'a pas excédé les six mois.L'influence du moment de refroidissement et de la durée de conservation des pupes à 3°, sur le taux et l'échelonnement des éclosions des adultes, a été examinée; 62% des pupes refroidies pendant un mois à partir du moment de l'éclosion des premiers adultes, ont donné des adultes en 7 jours après avoir été replacées dans les conditions ambiantes. Une méthode de marquage et de collecte des adultes est décrite.L'influence des techniques d'élevage, du stockage des pupes, de l'irradiation, du marquage et de la collecte sur la qualité des mouches est discutée en détails. La limitation à 30 jours de la période de stockage des pupes afin d'éviter une forte diminution de la qualité, constitue un obstacle capital à la réalisation de lâchers inondatifs.Bien qu'un stockage des pupes à 3° pendant 3 à 4 semaines, diminue de 5 jours la longévité des mâles, un schéma approprié de lâchers peut compenser cette diminution de qualité.
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9.
Batches of wild-caught adult females of Glossina palpalis palpalis R.-D. were treated topically (0.36 l per fly) with different doses of 14 chemical insecticides in acetone and subsequent abortion (if any) and death of each fly were recorded. Control flies received acetone alone. No fly was fed after treatment. Abortion rates of treated fly-batches and the corresponding control batch were compared by Fisher's exact test. The rate of abortion for 274 control flies rose from 1.1% on day 1 to 6.3% on day 5, then declined to the last abortions on day 9. The increase of rate probably resulted from increasing period of starvation. Significantly increased rates of abortion of eggs or immature larvae, compared with the control, were only found with high doses of fenitrothion, propoxur, permethrin and dieldrin and with various doses of sumithrin, sumicidin and deltamethrin. Abortion was most frequent for the last three; synthetic pyrethroids. All significant rates were for rapid abortion, within 24 h after treatment, and many abortions for sumithrin, sumicidin and deltamethrin were within 60 min Pyrethroid-treated flies frequently showed rapid and prolonged knock-down. Especially for pyrethroids, many aborted eggs or larvae were covered with white, sticky fluid. It is suggested that insecticides caused high rates of abortion by general relaxation of maternal muscles, thus opening the vaginal sphincter, smoothing the uterine wall and allowing accumulated milk gland secretions to flow into the uterus. This reduced friction between contents and the uterine wall and the egg or larva escaped passively through the vaginal aperture.
Résumé Les femelles de G. palpalis palpalis provenaient de captures de populations sauvages près d'Abuja au Nigéria. Les lots de mouches ont reçu des applications locales (0,36 l par mouche) de 14 insecticides chimiques à différentes doses. L'émission d'un oeuf ou d'une larve immature était considérée comme un avortement. Les témoins ont reçu de l'acétone. Les mouches n'ont pas été alimentées après traitement. Les résultats des différents lots ont été comparés par le test de Fisher. Pour 274 mouches traitées à l'acétone, le taux d'avortement croît de 1,1% le ler jour à 6,3% le 5e jour pour diminuer jusqu'au taux final le 9e jour, qui n'excède pas le taux naturel de 7%. On peut penser que le taux croissant est dû à la prolongation du jeûne et que l'acétone n'est pas un abortif. Les avortements se sont produits chez les mouches qui ont reçu chacun des 14 insecticides, les taux variant avec les doses, et pour la plupart des insecticides, augmentant avecle le temps depuis le traitement. Les taux d'avortement étaient particulièrement augmentés pour les lots traités avec des doses élevées de fénitrothion. propoxur ou perméthrine, et étaient très significativement augmentés chez ceux traités avec des doses très élevées de dieldrine ou différentes doses de sumithrine, sumicidine ou deltaméthrine: tous ces taux élevés étaient enrigstrés dans le jour après le traitement.Les avortements étaient particulièrement rapides, dans les 60 minutes, pour la sumithrine, la sumicidine et la delthaméthrine. Aucune mouche traitée à l'acétone ou à l'un des 11 autres produits n'a avorté dans les 60 minutes. Beaucoup de mouches traitées aux pyréthroïdes ont présenté un effrondement rapide et prolongé, suivant la dose. Beaucoup d'oeufs et de larves avortés après traitement aux pyréthroïdes étaient couverts d'un fluide blanc et visqueux. On peut estimer que les insecticides ont provoqué l'avortement par relâchement des muscles maternels, permettant l'ouverture du vagin, le déridement de la paroi utérine et la décharge dans l'utérus des secrétions de lait accumulées dans les glandes. Ceci a réduit la friction entre les parois de l'utérus et son contenu (oeuf ou larve) qui glissait à travers l'ouverture du vagin. Il est peu vraisemblable que les avortements induits par les insecticides puissent réduire les populations pendant les traitements.
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10.
Normally in the fungus gardens of the mounds of termites, Odontotermes redemanni (Wasmann), Xylaria nigripes (Koltz.) Sacc. alone grows, and the spores of other micro-organisms do not proliferate. When the termites are removed from the mounds, alien micro-organisms overrun the growth of Xylaria nigripes. Micro-organisms that grow in the fungus gardens in the absence of termites are enumerated.An antimicrobial substance which is caprylic acid is present in the exudate of the physogastric queen termite that resides in the royal chamber of the mound. This active principle which is solely synthesized by the physogastric queen termite inhibits the growth of all micro-organisms other than X. nigripes in vitro. While the worker and soldier termites are cementing the soil particles after licking the queen's exudate, the active principle seems to be distributed to other regions of the mound where the fungus gardens are present. This may be one of the factors responsible for the specific growth of X. nigripes in the fungus gardens of O. redemanni.
Résumé Ordinairement seul le champignon Xylaria nigripes pousse dans les meules à champignons des termitières d'Odontotermes redemanni, les spores des autres champignons ne s'y multiplient pas. Quand les termites sont éliminés de la termitière, d'autres microorganismes se substituent à X. nigripes. Les espèces qui se développent ainsi dans les meules à champignons, en absence des termites, sont énumérées.Un agent antimicrobien, contenant de l'acide caprilique, est présent dans la sécrétion de la reine physogastrique qui vit dans la chambre royale de la termitière. Cette substance active, qui n'est synthétisée que par la reine, empêche, in vitro, le développement de tous les micro-organismes autres que X. nigripes. Elle semble être distribuée aux autres régions de la termitière, où se trouvent les meules à champignons, par les ouvriers et soldats qui, après avoir léché la sécrétion de la reine, cimentent les particules du sol. Ce pourrait être un des facteurs responsables du développement spécifique de X. nigripes dans les meules à champignons des termitières d'O. redemanni.
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11.
Second-stage integrated management of apple arthropod pests   总被引:2,自引:0,他引:2  
To date, integrated pest management (IPM) of arthropods in commercial apple orchards has been comprised almost exclusively of a suite of what we term first-stage IPM practices focused upon pest monitoring. These practices predict first appearance, rate of development, and abundance of pest and beneficial arthropods, which leads to recommendation of selective properly-timed pesticides as the sole tactic of controlling pests not effectively suppressed by beneficials. Here, we evaluated in Massachusetts the effectiveness of what we term second-stage IPM practices. These involved integration of pesticidal control of early season apple arthropod pests and behavioral, cultural and biological control of mid and late season apple arthropod pests in the absence of insecticide and acaricide application after mid June. The behavioral approach consisted of ringing the perimeter of several apple orchard blocks (each ca. 1 ha) with sticky-coated red spheres baited with synthetic apple odor to intercept immigrating Rhagoletis pomonella (Walsh) flies. The cultural approach focused on removing unmanaged host trees in a ring around the orchard block perimeter to prevent entry of Cydia pomonella (L.) and Argyrotaenia velutinana (Walker) females. The biological approach emphasized buildup of natural enemies of foliar pests in an orchard environment free of insecticide and acaricide use after mid June.During the second year (1988) of second-stage IPM implementation, test blocks in which baited red spheres were placed 5 m apart on perimeter apple trees and in which all unmanaged host trees within 100 m of the block perimeter had been removed received only 0.6% combined fruit injury by the above and all other pests active after mid June. Nearby blocks treated under first-stage IPM practices received 0.4% combined injury from such pests. As revealed by unbaited within-block monitoring traps, comparatively few R. pomonella flies penetrated the ring of interception traps, despite the large numbers caught on the latter. Beneficial predators of pest mites and aphids were nearly twice as common in second-stage as first-stage IPM blocks. Total cost was essentially the same for second-stage as first-stage IPM practices. But we propose a potentially much less costly, labor-saving method as a substitute for using a sticky substance to control R. pomonella flies alighting on perimeter-tree spheres.
Résumé A ce jour, la lutte intégrée (IPM) contre les arthropodes des vergers commerciaux de pommiers, —que nous nommons IPM de première génération —, est conçue presque exclusivement comme une suite de pratiques focalisées sur l'interception des insectes nuisibles. Ces pratiques calculent d'abord la date d'apparition, la vitesse de développement et l'abondance des phytophages et des entomophages, conduisant à l'épandage à des dates appropriées d'insecticides sélectifs, comme seule tactique de protection contre les phytophages qui ne sont pas supprimés efficacement par des entomophages.Nous avons examiné au Massachusetts l'efficacité de ce que nous avons appelé le seconde génération d'IPM. Elle implique l'intégration de la lutte chimique contre des insectes consommateurs précoces, et de la lutte comportementale, culturale et biologique contre les insectes de pleine saison et tardifs, sans traitements insecticides ou acaricides des pommiers à partir de la mi-juin.L'approche comportementale consiste à encercler plusieurs massifs de pommiers (chacun de 1 ha) avec des sphères rouges engluées d'odeur synthétique de pommier pour intercepter les vols de Rhagoletis pomonella Walsh. L'approche culturale est concentrée sur l'élimination autour du verger des pommiers non inclus dans le programme de protection pour empêcher la pénétration de femelles de Cydia pomonella L. et Argyrotaenia velutinana Walker. L'approche biologique insiste sur la mise en place après la mi-juin des entomophages des ennemis du feuillage dans un verger sans insecticide ni acaricide.Pendant la seconde année (1988) de l'application du programme, les fruits attaqués par tous les phytophages après la mi-juin n'ont été que de 0,6% pour les parcelles d'arbres témoins dans lesquels les pièges rouges avaient été placés tous les 5 mètres sur les arbres du pourtour et dont les arbres non inclus dans l'expérience, avaient été enlevés sur une bande de 100 m autour de la parcelle. Des parcelles proches, traitées avec IPM première génération, avaient un taux d'attaque de 0,4% par les mêmes espèces d'arthropodes. Par rapport aux parcelles sans sphères rouges, relativement peu de R. pomonella ont pénétré au-delà de la rangée de pièges, malgré le grand nombre de mouches capturées dans ceux-ci. Les prédateurs d'acariens et de pucerons nuisibles étaient 2 fois plus abondants dans les parcelles protégées par IPM de deuxième génération, que dans celles protégées par IPM de première génération. Les coûts totaux sont à peu près les mêmes, mais nous proposons une méthode potentiellement beaucoup moins coûteuse, demandant moins de maind'uvre, par remplacement l'utilisation de la glue sur les sphères comme protection contre la pénétration de R. pomonella dans la parcelle.
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12.
(Z)-11-hexadecenyl acetate (Z-11-16:Ac), (Z)-11-hexadecenal (Z-11-16:Ald), (Z)-11-hexadecenol (Z-11-16:OH) and hexadecanyl acetate (16:Ac) were found in pheromone gland extracts of femaleMamestra suasa (Den. et Schiff.) in the relative amounts 100/2/10/5. All four compounds were also present in collections of aiiborne volatiles from calling females in a 100/7/5/5 ratio. No traces of 14 carbon aldehydes or acetates were detected. In gland extracts the presence of methyl hexadecanoate methyl (Z)-9-hexadecenoate and methyl (Z)-11-hexadecenoate was demonstrated by base methanolysis. No methyl tetradecenoates were detected. In EAG tests Z-11-16:Ac gave the best responses, followed by (Z)-9-tetradecenyl acetate (Z-9-14:Ac) Z-11-16:Ald and Z-11-16:OH. In single sensillum recordings large spike amplitude cells in sensilla responded to Z-11-16:Ac, while small spike amplitude cells to both Z-11-16:OH and Z-9-14:Ac. Cells responding to Z-11-16:Ald were found in one out of 60 sensilla tested. In wind tunnel tests 0.1 g of a 10:1 blend of Z-11-16:Ac/Z-11-16:Ald evoked the same responses and at a similar intensity as 3 isolated female pheromone glands did. In field tests a 10:1 blend of Z-11-16:Ac/Z-11-16:Ald caught significant numbers of males in both Bulgaria and Hungary. The addition of 16:Ac to the binary blend did not have any effect, while more than 1% of Z-11-16:OH or 0.1% of Z-9-14:Ac dramatically decreased captures. In comparing different ratios of the, acetate/aldehyde blend at different dose levels, best catches were recorded at the 10:1 ratio and at the highest (1000 g) dose level.
La composition de la phéromone sexuelle deMamestra suasa: analyse chimique, étude de l'effet par éléctrophysiologie et à la chambre de vol, et piégeages dans deux pays de l'Europe
Résumé On a trouvé l'acetoxy-1 hexadécene-11 Z (Z-11-16:Ac), le hexadécene-11 Z al-1 (Z-11-16:Ald), le hexadécene-11 Z ol-1 (Z-11-16:OH) et l'acetoxy-1 hexadécene (16:Ac) dans des extraits de glandes phéromona les des femelles deMamestra suasa. La proportion relative des composés était 100/2/10/5. Tous les quatre composés ont été présents aussi dans les collections d'émanations des femelles en stade d'appel, dans la proportion un peu différente de 100/7/5/5. On n'a détecté aucune trace des tétradécenes al-1 ou d'acetoxy-1 tétradécenes. On a démontré la présence de hexadécenoate-1 methyl, hexadécene-9 Z oate-1 methyl et héxadécene-11 Z oate-1 methyl dans des extraits des glandes, par la méthode de base methanolysis. On n'a trouvé pas des tétradéceneoates methyl.En éléctroantennographie, Z-11-16:Ac a donné les meilleurs réponses, suivis par l'acetoxy-1 tétradécene-9 Z (Z-9-14:Ac), Z-11-16:Ald et Z-11-16:OH. Dans des études de single sensillum les cellules à amplitude grande ont répondu à la stimulation avec de Z-11-16:Ac, cependant les cellules à amplitude petite ont répondu à la stimulation avec des deux composés Z-9-14:Ac et Z-11-16:OH. On a trouvé des cellules sensitives à Z-11-16:Ald dans 1 entre 60 sensilla étudiés.À la chambre de vol, le dose de 0.1 g d'un mélange de 10:1 de Z-11-16:Ac/Z-11-16:Ald a provoqué les mêmes réponses et à l'intensité pareille comme 3 glandes phéromonales isolées des femelles.En piégeages sur le champs des males en quantité importante ont été capturé par un mélange de 10:1 de Z-11-16:Ac/Z-11-15:Ald en Bulgarie et Hongrie. L'addition de 16:Ac au mélange binaire n'avait aucun effet, cependant l'addition de plus de 1% de Z-11-16:OH ou 0.1% de Z-9-14:Ac a sérieusement diminué les captûres. En comparant des proportions différentes du mélange de l'acetoxy/aldéhyde dans des doses différentes, on a observé les meilleurs captûres avec de la proportion 10:1 et à la dose la plus haute (1 000 g).
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13.
Behavioural experiments with Nemeritis canescens Grav. have demonstrated that the secretions from its Dufour's gland are used as a marker pheromone which can affect the behaviour of other wasps towards host caterpillars bearing it. The external marker is produced within the complex of secretions from the Dufour's gland and has oviposition deterrent effect which lasts approximately 32 h after deposition.The sequence of behaviour patterns shown by individual Nemeritis is described and shows a significant increase in escape and avoidance reactions towards Ephestia caterpillars treated topically with the Dufour's gland contents.This paper presents evidence for the first time to indicate that Nemeritis reacts to an external marker as well as to an internal one. Similar behaviour towards filter paper treated topically with contents of whole Dufour's gland and its component heneicosane contribute evidence for the conclusion that the gland contents influence the wasp's behaviour and hence its avoidance of superparasitism of its host.
Effets temporels de la sécrétion de la glande de Dufour sur la sélection des hôtes par Nemeritis canescens grav
Résumé Des expériences sur le comportement de N. canescens ont montré que les sécrétions de la glande de Dufour sont utilisées comme phéromone de marquage pouvant affecter le comportement des autres hyménoptères face aux chenilles contaminées. Ce maqueur externe est produit à partir des sécrétions de la glande de Dufour, il a un effet dissuasif qui dure environ 32 heures après son émission.La séquence des actes comportementaux de Nemeritis montre un accroissement significatif de réactions de fuite et d'évitement face à des chenilles d'Ephestia traitées superficiellement avec du contenu des glandes de Dufour.Cet article prouve pour la première fois que Nemeritis réagit aussi bien à des marqueurs externes qu'internes. Un comportement analogue vis à vis de papier filtre imprégné du contenu des glandes de Dufour et de son constituant hénéicosane constitue une preuve que le contenu de la glande influe sur le comportement de l'hymenoptère et ainsi lui évite de superparasiter ses hôtes.
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14.
Résumé Cette étude met en évidence l'efficacité du dépôt d'un marquage odorant dans la reconnaissance de l'entrée du nid par les butineuses de bourdons. L'étude du comportement olfactif de ces ouvrières a consisté à observer leur réponse en présence d'un marqueur odorant déposé par d'autres ouvrières en utilisant la méthode du choix binaire. Les observations ont été faites avec des colonies de plusieurs espèces: Pyrobombus (P.) hypnorum L., Pyrobombus (M.) lapidarius L., Bombus lucorum L., Megabombus (T.) pascuorum Scop., Pyrobombus (P.) pratorum L. et Bombus terrestris L. L'expérimentation a consisté également à faire varier qualitativement la stimulation, ce qui a permis d'étudier la capacité des ouvrières à distinguer l'odeur de la substance déposée par les individus de leur propre colonie de celle déposée par les individus d'une autre colonie, isospécifique ou hétérospécifique. Pour chaque espèce étudiée, les ouvrières retournant au nid font un choix en fonction de la nature du marquage. L'écart entre les pourcentages de réponses est plus important dans le cas du choix entre papier marqué et papier vierge (expérience 1) que dans celui entre papier marqué par la colonie et papier marqué par une colonie étrangère hétérospécifique (expérience 3). Une moindre dispersion des réponses apparaît dans le choix entre papier marqué par la colonie et papier marqué par une colonie étrangère isospécifique (expérience 2). La discussion porte également sur le marquage de l'entrée du nid chez des espèces d'Hyménoptères solitaires terricoles, fonction attribuée à la sécrétion de la glande de Dufour. Le mécanisme de ce marquage chez les Apoïdes sociaux reste à étudier.  相似文献   

15.
Dacus tryoni (Frogg.) (Diptera: Tephritidae) is the main tephritid pest of cultivated fruits in Australia. D. jarvisi (Tryon) is also able to infest these fruits. Some factors influencing the rate at which D. tryoni and D. jarvisi exploit patches of host fruits were examined to determine whether one species may have an advantage when they exploit the same fruits in the field. Measurements of the intrinsic rate of increase, ovariole number, clutch size and egg size and the influence of body size on these parameters were made for both species in the laboratory. Up to 10 weeks of age D. tryoni produced twice as many eggs as D. jarvisi, most during a peak 3–5 weeks after adult emergence. The difference in fecundity up to 10 weeks can be explained partly by the higher number of ovarioles in D. tryoni (38/ovary) compared to D. jarvisi (27/ovary). In addition D. tryoni produces smaller eggs than D. jarvisi and distributes them in smaller clutches; 3–4 eggs/clutch vs 10–15. In both species there was a positive correlation between ovariole number and body size (as measured by wing length). By contrast, egg size remained constant over a broad range of body sizes. The influence of these life history differences on the interaction between D. tryoni and D. jarvisi in the field is discussed.
Résumé D. tryoni Frogg est la principale téphrididae nuisible aux fruits cultivés en Australie. Cependant, plusieurs autres espèces de Dacus, dont D. jarvisi Tryon sont susceptibles de contaminer ces fruits. Quelques facteurs influant sur le taux de contamination de fruits ont été examinés pour déterminer si une espèce peut être avantagée lors de l'exploitation des mêmes fruits dans la nature. L'influence de la taille de l'adulte sur le taux d'accroissement intrinsèque, sur le nombre d'ovarioles, sur l'effectif des pontes et sur la taille des ufs a été examinée au laboratoire sur les 2 espèces. Pendant les 10 premières semaines, D. tryoni produit 2 fois plus d'ufs que D. jarvisi, la plupart étant pondus entre la 3e et la 5e semaines après l'émergence. La production de D. tryoni diminue rapidement après ce maximum. D. jarvisi ne présente pas ce maximum précoce, et la production des ufs se fait au même rythme entre les 3e et 7e semaines, avant de diminuer graduellement. La différence de fécondité au bout de 10 semaines peut être expliquée partiellement par le plus grand nombre d'ovarioles de D. tryoni (38/ovaire) contre 24/ovaire pour D. jarvisi. De plus, D. tryoni forme des ufs plus petits que D. jarvisi et l'effectif de chacune de ses pontes est plus limité: 3 à 4 ufs contre 10 à 15. Chez les deux espèces, il y a une relation directe nette entre le nombre d'ovarioles et la taille du corps de la femelle (mesurée par la longueur de l'aile). Par contre, la taille des ufs est indépendante d'une grande gamme de tailles du corps des femelles. Les caractéristiques biologiques de D. tryoni le rendent capable de contaminer rapidement les bouquets de fruits qu'il vient de coloniser, ce qui réduit les disponibilités pour les autres espèces susceptibles de contaminer ces fruits. Dans le cas particulier de D. jarvisi, D. tryoni a peu d'impact sur son niveau de population, puisque D. jarvisi peut exploiter aussi son hôte d'origine, Planchonia careya: Il ne tend à entrer en compétition avec D. tryoni que pour une ou deux générations tardives en été, quand l'hôte partage (la goyave) est souvent abondant. Néanmoins, si les fruits sont rares à cette époque ou si les 2 espèces sont obligées de partager leurs hôtes pendant plusieurs générations (hors de l'aire de Planchonia), D. tryoni aura un avantage certain.
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16.
During the developmental period from egg to pupae Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) beetles were exposed to homogeneous and heterogeneous environments at two initial egg densities as well as undiluted and diluted media. The medium consisted of flour, flour and yeasts or flour and yeasts diluted with sawdust. Initial egg density had a strong influence on the variability of pupal weight: the weight was more variable in high density, where the coefficients of variation ranged between 0.121–0.189, compared to the coefficients of variation in low density ranging between 0.058–0.183. The dilution of the medium did not influence the pupal weight variability. Heterogeneity influenced pupation site choice. In the majority of cases larvae chose the apparently less crowded, poorer compartment, to pupate. Survival and developmental time were influenced by egg density. Environmental heterogeneity acted only as reinforcer, not as a factor itself causing variability.
Résumé Pendant le développement de l'uf à la chrysalide, des ufs de Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) ont été soumis à differents traitements de façon à établir un lieu entre la variabilité phénotypique chez les chrysalides de cet espèce et la composition de l'habitat. L'hypothèse voulait que la variabilité phénotypique soit releé au degré de complexité de l'habitat a été testé en modifiant la qualité du substrat nutritif et la concentration initiale des ufs dans le milieu.Un milieu hétérogène a été obtenu en separant un bocal par une cloison contenant d'une côté un substrat nutritif de haute qualité et de l'autre un substrat nutritif de pauvre qualité. Le milieu de haute qualité était composé de 95% de farine et 5% de levain alors que le pauvre milieu se composait de farine et levain dilués dans 3 portions de sciure pour 1 potion de farine et levain. Deux témoins ont été préparés: l'un deux comprenait deux bocaux contenant un substrat nutritif de même valeur et l'autre comprenant le même milieu mais sans cloison. Les différentes expériences ont été repétées avec des ufs concentration initiale élevée (100 ufs/1 g de substrat) ou faible (25 ufs/1 g de substrat).La proportion moyenne d'insects qui ont survécu jusqu'à la nymphose était de 0.705±0.161 (SE) à faible densité et de 0.312±0.163 (SE) à densité élevé. La phase larvaire s'étola sur 27 jours (durée médiane) à faible densité sur 42 à densité élevée.L'hétérogéneité du milieu a aussi influencé le choix du lieu de nymphose: la majorité des larves se sont metamorphosées du côté du substrat de faible valeur nutritive. La densité initiale de ufs dans le milieu influença le poids de chrysalides: à densité élevée la variabilité phénotypique (CV) du poids de ces chrysalides était de 0.121–0.189 et de 0.058–0.183 à faible densité. Les differences des associations statistiques du poids de chrysalides entre densité et hétérogéneité, densité et dilution, hétérogéneité et dilution étaient toutes significatives.
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17.
The perception of cuticular female sex pheromone (15, 19, 23-trimethylheptatriacontane=morsilure) in Glossina m. morsitans was studied electrophysiologically and behaviourally. Electrophysiological studies indicated no sensitivity of the tibial sensilla or the contact chemoreceptive hairs on the legs of males to the pheromone. However, electroantennograms were recorded during stimulation of antennae from male flies with the odour of morsilure, which indicated that the pheromone is detected by the insect via olfactory receptors on the antennae. This was further confirmed by behavioural experiments in which the antennal movements of intact males stimulated with the odour of both synthetic pheromone and female decoys were studied. Behavioural responsiveness to morsilure increased with increasing starvation and was not due to a general sensitivity to paraffins. These studies indicate that tsetse flies may be able to recognize conspecifics at close range using their sense of olfaction.
Résumé La perception de la phéromone sexuelle des femelles de Glossina m.morsitans, la morsilure (15, 19, 23-triméthylheptatriacontane) a été examinée par électrophysiologie et par le comportement. L'électrophysiologie n'a pas révélé de sensibilité des sensilles tibiales, ni des poils chimioréceptives de contact sur les pattes des mâles à la phéromone. Cependant, les électroantennogrammes recueillis pendant la stimulation des antennes des mâles par l'odeur de morsilure, ont montré que la phéromone est décelée par l'insecte grâce aux récepteurs olfactifs des antennes. Ceci a été confirmé ultérieurement par des expériences de comportement au cours desquelles ont été examinés les mouvements antennaires de mâles intacts stimulés par l'odeur de phéromone synthétique et de femelles.La réponse comportementale à la morsilure a augmenté avec le jeûne, elle n'était pas due à une sensibilité générale aux paraffines.Ces études montrent que les mouches tsé-tsé peuvent être capables de reconnaître leurs congénères à faible distance grâce à l'olfaction.
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18.
Bruchidius atrolineatus (Pic) (Bruchidae: Coleoptera) is a bruchid beetle infesting Vigna unguiculata (Walp). During the dry season, adults are in reproductive diapause. Studies of adult populations in a traditional store containing contaminated pods of V. unguiculata show that the reproductive diapause is induced during the first larval instars. The temperature decrease from November to January probably is the main climatic factor inducing this diapause. The percentage of diapausing adults depends on the duration of the larval development at low temperatures. Experiments in climatic boxes confirm these results. At 12 h 25 °T-12 h 20° C 11–13 LD, a high proportion of the adults emerging from the V. unguiculata seeds are in reproductive diapause and the duration of their growth is variable. L1 L2 L3 larvae probably are sensitive stages to the thermal variations and the processes allowing emergence of diapausing adults probably are induced during these larval instars.
Résumé Bruchidius atrolineatus (Pic) est un Coléoptère Bruchidae se développant en zone sahélienne aux dépens d'une légumineuse Vigna unguiculata. Pendant la saison sèche, les adultes sont en diapause reproductrice. Un suivi des populations d'adultes a été réalisé dans un grenier traditionnel en terre séchée contenant des gousses récoltées dans la nature et portant des ufs de B. atrolineatus. Il a permis de constater que la diapause reproductrice était induite durant les premières phases du développement larvaire. La décroissance des températures de Novembre à Janvier avec des minima de 15 ° C et des maxima de 25 °C est probablement le principal facteur permettant l'induction de cette diapause. L'introduction dans le grenier de gousses portant des ufs venant d'être émis à différentes périodes de la saison sèche montre que le pourcentage d'adultes diapausants dépend de la durée du développement larvaire aux températures basses. Des expériences réalisées dans des étuves programmées confirment ces résultats. A 12 h 25 °T/12 h 20 °C 11–13 LD, un taux élevé d'adultes émergeant des graines est en diapause reproductrice et la durée de leur développement post-embryonnaire est très variable. En conditions plus chaudes 12 h 40 °C/12 h 25 °C 11–13 LD, le taux d'adultes diapausants est plus réduit et la durée du développement plus courte. L'analyse de la croissance larvaire montre que les premiers stades larvaires sont probablement des stades sensibles aux variations thermiques. Les modifications physiologiques permettant l'émergence d'adultes diapausants ou sexuellement actifs seraient induites durant ces stades.
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19.
Egg production under laboratory conditions was examined over the lifespan of Heliothis zea (Boddie) and Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae). Although H. zea oviposits singly and S. ornithogalli oviposits in masses, temporal trends were similar. Egg numbers peaked shortly after mating and then rapidly declined. Egg weights also peaked shortly after mating, but decreased gradually over time. Temporal oviposition patterns were more erratic for unmated than mated females, suggesting the importance of mating in establishing the shape of the oviposition curve.
Résumé La production d'ufs d'Heliothis zea (Boddie) et de Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae) durant toute la vie adulte a été examinée au laboratoire. Bien que H. zea dépose ses ufs isolément et que S. ornithogalli les dépose en groupes, les courbes temporelles d'oviposition chez des individus fécondés sont similaires. Le nomber d'ufs culmine peu après l'accouplement, puis décline rapidement. Le poids des ufs culmine aussi peu après l'accouplement, puis décroît graduellement. Des femelles fécondées produisent environ deux fois autant d'ufs que les femelles non fécondées, quoique la longévité ne diffère pas significativement entre les deux groupes. Des femelles non fécondées montrent des distributions temporelles plus irrégulières que des femelles fécondées, en ce qui concerne le nombre des ufs et leur poids. Ces irrégularités ont été attribuées à la tendance des femelles non fécondées à retenir leur ufs, ce qui suggère que l'accouplement exerce une influence sur la forme de la courbe temporelle d'oviposition. Des femelles d'H. zea contenant un, deux ou trois spermatophores n'ont pas produit des nombres d'ufs significativement différents.
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20.
Laboratory experiments tested whether two economically-important sibling species of tephritid fruit flies have evolved distinct egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. The egg-laying preferences displayed by apple maggot flies, R. pomonella, and blueberry maggot flies, R. mendax, on artificial fruits treated with apple and blueberry extract paralleled their egg-laying responses to whole apples and blueberries. R. pomonella flies laid more eggs than R. mendax flies in artificial fruits treated with extract from ripe McIntosh apples, and vice versa for artificial fruits treated with extract from ripe Bluehaven blueberries. Furthermore, both species laid more eggs in artificial fruits treated with extract from their respective host fruits than control artificial fruits which were not treated with fruit extract. Prior electroantennogram recordings from R. mendax and R. pomonella flies exposed to volatiles from pentane extracts of apples and blueberries indicate that the antennal sensitivity of both species is selectively tuned to their respective host fruit odors. This differentiation in their olfactory responses to fruit odors could be important in mediating their distinct ovipositional responses to blueberry and apple fruits. Extract from unripe McIntosh apples also elicited egg laying by R. pomonella flies, however, artificial fruits treated with unripe apple extract received 1.9 times fewer eggs than those treated with ripe apple extract. Moreover, the numbers of R. pomonella ovipositor punctures and eggs placed in wax artificial fruits were increased when the artificial fruits were treated with a blend of 7 identified apple esters. Black coloration on these artificial fruits and the presence of apple esters had a synergistic effect on the egg-laying behavior of R. pomonella flies, which caused them to lay substantially more eggs per black fruit than white fruit treated with the same concentration of apple esters. In summary, our results indicate that the egg-laying responses of R. pomonella flies are mediated by the integration of information from fruit chemical and visual cues, and that R. mendax and R. pomonella flies have evolved divergent egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. These findings are discussed in the context of other studies on plant compounds which influence the ovipositional behavior of phytophagous Diptera.
Stimuli chimiques des pommes et des myrtilles induisant la ponte des espèces jumelles, Rhagoletis pomonella et R. mendax
Résumé Des fruits artificiels en cire traités avec des extraits de fruits ont provoqué chez les espèces jumelles de R. mendax (Curran) et R. pomonella (Walsh) des réactions de ponte différentes suivant les stimulations chimiques par les fruits. Le comportement de ponte sur des fruits artificiels traités avec des extraits au pentane des myrtilles mûres (Vaccinium corymbosum L.) et de pommes mûres (Malus pumila Miller = Pyrus malus L.), est le même que sur des fruits naturels, ce qui montre que la réponse aux stimulations chimiques provenant du fruit constitue un aspect important de la reconnaissance de l'hôte. R. pomonella pond plus d'ufs que R. mendax sur les fruits artificiels traités à l'extrait de pommes mûres; c'est l'inverse pour les fruits traités aux extraits de myrtille. Les fruits artificiels traités avec des pommes ou des myrtilles provoquent la ponte de R. pomonella, tandis que les myrtilles mûres seules provoquent la ponte de R. mendax. Les extraits de pommes vertes stimulent la ponte de R. pomonella mais elle est alors 2 fois plus faible qu'avec des extraits de pommes mûres. Un mélange de 7 esters identifiés dans l'extrait de pomme induit aussi la ponte de R. pomonella. Le nombre de piqûres de tarièresfli dans les fruits artificiels en cire et le nombre d'ufs par fruit ont été augmentés par addition d'esters de pommes à des fruits blancs ou noirs. La couleur des fruits artificiels influence aussi la réaction de ponte de R. pomonella; la fréquence des piqûres de tarière contenant un uf et le nombre d'ufs par fruit étaient significativement plus élevés sur les fruits noirs que sur les fruits blancs traités avec la même concentration d'esters de pomme. Les fruits artificiels noirs traités avec la concentration la plus stimulante d'esters de pommes ont reçu 2, 3 fois plus d'ufs que les fruits blancs avec les mêmes concentrations en esters. Ces résultats montrent que les esters de pomme et la couleur noire stimulent synergiquement la ponte de R. pomonella sur des fruits artificiels.
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