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1.
This paper presents results of olfactometer experiments with the egg parasitoid Trichogramma pretiosum Riley (Hymenoptera: Trichogrammatidae) and its host the corn earworm moth, Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae). The sex pheromone of the host significantly reduced the total number of border crossings between odour fields in the olfactometer. Also, female parasitoids made significantly more visits to the calling moth odour field than to the opposite control field in the olfactometer. Further, the wasps spent significantly more time in the olfactometer field containing the sex pheromone released by calling virgin moths, than in control fields. If non-calling virgin moths were used as odour source, the response was reversed and wasps were repelled by the odour of the moths, and the numbers of visits were evenly distributed over the four flow fields. These results are discussed in the context of foraging ecology of egg parasitoids.
Résumé Des expériences menées en olfactométrie avec le parasite oophage Trichogramma pretiosum Riley (Hymenoptera: Trichogrammatidae) et son hôte, Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) donnent les résultats suivants. La présence de la phéromone sexuelle de l'hôte réduit de façon significative le nombre de passages entre les champs odorisés. De mème, les parasites visitent plus fréquemment le champ qui dispense l'odeur de la femelle en appel que le champ témoin placé à l'opposé. Par ailleurs, le temps passé dans le champ qui contient la phéromone sexuelle émise par les femelles vierges en appel est significativement supérieur à la durée de visite des champs témoins. Si l'on utilise comme source d'odeur des femelles vierges qui ne sont pas en appel, la réponse est inversée, les parasites sont alors repoussés par l'odeur de ces papillons et le nombre de visites est distribué de façon aléatoire entre les quatre champs. Ces résultats sont discutés dans le contexte de l'écologie du comportement de recherche chez les parasites oophages.
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2.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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3.
The sex pheromone of Adoxophyes orana (F.v.R.) (Lepidoptera: Tortricidae) is a mixture of two isomers: cis-9 and cis-11-tetradecenyl acetate. The pure synthetic compounds were assessed for their attractant activity in the field.Maximum attraction was with a 9:1 ratio of the respective isomers. This ratio proved crucial.The two trans isomers were strongly inhibitory to the synthetic pheromone. Catches diminished when a mixture of the trans isomers was added to the standard amount of pheromone. One of the trans isomers alone was less inhibitory. Live virgin A. orana females hardly attracted males when the trans isomers separately or together were placed in the same trap.Polyethylene caps proved to be ideal dispensers with persistent attractiveness. Caps treated with pheromone the previous summer still attracted moths. Over 7 weeks, caps with 100 g pheromone or more trapped a fairly constant proportion of the total weekly catch. Smaller amounts became inactive after a few weeks. Catch was proportional to the exponent of amount of pheromone.
Résumé La phéromone sexuelle d'Adoxophyes orana est un mélange de deux isomères: cis-9 et cis-11 tetradecenyl acetate. Les composés synthétiques purs ont été testés pour leur pouvoir attractif dans la nature.L'attraction maximum a été obtenue avec un mélange des deux isomères précités dans la proportion 9:1. Cette proportion s'est révélée primordiale. Les deux isomères trans se sont révélés fortement inhibiteurs de l'hormone synthétique.Les captures diminuent quand un mélange des isomères trans est ajouté à une quantité standard de la phéromone. Un seul des isomères trans a un effet inhibiteur moins marqué. Des femelles vierges d'A. orana attirent difficilement les mâles quand les isomères trans sont ajoutés séparément ou ensemble dans le même piège.Les capsules en polyéthylène se sont révélées idéales pour la présentation de la phéromone avec une attractivité persistante. Des capsules traitées avec la phéromone l'été précédent attiraient encore les papillons. Des capsules ayant reçu 100 g de phéromone ou plus capturent encore, après 7 semaines, une proportion correcte et constante des captures hebdomadaires globales. De plus petites quantités deviennent inactives après quelques semaines. Les captures sont proportionnelles à l'indice de la quantité de phéromone.
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4.
Interspecific pheromone responses indicate that the sex pheromones of eight species of the genus Yponomeuta Latreille are species specific. Female calling activity reaches a peak in the dark period, but at times varying from 1 to 10 days for different species. The response of the males to some chemicals corresponds with electrophysiological reaction patterns found by Van der Pers & Den Otter (1978).
Résumé Le comportement de pariade a été observé au laboratoire chez huit espèces du genre Yponomeuta avec des photopériodes 16/8 (L/O).Pendant l'appel sexuel, caractérisé par l'abaissement en avant de l'abdomen, provoquant l'extrusion de ses derniers segments et l'exposition des glandes à phéromones, il y a libération de la phéromone femelle.Toutes les espèces d'Yponomeuta ont le même comportement d'appel, mais le moment de la scotophase où il est maximum et l'âge auquel il débute, diffèrent suivant les espèces.La réponse des mâles aux phéromones sexuelles a été déterminée par un test biologique simple. Chaque espèce d'Yponomeuta présente un âge caractéristique de réponse optimale des mâles. L'étude du comportement des mâles en présence d'extraits d'abdomen femelles montre que chaque espèce possède une phéromone spécifique.Le comportement des mâles en présence de certaines substances chimiques est moins net qu'avec les phéromones femelles, bien qu'en accord avec les observations électrophysiologiques d'autres auteurs.
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5.
Odours of female Zabrotes subfasciatus Boh, elicit strong electroantennogram (EAG) responses in their sexual partners. Virgin female insects used in experiments were of different ages and given seeds, or not, of the host plant, Phaseolus vulgaris L. The odours of females which did not get host plant seeds, do not elicit EAG responses in virgin males, until they are at least 6 days old. On the other hand, the release of the sex pheromone as perceived by the male antennae, occurs earlier in the life of females when they are in contact with the host plant's seeds. This suggests that the sexual attractiveness of the females of this specialist insect is probably closely correlated with vitellogenesis. The latter is indeed highly dependent on host plant stimulation.Résumé Des EAG sont enregistrés chez les mâles de Zabrotes subfasciatus en réponse à l'odeur du partenaire sexuel. Les insectes femelles, utilisés dans les expériences sont d'âges différents, vierges et mis en présence ou non de graines de la plante-hôte, Phaseolus vulgaris. Les odeurs des femelles vierges mises en absence des graines n'évoquent pas de réponses électroantennographiques chez les mâles vierges — tout au moins tant qu'elles n'ont pas atteint un âge relativement avancé (6 jours environ). Par contre, le contact avec les graines de la plante-hôte favorise une émission plus précoce de la phéromone sexuelle perçue par les antennes des mâles. Ceci nous fait supposer que l'attractivité sexuelle des femelles est probablement corrélée à la vitellogenèse, elle-même très dépendante de la stimulation par la plante-hôte chez cet insecte spécialiste.  相似文献   

6.
Egglaying responses of Pieris rapae L. butterflies to the oviposition deterring pheromone (ODP) of Pieris brassicae L. were studied in the laboratory. Choice experiments with ODP treated leaves and control leaves revealed that females perform a strong preference to lay their eggs on the control leaves. This preference is maintained even when during the experiment the control leaf becomes covered with a large number of conspecific eggs. Choice experiments with cabbage leaves with and without P. rapae eggs seem to indicate the absence of intraspecific egg load assessment of host plants in P. rapae. The deterrent effect of the ODP of P. brassicae to P. rapae females persists for at least 8 days. Behavioural observations suggest olfactory hairs as well as gustatory hairs to be involved in the perception of the ODP but electrophysiological recordings of the various chemoreceptors are necessary to confirm this. Finally the prospects of application of this pheromone/kairomone in cabbage pest control are discussed.
Appréciation de la charge interspécifique en oeufs sur la plante hôte par Pieris rapae
Résumé La réponse au laboratoire de P. rapae à la phéromone dissuadant la ponte (ODP) de P. brassicae a été étudiée par l'oviposition. Des expériences de choix entre des feuilles traitées à l'ODP et des témoins ont montré que les femelles préfèrent nettement les feuilles témoins. Cette préférence s'est maintenue même quand les feuilles témoins ont été recouvertes d'un grand nombre d'oeufs de P. rapae. Ceci peut indiquer l'absence chez P. rapae d'une évaluation de la charge de ses propres oeufs. L'effet dissuadant du ODP de P. brassicae sur les femelles de P. rapae persiste au moins 8 jours. Les observations comportementales suggèrent que des poils olfactifs aussi bien que des poils gustatifs sont impliqués dans la perception d'ODP mais une confirmation de cette hypothèse par enregistrements électrophysiologiques est nécessaire. Les perspectives d'utilisation de cette phéromone/kairomone dans la lutte contre les insectes du chou sont examinées.
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7.
A method of field application of strontium chloride (SrCl2) and the assessment of local dispersal of marked Helicoverpa armigera moths in a mark-capture experiment in southern India are described. A 1.7 ha field of pigeonpea sustaining a population of approximately 400,000 larvae was treated with a single application of SrCl2 plus surfactant at 10 kg/ha, using a motorised high volume sprayer. An estimated 50,400 moths emerging over a 20 day period were unequivocally marked with Sr at a marking efficiency of 55%. Catches of moths in an array of 14 battery operated light traps and 29 pheromone traps, up to 3.5 km distant were analysed by atomic absorption spectrophotometry. Low recaptures of marked moths (7%) in the treated field suggested the rapid exodus of emergent moths, even while the crop remained attractive, and their dilution or replacement by immigrants. The distribution of marked moths in lights and pheromone traps is consistent with a predominantly downwind dispersal close to the ground during the early part of the night and more random movement later on.
Résumé L'exposé concerne une méthode de traitement en champ des chenilles par le chlorure de strontium (SrCl2) et de la mesure de la dispersion locale des papillons marqués de H. armigera Hübner (Lépido.: Noctuida) dans le sud de l'Inde. Un champ de 1,7 ha de C. cajan (cultivar ICPL138) qui hébergeait une population d'environ 400 000 chenilles a été traité en une seule fois avec un pulvérisateur motorisé de forte capacité à raison de 10 kg/ha de SrCl2 additionné de 0,1% Triton X-100 comme surfactant. 55% des 50 400 papillons émergeant sur une période de 20 jours étaient sans ambiguïté marqués au strontium. Les papillons, capturés dans des rangées de 14 pièges lumineux et 33 pièges à phéromones attractifs jusqu'à 3,5 km, ont été examinés au spectrophotomètre à absorption atomique. Les faibles recapturés (7%) dans le champ traité suggèrent un rapide exode des mouches ayant émergé ou leur remplacement par des immigrants. Les captures révèlent, au début de la nuit, une dispersion majoritairement dans le sens du vent, près du sol et, plus tard dans la nuit, un mouvement plus au hasard.
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8.
The possible usefulness of sex pheromones for controlling Adoxophyes orana (F. v. R.) has been tested in field experiments.The mating frequency of the female moths and the period of flight activity in the night have been determined. Light trap catches and random samples showed that 50–60% of the female moths mated once only and 22–37% mated twice. The percentage of virgin female moths was 4–8. These percentages were fairly constant throughout the whole summer flight period, except during the first days. Old female moths were especially attracted to the light trap. A. orana is a typical night flier with its maximum activity around midnight, as shown by light and sex traps. The length of the flight period depends on the length of the dark period.Some comparative catching experiments with sex traps were carried out. More males were caught in traps which contained two instead of one virgin female, or which contained more female equivalents. More than two virgin females per trap did not increase the catches. Mating caused considerable decrease in female attractiveness which recovered partly after a period of oviposition.Minimum night temperatures below 12° C lowered the flight activity and also the sex trap catches. The wind is a determining factor for the upwind orientation of the male moths to the attractive females. The ratio of moths caught flying upwind: flying downwind was 80 : 20 at wind velocities below 7m/sec; at wind velocities above 7m/sec this ratio altered to 60 : 40. More overshootings and downwind casts took place. During a preliminary release experiment all male moths were recaptured in the section of the area upwind from the release centre.
Résumé L'utilisation possible des phéromones sexuelles pour la lutte contre Adoxophyes orana a été testée dans une série d'expérimentations dans la nature.La fréquence des accouplements et la période d'activité de vol des papillons femelles ont été précisées. Les récoltes aux pièges lumineux et les échantillonages faits au hasard ont montré que 50 à 60% des femelles ne s'accouplaient qu'une fois, et 22 à 37% deux fois. Le pourcentage des femelles vierges était de 4 à 8%. Ces pourcentages furent à peu pr`es constants pendant toute la période de vol au cours de l'été, sauf durant le début de saison. Les femelles âgées étaient spécialement attirées par les pièges lumineux. A. orana est un insecte typiquement nocturne, dont l'activité de vol est maximum vers minuit, comme le révèlent les captures avec les pièges lumineux ou les attractifs sexuels. La durée de la période de vol dépend de la longueur de la nuit.Quelques expériences comparatives de capture avec des pièges à base d'attractifs sexuels ont été réalisées. Les mâles sont capturés en plus grand nombre dans les pièges contenant 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, ou qui contenaient davantage d'attractif sexuel. Le nombre de mâles capturé ne s'accroît pas plus si le piège renferme plus de 2 femelles vierges. L'attraction des femelles diminue considérablement après leur accouplement, mais se manifeste à nouveau partiellement après une période de ponte.Une température nocturne inférieure à 12° diminue l'activité de vol et le rendement des pièges sexuels. Le vent est un facteur déterminant, car les mâles s'orientent face au vent pour repérer et rejoindre les femelles attractives. La proportion des papillons capturées volant vent debout ou vent arrière est de 80 : 20 quand la vitesse du vent est inférieure ou égale à 7 m/sec. ; pour les vitesses du vent supérieures à 7 m/sec. cette proportion est modifiée et passe à 60 : 40. Plus la vitesse du vent s'accroît et dépasse cette valeur, plus on capture d'insectes emportés par le vent. Au cours d'expériences préliminaires de lâchers de papillons mâles, tous ceux-ci ont été recapturés dans la zone balayée par le vent à partir du point de lâcher.
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9.
Sex attraction by pheromones seems general among the Tortricidae. Using virgin live females, female gland extracts or synthetic chemicals similar to known tortricid pheromones, it is shown that the species are attracted very specifically to their own pheromones. However, because of differences in seasonal cycles, circadian rhythms and secondary chemicals, many species may use the same primary attractant, without much interspecific attraction. There is some correlation between taxonomic groupings and pheromone structures.
Résumé L'attraction sexuelle par les phéromones semble être la règle chez les Tortricidae. L'attraction interspécifique a été étudiée dans la nature au moyen de femelles vierges vivantes, et de produits chimiques synthétiques semblables aux phéromones de Tortricidae dont la structure chimique a été élucidée. En général, les mâles d'une espèce donnée sont attirés très spécifiquement par un produit ou par un mélange qui, à leur égard, a valeur de phéromone.Cependant, le même produit attractif est souvent utilisé par plusieurs espèces. Il existe dans ce cas des différences de cycle saisonnier, de rythme circadien ou de produit chimique additionnel servant à l'attraction, de sorte que l'attraction interspécifique demeure un évènement rare. On observe une corrélation entre les groupements taxonomiques et la structure chimique des phéromones: dans la sous-famille des Olethreutinae, il y a surtout des alcools insaturés à 12 carbones et leurs acetates; dans la sous-famille des Tortricinae, surtout des alcools à `4 carbones et leurs acetates, généralement avec une double liaison en position 11.
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10.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
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11.
We examined the calling behaviour of O. nubilalis virgin females, held at three different constant conditions of relative humidity from the time of emergence through their sixth night of calling, as well as the incidence of mating over time at low or high relative humidity conditions. The mean age at which females initiated calling in their life was independent of relative humidity conditions, although more variable at low humidity. On successive nights of calling, fewer virgin European corn borer females called under low compared with high humidity conditions, and those that did began later in scotophase, had fewer calling bouts, and spent less time calling. These changes in the female prereproductive behaviour were reflected on the incidence of mating which, in the first two days following emergence, was significantly less at low than at high humidity conditions. The ecological significance of these results is discussed in relation with the susceptibility of O. nubilalis to desiccation.
Résumé Nous avons étudié le comportement d'appel des femelles vierges d'Ostrinia nubilalis maintenues sous trois conditions constantes d'humidité relative, depuis l'émergence jusqu'à la sixième nuit d'appel, ainsi que l'incidence d'accouplement d'individus placés en milieu sec ou humide pour diverses périodes de temps. Les conditions d'humidité n'ont pas significativement affecté l'âge moyen auquel les femelles ont commencé à appeler au cours de leur vie, bien qu'il ait été plus variable à 53% h.r. Les nuits subséquentes, le comportement d'appel des femelles maintenues à basse humidité a débuté plus tard dans la nuit, s'est exprimé pour une période de temps plus courte avec moins de séquences d'appel que celui de leurs congénères placés en milieu humide, et la proportion de femelles en appel a toujours été plus faible à 53% h.r. Ces changements du comportement préreproducteur des femelles se sont répercutés sur l'incidence d'accouplement qui, les deux premiers jours suivant lémergence, a été significativement plus faible à basse humidité qu'elle ne l'a été en milieu humide. Ces résultats seront discutés en relation avec l'écologie de O. nubilalis et associés à sa susceptibilité à la dessication.
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12.
Pour rechercher son partenaire sexuel Zabrotes subfasciatus doit utiliser les signaux olfactifs émis soit par les mâles ou par les femelles. Le pouvoir attractif de l'odeur des mâles et des femelles sont donc étudiés et comparés par olfactométrie. Le comportement de mâles et de femelles vierges et inséminées, mis en contact des graines de la plante hôte ou non, est observé en fonction de l'âge des imagos. En aucun cas, les odeurs des mâles n'exercent une attraction sur les femelles. Les femelles vierges en absence de graines de haricot (Phaseolus vulgaris) n'exercent pas d'attraction sur les mâles vierges. Par contre les odeurs des femelles vierges mises en contact avec les graines de haricot sont très attractives pour les mâles vierges et varie en fonction de l'âge: il est plus affirmé chez les femelles plus âgées. L'émission de la phéromone sexuelle est interrompue après l'insémination des femelles mais reprend au bout d'un certain temps après celle-ci.  相似文献   

13.
Laboratory experiments and observations on the oviposition behaviour of the almond seed wasp Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) revealed that the females of this species deposit a host-marking pheromone, immediately after an oviposition, by dragging the tip of their abdomen on the fruit surface. This pheromone enables them to discriminate between the infested and uninfested fruit and to select for oviposition the latter. Its primary function is apparently the prevention of repeated ovipositions in already infested fruit, thus contributing to the optimal utilisation of the available resources for larval development. The responses of individual females to different treatments of almonds, in a series of two-choice tests, revealed that the pheromone can be perceived by the females on direct contact and, when at high concentrations, also olfactorily from a short distance. The pheromone was present inside the abdomen and thorax of females but not of males, and, although water soluble, could not be entirely removed from heavily infested almonds when rinsed with water. Direct observations revealed that after an average of 3.7 successive visits to pheromone-bearing almonds, females were induced to walk or, most often, fly away from the experimental set-up. This suggests that the pheromone may also contribute to the dispersion of the wasps.
Résumé Des expériences de laboratoire et des observations concernant le comportement de ponte de Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) ont montré que, immédiatement après la ponte, les femelles déposent une phéromone de marquage de l'hôte en trainant le bout de leur abdomen sur la surface de l'amande. Cette phéromone les rends capable de distinguer les fruits infectés des non-infectés dt de sélectionner pour la ponte les derniers. Apparemment, la fonction principale de cette phéromone est la prévention de la répétition des ovipositions dans les fruits déjà infectés et la répartition uniforme des oeufs dans les amandes, contribuant ainsi à la meilleure utilisation des ressources disponsibles pour le développement des larves. Des expériences de deux choix entre des fruits de différents traitements ont montré que la phéromone pouvait être perçue par les femelles par le direct contact et, quand elle était à hautes concentrations, par olfaction d'une courte distance. La phéromone était présente dans l'abdomen et dans le thorax des femelles, et bien qu'elle soit soluble à l'eau, elle ne pouvait pas s'éloigner entièrement par lavage des amandes sérieusement infectées à l'eau. Les observations ont démontré qu'après un numéro de 3.7 visites successives sur des amandes portant de la phéromone les femelles s'éloignaient du lieu de ponte en marchant ou, le plus souvant, en s'envolant, ce qui suggère que la phéromone contribue à la dispersion des femelles.
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14.
Perception of the oviposition deterring pheromone by contact chemoreceptors in female Pieris brassicae was studied employing a tip recording technique. Electrophysiological responses of tarsal taste hairs to eggwash solutions show a marked increase in frequency of spikes originating from only one sensory cell. This suggests that in foretarsal taste hairs females, apart from the glucosinolate cells also possess sense cells specifically sensitive to the oviposition deterring pheromone.Morphological studies by means of the scanning electron microscope revealed that the ovipositor of P. brassicae is provided with two groups of contact chemoreceptors. Electrophysiological recordings from these sensilla indicate the presence of at least three sensory cells, one of them being a mechanoreceptor. Stimulation with eggwash evokes a slight increase in spike frequency which cannot be ascribed to one particular sense cell. This indicates that abdominal taste hairs in some way may participate in the perception of the oviposition deterring pheromone. Responses to glucosinolates do not differ significantly from control stimulations.
Résumé Une technique d'enregistrement apical a été utilisée pour examiner la perception d'une phéromone dissuadant la ponte par les poils récepteurs chimiques de contact des femelles de Pieris brassicae. Les réponses électrophysiologiques des poils gustatifs des tarses en présence de solutions de rinçage d'oeufs présentent une fréquence marquée des potentiels d'action provenant principalement d'une cellule sensorielle. Ceci suggère que les poils gustatifs des tarses des pattes antérieures des femelles possèdent, en plus de cellules répondant aux glucosinolates, des cellules sensorielles sensibles spécialement à la phéromone dissuadant la ponte.Des études morphologiques au microscope à balayage révèlent que l'oviposition de P. brassicae est pourvu de deux groupes de chimiorécepteurs de contact. Des enregistrements électrophysiologiques de ces sensilles révèlent la présence d'au moins trois cellules sensorielles, l'une d'entre elles étant un mécanorécepteur. La stimulation avec la solution de rinçage des oeufs évoque un léger accroissement de la fréquence des potentiels d'action qui ne peut être attribué à une cellule sensorielle particulière. Ceci indique que les poils gustatifs abdominaux peuvent participer d'une certaine façon à la perception de la phéromone dissuadant la ponte. Les réponses aux glucosinolates ne diffèrent pas significativement des stimulations témoin.
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15.
Male sexual behaviour in Anisopteromalus calandrae was observed and experimentally analyzed. The female secretes a sex pheromone which releases the wing vibration of males. The female sex pheromone, and not the visual stimulus, is essential for the recognition by males of the nearby presence of a female. This pheromone which is secreted from glands situated in abdomen of the female, is already released since pupal stage, but the male is attracted most effectively by the female still under the reed of the beans. Copulation takes place immediately after the female comes out of the bean.
Résumé Le comportement sexuel mâle chez Anisopteromalus calandrae a été observé et expérimentalement analysé. La femelle émet la phéromone sexuelle qui déclenche la vibration des ailes chez le mâle. La phéromone sexuelle, et non le stimulus visuel, est essentielle pour que le mâle reconnaisse la présence voisine d'une femelle. Cette phéromone, sécrétée par des glandes situées dans l'abdomen de la femelle, est émise dès le stade nymphal, et le mâle est effectivement attiré par les femelles encore incluses dans le pois. L'accouplement a lieu aussitôt que la femelle sort dehors.
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16.
Mating of the female bagworm, Thyridopteryx ephemeraeformis (Haworth) (Lepidoptera: Psychidae) on host trees treated with the racemate of the species' female sex pheromone, 1-methylbutyl decanoate, was suppressed by 87% in the field. The suppressive effect of the pheromone was independent of insect population density when it was evaporated from female-infested trees at 712 (±29; S.E.) mg/tree/3 day from a 488 cm × 0.63 cm polyvinylchloride laminated tape. However, evaporation of pheromone at a lower rate did not suppress mating. Observations of adult male behavior in the vicinity of the pheromone-impregnated tape revealed that males were attracted to the tape and that they made copulatory thrusts toward the tape and any object touching the tape. These observations and analyses of the pheromone titers of individual females showed that males can respond to a wide range of pheromone concentrations. Indications are that the mechanism of mating suppression probably involved male sensory adaptation or central nervous habituation to the synthetic 1-methylbutyl decanoate and that the compound, evaporated from host trees, could be useful as a plant protectant against the bagworm.
Résumé Les accouplements des femelles de Thyridopteryx ephemeraeformis Haworth (Lep. Psychidae) ont été réduits de 87% sur des arbres hôtes traités dans la nature par des racémates du 1-méthylburyldécanoate, la phéromone sexuelle femelle de cette espèce. Lorsque la phéromone s'évapore à partir d'un ruban de 488 cm sur 0,63 de chlorure de polyvinyle portant 712 (±29 S.E.) mg, par arbre pendant 3 jours, l'efficacité était indépendante de la densité de population de l'insecte. Cependant, l'évaporation de la phéromone à une plus faible concentration était sans effet. L'observation du comportement des mâles au voisinage des rubans imprégnés de phéromone a montré qu'ils étaient attirés par le ruban et qu'ils tentaient de s'accoupler avec le ruban et tout objet à son contact. Ces observations et les analyses des concentrations en phéromones des femelles ont montré que les âles pouvaient répondre à une gamme étendue de concentrations en phéromone. Il y a des indices que le mécanisme de suppression de l'accouplement implique une adaptation sensorielle du mâle ou une accoutumance du système nerveux central au 1-méthylbutyl méthylbutyl décanoate synthétique et que ce composé s'évaporant sur les arbres hôtes, pourrait être utilisable pour protéger efficacemment contre T. ephemeraeformis.
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17.
A laboratory study was conducted in order to determine the influence of the oviposition deterring pheromone (ODP) upon the distribution of eggbatches and eggs by Pieris brassicae females. This pheromone is known to be associated with eggs. Butterflies were offered a choice between cabbage leaves treated in various ways with the ODP and control leaves. The presence of intact conspecific eggs on the treated leaf appeared to have a moderate deterrent effect upon oviposition. An aqueous solution of the ODP, obtained by washing eggs in distilled water was found to have a somewhat higher deterrent effect. Most effective in deterrence of oviposition, however, appeared to be a washing of P. brassicae eggs in methanol. Such a methanol solution can be stored at low temperatures for at least three years without loosing activity. Application of eggwash to either the upper or lower surface of the leaf does not make any difference to females. Percentage deterrence was found to increase with the concentration of eggwash. At very low concentrations no significant difference could be observed anymore in the numbers of eggbatches and eggs laid on control and treated leaf. On the other hand, even very high concentrations of methanol eggwash do not fully protect cabbage leaves against oviposition. Washing P. brassicae eggs seven times consecutively in methanol, a series of pheromone solutions is obtained, all of them were found to possess a high deterrent activity. Although percentage deterrence slowly decreases in subsequent washings, the seventh eggwash sprayed onto cabbage leaves still resulted in less than one quarter of the total number of eggbatches and eggs being laid on the treated leaf.
Résumé Des expériences de laboratoire ont été réalisées pour déterminer d'influence d'une phéromone dissuasive de la ponte (ODP) sur la distribution des ooplaques et des oeufs de Pieris brassicae. Cette phéromone est connue comme associée aux oeufs. Les papillons ont eu le choix entre des feuilles de chou traitées de différentes façons avec ODP et des feuilles témoins. La présence d'oeufs intacts de la même espèce sur les feuilles a un effet dissuasif modéré sur la ponte. Une solution aqueuse d'ODP, obtenue par lavage des oeufs à l'eau distillée est quelque peu dissuasive. Le lavage des oeufs de P. brassicae au méthanol est apparu comme le plus dissuasif. Une telle solution au méthanol peut être stockée à basse température au moins 3 ans sans perte de son pouvoir. Les applications de l'eau de rinçage sur les faces supérieures ou inférieures des feuilles induisent le même comportement des femelles. L'effet dissuasif augmente avec la concentration de l'eau de rinçage; aux très faibles concentrations, aucune différence significative n'a pu être observée avec les témoins quant au nombre d'ooplaques et d'oeufs. Par ailleurs, même aux très hautes concentrations du méthanol, l'eau de rinçage n'inhibe pas totalement la ponte sur les feuilles de chou. En lavant 7 fois consécutives les oeufs de P. brassicae dans le méthanol, on obtient une série de solutions de phéromones, dont chacune possède un fort pouvoir dissuasif. Bien que l'effet dissuasif diminue lentement avec des rinçages successifs, la pulvérisation du septième rinçage sur les feuilles de chou réduit encore à moins du quart le nombre total d'ooplaques et des oeufs pondus sur la feuille traitée.
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18.
A geographical difference in reproductive status of moths in populations of C. medinalis Guénée was recognized in autumn paddy fields of north Kyushu, south-west Japan. This geographical variation in mating frequency of the population resembled the intensity of immigrant density in early summer: the proportion of mated females in the population was high in the west coast regions of Kyushu and low in inland areas. Light trap catches of moths in 1985 suggested overseas invasions from China in the autumn to westerly regions of north Kyushu. The potential autumn immigrations of moths in ripening paddy fields would satisfactorily explain the variations in reproductive status of moths with locality in the same season. These migrations are apparently non-adaptive because immigrants or their progeny would soon be killed at harvest or from cold weather.
Résumé Une différence géographique dans l'activité reproductrice des papillons de la population de C. medinalis a été observée dans les champs de paddy d'automne du Kyushu septentrional au Japon. Cette différence géographique dans la fréquence des accouplements de la population ressemble à celle de l'importance de la densité d'immigration au début de l'été: la proportion de femelles inséminées est élevée dans les populations de la côte occidentale de Kyushu et basse dans la région intérieure. Les captures de papillons aux pièges lumineux, en 1985, suggèrent l'existence au Kyushu septentrional d'invasions d'outre-mer venant de Chine. Ces immigrations potentielles automnales de papillons dans les champs de paddy à maturité expliqueraient correctement les variations au cours de la même saison de l'activité reproductrice des papillons suivant les localités. Ces migrations ne sont apparemment pas adaptatives puisque les immigrants ou leur progéniture seront immédiatement tués à la récolte ou par le froid hivernal.
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19.
The sex pheromone of Epidiaspis leperii Sign. females was extracted by immersing virgin females in five different solvents. Chloroform showed to be the best solvent. Bioassay in the field was carried out by using plastic cup traps baited with chloroform and acetone extracts. Chloroform extracts lured the highest number of E. leperii males as well as well as the red pear scale ectoparasite Aphytis mytilaspidis (Le Baron). Chloroform extracts became inactive after one day. The plastic cup trap was very effective for collecting the wingless males.The behaviour and movements of males were observed and illustrated in response to one, three, five and seven female equivalents. All males failed to show mating behaviour at one female concentration, whereas 40, 80 and 100% showed such behaviour at successive concentrations. The time spent exhibiting mating behaviour increased in proportion to increasing female-equivalent concentration.
Résumé Le phéromone sexuelle de E. leperii a été extraite par immersion de femelles vierges dans 5 solvants différents. Le chloroforme s'est avéré le meilleur solvant. Les expériences dans la nature ont été réalisées avec des pièges en plastique contenant des extraits obtenus à partir du chloroforme et de l'acétone. Ce type de piège en plastique est très efficace pour capturer les mâles aptères. Les extraits obtenus à partir du chloroforme ont attiré le plus de mâles de E. leperii et d'ectoparasites (Aphytis mytilaspidis) de cette cochenille, mais ils ont perdu leur efficacité au bout d'un jour.Le comportement et les mouvements des mâles ont été enrigestrés lors de leurs réactions en présence de 1, 3, 5 et 7 équivalents femelles. A la concentration correspondant à un équivalent femelle, aucun mâle n'a présenté de comportement copulatoire, tandis qu'il s'exprimait respectivement chez 40, 80 et 100% des mâles aux 3 autres concentrations. Le temps consacré au comportement copulatoire croît avec la teneur en équivalent femelle.
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20.
Intra- and interspecific pheromone responses by virgin females of three species of Dacinae were examined using a laboratory bioassay. Females of Dacus opiliae Drew & Hardy responded to the pheromone from males of the sibling species, D. dorsalis Hendel, as intensely as to their own but did not respond to the secretion from males of other less closely related species. D. aquilonis (May) and D. jarvisi (Tryon), however, displayed no specificity of pheromone response in the same bioassay situation. Interspecific responses were neither an artefact of laboratory-cultured females not were they restricted only to the pheromone secretion from laboratory-reared males. It is concluded that laboratory bioassays of pheromone responses are not reliable indicators of generic relationships among dacine species. Short range interspecific responses may reflect only the operation of a sex recognition or excitation component of the pheromone; species specificity may depend on components which operate over longer distances.
Résumé Les réponses inter- et intraspécifiques aux phéromones ont été étudiées au laboratoire chez des femelles vierges de trois espèces de Dacinae. Les femelles de Dacus opiliae répondent aussi bien à la phéromone de leurs propres males qu'à celle émise par des mâles de l'espèce jumelle D. dorsalis Hendel, mais ne répondent pas aux émissions des mâles d'autres espèces moins proches. On ne trouve pas de spécificité aux résponses de D. aquilonis May et D. jarvisi Tryon testées dans les mêmes conditions. Ces réponses interspécifiques ne sont pas une anomalie de femelles élevées au laboratoire et ne se limitent pas aux phéromones émises par des mâles obtenus au laboratoire.On en conclut que les essais en laboratoire ne fournissent pas d'indications suffisantes sur les relations génériques des espèces de Dacinae. Des réponses interspécifique à courte distance pourraient en effet n'être que le résultat d'une opération de mise en alerte de l'autre sexe ou le produit d'une composante excitante de la phéromone, la spécificité dépendant de fractions opérant à plus longue distance.
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