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1.
Susceptible and insecticide resistant females of Blattella germanica (L.), Dictyoptera, were exposed to propoxur treated surfaces. They carried oothecae that were expected to hatch in 48 to 72 h. Hatch was delayed in females that retained their oothecae throughout the exposure period. Oothecal hatch and nymphal survival were reduced when oothecae hatched on a treated surface but not when oothecae were retained and hatched on an insecticide-free surface. Over half of the susceptible strain females dropped their oothecae during the exposure period while very few resistance females dropped oothecae prematurely. Mortality of susceptible females that dropped their oothecae was higher than among those that retained oothacea. A tendency in this direction was apparent among the few resistant females that dropped their oothecae. The number of nymphs that emerged on the treated surface and also that survived for 24 h was higher in the resistant than in the susceptible strain. Newly hatched nymphs were frequently attached to the oothecae due to an inability to shed the embryonic cuticle.
Résumé Des femelles de B. germanica, sensibles ou résistantes aux insecticides, ont été mises en présence de surfaces traitées au propoxure. Elles portaient des oothèques dont l'éclosion était attendue entre 48 et 72 h plus tard. Les éclosions ont été retardées, les femelles ayant conservé leurs oothèques pendant toute la période d'exposition. Lex taux d'éclosion des oothèques et de survie larvaire ont été normaux quand il y a eu rétention de l'oothèque et émission sur une surface saine, par contre ils étaient réduits quand l'oothèque a été émise sur une surface traitée. Plus de la moitié des femelles de la souche sensible ont laché leur oothèque pendant la période d'exposition tandis que très peu de femelles de la souche résistante ont abandonné leur oothèque prématurément. La mortalité était plus élevée chez les femelles sensibles qui ont perdu leur oothèque que chez celles qui l'avaient conservée. Une tendance du même type était décelable parmi les quelques femelles de la souche résistante qui perdirent leur oothèque. Le nombre d'écolosions de larves et le nombre de survies larvaires à 24 h étaient plus élevés dans la souche résistante que dans la souche sensible. Les larves néonates étaient souvent fixées à l'oothèque par suite de leur incapacité à se dépouiller de la cuticle embryonnaire.
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2.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
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3.
Laboratory experiments and observations on the oviposition behaviour of the almond seed wasp Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) revealed that the females of this species deposit a host-marking pheromone, immediately after an oviposition, by dragging the tip of their abdomen on the fruit surface. This pheromone enables them to discriminate between the infested and uninfested fruit and to select for oviposition the latter. Its primary function is apparently the prevention of repeated ovipositions in already infested fruit, thus contributing to the optimal utilisation of the available resources for larval development. The responses of individual females to different treatments of almonds, in a series of two-choice tests, revealed that the pheromone can be perceived by the females on direct contact and, when at high concentrations, also olfactorily from a short distance. The pheromone was present inside the abdomen and thorax of females but not of males, and, although water soluble, could not be entirely removed from heavily infested almonds when rinsed with water. Direct observations revealed that after an average of 3.7 successive visits to pheromone-bearing almonds, females were induced to walk or, most often, fly away from the experimental set-up. This suggests that the pheromone may also contribute to the dispersion of the wasps.
Résumé Des expériences de laboratoire et des observations concernant le comportement de ponte de Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) ont montré que, immédiatement après la ponte, les femelles déposent une phéromone de marquage de l'hôte en trainant le bout de leur abdomen sur la surface de l'amande. Cette phéromone les rends capable de distinguer les fruits infectés des non-infectés dt de sélectionner pour la ponte les derniers. Apparemment, la fonction principale de cette phéromone est la prévention de la répétition des ovipositions dans les fruits déjà infectés et la répartition uniforme des oeufs dans les amandes, contribuant ainsi à la meilleure utilisation des ressources disponsibles pour le développement des larves. Des expériences de deux choix entre des fruits de différents traitements ont montré que la phéromone pouvait être perçue par les femelles par le direct contact et, quand elle était à hautes concentrations, par olfaction d'une courte distance. La phéromone était présente dans l'abdomen et dans le thorax des femelles, et bien qu'elle soit soluble à l'eau, elle ne pouvait pas s'éloigner entièrement par lavage des amandes sérieusement infectées à l'eau. Les observations ont démontré qu'après un numéro de 3.7 visites successives sur des amandes portant de la phéromone les femelles s'éloignaient du lieu de ponte en marchant ou, le plus souvant, en s'envolant, ce qui suggère que la phéromone contribue à la dispersion des femelles.
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4.
Comparisons were made of the preferences shown by non-protein-fed females, protein-fed gravid females, and non-protein-fed males of the house fly, given choices between sucrose solution and either l-leucine or sodium phosphate buffer.In choice tests where non-protein-fed females showed little preference, protein-fed females and males both showed a strong preference for the sucrose solution. The findings suggest that l-leucine and sodium phosphate buffer are recognised by non-protein-fed females as indicators of nutrients for ovarian development.
Résumé Les choix alimentaires de 3 catégories de M. domestica: femelles n'ayant pas consommé de protéines, femelles à ovaires développés alimentées sur protéines, mâles n'ayant pas consommé de protéines, ont été examinés par leur absorption de solutions dans une paire de potomètres.Elles avaient le choix entre, d'une part une solution de sucrose et, d'autre part une solution de L. leucine ou d'un tampon de phosphate de soude.Pour les expériences où les femelles non préalablement alimentées sur protéines ne présentent aucune préférence, les femelles alimentées sur protéines et les mâles préfèrent nettement la solution de sucrose.Les résultats montrent que les femelles non alimentées sur protéines répondent plus que les femelles mûres et les mâles à la fois à la solution de L. leucine et au tampon de phosphate qu'au sucrose. Ceci suggère que l'impulsion sensorielle provoquée par ces deux breuvages est perçue par les femelles n'ayant pas consommé de protéines comme un indicateur d'aliments indispensables au développement ovarien.
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5.
The vast majority of wild-type females of Lucilia cuprina are anautogenous. The survival of wild-type anautogenous females following emergence was compared with that of females from laboratory-selected autogenous strains, when deprived of sucrose and given ad lib access to water, deprived of water and given ad lib access to sucrose, or deprived of both water and sucrose.Anautogenous females survived substantially longer than autogenous females when only sucrose was supplied, but the opposite applied when the flies were supplied with water only. Anautogenous females survived somewhat longer than autogenous females in the absence of both sucrose and water. Thus, autogenous females might be at a disadvantage in the dry conditions which often prevail in areas occupied by the species.
Résumé La grande majorité des femelles de L. cuprina est anautogène. Cependant, l'observation de femelles autogènes dans la nature, et la sélection au laboratoire d'une lignée autogène à partir d'une souche anautogène indique que cette espèce est susceptible de devenir autogène.Le stade de développement ovarien des femelles capturées dans la nature montre que l'habitat est généralement carencé en aliments riches en protéines susceptibles de permettre le développement ovarien de L. cuprina. Dans de telles conditions, les femelles autogènes devraient être avantagées; leur très grande rareté indique que certains désavantages doivent être associés au génotype autogène. On a constaté que les femelles autogénes qui viennent d'émerger ont une teneur en eau plus faible que les anautogènes; ceci suggère que l'un des coûts possibles de l'autogénie pourraît être une aptitude réduite à supporter les périodes de privation d'eau suivant l'émergence. Pour cette raison, la survie de femelles sauvages anautogènes a été comparée à celles de lignées autogènes sélectionnées au laboratoire, en absence de sucrose, en présence ad lib. de sucrose, ou sans eau ni sucre.Pouvues uniquement de sucrose, les femelles anautogènes survivent 12 heures de plus que les autogènes, tandis qu'en présence exclusive d'eau les femelles autogènes survivent 19 heures de plus. En absence de sucrose et d'eau les femelles anautogènes survivent environ 5 heures de plus. Il semble que la mortalité des femelles autogènes privées totalement d'aliments est due principalement à un stress hydrique, tandis que le sucrose et le stress hydrique ensemble paraissent jouer un rôle dans la mort des femelles anautogènes. Ces résultats montrent que l'autogénie des femelles peut être un désavantage lors des conditions sèches fréquentes dans l'aire de cette espèce.
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6.
The response of early, middle and late instar (mixed sexes), adult male, and gravid and non-gravid female German cockroaches to aggregation pheromone on filter papers conditioned by gravid and non-gravid females was studied. Cockroaches were attracted to and settled on each of the conditioned papers. Classes varied in the strength of their response to conditioned papers, relative response to gravid versus non-gravid female conditioned paper, and in clustering behavior. A significantly greater attraction of all classes except middle instars and non-gravid females to paper conditioned by non-gravid females suggests that non-gravid females emit more aggregation pheromone than gravid females. Possible explanations of differences in response with age/sex class, including an enhanced attraction of males from female sex phermone, are discussed.
Résumé L'étude a porté sur les réponses de six groupes/âges/sexes de B. germanica à des papiers filtres imprégnés de phéromones émises par des femelles pleines ou non. Tous les groupes ont été attirés par les papiers traités, mais les attractions des stades larvaires moyens ou âgés ont été inférieures aux autres. 4 groupes sur 6 ont été plus attirés par le papier traité avec des femelles ne contenant pas d'oeufs mûrs que par les femelles pleines, ce qui suggère une plus forte émission par les femelles sans oeufs mûrs. Les stades larvaires moyens ont été les seuls à être plus attirés par le papier traité avec les femelles pleines. Les femelles ne contenant aucun oeuf ne manifestent aucune préférence. La tendance à former des amas inégaux était moins nette pour les stades larvaires moyens et âgés que pour les autres groupes. Les premiers stades ont montré une tendance très nette à se rassembler sur le même papier. Le rassemblement de mâles adultes sur du papier traité avec des femelles ne contenant pas d'oeufs peut avoir été partiellement une réponse à la phéromone sexuelle femelle qui avait imprégné le papier pendant le conditionnement.
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7.
Wheat (Triticum aestivum L.) and barley (Hordeum vulgare L.) stems in the Negev Desert of southern Israel are subject to mass infestations by stem sawflies larvae, primarily Trachelus tabidus F. (Cephidae, Hymenoptera). Infestations up to 55% and 50% in wheat and barley, respectively, were found in 1982/83. In addition, up to 8.6% of wild oat (Avena sp.) stems were cut by sawfly larvae in June 1983.The phenology of the insects was studied in 1981 to 1983 using yellow watertraps to catch adults and by dissecting infested stems to establish the pre-imaginal stages. Adults emerged at the end of February at magen and at the beginning of March at Gilat. Eggs and newly emerged larvae appeared in April. Larvae in diapause were found in cut stubs at the end of April and beginning of May. Pupae were found at the end of January and February.Of the sawfly specimens trapped in 1982 and 1983, the great majority was identified as T. tabidus and less than 5% as Cephus pygmaeus (Cephidae, Hymenoptera). The males of the sawflies appeared 4–6 days before the females, and were less numerous than them.About 12% of the larvae were parasitised by Tetrastichus sp. (Chalcidoidea, Eulophidae) in wheat, barley and wild oat, and about 4% by Collyria sp. (Ichneumoidea, Ichneumonidae) in wheat and barley stubs.
Résumé Les tiges de blé et d'orge subissent des attaques massives de tenthrèdes dans le désert du Négev au Sud d'Israël. Des attaques atteignant 55 et 50,4% ont été observée respectivement sur blé et orge en 1982/83.De plus, jusqu'à 8,6% de tiges d'avoine sauvage ont été coupées par les larves de tenthrèdes en juin 1983.La phénologie des insectes a été étudiée de 1981 à 83 en utilisant des pièges jaunes pleins d'eau pour capturer les adultes et en disséquant les tiges attaquées pour déterminer les stades préimaginaux.Les adultes ont émergé à fin de février et au début mars. Les oeufs et les larves sont apparus en avril. Les larves en diapause ont été trouvées dans les souches coupées à la fin de janvier et en février.La grande majorité de Cephidae adultes piégés en 1982 et 1983 a été identifiée Trachelus tabidus F., Cephus pygmaeus L. correspondait à moins de 5%. Les mâles de tenthrèdes sont apparus 4 à 6 jours avant les femelles qui étaient plus nombreuses.Environ 12% des larves étaient parasitées par un eulophide (Tetrastichus sp.) sur blé, orge et avoine sauvage, tandis que 3,6% l'étainent par un ichneumonide (Collyria sp.) dans les souches de blé et d'orge.
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8.
Casual observations suggested that female Mediterranean fruit flies (Ceratitis capitata Wiedemann) exploit fruit wounds (including pre-existing oviposition punctures) as oviposition sites. This behaviour was quantified under field conditions in a citrus grove on the Greek island of Chios. Fruit wounds influenced oviposition behaviour in three ways. First, females were more likely to land on oranges (Citrus sinensis) that were artificially wounded than into unwounded control oranges. Second, having landed, females were more likely to attempt oviposition into a wounded orange than into control oranges. Third, females that attempted oviposition into wounded oranges usually did so directly into or very near the wound. The diameter and depth of the wound significantly influenced the tendency for female flies to land on a fruit but not their propensity, having landed, to attempt oviposition in or near the wound. The significance of this behavior in nature and implications for management of the Mediterranean fruit fly are discussed.
Résumé Des observations fortuites nous ont suggéré que C. capitata Weidemann utilise les blessures des fruits, y compris d'anciennes piqûres de ponte, pour déposer ses oeufs. Ce comportement a été quantifié dans une orangeraie de l'île grecque de Chios. Les blessures des fruits influent sur la ponte de 3 façons. D'abord, les femelles atterissent plus fréquemment sur les oranges, Citrus sinensis, artificiellement blessées que sur les fruits intacts. Ensuite, après atterrissage, les femelles tentent plus souvent de pondre sur une orange blessée que sur des oranges intactes. Enfin, les femelles pondent directement dans la blessure ou à proximité. Le diamètre et la profondeur de la blessure influent sur la tendance à l'atterrissage, mais non sur les tentatives de ponte dans la blessure ou près d'elle. La signification de ce comportement dans la nature et ses conséquences sur la lutte contre C. capitata sont discutées.
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9.
The sex ratio of the progeny of single females parasitizing large hosts favoured the females (sex ratio=0.26); but on small hosts favoured the males (0.73). No differences in mortality of the sexes were detected. The sex ratio was independent of female age when large hosts were used. The percentage of males observed in the progeny of the first day of female oviposition was significantly greater than the mean, irrespective of the age at which female oviposition began. When females were exposed to small hosts, a greater percentage of females was observed in the progeny from the last days of oviposition.
Résumé L'influence de la taille de l'hôteret de l'âge de la femelle sur le taux sexuel de la descendance a été étudiée sur le parasitoïde Opius concolor Szépl.Le taux sexuel de la descendance des femelles isolées est favorable aux femelles (t.s.=0,26) quand elles ont à leur disposition des hôtes de grande taille, tandis qu'avec des hôtes petits le taux sexuel est favorable aux mâles (t.s.=0.73). On n'a pas détecté de mortalité différentielle des sexes.Les pourcentage de mâles obtenu le premier jour de ponte des femelles sur les hôtes de grande taille est significativement différent de la moyenne, indépendamment de l'âge de la femelle à ce moment. Cependant, sur des hôtes petits, bien que restant favorable aux mâles dans l'ensemble, une plus grande proportion de femelles à partir des premiers jours de ponte a pu être observée.
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10.
An olfactometer was used to determine the effect of pheromones released by females of the bollworms Heliothis armigera (Hübner) and H. zea (Boddie) on females of the same species. Four combinations of virgin and mated females were tested for repellency of one to the other. Evidence is presented that females of the two bollworms were repelled by females of the same species. In addition, extracts of virgin female abdomens of each species repelled virgin females of the other species.
Résumé L'examen en olfactomètre a porté sur les réactions face à d'autres femelles de la même espèce, de femelles vierges ou ayant copulé d'Heliothis armigera Hübner et H. zea Boddie. Le lot comprenait 8 femelles, vierges ou ayant copulé en présence d'une femelle vierge ou ayant copulé. Les 4 combinaisons possibles de femelles vierges et de femelles ayant copulé ont été examinées avec 12 répétitions pour chaque espèce. Un extrait de l'extrémité de l'abdomen de femelles vierges d'une espèce a été présenté aux femelles de l'autre espèce pour examiner les possibilités de réactions interspécifiques aux phéromones.Pour chaque espèce, les réactions interspécifiques de répulsion entre femelles ont été hautement significatives par rapport aux témoins, à l'exception toutefois des réactions de femelle ayant copulé face à des femelles ayant elles aussi copulé. Les répulsions moyennes chez H. armigera et H. zea pour les 8 femelles de chaque expérience ont été: a) vierges en présence d'une vierge: 7,33 et 7,66; b) vierges en présence d'une femelles ayant copulé: 5,76 et 5,58; c) femelles ayant copulé en présence d'une vierge: 4,67 et 4,83. Les différences sont hautement significatives entre chaque paire de moyennes et entre chaque paire et le lot témoin; 3,17; 3,17; 3,42; 4,00 pour H. armigera; 3,17; 3,50; 2,83 et 3,75 pour H. zea.Les femelles vierges des deux espèces, H. armigera et H. zea ont présenté une réaction de répulsion en présence d'un extrait de l'abdomen de l'autre espèce; les répulsions moyennes étant respectivement 5,53 et 5,33 contre 3,83 et 3,58 pour le lot trémoin.On peut en conclure que ces répulsions doivent entraîner une tendance à la répartition uniforme.
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11.
If larvae start to feed on dry or germinating wheat, they take as much food, and a similar proportion of embryo and endosperm, at each feeding. However, they feed twice as frequently on germinating wheat than on dry wheat, and therefore consume twice as much of the former than of the latter. It is suggested that an olfactory attractant may diffuse out from germinating wheat. The larvae gained as much weight on embryo or endosperm as on whole kernels of germinating wheat. The gain in weight on each of these foods was significantly greater than on hard seeds. Forty-four percent of those provided with whole dry seeds, 22 percent with whole germinating seeds, 26 percent with endosperm and 18 percent with embryo of germinating wheat moulted during the 28-day period. No diapause occurred in larvae fed only on endosperm of germinating wheat for 80 days.
Sommaire Les larves du taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), furent élevées individuellement pendant 28 jours dans des éprouvettes pourvues de ouate humide, d'une graine sèche de blé, ou d'un embryon, d'une graine entière de blé germé, et bouchées d'un tampon d'ouate non-absorbante. Les larves mangèrent pendant deux fois plus de jours les graines germées que les graines sèches. Cependant, la consommation journalière et le rapport d'embryon à l'endosperme furent semblables avec les deux graines. Les larves entrèrent presque toujours dans les graines par l'embryon, probablement à cause d'un péricarpe plus mince dans cette région.Le comportement général des larves suggère qu'un facteur olfactif attrayant soit diffusé pendant la germination et que ce facteur soit du premier rang comme déterminant d'attaque par le taupin. Ni la teneur en eau de la graine, ni la dureté de l'épisperme parut être important à cet égard.Le poids des larves augmenta également avec l'embryon, l'endosperme, et la graine entière de blé germé et significativement plus qu'avec la graine entière de blé sec. Aucune evidence d'une diapause ne fut observée quand les larves ne mangèrent que de l'endosperme du blé germé pendant 80 jours.


Contribution No. 18, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Sask.  相似文献   

12.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
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13.
Adult female Blattella germanica (L.) (Dictyoptera: Blattellidae) carrying oothecae were confined in cages with bait formulations of boric acid or hydramethylnon at 90% r.h. and either 20° or 28° C until all had been killed. Females poisoned by hydramethylnon retained their oothecae at death, while a considerable proportion of those killed by boric acid deposited their oothecae prematurely. Oothecae from both groups of insects were monitored until they either hatched or lost viability. Oothecae from both 7–14 day old adults and 14–21 day old adults poisoned with hydramethylnon showed reduced hatching relative to controls at 20° but not at 28 °C, an effect attributed to premature loss of water-exchange between oothecae and female adult during the maturation process. Fewer oothecae hatched from females poisoned with boric acid at both temperatures, and the proportion of those which did hatch was higher in the group retained by the female at death than in the group prematurely deposited. These results for the boric acid-treated females and results which showed no significant difference between the hatch of oothecae from hydramethylnon-treated females and decapitated females suggested that transfer of insecticide from treated female to oothecae was not important in reducing hatch for either compound. Reinfestation as a consequence of the failure of conventional blatticides to prevent hatching of oothecae carried by female B. germanica is discussed.
Résumé Des femelles adultes de B. germanica, maintenues à 20° ou 28° C et 90% HR, ont été exposées, 7 à 14 jours ou 14 à 21 jours après l'émergence à des appâts contenant de l'hydraméthylnone ou de l'acide borique. Empoisonnées par l'hydraméthylnone les femelles retiennent leur oothèque jusqu'à la mort, tandis que empoisonnées par l'acide borique, elles déposent leur oothèque prématurément. Toutes les oothèque des femelles empoisonnées ont été maintenues dans les mêmes conditions écologiques jusqu'à ce qu'elles éclosent ou se révèlent non viables. Avec l'acide borique, une réduction des naissances a été observée pour les oothèques des mères des 2 classes d'âges et aux 2 températures, ce qui n'a eu lieu qu'à la température basse avec l'hydraméthylnone. L'effet ne semble pas dû au transfert de l'insecticide de la femelle à l'oothèque et est plus probablement provoqué par la fin des échanges d'eau entre la mère et l'oothèque, à la mort ou lors de l'émission prématurée. Pour les femelles traitées à l'acide borique, la proportion d'éclosion d'oothèques est plus importante chez les femelles ayant retenu leur oothèque jusqu'à la mort que chez celles qui les ont émises prématurément. Les femelles empoisonnées lors d'opérations d'éradication peuvent mourir ou déposer leurs oothèques loin des zones traitées; les larves éclosant de ces oothèques peuvent maintenir la contamination.
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14.
The effects of diet during the fifth stadium on performance of adult N. viridula were determined through comparing growth, fecundity, and duration of tethered flight of insects reared on four axenic diets: fresh green bean, raw-shelled peanut, a combination of the two and soaked soybean seed. Females reared on the combination diet were heavier than those reared on green beans and oviposited more than those reared on peanuts. Three-day-old adult females reared on peanuts flew longer than those reared on green beans. More females reared on diets containing mature seed showed a capacity for extended flight and had larger fat bodies at 34-days postemergence. Thus, inadequate diet during the fifth stadium irreversibly affected growth, development, reproduction and flight capacity.
Résumé Les effets du régime alimentaire pendant le 5ème stade sur les performances imaginales de N. viridula ont été déterminés en comparant la croissance, la fécondité, la durée du vol captif, et l'accumulation de corps gras chez des insectes élevés sur 4 régimes stérilisés. A partir de la formation des larves de 5ème stade, elles ont été alimentées sur haricots verts et arachides, ou transférées sur un régime formé exclusivement d'arachides, ou de haricots verts, ou de graines de soja trempées, cependant la durée du 5ème stade. Les insectes ont été transférés sur un régime de haricots verts et arachides à leur émergence.Les femelles élevées continuellement de haricots verts et arachides étaient plus lourdes (P<0,01) à l'émergence (161,6 mg) que celles élevées sur haricots verts (146,3 mg) pendant le 5ème stade, et pondent plus d'oeufs (P<0,08) pendant une durée de 34 jours (100,9 oeufs) que celles élevées sur arachides (54,7 oeufs). Plus de femelles élevées sur haricots verts et arachides (76,2%) pondent que celles élevées sur arachides (61,1%), soja trempé (62,5%), ou haricots verts (60,9%).Les femelles élevées sur arachides volaient plus longtemps (P < 0,01) (42,9 mn) que celles élevées sur haricots verts (19,8 mn) pendant des vols captifs le 3ème jour après l'émergence. 78% de toutes les femelles élevées sur arachides volaient >-30 mn, contre 50% pour celles élevées sur haricots verts et arachides, ou soja trempé, et 35% pour celles élevées sur haricots verts. Seulement 7% des femelles élevées sur haricots verts volaient à la 60ème minute à la fin du test, contre 25% pour les femelles soja trempé, 33% pour les femelles haricots verts et arachides, et 47% pour celles élevées sur arachides. Les femelles ont été disséquées 34 jours après l'émergence pour déterminer l'importance du corps gras. Les indices de corps gras (Kiritani, 1963) montraient que les femelles élevées sur arachides (1,8) et graines de soja (1,7) ont apparemment un corps gras plus développé que celles élevées sur haricots verts et arachides (1,5), our haricots verts (1,2), pendant le 5ème stade.Ces résultats montrent que l'alimentation pendant le dernier stade larvaire de N. viridula affecte irréversiblement la croissance, la fécondité et l'aptitude au vol des femelles. En estimant que des résultats semblables auraient été obtenus avec des insectes élevés sur ces 4 aliments depuis l'éclosion, haricots verts et arachides constituent le meilleur aliment pour l'élevage de N. viridula. Ce régime fournit une graine mûre, vraisemblablement nécessaire pour l'accumulation d'un corps gras suffisant et une aptitude au vol migratoire, et une plante verte qui fournit les aliments apparement essentiels à l'ovogenèse.
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15.
The probing behavior of greenbugs, Schizaphis graminum (Rondani), and oat-bird cherry aphids, Rhopalosiphum padi (L.), was electronically monitored on healthy oats, Avena sativa (L.), and on oats infected with the RPV-NY isolate of barley yellow dwarf virus (BYDV). S. graminum fed better on infected oats than on healthy oats. This was manifested by a shorter time before initiation of committed phloem ingestion, and by increased duration of ingestion from phloem of infected compared to healthy plants. In addition, on infected oats S. graminum made fewer interruptions in their probing once their stylets were inserted into tissues, including phloem. R. padi fed similarly on infected and healthy oats, except that these aphids made fewer short probes to the phloem (lasting <15 min) on infected compared to healthy oats. BYDV infection of oats increased the rate of population growth of S. graminum relative to that on healthy oats but had no effect on the population growth of R. padi. The proportion of aphids of R. padi which developed into alatae on BYDV-infected oats was significantly greater than on healthy oats, but S. graminum showed no such response.
Résumé Le comportement de sondage de S. graminum (Rond.) et de R. padi (L.) a été suivi électroniquement sur avoine (Avena sativa L.) saine ou contaminée par l'extrait RPV-NY du virus jaune du nanisme de l'orge (BYDV). S. graminum s'est mieux alimenté sur avoine contaminée que saine; ceci se traduisait par un temps de latence inférieur avant l'ingestion de phloème et par une prolongation de la période d'ingestion. De plus, sur avoine contaminée, S. graminum a moins souvent interrompu le sondage, une fois que les stylets avaient étè insérés dans les tissus, y compris le phloème. Les résultats avec R. padi présentaient les mêmes tendances, mais les améliorations des performances alimentaires de cette espèce sur avoine contaminée ont été moins nettes que pour S. graminum. La contamination de l'avoine par BYDV a accru le taux de croissance de la population de S. graminum par rapport à ce qui a été observé sur avoine saine; l'effet était moins prononcé pour R. padi. La proportion de pucerons devenant aliés était plus élevée sur avoine contaminée que saine, rien de tel n'a été observé avec S. graminum.
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16.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
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17.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
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18.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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19.
Photoperiod, temperature, food and population density are all factors commonly used as cues for diapause regulation in insects. This study shows that also copulation can be of importance in the regulation of adult female reproductive diapause. In Lygaeus equestris L. the frequency of ovipositing, i.e. non-diapausing, females reared under short day conditions (18L:6D, and 30°C), was significantly higher when they had been isolated with mating than with non-mating (=diapausing) males. Females reared under long day conditions (22L:2D, and 30°C) showed a small but non-significant effect of copulation, and they generally laid eggs whether they were mated or not. The results indicate that, under the conditions in these experiments, three types of females can be distinguished: females (1) diapausing independently of copulation, (2) non-diapausing independently of copulation, and (3) non-diapausing provided copulation has taken place. The proportion of females for which copulation is a determinant of direct development, was estimated at 0.26 under short day conditions, and at 0.08 under long day conditions, respectively.
Resumé La photopériode, la température et la nourriture sont des facteurs habituellement utilisés comme stimuli induisant la diapause chez des insectes. Cette étude montre que la copulation peut aussi être importante dans la régulation de la diapause reproductive des femelles. Chez. L. equestris L., la fréquence des femelles pondeuses, c'est-à-dire non diapausantes, élevées en jours courts (18L/6D et 30°C), a été significativement plus élevée après isolement avec des mâles actifs au lieu de mâles diapausants. Des femelles, élevées en jours longs (22L/2D et 30°C), ont présenté un léger, mais non significatif, effet de la copulation; elles ont généralement pondu, qu'elles se soient accouplées ou non.Les résultats révèlent trois catégories de femelles: (1) des femelles avec diapause, qu'il y ait ou non copulation, (2) des femelles sans diapause, qu'il y ait ou non copulation, (3) des femelles sans diapause, à condition qu'il y ait copulation.En jours courts, les fréquences des trois catégories ont été respectivement à 0,46; 0,28 et 0,26. En jours longs, respectivement à 0; 0,92 et 0,08. II est possible que les femelles proches de leur seuil d'induction de la diapause-en fonction de la photopériode et de la température-sont les plus aptes à utiliser la copulation comme stimulus additionnel pour induire un développment direct. Cette hypothèse s'appuie sur les proportions de femelles affectées par la copulation en jours longs et courts.
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20.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

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