Escherichia coli single-stranded DNA binding protein (SSB) plays essential roles in DNA replication, recombination and repair. SSB functions as a homotetramer with each subunit possessing a DNA binding domain (OB-fold) and an intrinsically disordered C-terminus, of which the last nine amino acids provide the site for interaction with at least a dozen other proteins that function in DNA metabolism. To examine how many C-termini are needed for SSB function, we engineered covalently linked forms of SSB that possess only one or two C-termini within a four-OB-fold “tetramer”. Whereas E. coli expressing SSB with only two tails can survive, expression of a single-tailed SSB is dominant lethal. E. coli expressing only the two-tailed SSB recovers faster from exposure to DNA damaging agents but accumulates more mutations. A single-tailed SSB shows defects in coupled leading and lagging strand DNA replication and does not support replication restart in vitro. These deficiencies in vitro provide a plausible explanation for the lethality observed in vivo. These results indicate that a single SSB tetramer must interact simultaneously with multiple protein partners during some essential roles in genome maintenance. 相似文献
Submarine elevations and ridges present an array of definitional uncertainties to coastal states that are engaged in the high-stakes process of delimiting extended continental shelves. Faced with the imprecise terminology of Article 76, with the nonspecific wording of the Scientific and Technical Guidelines of the Commission on the Limits of the Continental Shelf (CLCS), and with the Commission's rules of confidentiality that hamper the open exchange of information concerning ridge and elevation assessments in previous continental shelf implementations, a coastal state needs to develop its own evaluations of what might and might not pass the “test of appurtenance.” Significant components of a continental shelf submission might thus be formulated on the basis of these national evaluations, only to have the CLCS question them, which could necessitate a potentially expensive and time-consuming reworking of the submission. This article outlines the ramifications of this wild card effect. 相似文献
L’anatomie des segments, des jonctions et des articulations du métasoma est comparée après dissection de 86 espèces de fourmis représentant les principaux taxons actuellement reconnus, à l’exception des Formicinae, des Dolichoderinae et de quelques taxons isolés. À la suite des travaux modernes, l’attention s’est d’abord portée sur le segment IV et sur la notion de présclérite, mais il s’est avéré que pour bien comprendre la morphologie et l’évolution de ce segment, il fallait étudier le segment III, puis le segment II et enfin le propodeum. Deux concepts nouveaux sont introduits : celui de présegmentation et celui de processus postérograde. La présegmentation d’un segment désigne la transformation de la partie antérieure d’un segment. Elle conduit à la formation d’un ou deux présclérites et dans le cas du segment II à celle d’une structure articulaire compacte, le manubrium, à l’étranglement en arrière du présegment et à la pétiolation ou formation d’un pétiole. L’observation de séries d’ouvrières de fourmis montre que la présegmentation d’un segment est toujours précédée par celle du segment précédent (il n’y a pas de postpétiole sans pétiole, etc.), ce qui aboutit à la transformation progressive du métasoma, de l’avant vers l’arrière à partir du segment II ou processus postérograde. Cette étude est étendue à plusieurs familles d’aculéates parmi lesquelles nous avons sélectionné quelques espèces dont le métasoma antérieur est moins évolué que celui des fourmis actuelles. Le rapprochement de ces espèces avec les fourmis permet de repérer des homologies susceptibles de contribuer à la compréhension de l’évolution ancestrale des fourmis et de leur état actuel, en particulier de l’origine des latérosclérites du segment II. Ceci conduit à un classement des architectures métasomatiques en groupes basés sur une typologie du présegment III. On peut ainsi distinguer trois groupes principaux d’architecture : ponériforme, doryliforme et myrmiciforme. 13 diamètres sont par ailleurs mesurés sur les segments II, III et IV. L’analyse en composantes principales de 12 de ces mesures permet de constater qu’il est possible de caractériser les groupes d’architecture par des combinaisons linéaires de ces mesures. On le vérifie par des AFD des trois grands groupes d’architecture dans lesquels rentrent la presque totalité des fourmis étudiées. Les groupes d’architecture sont presque tous bien discriminés par AFD, mais quelques exceptions doivent être expliquées. Des analyses complémentaires permettent d’imputer cette anomalie à l’existence dans les groupes architecturaux, d’espèces mono et bipétiolées. On obtient en conséquence une discrimination complète des trois groupes en effectuant des AFD séparées des espèces monopétiolées et des espèces bipétiolées. Ceci illustre l’effet de la postpétiolation sur la géométrie des segments au cours du processus postérograde. Ce processus est également illustré par le calcul de coefficients de corrélation entre des mesures effectuées sur les deux premiers segments, et les autres mesures. Ceci peut être expliqué par la propagation postérograde de contraintes de développement. Durant l’évolution, le processus postérograde est combiné à deux autres types de transformations : l’involution progressive des structures intercalaires du segment II, qui préexistaient vraisemblablement chez les ancêtres crétacés des fourmis actuelles, et différentes transformations aléatoires de l’abdomen, plus ou moins directionnelles, mais cumulatives. La classification des sous-familles en groupes Ponéroïde, Doryloïde et Myrmicoïde peut être alors déduite du classement des architectures, mais un petit nombre de genres ne rentre pas dans ces trois groupes. Leurs affinités ne peuvent être comprises que par la prise en compte de caractères anatomiques ou architecturaux de la tête et du thorax. On obtient alors une classification proche de la récente classification « intuitive » de Bolton (2003), mais avec des justifications très différentes. Cette nouvelle classification est la suivante :
1. – Architectures du métasoma semblables dans chaque groupe et cohérence architecturale
1.1. – Complexe Ponéroïde (présegment III hémi-annulaire, architecture thoracique ponériforme)
1.1.1. – Groupe Ponéroïde: Amblyoponinae, Ponerinae, Ectatomminae, Paraponerinae
1.1.2. – Groupe Myrmécioïde: Myrmeciinae, Pseudomyrmecinae
2. – Architectures du métasoma dissemblables au sein de chaque groupe. Classement basé sur d’autres critères
2.1. – Complexe Apomyrmoïde (1) (basé sur l’architecture thoracique); Apomyrminae (présegment III hémi-annulaire), Leptanillinae (présegment III atypique par rapport aux types annulaire, pseudo-annu- laire et hémi-annulaire)
2.2. – Complexe Procératinoïde (basé sur l’architecture céphalique): Proceratiini (présegment III annulaire: Discothyrea, présegment III pseudo-annulaire: Proceratium); Probolomyrmecini (présegment III hémi-annulaire: Probolomyrmex)
3. – Architectures inclassables: Aneuretinae (présegment III pseudo-annulaire); Leptanilloidinae (présegment III annulaire selon Brandao et al., 1999)
4. – Architectures formiciformes (presegment III différent des précédents): Dolichoderinae, Formicinae (non étudiées en détail)
Lanalyse conduit à l’établissement d’un cladogramme. Celui-ci est implicitement une phylogénie non enracinée, mais incomplète. La présente étude montre que les complexes Ponéroïde, Doryloïde et Myrmicoïde sont monophylétiques. Mais la topologie des sous-familles qui les composent ne peut pas être résolue par l’étude du métasoma parce que toutes les fourmis connues sont déjà parvenues au stade 3 ou en limite 2–3 (genre Adetomyrma). Pour établir des liens de parenté entre ces complexes, il faudrait recourir à l’étude de l’architecture céphalique ou thoracique. On a limité ici cette recherche à celle de synapomorphies permettant de renforcer l’identité des trois grands complexes et d’établir une parenté entre quelques sous-familles réunies dans les complexes Apomyrmoïde et Procératinoïde dont les repré- sentants possèdent des architectures métasomatiques très différentes. 相似文献
The group 1 pathogenesis-related (PR-1) proteins have long been considered hallmarks of hypersensitive response/defense pathways in plants, but their biochemical functions are still obscure despite resolution of the NMR/X-ray structures of several PR-1-like proteins, including P14a (the prototype PR-1). We report here the characterization of two basic PR-1 proteins (PR-1-1 and PR-1-5) recently identified from hexaploid wheat (Triticum aestivum). Both proteins were expressed in Pichia pastoris as a single major species of ∼15 kDa. Sequence identity of the expressed PR-1 proteins was verified by MALDI-TOF/TOF analysis. Accumulation of the native PR-1-5 protein in pathogen-challenged wheat was confirmed by protein gel blot analysis. Low-temperature SDS-PAGE and yeast two-hybrid assays revealed that PR-1-1 exists primarily as a monomer whereas PR-1-5 forms homodimers. Both PR-1 proteins are resistant to proteases compared to bovine serum albumin, but PR-1-1 shows resistance mainly to subtilisin and protease K (serine proteases) whereas PR-1-5 shows resistance to subtilisin, protease K and papain (a cysteine protease). Site-specific mutations at the five putative active sites in the PR-1 domain all affected dimerization, with the mutations at Glu-72 and Glu-102 (in the PR-1-5 numeration) also diminishing protease resistance. Sequence analysis revealed that the Glu-72 and Glu-102 residues are located in motif-like sequences that are conserved in both PR-1 and the human apoptosis-related caspase proteins. These findings prompt us to examine the function of PR-1 for a role in protease-mediated programmed cell death pathways in plants. 相似文献