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1.
Summary Strains ofRhizobium phaseoli were evaluated with respect to their ability to grow or survis when subjected to various stresses common to soils of the tropics. These stresses included low pH, high Al and Mn. In liquid culture 10 strains ofR. phaseoli all grew well at pH 5.0, a few strains grew at pH 4.5 and one at pH 4.0. Some strains grew at pH 4.0 after repeated transfer to medium at this pH, but this characteristic remained stable for only one strain, S-442, which combined a tolerance to low pH with an improved tolerance to Al and Mn compared to the parent strain P-442. Survival studies of S-442 and P-442 in three acidic Brazilian soils, at their natural pH (4.2–4.6) and when limed to near neutral pH, showed little difference in numbers after a 21–30 day period. Only a one log cycle decrease in numbers of P-442 occurred in the Erechim soil that had a 185 mol/l Al concentration in the soil saturation extract. Strains ofR. phaseoli were screened for their ability to grow in liquid culture at pH 5.0 in the presence of Al up to 100 mol/l (16 strains) and Mn up to 320 g/ml (13 strains). Strains differed in relative tolerance to both Al and Mn with some strains being capable of excellent growth at the highest concentrations of Al and Mn employed. With the exception ofR. phaseoli (C-12) the ability to tolerate high levels of Mn did not show any relationship to Al tolerance. It was concluded that soil stress factors need not have a serious impact on survival ofR. phaseoli in soils because sufficient variability in tolerance to these factors occurs naturally among strains.
Resumen Se evaluaron cepas deRhizobium phaseoli en relación con su habilidad para crecer o sobrevivir bajo las condiciones de stress que son habituales de suelos tropicales. Estas condiciones comprenden bajos pH y altas concentraciones de Al y Mn. Diez cepas deR. phaseoli crecieron bien, en cultivo líquido, a pH: 5; tan solo algunas lo hicieron a pH: 4.5 y únicamente una cepa creció a pH: 4.0. Aunque varias cepas consiguieron crecer a pH: 4.0, tras transferencias sucesivas a un medio con dicho pH, esta característica solo logró establizarse en la cepa S-442 que combinó esta tolerancia a la acidez con un incremento en la tolerancia a Al y Mn comparada con la cepa parental P-442. Se realizaron estudios sobre la supervivencia de las cepas S-442 y P-442 en tres suelose ácidos del Brasil, en estado natural (pH: 4.2–4.6) y neutralizados con cal. Se observaron pocas diferencias cuantitativas al cabo de un periodo de 21–30 dias un solo ciclo Log de P-442 mostró una disminución numérica en un suelo denominado Erechim que contenía 185 mol/l de Al medido en extracto de pasta saturada. Se estudió la capacidad de cepas deR. phaseoli para crecer en cultivo liquido a pH: 5.0 en presencia de hasta 100 mol/l de Al (16 cepas) y 320 g/ml de Mn (13cepas), algunas de estas cepas fueron capaces de crecer a las máximas concentraciones de Al y Mn utilizadas. ExceptuandoR. phaseoli (C-12) la tolerancia a niveles altos de Mn no estaba correlacionada con la tolerancia al Al. Se concluyó que estos factores edáficos de stress no deberían de tener efecto alguno en la supervivencia deR. phaseoli en suelo, ya que existe una variabilidad natural de tolerancias a dichos factores suficiente para garantizar esta supervivencia.

Résumé Des souches deRhizobium phaseoli ont été téstées pour leur aptitude à se développer et à survivre lorsqu'elles soumises à diverses contraintes habituelles dans les sols tropicaux, c'est à dire des pH acides et à de fortes teneurs en Al et Mn. En culture liquide, 10 souches deR. phaseoli ont toutes poussé à pH 5,0, un petit nombre à pH 4,5 et une seule à pH 4,0. Certaines souches parviennent, après repiquages répétés, à se developper à pH 4,0; mais ce caractère ne s'est stabilisé que dans le cas d'une seule souche (S-442), qui présente à la fois une résistance à l'acidité et une tolérance accrue à Al et Mn par rapport à la souche originelle P-442. L'étude de la survie de S-442 et P-442 dans trois sols brésiliens acides, à leur pH naturel (4,2–4,6) et après chaulage à pH neutre, n'a montré au bout de 21 à 30 jours que de faibles différences numériques. Dans le sol d'Erechim, où la concentration en Al est de 185 mol/l, on n'a constaté dans l'extrait de sol à saturation qu'une diminution de la population d'un seul facteur logarithmique. Des souches deR. phaseoli ont été téstées pour leur aptitude à pousser en milieu liquide à pH 5,0 et en présence de concentrations allant jusqu'à 100 mol/l d'Al (16 souches) et 320 g/l de Mn (13 souches). Les souches différent en ce qui concerne leur résistance à la fois à Al et à Mn, certaines étant capables de se développer très bien aux concentrations en Al et Mn les plus élevées. A l'exception deR. phaseoli C-12, la tolérance aux fortes concentrations en Mn ne présente aucune corrélation avec la résistance à Al. En conclusion, les facteurs d'agression n'ont pas d'effet important sur la survie deR. phaseoli dans le sol, étant donné que le tolérance des souches à ces facteurs peut varier de façon suffisante.
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2.
Résumé Cette note décrit l'application de la technique de culture en dialyse continue à Nitrobacter. La culture ne peut pas être maintenue en phase exponentielle beaucoup plus longtemps par cette méthode que dans le cas où les nitrates peuvent s'accumuler dans le milieu de culture. Toutefois, la croissance continue à vitesse constante au lieu de s'arrêter complètement, et l'on peut atteindre une concentration de quelque 500 mg de matière sèche au litre. Il est montré que c'est la diffusion du nitrite à travers la membrane qui limite la croissance bactérienne et que si l'on augmentait la quantité de nitrite diffusée une nouvelle limitation de la croissance due cette fois à un apport d'oxygène insuffisant ne tarderait pas à se manifester.
Summary This note describes the use of continuous dialysis for growing Nitrobacter.It is not possible to keep Nitrobacter growing exponentially during a much longer time by this method than when nitrate is not dialyzed from the culture medium. However, growth continues at a constant velocity instead of stopping and a cell concentration of about 500 mg per 1 (dry weight) is easily reached. It is shown that nitrite diffusion through the membrane is rate limiting for growth and that increase of the amount of nitrite diffusing through the membrane would soon lead to another rate limiting process, namely oxygen diffusion through the medium from the air bubbles.


Aspirant du Fonds national de la recherche scientifique.  相似文献   

3.
Summary Candida wickerhamii produces one endocellular and one exocellular -glucosidase. Both enzymes are repressed by glucose in the wild-type strain. In the M7 mutant ofC. wickerhamii, which was previously demonstrated to be derepressed for endocellular -glucosidase biosynthesis, the exocellular -glucosidase is derepressed and hyperproduced when cellodextrins are added to the culture medium. This enzyme, which was produced constitutively in the wildtype, has thus become inducible in the M7 mutant strain. The interest of this strain for industrial production of -glucosidases is discussed.
Resumen Candida wikerhamii produce dos -glucosidasas: una endocelular y otra exocelular. Ambos enzimas son reprimidos por glucosa en la cepa salvaje. Al añadir celodextrina al medio de cultivo del mutante M7 deC. wickerhamii, en el cual se ha demostrado ya la desrepresión de la síntesis de -glucosidasa endocelular, se desreprime la -glucosidasa extracelular obteniéndose una hiperproducción de este enzima. Dicho enzima que era producido de forma constitutiva en el tipo salvaje, se ha convertido en inducible en la cepa mutante M7. Se discute el interés de esta cepa para la producción industrial de -glucosidasas.

Résumé Candida wickerhamii produit deux -glucosidases, l'une endo- et l'autre exocellulaire. Les deux enzymes de la souche sauvage sont réprimées par le glucose. Le mutant M7, chez qui il a été antérieurement constaté que la synthèse de la -glucosidase endocellulaire est déréprimée, l'enzyme exocellulaire est elle aussi déréprimée et hyper-produite lorsque des cellodextrines sont ajoutées au milieu de culture. Cette enzyme, qui est constitutive chez la souche sauvage, est donc devenue inductible chez le mutant M7. Cette souche est intéressante pour la production industrielle de -glucosidases.
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4.
Paul Sentein 《Chromosoma》1968,24(1):67-99
Résumé L'acide butyrique M/1000 agit sur les mitoses de segmentation en provoquant trois sortes d'anomalies: 1) dispersion de systèmes fibrillaires mitotiques monocentriques (cytasters) ou monopolaires (hémifuseaux), 2) concentration en un système multipolaire plus ou moins cohérent, 3) systèmes fibrillaires mitotiques en sphère creuse. Le premier type apparaît à l'ana-télophase, le second à la métaphase, le troisième à la prophase; une forme de transition s'observe à la télo-prophase. La dispersion des centres secondaires à l'ana-télophase est en relation avec le fait que ces phases correspondent à la période normale de fibrillogenèse externe, où les fibrilles se tendent des pôles vers la membrane. Normalement elles commencent à régresser aussitôt après avoir atteint celle-ci (phénomène de feed-back). Leur réorganisation anormale vers de multiples centres de convergence confirme d'une part que tout affaiblissement de l'activité polaire entraîne une libération de centres cellulaires autonomes, d'autre part que cette activité est insuffisamment affaiblie pour déterminer une diminution très importante de la fibrillogenèse. La concentration en un système multipolaire, à la métaphase (maximum de la fibrillogenèse interne) correspond à l'orientation de la fibrillogenèse vers les centromères des chromosomes et celle-ci persiste même quand ceux-ci sont ramollis et fortement agglutinés par l'action de l'acide butyrique. Les systèmes fibrillaires en sphères creuses à la prophase sont la manifestation d'une intermittence qui se produit à la régression de la fibrillogenèse interne: il s'agit d'une sorte de vague, qui entraîne tous les systèmes fibrillaires vers une région centrale. Le système fibrillaire du diastème est toujours en balancement avec les systèmes fibrillaires de la mitose, c'est-à-dire qu'il tend à s'épandre et à bourgeonner, chaque fois que ceux-ci sont plus ou moins diminués. Les relations de ces systèmes entre eux sont expliquées par une conception générale de la genèse des fibrilles.La concentration à M/100 agit plus vite et produit seulement des pôles creux: à la prophase on observe une inversion de la fibrillogenèse qui se développe vers l'extérieur, comme l'aster, au lieu de former un fuseau vers le noyau.En face des mitoses habituelles, qui ont une fonction distributive, car elles se bornent à répartir dans les cellules-filles le matériel genétique et cytoplasmique de la cellule-mère, il faut placer celles qui n'ont pas seulement une fonction distributive, mais aussi une fonction de conservation et de construction: ce sont les mitoses de segmentation, qui doivent préserver jusqu'à la gastrulation l'architecture structurée du cytoplasme de l'uf avec ses différenciations corticales présomptives.
Butyric acid M/1000 induces abnormalities of the segmentation mitoses: 1) dispersion of monocentric mitotic systems at ana-telophase, 2) concentration into a multipolar system at metaphase, 3) fibrillar systems in hollow sphere at prophase. The first corresponds to the external fibrillogenesis (building of aster and orientation of cytoskeleton), the second to the metaphasic internal fibrillogenesis of the spindle, the third to a sweeping of fibrillar system during the reversion of the first to the second mechanism. The diastematic fibrillar system, always in balance with mitotic fibrillogenesis, is abnormal and not efficient. Concentration M/100 acts more quickly and produces an inverted fibrillogenesis at prophase. — The absence of regulation into a predominant bipolar system and the precedence of the furrow inhibition explain the failure of parthenogenesis by butyric acid in amphibians.


A la mémoire d'Eugène Bataillon.  相似文献   

5.
In tests under controlled conditions Anopheles albimanus and A. stephensi were caught in significantly greater numbers by a 4-watt ultraviolet trap with a fan-generated updraft air stream than by a similarly equipped trap with a conventional downdraft air movement. Elevation in the test chambers also affected the traps' performance, which was best near the ceiling, poor near the floor. Mesh size of the hardware cloth screens on the traps influenced only the catches of A. albimanus females. Survival in both traps was improved by reduced air flow. This was accompanied by a marked decrease in total captures by the downdraft trap, but with the updraft model, capture levels were maintained despite substantial reduction in air velocity. The updraft trap therefore showed greater potential for recovery of live specimens. Observations of the mosquitoes' flight behavior near the traps offer an explanation for the superiority of the updraft principle.
Résumé Deux pièges à lumière ultraviolette sont comparés dans leur efficacité pour la capture des adultes Anopheles a.bimanus et A. stephensi en essai au laboratoire. Chaque trappe se compose d'une lampe BLB 4-watt fixée à une extrêmité d'un conduit de métal, l'autre extrêmité s'ouvrant sur une cage de grillage, cependant qu'un aspirateur (moteur 6-volts DC) placé dans le conduit fournit le courant d'air pour attraper les insectes. Dans un premier type de piège l'aspiration de l'air entraîne les insectes vers le bas dans la cage de grillage (downdraft trap), dans un second type les insectes sont au contraire tirés de bas vers le haut avec le courant d'air (updraft trap).Les tests ont été effectués dans les chambres à parois blanches de 1.8 m de côté. Les lampes BLB sont disposées à trois niveaux: (a) le plus haut à 20 cm sous le plafond: (b) le plus central à 91 cm au-dessus du plancher; et (c) le plus bas, 52 cm au-dessus du plancher. Tous les essais ont montré que le piège lumineux du type updraft était le meilleur pour la prise des adultes âgés de 5 à 6 jours. Les pièges disposés sous le plafond ont donné les meilleurs résultats.La survie des insectes capturés était meilleure dans le piège de type downdraft, pour une aspiration de l'air à une vitesse de 171 m/min. En réduisant le voltage à 5 ou 4 volts, la vitesse du courant d'air d'aspiration se réduit à 137 et 110 m/min et on observe une forte amélioration de la survie des insects capturés dans le piège updraft, sans qu'il y eut réduction du nombre des insectes capturés. Mais ce n'est pas le cas avec le piège de type down-draft pour lesquels le nombre des captures se trouve réduit avec diminution du voltage.Les observations du vol des moustiques autour des trappes permettent d'expliquer la supériorité du piège de type updraft.
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6.
Abtract Bruchus affinis Fröl. (Coleoptera: Bruchidae), espèce monovoltine, passe une grande partie de sa vie imaginale en état d'hivernation dans des abris naturels. Les adultes hivernants, sexuellement immatures, peuvent redevenir momentanément actifs à l'occasion de réchauffements temporaires au cours de l'hiver; il est probable qu'ils se nourrissent alors de microorganismes.Les caractéristiques générales de l'équipement osidasique digestif de B. affinis ont été déterminées à partir d'adultes maintenus en conditions artificielles. L'-glucosidase s'est révélée être l'osidase la plus active de l'équipement enzymatique qui, par ordre d'activité décroissante, comporte également une -mannosidase, une -galactosidase, une -mannosidase, une -galactosidase et une -glucosidaseLa comparaison des activités osidasiques des adultes en hivernation à l'extérieur avec celles d'invertébrés de la litière montre que B. affinis pourrait, durant l'hivernation, consommer divers microorganismes (levures, champignons, bactéries,...). B. affinis possèderait en fait un équipement osidasique digestif assez étroitement spécialisé qui, au cours du cycle biologique de l'insecte, pourrait évoluer en fonction des variations saisonnières du milieu trophique.  相似文献   

7.
The phagostimulant effectiveness of substances used in artificial diets for Schistocerca was assessed by comparing the amounts of faecal material produced by hungry hoppers allowed to feed on filter paper soaked in solutions of the substances with the amounts produced when water alone was used on the paper. Sucrose, glucose and wheatgerm oil caused markedly greater faecal production than distilled water alone. Chlorophyll, carotene, casein, peptone, olive oil, a nutritional salt mixture, a mixture of B vitamins, choline chloride and ascorbic acid were no more effective than water. Aqueous extracts of yeast were generally as effective as sugar but sometimes seemed inhibitory at high concentrations. As growth could occur on diets lacking yeast, sugar and wheatgerm oil, the only dietary components found to have pronounced phagostimulatory properties, it appears that special gustatory stimuli are unnecessary for initiating feeding activity in hungry hoppers. This view was later borne out in experiments in which the amounts of various complete diets eaten and the faeces produced from them were compared. No major differences in feeding attributable to palatability were apparent, but the amounts of food taken were found to be related to differences in utilisability. With both Schistocerca and Locusta, the lower the utilisability of the food the greater the amount eaten and for a range of diets of various utilisabilities, including fresh grass, the values obtained by multiplying the amount eaten (dry weight) by the coefficient of utilisation were similar for each species. It is suggested that in locust hoppers special gustatory stimuli are unnecessary for the initiation of feeding and of minor importance in sustaining it. The amount of food taken appears to be largely regulated by its overall utilisability where food of more or less adequate nutritional composition is concerned, a situation not wholly unexpected in insects able to thrive on diverse food plants.
Resume L'effet phagostimulant des substances employées dans les régimes artificiels pour Schistocerca a éte évalué en comparant les quatités de matière fécale produites par des nymphes affamées auxquelles étaient offertes du papier filtre trempé dans de l'eau ou dans des solutions des substances à expérimenter. Le sucrose, le glucose, l'huile de germe de blé et un extrait éthéré de son ont occasioné une excrétion nettement plus grande que celle produite par l'eau distillée seule. La chlorophylle, le carotène, la caséine, la peptone, l'huile d'olive, un mélange salin, un mélange de vitamines du complexe B, le chlorure de choline et l'acide ascorbique n'étaient pas plus efficaces que l'eau. Des extraits aquex de levure étaient en général aussi efficaces que le sucre, mais quelquefois semblaient inhibiteurs à des concentrations fortes. Le Cerophyll, une spécialité de jus d'herbe qui a amélioré la croissance quand on l'a ajouté à certains régimes artificiels, semblait répulsif à des concentrations fortes et moins efficace que le sucre une fois dilué. Comme les régimes qui manquaient de sucre, de levure ou d'huile de germe de blé, les seules parties constituantes des régimes synthétiques à manifester des effets nettement phagostimulants, étaient au début capables d'entretenir une bonne croissance, il paraît probable que la faim est plus importante que la présence de stimuli gustatifs spéciaux pour déclencher l'activité alimentaire. On a comparé les quantités de nourriture mangée et les faeces produits par des nymphes du 5ème stade de Schistocerca auquelles étaient offertes des régimes artificiels divers ou de l'herbe fraîche. La première intention était de déterminer si un régime synthétique contenant de la protéine non raffinée d'herbe, qu'on avait trouvée supérieure dans des expériences de croissance à un régime analogue qui manquait de la protéine d'herbe, devait sa supériorité à un goût amélioré. On n'a pas découvert de différences importantes au point de vue de l'alimentation dues à des différences de goût, mais on a trouvé que les quantités de nourriture prises étaient liées à des différences considérables d'utilisation digestive. En ce qui concerne le poids sec, l'herbe n'a été utilisée qu'à moitié aussi bien que le régime synthétique tandis que le régime herbe protéine était intermédiaire à cet égard. Ceci a suggéré que la meilleure croissance effectuée en incorporant l'herbe protéine, pouvait se relier avec la diminution d'utilisation. En reformulant un régime synthétique contenant davantage de cellulose pour donner une utilisation digestive de l'ordre trouvé pour l'herbe, on a obtenu une croissance aussi bonne que celle du régime herbe-protéine. Le travail subséquent avec Schistocerca et Locusta a montré que l'utilisation digestive était un élément important qui réglait la quantité de nourriture prise. En général, plus l'utilisation était basse, plus la quantité mangée augmentait, et pour des variétés de régimes de digestibilité différente, y compris l'herbe, les valeurs obtenues en multipliant la quantité mangée (poids sec) par le coefficient d'utilisation étaient semblables pour chaque espèce. Afin d'expliquer ces résultats, il est proposé que des stimuli spéciaux gustatifs ne sont pas nécessaires au déclenchement de l'activité alimentaire chez les nymphes des criquets pélerins et qu'ils sont d'une petite importance dans la sustentation de l'alimentation. Il paraît que la quantité de nourriture prise est en grande partie réglée par son utilisation digestive en ce qui concerne une nourriture d'une composition plus ou moins suffisante, situation qui n'est pas étonnante chez des insectes qui sont capables de se développer sur des plantes diverses.
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8.
Résumé L'ultrastructure des plaquettes a été étudiée à l'aide de différentes techniques de fixation, d'inclusion et de coloration.L'association de la fixation au permanganate de potassium, à l'inclusion à l' Araldite et à la coloration à l'acétate d'uranyl s'est montrée très utile pour l'étude de ces éléments du sang.Avec cette méthode nous avons mis en évidence le glycogène des plaquettes. Cette substance se présente sous l'aspect de grains de 180 à 200 Å, très denses, très abondants, dispersés ou formant des agrégats de plusieurs centaines de grains dans la substance fondamentale.Selon les observations réalisées, la membrane des plaquettes est identique aux membranes cellulaires. Nous n'avons reconnu á l'aide des différentes techniques employées, aucune couche que l'on puisse identifier á l'atmosphère plasmatique périplaquettaire de Roskam. Nous avons admis que certains phénomènes dont l'explication reposait sur l'existence de cette atmosphére peuvent être expliqués par la capacité phagocytaire des plaquettes.Dans le granulomére des plaquettes de sang humain normal nous avons observé des granules en baguette de tambour que nous admettons pouvoir être des constituants normaux des plaquettes.Boursier du Centre d'Études d'Histologie et Embryologie Celestino da Costa de l'Institut de Haute Culture.  相似文献   

9.
Résumé Le tube digestif des cochenilles se caractérise par la présence d'un dispositif intestinal appelé chambre filtrante. Celle-ci, formée par l'accolement des deux extrêmités de l'intestin moyen, est supposée intervenir dans le transit alimentaire en éliminant par «voie raccourcie» l'eau ingérée en excès, mais ce rôle est resté jusque là hypothétique.Chez Planococcus citri, l'étude cytologique et histochimique révèle des caractères propres aux parties de l'intestin moyen participant à la réalisation de ce dispositif. Ces caractères suggèrent une fonction particulière qui peut être liée à un mouvement de l'eau. Les cellules sont de taille très réduite. Par endroits, des différences ultrastructurales s'observent entre les deux anses accolées (présence de vacuoles et d'espaces extracellulaires développés). Les cellules non modifiées de l'anse de départ présentent un caractère morphologique particulier, le système d'espaces intercellulaires et un caractère histochimique dominant, l'importante quantité de glycogène. Les cellules non modifiées de l'anse de retour présentent une structure inhabituelle, les «expansions tubulaires» associées aux microvillosités. En absence du «plasmalemma mitochondrial complex» le passage de l'eau se ferait par osmose dans deux directions: d'une part à travers les épithéliums amincis, d'autre part par le réseau d'espaces intercellulaires.
Studies on the filter-chamber of Planococcus citri risso (Insecta, Homoptera)Histochemistry and ultrastructure
Summary The digestive tract of the coccids is characterized by the presence of a filter chamber formed by the apposition of the two extremities of the midgut. It is supposed that the filter chamber plays a role in the elimination of excess water by a short circuit but this assumption is still hypothetical.In Planococcus citri, cytological and histochemical studies have revealed structural peculiarities in those parts of the midgut which participate in the organization of the filter chamber, which suggest a particular function. The cells are highly reduced in size. In certain regions ultrastructural differences exist between the two apposed extremities of the midgut such as the presence of a vacuole and of highly developed extra-cellular spaces. These features may be related to water transport. The conventional cells of the proximal end of the midgut show the presence of a system of intercellular spaces and are very rich in glycogen. The conventional cells of the distal end of the midgut possess extracellular microtubules associated with the microvilli. In absence of a plasmalemma mitochondrial complex the transport of water could occur by osmosis across the thinned epithelium and the network of intercellular spaces.
Cet article recouvre en partie le travail d'une thèse de Docteur-Ingénieur soutenue à l'Université Paris VI en 1972.  相似文献   

10.
Moore  Lucy B. 《Plant Ecology》1954,5(1):268-278
Résumé Rumex acetosella est une plante naturalisée très répandue en Nouvelle Zélande, tant en terre arable que dans la végétation indigène modifiée. Dans des vallées en cuvettes de l'Ile Sud, ayant une précipitation annuelle de 300 à 700 mm, des milliers d'hectares qui n'ont jamais été labourés portent à présent R. acetosella (2n=42) comme espèce la plus importante, accompagnée de mauvaises herbes naturalisées et indigènes. Ce sont des régions où les prairies naturelles à touffes de Festuca novaezelandiae ont été ravagées au cours d'un siècle par des incendies successives et par la paissance de moutons et de lapins, animaux introduits par l'homme. Le groupement végétal à Rumex — produit d'origine exotique (exotic-induced) — tel qu'il se trouve dans la partie nord de l'Ile Sud, est étudié et quelques relevés en sont presentés. Une comparaison est dressée entre cette région et d'autres en Nouvelle Zélande, ainsi qu'avec les îles Tristan da Cunha dans l'Atlantique du sud et Masafuera dans le Pacifique du sud. Le Rumecetum, qui s'est propagé là où se trouvent en assez grand nombre ces animaux introduits, pourrait bien continuer à exister indéfiniment, à moins que ceux-ci ne disparaissent.

Received for publication 15.X.1953.  相似文献   

11.
Résumé Les extraits antigéniques de trois champignons entomopathogènes (Beauveria bassiana, Beauveria brongniartii et Metarhizium anisopliae), soumis à l'analyse éléctrophorétique en gel d'agar révèlent au total 23 activités enzymatiques différentes (5 oxydo-réductases et 18 hydrolases), dont 18 ont été retrouvées à l'analyse immunoélectrophorétique. La carte enzymatique de ces germes complète leur analyse immunoélectrophorétique; la comparaison des isoenzymes des divers isolats permet de mettre en évidence des différences interspécifiques et intraspécifiques.Chaque souche cryptogamique se caractérise par des profils enzymatiques particuliers. Ces résultats montrent donc que l'étude des enzymogrammes est un complément utile à l'analyse immunoélectrophorétique appliquée à la caractérisation des hyphomycètes entomopathogènes. Enfin, les souches n 44 et 51 de M. anisopliae paraissent être suffisamment apparentées pour être réunies au sein d'un même biotype.  相似文献   

12.
Résumé L'utilisation de l'actinomycine D, au cours de la régénération de Planaires à l'éclosion ou de celle d'adultes, montre que ces deux groupes d'animaux réagissent différemment à l'antibiotique.La régénération se produit en présence de l'antibiotique chez les jeunes Planaires, alors que, pour la même concentration (50 g/cm3), elle est totalement bloquée chez les adultes. Elle débute dès la décapitation des animaux; le retour dans l'eau, après un traitement par l'antibiotique qui va de 1 à 4 jours, ne modifie pas son déroulement morphologique.L'examen ultrastructural montre que les cellules différenciées présentent le plus souvent des dissociations nucléolaires importantes.Les lésions s'étendent progressivement à toute la cellule qui dégénère fréquemment. Les cellules morphologiquement indifférenciées ne sont que faiblement altérées (raréfaction du composant granulaire du nucléole), et récupèrent une structure normale après retour dans l'eau.Ces résultats conduisent à envisager l'étude des synthèses d'ARN, au cours de ces expériences, au niveau des organismes entiers et au niveau cellulaire.
On the action of actinomycin D on the cellular differentiation during the regeneration in PlanariansI. Morphological, histological and ultrastructural studies on the regeneration capacity in presence of the antibiotic
Summary The utilization of actinomycin D during the regeneration of young and adult Planarians shows that the two groups of animals react differently to the antibiotic.Regeneration takes place in the presence of the antibiotic in young Planarians, whereas it is entirely inhibited in adult ones, applying the same concentration (50 g/cm3). In the young animals it begins immediately after decapitation. Their return into the water, after a treatment with the antibiotic lasting from 1 to 4 days, does not interfere with the morphological differentiation. The ultrastructural investigation exhibits that in the majority of the undifferentiated cells the nucleolus is largely dissociated.The lesions gradually extend to the whole cell which frequently degenerates. The morphologically undifferentiated cells are weakly impaired (depletion of the granular component of the nucleolus), and they recover a normal structure after their return into water.These results lead us to study the RNA synthesis, during these experimentations, on the whole organism as well as the cellular level.
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13.
Résumé Après une injection unique d'antigène à des souris C 57 B1, la poussée plasmocytaire dans la médullaire ganglionnaire se développe parallèlement à la montée du taux des anticorps circulants du sérum. Ces plasmocytes semblent provenir principalement de la transformation de grandes cellules pyroninophiles. Celles-ci, présentes préalablement dans le cortex, pourraient provenir de la dislocation précoce des centres germinatifs. Elles ne peuvent se transformer en plasmocytes que dans la médullaire. Ces modifications ne pourraient se faire que lorsque la cellule pyroninophile est intégrée au sein d'un ilôt plasmocytaire, c'est-à-dire d'un ilôt dans lequel cette cellule pyroninophile entre étroitement en contact avec un macrophage. A côté de cette origine principale, des plasmocytes peuvent provenir directement de la transformation du lymphoblaste. Enfin, nous avons observé que certaines cellules réticulées se modifient après l'injection de l'antigène. Ces transformations aboutissent à la formation de cellules ayant plusieurs caractères du plasmocyte, sans cependant les présenter tous, d'oú le qualificatif de plasmocytoïde que nous leur avons donné.
Summary After a single injection of sheep erythrocytes to C 57 Bl mice, the increase in the number of plasma cells in the medullary cords of lymph nodes parallels the humoral antibody titers.The appearance of these plasma cells has been followed ultrastructurally. Most of them arise by modification of the large pyroninophilic cells. These appear at first in the cortex, and could be formed by an early dislocation of the germinal centers. However, the transformation into plasma cells finds place only in the medulla. These changes seem to occur only when pyroninophilic cells are included in a rosette (ilôt plasmocytaire), where they surround a macrophage and develop close connections with it.Other plasma cells may originate directly from lymphoblasts.After the injection of the antigen, some reticular cells are modified into plasmacytoid cells sharing some, but not all, of the morphological characteristics of plasma cells.
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14.
The available evidence is in agreement with the postulate that all phytophagous insects require chemotactic (usually gustatory) stimuli to release feeding activity. Some of the soluble nutrients in plants serve this function. In the case of oligophagous insects food selection is further guided by perception of non-nutritive substances (token stimuli) of limited botanical distribution. The food range of all phytophagous insects is circumscribed by the distribution of repellants, rejectants and toxins. These concepts are developed and outlined in symbolic form.
Résumé L'importance des stimulants alimentaires token a été clairement démontrée par exemple chez Plutella maculipennis Curt., Pieris brassicae L. et P. rapae L., lesquels, à l'état larvaire, reconnaissent leur plante-hôte, les Crucifères, au goût de glucosides de l'huile de moutarde tels que la sinigrine et la sinalbine. Bien qu'elles soient presque les seules démonstrations indiscutables de l'action de ces stimulants token parmi les insectes phytophages il a été admis que ce phénomène explique en général la sélection de la plante hôte par les insects oligophages et que la présence de substances désagréables au goût dans les végétaux est suffisant pour expliquer les préférences de plantes alimentaires des insectes polyphages. Cependant, ces vues ne rendent pas compte du fait que ces phagostimulants token peuvent exiger la présence de constituants nutritifs afin d'obtenir une réponse alimentaire chez les insectes oligophages. En outre les insectes polyphages demandent des stimuli chimiotactiques positifs pour déclancher une activité alimentaire. Aucun effet inhibiteur de substances végétales désagréables n'est simplement superposé à ce phénomène de base.Un autre fait significatif est que le saccharose, constituant universellement distribué chez les végétaux, est avidement goûté par de nombreux insectes, et on pourrait penser à priori que son rôle est important dans la nature comme stimulus effecteur d'alimentation chez les insectes phytophages. De récentes investigations ont montré que d'autres substances nutritives variées telles que le glucose, des acides aminés, des amides et des vitamines peuvent aussi déclancher d'une manière indépendante l'activité alimentaire.Une interprétation totale de la connaissance utile à présent est que de nombreuses conditions sont exigées pour rendre compte des phénomènes d'alimentation chez les insectes et de la sélection de l'hôte. Ceci inclut la présence de stimulants alimentaires token (si nécessaires), la présence de certains constituants sapides et l'absence de substances répulsives ou désagréables au goût. Tandis que ces conditions, admettant un substrat ingestible, sont nécessaires et suffisantes pour une alimentation normale un développement satisfaisant exige en plus la présence de constituants nutritifs essentiels autres que les substances sapides déjà mentionnées et l'absence de toxines.Certains constituants végétaux peuvent avoir plusieurs fonctions dans ce schéma et quelques exemples sont considérés.

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15.
Résumé On a effectué une étude ultrastructurale sur les corps de Call et d'Exner. Ceux-ci se montrent constitués, sous leur aspect le plus typique, par une couronne de cellules de la granulosa disposées autour d'une cavité pleine d'un liquide semblable au liquor folliculi .Les cellules, de forme irrégulière, accolées dans leur partie proche du corps et écartées dans celle éloignée, déterminent des fentes dans lesquelles s'insinuent des groupes d'autres cellules voisines; la membrane cytoplasmique, parfois présente sous forme de microvilloités, parfois incisée, montre de fréquentes interruptions; le cytoplasme riche en ribosomes libres et adhérant aux parois du réticule endoplasmique (ergastoplasme), possède en outre un appareil de Golgi modérément développé et de nombreuses mitochondries; le noyau, très volumineux, présente à l'intérieur un nucléole grossièrement réticulé.Le corps de Call et d'Exner proprement dit est, au contraire, constitué par une cavité unitaire d'aspect à peu près sphérique d'environ 15–30 de diamètre, pleine d'un liquide dont les caractéristiques sont comparables à celles du liquor folliculi; dans cette cavité on voit un fin réseau à mailles irrégulières, tandis que sa surface montre une mince zone de condensation.L'aspect ultrastructural des cellules disposées autour des corps de Call et d'Exner est caractérisé par des cellules en élaboration, ce qui laisse penser qu'une partie de cette élaboration peut être versée à l'intérieur du corps, en contribuant ainsi à l'augmentation de son volume.En ce qui concerne, enfin, le réticule que l'on voit à l'intérieur du corps il est vraisemblable qu'il soit du à des phénomènes de condensation et consécutif à un état physicochimique particulier du liquide endocavitaire.
Summary The so-called Call-Exner bodies have been found to be formed, in their most typical shape, by a ring of granulosa cells enclosing a cavity filled with a fluid comparable to the liquor folliculi. The cells, irregular in shape, lying side by side in their portions closer to the body and far apart in their distal portions leave open spaces which are occupied by prolongations of adjacent cells. The cytoplasmic membrane, sometimes forming mierovilli, sometimes incisions, presents a discontinuous aspect; the cytoplasm is very rich in ribosomes which can be free or sticking to the walls of the endoplasmic reticulum (ergastoplasm). It has a fairly developed Golgi's apparatus and numerous mitochondria, sometimes open. The very voluminous nucleus shows internally a roughly reticulated nucleolus.The Call-Exner body, on the other hand, is a unitary cavity approximately spherical in shape, having about a 15–30 micron diameter filled with a fluid characteristically similar to the liquor folliculi, which shows internally a fine reticulation of irregular meshwork, while a thin condensation zone can bee seen peripherically.The ultrastructural aspect of the cells radiating from the Call-Exner bodies is typical of cells in formation. Therefore we cannot exclude the possibility that a portion of the substances elaborated by the cells may be thrown into the center of the body, thus contributing to its increase in volume. The mesh-like structure visible inside the body may be due to condensation phenomena following a particular physico-chemichal change in the endocavitary luid.
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16.
Résumé L'autoradiographie révèle, au niveau du pied, une incorporation massive et sélective de la 3H-Proline dans la glande blanche de Mytilus edulis. Cette étude a permis de suivre le processus qui mène de la synthèse de la sécrétion dans la partie basale des cellules jusqu'a son émission dans le sillon pédieux où elle participe à la formation du filament. La collagénase détruit la presque totalité du marquage, attestant ainsi la nature collagénique du produit sécrété. Les autres glandes pédieuses ainsi que la glande du byssus proprement dite, située à la base du pied, montrent une incorporation très faible, sans commune mesure avec celle de la glande blanche. Ceci démontre de façon définitive que le collagène présent dans le filament prend naissance dans cette glande et justifie la dénomination de glande du collagène. Des contrôles réalisés dans différentes régions (bords du manteau, manteau, branchies) montrent que l'injection du précurseur dans le bord palléal constitue une méthode satisfaisante pour marquer de façon relativement rapide et différentielle le collagène de la glande.
The collagen of the byssus in Mytilus edulis L.II. Autoradiographic study on the incorporation of 3H-Proline
Summary Autoradiographic studies reveal a strong specific incorporation of 3H-Proline in the white gland in the foot of Mytilus edulis. The author could trace the radioactive secretory product from its synthesis in the basal part of the cells down to its outflow into the pedial groove where it takes part in the formation of the filament. Purified collagenase takes out radioactivity from the sections. This observation confirms the collagenous nature of the secretion.The other foot-glands as well as the main byssus gland located at the base of the foot show but a very weak labelling not comparable with that of the white gland. This clearly evidences that the collagen occuring in the filament originates from the latter. The white gland may be properly called: collagen gland.Control sections through different parts of the body (mantle-edge, mantle, gills) confirm that our injection technique of the precursor into the palleal margin is a suitable method for a rather quick and specific labelling of the glandular collagen.
Cette note fait partie d'un travail pour l'obtention d'une thèse de doctorat.  相似文献   

17.
Five populations of Tetranychus neocaledonicus, collected in various biotopes from different plants, were studied in order to become informed about variation in this species. It appeared that all strains differed with respect to longevity and fecundity. Crossings resulted in incompatibility, hybrid inviability, hybrid sterility and hybrid breakdown. It is suggested that the great interpopulational variation as found in T. neocaledonicus is a consequence of the haplo-diploid system.An important difference in longevity and fecundity between mated and unmated females has been stated for all strains. Outcrosses with males from another species indicated that it is not the fertilization, but the insemination only which induces the enhanced fecundity in T. neocaledonicus. Irradiated males appeared to be able to inseminate females effectively, resulting in the prevention of viable diploid offspring.
Résumé A la suite d'une étude morphologique concluant à l'homogénéité d'un grand nombre de prélèvements de Tetranychus neocaledonicus, dans plusieurs régions de la zone intertropicale, les auteurs proposent 3 séries d'expériences portant sur la physiologie et la compatibilité de quelques souches de ce taxon.La première série d'essais, porte sur la comparaison de la longévité et de la fécondité de femelles fécondées ou non, appartenant à 4 souches prélevées à Madagascar et à une souche originaire de Louisiane (U.S.A.). Pour ces souches élevées dans des conditions identiques, les femelles fécondées pondent davantage et vivent moins longtemps que les femelles vierges. Les graphiques fournis et les tests statistiques employés, montrent que suivant leur appartenance à l'une des 5 souches, les femelles étudiées ont une longévité propre et présentent du point de vue de la reproduction, des différences très nettes.La seconde série d'expériences a pour but de vérifier la compatibilité entre les différentes souches malgaches précédentes, aussi bien entre elles qu'avec la souche Louisiane white eye, marquée génétiquement et dérivant de la souche Louisiane précédente. Un croisement a été également tenté entre une souche de T. neocaledonicus et une souche de T. urticae. Huit croisements ont été ainsi réalisés avec chaque fois le croisement réciproque. La composition des F1, F2 et F3 est analysée. Une très forte agressivité des mâles à l'égard des jeunes femelles est chaque fois constatée. Le croisement de T. neocaledonicus avec T. urticae n'entraîne aucune hybridation. Entre les souches de T. neocaledonicus il y a formation de femelles, dans l'un des 2 sens au moins mais les femelles produites en F1 se révèlent stériles dans 5 cas sur 12 et peu de souches semblent vraiment compatibles au-delà de la F3. Finalement, les différences entre les souches du point de vue physiologique et les incompatibilités génétiques, amènent les auteurs à considérer qu'il y a, en fait, plusieurs espèces d T. neocaledonicus devant être groupées en un complexe. Ces croisements permettent aussi de remarquer, que l'abaissement de la longévité des femelles fécondées, dépend étroitement du taux de fécondation des ufs.La troisième série d'expériences tente d'expliquer l'augmentation de la production d'ufs chez les femelles fécondées. Les pontes des 14 premiers jours de vie, de femelles de la souche Lousiane fécondées ou non, sont comparées à celles de femelles fécondées, par des mâles de la même souche, irradiés aux rayons X ou par des mâles de T. urticae. La technique d'élevage employée ici permet l'intervention de plusieurs mâles. L'analyse de la F1 et la quantité d'ufs produits à la suite du croisement avec les mâles de T. urticae, prouvent que l'augmentation de la ponte est dûe à un phénomène indépendant du taux de fécondation des ufs.Les auteurs signalent, en conclusion, que les incompatibilités entre les différentes souches de T. neocaledonicus pourraient être utilisées en lutte biologique par voie génétique, mais que la stérilisation des mâles aux rayons X, obtenue au cours de la dernière série d'expériences, aboutit aux mêmes résultats et paraît plus sûre.
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18.
The majority of the 50Bradyrhizobium japonicum strains tested were resistant to ampicillin, kanamycin, streptomycin and tetracycline in concentrations below 100 g/ml but resistant to chloramphenicol in concentrations equal to or above 100 g/ml. Two strains had high levels of resistance to ampicillin and to streptomycin and six strains were very sensitive to several antibiotics.
Résumé La majorité de la cinquantaine de souches deBradyrhizobium japonicum s'est révélée résistante à l'ampicilline, à la kanamycine, à la streptomycine et à la tétracycline aux concentrations intérieures à 100g/ml mais au chloramphenicol aux concentrations égales ou supérieures à 100 g/ml. Deux souches présentalent un haut degré de résistance à l'ampicilline et à la streptomycine. Six souches étaient très sensibles à plusleurs antibiotiques.
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19.
Résumé L'évolution des cellules gonadotropes préhypophysaires ß et a été étudiée au cours de cycles de 4 jours chez la ratte.Ces 2 catégories cellulaires subissent au cours du cycle ovarien des variations morphologiques et numériques qui paraissent témoigner d'une activité folliculostimulante pour les cellules ß et d'une activité ovulatoire pour les cellules .Les cellules ß se dégranulent une lère fois pendant la nuit du dioestrus II au prooestrus, puis une 2e fois, lors de la phase préovulatoire, l'après-midi du prooestrus.Les cellules présentent, au cours de l'après-midi du prooestrus, une dégranulation massive, qui peut etre mise en rapport avec la décharge de L. H. qui se produit à ce stade du cycle.La lère dégranulation des cellules ß en dioestrus II correspondrait à la vague de croissance folliculaire qui, selon Long et Evans, a lieu à ce stade du cycle et mènerait certains follicules à la rupture. La seconde traduirait une décharge de FSH synergique de l'excrétion de L. H. par les cellules , pendant la phase préovulatoire du cycle ovarien.
Summary Morphological and numerical variations of the pituitary gonadotrophs ß and were studied during 4 days cycles at different stages of the oestrous cycle in the Rat.The highest degree of degranulation of the ß cells was observed first during the night of dioestrous II to prooestrous and afterwards on the afternon of prooestrous.The degranulation of the cells began in the morning of prooestrous and reached its higher degree at 4 p. m. in prooestrous.The first peak of degranulation of the ß cells was supposed to be related to the wave of follicular growth which occurs on the day of dioestrous II according to Long and Evans. The second phase of degranulation of these cells was considered as a prooestrous diurnal discharge of FSH synergically with the ovulatory discharge of LH by the cells during the critical period of the cycle.
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20.
Résumé L'ultrastructure de la cellule-flamme d'un Rotifère, Notommata copeus, est décrite en détail.La cellule est formée d'un long tube capillaire, à paroi fine contenant le noyau, et dont une extrémité est dilatée en une ampoule aplatie en forme d'éventail.Au sommet de cette ampoule, le capuchon contient de nombreuses mitochondries et, vers la lumière cellulaire, une plaque dense sur laquelle sont insèrés tous les cils (plus de cent), réunis par des ponts cytoplasmiques, formant la flamme vibratile qui bat en permanence à l'intérieur de l'ampoule.La paroi de cette dernière est très différenciée en de fins tubules, prolongeant au sommet le cytoplasme du capuchon, à la base celui de la paroi mince mais compacte qui formera le tube capillaire. Ils se présentent sous la forme de deux grilles parallèles et superposées: — les piliers (2000 Å de diamètre), au contenu dense, vers la lumière cellulaire; — les colonnettes (700 Å de diamètre), plus nombreuses, au contenu moins dense, vers le pseudocoele. Deux colonnettes sont élargies en montants cytoplasmiques latéraux contenant les mitochondries.Ces barreaux verticaux sous-tendent des membranes filtrantes de deux types, auxquelles il faut rajouter, vers le pseudocoele, la fine membrane basale qui enveloppe la cellule: les membranes intercolonnettes (120 à 150 Å d'épaisseur) et, entre les piliers et les colonnettes, des membranes rayonnantes (de 20 à 50 Å d'épaisseur).Quelques hypothèses sont émises quant au rôle physiologique possible de ces membranes, en comparant leur structure à celle des membranes filtrantes du glomérule Malpighien du rein de Vertèbré. Nous avons poussé cette comparaison jusqu'aux facteurs entraînant la filtration, insistant en particulier sur le rôle très probable de la flamme vibratile chez les Rotifères
Ultrastructure of the flame-cell of Notommata copeus (Rotifera)
Summary The ultrastructure of the flame-cell of a Rotifera, Notommata copeus, is described.The tube-like cell is provided with a thin wall containing the nucleus. One of the ends of this tube has the shape of a flattened fan-like ampulla, the flame bulb. A cap on the top-end of this ampulla, contains numerous mitochondria. Near the central cavity of the bulb, the cap is limited by a dense plate on which more than a hundred cilia are inserted. These cilia are linked together by means of cytoplasmic bonds, and form the vibratil flame which beats constantly inside the ampulla.The wall of this ampulla is made of fine tubules which prolong the cytoplasm of the cap at the top, and the thin but compact wall of the capillary tube at the base. These tubules appear as two parallel and superposed crates: — a first crate near the cellulary duct, is formed by the pillars (2000 Å in diameter), the substance of which has a dense aspect; — a second crate near the pseudocoel shows a greater number of small columns (700 Å in diameter) with a clearer appearence. Two thicker columns form the two lateral cytoplasmic posts of the bulb and include mitochondria.These vertical bars support two kinds of membranes: the intercolumnal membranes (120 to 150 Å thick) and, between the pillars and the columns, the radiating membranes (20 to 50 Å thick). A third type should be mentioned: the basal membrane which covers the side of the cell facing the pseudocoel.Some hypotheses are offered concerning the possible physiological role played by the membranes if their structures are compared with that of the filtering membranes of the Malpighian glomerule in the kidney of Vertebrates. This comparison has been extended to the filtering agents themselves, emphasis being drawn on the function of the flame-cell in Rotifera.
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