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1.
Des relations sont recherchées entre les caractéristiques des grains de 58 variétés de riz paddy et leur sensibilité aux quatre principaux ravageurs primaires des stocks: Sitophilus oryzae, Sitophilus zeamais, Rhyzoperta dominica et Sitotroga cerealella. L'étude confirme la prépondérance de l'herméticité des glumelles comme facteur de résistance, et établit que les cassures mécaniques des enveloppes sont des voies de pénétration plus régulières que le défaut de coaptation entre lemma et palea. L'égrenage se révèle être un facteur de sensibilité à S. cerealella aussi déterminant que le défaut de fermeture des glumelles, car lié d'une part à la dureté du pédoncule par lequel les larves de cet insecte peuvent pénétrer, d'autre part au taux de casse des enveloppes provoqué par le battage plus ou moins intense qu'il nécéssite. S'agissant de riz non décortiqué, les caractéristiques des enveloppes expliquent pour une très large part la variabilité de la résistance aux insectes étudiés, dont le développement n'est que faiblement influencé par les caractéristiques propres du grain, tels le format ou la teneur en eau.  相似文献   

2.
Summary 1. Radiation of fishes representing many families in the tropical coral reef has repeatedly produced convergence in the specialization for water-column foragers.2. This life mode is depicted by a recognizable set of morphological and behavioral characteristics. Exploitation of this niche has parallel examples in fresh water, and non-tropical habitats.3. The distinguishing traits of this specialization, and the systematic, ecological and evolutionary features are described and discussed.
«Fourrages» des poissons des récifs de coraux dans la colonne d'eau: Morphologie, comportement, écologie et évolution
Extrait Dans un biotope à récif de corail, des espèces étroitement liées peuvent servir d'exemple de différenciation sur le plan de l'évolution. La radiation évolutive de poissons représentant plusieurs familles du récif corallien tropical a conduit à plusieurs reprises à la formation de «fourragers dans la colonne d'eau». Ce mode de vie comporte une série de caractères morphologiques et éthologiques définis. On trouve des éxemples similaires dans l'eau douce et dans des habitats non tropicaux. Les traits distinctifs de cette spécialisation, la systématique, les caractéristiques écologiques et celles se rapportant à l'évolution sont décrits et discutés.
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3.
Resume L'étude des transformations du mercure dans l'eau et les sédiments d'une rivière est entreprise selon un mode d'approche qui semble pouvoir être généralisé pour de nombreux problème d'écologie chimique.Il consiste en l'utilisation de deux paramètres physicochimiques pour caractériser le milieu du point de vue chimique (l'utilisation de diagramme Eh–pH permettant de prévoir le comportement chimique d'un élément dans le milieu étudié) et du point de vue biologique (le Eh et le pH permettant de caractériser de façon biologiquement significative les conditions dans lesquelles sont testées les capacités de transformation des communautés bactériennes).Il est montré que le comportement du mercure, après son accumulátion sous forme peu soluble dans les sédiments, dépend d'une balance entre la formation microbiologique de méthylmercure, beaucoup plus toxique que le mercure minéral, et la minéralisation de ce méthylmercure par action microbiologique ou par un processus chimique en présence de sulfure.Stagiaire de recherche au Fonds National Belge de la Recherche Scientifique.  相似文献   

4.
The distribution of phytoplankton in some Central East African waters   总被引:4,自引:4,他引:0  
J. H. Evans 《Hydrobiologia》1962,19(4):299-315
Summary Observations of the distribution of phytoplankton were made in Pilkington Bay, Lake Victoria and in Lake Kyoga. For Pilkington Bay, series of samples were taken along an east-west line in the north-west corner of the bay and along a north-south line through the mouth of the bay. For Lake Kyoga, the main series of samples was taken from the north-east arm to the point of inflow of the Victoria Nile.Counts of algae were made by the sedimentation technique and it was found that for Pilkington Bay Melosira was the dominant genus during the period of the investigation. For the north-east arm of Lake Kyoga the dominant alga in mid-August was Lyngbya limnetica.At times, marked changes not only in density of phytoplankton but also in vertical distribution were observed from station to station in Pilkington Bay.During May an increase of Melosira occurred in the north-west corner of Pilkington Bay and this increase is as likely to have been due to water movements as to growth.Water movements have an important effect on phytoplankton distribution and it is possible that surface water movements bring about inoculation of relatively dense concentrations of phytoplankton, especially Melosira, into the Buvuma Channel from Pilkington Bay.The contribution of the north-east arm of Lake Kyoga to the Victoria Nile system was found to be markedly different chemically and biologically from that of Lake Victoria.A number of new records of algae from Lake Kyoga are listed.
Résumé Des recherches sur la distribution du phytoplancton furent poursuivies dans la baie de Pilkington, dans le lac Victoria et dans le lac Kyoga. A la baie de Pilkington, des séries d'échantillons furent prélevées sur une ligne allant de l'est à l'ouest et située dans la partie nord-ouest de la baie, ainsi que sur une ligne traversant du nord au sud l'entrée de la baie. Au lac Kyoga, la principale série d'échantillons fut prélevée à partir de sa pointe nord-est jusqu'à l'arrivée des eaux de la branche mère du Nil.Le dénombrement des algues fut fait selon le procédé de la sédimentation et les résultats de l'enquête indiquent que, dans la baie de Pilkington, Melosira était le genre le plus répandu pendant la durée des recherches. Quant à la pointe nord-est du lac Kyoga, l'algue la plus répandue, à la mi-août, était Lyngbya limnetica.A certains moments, des variations marquèes, non seulement dans la densité du phytoplancton mais encore dans sa distribution verticale, furent constatées de divers postes d'observation sur la baie de Pilkington.Pendant le mois de mai, il se produisit une augmentation de la quantité de Melosira dans la partie nord-ouest de la baie de Pilkington, augmentation qui semble provenir des mouvements de l'eau ainsi que de la croissance.Le mouvement de l'eau exerce une influence importante sur la distribution du phytoplancton et il est possible que les mouvements de surface de l'eau produisent l'augmentation dans la canal de Buvuma de concentrations assez denses de phytoplancton, de Melosira surtout, provenant de la baie de Pilkington.L'apport de la pointe nord-est du lac Kyoga au réseau de la branche mère du Nil se révéla de composition chimique et biologique sensiblement differente de celle du lac Victoria.Un certain nombre d'observations nouvelles des algues du lac Kyoga ont été notées.
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5.
Résumé Etude d'un complexe de sources, situé dans la Plaine du Danube Inférieur (= Plaine Roumaine ou Plains de Valachie), à 100 m d'alt. environ. La station se caractérise par un complexe de facteurs uniques dans ce coin de (Europe: abondance de l'eau phréatique froide sortant à jour sur une surface restreinte, protection efficace grâce à une saulaie compacte, variété des substrats et abondance des sources trophiques. Ces éléments rendent possible l'existence d'une faune relique, comprenant rotifères, tardigrades, coléoptères, trichoptères, hydracariens, etc., espèces ayant ici leur seule station de la Plaine Roumaine. Les espèces qu'on signale dans le travail sont soit formes de montagne, soit à aréal septentrional ou septentrional-occidental, soit, enfin, caractéristiques pour les tourbières d'altitude, souvent même pour les tourbières acides à Sphagnum. On considère la faune du complexe de Corbii Ciungi comme un rests remarquable de la faune aquatique ayant peuplé la Plaine Roumaine antérieurement à la mise en friche sauvage des forêts et à l'extension impétueuse de l'agriculture, phénomènes ayant radicalement transformé ce territoire.  相似文献   

6.
The phagostimulant effectiveness of substances used in artificial diets for Schistocerca was assessed by comparing the amounts of faecal material produced by hungry hoppers allowed to feed on filter paper soaked in solutions of the substances with the amounts produced when water alone was used on the paper. Sucrose, glucose and wheatgerm oil caused markedly greater faecal production than distilled water alone. Chlorophyll, carotene, casein, peptone, olive oil, a nutritional salt mixture, a mixture of B vitamins, choline chloride and ascorbic acid were no more effective than water. Aqueous extracts of yeast were generally as effective as sugar but sometimes seemed inhibitory at high concentrations. As growth could occur on diets lacking yeast, sugar and wheatgerm oil, the only dietary components found to have pronounced phagostimulatory properties, it appears that special gustatory stimuli are unnecessary for initiating feeding activity in hungry hoppers. This view was later borne out in experiments in which the amounts of various complete diets eaten and the faeces produced from them were compared. No major differences in feeding attributable to palatability were apparent, but the amounts of food taken were found to be related to differences in utilisability. With both Schistocerca and Locusta, the lower the utilisability of the food the greater the amount eaten and for a range of diets of various utilisabilities, including fresh grass, the values obtained by multiplying the amount eaten (dry weight) by the coefficient of utilisation were similar for each species. It is suggested that in locust hoppers special gustatory stimuli are unnecessary for the initiation of feeding and of minor importance in sustaining it. The amount of food taken appears to be largely regulated by its overall utilisability where food of more or less adequate nutritional composition is concerned, a situation not wholly unexpected in insects able to thrive on diverse food plants.
Resume L'effet phagostimulant des substances employées dans les régimes artificiels pour Schistocerca a éte évalué en comparant les quatités de matière fécale produites par des nymphes affamées auxquelles étaient offertes du papier filtre trempé dans de l'eau ou dans des solutions des substances à expérimenter. Le sucrose, le glucose, l'huile de germe de blé et un extrait éthéré de son ont occasioné une excrétion nettement plus grande que celle produite par l'eau distillée seule. La chlorophylle, le carotène, la caséine, la peptone, l'huile d'olive, un mélange salin, un mélange de vitamines du complexe B, le chlorure de choline et l'acide ascorbique n'étaient pas plus efficaces que l'eau. Des extraits aquex de levure étaient en général aussi efficaces que le sucre, mais quelquefois semblaient inhibiteurs à des concentrations fortes. Le Cerophyll, une spécialité de jus d'herbe qui a amélioré la croissance quand on l'a ajouté à certains régimes artificiels, semblait répulsif à des concentrations fortes et moins efficace que le sucre une fois dilué. Comme les régimes qui manquaient de sucre, de levure ou d'huile de germe de blé, les seules parties constituantes des régimes synthétiques à manifester des effets nettement phagostimulants, étaient au début capables d'entretenir une bonne croissance, il paraît probable que la faim est plus importante que la présence de stimuli gustatifs spéciaux pour déclencher l'activité alimentaire. On a comparé les quantités de nourriture mangée et les faeces produits par des nymphes du 5ème stade de Schistocerca auquelles étaient offertes des régimes artificiels divers ou de l'herbe fraîche. La première intention était de déterminer si un régime synthétique contenant de la protéine non raffinée d'herbe, qu'on avait trouvée supérieure dans des expériences de croissance à un régime analogue qui manquait de la protéine d'herbe, devait sa supériorité à un goût amélioré. On n'a pas découvert de différences importantes au point de vue de l'alimentation dues à des différences de goût, mais on a trouvé que les quantités de nourriture prises étaient liées à des différences considérables d'utilisation digestive. En ce qui concerne le poids sec, l'herbe n'a été utilisée qu'à moitié aussi bien que le régime synthétique tandis que le régime herbe protéine était intermédiaire à cet égard. Ceci a suggéré que la meilleure croissance effectuée en incorporant l'herbe protéine, pouvait se relier avec la diminution d'utilisation. En reformulant un régime synthétique contenant davantage de cellulose pour donner une utilisation digestive de l'ordre trouvé pour l'herbe, on a obtenu une croissance aussi bonne que celle du régime herbe-protéine. Le travail subséquent avec Schistocerca et Locusta a montré que l'utilisation digestive était un élément important qui réglait la quantité de nourriture prise. En général, plus l'utilisation était basse, plus la quantité mangée augmentait, et pour des variétés de régimes de digestibilité différente, y compris l'herbe, les valeurs obtenues en multipliant la quantité mangée (poids sec) par le coefficient d'utilisation étaient semblables pour chaque espèce. Afin d'expliquer ces résultats, il est proposé que des stimuli spéciaux gustatifs ne sont pas nécessaires au déclenchement de l'activité alimentaire chez les nymphes des criquets pélerins et qu'ils sont d'une petite importance dans la sustentation de l'alimentation. Il paraît que la quantité de nourriture prise est en grande partie réglée par son utilisation digestive en ce qui concerne une nourriture d'une composition plus ou moins suffisante, situation qui n'est pas étonnante chez des insectes qui sont capables de se développer sur des plantes diverses.
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7.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

8.
The insect growth regulator Dimilin®, common name: diflubenzuron, applied at concentrations effective against the cabbage maggot Delia radicum L., did not affect the hatching of eggs of the staphylinid predator and parasite, Aleochara bilineata Gyllenhal. Applied externally in distilled water, Dimilin was non-toxic to first instar larvae, to larval instars developing within host puparia, and to adults. When Dimilin was dissolved in dimethylsulfoxide, then applied to the exoskeleton of host puparia, emergence of A. bilineata adults was suppressed. The conventional insecticide Furadan, at a concentration (0.001% in distilled water) equal to the lowest concentration of Dimilin used, was toxic to both eggs and larvae of A. bilineata.
Résumé Lorsqu' appliqué dans des concentrations efficaces contre la mouche du chou Delia radicum L. (0.1, 0.01, 0.001% p/v dans de l'eau distillée), le Dimilin (diflubenzuron), un régulateur de croissance des insectes, n'a pas affecté l'éclosion des oeufs de Aleochara bilineata Gyllenhal, un staphylin prédateur et parasite. En application externe, à la plus forte concentration (0.1% p/v dans de l'eau distillée), cet inhibiteur de synthèse de la chitine s'est avéré non toxique pour les larves du premier stade, les stades larvaires qui se développent à l'intérieur du puparium de l'hôte, et les adultes. Le traitement au Dimilin n'a pas affecté la fertilité des staphylins adultes. Cependant, lorsque le diflubenzuron était dissous dans du diméthylsulfoxyde et appliqué sur l'exosquelette du puparium de l'hôte, l'émergence des adultes de A. bilineata était éliminée. L'insecticide conventionnel Furadan (carbofurane), à une concentration égale à la plus faible concentration de Dimilin utilisée (0.001% p/v dans de l'eau distillée), s'est avéré toxique à la fois pour les oeufs et pour les larves de A. bilineata.
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9.
Un apport unique de 10 g d'hormone juvénile 1, réalisé chez des criquets du dernier stade larvaire à corpora allata intacts ou préalablement soumis à une application de precocène 2, provoque, à la mue suivante, l'apparition d'individus dont les caractéristiques sont intermédiaires entre celles du dernier stade larvaire et celles de l'imago. Cependant, les criquets traités par le précocène 2 présentent des variations phénotypiques plus prononcées, se traduisant par un maintien accru des caractéristiques larvaires. Les études ultrastructurales montrent que les corpora allata dégénèrent rapidement sous l'action des 400 g de précocène 2.
Summary In fifth instar locusts, with intact corpora allata or previously subjected to precocene 2 action, a single injection of 10 g juvenile hormone 1 leads, at the next molt, to the appearance of individuals displaying characters ranging from the typical larval to the typical imaginal ones. But, unexpectedly, the phenotypic variations are more marked in the precocene 2 treated locusts, and are typified by an increased retention of larval characters. Electron microscopic studies indicate that the use of 400 g of precocene 2 rapidly leads to the degeneration of the corpora allata.
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10.
Rates of feeding of larvae of Culex pipiens in distilled water and larval water (water in which larvae were held overnight at a density of 1–2 larvae/ml) were compared by two methods. One method depended on assessing the relative rate of displacement of kaolin from the gut when kaolin-glutted larvae were provided with charcoal powder in the test liquids. The other method involved observation of changes in the time spent filtering by individual larvae transferred between distilled and larval water. Compared with plain water, larval water stimulates increased rates of feeding by the same or other conspecific larvae.
Résumé L'eau dans laquelle on a maintenu des larves pendant une nuit, à la densité de 1–2 larves ml, stimule l'activité de filtration et la prise de nourriture de larves introduites isolément dans ce milieu, par comparaison avec des larves témoins placées dans de l'eau distillée. La comparaison de l'activité alimentaire a été faite selon deux méthodes. La première méthode utilise des larves gavées de poudre de kaolin ajoutée à l'eau du milieu d'élevage; ces larves sont transférées ensuite dans de l'eau distillée ou de l'eau ayant hébergé de nombreuses larves (eau de larves) eau à laquelle on ajoute de la poudre de charbon. La quantité de charbon filtrée et absorbée peut alors être appréciée et comparee pour l'eau distillée et pour l'eau de larves. La seconde méthode est basée sur la mesure du temps passé en activité de filtration, pour des larves isolées introduites dans de l'eau distillée ou de l'eau, ayant hébergé, de larves.Ces expériences démontrent que l'eau d'êlevage des larves groupées renferme un principe phagostimulant apporté par les larves elles-mêmes.
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11.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

12.
Mate choice experiments were made between populations of N. lugens from the Philippines, Solomon Is. and northern Australia. Significant barriers to mating were found between the Australian insects and the other two populations. The acoustic signals of successful males in hybridisation experiments were recorded and their pulse repetition frequencies (PRFs) were compared with the mean PRF for a random sample from their own population. In crosses between insects from Australia and the Philippines or Solomon Is. succesful males were characterised by PRFs significantly different from their own populations and closer to those of the female populations in each cross than to their own. It is concluded that PRF of male calls is an important species recognition signal in N. lugens.
Résumé La communication sexuelle de N. lugens s'effectue par signaux acoustiques transmis par le substrat. Quelques populations géographiquement définissables diffèrent par la fréquence des répétitions des impulsions (PRF) produits par les appels des mâles. Des populations des Philippines, des Iles Salomon et de l'Australie du Nord ont été étudiées.Des expériences de sélection sexuelle ont montré que des obstacles au transfert de spermatozoïdes apparaissaient dans les croisements qui impliquent un parent originaire de la population australienne. Des expériences dhybridation ont été répétées entre individus males et females de chacune des 3 populations étudiées. Le taux de succès étrait faible quand l'un des parents était originaire d'Australie. Le PRF des males de chaque croisement réussi a été déterminé et comparé au PRF moyen d'un échantillon constitué au hasard de males provenant de la même population. Pour les croisements impliquant un parent australien, le PRF des males victorieux différait de la moyenne et se rapprochait de celui des males de la population dont dérivait la female.On en a conclu que le PRF des appels males est important dans la reconnaissance spécifique de N. lugens, mais que chaque population montre un polymorphisme important pour ce caractère.
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13.
Résumé Les auteurs étudient par des techniques enzymatiques (phosphatases alcalines, phosphatases acides et adénosines triphosphatases) et des techniques autoradiographiques (par la glycine 3H), les cellules du revêtement de la paroi alvéolaire du rat Wistar. Après avoir rapporté les caractéristiques enzymatiques des différents types de cellules, les auteurs aboutissent à un certain nombre de conclusions concernant la cytophysiologie et le métabolisme des phospholipides au niveau du poumon.Cette étude qui fait suite à une étude histochimique et histo-enzymologique en microscopie optique, leur permet de penser que les pneumocytes granuleux ou cellules à inclusions lipidiques ou cellules alvéolaires de type II jouent un rôle particulier dans l'élaboration du surfactant. En effet, des inclusions lipidiques complexes ont été retrouvées dans les mitochondries; elles sont par ailleurs le siège d'une réaction positive par les déshydrogénases, elles incorporent précocement la glycine tritiée et possèdent une période constante de 55–56 Angströems. Les images de secrétion exocrine retrouvées permettent de penser que ces cellules synthétisent des phospholipides (au niveau des mitochondries) destinés à l'élaboration du surfactant. La positivité des A.T. Pases au niveau de leurs villosités traduit une activité de transfert énergétique au niveau des membranes.Il existerait donc deux types de figures lamellaires au niveau des cellules bordant l'alvéole: les unes sont situées dans les pneumocytes granuleux et ne sont pas positives aux phosphatases acides; elles sont surement à l'origine du surfactant. Les autres sans période caractéristique marquées par une réaction phosphatasique acide nette correspondent à du matériel phospholipidique phagocyté et sont situées dans les cellules alvéolaires ou endo-alvéolaires à activité macrophagique.
Ultrastructural histochemical study of the rat pulmonary alveolus
Summary The alveolar cells of the rat have been studied autoradiographically (glycine 3 H) as well as with certain enzyme demonstrating methods (alkaline phosphatases, acid phosphatases and A.T. Pases). The enzymatic features of the different cell types are given and conclusions about the cytophysiology and the phospholipid metabolism in the lung are suggested.The authors think that the granular pneumocytes (or phospholipid inclusion cell or Type II alveolar cell) play a role in the surfactant elaboration. Complex lipid inclusion bodies are to be seen in the mitochondria, which are dehydrogenase positive, incorporate glycine 3H, and possess a constant structural period of 55–56 Å. The exocrine secretion figures suggest that these cells synthesize phospho-lipids in their mitochondria; these lipids are part of the surfactant. The positive A.T. Pases on the microvilli of type II alveolar cell are an indication for an active membrane transport.There are two types of lamellar bodies in the alveolar cells: the first occur in the granular pneumocyte; they are acid phosphatase negative and are certainly the source of the surfactant; the second occur in the alveolar macrophages; they do not exhibit a constant periodicity, they are acid phosphatase positive and are thought to represent engulfed phospholipids.
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14.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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15.
Résumé Les suçoirs deThesium humifusum renferment un pont transfert caractérisé par deux arcs de trachéides limitant un « tissu hyalin » et reliés d'une part aux vaisseaux de la racine mère par un massif de trachéides contenant des plages de parenchyme intertrachéidal et d'autre part au xylème de l'hôte par des cellules absorbantes lignifiées.Les observations que nous avons réalisées montrent que les cellules du tissu hyalin présentent des épaississements pariétaux importants au niveau des lacunes qu'elles limitent; ces formations dont nous avons établi la nature polysaccharidique pourraient provenir de l'émission du contenu de vésicules golgiennes qui renferment elles-mêmes de nombreuses granulations polysaccharidiques, et joueraient le rôle de « pièges à eau ».L'étude du contact hôte-parasite nous a aussi montré que les cellules absorbantes lignifiées sont de simples dérivations sur les vaisseaux de l'hôte et que les cellules absorbantes cellulosiques sont soit en contact direct avec le xylème de la racine nourricière soit séparées de ce dernier par une mince couche de substance lignifiée.L'ultrastructure des cellules du parenchyme intertrachéidal a permis d'établir qu'elles présentent les caractères de cellules douées d'une activité métabolique intense.Toutes ces observations confirment les suçoirs dans leur rôle d'organe de transit entre l'hôte et le parasite et d'organe de réserve.
About some aspects of the haustorium ultrastructure ofThesium humifusum L.
Summary The haustoria ofThesium humijusum contain a transfer bridge composed of two arches of tracheids which are bound laterally to a hyalin body, one side of the haustorium is continuous with the root vessels of the parasite via a tracheid mass, interspersed with parenchymatous areas, while the other side is connected to the host xylem by absorbing lignified cells.The hyalin body cells have some important wall thickenings opposite the intercellular spaces which are next to them; these structures are composed of polysaccharide and are presumably formed from Golgi vesicles containing many polysaccharide granules; they should function as water traps. It has been shown that the contact between host and parasite is by means of absorbing lignified cells which are simple branches on host vessels and the absorbing cellulosic cells either in direct contact with the host xylem or separated from it by a thin lignified layer.A study of the ultrastructure of the intertracheidal parenchyma cells shows they are probably intensively active metabolically.The results presented here show that the haustoria possess a dual function, as a storage organ and as an absorbing structure between host and parasite.
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Résumé L' adaptation de Agrotis segetum Schiff. (Lep. Noctuidae), dans différentes zones géographiques de son aire de distribution, est dûe à la variabilité de caractères bio-écologiques (vitesse de développement, seuil thermique de nymphose). II existe un gradient latitudinal dans la variation de ces différents caractères permettant à l'espèce d'hiverner au dernier stade larvaire, le plus favorable à sa survie.Des sélections conduites au laboratoire, montrent que ces caractères sont héréditaires. Une pression de sélection, exercée uniquement sur l'un d'entre eux (durée de développement longue ou courte à 25°LO 12:12), se répercute également sur les autres, en accord avec les variations observées dans les populations naturelles. II est ainsi possible, à partir d'une population de la région Parisienne, de sélectionner des souches qui ont les caractéristiques des populations naturelles du sud ou du nord de l'aire de répartition de S. segetum. Ces résultats sont discutés dans le contexte général de l'ajustement du cycle évolutif en fonction des zones géographiques où l'espèce a été étudiée.  相似文献   

17.
Lowland robusta type coffee, (Coffea canephora), is a cash-crop in many tropical countries, and is reported in the literature as primarily wind-pollinated. The floral characteristics seem to refute this, and our evidence shows that in Papua New Guinea the flowers are classically entomophilous, being pollinated primarily by bees and flies. By far the most important and consistent visitors are solitary bees, especially Creightonella frontalis which nests within the plantations. The activity patterns and nesting biology of this bee are closely tied in with the success of the coffee bushes. Measures to improve pollination and fruit set in the coffee plantations are therefore suggested.
Résumé Le café robusta, C. canephora, est une culture de rente dans de nombreuses régions intertropicales. La littérature le considère comme essentiellement pollinisé par le vent. Les caractéristiques de la fleur semblent contredire cette opinion. Nos observations montrent qu'en Nouvelle Guinée les fleurs sont typiquement entomophiles, étant avant tout pollinisées par des abeilles et des mouches. Des abeilles solitaires qui nichent dans les plantations, en particulier C. frontalis, sont de loin les plus importants et les plus réguliers visiteurs de ces fleurs. Les caractéristiques de la biologie et le comportement de nidification de cette abeille sont intimement liés à la production des buissons de caféier. Des mesures pour favoriser la pollinisation et améliorer la production de fruit dans les plantations de café sont ainsi suggérées.
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18.
Summary The haemocytes of larvae and young pupae of Calliphora erythrocephala are studied by phase contrast and electron microscopy and three cell lineages are distinguished: plasmatocytes, thrombocytoids and oenocytoids. The plasmatocytes show important modifications during larval development and at the time of histolysis, which are described and discussed in relation to the function of these cells in the physiology of Calliphora. The thrombocytoids, haemocytes which had not been recorded so far, are characterized by a strong tendency to fragmentation, this process leading to the formation of the anucleated cytoplasmic fragments and the naked nuclei referred to by earlier authors. The ability of the cell fragments, which retain normal cytological characteristics, to agglutinate and form intricate networks, is discussed in relation to haemostasis in Calliphora.The ultrastructural study of the haemocyte accumulations in the vicinity of the posterior part of the dorsal vessel reveals the basic organization of haemocytopoetic tissue, as described recently in orthopteran insects. The functional importance of this tissue in the production of haemocytes is demonstrated by X-irradiation and ligation experiments in larvae of Calliphora.
Résumé L'étude en microscopie en contraste de phase et au microscope électronique permet de distinguer dans le sang circulant de larves et de jeunes pupes de Calliphora erythrocephala trois lignées cellulaires: les plasmatocytes, les thrombocytoïdes et les oenocytoïdes. Les plasmatocytes, numériquement les plus importants, présentent au cours du développement larvaire et chez les pupes des modifications considérables, qui sont décrites et discutées en rapport avec la fonction évidente de ces hémocytes chez Calliphora. Les thrombocytoïdes, inconnus dans la littérature, se caractérisent par une forte tendance à la fragmentation, qui aboutit à la formation des «fragments cytoplasmiques anucléés» et des «noyaux nus» signalés par divers auteurs. Les phénomènes d'agglutination des «fragments cytoplasmiques anucléés», dont les caractères cytologiques restent normaux, sont discutés en rapport avec le problème de l'hémostase chez cet insecte.L'étude ultrastructurale des accumulations hémocytaires autour du vaisseau dorsal dans la partie postérieure de l'abdomen montre une organisation de base comparable à celle décrite dans les organes hématopoïétiques des Insectes Orthoptères. L'importance fonctionelle de ce tissu hématopoïétique de Calliphora dans la production des hémocytes au cours de la vie larvaire est démontrée par des irradiations de ce tissu et par des ligatures de la partie postérieure de l'abdomen.
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19.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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20.
Résumé Le tube digestif des cochenilles se caractérise par la présence d'un dispositif intestinal appelé chambre filtrante. Celle-ci, formée par l'accolement des deux extrêmités de l'intestin moyen, est supposée intervenir dans le transit alimentaire en éliminant par «voie raccourcie» l'eau ingérée en excès, mais ce rôle est resté jusque là hypothétique.Chez Planococcus citri, l'étude cytologique et histochimique révèle des caractères propres aux parties de l'intestin moyen participant à la réalisation de ce dispositif. Ces caractères suggèrent une fonction particulière qui peut être liée à un mouvement de l'eau. Les cellules sont de taille très réduite. Par endroits, des différences ultrastructurales s'observent entre les deux anses accolées (présence de vacuoles et d'espaces extracellulaires développés). Les cellules non modifiées de l'anse de départ présentent un caractère morphologique particulier, le système d'espaces intercellulaires et un caractère histochimique dominant, l'importante quantité de glycogène. Les cellules non modifiées de l'anse de retour présentent une structure inhabituelle, les «expansions tubulaires» associées aux microvillosités. En absence du «plasmalemma mitochondrial complex» le passage de l'eau se ferait par osmose dans deux directions: d'une part à travers les épithéliums amincis, d'autre part par le réseau d'espaces intercellulaires.
Studies on the filter-chamber of Planococcus citri risso (Insecta, Homoptera)Histochemistry and ultrastructure
Summary The digestive tract of the coccids is characterized by the presence of a filter chamber formed by the apposition of the two extremities of the midgut. It is supposed that the filter chamber plays a role in the elimination of excess water by a short circuit but this assumption is still hypothetical.In Planococcus citri, cytological and histochemical studies have revealed structural peculiarities in those parts of the midgut which participate in the organization of the filter chamber, which suggest a particular function. The cells are highly reduced in size. In certain regions ultrastructural differences exist between the two apposed extremities of the midgut such as the presence of a vacuole and of highly developed extra-cellular spaces. These features may be related to water transport. The conventional cells of the proximal end of the midgut show the presence of a system of intercellular spaces and are very rich in glycogen. The conventional cells of the distal end of the midgut possess extracellular microtubules associated with the microvilli. In absence of a plasmalemma mitochondrial complex the transport of water could occur by osmosis across the thinned epithelium and the network of intercellular spaces.
Cet article recouvre en partie le travail d'une thèse de Docteur-Ingénieur soutenue à l'Université Paris VI en 1972.  相似文献   

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