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1.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

2.
Oviposition rate and developmental capacity was determined for Amblyseius hibisci (Chant), A. limonicus Garman and McGregor, A. largoensis (Muma), Metaseiulus pomoides Schuster & Pritchard, M. occidentalis (Nesbitt), Typhloseiopsis arboreus (Chant), Typhodromus pyri Scheuten, Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, and Iphiseius degenerans (Berlese) on both artificial and natural diets. Oviposition and development occurred in seven of nine species when fed artificial diet and in all species when fed natural diets (phytophagous mites or pollen). The combined mean oviposition rate (21-d tests) for all species which oviposited on artificial diet was ca. one third the rate achieved by these species when tested on natural diets. Eggs and immature stages derived from oviposition tests with artificial diet showed no abnormalities and developmental times (egg to egg) were similar to those observed on natural diets. Predator cultures maintained on artificial diet showed gradual declines in viability within 2–3 months and only A. hibisci survived longer than 6 months. Adult predators of species which failed to oviposit when fed artificial diet survived longer than adults tested in the absence of food and water. Immature stages of these species failed to develop on artificial diet.
Ponte et developpement d'acariens predateurs alimentes a partir d'un regime artificiel et d'un regime naturel (Acari: Phytoseiidae)
Résumé Le nombre d'ufs pondus par 7 espèces de Phytoseiidae nourries sur milieu artificiel a varié de 0,1 à 1,2 uf/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 0,5 uf/femelle/jour pour une période de ponte moyenne de 18,5 jours.Deux espèces, Phytoseiulus persimilis et Metaseiulus occidentalis nourries sur milieu artificiel, n'ont pas pondu; leurs longévités moyennes ont été respectivement de 11,3 et de 10,3 jours.Avec un régime naturel (acariens phytophages ou pollen), le nombre d'ufs pondus, pour 9 espèces de Phytoseiidae a varié de 0,8 à 3,2 ufs/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 1,7 uf/femelle/jour pour une durée moyenne de la période de ponte de 19,0 jours.La viabilité des ufs provenant des expériences de ponte avec régime artificiel était elevée chez toutes les espèces prédatrices et les durées du développement sur milieu artificiel étaient semblables à celles observées avec régime naturel. La viabilité des élevages de prédateurs maintenus sur milieu artificiel a diminué progressivement et la plupart des élevages avaient disparu en moins de 6 mois. Les tentatives d'élevage de P. persimilis et M. occidentalis sur milieu artificiel ont été négatives bien que les prédateurs adultes femelles aient eu une plus grande longévité sur milieu artificiel qu'en absence de nourriture et d'eau.
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3.
The relative importance of three factors-mating, nutrition, and crowding-in regulating the reproductive biology of Dysdercus fasciatus Signoret, D. nigrofasciatus Stål and D. cardinalis Gerst. was studied under standard laboratory conditions. Observations on mated and virgin females of these three species of Dysdercus showed that there were no significant differences in pre-oviposition period and inter-oviposition period. In D. fasciatus and D. nigrofasciatus there was, further, no significant difference in the rate of oocyte development; but D. cardinalis differed from these two species in that mating had a profound effect on the rate of oocyte development and consequently on the first oviposition. However, in all three species of Dysdercus mating had a significant effect on the number of eggs produced in each batch, the egg batches of mated females being significantly larger than those produced by virgin females. Further, in both D. fasciatus and D. nigrofasciatus virgin females lived longer than mated females but in D. nigrofasciatus mating had no significant effect on adult longevity. Mating activity was drastically reduced in starved adult bugs. But where it occurred under these conditions, mating did not have any effect on the development of the oocytes, even in D. cardinalis. Under starvation conditions, growth proceeded up to the stage where yolk deposition would normally occur, then stopped; the oocytes showed no signs of degeneration or oosorption. Crowding of female adults led to the acceleration of oocyte development and the onset of oviposition in all three species. These findings are discussed in relation to the known field biology of the three Dysdercus species.
Résumé La biologie de la reproduction de 3 espèces de Dysdercus du Kenya a été étudiée au laboratoire. Des 3 espèces, D. fasciatus Signoret présente les périodes les plus courtes de pré-copulation et de pré-oviposition. Puisque cette espèce est inféodée à un relativement petit nombre de plantes-hôtes, qui ont une courte saison de fructification procurant alors une ample source de nourriture, elle tire un avantage maximum de la brièveté de cette période favorable, grâce à la réduction des phases de pré-copulation et de pré-oviposition.Par contre D. nigrofasciatus Stål est adaptée à un très grand nombre de plantes hôtes et pour elle il n'est pas indispensable d'avoir une très grande capacité de reproduction. Cela s'applique encore mieux à D. cardinalis Gerst. qui a une plus longue période de pré-copulation et de pré-oviposition. Cette espèce préfère les plantes qui sont dispersées sur une grande superficie et cela exige une longue période de vol exploratoire avant de s'alimenter et de se reproduire.Chacune de ces 3 espèces s'accouple de façon presque continue, mais les observations faites au laboratoire montrent que l'accouplement n'a aucun effet notable sur la longévité des adultes, sur la durée des phases de pré-oviposition ou d'inter-oviposition et sur le nombre total d'ufs pondus chez D. fasciatus et D. nigrofasciatus. Chez D. cardinalis, au contraire, l'accouplement a un effet important sur la vitesse de croissance des ovocytes, mais non sur les autres aspects de la reproduction évoqués ci-dessus.Le rassemblement en masse des femelles adultes accélère le développement des ovocytes et déclenche la ponte dans chacune des 3 espèces de Dysdercus.L'alimentation a un effet sur le développement des ovocytes. De jeunes femelles adultes doivent être alimentées pendant au moins 3–4 jours avant de déposer leur première ponte. Après chaque ponte une alimentation plus abondante est encore nécessaire pour assurer le maintien de la production d'ufs. Les femelles de chacune des 3 espèces peuvent survivre avec de l'eau pure mais leurs ovocytes arrêtent leur développement au stade où normalement se dépose le vitellus, mais ils ne sont pas résorbés.
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4.
The distribution of eggs on sorghum by Atherigona soccata Rond. and host preference for oviposition were studied. The female laid her eggs more or less evenly on sorghum leaves, laying one or two eggs per leaf. Under field conditions eggs were most frequently laid on the third leaf, followed by the second leaf, while under insectary conditions the second leaf was preferred to the third. Sorghum bicolor was markedly preferred to other graminaceous plant species, Digitaria scallarum, Rottboellia exaltata, Setaria verticillata and Panicum maximum.
Résumé Nos observations montrent que les femelles d'Atherigona soccata répartissent leurs ufs plus ou moins au hasard sur les feuilles de Sorgho, déposant 1 à 2 ufs par feuille. Dans les conditions naturelles les ufs sont plus fréquemment déposés d'abord sur la 3ème feuille, puis sur la 2ème feuille, tandis qu'en insectarium la 2ème feuille est préférée à 3ème. Sorghum bicolor est nettement préféré à d'autres espèces de graminées, comme Digitaria scallarum, Rottboellia exaltata, Setaria verticillata et Panicum maximum.
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5.
Laboratory experiments tested whether two economically-important sibling species of tephritid fruit flies have evolved distinct egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. The egg-laying preferences displayed by apple maggot flies, R. pomonella, and blueberry maggot flies, R. mendax, on artificial fruits treated with apple and blueberry extract paralleled their egg-laying responses to whole apples and blueberries. R. pomonella flies laid more eggs than R. mendax flies in artificial fruits treated with extract from ripe McIntosh apples, and vice versa for artificial fruits treated with extract from ripe Bluehaven blueberries. Furthermore, both species laid more eggs in artificial fruits treated with extract from their respective host fruits than control artificial fruits which were not treated with fruit extract. Prior electroantennogram recordings from R. mendax and R. pomonella flies exposed to volatiles from pentane extracts of apples and blueberries indicate that the antennal sensitivity of both species is selectively tuned to their respective host fruit odors. This differentiation in their olfactory responses to fruit odors could be important in mediating their distinct ovipositional responses to blueberry and apple fruits. Extract from unripe McIntosh apples also elicited egg laying by R. pomonella flies, however, artificial fruits treated with unripe apple extract received 1.9 times fewer eggs than those treated with ripe apple extract. Moreover, the numbers of R. pomonella ovipositor punctures and eggs placed in wax artificial fruits were increased when the artificial fruits were treated with a blend of 7 identified apple esters. Black coloration on these artificial fruits and the presence of apple esters had a synergistic effect on the egg-laying behavior of R. pomonella flies, which caused them to lay substantially more eggs per black fruit than white fruit treated with the same concentration of apple esters. In summary, our results indicate that the egg-laying responses of R. pomonella flies are mediated by the integration of information from fruit chemical and visual cues, and that R. mendax and R. pomonella flies have evolved divergent egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. These findings are discussed in the context of other studies on plant compounds which influence the ovipositional behavior of phytophagous Diptera.
Stimuli chimiques des pommes et des myrtilles induisant la ponte des espèces jumelles, Rhagoletis pomonella et R. mendax
Résumé Des fruits artificiels en cire traités avec des extraits de fruits ont provoqué chez les espèces jumelles de R. mendax (Curran) et R. pomonella (Walsh) des réactions de ponte différentes suivant les stimulations chimiques par les fruits. Le comportement de ponte sur des fruits artificiels traités avec des extraits au pentane des myrtilles mûres (Vaccinium corymbosum L.) et de pommes mûres (Malus pumila Miller = Pyrus malus L.), est le même que sur des fruits naturels, ce qui montre que la réponse aux stimulations chimiques provenant du fruit constitue un aspect important de la reconnaissance de l'hôte. R. pomonella pond plus d'ufs que R. mendax sur les fruits artificiels traités à l'extrait de pommes mûres; c'est l'inverse pour les fruits traités aux extraits de myrtille. Les fruits artificiels traités avec des pommes ou des myrtilles provoquent la ponte de R. pomonella, tandis que les myrtilles mûres seules provoquent la ponte de R. mendax. Les extraits de pommes vertes stimulent la ponte de R. pomonella mais elle est alors 2 fois plus faible qu'avec des extraits de pommes mûres. Un mélange de 7 esters identifiés dans l'extrait de pomme induit aussi la ponte de R. pomonella. Le nombre de piqûres de tarièresfli dans les fruits artificiels en cire et le nombre d'ufs par fruit ont été augmentés par addition d'esters de pommes à des fruits blancs ou noirs. La couleur des fruits artificiels influence aussi la réaction de ponte de R. pomonella; la fréquence des piqûres de tarière contenant un uf et le nombre d'ufs par fruit étaient significativement plus élevés sur les fruits noirs que sur les fruits blancs traités avec la même concentration d'esters de pomme. Les fruits artificiels noirs traités avec la concentration la plus stimulante d'esters de pommes ont reçu 2, 3 fois plus d'ufs que les fruits blancs avec les mêmes concentrations en esters. Ces résultats montrent que les esters de pomme et la couleur noire stimulent synergiquement la ponte de R. pomonella sur des fruits artificiels.
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6.
The host-selection behaviour of nine strains ofTrichogramma spp., towards eggs ofMamestra brassicae, Pieris brassicae andP. rapae, was investigated in laboratory experiments in order to select candidate strains for inundative releases against these species. Experiments were carried out by continuously observing the behaviour of individual females, which were offered equal numbers of eggs of two host species arranged in a grid.M. brassicae was a highly acceptable host species for all strains, whereas the acceptability of the twoPieris species was similar within strains, but varied between strains. Considering the variation in acceptance ofPieris eggs, strains either showed: (1) no preference betweenMamestra andPieris (High PierisAcceptance = HPA strains), (2) a preference forMamestra (Variable PierisAcceptance = VPA strains), or (3) an aversion forPieris (Low PierisAcceptance = LPA strains). Females of VPA strains showed a high acceptance ofPieris eggs if the preferredMamestra eggs were absent. They contacted comparatively fewerPieris eggs in presence ofMamestra eggs, which indicates selection of hosts at a distance. HPA strains probably are the best candidates for inundative releases.
Sélection hôte-espèce par différences souches de l'æuf-parasiteTrichogramma spp.
Résumé Le comportement de sélection de l'hôte par neuf souches deTrichogrammes, vis-à-vis d'ufs deMamestra brassicae, Pieris brassicae etP. rapae a été étudié au laboratoire afin de sélectioner des souches candidates pour des lâchers inondatifs contre ses espèces. Des expériences ont été menées par observations en continu du comportement de femelles auxquelles était offert un nombre égal d'ufs de deux espèces d'hôtes, disposés selon un grille.M. brassicae est un espèce-hôte fortement acceptée par toutes les souches. Au contraire, l'acceptabilité des deux espèces dePieris, semblable pour chaque souche, varie entre les souches. En tenant compte de la variation d'acceptance des ufs dePieris les souches (1) ne montrent aucune préférence entreMamestra etPieris, (2) montrent une préférence pourMamestra, ou(3) une aversion pourPieris. Des femelles des souches du second groupe acceptent fortement les ufs dePieris si les ufs deMamestra, préférés, sont absents. Comparativement, elles rentrent en contact avec moins d'ufs dePieris en présence d'ufs deMamestra. Ceci indique une sélection des hôtes à distance. Les souches du premier groupe sont probablement les meilleures candidates pour des lâchers inondatifs.
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7.
Telenomus lobatus Johnson & Bin (Hymenoptera: Scelionidae), previously known only from the eggs of a berothid species, emerged from field-collected eggs of the chrysopid Mallada macleodi. In the laboratory, host species differentially influenced development, survival, and size of the parasitoid. Females parasitized between 55 and 65% of the available eggs of Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, and C. rufilabris), and these yielded 98 to 100% adult parasitoids within an average of 13 days. In contrast, eggs of Chrysopa were parasitized less frequently, (C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1.3%) and relatively few (C. chi: 5.6%; C. oculata: 21%) or no (C. quadripunctata) parasitoids survived to adult emergence. Preimaginal development of T. lobatus in eggs of C. chi and C. oculata was approximately two days longer than in eggs of Chrysoperla spp. Although eggs of Meleoma dolicharthra were parasitized infrequently (approx. 16%), they yielded 100% adult parasitoids. Anomalochrysa maclachlani eggs were parasitized at low rates (1.8%) and parasitoid survival was intermediate (40.7%). Among all species, size of the host egg was positively related to the size of the emerging parasitoid adult.
Résumé T. lobatus Johnson & Bin (Hym. Scelionidae) connu jusqu'ici uniquement comme parasitoïde des ufs de Berothidae, a étè obtenu d'ufs du chrysope, Mallada macleodi récoltés dans la nature. Au laboratoire, l'espèce de l'hôte influe sur le développement, la survie et la taille du parasitoïde. Les femellles ont parasité 55 à 65% des ufs disponibles de Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, C. rufilabris) et ceux-ci ont donné 98 à 100% de parasitoïdes adultes en 13 jours en moyenne. Par contre, les ufs de Chrysopa étaient moins souvent parasités,-C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1,3%-, et relativement peu de parasitoïdes avaient survecu jusqu'à l'émergence,-C. chi: 5,6%; C. oculata: 21%; C. quadripunctata: 0. Le développment préimaginal est approximativement 2 jours plus long dans les ufs de C. chi et C. oculata que dans ceux de Chrysoperla spp. Bien que les ufs de Meleoma dolicharthra aient été peu parasités,-environ 16%-, 100% ont donné des parasitoïdes adultes. Les ufs de Anomalochrysa maclachlani ont été peu parasités,-1,8%-, et le taux de survie a été moyen: 40,7%. Pour toutes les espèces, la taille de l'uf de l'hôte était liée positivement à la taille du parasitoïde obtenu.
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8.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
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9.
The oviposition response of Cryptophlebia leucotreta (Meyrick) (Lepidoptera: Tortricidae) to healthy navel and Valencia orange, Citrus sinensis (L.), fruit was measured in experimental orchards at Nelspruit, eastern Transvaal, South Africa, and was compared with the response to prematurely ripened fruit and injured fruit. Both premature ripening and injury increased the number of eggs laid on these fruit. Damaged fruit was almost twice as attractive as ripe fruit if the number of eggs laid can be used as a measure of attraction. Large wounds were no more stimulating than small lesions. The quantity of stimulus was not statistically significant, yet five or ten treated fruit in a cluster led to more egg-laying per fruit than a single treated fruit. More eggs were observed on healthy fruit within 50 cm of clusters of treated fruit than on healthy fruit on different trees, but this effect was not statistically significant.
Résumé La ponte de c. leucotreta Meyrick (Lep.; Tortricidae) sur oranges (Navel et Valencia) saines a été évaluée dans des vergers expérimentaux de Nelspruit à l'est du Transvaal, en Afrique du Sud. Elle a été comparée à la ponte observée sur des fruits prématurés ou endommagés. Ces deux dernières situations ont augmenté l'effectif d'ufs pondus sur les fruits; si le nombre d'ufs pondus est utilisé comme critère d'attraction, les fruits endommagés étaient presque deux fois plus attractifs que les autres. La taille des blessures est sans effet. Des fruits ont été artificiellement endommagés ou conduits prématurément à maturité avec un badigeon d'acide 2-chloréthylphos-phorique. Ces stimului n'ont pas eu d'effet cumulatif significatif; pourtant la ponte était plus importante sur des paquets de 5 ou 10 fruits artificiellement modifiés, que sur des fruits modifiés isolés. Une ponte plus importante a été observée sur des fruits sains à moins de 50 cm d'un groupe de fruits modifiés. Il est probable que des signaux visuels et olfactifs orientent la découverte du fruit par la tordeuse. Ces résultats suggèrent que les substances volatiles ont plus d'influence que la couleur ou la taille du fruit.La protection contre cet insecte devrait comprendre l'élimination des fruits mûris prématurément ou abîmés, mais il faudrait préciser si les fruits endommagés sont ou non découverts par hasard. La concentration des pontes sur et autour de ces fruits peut aussi réduire les pontes dans le reste du verger.
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10.
Experiments examined the effects of no-tillage (NT) and conventional-tillage (CT) and increased soil moisture (irrigation) on southern corn rootworm (SCR), Diabrotica undecimpunctata howardi Barber (Coleoptera: Chrysomelidae), oviposition and survival and SCR below-ground predators in peanut (Arachis hypogeae L.) agroecosystems. No-tillage systems without irrigation had significantly greater soil moisture than CT systems without irrigation in 1987, but not in 1988. Both moist soil and the presence of an organic residue increased the number of southern corn rootworm eggs in a system. The same 17 species of predatory arthropods were found in all systems. However, their activity in the top 10-cm of soil which increased in NT systems, determined how effective they were as predators. Only 7 predators significantly reduced SCR immature stages, and of these 7, only one, Formicidae, preyed on all stages of SCR. Southern corn rootworm first instars and eggs had the greatest overall percent mortality, with second and third instars the lowest. Peanut yields and pod quality were equal between NT and CT systems. Overall return per ha showed NT, no-irrigation systems with the greatest return. Abiotic parameters dominated SCR survival in CT systems, while biotic parameters had the greatest influence on SCR survival in NT systems.
Résumé Des expériences ont été entreprises pour examiner l'influence de labours classiques ou de leur absence et de l'augmentation de l'humidité du sol (irrigation) sur la ponte et la survie de D. undecimpunctata howardi Barber (Coleo. Chrysomelidae) et sur ses prédateurs souterrains dans des agrosystèmes à arachide. L'humidité du sol s'est montrée significativement plus élevée dans les parcelles irriguées pendant les deux années, 1987 et 1988, mais, en 1987 et non en 1988, l'humidité du sol a été significativement plus élevée dans le sol non labouré pourtant non irrigué que dans le sol labouré et irrigué. La présence de sol humide et de résidus organiques augmente le nombre d'ufs émis. Les mêmes 17 espèces d'arthropodes prédateurs dateurs souterrains ont été rencontrés dans toutes les sols non labourés et parfois dans les sols labourés irrigués; leur activité détermine leur efficacité comme prédateur. 7 espèces réduisent les effectifs de larves, mais une seule d'entre elles, une Formicidae, (Lasius spp. et Pheidole spp.) s'est révélée prédatrice de tous les stades de la chrysomèle. La plus forte mortalité de D. u. howardi a été observée sur les ufs et les larves de premier stade, la plus faible sur les larves de deuxième et troisième stade. La récolte et la qualité des arachides sont identiques avec ou sans labour. Ainsi, la rentabilité financière par ha était supérieure dans les systèmes sans labour non irrigués. Il découle de cette étude que les paramètres physiques dominent la survie de la chrysomèle dans les systèmes avec labour, tandis que les paramètres biologiques influent le plus sur la survie dans les systèmes sans labour.
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11.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
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12.
Samples of males and females of G. pallidipes and G. fuscipes were collected at Lugala, Uganda, by seven different methods. There were marked differences between the infection rates of the various samples. In the case of G. pallidipes the differences in infection rate were closely associated with differences in mean age of the samples, but in the case of G. fuscipes the agreement was less close.
L'influence de la methode d'echantillonnage sur les taux d'infection a trypanosome des Glossina pallidipes et G. Fuscipes capturees
Résumé Des échantillons de Glossina pallidipes et G. fuscipes des deux sexes ont été récoltés à Lugala, Uganda, sur un buf en marche, sur un buf à l'arrêt, sur un véhicule se déplaçant lentement, dans des pièges, au repos, sur des hommes à l'arrêt, et sur des hommes en marche. Les nombres obtenus par les 7 méthodes sont indiqués mais le principal intérêt réside dans leurs taux d'infection.Pour les deux espèces il y eut des variations considérables entre les taux d'infection des échantillons recueillis et beaucoup de ces différences étaient persistantes sur plusieurs répétitions. Les femelles de G. pallidipes capturées sur les bufs et dans les pièges étaient plus infectées que celles capturées sur l'homme, sur le véhicule et au repos. Les mâles au repos de cette espèce avaient un taux d'infection élevé constant, tandis que les mâles capturés dans les pièges avaient le taux d'infection le plus élevé durant les premières captures et le plus bas durant les dernières captures. Les différences dans le taux d'infection étaient en liaison étroite avec les différences correspondantes dans l'âge moyen. Parmi les échantillons de G. pallidipes capturés sur bufs, et dans les pièges, les femelles avaient constamment un taux d'infection plus élevé que les mâles, tandis que parmi les captures sur le véhicule, sur l'homme, et chez les mouches au repos, les mâles avaient le taux d'infection le plus élevé.Les femelles de G. fuscipes capturées sur l'homme, et au repos avaient, avec une exception, des taux d'infection constamment plus élevés que celles recueillies par d'autres méthodes. Les mâles de cette espèce capturés buf au repos, sur véhicule et au repos avaient des taux d'infection constamment plus élevés. Le rapport entre l'âge moyen et le taux d'infection des différents échantillons était moins étroit que dans le cas de G. pallidipes.
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13.
The suitability as a host of Diadegma armillata (Gravenhorst) (Hymenoptera, Ichneumonidae) was determined for eight West-European representatives of the genus Yponomeuta Latreille (Lepidoptera, Yponomeutidae) by dissecting and rearing parasitized larvae under controlled conditions.The suitability of the various species differed considerably, and dissection showed that this was mainly due to the ability of the host species to encapsulate the parasitoid eggs.Encapsulation by Yponomeuta-species corresponded fairly well to the differences between the parasitoid complexes concerning D. armillata.Classifying the Yponomeuta-species into three categories according to their suitability, showed a remarkable parallelism with the phylogenetic relationships as determined by allozyme comparison: species showing high encapsulation rates are those that have diverged early in the evolution of the genus, whereas the more recently evolved species showed an intermediate percentage or were not able to encapsulate eggs of D. armillata.
Résumé L'étude a porté sur la valeur de 8 représentants européens du genre Yponomeuta (Lep., Yponomeutidae) comme hôtes pour Diadegma armillata (Hym., Ichneumonidae). La présence, l'état du parasitoïde, le nombre de chenilles contenant un hyménoptère et la mortalité des chenilles on été examinés par dissection et par élevage des chenilles attaquées en conditions contrôlées. Pour examiner si la mortalité des chenilles saines et parasitées diffèrent, des chenilles non contaminées par l'ichneumonide ont été utilisées comme témoins. De plus, des chenilles provenant de différentes parties des Pays-Bas et d'Allemagne ont été disséquées pour connaître leur taux de parasitisme par D. armillata.La valeur des diverses espèces diffère considérablement. Les dissections montrent que cela provient de différentes aptitudes à l'encapsulation des ufs du parasite. La comparaison des taux observés par la dissection des chenilles des différentes parties des Pays-Bas et d'Allemagne montre une surprenante uniformité pour les populations d'origines géographiques différentes.Les observations sur l'encapsulation par les différentes espèces d'yponomeutes correspondent assez bien aux différences observées parmi les divers complexes parasitaires dans lesquels D. armillata intervient. Certains éléments montrent cependant que le taux d'attaques victorieuses (sans tenir compte d'une éventuelle encapsulation ultérieure) contribue aussi aux différences observées entre les complexes parasitaires.Le classement des espèces d'yponomeutes en 3 catégories, d'après leur valeur comme hôte, montre un remarquable parallélisme avec les relations phylogéniques mises en évidence par analyse des allozymes: les espèces présentant une forte proportion d'encapsulation sont celles qui ont divergé précocement au cours de l'évolution du genre, tandis que les espèces ayant divergé le plus récemment présentent un pourcentage intermédiaire ou sont incapables d'encapsuler les ufs de D. armillata.
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14.
Egg production under laboratory conditions was examined over the lifespan of Heliothis zea (Boddie) and Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae). Although H. zea oviposits singly and S. ornithogalli oviposits in masses, temporal trends were similar. Egg numbers peaked shortly after mating and then rapidly declined. Egg weights also peaked shortly after mating, but decreased gradually over time. Temporal oviposition patterns were more erratic for unmated than mated females, suggesting the importance of mating in establishing the shape of the oviposition curve.
Résumé La production d'ufs d'Heliothis zea (Boddie) et de Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae) durant toute la vie adulte a été examinée au laboratoire. Bien que H. zea dépose ses ufs isolément et que S. ornithogalli les dépose en groupes, les courbes temporelles d'oviposition chez des individus fécondés sont similaires. Le nomber d'ufs culmine peu après l'accouplement, puis décline rapidement. Le poids des ufs culmine aussi peu après l'accouplement, puis décroît graduellement. Des femelles fécondées produisent environ deux fois autant d'ufs que les femelles non fécondées, quoique la longévité ne diffère pas significativement entre les deux groupes. Des femelles non fécondées montrent des distributions temporelles plus irrégulières que des femelles fécondées, en ce qui concerne le nombre des ufs et leur poids. Ces irrégularités ont été attribuées à la tendance des femelles non fécondées à retenir leur ufs, ce qui suggère que l'accouplement exerce une influence sur la forme de la courbe temporelle d'oviposition. Des femelles d'H. zea contenant un, deux ou trois spermatophores n'ont pas produit des nombres d'ufs significativement différents.
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The effect of various relative humidities on the eggs of artificially reared olive fruit flies, Dacus oleae, was examined at 20°. At constant humidities no eggs hatched below 90% r.h., while egg hatch at 100% and 95% r.h. was 96.7% and 72%, respectively. Reduced hatchability was observed when eggs were exposed to non-saturated atmospheres either at the beginning or at intermediate stages of embryonic development. The lower the humidity and the longer the exposure, the lower was the egg hatch. The early stages of development were more sensitive to non-saturated humidities than stages older than 24 hr. Egg development was extended at lower humidities and longer exposures.Effect of humidity on olive fruit fly eggs is compared with other insects, and discussed in relation to egg handling in the mass rearing of the fly.
Résumé A 20°, différentes humidités relatives ont été testées sur des ufs de mouche de l'olive, Dacus oleae, élevées sur régime artificiel. Quand l'H.R. était constamment inférieure à 90% aucun uf n'éclosait, à 95% il y en avait 72% et 64% des ufs non éclos contenaient des embryons avec des crochts oraux mélanisés, tandis qu'à 100% H.R. 96,7% des ufs éclosaient. Des ufs mis à incuber dans de l'eau ventilée ou dans de l'acide propionique à 0, 3% se développaient normalement, mais dans de l'eau non-ventilée il n'y avait que 62% d'éclosions. Une exposition des ufs après la ponte à 45% H.R. pendant plus de 6 heures avant leur transfert à 100% H.R. a réduit les éclosions de plus de 50%, tandis que pour une diminution similaire à 60%, 75% et 90% H.R. il fallait 8, 12 et 72 heures. Quatre heures d'exposition à 45% H.R. donnent 63% d'éclosions (contre 97,5% après une heure). Quand les ufs ont d'abord incubé à 100%, pour être transférés à 60% avant d'être remis à 100%, des expositions supérieures à 12 heures affectent le taux d'éclosion quand le transfert à 60% a eu lieu pendant les premières 24 heures. Cependant, quand le temps de latence entre la ponte et le transfert dépassait 24 heures, il n'y avait pas modification du taux d'éclosion. Le développement embryonnaire était plus long aux basses hygrométries ou après les expositions les plus prolongées.Par comparaison aux durées de développement à 100% la prolongation était de 5% pour 4 heures d'exposition à 45% H.R., de 20% pour 12 heures à 75% et de 10% pour 24 heures à 90%.Ces résultats sont comparés à ceux de différentes espèces de différents taxas, et leurs conséquences sur les manipulations d'insectes dans les élevages de masse de mouches de l'olive ont été examinées.
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A considerable amount of work has been recently devoted to the study of progeny allocation strategies by insect parasitoids under different environmental constraints (see Waage, 1986, for a review). All these studies present each of the oviposition strategies (e.g. number of eggs laid per host, superparasitism) as a phenomenon which is progressively settled by natural selection during the course of generations. However, this optimal progeny allocation theory is conceivable only if the variation in wasp's biological traits involved are under a genetic control on which natural selection could act. We have decided therefore to look for a genetic variability in these traits in a Trichogramma maidis Pintureau & Voegelé (Hym.; Trichogrammatidae) population.Based on histological staining which allows to count the number of Trichogramma eggs deposited in each host (Ephestia kuehniella Zeller), we compared different wasp isofemale lines (i.e. families) each of which was submitted to different conditions (i.e. parasite/host ratios).The results show that the control of superparasitism seems to be genetically determined. This appears true both for the average number of eggs deposited in each host, and for the frequency distribution of wasp eggs among hosts.The evolutionary consequences of such results and their possible applications in order to improve the wasp's mass-rearing conditions are discussed.
Résumé Récemment, de nombreux travaux ont été publiés dans le but de mieux comprendre les différentes stratégies de reproduction (i.e. répartition de la progéniture parmi les hôtes) présentées par les insectes parasitoides sous différentes contraintes environnementales (cf. Waage, 1986, pour une synthèse). L'ensemble de ces travaux considère chacune de ces stratégies (e.g. nombre d'ufs déposés par hôte, décision de superparasiter) comme un phénomène progressivement mis en place par la sélection naturelle au cours des générations. Ceci n'est cependant concevable que si les caractères biologiques en cause chez les parasites sont sous la dépendance d'une variation génétique sur laquelle la sélection naturelle peut agir.Les expériences présentées ici ont donc eu pour but de voir si ces caractères sont effectivement déterminés génétiquement dans une population de Trichogramma maidis Pintureau & Voegelé (Hym.; Trichogrammatidae).Grâce à l'utilisation d'une coloration histologique qui permet de compter le nombre d'ufs de trichogrammes déposés dans chaque hôte, différentes lignées isofemelles (i.e. familles) ont été comparées, et ce selon différentes conditions expérimentales correspondant à différentes valeurs du rapport nombre de femelles parasites sur nombre d'hôtes offerts.Les résultats obtenus motrent que le phénomène du superparasitisme semble être déterminé génétiquement. Ceci est constaté aussi bien au niveau du nombre moyen d'ufs de trichograme déposés par hôte, que dans les caractéristiques des distributions des ufs de parasites parmi les hôtes.Les conséquences évolutives de tels résultats, ainsi que leurs applications possibles dans le but d'améliorer les conditions d'élevage de masse de ces insectes, sont discutées.
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Eggs of Diabrotica virgifera from subtropical Mexico, when compared with those from South Dakota, are more resistant to desiccation and have a more intense diapause. Diapause occurs at the same embryological stage in the two populations and both can be dormant at humidities below 100%. The data suggest that the diapause mechanism evolved in a tropical climate to overcome a dry season and that same mechanism also adapts the species to a temperate climate.
Diapuse chez diabrotica virgifera (Coleoptera: chrysomelidae): comparaison de lévolution des oeufs provenant de populations adaptées au climat tempéré ou au climat subtropical
Résumé La diapause des ufs de Diabrotica virgifera, dans la zone subtropicale du Mexique, est plus intense que celle des ufs des populations du South Dakota, et ces ufs sont en même temps plus résistants à la dessication. La diapause intervient au même stade embryonnaire dans les deux populations et, dans les deux cas, la dormance peut se maintenir pour une humidité relative inférieure à 100%. Les faits observés suggèrent que le mécanisme de la diapause chez Diabrotica virgifera s'est développé sous un climat tropical pour assurer la survie pendant la saison sèche, ce même mécanisme ayant aussi permis à l'espèce de s'adapter à un climat tempéré.
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Diglyphus begini (Ashmead) (Hymenoptera: Eulophidae) is a larval ectoparasitoid of the leafminer, Liriomyza trifolii (Burgess) (Diptera: Agromyzidae). Female wasps oviposit on larvae which are significantly larger than larvae utilized for host feeding or hosts rejected for oviposition or feeding. Host size is evaluated on a relative rather than absolute basis. Individual female reproductive success increases with host size because of accompanying increases in offspring survivorship and adult body size. The number and duration of parasitoid stings is significantly greater when host feeding compared to oviposition and host rejection due to extensive probing of the internal viscera of larvae with the female ovipositor when host feeding. Upon host paralysis, 47.5% of parasitoid eggs become displaced from their host. However, eggs experimentally placed a mean distance of 0.8 mm away from a host do not result in a reduction in offspring survivorship compared to eggs attached to a host.
Résumé La mineuse L. trifolii Burgess attaque de nombreuses cultures à travers le monde. L'eulophide, D. begini Ashmead, est un parasitoïde fréquent du diptère. L'objectif de nombreux praticiens de la lutte biologique est de pouvoir prédire le résultat de lâchers d'ennemis naturels. Cette étude a été entreprise en estimant que la connaissance du comportement de prospection aide á comprendre la dynamique des interactions des populations hôtes et parasites. Une attaque de D. begini se concrétisant par une ponte, est généralement caractérisée par deux piqûres de durée limitée avec émission de l'uf normalement au cours de la seconde piqûre.L'alimentation aux dépens de l'hôte est caractérisée par des piqûres prolongées et répétées. Les hôtes refusés pour la ponte ou l'alimentation sont piqués une fois ou deux, les deux piqûres étant très brèves.L'aptitude de D. begini à percevoir les différences de tailles des larves de L. trifolii augmente la valeur adaptative individuelle des parasites. Les femelles ne pondent que dans les hôtes les plus grands, ce qui augmente le taux de survie des descendants et la taille des adultes. Puisque la taille des hôtes est évaluée sur une base relative, la valeur adaptative du parasite est indépendante des changements de distribution des tailles des hôtes rencontrés. Les larves de L. trifolii utilisées comme hôtes ne deviennent pas immédiatement immobiles après avoir été attaquées. Ceci fait que de nombreux ufs peuvent être délogés de leur hôte. Nous avons été incapables de déceler quelque effet nocif de ces mouvements de l'hôte après la ponte sur la survie des ufs de D. begini.
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The deposition of eggs by this strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) departs from randomness in three ways; eggs are uniformly dispersed, oviposition rates drop when beans begin to carry 2 or more eggs, and there are sharp host preferences. Using random egg placement for the unspecialized condition, these traits are evaluated for their effect on a female's contributions of offspring to the next generation (R0, the net reproductive rate). The major increases in R0 result from females dispersing eggs so uniformly that larval competition is either reduced or eliminated. Females reduce their oviposition rate when the larva from an egg added to a bean is almost certain to die in competitive encounters. Host preferences and larval survival in a host are positively associated with the abundance of the host in South India. The three oviposition traits act together to give and R0 that is 25–50% than that of eggs placed at random. These traits are known to be variable and heritable, hence, the conditions necessary for natural selection are statisfied.
Résumé Le taux partiel de reproduction nette (R inf0 sup* ) dépend de l'espèce de la plante sur laquelle les ufs sont pondus et du nombre de larves entrant dans la graine. La survie larvaire est réduite par 1/(le nombre de larves par graine) parce qu'une seule larve se développe dans une graine. La fécondité n'est pas modifiée par la compétition subie par les larves, la mortalité larvaire a l'effet le plus important sur R inf0 sup* . Les femelles éliminent ou réduisent la compétition larvaire en dispersant leurs ufs uniformément et font si peu d'erreurs avec une hyperdispersion que l'évolution d'un comportement plus précis n'accroîtrait R inf0 sup* que de 4% au maximum. Des femelles retournant à une distribution des ufs au hasard provoqueraient une réduction de R inf0 sup* de 25% au moins.Les légumineuses généralement cultivées dans l'Inde du Sud sont des hôtes acceptables quand elles sont présentées seules. Le choix des femelles entre 2 hôtes élève R inf0 sup* de 30% ou plus par rapport à une distribution au hasard. Les préférences les plus nettes concernent des combinaisons présentant la plus grande différence de R inf0 sup* . Les femelles qui hyperdispersent leurs ufs, choisissent leurs hôtes et évitent les pertes par compétition en empêchant que les ufs ne donnent plus de descendants que ne le ferait une ponte au hasard.Les particularités de la ponte sont variables et héritables. Les lignées se sélectionnent bien, en fonction de la dispersion de leurs ufs sur les graines, de la discrimination des plantes hôtes, et de la modulation de leur taux de ponte. La sélection naturelle maintient ces particularités du comportement d'une façon sédentaire.
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During the developmental period from egg to pupae Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) beetles were exposed to homogeneous and heterogeneous environments at two initial egg densities as well as undiluted and diluted media. The medium consisted of flour, flour and yeasts or flour and yeasts diluted with sawdust. Initial egg density had a strong influence on the variability of pupal weight: the weight was more variable in high density, where the coefficients of variation ranged between 0.121–0.189, compared to the coefficients of variation in low density ranging between 0.058–0.183. The dilution of the medium did not influence the pupal weight variability. Heterogeneity influenced pupation site choice. In the majority of cases larvae chose the apparently less crowded, poorer compartment, to pupate. Survival and developmental time were influenced by egg density. Environmental heterogeneity acted only as reinforcer, not as a factor itself causing variability.
Résumé Pendant le développement de l'uf à la chrysalide, des ufs de Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) ont été soumis à differents traitements de façon à établir un lieu entre la variabilité phénotypique chez les chrysalides de cet espèce et la composition de l'habitat. L'hypothèse voulait que la variabilité phénotypique soit releé au degré de complexité de l'habitat a été testé en modifiant la qualité du substrat nutritif et la concentration initiale des ufs dans le milieu.Un milieu hétérogène a été obtenu en separant un bocal par une cloison contenant d'une côté un substrat nutritif de haute qualité et de l'autre un substrat nutritif de pauvre qualité. Le milieu de haute qualité était composé de 95% de farine et 5% de levain alors que le pauvre milieu se composait de farine et levain dilués dans 3 portions de sciure pour 1 potion de farine et levain. Deux témoins ont été préparés: l'un deux comprenait deux bocaux contenant un substrat nutritif de même valeur et l'autre comprenant le même milieu mais sans cloison. Les différentes expériences ont été repétées avec des ufs concentration initiale élevée (100 ufs/1 g de substrat) ou faible (25 ufs/1 g de substrat).La proportion moyenne d'insects qui ont survécu jusqu'à la nymphose était de 0.705±0.161 (SE) à faible densité et de 0.312±0.163 (SE) à densité élevé. La phase larvaire s'étola sur 27 jours (durée médiane) à faible densité sur 42 à densité élevée.L'hétérogéneité du milieu a aussi influencé le choix du lieu de nymphose: la majorité des larves se sont metamorphosées du côté du substrat de faible valeur nutritive. La densité initiale de ufs dans le milieu influença le poids de chrysalides: à densité élevée la variabilité phénotypique (CV) du poids de ces chrysalides était de 0.121–0.189 et de 0.058–0.183 à faible densité. Les differences des associations statistiques du poids de chrysalides entre densité et hétérogéneité, densité et dilution, hétérogéneité et dilution étaient toutes significatives.
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