首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
RESUME. Chacun des 45–80 organelles adoraux de Bursaria truncatella O. F. Müller est constitué de 3 rangées de cinétosomes et l'aire buccale droite est couverte de nombreuses doubles rangées de cinétosomes. La stomatogenèse débute par la désorganisation et la résorption des organelles buccaux postérieurs. Puis, il y a désorganisation des rangées parorales de cinétosomes et multiplication des cinétosomes sur l'aire orale droite, en měme temps que sont rompues, selon une ligne oblique, un certain nombre de cinéties somatiques. La prolifération des cinétosomes aux extrémités des cinéties. de part et d'autre de la ligne de rupture, aboutit, d'une part, à la formation d'un champ anarchique qui est le primordium oral droit de l'opisthe, d'autre part, à la formation de nombreux doublets qui constituent chacun le primordium de chaque organelle adoral. Après la séparation des tomites, les cinétosomes de l'aire droite s'ordonnent en doubles rangées et les organelles adoraux se complètent par addition d'une 3ème rangée de cinétosomes. Les cinétosomes somatiques sont jumelés, reliés par 2 desmoses. Les fibres transverses postérieures et les fibres postciliaires forment de longs rubans de microtubules dirigés vers l'arrière et juxtaposés dans les crětes intercinétiennes. Les doubles rangées droites de cinétosomes buccaux sont assimilables à des stichodyades. Les organelles des cinétosomes adoraux portent des rideaux de fibres postciliaires convergents ou divergents. La rangée postérieure de chaque organelle est non ciliée. Par son type de stomatogenèse, par sa structure corticale, par l'ultrastructure des organelles adoraux, Bursaria appartient aux Colpodidea, ce qui suggère des remarques de plusieurs types. SYNOPSIS. In Bursaria truncatella O. F. Müller, each of the 45–80 adoral organelles is composed of 3 rows of kinetosomes, and the right buccal area is covered by many double rows of kinetosomes. Stomatogenesis begins by disorganization and disappearance of the posterior buccal organelles. Next, there is disorganization of the paroral rows of kinetosomes and multiplication of kinetosomes in the right oral area; at the same time, some somatic kineties are disrupted along an oblique line. Multiplication of kinetosomes at the extremities of the kineties, on both sides of the disruption, leads to the formation of an anarchic field which is the right oral primordium of the opisthe and the formation of doublets each of which constitutes an adoral organelle. After the separation of the tomites. the kinetosomes in the right buccal area position themselves, and the adoral organelles are completed by the addition of a 3rd row of kinetosomes. Somatic kineties are formed by successive pairs of ciliated kinetosomes united by 2 desmoses. the long posterior transverse ribbons and the postciliary ribbons extend posteriad, overlapping in the pellicular ridges. Oral rows of kinetosomes on the right can be compared with stichodyads. the adoral kinetosomes have convergent or divergent postciliary ribbons. the posterior row of kinetosomes in each organelle is not ciliated. By the type of stomatogenesis, the cortical ultrastructure, the ultrastructure adoral of its organelles, Bursaria belongs to the Colpodidea.  相似文献   

2.
Resume. Une analyse des séquences morphogénétiques du CiliéTetrahymena paravorax montre que: (A) La durée de la stomatogenèse de bipartition des formes microstomes en croissance exponentielle représente 45% du temps de génération (stade 1—20%; stade 2—3%; stade 3—3%; stade 4—5%; stade 5—5%; stade 6—9%). (B) La division cytoplasmique est inégale (les proters sont plus petits que les opisthes); la différence de taille initiale entre les 2 produits de fission est probablement compensée par une prolongation de la période de croissance chez le proter. (C) Le pourcentage maximum de réorganisation buccale microstome → macrostome pour les populations asynchrones atteint –? 70% au bout de 210 mn d'incubation dans la stomatine. (D) L'initiation de la stomatogenèse de remplacement oral est connectée avec la fin d'une période dont la durée minimale est approximativement celle du stade 0 du cycle normal d'interdivision des microstomes; cette initiation est retardée chez les microstomes exposés à la stomatine dès le début du cycle cellulaire. (E) Le primordium buccal de division peut se résorber en présence de stomatine et la stomatogenèse antérieure peut commencer avant que ne soit terminée cette résorption; la résorption n'est plus induite au-delà d'un point du stade 5 qui précède le début de la constriction du corps cellulaire. SYNOPSIS. An analysis of the morphogenetic sequences in the ciliate Tetrahymena paravorax has shown that: (A) The duration of predivision stomatogenesis in exponentially growing microstomes occupies 45% of the generation time (stage 1—20%; stage 2—3%; stage 3—3%; stage 4—5%; stage 5—5%; stage 6—9%). (B) Cytoplasmic division is unequal (the proters are smaller than opisthes); the initial size difference between the 2 fission products is presumably compensated by an increased growth period in the proter. (C) The maximum percentage of microstome-to-macrostome oral reorganization is –? 70% in asynchronous populations, 210 min after suspension in stomatin. (D) Initiation of oral replacement stomatogenesis is associated with the end of a period which has a minimum duration nearly equal to that of stage 0 characteristic of the normal inter-division cycle of the microstomes; this initiation is delayed if exposure of microstomes to stomatin is begun at the onset of the cell cycle. (E) The buccal primordium formed in division can be resorbed in presence of stomatin and anterior stomatogenesis can start before the resorption is completed: this resorption is not induced if the cells have progressed beyond a point which precedes the beginning of the cell furrowing (stage 5).  相似文献   

3.
Resumé–— On décrit une méhode de préparation de neurones et de cellules gliales à partir du cortex cérébral, basée sur la dissociation du tissu à travers un tamis en nylon suivie ď une ultracentrifugation différentielle sur gradients de sucrose et de Ficoll.
On a dosé le DNA, ľazote protéque et les divers phospholipides. II ressort que le taux ď DNA par cellule est identique dans les neurones et les cellules gliales. Par contre, la quantité absolue ďazote protéique est 2.8 fois plus élevée dans les cellules gliales, celle des lipides totaux et des divers phospholipides 5-6 fois plus élevée.
La proportion de chacun des phospholipides dérminée par rapport aux phospholipides totaux est similaire dans les deux types cellulaires.  相似文献   

4.
RÉSUMÉ. Des expérimentations portant sur des cellules isolées ont montré que 77% des microstomes de Tetrahymena paravorax, prélevés au hasard dans des cultures en phase logarithmique de croissance, se transforment directement en macrostomes en présence de “stomatine.” Ces macrostomes apparaissent à des moments variés entre 1,5 et 9 h après l'addition de la stomatine (“point 50% de transformations” vers 2,5 h). La compétence pour le remplacement oral est en relation avec la position dans le cycle cellulaire. Les pourcentages de transformation les plus élevés sont observés avec les populations testées pendant la première moitié de la période moyenne d'interfission. La formation des macrostomes est d'autant plus rapide que l'ǎge initial des microstomes est plus proche du point médian du cycle cellulaire (“point de compétence”). Dans la seconde moitié de ce cycle, le temps moyen de transformation reste à peu près constant, mais le pourcentage de divisions augmente: le “point de transition” (50% de divisions) se trouve au début d'une phase terminale représentant 19–20% de la durée totale du cycle. La transformation des produits de bipartition antérieur et postérieur est nettement asynchrone: dans la majorité des paires cellulaires, l'opisthe se transforme avant le proter. Les cellules-soeurs se divisent aussi de manière asynchrone: le temps de génération du proter est plus long que celui de l'opisthe. Le problème de l'acquisition de la compétence pour le changement de phénotype est discuté en envisageant les corrélations éventuelles avec certains processus majeurs du cycle cellulaire. SYNOPSIS. Seventy-seven percent of the microstomes of Tetrahymena paravorax taken from random samples of log-phase cultures transform directly into macrostomes in the presence of “stomatin.” These macrostomes appear between 1.5 and 9 h after addition of stomatin (“50% transformation point,”~ 2.5 h). Competence for oral replacement is related to the position in the cell cycle. The highest percentages of transformation are observed in populations tested during the first half of the mean interfission period. Formation of macrostomes is more rapid when the initial age of the microstomes is nearer to the midpoint of the cell cycle (“competence point”). In the 2nd half of this cycle, the mean transformation time remains approximately constant, but the percentage of cells undergoing division is increasing. The “transition point” (50% divided cells) is found at the beginning of a terminal phase which accounts for 19–20% of the cell cycle. Transformation of anterior and posterior fission products is fairly asynchronous; in the majority of individual pairs, the opisthe is transformed before the proter. The daughter cells also divide asynchronously, the generation time of the proter being longer than that of the opisthe. The problem of acquisition of competence for phenotypic change is discussed in light of possible correlations with certain major processes of the cell cycle.  相似文献   

5.
RESUME. Les structures buccales de Sathrophilus vernalis Dragesco & Grolière, 1969 sont détaillées. La morphogenèse buccale de l'opisthe, semi-autonome, avec participation du scuticus et d'une cinétie postorale droite, s'accompagne d'une re-constitution de l'appareil buccal du proter. La morphologie buccale de Cyclidium sphagnetorum Šràmek-Hušek, 1949 est comparée à celles de Cyclidium citrullus Cohn, 1865 et Cyclidium glaucoma O. F. Müller, 1786. La stomatogenèse Histiobalantium majus Kahl, 1933 débute par une prolifération du scuticus vers la gauche.
SYNOPSIS. Buccal structures of Sathrophilus vernalis Dragesco & Grolière, 1969 are described. The semiautonomous buccal morphogenesis of the opisthe, involving the participation of the scuticus and the right postoral kinety, is accompanied by the reconstitution of the buccal apparatus of the proter. The buccal structure of Cyclidium sphagnetorum Šràmek-Hušek, 1949 is compared to those of Cyclidium citrullus Cohn, 1865 and Cyclidium glaucoma O. F. Müller, 1786. Stomatogenesis of Histiobalantidium majus Kahl, 1933 starts with a proliferation of the scuticus towards the left.  相似文献   

6.
Résumé Du sperme de daurade Sparus aurata est prélevéà diffkrentes dates de la saison de spermiation. La composition biochimique du plasma séminal est analyské.
La concentration des éléments dosés est généralement plus importante que chez les espèces d'eau douce. La teneur en protéines reste constante au cours du temps. La quantité de glucose accuse une diminution à partir de la mi-décembre. Les triglycérides et le cholesterol atteignent des valeurs relativement elevees aux dates limites de la période d'échantillonnage, tandis que le taux de calcium est minimal à la fin de la saison de spermiation.  相似文献   

7.
Résumé Avoir conscience de l'abondance des grands carnivores est très important pour la gestion de leur conservation. Cependant, l'évaluation directe des nombres de carnivores est souvent difficile, nècessitant beaucoup d'argent et de temps, ce qui importe que l'échantillonnage indirect est une alternative fiable et valable. Les techniques de recensement à distance se sont montrèes économiques, renouvelables, et objectives. Nous avons donc estimé le nombre de grands carnivores de six espèces dans une superficie assez petite au nord de l'Afrique du Sud, en comparant trois méthodes d'échantillonnage basèes sur des décomptes des traces et mesures: (i) une approche qualitative, où les individus furent identifiés de manière subjective en étudiant les différences dans les mesures des traces; (ii) une approche quantitative qui se sert de la forte corrélation linéaire de la densité des traces à la densité des carnivores démontrée dans d'autres études; et (iii) une approche quantitative qui impliquent des analyses répétées de la variance et des post-enquêtes sur les mesures des traces afin de disposer des données statistiques pour identifier les différences entre des services des traces. Les trois méthodes fournirent des résultats comparables qui semblent raisonnables et qui peuvent être une bonne indication du vrai nombre de grands carnivores dans la zone de l'étude. Les rèsultats étayent la fiabilité des estimations indirectes de l'abondance de grands carnivores basés sur les données des traces, et sont prometteurs pour des futures recherches et pour la conservation de ces animaux.  相似文献   

8.
Deux types de structure kystique ont été observés au microscope éectronique. Dans le ler, qui correspond aux kystes d'infection ou gamontokystes, la cellule est relativement libre dans l'enveloppe kystique. Celle-ci est formée de 2 couches distinctes d'inégale épaisseur (ectokyste, endokyste) sécrétées par la cellule et doublées intérieurement par un mince feuillet cytoplasmique dûà une extension des plis cuticulaires. C'est la seule modification du cortex cellulaire. Par contre, dans le 2ème type les modifications sont beaucoup plus importantes. La cellule est étroitement accolée aux parois du kyste; crêtes et flagelles ont disparu de la surface. Cependant on retrouve leurs traces dans la région corticale, sous forme d'axonèmes intracytoplasmiques plus ou moins désorganisés et d'empilements de saccules associés à des rangées de microtubules. Ce seraient des kystes de résistance. Les structures observées dans ces derniers kystes nous permettent de discuter quelques idées sur la participation des microtubules et des systèmes membranaires à la morphogénèse du cortex des Opalines.  相似文献   

9.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

10.
Résumé Les auteurs ont étudié quelques enzymes de la chaîne ganglionnaire chezEisenia foetida.La recherche histochimique a permis de révéler la présence dans les pyrénophores des cellules nerveuses d'une réaction positive pour la phosphatase acide, pour l'ATPase, pour la succino-déshydrogénase, pour la cytochrome-oxydase et pour les estérases. L'acétylcholinestérase est sourtout concentrée au niveau du tissu conjonctif de la chaîne ganglionnaire qui forme une gaine épaisse autour des neurocordes et qui enveloppe les pyrénophores ainsi que les différents faisceaux de fibres nerveuses. Dans le cas de tous les enzymes que les auteurs ont pris en considération, l'axoplasme des neurocordes, qui est pauvre en organules cellulaires et très fluide, ne révèle, même lorsque les fibres nerveuses du neuropylème présentent une activité assez nette (phosphatase acide, succino-déshydrogénase), aucune réaction ou, tout au plus, une réaction très faible. Les auteurs discutent les résultats auxquels ils ont abouti en les comparant `a ceux qu'ont obtenus d'autres auteurs qui ont étudié le système nerveux de certains Vertébrés ou Invertébrés.Avec 6 Figures dans le TexteL'agencement du travail est dû à A.Guardabassi.  相似文献   

11.
RÉSUMÉ. Une nouvelle microsporidie, Ormieresia carcini gen. n., sp. n., est trouvée dans Carcinus mediterraneus Czerniavsky, 1884. Son évolution et ses ultrastructures sont étudiees.
Le cycle débute par un méronte limité par une membrane unitaire et possédant un diplocaryon. Toute la sporogonie se déroule dans la musculature de l'höte. Les stades sporogoniaux sont enveloppés dans une membrane pansporoblastique persistante. Dans chaque pansporoblaste, la sporoblastogenése (donnant naissance à 8 sporoblastes) est particulière; un plasmode sporogonial octonucléé manque. Au cours des divisions schizogoniques et sporogoniques, chaque centre cinétique est formé de 2 plaques, une incluse dans l'enveloppe nucléaire, l'autre occupant une position extranucléaire. Les sporontes en division et les sporoblastes sécrètent des substances métaboliques (granules, tubes) qui sont déposées dans l'espace pansporoblastique.
La spore uninucléée est longue et cylindrique (19,1 × 2,4 μm). Un manubrium rectiligne traverse la spore. Son extrémité postérieure se rétrécit brusquement en un filament polaire décrlvant 4 ou 5 tours de spire. L'extrémité antérieure du manubrium est attachée au capuchon polaire lui-même comprimé par un double anneau. La partie antérieure du manubrium est entourée par un polaroplaste formé d'une zone spongieuse et d'une zone lamellaire.  相似文献   

12.
REGULAR ARTICLES     
《Biometrics》2007,63(3):979-986
Marginal Analysis of Correlated Failure Time Data with Informative Cluster Sizes
Nous nous intéressons à la modélisation de données de survie corrélées quand la connaissance de la taille des strates peut fournir une information sur le critère de jugement. Celle-ci est basée sur une approche de ré-échantillonnage au sein des strates et sur une méthode de fonction de score pondérée. Nous déterminons les propriétés asymptotiques pour les estimateurs de ré-échantillonnage au sein des strates dans le cadre d'un modèle à risques proportionnel de Cox. Nous établissons la convergence et la normalité asymptotique des estimateurs des coefficients de régression et la propriété de convergence faible des estimateurs de la fonction de base du risque cumulé. La méthode de fonction du score pondérée consiste à prendre l'inverse de la taille des strates comme poids dans la fonction de score. Nous procédons à des études de simulations pour déterminer et comparer le comportement des estimateurs pour des échantillons finis et appliquons les méthodes proposées à une étude dentaire.  相似文献   

13.
La comparaison du corps humain à une machine est une métaphore dominante dans la pensée occidentale depuis le Siècle des Lumières au moins. À partir de recherches menées dans le Nord de l'Angleterre auprès de jardiniers, l'auteure explore un autre ensemble d'associations. Elle examine les implications des pratiques et connaissances du jardinage en Angleterre qui mettent l'accent sur des parallèles réciproques entre le corps et l'intentionnalité des humains et ceux des plantes. Bien que les humains ne soient pas assimilés aux végétaux, les plantes sont intégrées dans une vision du monde qui n'est pas rigoureusement mécaniste. L'auteure examine les implications qu'aurait une approche «simplement>> métaphorique de ces liens entre plantes et personnes et avance qu'il faut, pour les décrire, un cadre théorique dont l'espace analytique irait au-delà de la métaphore.  相似文献   

14.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

15.
Dans les zones de savanes de l’Afrique, un genre d’abeille, Lipotriches Gerstaecker 1858, s’est spécialisé dans la collecte du pollen de graminées. Un site de nidification et l’aire de butinage de Lipotriches notabilis ont été suivis pendant trois années dans la région de Ngaoundéré au Cameroun. Le régime alimentaire pollinique est composé presque exclusivement du pollen de graminées, notamment Brachiaria ruziziensis abondant dans cette région. Le maïs est aussi visité et l’abeille contribue indirectement à la pollinisation par la mise en suspension dans l’air du pollen. Comme les graminées n’offrent pas de ressource sucrée, les femelles comme les mâles de L. notabilis butinent de temps en temps les Asteraceae pour la collecte de nectar. La consommation du pollen de graminées par les femelles a été aussi observée. Lespèce niche en bourgades dont la taille varie d’une dizaine à une centaine de nids. Le nid creusé dans un sol horizontal est du type progressif. Il comprend un tumulus, une cheminée verticale, un conduit principal vertical pouvant atteindre 65 cm de profondeur et en moyenne 3 conduits latéraux obliques de 4 à 16 cm aboutissant dans une ou plusieurs cellules successives. Les cellules des conduits latéraux sont approvisionnées simultanément et fermées de manière régressive. On compte un maximum de 10 cellules par nid. Généralement un nid est habité par une seule femelle, mais certains nids sont habités par deux ou trois. Lactivité de butinage de cette espèce est limitée dans la matinée. Dès 7 heures, elle s’envole pour le site de butinage. Après 11 heures, il n’y a généralement plus de nids ouverts. Les mâles n’ont pas été aperçus au niveau du site de nidification et l’accouplement a lieu sur le site de butinage. La période d’activité commence avec la saison des pluies en avril et se termine au début de la saison sèche en décembre, avec la fanaison des graminées.  相似文献   

16.
RESUME. Deux espèces d'Enteromonas sont observées, provenant, l'une de l'intestin de Triton, l'autre des crottes du Lapin domestique. La cellule piriforme porte un noyau antérieur et 4 flagelles insérts près du pôle ventral du noyau. Le flagelle récurrent (R) est logé dans une dépression ventrale ou cytostome. Les cinétosomes, disposés en une paire antérieure (#1, #2) et une paire postérieure (#3, R), sont liés entre eux par des microfibrilles. Une fibre microtubulaire située au-dessus du noyau est reliée au cinétosome #1. Une autre fibre microtubulaire sous-nucléaire est homologue de la fibre microtubulaire croisée qui existe chez les cellules de Diplozoaires. Le cytostome est bordé par 2 lèvres: la gauche proéminente et armée par plusieurs rangées de microtubules, la droite contenant seulement une mince fibre microtubulaire associée à des microfibrilles. Le cytostome occupe les 2/3 de la face ventrale. Le flagelle récurrent pénètre dans le cytostome puis dépasse l'extrémite de la cellule. Les Bactéries sont phagocytées au fond du cytostome, entre les 2 lèvres distendues. Elles sont digérées dans les nombreuses vacuoles et les corps résiduels sont évacués par rupture de la membrane cellulaire. L'ergastoplasme est concentré près de la périphérie de la cellule. Il n'y a pas de mitochondrie ni d'appareil de Golgi. Dans les kystes observés la cellule plurinucléée est enfermée dans une enveloppe kystique microfibrillaire, les axonèmes sont libres dans le cytoplasme. Les formes diplomonades sont nombreuses et ressemblent aux cellules d'Hexamita, excepté par le cytostome qui est différent. Dans ces formes, les 2 monades sont souvent disposées selon une symétrie axiale binaire mais quelquefois elles sont associées de façon plus anarchique. La cinétide d'Enteromonas est organisée comme celle d'un zoïde de Diplozoaire. Il est possible que le genre Enteromonas soit à l'origine des Diplomonadida et que l'état diplomonadien transitoire chez Enteromonas se soit stabilisé ensuite chez les Diplomonadida. Enteromonas apparaît plus primitif que les autres genres de Diplomonadida aussi nous proposons de créer 2 sous-ordres: celui des Enteromonadina avec le genre Enteromonas et celui des Diplomonadina avec les genres Trepomonas, Trigonomonas, Hexamita, Spironucleus, Octomitus, Giardia. La disposition des cinétosomes et l'existence du cytostome sont les principaux caractères communs entre Enteromonas et les Retortamonadida, cependant les fibres annexes ne sont pas homologues. Une étude plus complète de la division nucléaire et cellulaire de ces 2 ordres de Zooflagellés est nécessaire pour donner un meilleur schéma évolutif. SYNOPSIS. Fine structure of 2 species of Enteromonas, one from the intestine of the salamander, Triturus vulgaris, and another from the feces of domestic rabbit, Oryctolagus cuniculi, is described. The pyriform cell has an anteriorly located nucleus. The 4 flagella originate from an area near the anterior end of the nucleus. The recurrent flagellum (R) is lodged in a ventral depression or cytostome. The kinetosomes, arranged into 2 pairs, anterior (#1, #2) and posterior (#3, R), are interconnected by microfibrils. One microtubular fiber, connected to kinetosome #1, is situated near the anterior surface of the nucleus. Another, subnuclear, microtubular fiber is homologous to the “crossed'’fiber found in Diplozoa. The cytostome is bordered by 2 lips: the preeminent left lip is equipped with several rows of microtubules, while the right lip contains only a thin microtubular fiber associated with microfibrils. The cytostome occupies 2/3 of the ventral surface. The recurrent flagellum passes over the anterior surface of the cell and then comes to lie in the cytostome. The bacteria are phagocytosed in the bottom part of the cytostome between the 2 distended lips. They are digested in numerous vacuoles. The undigested residual bodies are evacuated by a rupture of the cell membrane. The ergastoplasm is concentrated near the cell periphery. Mitochondria and the Golgi apparatus are absent. In the cyst stage, the multinucleate cell is enclosed in a microfibrillar membrane; the axonemes lie free in the cytoplasm. Diplomonad forms of Enteromonas resembling Hexamita are numerous, except that the cytostome is different in these 2 genera. In such forms, the arrangement of the 2 individuals often has binary axial symmetry, but on occasion they are associated in a more anarchic fashion. The mastigont of Enteromonas is organized like that of a single zooid of a diplozoon. It is possible that the genus Enteromonas is ancestral to Diplomonadida and that the diplomonad state, transitory in Enteromonas, became permanently established in Diplomonadida. Enteromonas appears to be more primitive than the other genera of Diplomonadida. Thus we propose 2 suborders: Enteromonadina, subord. nov. with the genus Enteromonas, and Diplomonadina Wenyon, emend., with the genera Trepomonas, Trigonomonas, Hexamita, Spironucleus, Octomitus, Giardia. The arrangement of the kinetosomes and the existence of a cytostome are the principal characters common to Enteromonas and Retortamonadida, while their “accessory'’fibers are not homologous. A more complete study of division of the 2 zooflagellate orders is necessary for the presentation of a more detailed evolutionary scheme of these groups.  相似文献   

17.
Faire bénéficier toutes les femmes Rhésus négatif non immunisées des moyens à notre disposition pour réduire la fréquence de l’allo-immunisation anti RH1 est un objectif de santé publique dans lequel les trois partenaires, médecins, obstétriciens et biologistes, doivent agir de concert. Tout doit être mis en œuvre pour ce faire au niveau des établissements de soins privés ou publics et des laboratoires. Un oubli de la réalisation de la prévention, une mauvaise adaptation au volume de l’hémorragie foeto-maternelle, pourraient être, à bon droit, un motif de plainte de la part de patientes ultérieurement immunisées.  相似文献   

18.
Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

19.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

20.
Henri Saëz 《Mycopathologia》1965,27(3-4):321-338
Résumé Au cours de l'autopsie de 58 jeunes mammifères sauvages, morts en captivité au Parc zoologique de Paris, nous avons effectué des prélèvements à différents niveaux du tube digestif: pharynx, estomac, intestin grêle, gros intestin et rectum. Chez ces animaux, mort-nés ou âgés de quelques heures à six jours, nous avonsrecherché, dans le matériel prélevé, les levures et lesGeotrichum. Les résultats sont analysés en fonction de deux question: 1-Flore fongique et Microorganismes en transit, II Vitesse de diffusion et d'implantation des champignons dans le tube digestif.Nous pensons qu'il existe une flore permanente et une flore saisonnière, auxquelles se superpose une flore étagée: flore du pharynx, flore de l'estomac, etc. .... La flore n'est pas constamment présente chez tous les animaux jeunes ou adultes. Nous passons en revue quelques facteurs qui peuvent agir sur elle. Nous mettons l'accent sur la température interne de l'hôte. A ce dernier facteur, s'oppose, au laboratoire, l'étude du comportement des souches isolées vis à vis de la température.Jusqu'à présent nous n'avons pas encore observé une véritable flore fongique constituée in utero. Parmi les 58 animaux examinés, l'implantation la plus manifeste a été vérifiée chez un Hippopotame âgé de deux jours. Cette colonisation est précédée de quelques vingt-quatre heures de la diffusion proprement dite, qui, elle, est très rapide. Cette progression des champignons à travers le tube digestif est parfois en avance sur celle du premier bol alimentaire.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号