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1.
Two hypotheses about the ralationship of diabroticina beetles and plants in the family Cucurbitaceae are tested: (1) evolution of sensory receptors for cucurbitacins by diabroticina beetles was in part due to the predator protection offered by ingestion of these compounds, and (2) commercial varieties of cucurbitacin-producing cucumber offer Diabrotica undecimpunctata howardi Barber chemical protection from some potential sources of natural controlSpotted cucumber beetles fed either Marketmore 70 cucumber which contains cucurbitacin-C or Marketmore 72 which totally lacks cucurbitacin were presented to four species of vertebrate predators that commonly occur in the summer and/or winter habitats of D. u. howardi: Bufo americanus, B. fowleri, Peromyscus maniculatus, Colinus virginianus. None of the four species were significantly deterred from preying on beetles that had eaten Marketmore 70 cucumber. These results do not support either of the two hypotheses. The limitations of these negative results as evidence for refutation of the first hypothesis are discussed.
Résumé Deux hypothèses concernant les relations entre les Diabroticina et les Cucurbitaceae ont été examinées: (1) l'évolution chez les Diabroticina des récepteurs pour les Cucurbitacines est due en partie à la protection contre les prédateurs apportée par la consommation de ces produits (2) les variétés modernes de concombres produisant de la cucurbitacine fournissent à D. undecimpunctata howardi Barber une protection chimique contre quelques sources potentielles de lutte biologique.Des D. undecimpunctata howardi, ayant consommé soit des concombres Marketmore 70 contenant de la cucurbitacine C, soit des concombres Marketmore 72 qui ont totalement perdu leur cucurbitacine, ont été présentés à quatre espèces de vertébrés prédateurs, qui s'observent fréquemment dans les habitats d'été ou d'hiver de D. undecimpunctata howardi soient Bufo americanus, B. fowleri, Peromyscus maniculatus, Colinus virginianus. Aucune de ces quatre espèces n'est significativement dissuadée d'attaquer les coléoptères qui on consommé les concombres Marketmore 70. Ces résultats n'étayent aucune des deux hypothèses. La discussion porte sur les limites de ces résultats négatifs comme preuve de la réfutation de l'hypothèse 1.
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2.
Allozyme profiles of eastern weevils (Beltsville, Maryland; Washington Co., Illinois), western weevils (Logan and St. George, Utah), and Egyptian weevils (Yuma, Arizona; Westmorland, California) were compiled by acrylamide gel electrophoresis. Twenty-two gene loci from 12 enzymes (ACPH, ADH, AMY, AO, EST, GOT, G-6PDH, MDH, ME, SOD, TYR, XDH) were analyzed. Mean heterozygosity of these populations was 0.231, with an average proportion of polymorphic loci of 0.536. The mean genetic distance of all weevil populations was 0.033 and the fixation index was 0.024. Diagnostic loci were found which could distinguish western weevils from eastern and Egyptian weevils. The small genetic distance between the eastern and Egyptian weevils suggests that they may be the same strain and are certainly different from the western weevil strain. Based on this and other evidence, we conclude that all weevil strains in the United States are Hypera postica (Gyllenhal), and that the use of H. brunneipennis (Boheman) for the Egyptian alfalfa weevil of North America should be discontinued.
Résumé Les allozymes d'Hypera de l'est des USA (Beltsville, Maryland; Washington Co., Illinois), de l'ouest des USA (Logan et St Georges, Utah) et égyptiens (Yuma, Arizona; Westmorland, Californie) ont été analysés par électrophorèse sur gel d'acrylamide. L'étude a porté sur 22 loci de 12 enzymes (ACPH, ADH, AMY, AO, EST, GOT, G-6PDH, MDH, ME, SOD, TYR, XDH). L'hétérozygotie moyenne de la population était 0.231, avec une moyenne de loci polymorphes de 0.536. La distance génétique moyenne de l'ensemble des populations était de 0.033 et l'indice de fixation de 0.024. Des loci caractéristiques ont été trouvés qui pourraient permettre de distinguer les Hypera occidentaux des orientaux et des égyptiens. La faible distance génétique entre les Hypera orientaux et égyptiens suggère qu'ils appartiennent à la même souche et sont certainement différents des occidentaux. A partir de cela et d'autres éléments, nous concluons que tous les Hypera des USA sont H. postica Gyllenhal et que l'utilisation d'H. brunneipennis Boheman pour désigner les Hypera égyptiens d'Amérique du Nord doit être abandonnée.
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3.
The amounts of four pteridine compounds, xanthopterin, isoxanthopterin, 6-biopterin and pterin and a further unidentified substance, termed modified xanthopterin, were determined in the heads of adult Pectinophora scutigera (Holdaway) (Lepidoptera: Gelechiidae), aged between 2 and 50 days and reared in the laboratory at 25°C. The level of isoxanthopterin was also determined in the thoraces and abdomens of moths aged between 2 and 40 days. The levels of xanthopterin, and modified xanthopterin decreased markedly in the heads of males and females with increasing moth age, while those of pterin decreased more slowly and 6-biopterin remained largely unchanged. Isoxanthopterin decreased in male heads from 38.3 ng/head at 2 days to 22.7 ng/head at 50 days, but in females levels increased from 41.2 ng/head at 2 days to 150.4 ng/head at 50 days. Similar changes in the amounts of isoxanthopterin with increasing moth age were observed in male and female thoraces and abdomens. The results are discussed in relation to using pteridine compounds for estimating the physiological age of P. scutigera.
Résumé En chromatographie liqudde à haute performance (HPLC) à détection par fluorescence, 4 composés ptéridiniques: la xanthoptérine, l'isoxanthoptérine, la 6-bioptérine et la ptérine ont été décelés dans les têtes de P. scutigera Holdaway (Lep. Gelechiidae) adultes. Un autre composé, dénommé xanthoptérine modifiée, a été décelé aussi dans les têtes de papillons; de même l'isoxanthoptérine a été décelée dans les thorax et abdomens.Les concentrations de ces ptérines ont été dosées dans les têtes des papillons de 2 à 50 jours au laboratoire à 25°C. Les concentrations d'isoxatthoptérine ont été dosées dans les thorax et les abdomens de 2 à 40 jours. La xanthoptérine de la xanthoptérine modifiée diminuent nettement avec l'âge, tandis que la ptérine diminue plus lentement et que la 6-bioptérine se maintient pratiquement sans changements. L'isoxanthoptérine diminue dans les têtes de mâles de 38,3 ng/tête à 2 j à 22,7 ng/tête à 50 j, mais chez les femelles les concentrations augmentent nettement de 41,2 ng/tête à 2 j à 150,4 ng/tête à 50 j. Des modifications de même type ont été observées dans les thorax et les abdomens des mâles et des femelles.Les modifications de concentration de la xanthoptérine modifiée des têtes de papillons peuvent être utilisées pour évaluer l'âge physiologique de mâles et des femelles de P. scutigera. La confiance dans ces estimations peut être améliorée en se référant aux concentrations d'isoxanthoptérine dans les thorax des mâles et au rapport isoxanthoptérine/xanthoptérine modifiée dans les têtes de femelles.
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4.
Naive and experienced females of Ephedrus californicus Baker (Hymenoptera: Aphidiidae) were tested for their ability to discriminate between parasitized and unparasitized pea aphids, Acyrthosiphon pisum (Harris) (Homoptera: Aphididae). Attacks lasting 6 s generally resulted in oviposition; the average length was 11.8 s. The proportion of parasitized aphids that was rejected varied with the interval length between attacks. It is suggested that host discrimination is time-dependent and can be induced by a pheromone-like external marker left by a first-attacking female (0–9 h), or by changes in host quality associated with parasite development ( 14 h). Experienced, but not naive, females responded to the external marker, which became less effective with time. In superparasitized aphids, the older of two E. californicus larvae usually eliminated a younger competitor; but younger larvae survived under certain conditions. Mechanisms for the elimination of supernumerary larvae varied with the relative developmental stage of the competitors and included physical combat and physiological suppression. Host instar had no effect on larval competition or the female's ability to discriminate.
Résumé L'aptitude à choisir entre Acyrthosiphon pisum Harris (Hom. Aphididae) parasités ou non a été examinée chez des femelles nouvelles ou expérimentées d'E. californicus Baker (Hym. Aphidiidae). Les attaques durant 6 s étaient généralement suivies de pontes; la durée moyenne d'une attaque était 11,8 s. La proportion de pucerons parasités refusés, variait avec le laps de temps écoulé entre des attaques. Les femelles nouvelles aussi bien qu'expérimentées rejetaient généralement les pucerons contenant les stades les plus âgés de parasites (13–15 h). Cependant, seules les femelles expérimentées évitaient de pondre dans des pucerons attaqués par une autre dans les 9 h précédentes. Quand des femelles expérimentées pouvaient choisir entre 20 pucerons parasités et 20 pucerons sains, en moyenne 73% des 20 premières attaques étaient sur pucerons sains pour des intervalles 9 h. Des attaques non suivies de pontes, c'est-à-dire durant 5 s, n'intervenaient que pour 3% parmi toutes les premières attaques sur pucerons sains; ces attaques atteignaient ultérieurement 17% pour les pucerons sains et 40% pour les parasités.On en a déduit que la sélection des hôtes est temporelle et peut-être induite par un marqueur externe type phéromone, laissé par la lère femelle attaquante (0–9 h), ou par un changement dans la qualité de l'hôte lié au développement du parasite. Les femelles expérimentées, et non les nouvelles, répondaient au marqueur externe, dont l'efficacité diminue avec le temps.Chez les pucerons superparasités, les mécanismes pour l'élimination des larves en surnombre ont varié avec le stade larvaire des compétiteurs, ils comportaient un combat physique et une suppression physiologique. La larve de E. californicus la plus âgée éliminait généralement une compétitrice plus jeune. Cependant les larves les plus jeunes ont survécu dans certaines conditions; c'est-à-dire quand les premiers stades mandibulés luttaient contre les 2e et. 3e stades sans mandibules. Le stade de l'hôte était sans effet sur la compétition ou sur l'aptitude au choix des femelles.
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5.
No significant variation in mating activity was observed among eight laboratory strains of the Mediterranean fruit fly (medfly), Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae). Two methods were used to select strains showing high and low mating activity: a single pair technique (SP) assessing time to mating and a mass technique (M) based on a mating index. Reciprocal pairings between fast and slow selected lines showed that the difference between the SP lines was female-determined whereas the difference between the M lines depended on the behaviour of both sexes. M selection, irrespective of its direction, affected two courtship parameters, vibration distance and vibration duration both of which tended to be shorter. M selection was also associated with a reduction in startle activity in females.
Résumé Aucune variation significative n'a été observée dans les activités sexuelles de huit souches de laboratoire de la mouche méditerranéenne du fruit, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera Tephritidae).Deux méthodes ont été utilisées pour sélectionner des souches manifestant une activité sexuelle basse ou élevée: une technique utilisant un seul couple (SP), basée sur la durée de la période avant copulation, et une technique de masse (M), basée sur un index d'accouplement.Des appariements réciproques entre les lignées rapides et lentes ont montré que la différence entre les lignées SP était déterminée par les femelles, tandis que la différence entre les lignées M résultait du comportement des deux sexes. La sélection M, quelle que soit sa direction, affects deux paramètres, la distance entre partenaires lors de la vibration et la durée de la vibration qui tous deux tendent à se raccourcir. La sélection M est aussi associée à une réduction de la réaction des femelles à un brusque stimulus lumineux (Startle activity).
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6.
Copulation duration of Glossina pallidipes from Lambwe Valley (0° 35, S, 34° 15 E) and Kibwezi Forest (2° 27 S, 37° 55 E) in Kenya, was investigated in the laboratory. The difference in mean copulation time between the populations was highly significant. Reciprocal copulations showed that the trait is predominantly or only determined by the male. F1 and F2 male hybrid durations were similar and intermediate between the parental durations. The variances of the F2 hybrid durations were not significantly larger than those of the F1 hybrids. Male hybrids from backcrosses had durations on the average intermediate between their parents'. Reciprocal F1 hybrid male durations gave different means. It is inferred that the trait, in the two populations investigated, is under polygenic control by factors distributed on an unknown number of autosomes and on the X chromosomes.
Résumé On a étudié et comparé en laboratoire, la durée de copulation de deux populations de Glossina pallidipes du Kenya, l'une de Lambwe Valley (0°35S, 34°15E) l'autre de Kibwezi Forest (2°27S, 37°55E). Les femelles agées de 7–8 jours sont accouplées avec des mâles agés de 14–18 jours, à une température d'environ 27.5° C. La différence de la durée moyenne de copulation entre les deux populations est hautement significative: 21,8 min pour les mouches originaires de Lambwe, contre 59,0 min pour celles originaires de Kibwezi. Des accouplements croisés ont montré que le caractère est avant tout ou uniquement déterminé par le mâle. Les durées de copulation avec des mâles hybrides F1 et F2 sont semblables et intermédiaires avec celles observées chez les parents. Les variances de la durée de copulation pour les mâles hybrides F2 ne sont pas significativement plus grandes que celles des hybrides F1. Les mâles hybrides issus de croisements de retour offrent des durées de copulation en moyenne intermédiaires avec celles des parents. Les mâles hybrides réciproques F1 ont des durées de copulation ayant des valeurs moyennes différentes.Il est conclu que le caractère évoqué, dans les deux populations testées, obéit à un contrôle polygénique, dont les facteurs sont distribués à la fois sur un nombre inconnu d'autosomes et sur les chromosomes X. Il est suggéré que le paramètre durée de la copulation peut apporter une information complémentaire dans l'étude systématique des populations de Glossina pallidipes.


Financed by grants from Uppsala University, The Royal Swedish Academy of Science and The Lars Hierta's Memory Foundation.  相似文献   

7.
Emergence of adults of Edovum puttleri Grissell (Hymenoptera: Eulophidae) has a diel periodicity: most emergence occurred within 2 h of lights on (16L:8D, 24±1°C). Males emerged 2.0±3.0 h prior to females, and soon thereafter mated with emerging females. Courtship behavior did not differ between the Colombian and Mexican biotypes and was similar to that of members of the eulophid subfamily Tetrastichinae. The preoviposition period and oviposition period did not differ between biotypes. Males and females of both biotypes were long-lived, with the longevity of females of the Mexican biotype being significantly longer than that of Colombian females. males of both biotypes lived equally long. Mexican females produced more offspring than Colombian females, although this difference was not significant. After approximately 3 weeks, production of female offspring declined in both biotypes. A single mating was sufficient for females to produce a full complement of female offspring. Head capsule width of females correlated positively with fecundity.
Résumé L'émergence des adultes de E. puttleri Grissell (Hymen.: Eulophidae) présente une périodicité quotidienne, la plupart de émergences ayant lieu dans les deux premières heures de la photophase (16L/8D, 24°±1°C). Les mâles apparaissent 2±3 h avant les femelles, et s'accouplant immédiatement avec les femelles émergentes. Les biotypes mexicains et columbiens ont le même comportement de cour, qui correspond à celui décrit pour les Tetrastichini et pour les Entedontinae. Il en est de même pour la durée, d'une part des périodes précédent la ponte (3,7 ±2,8 j), et d'autre part de la ponte elle-même (25,1 ±4,5 j). Les adults des deux biotypes vivent longtemps, mais les femelles mexicaines vivent plus longtemps (57,4±18 j) que les colombiennes (46,2±14,8 j); les longévités des mâles sont identiques (45,7 ±18 j). Les femelles mexicaines produisent apparemment plus d'oeufs (221,2±29,5) que les colombiennes (166,6±58,1), mais ces différences ne sont pas significatives. Après trois semaines environ la production de descendants régresse chez les deux types. Un seul accouplement suffit à produire le contingent total de filles. La largeur de la capsule céphalique des femelles est liée positivement à leur fécondité.
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8.
Resume 14 activités enzymatiques (3 deshydrogénases et 11 hydrolases) ont été recherchées systématiquement sur les électrophorégrammes en gel d'agar des extraits de 2 souches de Aspergillus fischeri et de 14 souches de A. fumigatus (8 isolées de lésions humaines ou animales intitulées souches pathogènes, et 6 souches d'origine saprophytique). La composition enzymatique de A. fumigatus est apparue très polymorphe et sans rapport avec l'origine des souches.D'autre part, l'analyse immunoélectrophorétique de ces extraits antigéniques, par des sérums de lapins hyperimmuns et des sérums de malades atteints d'aspergillose, a montré que l'activité chymotrypsique de type II, supportée par l'arc C, est caractérisée de manière plus fréquente et plus intense lorsque les antigènes provenant de souches pathogènes sont opposés à des sérums de malade.De plus, si cette activité chymotrypsique est révélée avec la même fréquence par une souche saprophyte et une souche pathogène, le nombre de précipitines mises en évidence est apparu significativement plus élevé avec cette dernière.Les antigènes utilisés pour le diagnostic de précipitation en gel devraient donc être, de préférence, extraits de souches pathogènes et leur qualité évaluée par des sérums de malades atteints d'aspergillose.  相似文献   

9.
Five populations of Tetranychus neocaledonicus, collected in various biotopes from different plants, were studied in order to become informed about variation in this species. It appeared that all strains differed with respect to longevity and fecundity. Crossings resulted in incompatibility, hybrid inviability, hybrid sterility and hybrid breakdown. It is suggested that the great interpopulational variation as found in T. neocaledonicus is a consequence of the haplo-diploid system.An important difference in longevity and fecundity between mated and unmated females has been stated for all strains. Outcrosses with males from another species indicated that it is not the fertilization, but the insemination only which induces the enhanced fecundity in T. neocaledonicus. Irradiated males appeared to be able to inseminate females effectively, resulting in the prevention of viable diploid offspring.
Résumé A la suite d'une étude morphologique concluant à l'homogénéité d'un grand nombre de prélèvements de Tetranychus neocaledonicus, dans plusieurs régions de la zone intertropicale, les auteurs proposent 3 séries d'expériences portant sur la physiologie et la compatibilité de quelques souches de ce taxon.La première série d'essais, porte sur la comparaison de la longévité et de la fécondité de femelles fécondées ou non, appartenant à 4 souches prélevées à Madagascar et à une souche originaire de Louisiane (U.S.A.). Pour ces souches élevées dans des conditions identiques, les femelles fécondées pondent davantage et vivent moins longtemps que les femelles vierges. Les graphiques fournis et les tests statistiques employés, montrent que suivant leur appartenance à l'une des 5 souches, les femelles étudiées ont une longévité propre et présentent du point de vue de la reproduction, des différences très nettes.La seconde série d'expériences a pour but de vérifier la compatibilité entre les différentes souches malgaches précédentes, aussi bien entre elles qu'avec la souche Louisiane white eye, marquée génétiquement et dérivant de la souche Louisiane précédente. Un croisement a été également tenté entre une souche de T. neocaledonicus et une souche de T. urticae. Huit croisements ont été ainsi réalisés avec chaque fois le croisement réciproque. La composition des F1, F2 et F3 est analysée. Une très forte agressivité des mâles à l'égard des jeunes femelles est chaque fois constatée. Le croisement de T. neocaledonicus avec T. urticae n'entraîne aucune hybridation. Entre les souches de T. neocaledonicus il y a formation de femelles, dans l'un des 2 sens au moins mais les femelles produites en F1 se révèlent stériles dans 5 cas sur 12 et peu de souches semblent vraiment compatibles au-delà de la F3. Finalement, les différences entre les souches du point de vue physiologique et les incompatibilités génétiques, amènent les auteurs à considérer qu'il y a, en fait, plusieurs espèces d T. neocaledonicus devant être groupées en un complexe. Ces croisements permettent aussi de remarquer, que l'abaissement de la longévité des femelles fécondées, dépend étroitement du taux de fécondation des ufs.La troisième série d'expériences tente d'expliquer l'augmentation de la production d'ufs chez les femelles fécondées. Les pontes des 14 premiers jours de vie, de femelles de la souche Lousiane fécondées ou non, sont comparées à celles de femelles fécondées, par des mâles de la même souche, irradiés aux rayons X ou par des mâles de T. urticae. La technique d'élevage employée ici permet l'intervention de plusieurs mâles. L'analyse de la F1 et la quantité d'ufs produits à la suite du croisement avec les mâles de T. urticae, prouvent que l'augmentation de la ponte est dûe à un phénomène indépendant du taux de fécondation des ufs.Les auteurs signalent, en conclusion, que les incompatibilités entre les différentes souches de T. neocaledonicus pourraient être utilisées en lutte biologique par voie génétique, mais que la stérilisation des mâles aux rayons X, obtenue au cours de la dernière série d'expériences, aboutit aux mêmes résultats et paraît plus sûre.
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10.
Preadult development and survival rates for a wild strain of melon fly in Hawaii were examined when reared on six common hosts at 25°C. These data were combined with information gathered on adult survival, fecundity and fertility in order to construct life tables.The duration of the egg stage was slightly over 1 day for this species. Depending on host, larval-to-adult development and survival rates were 17–20 days and 35–85%, respectively. Gross fecundity (total eggs) was 1293 eggs/ while net fertility (total fertile eggs weighted by hatch and adult survival) was 518 fertile eggs/. The finite rate of increase () for the species was conditional on the host on which it was reared and ranged from 1.08 to 1.12. The percent of adults in the stable age distribution averaged around 14% over all hosts.
Démographie d'une souche de Dacus cucurbitae Coquillet, originaire d'Hawaii
Résumé Le développement préimaginal et les taux de survie d'une souche sauvage de D. cucurbitae de Hawaí sur six hôtes courants ont été examinés à 25°C. Ces résultats ont été combinés aux informations récoltées sur la survie des adultes, la fécondité et la fertilité pour réaliser des tables de vie.La durée du stade oeuf est légèrement supérieure à un jour pour cette espèce. La durée de développement de l'éclosion de l'oeuf à l'imago et les taux de survie ont été respectivement de 17 à 20 jours et de 35 à 85% suivant les hôtes. La fécondité brute (ponte totale) a été de 1293 oeufs par femelle, tandis qui la fertilité (nombre total d'oeufs fertiles pondéré par les taux d'éclosion et de survie des adultes) était de 518 oeufs fertiles par femelle.Le taux d'accroissement () variait de 1,08 à 1,12 suivant l'hôte sur lequel D. cucurbitae a été élevé. La proportion d'adultes dans une distribution en âge stable était d'environ 14% sur tous les hôtes.
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11.
Telenomus lobatus Johnson & Bin (Hymenoptera: Scelionidae), previously known only from the eggs of a berothid species, emerged from field-collected eggs of the chrysopid Mallada macleodi. In the laboratory, host species differentially influenced development, survival, and size of the parasitoid. Females parasitized between 55 and 65% of the available eggs of Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, and C. rufilabris), and these yielded 98 to 100% adult parasitoids within an average of 13 days. In contrast, eggs of Chrysopa were parasitized less frequently, (C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1.3%) and relatively few (C. chi: 5.6%; C. oculata: 21%) or no (C. quadripunctata) parasitoids survived to adult emergence. Preimaginal development of T. lobatus in eggs of C. chi and C. oculata was approximately two days longer than in eggs of Chrysoperla spp. Although eggs of Meleoma dolicharthra were parasitized infrequently (approx. 16%), they yielded 100% adult parasitoids. Anomalochrysa maclachlani eggs were parasitized at low rates (1.8%) and parasitoid survival was intermediate (40.7%). Among all species, size of the host egg was positively related to the size of the emerging parasitoid adult.
Résumé T. lobatus Johnson & Bin (Hym. Scelionidae) connu jusqu'ici uniquement comme parasitoïde des ufs de Berothidae, a étè obtenu d'ufs du chrysope, Mallada macleodi récoltés dans la nature. Au laboratoire, l'espèce de l'hôte influe sur le développement, la survie et la taille du parasitoïde. Les femellles ont parasité 55 à 65% des ufs disponibles de Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, C. rufilabris) et ceux-ci ont donné 98 à 100% de parasitoïdes adultes en 13 jours en moyenne. Par contre, les ufs de Chrysopa étaient moins souvent parasités,-C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1,3%-, et relativement peu de parasitoïdes avaient survecu jusqu'à l'émergence,-C. chi: 5,6%; C. oculata: 21%; C. quadripunctata: 0. Le développment préimaginal est approximativement 2 jours plus long dans les ufs de C. chi et C. oculata que dans ceux de Chrysoperla spp. Bien que les ufs de Meleoma dolicharthra aient été peu parasités,-environ 16%-, 100% ont donné des parasitoïdes adultes. Les ufs de Anomalochrysa maclachlani ont été peu parasités,-1,8%-, et le taux de survie a été moyen: 40,7%. Pour toutes les espèces, la taille de l'uf de l'hôte était liée positivement à la taille du parasitoïde obtenu.
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12.
Summary Aphidius rhopalosiphi produced 212 offspring on average but in one case 509 deposited eggs were found. Superparasitization occurred but the frequency distribution of parasitoid larvae in aphids differed significantly from random, indicating a certain degree of host discrimination. Average life span of adults was 13.1 days and sex ratio was 1:1. It changed in time among successively produced offspring.Handling time was about 2 sec and was somewhat longer in the fourth instar than in the second. Second and third aphid instars were preferred for oviposition. Functional response was sigmoid and at an aphid density of 100 aphids per cage percentage parasitization decreased.
Résumé Nous avons examiné quelques aspects des relations entre le parasitoïde Aphidius rhopalosiphi et son hôte Sitobion avenae. La fécondité potentielle à l'émergence (144 ufs) était inférieure à la fécondité réalisée: nombre de pucerons momifiés (212). La plupart des ufs étaient pondus dans la première semaine de la vie imaginale (fig. 1). Le super-parasi-tisme s'est produit dans les conditions expérimentales, mais la distribution des larves (fig. 2) s'écartait souvent de la distribution au hasard, ce qui indiquait une certaine discrimination parmi les hôtes.La longévité moyenne était de 13,1 jours et le maximum de 23 jours. Le taux sexuel (fig. 3) pour l'ensemble de la descendance était 1/1, mais changeait dans le temps. Après le premier jour de ponte, plus de femelles que de mâles étaient obtenues; mais après 6 jours, il n'y avait presque plus que des mâles.Le taux de rencontre des aphides et des parasitoïdes augmentait avec la taille (fig. 4a). Le temps de prospection de l'hôte était en moyenne de 2 secondes, mais dans certains cas il atteignait 10 secondes ou plus. La proportion de rencontres efficaces était plus faible au 4ème stade (fig. 4b). Il n'y avait pas de différence significative dans le nombre de larves de parasitoïdes obtenues par rencontre pendant les stades 1 à 3 des pucerons, mais elle était significativement inférieure au 4ème stade par rapport au second. Les taux globaux de succès (taux de rencontre et nombre de larves formées par rencontre) étaient plus élevés aux 2ème stades des pucerons. La réponse fonctionnelle était sigmoïde (fig. 5).
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13.
Life tables of Tetranychus urticae Koch were used to assess resistance to spider mites in five varieties of cotton in the southern San Joaquin Valley of California. Experiments were conducted during midseason and again in mid- to late season. The most resistant variety was Pima S-5 and the most susceptible was Acala SJ-2. Resistance of S-5 was expressed primarily as lower mite survivorship and fecundity. Developmental rates were similar on all 5 varieties. Although differences in the net reproductive rate (Ro) were large, there were only slight differences in the intrinsic rate of increase (r). Comparisons of the data in the first and second experiment, showed that resistance to spider mites increased as the plants matured. It is hypothesized that increased resistance associated with plant maturation results from a decrease in available nutrients in the leaves of older plants.
Résumé Les tables de vie de T. urticae Koch ont servi à la mise en évidence de la résistance de cinq variétés de coton dans la partie méridionale de la vallée de San Joaquin en Californie. Les expériences ont eu lieu à la mi-saison et à nouveau de la mi à la fin saison. La variété la plus résistante a été Pima S-5 et la plus sensible Acala SJ-2. La résistance de S-5 s'est traduite d'abord par une diminution de la survie et de la fécondité des acariens. Les taux de développement ont été les mêmes sur les cinq variétés. Bien que les différences entre les taux de reproduction nets (Ro) aient été importants, il n'y a eu que de légères différences entre les taux intrinsèques d'accroissement (r). La comparaison des résultats des lère et 2ème expériences a montré que la résistance aux acariens a augmenté quand les plantes ont mûri. L'hypothèse est émise d'un accroissement de la résistance lié à la maturation par suite d'une diminution de la quantité de'éléments nutritifs dans les feuilles des plantes âgées.
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14.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

15.
Rank transformation of specific activity values of -amylase across four strains of Sitophilus oryzae (L.) and four strains of S. zeamais Motschulsky indicates that levels of these predominant enzymes are highest in adults feeding on hulled barley or long-grain brown rice. Intermediate activity levels are found in weevils feeding on yellow corn (maize) and lowest levels are found in wheat-fed weevils. Although extracts prepared from barley contain inhibitory activity against two purified isoamylases from S. oryzae, levels of the naturally-occurring -amylase inhibitors against these two enzymes are about 2.2-fold and 6.1-fold, respectively, more concentrated in wheat. Ingestion of these amylase inhibitors and formation of an inactive enzyme:inhibitor complex with previously secreted amylase may account for the lower activity of amylase in weevils of both species feeding on wheat. Amylase levels across all strains feeding on a given diet are about 2-fold higher in S. oryzae than in S. zeamais. Significant differences in activity levels were also found between strains in both species. Since -amylase is a predominant digestive hydrolase in these species, the degree to which cereal diets affect amylase levels may indicate their suitability as potential hosts.
Résumé La transformation de rang des valeur d'activité spécifique de l'-amylase de 4 souches de S. oryzae et de 4 souches de S. zeamais montre que les niveaux les plus élevés de ces enzymes prédominantes s'observent chez les adultes nourris d'orge mondé ou de riz brun á grains longs. Des niveaux intermédiaires d'activité ont été obtenus chez les insectes élevés sur maïs jaune, et les niveaux les plus faibles chez ceux élevés sur blé. Bien que les extraits préparés à partir d'orge présentent une activité inhibitrice de deux isoamylases purifiées de S. oryzae, les niveaux des inhibiteurs naturels -amylase de ces deux enzymes sont environ respectivement 2,2 et 6,1 fois plus concentrés dans le blé. L'ingestion de ces inhibiteurs d'amylase et la formation d'un complexe enzyme inactive/inhibiteur avec l'amylase secrétée antérieurement, peut rendre compte de la plus faible activité de l'amylase chez les charançons consommant du blé. Le niveau d'amylase de S. oryzae est 2 fois plus élevé que celui de S. zeamais pour toutes les souches élevées sur un régime donné. Des niveaux d'activité significativement différents ont été trouvés suivant les souches pour chacune des deux espèces. Puisque l'amylase est la principale hydrolase digestive de ces espèces, l'intensité de la modification des teneurs en amylase par la consommation de céréales peut indiquer leur adéquation comme hôtes potentiels.
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16.
(Z)-11-hexadecenyl acetate (Z-11-16:Ac), (Z)-11-hexadecenal (Z-11-16:Ald), (Z)-11-hexadecenol (Z-11-16:OH) and hexadecanyl acetate (16:Ac) were found in pheromone gland extracts of femaleMamestra suasa (Den. et Schiff.) in the relative amounts 100/2/10/5. All four compounds were also present in collections of aiiborne volatiles from calling females in a 100/7/5/5 ratio. No traces of 14 carbon aldehydes or acetates were detected. In gland extracts the presence of methyl hexadecanoate methyl (Z)-9-hexadecenoate and methyl (Z)-11-hexadecenoate was demonstrated by base methanolysis. No methyl tetradecenoates were detected. In EAG tests Z-11-16:Ac gave the best responses, followed by (Z)-9-tetradecenyl acetate (Z-9-14:Ac) Z-11-16:Ald and Z-11-16:OH. In single sensillum recordings large spike amplitude cells in sensilla responded to Z-11-16:Ac, while small spike amplitude cells to both Z-11-16:OH and Z-9-14:Ac. Cells responding to Z-11-16:Ald were found in one out of 60 sensilla tested. In wind tunnel tests 0.1 g of a 10:1 blend of Z-11-16:Ac/Z-11-16:Ald evoked the same responses and at a similar intensity as 3 isolated female pheromone glands did. In field tests a 10:1 blend of Z-11-16:Ac/Z-11-16:Ald caught significant numbers of males in both Bulgaria and Hungary. The addition of 16:Ac to the binary blend did not have any effect, while more than 1% of Z-11-16:OH or 0.1% of Z-9-14:Ac dramatically decreased captures. In comparing different ratios of the, acetate/aldehyde blend at different dose levels, best catches were recorded at the 10:1 ratio and at the highest (1000 g) dose level.
La composition de la phéromone sexuelle deMamestra suasa: analyse chimique, étude de l'effet par éléctrophysiologie et à la chambre de vol, et piégeages dans deux pays de l'Europe
Résumé On a trouvé l'acetoxy-1 hexadécene-11 Z (Z-11-16:Ac), le hexadécene-11 Z al-1 (Z-11-16:Ald), le hexadécene-11 Z ol-1 (Z-11-16:OH) et l'acetoxy-1 hexadécene (16:Ac) dans des extraits de glandes phéromona les des femelles deMamestra suasa. La proportion relative des composés était 100/2/10/5. Tous les quatre composés ont été présents aussi dans les collections d'émanations des femelles en stade d'appel, dans la proportion un peu différente de 100/7/5/5. On n'a détecté aucune trace des tétradécenes al-1 ou d'acetoxy-1 tétradécenes. On a démontré la présence de hexadécenoate-1 methyl, hexadécene-9 Z oate-1 methyl et héxadécene-11 Z oate-1 methyl dans des extraits des glandes, par la méthode de base methanolysis. On n'a trouvé pas des tétradéceneoates methyl.En éléctroantennographie, Z-11-16:Ac a donné les meilleurs réponses, suivis par l'acetoxy-1 tétradécene-9 Z (Z-9-14:Ac), Z-11-16:Ald et Z-11-16:OH. Dans des études de single sensillum les cellules à amplitude grande ont répondu à la stimulation avec de Z-11-16:Ac, cependant les cellules à amplitude petite ont répondu à la stimulation avec des deux composés Z-9-14:Ac et Z-11-16:OH. On a trouvé des cellules sensitives à Z-11-16:Ald dans 1 entre 60 sensilla étudiés.À la chambre de vol, le dose de 0.1 g d'un mélange de 10:1 de Z-11-16:Ac/Z-11-16:Ald a provoqué les mêmes réponses et à l'intensité pareille comme 3 glandes phéromonales isolées des femelles.En piégeages sur le champs des males en quantité importante ont été capturé par un mélange de 10:1 de Z-11-16:Ac/Z-11-15:Ald en Bulgarie et Hongrie. L'addition de 16:Ac au mélange binaire n'avait aucun effet, cependant l'addition de plus de 1% de Z-11-16:OH ou 0.1% de Z-9-14:Ac a sérieusement diminué les captûres. En comparant des proportions différentes du mélange de l'acetoxy/aldéhyde dans des doses différentes, on a observé les meilleurs captûres avec de la proportion 10:1 et à la dose la plus haute (1 000 g).
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17.
Lowland robusta type coffee, (Coffea canephora), is a cash-crop in many tropical countries, and is reported in the literature as primarily wind-pollinated. The floral characteristics seem to refute this, and our evidence shows that in Papua New Guinea the flowers are classically entomophilous, being pollinated primarily by bees and flies. By far the most important and consistent visitors are solitary bees, especially Creightonella frontalis which nests within the plantations. The activity patterns and nesting biology of this bee are closely tied in with the success of the coffee bushes. Measures to improve pollination and fruit set in the coffee plantations are therefore suggested.
Résumé Le café robusta, C. canephora, est une culture de rente dans de nombreuses régions intertropicales. La littérature le considère comme essentiellement pollinisé par le vent. Les caractéristiques de la fleur semblent contredire cette opinion. Nos observations montrent qu'en Nouvelle Guinée les fleurs sont typiquement entomophiles, étant avant tout pollinisées par des abeilles et des mouches. Des abeilles solitaires qui nichent dans les plantations, en particulier C. frontalis, sont de loin les plus importants et les plus réguliers visiteurs de ces fleurs. Les caractéristiques de la biologie et le comportement de nidification de cette abeille sont intimement liés à la production des buissons de caféier. Des mesures pour favoriser la pollinisation et améliorer la production de fruit dans les plantations de café sont ainsi suggérées.
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18.
Role of trichomes in soybean resistance to cabbage looper, Trichoplusia ni   总被引:1,自引:0,他引:1  
Role of leaf trichome density and length in Glycine max (L.) Merr. resistance to Trichoplusia ni (Hübner) was evaluated at different leaf positions on a relatively resistant soybean, plant introduction (PI) 227687, and a relatively susceptible cultivar, Davis. The uppermost (juvenile) leaf within both PI 227687 and Davis plants, which is densely covered with trichomes, was most resistant to T. ni larval feeding and survival. When these trichomes were shaven off, such leaves became as susceptible to T. ni larval feeding as unshaven TL3 and TL5 leaves (PI 227687) or all other unshaven leaves (Davis). Bioassays for antifeedants in ethyl acetate and hexane extractables from leaves at the different positions on PI 227687 and Davis plants showed that the resistance observed in the uppermost Davis leaf is attributable to trichomes (i.e., a morphological factor); whereas, in the uppermost PI 227687 leaf it involves both morphological (trichomes) and chemical factors, but the trichome parameter is dominant.
Résumé L'influence de la densité et de la longueur des trichomes de Glycine max sur la résistance à Trichoplusia ni a été évaluée suivant la position des feuilles sur une lignée résistante (PI 227687) et sur un cultivar sensible (Davis).Les feuilles apicales (juvéniles) tant de PI 227687 que de Davis, recouvertes de trichomes denses, résistèrent mieux à l'alimentation larvaire et à la survie de T. ni.Quand ces trichomes étaient éliminés, ces feuilles ne résistaient pas plus à l'alimentation des larves de T. ni que les feuilles non rasées TL3 et TL5 de PI 227687 ou toutes les autres feuilles de Davis.Les tests avec des extraits dans l'acétate d'éthyle et l'hexane de feuilles provenant de différentes positions de PI 227687 et Davis, destinés à mettre en évidence des phagodissuadants, ont montré que la résistance observée chez les feuilles apicales de Davis était attribuable aux trichomes (c'est-à-dire à un caractère morphologique), tandis que chez les mêmes feuilles de PI 227687 elle impliquait à la fois des trichomes (morphologie) et des substances chimiques, mais avec une prédominance de l'influence des trichomes.
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19.
The olfactory response from male pheromone sensitive sensilla was investigated in the endemic New Zealand brownheaded leafrollers Ctenopseustis obliquana (Walker) and C. sp. ropeana (Lepidoptera, Tortricidae). The responses from 281 sensilla from the parental strains and from both the reciprocal crosses, including F1, F2 and maternal and paternal backcrosses were recorded, and statistically analysed using a multivariate analysis.In males of both the parental strains, a large amplitude cell responded to the main pheromone component of the conspecific female, in C. obliquana (Z)-8-tetradecenyl acetate (Z8-14:OAc) and in C. sp ropeana (Z)-5-tetradecenyl acetate (Z5-14:OAc). Both male types also possessed a small amplitude cell, which in C. obliquana responded weakly to Z5-14:OAc and tetradecyl acetate (14:OAc), and in C. sp ropeana responded to Z8-14:OAc. The responses from the different types of hybrid males were more variable than the responses from parental males. A main pattern could, however be seen, corresponding with the expected pattern in a sex-linked inheritance on the Z-chromosome of a C. sp ropeana type dominant genetic factor. The more pronounced variation in the hybrids could not be explained by this model, and might be due to the involvement of additional genes.
Résumé Les réactions olfactives des sensilles mâles sensibles aux phéromones ont été examinées par enregistrement de l'extrémité de la sensille chez les tordeuses C. obliquana Walker et C. sp. ropeana. Les enregistrements ont porté sur 281 sensilles des lignées parentales et des croisements réciproques de F1, F2 et de croisements en retour maternel et paternel. Les résultats des enregistrements d'une sensille ont été soumis à une analyse en composantes principales.Chez les mâles de chaque lignée parentale un seul type physiologique de sensille a été découvert; une cellule répond par un pic grand au principal constituant de la phéromone femelle conspécifique. (Z)-8-acétate tétradécényl (Z8-14:OAc) pour C. obliquana, et (Z)-5-acétate tétradécényl (Z5-14:OAc) pour C. sp. ropeana. Une seconde type de cellule dans les sensilles des deux espèces de mâles présente un pic petit pour Z5-14:OAc et pour l'acétate tétradécyl (14:OAc) chez C. obliquana, et pour C. sp. ropeana au Z8-14:OAc. Les réponses des sensilles des différents types de mâles hybrides sont plus hétérogènes que celles des sensilles de leurs pères. Un schéma général pourrait cependant être décelé, correspondant au schéma prévu avec une hérédité d'un facteur dominant liée au sexe sur le chromosome Z de C. sp. ropeana. La variation plus accentuée chez les hybrides ne peut être expliquée par ce modèle, et pourrait impliquer des gènes additionnels.
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20.
The fecundity of the South India strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) is 73 eggs for females developing in 31 days and increases to 94 eggs for females emerging after 41 days. Fed females lay 45–55 more eggs which is the egg-equivalent of the reserves unfed females had to sacrifice for activity. Competition as a larva did not reduce a female's fecundity. Oviposition is inhibited when females are given 25 or fewer beans for oviposition and it is reversed if females find fresh beans. Oviposition is generally released by beans carrying a below average number of eggs, thus, the eggs are almost uniformly distributed over the beans. Eggs are preferentially placed on the largest egg-free beans as expected if oviposition is released when a beetle goes from a smaller to a larger bean. The cues resulating host preferences, cowpea > mung pigeonpea chickpea, are secondary to the cues producing hyperdispersion and the selection of larger beans. We present a model for the oviposition behavior that accounts for the observed responses to species, size, and egg load of oviposition sites.
Résumé La fécondité de femelles isolées avec un mâle, sans aliment ni eau, et laissées sans perturbation avec 50 graines au moins sert de fécondité standard. Elle augmente avec le temps de développement de l'uf à l'adulte de 73 ufs (32 j) à 94 ufs (44 j). La fécondité potentielle, obtenue avec des femelles alimentées sur sucre est de 125 ufs. Des femelles maintenues avec moins de 25 graines réduisent leur fécondité.Plus de la moitié des femelles distribuent leurs ufs uniformément jusqu'à une densité de 1,5 uf. L'uniformité peut provenir de l'induction de réactions de ponte par les graines portant moins d'ufs que l'effectif moyen. L'hyperdistribution au dessus des densités de 3 ufs/graine révèle l'aptitude à distinguer les graines avec 3 ufs des graines avec 4 ufs. Il y a moins d'écarts par rapport à l'uniformité (erreurs) avec des graines à surface rugueuse. Des femelles avec 10 graines font moins d'erreurs que des femelles avec 50 ou 100 graines.Les ufs sont ajoutés aux plus grosses graines sans ufs; ainsi, plus il y a de graines qui portent des ufs, plus le poids des graines avec ufs diminue. Un tel schéma est prévisible si la ponte est induite par des graines plus grosses que les graines rencontrées précédemment. Les femelles présentent un ordre de préférence clair quand elles sont en rapport avec leurs hôtes classiques: Vigna unguiculata > V. radiata > Cajanus cajan > Cicer arietinum Les caractères spécifiques de l'hôte, plutôt que la taille ou la texture de la surface servent à la distinction entre les graines d'un même hôte.Ces résultats expérimentaux peuvent être utilisés pour la modélisation du comportement de ponte d'une femelle.
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