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1.
Oviposition by a parasitoid wasp in an already parasitized host (= superparasitism) may result in larval competition and the loss of offspring. Consequently, in solitary species, the decision to superparasitize should be based on the probability of offspring survival. Females of Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), two parasitoids of the pea aphid, discriminated between conspecific-and heterospecific-parasitized hosts. Both species showed partial preference for aphids previously attacked by A. smithi, a result predicted from the fact that A. ervi is superior to A. smithi in larval competition under most conditions. Females of A. smithi selectively attacked conspecific-parasitized pea aphids when given a choice between these and self-parasitized hosts. Results indicated that females of both species responded to an external pheromone-like marker to discriminate between selfconspecific-and heterospecific-parasitized aphids. In addition, A. smithi may use internal cues to recognize, and avoid oviposition in, aphids previously parasitized by A. ervi.
Résumé L'oviposition par une guêpe parasite dans un hôte qui a déjà été parasité (= superparasitisme) pourrait conduire à une compétition entre larves et à une perte de progéniture. Par conséquent, dans les espèces solitaires, la décision de superparasiter devrait être basée sur la probabilité de survie de la progéniture. Les femelles de Aphidius ervi Haliday et de A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), deux parasites du puceron du pois, ont discriminé entre les hôtes parasités par des individus de la même espèce et ceux parasités par des individus d'une espèce différente. Les deux espèces de parasite ont montré une préférence partielle pour les pucerons préalablement parasités par A. smithi, résultat qui était prévisible du fait que, dans la majorité des cas, A. ervi est supérieur à A. smithi dans la compétition entre larves. Les femelles de A. smithi ont sélectivement attaqué les pucerons parasités par un individu de la même espèce lorsqu'il leur était donné de choisir parmi ceux-ci et ceux parasités par les même individu. Les résultats indiquaient que les femelles des deux espèces répondaient à une sorte de phéromone externe pour distinguer les pucerons parasités par le même individu de ceux parasités par un individu de la même espèce et ceux parasités d'une autre espèce. En plus, A. smithi pourrait utiliser des signaux internes pour reconnaître et éviter l'oviposition dans les pucerons préalablement parasités par A. ervi.
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2.
The effects of applying nitrogen to a perennial ryegrass sward were studied in relation to the size and nature of populations of dipterous stem-bores. Two levels of both ammonium sulphate and calcium nitrate were applied to the sward. Larvae were more numerous in the plots treated with high levels of nitrogen regardless of the form applied. Also, there were more larvae in the plots treated with ammonium sulphate than in those treated with calcium nitrate. A limited range of stem-borer species predominated. These were Oscinella vastator, two forms of O. frit and Geomyza tripunctata. Stem-borer species were distributed differently between plots receiving high and low nitrogen levels; G. tripunctata occurred almost exclusively on plots receiving high nitrogen applications while O. vastator was more frequent in those receiving low levels of nitrogen.  相似文献   

3.
The effect of 18 sequential applications of malathion-bait spray (over a seven month period) on the spatial structure of the parasite guild associated with the gall midge Rhopalomyia californica Felt was assessed. Analysis of >140 galls collected from both the spray zone (Woodside) and an adjacent untreated area (Jasper Ridge) on Mar. 30, 1982 revealed that total percent parasitization was lower in the treated area. Subsequent analysis of guild structure was carried out using the midge gall as the spatial scale of interest. Galls are multichambered and can contain 50 or more host larvae per gall; galls containing parasitized hosts can contain more than one species of parasite. However, bait sprays had no effect on the number of parasite species per gall — i.e., the frequencies of galls containing zero, one, two, and three species were virtually identical. In both areas, total percent parasitization was highest in galls exploited by three parasite species, intermediate in galls exploited by two species, and lowest in single-species galls; however, in each case, parasitization was highest in the unsprayed area. Finally, total percent parasitization in relation to gall size (larvae per gall) was directly density dependent in the control area, but density independent in the spray zone. The differences in spatial structure detected in the parasite guild were attributed to the effect of malathion on individuals, rather than species. It is suggested that analysis of the spatial structure of a parasite guild may be of some value in applied biological control.
Résumé L'étude a porté sur l'effet de 18 pulvérisations de malathion, pendant une période de 7 mois, sur la structure spatiale du cortège d'entomophages associés à Rhopalomyia californica Felt. L'analyse de plus de 140 galles récoltées le 30 mars 1982, tant dans la zone traitée (Woodside), que dans une zone contiguë non traitée (Jasper Ridge), a montré que le taux de parasitisme est plus faible dans la zone traitée. L'analyse ultérieure s'est focalisée sur la galle comme unité spatiale. Une galle contient de nombreuses loges et jusqu'à 50 larves de R. californica; celles renfermant des hôtes parasités peuvent contenir plusieurs espèces d'entomophage. Les pulvérisations d'insecticides ne modifient pas le nombre d'espèces d'entomophages par galle: les fréquences des galles contenant 0, 1, 2, 3 espèses d'entomophages sont à peur près identiques. Dans les deux zones, la fréquence totale de parasitisme est plus élevée dans les galles explotées par 3 espéces d'entomophages, intermédiaire s'il y a 2 espèces, et plus faible par une espèce; cependant, dans tous les cas les fréquences sont plus élevées dans la zone pulvérisation. Finalement, la fréquence totale de parasitisme en fonction de la taille des galles (larves par galle) étaient dépendait directement de la densité dans la zone témoin, et était indépendante de la densité dans la zone traitée. Les différences de structures spatiales des cortèges d'entomophages ont été attribués à l'effet du malathion sur les individus, plutôt que sur les espèces. Il en est déduit que l'analyse de la structure spatiale d'un cortège parasitaire peut avoir de l'intèrêt en entomologie appliquée.
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4.
Medium sized (average 43.1 mg) and large (average 110.6 mg) wireworm larvae (Ctenicera aeripennis aeripennis) were reared in sterilized or unsterilized soil, with sterilized or unsterilized flax seed supplied as food. Sterilized flax was a better food than unsterilized flax, but unsterilized soil improved the results obtained with unsterilized flax.
Sommaire Dans un effort de détérminer les différences biologiques entre le taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), et celui de Puget Sound, Ctenicera aeripennis aeripennis (Kby), les effets sur les larves de ce dernier de la semence de lin et du sol sterilisés fut observés pendant 30 semaines. Contraire aux résultats obtenus avec les larves de C. a. destructor, le lin sterilisé autant que le lin non-sterilisé prouva attrayant et efficace pour la croissance aux larves de taille moyenne de C. a. aeripennis. Les larves de C. a. aeripennis de grosse taille ne différèrent de celles de C. a. destructor que par une plus grande augmentation de poids quand le lin sterilisé ou non-sterilisé fut présent en sol nonsterilisé. La survivance des larves de grandeur moyenne fut meilleure avec le lin sterilisé qu'avec le lin non-sterilisé tandis que celle des grosses larves ne fut pas influencée.Les résultats obtenus sans le lin avec les larves des deux espèces suggèrent que les microorganismes dans le sol ne sont probablement pas utilisés dans l'alimentation de ces espèces. Dans le cas des larves de C. a. aeripennis de grosse taille, il est fort probable que les microorganismes dans le sol rendent plus accessibles aux larves des facteurs alimentaires du lin, ce qui leur permet une croissance meilleure que d'ordinaire.Pourvues du lin, 25 p.c. des larves de grandeur moyenne mangèrent hebdomadairement. A peu près de 5 p.c. muèrent chaque semaine, même sans lin. Avec le lin non-sterilisé, 17 p.c. des larves survécurent dans le sol sterilisé, tandis que 55 p.c. survécurent en sol non-sterilisé. Avec le lin sterilisé, plus de 90 p.c. survécurent, et dans le sol non-sterilisé et dans le sol sterilisé. Pourvues du lin, les larves prirent du poids; sans lin, elles en perdirent.Avec le lin sterilisé dans le sol sterilisé, 31 p.c. des larves de grosse taille mangèrent chaque semaine et seulement 16 p.c. dans tout autre cas. A peu prés 4 p.c. muèrent chaque semaine. Seulement 37 p.c. des larves de cette taille survécurent dans le sol non-sterilisé avec le lin non-sterilisé, mais plus de 98 p.c. survécurent avec du lin sterilisé dans le même sol et plus de 65 p.c. dans le sol sterilisé pourvu de lin ou sans lin.


Contribution No. 22, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Canada.  相似文献   

5.
Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

6.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

7.
Stomatal conductance, mesophyll conductance, transpiration and photosynthesis varied considerably by within-plant locations on celery (Apium graveolens L.), but specific opposite leaves proved equivalent. Using such comparable leaves, feeding damage by Liriomyza trifolii (Burgess) (Diptera: Agromyzidae) larvae or adults was found to reduce significantly the capacity of celery for photosynthetic activity. In field trials where populations of L. trifolii were manipulated with pesticides, numbers of leaves, plant height, and numbers of petioles per plant were significantly greater in treatments with low leafminer densities. In treatments where L. trifolii was encouraged, harvest was delayed by up to 3 weeks. Related laboratory studies indicated that the pesticides used in the field trial neither promoted nor slowed celery growth. None of the physiological parameters measured at either 1.5 h or 7 days post-treatment was significantly affected.
Résumé Les conductances des stomates et du mésophylle, la transpiration et la photosynthèse varient considérablement suivant la position des feuilles dans un pied de céleri (Apium graveolens L.) mais ces paramètres sont identiques pour des folioles opposées.En utilisant de telles folioles comparables, une réduction singificative de l'activité photosynthétique du céleri a été observée lors des dégâts alimentaires par les larves et les adultes de Liriomyza trifolii Burg. (Dipt. Agromyzidae). Dans des essais en champ où des populations de L. trifolii ont été contrôlées avec des insecticides, les nombres de pétioles et de folioles et la hauteur des plantes étaient significativement plus élevés là où les traitements avaient entraîné de faibles densités de mineuses. Dans les parcelles où L. trifolii avait été avantagé, la récolte avait été retardée jusqu'à 3 semaines. Des essais parallèles au laboratoire ont montré que les insecticides utilisés dans ces essais au champ, n'avaient ni accéléré, ni retardé la croissance du céleri. Aucun des paramètres physiologiques mesurés après 1,5 heure ou 7 jours après le traitement n'avait été modifié.
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8.
Résumé Pour la première fois, les rotifères de la Camargue sont examinés. Des échantillons ont été pris aux environs de Salin de Badon, le long de la digue de mer et dans l'étang de Beauduc.Les 15 espèces trouvées sont nouvelles pour la région. Pour chacune d'elles, nous donnons l'écologie et la distribution dans l'eau saumâtre dans le monde entier.La plupart des espèces sont cosmopolites; une espèce est particulièrement intéressante, notamment Epiphanes mollis, dont c'est la première capture dans l'eau saumâtre de l'Éurope occidentale.

Rijkuniversiteit Gent. Laboratorium voor Systematische Dierkunde.  相似文献   

9.
In a choice test among six life stages of Phenacoccus herreni Cox & Williams, Epidinocarsis diversicornis (Howard) used its antennae to examine adult and 3rd stadium females more than other stages and preferentially attempted to oviposit in these plus 2nd stadium females. Success of ovipositor insertion was unaffected by host stage. The outcome of these behaviors was preferential oviposition by E. diversicornis in the large female host stages. Acerophagus coccois Smith also preferentially examined larger female mealybugs (second and third stadium nymphs and adults) more than other stages and successfully inserted its ovipositor in these stages more often than in second stadium male nymphs and male cocoons, resulting in a similar preference in this species for larger female host stages. When given a choice between adult female hosts of two species, P. herreni and Phenacoccus gossypii Townsend & Cockerell, E. diversicornis exhibited a clear preference for P. herreni; whereas A. coccois preferred P. gossypii.
Résumé Epidinocarsis diversicornis (Howard), ayant la possibilité de choisir entre six stades différents de Phenacoccus herreni Cox & Williams, examine avec ses antennes plus particulièrement les adultes et les larves femelles du 3ème stade, et essaie de pondre de préférence dans ces stades et les larves femelles de second stade. L'insertion de la tarière s'effectue aussi bien quel que soit le stade de l'hôte. Il résulte de ces différents aspects du comportement que E. diversicornis pond de préférence dans les femelles des stades les plus avancés. Acerophagus coccois Smith préfère aussi examiner les cochenilles femelles les plus grosses (second et 3ème stade larvaires et adulte), et introduit sa tarière avec succès dans ces stades plus souvent que dans les larves mâles de second stade ou les cocons mâles; il en résulte aussi pour cette espèce une préférence pour les femelles des stades les plus gros.Quand on leur a donné le choix entre des femelles des deux espèces de cochenilles (P. herreni et Phenacoccus gossypii Towsend & Cockerell), E. diversicornis manifestait une nette préférence pour P. herreni, tandis que A. coccois préférait P. gossypii.
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10.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
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11.
Previous foraging studies of individual Rhagoletis flies predict a positive relationship between the density of host fruits and probability of fruit infestation. This study examines how fruit density and other traits influence the distribution of Rhagoletis indifferens Curran larvae in an abandoned orchard. In 1986, when the level of fruit infestation was high, both the number of larvae/fruit and the percentage of fruits attacked were independent of fruit density at all spatial scales examined (among trees, within trees, or among fruit clusters). In 1987, when the level of fruit infestation was low and fruits were sampled throughout the season, the number of larvae/fruit was either independent of fruit density or, contrary to prediction, was inversely dependent on fruit density and tree size. In fruit-parasitic insects, as in many parasitoids, population-level responses to spatial variation in host density may be difficult to predict from analyses of individual behavior.
Résumé Des études précédentes sur Rhagoletis avaient suggéré que différentes caractéristiques de la plant-hôte,-densité des fruits, taille de la plante, présence de phéromones de marquage, etc.-, influençaient la prospection par les femelles gravides. Ce travail examine si ces caractéristiques sont utilisables pour prévoir la distribution des larves de R. indifferens dans un verger abandonné; par exemple, si une prospection concentrée dans les zones de forte densité de fruits entraîne une relation positive entre densité des hôtes et intensité des contaminations.En 1986, le niveau d'attaque était élevé: 89% des fruits examinés contenaient au moins une larve. Tant le nombre de larves par fruit que le pourcentage des fruits attaqués étaient indépendants de la densité des fruits et de l'échelle spatiale utilisée: entre les arbres, dans l'arbre, parmi le paquet de fruits. L'abondance de larves n'était pas plus liée à la taille de l'arbre, qu'à son aspect ou à sa position dans le verger. En 1987, quand l'attaque a été faible (<60% des fruits attaqués), l'échantillonnage des fruits pendant toute la saison a donné un nombre de larves par fruit, soit indépendant de la densité de fruits, soit, à l'opposé de nos prévisions, inversement dépendant de la taille de l'arbre et de sa densité en fruits. Bien que des infections multiples de fruits aient été fréquentes (17% des fruits contenaient de une à cinq larves), les larves étaient clairement distribuées uniformément parmi les fruits de l'arbre, probablement par suite de la présence de phéromones de marquage déposées après la ponte. Les mouches peuvent déceler lors de leur ponte la présence de larves d'autres espèces dans le fruit; la distribution des asticots est en relation négative avec celles des chenilles qui entrent plus tôt dans les fruits.Chez les insectes des fruits, comme chez de nombreux parasitoïdes, les réponses des populations aux variations spatiales de la densité de l'hôte peuvent difficilement être déduites de l'analyse du comportement individuel.
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12.
Résumé La présence des gousses et graines de six espèces de Phaseolus déclenche une ponte importante chez A. obtectus et stimule significativement la production ovarienne. Cependant, les meilleures performances ne sont pas observées avec P. vulgaris, hôte habituel, mais avec P. coccineus.Pour toutes ces espèces le tégument de la graine représente une barrière importante pour la pénétration des larves. Chez certaines espèces sauvages, et dans les conditions expérimentales, il permet une protection totale de la graine. Cette protection semble diminuer avec la domestication chez P. vulgaris.Lorsque les graines sont perforées artificiellement, les larves (une par graine) pénètrent sans difficulté, quelle que soit l'espèce. Les graines de P. coccineus et de P. vulgaris permettent le développement complet de la majorité des larves, tandis que dans celles de P. metcalfei et de P. acutifolius ne peut se développer qu'une faible partie de la population larvaire. Certains Phaseolinae peuvent donc stimuler la ponte sans permettre le développement des larves.Les femelles de la F1 provenant de P. coccineus ont des performances reproductrices supérieures à celles des femelles provenant de P. vulgaris (variétés sauvage ou cultivée). P. coccineus pourrait être considéré comme une des plantes-hôtes d'origine.
Summary The presence of pods and seeds of six Phaseolus species induces significant egg-laying in A. obtectus and strongly stimulates ovarian production. However, the best performances are not observed with P. vulgaris, the common host, but with P. coccineus.For all six species, the seed testa is an important barrier against larval penetration. For some wild species, it can give total protection of the seed, but this protection is reduced with domestication in P. vulgaris.For all species, when the seeds are artificially perforated, larvae (one per seed) penetrate easily. Most of the larvae can complete their development in seeds of P. coccineus and P. vulgaris, but only a small proportion of the larval population can develop in seeds of P. metcalfei and P. acutifolius. Thus certain Phaseolinae seeds stimulate egg-laying without allowing larval growth.Females of the F1 reared in P. coccineus have superior reproductive capacities than those reared in P. vulgaris. P. coccineus could be considered as one of the original host-plants of A. obtectus.
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13.
Résumé Chez Diadromus pulchellus WSM et D. collaris Gr., Hyménoptères Ichneumonidés parasitoïdes spécialistes des nymphes d'A. assectella lépidoptère inféodé aux Allium, des EAG sont enregistrés en réponse à l'odeur du poireau sain ou attaqué par les larves du phytophage, odeurs actives par ailleurs sur leur comportement locomoteur (cinèses). Le thiosulfinate de dipropyle (Ti-P2) très spécifique et abondant dans les Allium, et instable, est le mieux perçu par les deux parasitoïdes mais n'a aucun effet locomoteur chez D. pulchellus contrairement aux disulfures et thiosulfonates, plus stables et moins spécifiques. Les propriétés de l'acétate d'éthyle, actif sur l'antenne des deux parasitoïdes, et sur la locomotion de D. pulchellus expliqueraient en partie les activités biologiques du poireau attaqué sur ces parasitoïdes. Des EAG sont aussi obtenus chez les deux espèces avec l'odeur du chou et de composés soufrés plus ou moins spécifiques des Crucifères. Le thiocyanate de méthyle (TCN-M), le plus actif sur l'antenne et seul efficace sur le comportement locomoteur (de D. pulchellus), expliquerait en partie l'installation reconnue de D. collaris sur Plutella maculipennis spécialiste des Crucifères et rend celle de D. pulchelles vraisemblable.L'odeur des larves de dernier stade d'A. assectella est seule efficace sur l'antenne et la locomotion des femelles de D. pulchellus. Les mâles de ce dernier réagissent (EAG, locomotion) à des odeurs de cocons de l'hôte et particulièrement à ceux occupés par une femelle de leur espèce.  相似文献   

14.
Females of the gall midge Rabdophaga terminalis (H. Loew) (Diptera: Cecidomyiidae) are very selective in their choice of host plants at oviposition. In preference trials, eggs were laid almost exclusively on S. alba and S. fragilis. One single oviposition occurred on S. viminalis but none on S. triandra, S. daphnoides or S. smithiana. Significantly more eggs were laid on S. alba than on S. fragilis. No differences were detected between clones of the same species regarding oviposition in laboratory trials. Within the species of S. alba, larger buds were preferred. However, this did not explain the preference of S. alba to S. fragilis. There was agreement between plant species selected by the females and survival of the larvae. No galls developed when eggs were transferred to species that were not oviposited on. There was no difference between S. alba and S. fragilis in larval growth, but after two weeks of development there was a significantly higher proportion of larvae in cocoons and pupae on S. alba. There was a negative linear relationship between weight of larvae and larval number per gall, indicating larval competition. The negative slope was steeper for S. alba than for S. fragilis when larvae were weighed after two weeks of development. There were some discrepancies between laboratory and field data on infestation of S. alba and S. fragilis. Higher infestation levels were related to denser stands in the field.
Résumé Etude de la ponte et des performances larvaires de Rabdophaga terminalis (Diptera; Cecidomyiidae) sur plusieurs espèces de saules avec examen particulier de l'influence de la taille des bourgeons.La ponte et les performances larvaires de la cécidomyie galliforme, Rabdophaga terminalis (H. Loew) ont été étudiées sur plusieurs espèces et clones de saules cultivés en Suède. Les femelles sélectionnent avec soin les plantes hôtes lors de la ponte. Dans des essais préférentiels, les oeufs ont été pondus presque exclusivement sur S. alba et S. fragilis; une ponte a été observée sur S. viminalis et aucune sur S. triandra, S. daphnoïdes ou S. smithiana. Significativement plus d'oeufs ont été pondus sur S. alba que sur S. fragilis. Les essais au laboratoire n'ont pas permis de déceler des différences entre clones de la même espèce. Chez S. alba, les plus gros bourgeons étaient préférés, mais ceci ne permet pas d'expliquer la préférence pour S. alba par rapport à S. fragilis. Il y a coïncidence entre les plantes choisies par les femelles et al survie des larves; il n'y avait pas développement de galles quand des oeufs étaient transférés sur des espèces qui n'avaient pas reçu de pontes. La croissance larvaire sur S. alba et S. fragilis ne présentait pas de différences, mais après 2 semaines de développement il y avait significativement plus de larves en cocons et pupes sur S. alba. La corrélation entre le poids des larves et le nombre de larves par cellule était linéaire et négative, ce qui indique une compétition larvaire; la pente était plus raide pour S. alba que pour S. fragilis quand les larves étaient pesées au bout de 2 semaines de développement. Il y a eu quelques discordances entre les résultats au laboratoire et les données de terrain sur la contamination de S. alba et S. fragilis. Les plus fortes contaminations étaient observées à l'extérieur sur pépinières denses.
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15.
The survival and liveweight gain of Rhopaea morbillosa and Anoplognathus spp. larvae were determined in pot experiments over 9 weeks. Liveweight gain was greatest at soil moistures about two-thirds field capacity, and where 4% of soil was replaced with manure. Trifolium repens caused a significant reduction in liveweight gain compared with grasses. The reduction of liveweight gain in the absence of plants was not significant.Increased soil moisture caused a decline in survival, and the addition of manure to soil increased survival. Phalaris tuberosa tended to cause high mortality in Rhopaea. Trifolium and Phalaris caused more than half the Anoplognathus to fail to pupate.
Résumé La survie et le gain en poids vif de Rhopaea morbillosa Blackburn (Melolonthinae, Coleoptera) et de Anoplognathus spp. (Rutelinae, Coleoptera) on été déterminés par des essais en pots durant une période de neuf semaines. Le gain en poids vif le plus important a été obtenu avec des humidités du sol situées aux environs des deux tiers de la capacité au champ, et quand on ajoutait 4% de fumier (en poids) au sol. Les gains ont été les mêmes pour les deux espèces de scarabaeides avec Dactylis glomerata, Festuca arundinacea et Lolium perenne. Avec Phalaris les gains avaient tendance a être plus réduits qu'avec les trois autres herbes. Trifolium repens a provoqué une réduction significative de la vitesse de croissance des larves du deuxième stade de Anoplognathus et des larves du troisième stade de Rhopaea, par comparaison avec Dactylis et Lolium. Avec Trifolium et Phalaris sans fumier, plus de la moitié des larves d'Anoplognathus ne réussirent pas à se métamorphoser en nymphes. Le gain en poids vif de R. morbillosa n'était pas réduit d'une façon plus significative en l'absence de plantes.Une augmentation de l'humidité du sol a provoqué une diminution de la survie, et des additions de fumier l'augmentèrent. La survie des larves du deuxième et du troisième stades de R. morbillosa fut limitée avec Phalaris en l'absence de fumier, par contre la survie avec Trifolium fut de 100% pour les deux stades larvaires. La survie des larves du second stade d'Anoplognathus a été faible avec Trifolium sans fumier.
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16.
Microplitis demolitor Wilkinson, a solitary larval parasitoid of several species of Noctuidae, has been imported into the United States from Australia. A closely related species, Microplitis croceipes (Cresson), is native to the United States. The host-selection behavior of M. demolitor females is similar to that of M. croceipes in that it is stimulated by kairomones (including 13-methylhentriacontane) in the frass of Heliothis zea (Boddie) larvae, larval diet affects the kairomonal activity of the frass, and exposure to frass prior to release stimulates host-selection behavior. M. demolitor females also respond to frass from Trichoplusia ni (Hübner) larvae that had fed on Pink Eye Purple Hull Cowpea cotyledons.
Réponse de femelles de Microplitis demolitor sur la nourriture de chenilles de noctuelles et sur 13-methylhentriacontane
Résumé Microplitis demolitor, un parasitoïde solitaire de plusieurs espèces de chenilles de noctuelles, a été introduit d'Australie aux Etats-Unis comme agent potentiel de contrôle biologique. Les fèces des chenilles d'Heliothis zea et Trichoplusia ni élevées sur des cotyledons de pois (Pink Eye Purple Hull Cowpea) stimulent les femelles à sélectionner un hôte, mais les fèces des chenilles des deux espèces élevées sur diète CSM ne possèdent pas cette activité. Un extrait hexanique des fèces des chenilles de H. zea élevées sur cotyledons de pois stimule également ce comportement, de même que le 13-methylhentriacontane, substance présente dans les fèces des chenilles de H. zea (Jones et al., 1971). Les femelles de M. demolitor exposées immédiatement avant leur lâcher en serre aux fèces des chenilles de H. zea, nourries de cotyledons de pois, parasitent un plus fort pourcentage (41.7%) de chenilles de H. zea que cells qui n'ont pas été exposées aux fèces (13.9%).Le comportement de sélection de l'hôte des femelles de M. demolitor est donc semblable à celui des femelles de Microplitis croceipes, un parasitoïde étroitement apparenté indigène des Etats-U-nis. La femelle, par exemple, est stimulée par une kairomone des fèces des larves de H. zea nourries sur des cotyledons de pois (incluant le 13-methyl-hentriacontane), la diète affecte l'activité kairomonale des fèces, et une exposition préalable aux fèces avant le lâcher stimule le comportement de sélection de l'hôte.La stimulation du comportement de sélection de l'hôte, au moment du lâcher peut être utilisée pour améliorer l'efficacité des lâchers des parasitoïdes dans les programmes de contrôle biologique.
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17.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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18.
The effects of tannins on growth and digestion were compared in two species of swallow-tail caterpillars — Papillio polyxenes, a specialist on Umbelliferae that normally does not encounter tannins in nature, and P. glaucus, a generalist whose hostplant range includes tanniniferous tree species in several families. In one experiment, tannin extracted from Liriodendron tulipifera, a P. glaucus foodplant, was applied to leaves from hostplants on the two species; tannin in the diet caused greater mortality in P. polyxenes but failed to do so in P. glaucus. In a second experiment, tannins did not affect digestion, growth rate or nitrogen utilization in either species over a 24-hour period. These findings are inconsistent with the proposed mechanism of digestibility reduction by tannins and, moreover, demonstrate that some degree of counteradaptation is possible in coevolved species. Tannins may thus possess toxic properties other than digestibility reduction.
Résumé La comparaison a porté sur les effets des tanins sur la croissance et la digestion de deux espèces, Papilio polyxenes, spécialiste d'Ombellifères qui ne rencontre pas normalement de tanins dans la nature, et P. glaucus, généraliste dont les plantes hôtes comprennent des espèces d'arbres tanifères de plusieurs familles. Dans une expérience, des feuilles de plantes hôtes des deux espèces ont été traitées par du tanin extrait de Liriodendron tulipifera, consommé par P. glaucus; ce tanin dans l'aliment a provoqué une forte mortalité chez P. polyxenes mais a été sans effet sur P. glaucus. Dans une second expérience, les tanins n'ont pas modifié la digestion, le taux de croissance et l'utilisation d'azote par ces espèces pendant une période de 24 heures. Ces résultats ne concordent pas avec les mécanismes de réduction de la digestibilité envisagés pour les tanins, et, par ailleurs, démontrent qu'un certain degré de contreadaptation est possible chez des espèces ayant coévolué. Les tanins peuvent alors posséder quelques propriétés toxiques différentes de la réduction de la digestibilité.
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19.
The exclusion of botanical species from the food plant range of the diamond-back moth larva is determined not only by the infrequency of adequate stimulants for feeding but also by a high frequency of occurrence of feeding inhibitors. A few plant species lack feeding inhibitors but are excluded by a deficiency of feeding stimulants. Some plants are devoid of decisive feeding inhibitors and contain effective feeding stimulants but yet are excluded as host plants by the possession of toxic principles. At least one plant species, Pisum sativum, devoid of mustard oil glucosides, is sufficiently palatable, nutritious and free of toxicants to support successive generations of Plutella larvae in the laboratory. The free mustard oils in the natural host plants apparently tend to inhibit dispersal of the larvae.
Resume L'exclusion d'espèces botaniques comme plantes pouvant servir de nourriture à la larve de Plutella maculipennis est detérminée non seulement par la râreté de stimulants nécessaires pour que l'insecte se nourrisse mais aussi par la présence fréquente de substances qui empêchent l'insecte de se nourrir. Quelques espèces de plantes qui n'ont pas de substances qui empêchent l'insecte de se nourrir, sont excluées par une déficience de stimulants. Certaines plantes n'ont pas de substances qui empêchent l'insecte de se nourrir et contiennent des stimulants efficaces, mais cependant elles sont excluées comme plantes nourricières par la possession de principes toxiques. Au moins une espèce de plante, Pisum sativum, qui ne possède pas les glucosides d'huile de moutarde, est assez agréable au goût, nourrissante et privée de toxines pour pouvoir soutenir des générations successives de larves de P. maculipennis dans la laboratoire. Les huiles de moutarde des plantes nourricières naturelles semblent empêcher la dispersion des larves.
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20.
Résumé Nos recherches au microscope électronique portent sur une structure nerveuse en lamelles découverte pour la première fois dans l'antenne duSpeophyes, qu'on étudie comparativement chez les Coléoptères hypogés et épigés. Nous constatons qu'elle existe à l'extrémité de l'antenne chez toutes les espèces cavernicoles de l'échantillon examiné ainsi que chez plusieurs espèces épigées. Nous n'avons pas rencontré cet organe à l'extrémité de l'antenne de trois espèces épigées; nous ne pouvons cependant pas affirmer qu'il n'existe pas, les articles inférieurs de l'antenne n'ayant pas été examinés. Son plus grand développement chez les espèces cavernicoles laisse supposer une fonction plus spécifiquement adaptée à ce milieu. La structure fine de ces lamelles présentant une étroite similitude avec celle des photorécepteurs, nous avons émis l'hypothèse d'une sensibilité à des rayonnements présents dans la grotte, par exemple au rayonnement infrarouge. Il faut souligner que la nature ciliaire de ces structures est en désaccord avec l'appartenance de l'Insecte à la lignée rhabdomérique.
Comparative study on the lamellated nervous structures in the antenna of certain coleoptera
Summary The lamellated nervous system discovered in the antennae of the beetleSpeophyes, has been comparatively investigated in various hypogeous and epigeous species. It was found in almost all of the species studied in the tip of the antennae. It was, however, not detected in a few of the epigeous forms. Its extensive development in the cave develling species suggests a specific function in this particular environment. The fine structure of the lamellae is closely comparable to that of photosensory cells. Therefore it is assumed that they serve a similar function, i. e. the perception of infrared radiation in the caves. Its ciliary nature does not correspond to the rhabdomeric structure of insect eyes.
Technicienne associée.  相似文献   

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