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1.
Median threshold responses of dieldrin-treated susceptible and resistant houseflies to sucrose solutions were compared to determine the exent of functional derangement produced by the toxicant in the central nervous system. ED50 values of sucrose were lowered below the level exhibited by untreated flies. The size of this effect depends on dose and length of exposure. The overall patterns of dieldrin-induced alterations in chemosensitivity were similar in the two strains except for the difference in the doses of the insecticide required to produce these changes. This difference in doses corresponded well with the difference in the susceptibility levels of the two strains to dieldrin. Sublethal/asymptomatic doses of the insecticide also produced increased sensitivity to sucrose in the resistant flies after 4–8 hours' exposure.
Résumé L'effet de la dieldrine sur le système nerveux central à été comparé chez des mouches sensibles et des mouches résistantes en déterminant leur sensibilité limite à des solutions de sucrose, au cours des différentes phases de l'intoxication et avec différentes doses. Il y a une apparente identité du syndrome de l'intoxication dans les deux lots de mouches, qui se manifeste par une augmentation de la sensibilité chimiotactile, la seule différence résidant dans la dose d'insecticide nécessaire pour produire ces changements. Il faut approximativement 5000 fois la dose de dieldrine causant le premier accroissement appréciable de sensibilité au sucrose chez les mouches sensibles, pour produire des effets comparables chez les mouches résistantes. On peut conclure que dans chacun des lots de mouches la résistance à la dieldrine peut s'exprimer d'après ses effets sur le comportement d'extension réflexe du proboscis en réponse à une solution de sucrose. Il y a corrélation entre le degré d'accroissement de la sensibilité chimiotactile et l'intensité de l'intoxication, que celle-ci soit produite par de fortes doses ou de plus longues expositions à de faibles doses. La sensibilité des mouches résistantes à une solution de sucrose est modifiée par des doses sublétales appliquées pendant un temps plus long, ce qui indique qu'un processus de restauration intervient.
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2.
The insect growth regulator Dimilin®, common name: diflubenzuron, applied at concentrations effective against the cabbage maggot Delia radicum L., did not affect the hatching of eggs of the staphylinid predator and parasite, Aleochara bilineata Gyllenhal. Applied externally in distilled water, Dimilin was non-toxic to first instar larvae, to larval instars developing within host puparia, and to adults. When Dimilin was dissolved in dimethylsulfoxide, then applied to the exoskeleton of host puparia, emergence of A. bilineata adults was suppressed. The conventional insecticide Furadan, at a concentration (0.001% in distilled water) equal to the lowest concentration of Dimilin used, was toxic to both eggs and larvae of A. bilineata.
Résumé Lorsqu' appliqué dans des concentrations efficaces contre la mouche du chou Delia radicum L. (0.1, 0.01, 0.001% p/v dans de l'eau distillée), le Dimilin (diflubenzuron), un régulateur de croissance des insectes, n'a pas affecté l'éclosion des oeufs de Aleochara bilineata Gyllenhal, un staphylin prédateur et parasite. En application externe, à la plus forte concentration (0.1% p/v dans de l'eau distillée), cet inhibiteur de synthèse de la chitine s'est avéré non toxique pour les larves du premier stade, les stades larvaires qui se développent à l'intérieur du puparium de l'hôte, et les adultes. Le traitement au Dimilin n'a pas affecté la fertilité des staphylins adultes. Cependant, lorsque le diflubenzuron était dissous dans du diméthylsulfoxyde et appliqué sur l'exosquelette du puparium de l'hôte, l'émergence des adultes de A. bilineata était éliminée. L'insecticide conventionnel Furadan (carbofurane), à une concentration égale à la plus faible concentration de Dimilin utilisée (0.001% p/v dans de l'eau distillée), s'est avéré toxique à la fois pour les oeufs et pour les larves de A. bilineata.
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3.
A. Mirimanoff 《Protoplasma》1953,42(2):250-260
Résumé Le présent travail expose quelles sont les réactions de la cellule végétale lorsque cette dernière est soumise à l'association d'un toxique et d'un « mouillant » (Netzmittel).Les variables sont: la nature de la cellule végétale, celle du toxique et celle du mouillant.Alors que les mouillants cationiques, eux-mêmes toxiques, exercent une simple action additive, les mouillants anioniques révèlent dans de nombreux cas une synergie de toxicité. Celle-ci se manifeste surtout avec les champignons et les bactéries Gram+, les végétaux supérieurs se montrant indifférents. Cette synergie varie également avec la structure moléculaire du mouillant.Les mouillants non ioniques peuvent au contraire exercer une action antagoniste, c'est-à-dire diminuer la toxicité.Ce dernier phénomène se produit dans certains cas à la suite d'une réaction chimique entre le mouillant et le toxique; la nature de la cellule est alors indifférente. Dans d'autres cas, il y a absence de réaction chimique et le phénomène ne se produit qu'avec certains types de cellules (champignons surtout).La nature chimique du toxique joue, dans la synergie, un rôle moins important que dans l'antagonisme.Des hypothèses sont formulées pour tenter d'élucider le mécanisme des cas de synergie et d'antagonisme.  相似文献   

4.
Susceptible and insecticide resistant females of Blattella germanica (L.), Dictyoptera, were exposed to propoxur treated surfaces. They carried oothecae that were expected to hatch in 48 to 72 h. Hatch was delayed in females that retained their oothecae throughout the exposure period. Oothecal hatch and nymphal survival were reduced when oothecae hatched on a treated surface but not when oothecae were retained and hatched on an insecticide-free surface. Over half of the susceptible strain females dropped their oothecae during the exposure period while very few resistance females dropped oothecae prematurely. Mortality of susceptible females that dropped their oothecae was higher than among those that retained oothacea. A tendency in this direction was apparent among the few resistant females that dropped their oothecae. The number of nymphs that emerged on the treated surface and also that survived for 24 h was higher in the resistant than in the susceptible strain. Newly hatched nymphs were frequently attached to the oothecae due to an inability to shed the embryonic cuticle.
Résumé Des femelles de B. germanica, sensibles ou résistantes aux insecticides, ont été mises en présence de surfaces traitées au propoxure. Elles portaient des oothèques dont l'éclosion était attendue entre 48 et 72 h plus tard. Les éclosions ont été retardées, les femelles ayant conservé leurs oothèques pendant toute la période d'exposition. Lex taux d'éclosion des oothèques et de survie larvaire ont été normaux quand il y a eu rétention de l'oothèque et émission sur une surface saine, par contre ils étaient réduits quand l'oothèque a été émise sur une surface traitée. Plus de la moitié des femelles de la souche sensible ont laché leur oothèque pendant la période d'exposition tandis que très peu de femelles de la souche résistante ont abandonné leur oothèque prématurément. La mortalité était plus élevée chez les femelles sensibles qui ont perdu leur oothèque que chez celles qui l'avaient conservée. Une tendance du même type était décelable parmi les quelques femelles de la souche résistante qui perdirent leur oothèque. Le nombre d'écolosions de larves et le nombre de survies larvaires à 24 h étaient plus élevés dans la souche résistante que dans la souche sensible. Les larves néonates étaient souvent fixées à l'oothèque par suite de leur incapacité à se dépouiller de la cuticle embryonnaire.
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5.
Dieldrin is a potent inducer of microsomal naphthalene hydroxylase and heptachlor epoxidase in the housefly, causing up to five-fold increases in the activities of these enzymes. The activation of these detoxifying enzymes is also demonstrated in vivo by a reduction in the susceptibility of the dieldrin-treated insects to carbaryl. The inductive effect is prevented in insects treated with the drug cycloheximide, an inhibitor of protein synthesis. Dieldrin-treated flies also incorporate more amino acid into protein. Under similar experimental conditions, DDT is a less effective inducer. Three housefly strains, all resistant to dieldrin but with differing levels of microsomal oxidase activity, were compared in terms of dieldrin dose, rate of appearance of the inductive effect, response on aging, and response to a second treatment with dieldrin. All of the strains, both male and female, were induced, as indicated by increased epoxidation of heptachlor. However, the strain with the lowest pretreatment microsomal oxidase activity, dieldrin-curly wing, responded least while the strain with the highest basal microsomal oxidase activity, Isolan, responded most to the dieldrin treatment. Comparing the three strains on the basis of maximum increases in heptachlor epoxide production, induction in the Isolan and Orlando strains was approximately three and two times, respectively, that found in the dieldrin-curly wing strain. It is suggested that this difference in response to the inducing agent represents differences in the number of structural genes for oxidase synthesis in the three strains. The results are discussed in terms of genetic control.
Résumé Chez la mouche domestique, la dieldrine est un inducteur efficace de la naphtalène-hydroxylase et de l'heptachlore-epoxydase, augmentant jusqu'à cinq fois l'activité de ces enzymes. L'activation de ces enzymes de détoxification est démontrée aussi in vivo, par une baisse de la sensibilité au carbaryl des insectes traités à la Dieldrine. L'effet inducteur est supprimé par un inhibiteur de la synthèse des protéines, la cyclo-heximide. De même l'incorporation des acides aminés dans les protéines est diminuée chez les mouches traitées à la Dieldrine. Dans des conditions expérimentales équivalentes, le D.D.T. est un inducteur moins efficace. Trois souches de mouches domestiques, toutes les trois résistantes à la Dieldrine, mais dont les oxydases possèdent des niveaux d'activité différents, ont été comparées pour les facteurs suivants: dose de Dieldrine, taux d'apparition de l'effet inducteur, âge, et effet d'un second traitement à la Dieldrine. L'induction se vérifia, dans toutes les souches, à la fois chez les mâles et les femelles, par une augmentation du taux d'époxydation de l'heptachlore. Cependant, la souche possédant à l'origine la plus faible activité oxydasique, la souche «dieldrin-curly wing», a une réponse inférieure à la souche «Isolan» dont les oxydases possèdent la plus forte activité originelle. En comparant les 3 souches pour leur production d'époxyde d'heptachlore, l'induction chez les souches «Isolan» et «Orlando» est respectivement environ 3 et 2 fois celle trouvée dans la souche «dieldrin-curly wing». Il est suggéré que cette différence de réponse à l'agent inducteur, représente des différences dans le nombre des gènes de structure responsables de la synthèse des oxydases dans les 3 souches. Les résultats sont discutés en termes de déterminisme génétique.


Oregon Agricultural Experiment Station, Technical Paper No. 2814.

This work was supported by grant no. ES00362-12, USPHS.  相似文献   

6.
At topically applied doses of fenvalerate sublethal to resistant (R) and susceptible (S) flies, R flies immediately initiated a vigorous grooming behavior which allowed them to remove as much as 13% of the topically applied dose at 24 h. On the contrary, in S flies grooming was not immediately observed because S were quickly knocked down by the pyrethroid; however, grooming was observed in S after flies recovered from knockdown. Comparisons at 24 h between R flies free to groom and those restricted from grooming indicated that 90–100% of the parent compound that was recovered from the holding vials of freely grooming flies was rubbed off while only 0–10% was excreted. Additionally, grooming significantly affected the amount of radiocarbon recovered as unpenetrated insecticide, because R flies removed a portion of the topical material and deposited it in their holding vials.
Résumé Après application topiques de doses subléthales de fenvalerate à des mouches résistantes (R) et sensibles (S), les mouches R se nettoyent immédiatement et vigoureusement, ce qui leur permet d'éliminer jusqu'à 13% de la dose en 24 h. Au contraire chez les mouches S, ce nettoyage rapide n'a pas été observé, parce qu'elles étaient rapidement paralysées par le pyréthroïde. Cependant le nettoyage s'observe après que les mouches S aient récupéré. Des comparaisons après 24 h, entre des mouches R capables de se nettoyer et d'autres à qui l'on interdit cette activité de nettoyage indiquent que 90–100% des substances marquées au 14C, récupérées dans le récipient ayant contenu les premières, proviennent de l'élimination de l'insecticide par nettoyage et seulement 0–10% de l'excrétion de l'insecticide. De plus, le nettoyage diminue de manière significative la quantité récupérée de radiocarbone correspondant à de l'insecticide n'ayant pas pénétré dans l'insecte, parce que les mouches R enlèvent une partie du matériel et le déposent dans leur récipient.
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7.
The sublethal effects of four pesticides on paedogenetic larvae of the Cecidomyiidae were investigated in sterile culture. With Heteropeza pygmaea:-(a) diazinon at 0.2 ppm and above in the agar medium produced an all or nothing response where most larvae lost locomotory co-ordination and did not feed, but on transference to an untreated culture many recovered and reproduced; (b) HCH reduced activity, hemipupal size and fecundity in proportion to dosage; (c) quinomethionate reduced hemipupal size but the number of young increased from a mean of 12 for untreated parents to 15.5 at 0.32 ppm; (d) diflubenzuron induced one larva to produce a previously unrecorded second instar and the evolutionary significance of this is discussed. The effect of diflubenzuron on larvae of Mycophila speyeri was twofold: a reduction in fecundity of the parents and an increase in pupa-larva production.
Effets sublétaux de quatre pesticides sur les larves paedogénétique de cecidomyiidae
Résumé Les recherches présentées se rapportent aux effets de doses sublétales de quatre pesticides à l'égard de larves paedogénétiques de Cecidomyiidae, élevées sur milieu gnotobiotique. La plupart des larves d'Heteropeza pygmaea refusent de s'alimenter sur un milieu contenant 0,2 ppm au plus de diazinon et perdent leur faculté locomotrice; transférées sur un milieu normal, elles se rétablissent et se reproduisent normalement. La réponse est du type tout ou rien, car le reste des larves se comporte normalement.Le HCH réduit l'activité larvaire, la taille hémipupale et la fécondité, en fonction de la dose.Le quinomethionate réduit la taille hémipupale mais provoque une augmentation du nombre de jeunes larves, qui passent d'une moyenne de 12 chez les parents témoins, à 15,5 dans le milieu additionné de 0,32 ppm de ce toxique.Le diflubenzuron a provoqué, chez une larve, la formation d'une cuticule surnuméraire, conduisant à un second stade larvaire, au lieu de donner comme normalement une hémipupe. C'est la première fois qu'un tel phénomène est observé, sa signification évolutive est discutée.Les effets du diflubenzuron sur les larves de Mycophila speyeri (Barnes) sont doubles: une réduction de la fécondité des parents et une augmentation de la production des larves imaginales.
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8.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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9.
The effects of vapors of four commercial propoxur formulations and their solvent systems (blanks) on dispersal of German cockroaches, Blattella germanica (L.), of a laboratory susceptible and two propoxur-resistant field strains were studied. Little or no dispersal occurred in experiments with water-based formulations (emulsifiable concentrate and wettable powder). Rapid dispersal occurred in experiments with aerosol and propoxur-in-oil formulations and their blanks. The order from most rapid to slowest dispersal was as follows: propoxur-in-oil, aerosol, aerosol blank and oil blank. Each strain differed from the others in response to at least one of the test materials.
Résumé L'étude a porté sur les effets des vapeurs de quatre formules commerciales de propoxure et de leurs solvants sur la dispersion d'une souche sensible de laboratoire et de deux souches résistantes de la nature de B. germanica L.. Avec des solutions aqueuses, concentré émulsifiable ou poudre mouillable, la dispersion est faible ou nulle. Une dispersion rapide est obtenue avec des aérosols ou des formules de propoxure en solution dans l'huile ou avec ces solvants seuls. Le classement, du dispersant le plus rapide au plus lent, est le suivant: Propoxure dans l'huile, aérosol, solvant d'aérosol, solvant de solution huileuse. Chaque souche diffère des autres pour au moins une réaction à l'une des substances testées.
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10.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
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11.
The probing behavior of two aphid species, Myzus persicae (Sulz.) and Nasonovia ribisnigri (Mosley), was electronically monitored on susceptible and resistant lettuce lines using a DC amplifier. A waveform pattern associated with extracellular stylet pathway activities, pattern C, occurred for longer periods when either aphid species probed resistant plants. This pattern is usually regularly interrupted by drops in electrical potential lasting a few seconds, reflecting cell membrane punctures followed by rapid withdrawal of the stylet tips. For M. persicae on resistant lettuce a large increase in pattern C without these potential drops accounted for the increased duration of this pattern. For N. ribisnigri the increase in pathway activity on resistant plants was due to an increase in the more typical pattern C with potential drops, as well as to an increased duration of pattern F, associated with a curious type of stylet penetration within cell walls. Both aphids made more but shorter probes on resistant than on susceptible plants, and these probes led less frequently to periods of sieve element contact and ingestion. The effects of resistance appear to involve both mesophyll and phloem factors. The underlying mechanisms, however, remain unclear. The results indicate which stylet penetration activities or waveform patterns are of interest for further investigation of resistance mechanisms.
Résumé Le comportement de sondage de variétés sensibles et résistantes de laitues par deux espèces de pucerons, Myzus persicae (Sulz.) et Nasonovia ribisnigri (Mosley), a été enregistré électroniquement en utilisant un amplificateur DC. Les deux espèces de pucerons ont présenté une amplification de l'onde de type C associée au cheminement extracellulaire des stylets lors du sondage des variétés résistantes. Cette onde est normalement interrompue par des chutes de quelques secondes du potentiel électrique, traduisant des ponctions de la membrane cellulaire suivies par un rapide retrait de l'extrémité des stylets. La forte augmentation de l'onde C mais sans chutes de potentiel rend compte de la plus longue durée de cette onde chez M. persicae sur laitue résistante. L'accroissement du cheminement des stylets chez N. ribisnigri sur plantes résistantes est dû à une augmentation de l'onde C typique avec chutes de potentiel, ainsi qu'à une prolongation de l'onde F liée à la pénétration des stylets dans les parois cellulaires. Les deux espèces font des sondages plus brefs et plus nombreux sur variétés résistantes, et ces sondages entraînent des contacts moins fréquents avec les éléments criblés et débouchent moins souvent sur de l'ingestion. Les effects de la résistance semblent impliquer des facteurs liés à la fois au mésophylle et au phloème. Les mécanismes sous-jacents, cependant, ne sont pas encore clairs. Ces résultats Montrent que l'examen des ondes liées à la pénétration des stylets est important pour des études ultérieures sur les mécanismes de résistance.
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12.
Résumé L' adaptation de Agrotis segetum Schiff. (Lep. Noctuidae), dans différentes zones géographiques de son aire de distribution, est dûe à la variabilité de caractères bio-écologiques (vitesse de développement, seuil thermique de nymphose). II existe un gradient latitudinal dans la variation de ces différents caractères permettant à l'espèce d'hiverner au dernier stade larvaire, le plus favorable à sa survie.Des sélections conduites au laboratoire, montrent que ces caractères sont héréditaires. Une pression de sélection, exercée uniquement sur l'un d'entre eux (durée de développement longue ou courte à 25°LO 12:12), se répercute également sur les autres, en accord avec les variations observées dans les populations naturelles. II est ainsi possible, à partir d'une population de la région Parisienne, de sélectionner des souches qui ont les caractéristiques des populations naturelles du sud ou du nord de l'aire de répartition de S. segetum. Ces résultats sont discutés dans le contexte général de l'ajustement du cycle évolutif en fonction des zones géographiques où l'espèce a été étudiée.  相似文献   

13.
Glossina morsitans morsitans Westw. surviving 48 hr after topical doses of dieldrin, endosulfan or permethrin which killed 15% or 30% during this period in an initial bioassay, were investigated for subsequent effects of the insecticides. Males surviving 48 hr after exposure to dieldrin and endosulfan were subject to further mortality which reached 70%–80% by day 15. Permethrin had some influence on longevity but only later than day 30 after treatment. Females were less susceptible than males to these effects. Treated flies mated readily but early separation occurred more frequently in pairs including dieldrin or endosulfan-dosed males. This premature separation may impede insemination and ovulation. Mortality associated with mating in flies exposed to dieldrin and endosulfan in these experiments is attributed mainly to enforced activity following matual disturbance under the experimental conditions. Reproductive performance in treated females surviving mating was largely unaffected, except for a small reduction in the number of pupae produced by permethrin-treated females and some indication of reduced survival of pupae from females exposed to dieldrin. Minor effects of the solvent (butanone) and the insecticides on activity and on feeding were also demonstrated. These results show that permethrin has relatively little effect on flies surviving at 48 hr after exposure to a low dose, compared with dieldrin or endosulfan. It is suggested that the intrinsic toxicity of insecticides measured by conventional laboratory bioassay (based on mortality at 48 hr after dosing) may prove misleading if effects of low doses similar to those described here, make a significant contribution to the impact of insecticides on tsetse populations in the field.
Résumé Les effets latents de trois insecticides: dieldrine, endosulfan et perméthrine sont étudiés sur Glossina morsitans morsitans en utilisant les survivants après un délai de 48 h., à la suite d'applications topiques de doses qui tuent 15% à 30% des insectes pendant ce même laps de temps. Les mâles survivant 48h après l'application de dieldrine et d'endosulfan, montrent une mortalité ultérieure qui atteint 70%–80% au 15ème jour. La perméthrine a également une certaine influence sur la longévité, mais seulement au-delà du 30° jour suivant le traitement. Les femelles sont moins sensibles à ces effets que les mâles. Les mouches traitées s'accouplaient facilement mais la séparation survenait plus fréquemment pour les couples dont les mâles avaient été traités avec la dieldrine et l'endosulfan. Cette séparation prématurée peut empêcher l'insémination et l'ovulation. La mortalité associée à l'accouplement chez les mouches exposées à la dieldrine et à l'endosulfan dans ces expériences est principalement attribuée à l'activité accrue liée au dérangement mutuel dans les conditions expérimentales. Les performances de la reproduction chez les femelles traitées, survivantes après l'accouplement sont en grande partie inchangées, excepté en ce qui concerne une petite réduction du nombre de pupes produites par les femelles traitées à la perméthrine et quelque indication d'une survie réduite des pupes provenant de femelles traitées à la dieldrine. Des effets mineurs du solvant (butanone) et des insecticides sur l'activité et l'alimentation des mouches ont aussi été observés. Ces résultats montrent que la perméthrine a relativement peu d'effet par comparaison avec la dieldrine et l'endosulfan sur les mouches ayant survécu 48h après une application d'une faible dose. Il est suggéré que la toxicité intrinsèque des insecticides, mesurée par les méthodes conventionnelles de laboratoire (basées sur la mortalité 48h après l'application) peut se révéler erronée si des effects de doses faibles, semblables à ceux décrits ci-dessus, contribuent de façon significative à l'impact des insecticides sur les populations de Tsé-Tsé dans la nature.


The work was financed by the Ministry of Overseas Development.  相似文献   

14.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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15.
Résumé Le service de Parasitologie de l'Université de NANTES s'est intéressé aux problèmes de Mycologie hospitalière, d'épidémiologie des mycoses ainsi que d'expérimentation sur les affinités fongiques, à l'échelon régional, et de 1963 à 1973.La contribution clinique a porté essentiellement sur les levuroses étudiées soit au niveau des cavités buccales irradiées, soit chez les malades des services de Réanimation où l'interprétation du rôle pathogène de Candida parapsilosis nécessite des épreuves immunologiques.Nous avons décrit une forme de Blastomycose chéloïdienne à Aureobasidium pullulans.Nos études morphologiques ont surtout porté sur l'observation au microscope électronique à balayage des ultrasculptures présentées par les champignons kératinophiles, ce qui nous a permis de distinguer les différentes espèces du complexe Microsporum gypseum. Il ne semble pourtant pas que cette technique d'observation permette de résoudre tous les problèmes. La conservation des Dermatophytes en eaudistillée par la méthode de Castellani s'est révélée particulièrement remarquable: une souche de M. gypseum a été récupérée après 6 ans de conservation par ce procédé.Notons, en matière d'épidémiologie la prédominance de Trichophyton rubrum sur T. mentagrophytes, survenue récemment: la recrudescence passagère d'Epidermophyton floccosum; la présence d'Arthroderma simii sur une plage. Une étude des champignons kératinophiles telluriques du massif armoricain a porté sur près de 3000 échantillons de terre, ce qui a permis de retrouver, assez rarement d'ailleurs, Arthroderma benhamiae.Nos expérimentations ont porté sur les réponses sérologiques et histologiques de lapins à une imprégnation aspergillaire par instillation intra-trachéale: les résultats obtenus ont été comparés aux examens sérologiques obtenus chez l'homme atteint d'aspergillose. Enfin, nous avons remarqué que le contact levures-cellules sarcomateuses opéré in vitro permet aux levures d'acquérir un pouvoir immunisant antitumoral par emprunt antigénique. La création d'un service de Parasitologie, Mycologie et Immunologie Parasitaire à l'Unité d'Enseignement et de Recherche des Techniques Médicales de NANTES nous a permis non seulement d'aborder les problèmes du diagnostic biologique des mycoses humaines, mais aussi d'entreprendre des enquêtes épidémiologiques dans la région nantaise ainsi que des expériences sur les affinités fongiques.
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16.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

17.
The responses of gravid female cabbage root flies, Delia radicum (L.), to brassica odour and allylisothiocyanate (ANCS) presented in either a discrete plume or uniformly dispersed in air passing through a wind tunnel were investigated. Relatively fast, straight flights occurred in diffuse odour conditions, while in discrete plumes flights were slower with more frequent changes of direction.Flies maintained a constant ground speed and track angle over the straight legs of their flight tracks in two different wind speeds by changing air speed and course. As flies approached an odour source in a discrete plume ground speed was progressively decreased and frequency of turning increased but track angles remained constant. This was achieved by reducing air speed and course angle.Flies released at increasing distances from an odour source moved upwind towards it in a series of short flights, the number relating to distance.The results are discussed in the light of current theories of anemotactic odour source locations and a sequence of orientated behaviour for host plant finding is proposed.
Les réactions olfactives de Delia radicum à l'allylisothiocyanate volatil émis par les plantes-hôtes
Résumé L'étude a porté sur les réactions de femelles fécondées de Delia radicum L. à l'odour de chou et à l'allylisothiocyanate (ANCS) offerts, soit sous forme d'un fin panache, soit uniformément répartis dans l'air traversant un tunnel à vent.Avec une odeur diffuse les vols étaient relativement rapides et rectilignes, tandis qu'avec un fin panache les vols étaient plus lents avec des changements de direction plus fréquents.En présence de deux vitesses du courant d'air les mouches ont maintenu leur vitesse au sol et leur angle de vol par rapport à la direction du déplacement constants en modifiant leur vitesse de vol et leur direction.Quand les mouches approchaient de la source odorante dans un fin panache, la vitesse au sol diminuait progressivement et la fréquence des virages augmentait, les angles de vol restant constant. Ceci était obtenu en réduisant de la vitesse de l'air et l'angle du déplacement.Les mouches paraissent utiliser une anémotaxie optomotrice et mécanique pendant la localisation de l'hôte. Les résultats sont discutés à la lumière des théories classiques sur la localisation anémotactique des sources odorantes.
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18.
A major constraint for expanding biotechnology in developing countries is the tack of appropriate microbial strains and microbial genetic resources. The recently established Microbial Strain Data Network (MSDN) offers the opportunity of, at least partially, llfting these constraints, since even a small institutional culture collection with limited to moderate facilities can act as an active two-way node in the network. We describe the establlshment of a nucleus for culture collection in the biotechnology laboratory, selecting methodologies as compatible as possible with those of the Cairo MIRCEN, and in assembling a database on the collected strains using a format that lends itself to participation in the MSDN.
Résumé Une des limitations majeures à l'expansion de la biotechnologie dans les pays en développement est l'absence de souches microblennes appropriées et de ressources génétiques microbiennes. Le réseau de données de souches microbiennes (MSDN), récemment constitué, offre cette possibillité ou, tout au moins, lève en partie cette limitation, car même une petite collection de cultures institutionnelle avec des facilités limitées à modérées peut prendre une part interactive binodlale dans ce réseau. Nous décrivons la mise sur pied d'un noyau pour la collection de cultures dans le laboratoire de biotechnologie, sélectif de méthodologies aussi compatibies que possible avec celle du MIRCEN du Caire, et assembiant une banque de données sur les souches réunies en utilisant un formulaire qui se prête à la participation au MSDN.
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19.
Bioassay procedures for the insect growth regulators diflubenzuron (a chitin synthetase inhibitor) and methoprene (a juvenile hormone mimic) were evaluated on the mosquito Culex quinquefasciatus Say to determine the most sensitive larval stages and the effects of varying exposure periods. Sensitivity to diflubenzuron decreased gradually during instars I and II; instars III and IV were relatively insusceptible. Sensitivity to methoprene increased with larval age. Standard test procedures were devised for diflubenzuron involving continuous exposure from the early third instar and for methoprene as 6 h exposure during instar IV. Selection for ten generations of strains from Dar-es-Salaam which were multiresistant to insecticides increased the LC50 to diflubenzuron by 2.8-fold and increased the LC50 to methoprene by 3.9-fold. When compared to a standard susceptible strain from Colombo the resistance ratios of Dar-es-Salaam strains rose from 2.4 x to 6.6 x for diflubenzuron and from 6.1 x to 21.3 x for methoprene, with no significant effects detected on the pattern of cross-resistance. These results are discussed in relation to standardization of IGR testing and the need for integrated control programmes against Cx quinquefasciatus.
Résistance potentielle de Culex quinquefasciatus Say au méthoprène et au diflubenzuron, régulateurs de croissance des insectes
Résumé La détermination du stade larvaire le plus sensible et les effects de différentes durées d'exposition aux régulateurs de croissance des insectes-diflubenzuron (inhibiteur de la chitine synthétase) et méthoprène (mimétique de l'hormone juvénile)—ont été recherchés sur C. quinquefasciatus. La sensibilité au diflubenzuron diminue graduellement pendant les deux premiers stades, les stades III et IV étant relativement insensibles. La sensibilité au méthoprène augmente avec l'âge des larves. Les essais comportaient une exposition continue au diflubenzuron depuis le début du stade III et une exposition de 6 heures au méthoprène pendant le stade IV. La sélection pendant 10 générations de lignées de Dares-Salam multirésistantes aux insecticides a entraîné une augmentation due 2,8 fois de la DL 50 au diflubenzuron et de 3,9 fois au méthoprène. Comparés aux souches standards sensibles de Colombo, les taux de résistance des lignées de Dar-es-Salam se sont élevés de 2,4 à 6,6 pour le diflubenzuron et de 6,1 à 21,3 pour le méthoprène, sans effet visible significatif sur la résistance croisée. Ces résultats sont discutés en relation avec la standardisation du test IGR et les besoins de programmes de lutte intégrée contre C. quinquefasciatus.
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20.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

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