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1.
Summary Observations on the yellow antsLasius flavus De Geer were carried on by the author in Western Siberia, Tuva, Khakassia, the Altai and the Tien Shan Mountains.The yellow ants, as most of the ant species, lead two modes of social life: they may have either single, not connected with each other nests, or friendly, closely built nests, which form large colonies. The colonies ofL. flavus often occupy large territories, where they built hundreds and even thousands of nests. These colonies frequently become habitats of numerous species of other ants. They built their nests on the mounds ofL. flavus and penetrating into the channels, gradually destroy the hosts. The colonies ofL. flavus are ouster not by single nests, but mainly by mutually related colonies of other ant species. Occupying a nest of the hosts of this territory, they come into contact with each other and become hostile. Thus colonies ofL. flavus become the theatre of struggle between nest colonies of other ant species; this fact has been observed as a widely spread natural phenomenon.
Résumé L'auteur rapporte ses observations concernant leLasius jaune —Lasius flavus De Geer —, effectuées dans l'ouest de la Sibérie, à Touva, en Abkhasie, dans les contrées de l'Altaï et dans les montagnes du Tian-Chan.LeLasius jaune, comme la plupart des fourmis, a la propriété de posséder un habitat en commun sous deux formes: des fourmilières isolées n'ayant aucun rapport entre elles et des fourmilières vivant en bonne entente dans un voisinage proche au sein d'importantes colonies. Les colonies duLasius recouvrent la plupart du temps d'immenses étendues occupées par des centaines et même des milliers de fourmilières.Ces colonies sont souvent envahies par des fourmis d'un grand nombre d'autres espèces. Ces dernières établissent leur habitat sur celui desLasius jaunes et, s'introduisant par les passages de leur construction, en extermine peu à peu les habitants. Le délogement des colonies deLasius jaunes n'est pas le fait des fourmilières isolées; il est essentiellement dû à l'envahissement par d'autres fourmilières d'espèces apparentées. Ces dernières, occupant progressivement le territoire conquis, se trouvent bientôt en contact qui dégénère en antagonisme agressif. Ainsi, les colonies deLasius jaune se trouvent être le théâtre de la lutte entre fourmilières de diverses espèces; ce phénomène est l'expression d'une loi générale.
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2.
Zusammenfassung VonFormica (Serviformica) rufibarbis, F. (S.) cunicularia undF. (Raptiformica) sanguinea werden die sonst an Ameisen angepassten Lycaenidenraupen nur in unmittelbarer Nähe des Nesteinganges eines Ameisennestes angegriffen. BeiF. (F.) rufa ist diese Agressivität nicht raum-, sondern vermutlich stimmungsabhängig. Bei verglichenen anderenFormica-Arten trat sie nicht auf.
Summary Lycaenid caterpillars which usually are adapted to the aggressive behavior of ants are, despite of their adaptations, attacked byFormica (Serviformica) rufibarbis, F. (S.) cunicularia, F. (Raptiformica) sanguinea, andF. (F.) rufa. In the three first-mentionned species this agression happens only in the immediate neighborhood of the entrance to an ant-hill. On the contrary the aggressivity ofF. rufa seems to depend upon the actual mood of the ants but not upon the distance to an entrance. In other species of the genusFormica compared in experiments with Lycaenid larvae no aggressive behavior was observed.

Résumé Formica (Serviformica) rufibarbis, F. (S.) cunicularia etF. (Raptiformica) sanguinea n'attaquent les chenilles de Lycénides normalement adaptées aux fourmis qu'à proximité immédiate d'une entrée de la fourmilière. ChezFormica (F.) rufa, cette agressivité ne dépend pas du lieu, mais probablement de l'humeur. Chez les autres fourmis étudiées à titre comparatif, on n'a pas constaté d'agressivité envers les chenilles de Lycénides.
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3.
Summary The structure of a foraging area in Formica s. str. is maintained by specific foraging roads and by experienced ants familiar with the foraging area, namely foragers and observer ants which used to be foragers. After all the foragers have been removed, observer ants of a F. rufa nest experimental column resume foraging, rapidly restoring the initial structure of the foraging area. For a nest population to lose completely information of the foraging area of a column, not only foragers but also observer ants must be removed and direct access from the nest to experimental road blocked.
Les fourmis observatrices: des stockeuses d'informations sur l'aire d'affouragement chez Formica rufa L.
Resume La structure de l'aire d'affouragement chezFormica rufa est maintenue grâce à des pistes d'affouragement spécifiques et des Fourmis expérimentées qui sont familiarisées avec l'aire d'affouragement: des fourrageuses et des observatrices qui sont habituellement des fourrageuses. Lorsque toutes les fourrageuses sont enlevées, les observatrices d'un nid expérimental deFormica rufa reprennent l'affouragement et rétablissent rapidement la structure initiale de l'aire d'affouragement. Pour que la population d'un nid perde toute information sur l'aire d'affouragement d'une colonne, il faut que non seulement les fourrageuses mais aussi les observatrices soient enlevées et que l'accès du nid à la piste soit empêché.
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4.
Résumé Etude de la perméabilité du tégument de 12 fourmis du Sahara comparées à 5 fourmis de France. Toutes transpirent dès que l'atmosphère n'est pas saturée d'humidité, mais les fourmis du Sahara perdent beaucoup moins d'eau que les espèces d'Europe placées dans les mêmes conditions.Etude du comportement vis-à-vis de la température. Il y a peu de différences entre les espèces d'un même genre, mais de provenances différentes. Les températures léthales supérieures des fourmis les plus résistantes sont beaucoup plus basses que les températures qui règnent au sol au printemps et en été.
Summary A study of the integument permeability of 12 ants from the Sahara, compared with 5 ants from France. All of them transpire as soon as the atmosphere is no longer saturated with moisture, but the saharian ants loose much less water than the european species subjected to the same conditions.A study of the reactions to heat. There is little difference between species of a same genus, but of varied origins. The upper lethal temperatures of the most resisting ants are much lower than the temperatures that are reached on ground level in spring and summer.
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5.
The length of the time young gypsy moth, Lymantria dispar L. (Lepidoptera: Lymantriidae), larvae remain in litter after failing from trees would help in understanding the impact of predation by ants, as ants appear to be important predators of gypsy moths only in litter. To obtain information on caterpillar litter residence times, visual activity of larvae was investigated in the laboratory by presenting them with vertical dark silhouettes of various widths in a 1 m wide cylindrical arena. Their limit of angular resolution was about 1°. This value helped to determine distances to trees caterpillars could be expected to orient toward from randomly-located points in a forest. These data were used with results on litter crawling speed of instars 1, 2, and 3 in a simulation model that generated litter residence times averaging serveral hours. By combining results with a previously-developed model of ant predation in forest litter, it was estimated that about half of unfed first instars falling into the litter would survive, whereas only about 10% of 2nd and 3rd instars would. The implications these results have for control of the gypsy moth are discussed.
Résumé La prédation par les fourmis du genre Formica spp. a une influence importante sur les premiers stades de L. dispar (Lepido., Lymantriidae) en Amérique du Nord. La durée du temps passé dans la litière par les jeunes chenilles après être tombées des arbres doit permettre de comprendre l'impact de la prédation par les fourmis. Pour connaître le temps de séjour des chenilles dans la litière, l'acuité visuelle des chenilles a été examinée au laboratoire en leur présentant des silhouettes noires verticales de différentes largeurs dans une arène circulaire de 1 m de diamètre. La limite de leur angle de résolution était d'environ 1°. Cette valeur a été utilisée pour déterminer les distances (jusqu'à 5 m) quelles que soient les orientations dans la forêt, d'arbres supposés susceptibles d'orienter les chenilles. Les arbres aux silhouettes acceptables étaient distribués uniformément entre 1 et 5 m.Les vitesses de déplacement dans la litière des stades 1, 2, et 3 ont été mesurées par observation directe dans la forêt (elles variaient de 0.9 à 1,54 cm/min). La distance des arbres et la vitesse de déplacement on servi à construire un modèle de simulation qui a donné un temps moyen de séjour de plusieurs heures. En combinant ces résultats avec un modèle précédemment publié de la prédation par les fourmis dans la litière de la forêt, qui utilisait le temps de contact des chenilles avec les fourmis et les taux de captures victorieuses pour estimer la mortalité, nous avons déterminé que la moitié environ des chenilles non alimentées de premier stade tombées dans la litière pourraient survivre, tandis que la survie pour le second et le troisième stade ne serait que de 10%. La discussion porte sur l'importance de ces résultats dans la lutte contre L. dispar.
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6.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

7.
This portable ant counter counts foraging leafcutting ants, or the leaf fragments they carry, along trails in tropical crops or forest. Ants intercept a light beam as they pass under a gantry between the light source and a photocell. The counter distinguishes between laden and unladen ants and works with an efficiency of 10–120% depending on the species of ant and the characteristics of the vegetation cut. The design could be modified to count other insects that habitually walk along well-defined tracks.
Résumé Cet appareil portatif est utilisé pour dénombrer les fourmis coupeuses de feuilles (Attinae) ou les fragments qu'elles transportent, le long de leurs trajets dans les cultures ou les forêts tropicales. Il utilise une batterie de 12 volts comme source de puissance. Les fourmis sont amenées à passer sous un portique placé sur leur trajet, interceptant alors un faisceau lumineux entre la source et une cellule photo-électrique. Le portique fait de structures mêtalliques creuses et comportant une rampe d'accès en cuivre peut enjamber une piste de fourmis de 20 cms de large; les détails de sa construction sont donnés Fig. 1 et 2.Le circuit électronique à l'intérieur de la boîte de contrôle (Fig. 3) est arrangé de telle sorte qu'aucun courant ne passe tant qu'aucune fourmi ne traverse le faisceau lumineux entre la source et la cellule photo-électrique; c'est seulement lorsqu'une fourmi intercepte ce faisceau lumineux que le relais et le compteur sont mis en circuit.Le compteur permet la distinction entre une fourmi chargée et une fourmi sans fardeau, d'après la hauteur à laquelle la rampe d'accès et de passage sous le portique est ajustée par rapport au faisceau de lumière. L'efficacité du comptage dépend de l'espèce de fourmi et des caractéristiques de la partie du végétal qui est coupée et transportée (Fig. 4).Les causes habituelles d'erreurs qui peuvent se présenter pour les observations à l'extérieur sont passées en revue et des indications sont fournies en vue de les éviter.Un compteur enregistreur sur papier capable de détecter et enregistrer les fourmis passant à un rythme allant jusqu'à 250/minute pendant des intervalles de 15 minutes à 24 heures est également décrit. Pour réduire la consommation de papier enregistreur, un dispositif réducteur est fixé en avant du compteur de façon que ce dernier n'enregistre que tous les 10, 100 ou 1000 passages. En utilisant un déroulement du papier à la vitesse de 2,5 cms par heure, le compteur travaille sans arrêt pendant 3 jours.Le dispositif peut être modifié par compter d'autres insectes qui se déplacent habituellement le long des trajets bien définis.


Seconded from Rothamsted Experimental Station on behalf of Overseas Development Administration, U.K.  相似文献   

8.
Conclusions et résumé Il est possible désormais d'obtenir une comptabilité assez précise non seulement de l'activité deFormica polyctena, mais encore de ses échanges alimentaires (apports de nourriture, rejet de débris inassimilables), de son activité de fouissement et enfin de la natalité et de la mortalité. En ce qui concerne plus précisément l'alimentation, j'ai donné le principe d'une méthode qui permettrait de mesurer séparément les apports glucidiques et protidiques (en comparant les enregistrements du poids des fourmis rentrant au nid au poids de celles qui sortent, et au poids des prises du capteur;Chauvin, 1966). Il serait donc possible, en précisant quelque peu la méthode, d'obtenir un coefficient d'utilisation alimentaire pour toute la fourmilière.
Summary The paper describes a simple new way to obtain a rough estimation of inassimilable parts of food rejected by ants at the nest periphery. If we put around the dome a serie of elongated wood boxes, the workers deposit their refuses into, together with the sand extracted from galleries, larval exuviae, vegetal debris and corpses of dead ants. Thus the apparatus would permit to estimate also natality and mortality, and digging activity.
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9.
Summary At Westbank, British Columbia, nests ofFormica subnitens Creighton were covered with detritus domes and were found only in unshaded areas. The foraging area of a colony averaged approximately 2.500 square feet and had one or more ant trails. Reproduction of sexuals commenced in April and the adults emerged about mid June. Sexual flights occurred between 8 and 10 a.m. Worker castes were produced from June to August. Worker ants foraged between soil surface temperatures of 51° and 125° F. from April to October. The ant lived largely on other insects and aphid secretions, the latter being taken in small quantities in the spring but making up over 50 per cent of the food by mid summer. F. subnitens apparently did not prey onChrysolina gemellata (Rossi), a chrysomelid imported in an attempt to control common St. John's-wort,Hypericum perforatum L.
Résumé En Colombie Britannique, à Westbank,Formica subnitens sont couverts de dômes de détritus et se trouvent seulement dans les zones sans ombre. La surface de récolte d'une colonie s'étend à peu prés sur 230 m et présente une ou plusieurs pistes de fourmis. La production des sexués commence en avril et les adultes quittent la fourmilière au milieu de juin. Les vols sexuels se produisent le matin, entre 8 et 10 heures. Les ouvrières sont produites de juin à août. Elles récoltent d'avril à octobre, lorsque la température au niveau du sol est comprise entre 10 et 50°C. Les fourmis vivent beaucoup aux dépens d'autres Insectes et des sécrétions d'Aphides; celles-ci sont prises en petite quantité au printemps; mais ces quantités augmentent ensuite jusqu'à constituer 50% de la nourriture au milieu de l'été. F. subnitens ne se nourrit apparemment pas deChrysolina gemellata, Chrysomélid importé pour détruireHypericum perforatum.


Contribution No.3481, Entomology Division, Science Service, Department of Agriculture, Ottawa, Canada.  相似文献   

10.
Résumé Le nid desMessor en général est formé d'un puits principal s'enfonçant très profondément dans le sol et duquel se détachent plusieurs chambres et galeries latérales. Celui deM. ebeninus présente deux parties: l'étage supérieur, sec en été, est transformé en grenier; l'étage inférieur arrive à la limite de la nappe phréatique: c'est l'abri de la reine et du couvain.Des expériences montrent que la reine et les ouvrières creusent les parties humides du sol. L'importance du travail effectué dépend du volume de la société. Plus le nombre des ouvrières actives est élevé, plus le réseau des galeries s'étend et se développe.La structure de la fourmilière, le volume des chambres et des greniers ainsi que leur emplacement par rapport au puits principal dépendent de la direction prise par l'eau qui s'infiltre ou s'accumule.Une sécheresse de cinq mois et la chaleur de l'été refoulent les fourmis vers les couches profondes du sol à la recherche d'un milieu humide et plus clèment.
Summary The nest ofMessor is generally formed of a main shaft dig down deep into the earth from which several chambers and lateral galleries branch out. the nest ofM. ebeninus cosists of two parts, the upper floor, dry in summer, is transformed into granary; the lower floor, whose lower limits reach the aquatic stratum, becomes the shelter for the queen and his brood.Experiments show that the queen and the workers dig the humid parts of the soil. The importance of this work is a function of the size of the colony. The higher the number of the workers the more developed the tunnels become.The structure of the ant nest, the volume of the chambers and granaries, their placement in relation to the main shaft is a function of the direction of the seeping and accumuled water.The five months period of aridity and hot summer forces ants to go into deeper strata of soil until they find a humid and more favourable conditions.
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11.
Schneider 《Insectes Sociaux》1966,13(4):297-304
Summary The distribution of food in outside workers ofFormica polyctena is determined by begging time and not by the sequence in which the ants are fed. Larger ants are given no preference in feeding. In thirsty condition ants take in, besides normal water, also the soil capillary water. It will be faster conducted to the middle gut than honey solution.
Résumé La distribution du fourrage des ouvrières extérieures deFormica polyctena se règle sur le temps de mendier et pas sur la suite dans laquelle les fourmis sont affouragées. Les fourmis plus grandes ne sont pas préférées pendant la distribution. Dans l'état de soif, les fourmis prennent, outre de l'eau normale, aussi de l'eau capillaire du sol. L'eau est conduite plus vite dans le boyau intermédiaire qu'une solution de miel.


Herrn Prof. Dr.K. Gösswald mit den besten Wünschen zum 60. Geburtstag.  相似文献   

12.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
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13.
Zusammenfassung Obwohl man allgemein den Ameisen weder medizinische noch veterinär-medizinische Bedeutung beimißt, so sind diese Insekten doch mit der Ubertragung von Krankheiten auf mechanishem Wege und als Faktoren in Entwicklungszyklen von Krankheitserregern beteutungsvoll. Darüber hinaus können Ameisen direkt Tiere und Menschen angreifen und Hautverletzungen verursachen. Die Reaktion auf Stiche kann bei Wiederholungen zunehmend ernsthaft werden nach dem Empfindlichkeitsgrade. Empfindlichkeit ist offenbar nicht artspezifisch wie im Falle der Moskitobisse, erstreckt sich aber weitgehend auf andere Hymenoptera, so daß Tiere, die für Ameisengift empfindlich sind, sehr ernsthafte und gelegentlich tödliche Auswirkungen durch Bienen- oder Wespenstiche erleiden.Das häufige Vorkommen der Formicidae und die Allgemeinheit ihrer Nahrungssuche verleitet zum Verdacht, sie als mögliche mechanische Verbreiter von Bakterien und Viren anzusehen. Tatsächlich sind jedoch die Beweise, die die Ameisen der Ausbreitung irgendwelcher Krankheiten beschuldigen, unzulänglich, obgleich man vermutet, daß diesem Problem unzureichende Aufmerksamkeit gewidmet wurde. Die Annahme, daß der Ameisensäuregehalt des Körpers eine mechanische Übertragung durch den Darm verhindert, hat nur dürftige theoretische Grundlagen, die kürzlich erfolgte Isolation von Antibiotica aus einer Reihe von Arten hat mehr Bedeutung. Die epidemiologische Bedeutung der Ameisen während bestimmter Blatternepidemien in Nord-Afrika wird beschrieben.Unzureichende Aufmerksamkeit wurde auf die Rolle der Ameisen als Teilnehmer an Zyklen von Eingeweidewurm-Parasiten gerichtet. Man weiß von Ameisen, daß sie als Zwischenwirte von Cestoden des Hausgeflügels und von Rebhühnern fungieren und neuere Arbeiten in den U. S. A. und Deutschland haben nachgewiesen, daß sich in ihnen die Metacercarien des PlattwurmsDicrocoelium dendriticum (Rudolphi) finden, ein wichtiger Parasit der bei Rindvieh und Schafen bestimmter Gebiete vorkommt.Zukünftige Forschungen sollten das Gebiet ausdehnen, welche Arten in den Entwicklungszyklus der Eingeweidewürmer-Parasiten eingreifen und sollten vielleicht einige Rätsel der Helminthologie lösen.Die hohe Populationsdichte der Ameisen, besonders in den Tropen, macht sie als Abfallbeseitiger nützlich und verhütet die Anhäufung von möglicherweise gefährlichen Kadavern. Außerdem halten sie die Vielzahl medizinisch wichtiger Insekten streng im Zaum z. B. durch Verzehren vonMusca-Larven,Glossina-Puppen und einigen Moskito-Eiern.
Résumé Bien qu'en général on n'accorde aux fourmis aucune importance médicinale, ni vétérino-médicinale, ces insectes sont cependant liés à la transmission de maladies par voie mécanique et ils interviennent dans les cycles de développement d'agents de maladie. Bien plus, les fourmis peuvent attaquer directement les animaux et les êtres humains et occasionner des lésions cutanées. La réaction aux piqûres, si celles-ci sont répétées, peut augmenter de façon sérieuse suivant le degré de sensibilité. Il semble que la sensibilité ne soit pas spéciale à l'espèce, comme c'est le cas pour les piqûres de moustiques; elle s'étend au contraire à d'autres hyménoptères, de sorte que les animaux sensibles au venin des fourmis peuvent être sérieusement et quelquefois mortellement atteints par des piqûres d'abeilles ou de guêpes.Étant donné la fréquence de l'apparition des Formicidés et la généralité de leur quête de nourriture, on est amené à les considérer comme propagateurs mécaniques éventuels de bactéries et de virus. En fait, les preuves qui permettent de rendre les fourmis responsables de la propagation d'une maladie quelconque sont cependant insuffisantes, bien que l'on puisse admettre que jusqu'alors trop peu d'attention a été consacrée à ce problème. L'hypothèse qui admet que le contenu d'acide formique du corps empêche une propagation mécanique par l'intestin n'a qu'un fondement théorique précaire; l'isolement récent d'antibiotiques d'une série d'espèces présente plus d'intérêt. On signale l'importance épidémiologique des fourmis lors d'une certaine épidémie de variole en Afrique du Nord.On n'accorda aussi qu'une attention insuffisante à la contribution des fourmis au cycle de vers intestinaux. On sait qu'elles constituent le milieu intermédiaire de développement du cestode de la volaille et des perdrix; des travaux récents aux U. S. A. et en Allemagne ont démontré que l'on peut trouver en elles les métacercaires du verDicrocoelium dentriticum (Rudolphi), grave parasite qui fait son apparition chez les bêtes à cornes et les moutons de certaines régions.Les recherches ultérieures chercheront à étendre leur champ d'action, à reconnaître quelles espèces interviennent dans le cycle de développement des vers intestinaux et réussiront peut-être à résoudre quelques-unes des énigmes de l'helminthologie.La forte densité des agglomérations formicoles, surtout sous les tropiques, les rend très utiles pour déblayer les déchets et évite l'accumulation de cadavres éventuellement dangereux. En outre, elles refrènent fortement l'augmentation de nombreux insectes importants du point de vue médicinal en se nourrissant, par exemple, de larvesMusca, de chrysalidesGlossina ou de certains ufs de moustiques.
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14.
Résumé LesFormica polyctena qui ont reçu un radio-isotope (or radio-actif) l'ingèrent rapidement et peuvent le transmettre aux fourmilières voisines deFormica rufa. La radio-activité se localise dans l'abdomen des Fourmis. Il est probable qu'il s'agit d'un échange par voie buccale. Les fourmilières présentent souvent,avant tout marquage, une certaine radio-activité très faible, et due sans doute d'après des recherches en cours, à la présence naturelle de potassium dont l'isotope 40 est naturellement radio-actif.
Summary When a radioisotope is given toF. polyctena field nests the ants become active after a few hours; the activity is localized in abdomen only; it can be transmitted torufa nests in the neighbourhood. An oral exchange from polyctena to rufa is considered as a probable hypothesis. Ants nests show in many occasions,before radio-active tracer is given to, a small degree of activity, still unexplained.

Zusammenfassung Die Ameisen (Formica polyctena) die man mit einem Radioisotop (Radio-Gold) gefüttert hat zeigen nach kurzer Zeit eine messbare Radioaktivität welche an Nachbar-Völker derFormica rufa Art übertragen wird. Die Radioaktivität liegt am Abdomen der Ameisen. Es handelt sich wahrscheinlich um einen Futteraustausch. Die Ameisenvölker zeigen oft, auch vor der Fütterung mit Radioisotopen, eine schwache natürliche Radioaktivität dessen Ursache noch ungeklärt bleibt.
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15.
Riassunto L'autore riassume le attuali conoscenze sulla monoginia dei formicidi e discute dell'opportunità di adottare questo termine in luogo di altri preesistenti nella letteratura. Vengono inoltre riferite alcune esperienze in base alle quali è lecito concludere che ilLeptothorax exilis Em. è specie monogina e che questa condizione, nel caso di fusione tra colonie giovani, è assicurata dall'intervento delle operaie. L'aggressività delle operaie nei confronti delle regine estranee non può essere spiegata solo in base alla diversità dell'odore caratteristico del formicaio ed è in stretta correlazione con la presenza della regina madre od anche solo del suo cadavere. Vengono inoltre schematizzati i diversi metodi con cui le formiche si assicurano la monoginia della colonia.
Summary The autor summarizes present knowledge about the monogyny of Formicidae and considers the appropriateness of this term in preference to those hitherto in use. The A. also reports some experiences that lead to the conclusion thatLeptothorax exilis Em. is a monogynic species, a condition which in case of the fusion of young colonies is assured by the intervention of the workers. The aggressive behaviour of the workers toward foreign queens cannot be explained solely by the diversity of the odor characteristic of each colony. It is also in direct relationship with the presence of the queen mother or even just her corpse. The A. outlines the various methods by which ants assure the monogyny of the colony.

Résumé L'auteur résume les connaissances actuelles sur la monogynie des fourmis et discute l'opportunité d'adopter ce terme au lieu des autres préexistants dans la littérature. Il rapporte en outre quelques expériences qui lui permettent de conclure queLeptothorax exilis Em. est une espèce monogyne et que cette condition, en cas de fusion entre jeunes colonies, est assurée par l'intervention des ouvrières. L'hostilité des ouvrières contre les reines étrangères ne peut pas être expliquée par la seule diversité de l'odeur caractéristique du nid et est strictement liée à la présence de la reine mère ou même seulement à celle de morceaux de son cadavre. On fournit enfin un schéma des différentes méthodes avec lesquelles les fourmis assurent la monogynie de la colonie.
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16.
Summary Notes on the predatory behavior of species ofCerapachys, Phyracaces, andSphinctomyrmex are given. All of the species thus far studied have proven to be myrmecophagous, feeding on the brood (and in some cases adults) of other species of ants. Raids are conducted by groups of workers and are usually of short duration. A foraging expedition ofPhyracaces cohici is described, during which the workers started out as a compact group but later dispersed into small groups and lone individuals deployed in a circular pattern around the home nest. On the basis of these observations there is suggested a hypothetical pattern of alternating foraging and raiding behavior, which is believed to result ultimately in an efficient exploitation by the ants of the surrounding territory. Notes on other phases of biology, including colony size and nest structure, are given.
Résumé On a présenté quelques observations sur les habitudes de pillage des espècesCerapachys, Phyracases etSphinctomyrmex. Toutes les espèces étudiées jusqu'à présent sont myrmécophages; elles dévorent le couvain — et dans certains cas les adultes — d'autres espèces de Fourmis. Les incursions sont effectuées par des groupes d'ouvrières, et sont généralement de courte durée. On décrit une expédition de fourrage dePhyracaces cohici, au cours de laquelle les ouvrières, parties en troupe, se dispersèrent par petits groupes et en individus isolés déployés en cercle autour de leur fourmilière. Ces observations suggèrent l'existence d'un cycle alternatif de fourrage et de razzias, ce qui permettrait aux Fourmis l'exploitation efficace des territoires avoisinants. On décrit, de plus, quelques autres aspects de la biologie de ces espèces, notamment les dimensions et le plan de leurs fourmilières.
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Résumé Cette étude traite des modalités d'exploitation, dans le domaine alimentaire, des ressources d'une biocoenose tropicale, la savane humide à palmiers rôniers, par les fourmis tant terricoles qu'arboricoles qui y vivent.Aprés avoir analysé la répartition des sites de nidification dans l'espace vertical (fig. 1 et tableau I), puis la stratification des aires de chasse (fig. 2), on décrit la répartition dans le temps de méthodes de prospection d'abord au niveau congénérique en prenant comme exemple le genreCamponotus (fig. 4), ensuite entre espèces appartenant à des genres différents (fig. 5). On s'attache enfin à souligner la diversité des régimes alimentaires rencontrés aussi bien chez lesCamponotus (tableau IV) qu'entre espèces hétérogénériques (tableau III).Il existe une remarquable diversité dans tous les domaines étudiés: stratification utilisée, horaires de chasse différenciés, régimes alimentaires variés.La diversité spécifique tend à limiter les phénomènes de compétition et favorise par suite une utilisation optimale des ressources de la biocoenose. La compétition reste cependant vive entre certains terricoles dont les densités sont élevées. Le degré extrême d'occupation du sol devient alors un facteur limitant. Chez les autres catégories de fourmis, les densités plus faibles et le découpage de l'espace limitent les rivalités. Sauf en savane, la compétition entre terricoles et arboricoles reste faible.La distribution des activités de chasse constitue à l'intérieur d'un même genre un phénomène remarquable. les pies d'activité ne coïncident pas. Ce phénomène semble avoir des causes évolutives.Il existe deux modes fondamentaux d'exploitation des ressources. Lorsqu'on ne constate pas de séparation des horaires d'activité ou des étendues de stratification, les espèces en présence sont des spécialistes. C'est le cas chez les endogés et quelques terricoles. Chez les autres terricoles et tous les arboricoles, les régimes alimentaires, bien que diversifiés, présentent des points communs. On assiste alors corrélativement à une séparation remarquable des activités de chasse dans l'espace et le temps.Les fourmis interviennent dans ces biocoenoses adultes et équilibrées en diversifiant au maximum les réseaux trophiques. Cette originalité nutritionnelle explique et justifie le grand nombre d'espèces en présence.
The nutrition of tropical ants: V. — Modes of exploitation of the resources of the community
Summary Since 1963, the ant population of a Guinean savanna has been studied at Lamto (5°30–6°02W) in the Ivory Coast. The present paper deals with the trophic activities of hypogean, terrestrial and arboreal ants and their diversified modes of exploitation of the energy and space resources of the community.The analysis deals first with the distribution of the site of nidification in a vertical space (fig. 1 and table I), the stratification of hunting areas (fig. 2), then the daily distribution of the period of hunting activities (fig. 4 and 5). It compares the variation in diet of several species belonging to different genera (table III) with variation among some congeneric species, takingCamponotus as an example (table IV). The large specific diversity revealed is interpreted to permit a more nearly maximum utilization of the nutritional capacities of the community.Ants use fundamentally two different and complementary ways to coexist in the ecosystem whilst exploiting the local resources. Soil dwelling Ponerinae hunt simultaneously in relatively narrow zones of vertical space (0 to 1 meter below soil surface) and exhibit very specialized diets (chilopods forAmblyopone, etc.). This, together with the low densities encountered, lessens competition and facilitates coexistence. A similar process appears to operate in terrestrial species as the members ofLeptogenys andMegaponera, which behave like raiders. In general, a specialized diet seems correlated with a narrow vertical stratification.Many phylogenetically advanced species, particularly those belonging to the subfamilies Formicinae, Pseudomyrmecinae and Myrmicinae, feed on the surface of the soil and in the trees. The analysis of their mode of collecting was conducted both at the congeneric level and between species belonging to different genera. These species utilize a broad alimentary diet, often at the expense of interspecific overlap of the same categories of prey. Their mode of specialization in hunting is based on the collecting of resources on a restricted surface or volume. Generally competition is avoided by a differentiation in the site of gathering in horizontal or vertical space and a diversification of the time of hunting during the 24-hour cycle. As a result of speciation, the differences in trophic behavior between congeneric species seems to be more important than between species belonging to different genera. For example,C. acvapimensis obains food by collecting sugar from Aleyrodidae living on grasses. At the same time,C. maculatus collects sugar from Coccidae fixed on roots.Competition in horizontal space remains active between terrestrial ants of the savanna. This is correlated with the high degree of soil occupation by terrestrial colonies (1,000 adult colonies/ha). These ants fight to conquer and keep under control areas of hunting. The territories are moved about with time. In gallery forest, densities are far lower, which appears to reduce aggressive interactions between arboreal species and between faunas living in different strate of the soil and trees.Peaks of diel activity of congeneric species ar separated in time and never coincide. A lesser degree of temporal separation occurs among heterogeneric species.On the whole, the ecological niches of the savanna ant species, whether phylogenetically primitive or advanced, are complementary, and their feeding behavior appears to contribute to the stability of the species-rich community to which they are adapted.
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Summary Observations on the ecology of four ant species in the Solomon Islands are described. The ants are the native speciesOecophylla smaragdina, andIridomyrmex cordatus, andAnoplolepis longipes andPheidole megacephala which are introduced. Brief accounts are given of each species' colony structure, nest sites, habitats and enemies. All species have a wide food range but the main sources are honeydew obtained from Homoptera and prey. Honeydew is most important as a component of the diet of the native ant species which show close relationships with endemic and native Homoptera. The two introduced ants depend to a greater extent on predation and this situation is contrasted with that in their source region, Africa. The topics covered in an investigation of the four species' water and temperature relations were resistance to desiccation, the relation between temperature and speed of movement of foraging workers and temperature and humidity preferences.Oecophylla smaragdina is tolerant of variation in both factors,P. megacephala is best suited to a relatively low temperature range andA. longipes to a high one, although susceptible to desiccation. These differences are realised in the species daily foraging times;O. smaragdina is diurnal,P. megacephala andI. cordatus are nocturnal andA. longipes is crepuscular with activity usually limited in the day by low humidity and at night by low temperature. It is concluded that the native species are best adapted to Solomon Islands conditions in terms of food supply and the physical, climatic environment.
Résumé On décrit des observations sur l'écologie de quatre espéces de fourmis aux îles Salomon. Il s'agit des fourmis des espèces indigènes d'Oecophylla smaragdina etIridomyrmex cordatus, et des espèces introduites d'Anoplolepis longipes etPheidole megacephala. L'auteur donne de brefs exposés sur la structure de colonie, sur le terrain de nid, sur l'habitat et sur les ennemis de chaque espèce. Toutes les espèces disposent d'une vaste étendue de nourriture, mais les sources principales en sont les miellats, retirés des Homoptera, et la proie. Le miellat est très important comme partie constituante de la nourriture des espèces de fourmis indigènes, qui montrent des rapports très proches avec les Homoptera endémiques et indigènes. Les deux espèces de fourmis introduites dépendent plutôt de la prédation, tandis qu'en Afrique, leur région d'origine, c'est le contraire. Dans un examen des quatre espèces, on a traité des sujets suivants: la résistance au dessèchement, la relation entre la température et la vitesse de mouvement des butineuses, et les préférences de température et d'humidité.Oecophylla smaragdina supporte bien la variation des deux facteurs,P. megacephala est adaptée le mieux aux températures relativement basses, tandis queA. longipes s'adapte le mieux à une température élevée, bien qu'elle soit prédisposée au dessèchement. C'est en observant les heures de la journée où les espèces butinent qu'on se rend compte de ces différence:O. smaragdina est diurne,P. megacephala etI. cordatus sont nocturnes.A. longipes est crépusculaire, et habituellement limite son activité diurne pendant les périodes de basse humidité, et son activité nocturne pendant les périodes de basse température. L'auteur a conclu que les espèces indigènes s'adaptent mieux aux conditions des îles Salomon en ce qui concerne la distribution de nourriture et l'entourage physique et climatique.
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Summary Populations of ants were studied in a mixed oak-hickory woods in St. Charles County, Missouri. Forty plots of soil, each measuring a yard square, were dug during the fall, winter, and spring, and records were kept of the species of ants, number of colonies, types of nests and hibernating conditions.Sixteen species of ants, making up 204 colonies, were found in the plots. The common species wereAphaenogaster rudis (62 colonies),Ponera eorctata pennsylvanica (40 colonies), andAmblypone pallipes (39 colonies). Rare, underground species found by this method includedSysphincta pergandei, Proceratium silaceum, and a new species ofStenamma (S. meridionale).
Zusammenfassung Bevölkerungen der Ameisen eines Mischwaldes von Eichen und nordamerikanischer Wallnuszbäumen in St. Charles County, Missouri wurden untersucht. Vierzig Grundstücke, je ein Meter quadrat wurden während des Herbstes, des Winters, und des Frühlings ausgegraben, und schriftliche Berichte über die Spezies des Ameisen, Zahl der Kolonien, Grundform der Neste, und Zustände für Winterschlaf aufgezeichnet.Es gab in diesen Grundstücken sechzehn Spezies in 204 Kolonien der Ameisen. Die gewöhnlichen Spezies warenAphaenogaster rudis (62 Kolonien),Ponera coarctata pennsylvanica (40 Kolonien), undAmblypone pallipes (39 Kolonien). Seltene Untergrundspezies durch diese Methode gefunden schlieszenSysphincta pergandei, Proceratium silaceum, und eine Spezies derStenamma (S. meridionale) ein.

Résumé L'auteur étudie de nombreuses populations de fourmis, habitant un bois composé de chênes et de hickorys dans le comté de St. Charles, État du Missouri. Au cours de l'automne, de l'hiver et du printemps, on pratiqua des fouilles dans quarante parcelles de terre, d'un mètre carré chacune, en notant les observations suivantes: espèces de fourmis, nombre de colonies, genres de nids et conditions d'hibernation.Parmi les 204 colonies découvertes dans les parcelles, on trouva seize espèces de fourmis. Les espèces communes étaient:Aphaenogaster rudis (62 colonies),Ponera coarctata pennsylvanica (40 colonies) etAmblypone pallipes (39 colonies). Parmi les espèces rares et souterraines trouvées par ce procédé, il y avaitSysphincta pergandei, Proceratium silaceum et une nouvelle espèce deStenamma (S. meridionale).
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Résumé L'étude du microclimat existant dans le nid deCamponotus acvapimensis montre que les facteurs mesurés varient très peu au cours de l'année: la température moyenne est de 26±1° C. La variation annuelle de la température moyenne est de l'ordre du degré (Tm de 27° en saison sèche contre 26° en saison des pluies). L'atmosphère des cavités est continuellement saturée en vapeur d'eau (100% d'humidité relative à 27° C). Afin de maintenir ces conditions constantes les fourmis enterrent moins profondément leur nid en saison des pluies qu'en saison sèche. En période d'inondation, elles vont jusqu'à grimper avec leur couvain dans les herbes pour échapper à la noyade.Les conditions existant au niveau du sol de la savane non brûlée sont comparables à celles qui existent sur le sol des forêts galeries. De ce fait, la limite entre les milieux où les facteurs microclimatiques restent stables et ceux où ils varient fortement est située à la frontière qui sépare la savane brûlée de l'ensemble savane non brûlée-forêt galerie.
Summary A study of the microclimatic factors existing in the nests chambers of the terricolous savannah ant of Ivory coast,Camponotus acvapimensis, indicates there is no variations of the involved factors: at 30 cm below the soil level, daily fluctuations of temperature is ±1° C around the mean temperature (26° C). At the same depth, the annual variation of the mean temperature is about 1° C (26° C in rainy season and 27° C in dry season). The atmosphere of the nests is always saturated in humidity (R.H.=100% at 27° C, no daily or annual fluctuations). In rainy season, ants living in area covered with water climb with their larvae in the grasses.At the soil level, microclimatic conditions are similar in gallery forest and in unburned savannah. The main fluctuations of temperature and humidity are registered in the savannah burned every year. So, the limit between the stable biotope and those where the microclimatic factors fluctuate does not take place between the savannah and the forest. This limit is situated to the border between the savannah burned every year and the complex unburned savannah-gallery forest.
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