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1.
Egglaying responses of Pieris rapae L. butterflies to the oviposition deterring pheromone (ODP) of Pieris brassicae L. were studied in the laboratory. Choice experiments with ODP treated leaves and control leaves revealed that females perform a strong preference to lay their eggs on the control leaves. This preference is maintained even when during the experiment the control leaf becomes covered with a large number of conspecific eggs. Choice experiments with cabbage leaves with and without P. rapae eggs seem to indicate the absence of intraspecific egg load assessment of host plants in P. rapae. The deterrent effect of the ODP of P. brassicae to P. rapae females persists for at least 8 days. Behavioural observations suggest olfactory hairs as well as gustatory hairs to be involved in the perception of the ODP but electrophysiological recordings of the various chemoreceptors are necessary to confirm this. Finally the prospects of application of this pheromone/kairomone in cabbage pest control are discussed.
Appréciation de la charge interspécifique en oeufs sur la plante hôte par Pieris rapae
Résumé La réponse au laboratoire de P. rapae à la phéromone dissuadant la ponte (ODP) de P. brassicae a été étudiée par l'oviposition. Des expériences de choix entre des feuilles traitées à l'ODP et des témoins ont montré que les femelles préfèrent nettement les feuilles témoins. Cette préférence s'est maintenue même quand les feuilles témoins ont été recouvertes d'un grand nombre d'oeufs de P. rapae. Ceci peut indiquer l'absence chez P. rapae d'une évaluation de la charge de ses propres oeufs. L'effet dissuadant du ODP de P. brassicae sur les femelles de P. rapae persiste au moins 8 jours. Les observations comportementales suggèrent que des poils olfactifs aussi bien que des poils gustatifs sont impliqués dans la perception d'ODP mais une confirmation de cette hypothèse par enregistrements électrophysiologiques est nécessaire. Les perspectives d'utilisation de cette phéromone/kairomone dans la lutte contre les insectes du chou sont examinées.
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2.
A laboratory study was conducted in order to determine the influence of the oviposition deterring pheromone (ODP) upon the distribution of eggbatches and eggs by Pieris brassicae females. This pheromone is known to be associated with eggs. Butterflies were offered a choice between cabbage leaves treated in various ways with the ODP and control leaves. The presence of intact conspecific eggs on the treated leaf appeared to have a moderate deterrent effect upon oviposition. An aqueous solution of the ODP, obtained by washing eggs in distilled water was found to have a somewhat higher deterrent effect. Most effective in deterrence of oviposition, however, appeared to be a washing of P. brassicae eggs in methanol. Such a methanol solution can be stored at low temperatures for at least three years without loosing activity. Application of eggwash to either the upper or lower surface of the leaf does not make any difference to females. Percentage deterrence was found to increase with the concentration of eggwash. At very low concentrations no significant difference could be observed anymore in the numbers of eggbatches and eggs laid on control and treated leaf. On the other hand, even very high concentrations of methanol eggwash do not fully protect cabbage leaves against oviposition. Washing P. brassicae eggs seven times consecutively in methanol, a series of pheromone solutions is obtained, all of them were found to possess a high deterrent activity. Although percentage deterrence slowly decreases in subsequent washings, the seventh eggwash sprayed onto cabbage leaves still resulted in less than one quarter of the total number of eggbatches and eggs being laid on the treated leaf.
Résumé Des expériences de laboratoire ont été réalisées pour déterminer d'influence d'une phéromone dissuasive de la ponte (ODP) sur la distribution des ooplaques et des oeufs de Pieris brassicae. Cette phéromone est connue comme associée aux oeufs. Les papillons ont eu le choix entre des feuilles de chou traitées de différentes façons avec ODP et des feuilles témoins. La présence d'oeufs intacts de la même espèce sur les feuilles a un effet dissuasif modéré sur la ponte. Une solution aqueuse d'ODP, obtenue par lavage des oeufs à l'eau distillée est quelque peu dissuasive. Le lavage des oeufs de P. brassicae au méthanol est apparu comme le plus dissuasif. Une telle solution au méthanol peut être stockée à basse température au moins 3 ans sans perte de son pouvoir. Les applications de l'eau de rinçage sur les faces supérieures ou inférieures des feuilles induisent le même comportement des femelles. L'effet dissuasif augmente avec la concentration de l'eau de rinçage; aux très faibles concentrations, aucune différence significative n'a pu être observée avec les témoins quant au nombre d'ooplaques et d'oeufs. Par ailleurs, même aux très hautes concentrations du méthanol, l'eau de rinçage n'inhibe pas totalement la ponte sur les feuilles de chou. En lavant 7 fois consécutives les oeufs de P. brassicae dans le méthanol, on obtient une série de solutions de phéromones, dont chacune possède un fort pouvoir dissuasif. Bien que l'effet dissuasif diminue lentement avec des rinçages successifs, la pulvérisation du septième rinçage sur les feuilles de chou réduit encore à moins du quart le nombre total d'ooplaques et des oeufs pondus sur la feuille traitée.
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3.
Laboratory experiments and observations on the oviposition behaviour of the almond seed wasp Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) revealed that the females of this species deposit a host-marking pheromone, immediately after an oviposition, by dragging the tip of their abdomen on the fruit surface. This pheromone enables them to discriminate between the infested and uninfested fruit and to select for oviposition the latter. Its primary function is apparently the prevention of repeated ovipositions in already infested fruit, thus contributing to the optimal utilisation of the available resources for larval development. The responses of individual females to different treatments of almonds, in a series of two-choice tests, revealed that the pheromone can be perceived by the females on direct contact and, when at high concentrations, also olfactorily from a short distance. The pheromone was present inside the abdomen and thorax of females but not of males, and, although water soluble, could not be entirely removed from heavily infested almonds when rinsed with water. Direct observations revealed that after an average of 3.7 successive visits to pheromone-bearing almonds, females were induced to walk or, most often, fly away from the experimental set-up. This suggests that the pheromone may also contribute to the dispersion of the wasps.
Résumé Des expériences de laboratoire et des observations concernant le comportement de ponte de Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) ont montré que, immédiatement après la ponte, les femelles déposent une phéromone de marquage de l'hôte en trainant le bout de leur abdomen sur la surface de l'amande. Cette phéromone les rends capable de distinguer les fruits infectés des non-infectés dt de sélectionner pour la ponte les derniers. Apparemment, la fonction principale de cette phéromone est la prévention de la répétition des ovipositions dans les fruits déjà infectés et la répartition uniforme des oeufs dans les amandes, contribuant ainsi à la meilleure utilisation des ressources disponsibles pour le développement des larves. Des expériences de deux choix entre des fruits de différents traitements ont montré que la phéromone pouvait être perçue par les femelles par le direct contact et, quand elle était à hautes concentrations, par olfaction d'une courte distance. La phéromone était présente dans l'abdomen et dans le thorax des femelles, et bien qu'elle soit soluble à l'eau, elle ne pouvait pas s'éloigner entièrement par lavage des amandes sérieusement infectées à l'eau. Les observations ont démontré qu'après un numéro de 3.7 visites successives sur des amandes portant de la phéromone les femelles s'éloignaient du lieu de ponte en marchant ou, le plus souvant, en s'envolant, ce qui suggère que la phéromone contribue à la dispersion des femelles.
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4.
Enhancement of an insect pheromone response by green leaf volatiles is reported for the first time in the boll weevil, Anthonomus grandis Boh. (Coleoptera: Curculionidae). Single cell recordings from antennal olfactory receptors revealed a class of cells selectively responsive to six carbon alcohols and aldehydes (i.e., green leaf volatiles). Field tests with released weevils demonstrated enhanced trap captures with trans-2-hexen-l-ol, cis-3-hexen-l-ol, or l-hexanol paired with grandlure, the boll weevil aggregation pheromone, when in competition with grandlure alone. Although dose-response curves constructed from electroantennograms were indicative of similar populations of receptor cells for selected six carbon alcohols, one of the compounds tested, cis-2-hexen-l-ol, was inactive in field tests. Trans-2-hexenal was active in single cell recordings, but was also inactive in field tests. In tests in cotton fields with indigenous weevil populations, trans-2-hexen-l-ol not only enhanced pheromone trap captures, but also extended the longevity of attractiveness of pheromone-baited traps. The combined electrophysiological and field data support across-fiber coding of green leaf volatiles by boll weevil olfactory receptors. The results are discussed with regard to the chemistry of the host plant of the boll weevil, cotton (Gossypium hirsutum L.), and potential economic significance for boll weevil eradication/suppression.
Résumé Pour la première fois, l'augmentation de la puissance de la phéromone d'agrégation sous l'action de l'odeur verte est signalée chez A. grandis. Les enregistrements unitaires de cellules des récepteurs olfactifs des antennes a mis en évidence une catégorie de cellules réagissant sélectivement aux alcools et aux aldéhydes à 6 carbones (c'est-à-dire aux substances volatiles des feuilles vertes). Des essais dans la nature ont montré une augmentation des captures par les pièges de grandlure (phéromone d'agrégation du charançon) renforcés par du trans-2-hexen-l-ol, du cis-3-hexen-l-ol, ou du l-hexanol.Bien que les courbes des réponses en fonction des doses construites à partir des électroantennogrammes indiquent des catégories de cellules réceptrices identiques pour les alcools à 6 carbones examinés, l'une de ces substances, cis-2-hexen-l-ol, s'est révélée inactive dans la nature. Le trans-2-hexenal qui était actif avec des enregistrements unitaires de cellules, était lui aussi inactif dans la nature. Dans des essais dans des champs de coton avec des populations indigènes de charançons, le trans-2-hexen-l-ol a, non seulement augmenté l'efficacité des pièges à phéromone, mais a prolongé leur attractivité. Les résultats d'électrophysiologie combinés aux données de la nature appuient le modelage transversal des substances vertes volatiles des feuilles par les récepteurs olfactifs du charançon. Ces résultats sont interprétés en relation avec la chimie de la plante-hôte de A. grandis, le coton, Gossypium hirsutum L., et leur possibilité d'utilisation économique pour l'éradication du charançon.
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5.
When given a choice of cotton (host) and ground cherry (non host) in a close range situation, Heliothis virescens (F.), the tobacco budworm, depends primarily on contact chemoreception and mechanoreception, and not olfaction or vision, to discriminate between these two plant species for oviposition. Further, in the presence of a certain level of hairiness (the non-host plant, ground cherry, has short capitate hairs), the females are capable of discriminating between these two plants based on contact chemosensory cues, if at least one pair of tarsi is intact. The contact chemosensilla on the ovipositor do not seem to be important for this purpose. These results are discussed in relation to the sensory cues and receptors for oviposition in other Lepidoptera, especially moths.
Signaux et récepteurs sensoriels intervenant dans la ponte d'Heliothins virescens
Résumé Les différentes récepteurs sensoriels (chimique, mécanique et visuel) des femelles d'H. virescens ont été rendus inactifs par traitement à l'acide, antennotectomie ou peinture des yeux avec un enduit noir du type vernis à ongles, pour étudier le déterminisme sensoriel de la sélection des hôtes lors de la ponte; les papillons avainet le choix entre le coton (Gossypium hirsutum), sur lequel ils pondent normalement, et Physalis angulata sur lequel on n'observe pas de pontes dans la nature. Au laboratoire, à faible distance, le choix de H. virescens dépendait en premier lieu des mécanorécepteurs et des récepteurs chimiques dits de contact (gustatifs), et non de la vision ou de l'olfaction. En présence d'un certain niveau de pilosité (P. angulata possède de courts poils capités), les femelles choisissent les plantes en fonction de la perception chimique dite de contact (gustation) tant qu'une paire de tarses reste intacte. Les sensilles chimiques de l'ovitube ne semblent pas jouer un rôle important à cet égard. La discussion a examiné ces résultats à la lumière des processus sensoriels utilisés par d'autres papillons.
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6.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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7.
The responses of some Lepidoptera to labiate herb and white clover extracts   总被引:2,自引:0,他引:2  
Herbs have been traditionally used as intercrops with crop plants on the assumption that their odour repels pest species. Alcohol extracts and essential oils of labiate herbs were tested in the laboratory for deterrent/repellent responses to ovipositing Plutella xylostella (L.) and feeding larvae of P. xylostella and Pieris brassicae L.Alcohol extracts of hyssop, rosemary, sage, thyme and white clover reduce oviposition by P. xylostella on pieces of brassica leaf in dual-choice tests. Essential oils of sage and thyme reduce oviposition on pieces of brassica leaf. Feeding, in dual-choice tests, by final instar P. xylostella and P. brassicae larvae is reduced by application of alcohol extracts of herbs.
Résumé Des plantes médicinales ont traditionnellement été utilisées en association avec des plantes cultivées dans l'espoir que leur odeur repousserait les insectes nuisibles. Des extraits à l'alcool et des essences volatiles de labiées médicinales ont été essayés au laboratoire pour examiner leur effets répulsif et dissuadant pour la ponte de Plutella xylostella et l'alimentation des chenilles de P. xylostella et Pieris brassicae. Les extraits alcooliques d'hysope, de romarin, de sauge, de thym et de trèfle blanc réduisent la ponte de P. xylostella sur des morceaux de feuilles de chou traitées. Les essences volatiles de sauge et de thym réduisent la ponte de P. xylostella sur des morceaux de feuilles de chou dans des expériences de choix. L'alimentation des chenilles de dernier stade de P. xylostella et P. brassicae dans des expériences de choix est réduite par l'application d'extraits alcooliques des labiées médicinales.
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8.
The calling behaviour of 0-day-old and 2-day-old virgin female eastern spruce budworm moths, Choristoneura fumiferana (Clem.) was observed during exposure to different concentrations of the synthetic female sex pheromone. Regardless of whether the females were exposed to pheromone or not, there were two daily peak periods of calling activity, one in the afternoon and the other after dusk. Those moths exposed to pheromone commenced calling at least 2 h earlier during their first peak of calling activity. Also, a greater number of moths engaged in calling when exposed to pheromone than those under control conditions.
Résumé Des expériences ont été menées au laboratoire pour examiner si la phéromone sexuelle synthétique de C. fumiferana pouvait altérer le comportement d'appel de femelles vierges de la même espèce. Un appareil a été conçu pour libérer alternativement — à des intervalles déterminés — un courant d'air portant de la phéromone sexuelle ou un courant d'air pur, dans plusieurs flacons contenant des femelles vierges. Le comportement sexuel de mouches de 0 et 2 jours a ainsi été observé. Indépendamment de l'exposition des femelles à la phéromone, il y avait deux pics quotidiens d'activité d'appel, l'un dans l'après-midi et l'autre après le crépuscule. Des papillons exposés au 1×10–6 mg ou 1×10–3 mg de phéromone avaient un premier pic d'appel au moins antérieur de 2 heures par rapport aux témoins. Ainsiily a vait un plus grand nombre de papillons engagés dans une activité d'appel en présence de la phéromone que chez les témoins.
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9.
The perception of cuticular female sex pheromone (15, 19, 23-trimethylheptatriacontane=morsilure) in Glossina m. morsitans was studied electrophysiologically and behaviourally. Electrophysiological studies indicated no sensitivity of the tibial sensilla or the contact chemoreceptive hairs on the legs of males to the pheromone. However, electroantennograms were recorded during stimulation of antennae from male flies with the odour of morsilure, which indicated that the pheromone is detected by the insect via olfactory receptors on the antennae. This was further confirmed by behavioural experiments in which the antennal movements of intact males stimulated with the odour of both synthetic pheromone and female decoys were studied. Behavioural responsiveness to morsilure increased with increasing starvation and was not due to a general sensitivity to paraffins. These studies indicate that tsetse flies may be able to recognize conspecifics at close range using their sense of olfaction.
Résumé La perception de la phéromone sexuelle des femelles de Glossina m.morsitans, la morsilure (15, 19, 23-triméthylheptatriacontane) a été examinée par électrophysiologie et par le comportement. L'électrophysiologie n'a pas révélé de sensibilité des sensilles tibiales, ni des poils chimioréceptives de contact sur les pattes des mâles à la phéromone. Cependant, les électroantennogrammes recueillis pendant la stimulation des antennes des mâles par l'odeur de morsilure, ont montré que la phéromone est décelée par l'insecte grâce aux récepteurs olfactifs des antennes. Ceci a été confirmé ultérieurement par des expériences de comportement au cours desquelles ont été examinés les mouvements antennaires de mâles intacts stimulés par l'odeur de phéromone synthétique et de femelles.La réponse comportementale à la morsilure a augmenté avec le jeûne, elle n'était pas due à une sensibilité générale aux paraffines.Ces études montrent que les mouches tsé-tsé peuvent être capables de reconnaître leurs congénères à faible distance grâce à l'olfaction.
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10.
Mating of the female bagworm, Thyridopteryx ephemeraeformis (Haworth) (Lepidoptera: Psychidae) on host trees treated with the racemate of the species' female sex pheromone, 1-methylbutyl decanoate, was suppressed by 87% in the field. The suppressive effect of the pheromone was independent of insect population density when it was evaporated from female-infested trees at 712 (±29; S.E.) mg/tree/3 day from a 488 cm × 0.63 cm polyvinylchloride laminated tape. However, evaporation of pheromone at a lower rate did not suppress mating. Observations of adult male behavior in the vicinity of the pheromone-impregnated tape revealed that males were attracted to the tape and that they made copulatory thrusts toward the tape and any object touching the tape. These observations and analyses of the pheromone titers of individual females showed that males can respond to a wide range of pheromone concentrations. Indications are that the mechanism of mating suppression probably involved male sensory adaptation or central nervous habituation to the synthetic 1-methylbutyl decanoate and that the compound, evaporated from host trees, could be useful as a plant protectant against the bagworm.
Résumé Les accouplements des femelles de Thyridopteryx ephemeraeformis Haworth (Lep. Psychidae) ont été réduits de 87% sur des arbres hôtes traités dans la nature par des racémates du 1-méthylburyldécanoate, la phéromone sexuelle femelle de cette espèce. Lorsque la phéromone s'évapore à partir d'un ruban de 488 cm sur 0,63 de chlorure de polyvinyle portant 712 (±29 S.E.) mg, par arbre pendant 3 jours, l'efficacité était indépendante de la densité de population de l'insecte. Cependant, l'évaporation de la phéromone à une plus faible concentration était sans effet. L'observation du comportement des mâles au voisinage des rubans imprégnés de phéromone a montré qu'ils étaient attirés par le ruban et qu'ils tentaient de s'accoupler avec le ruban et tout objet à son contact. Ces observations et les analyses des concentrations en phéromones des femelles ont montré que les âles pouvaient répondre à une gamme étendue de concentrations en phéromone. Il y a des indices que le mécanisme de suppression de l'accouplement implique une adaptation sensorielle du mâle ou une accoutumance du système nerveux central au 1-méthylbutyl méthylbutyl décanoate synthétique et que ce composé s'évaporant sur les arbres hôtes, pourrait être utilisable pour protéger efficacemment contre T. ephemeraeformis.
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11.
The majority of the chemoreceptory cells, which are located in the sensilla styloconica on the maxillae, have been characterized in two oligophagous caterpillars. Besides the sugar and salt receptors M. sexta has a cell, which is stimulated by some alkaloids, a cell sensitive to some glycosides and two inositol sensitive cells. P. brassicae has, besides a sugar and a salt cell two cells sensitive to mustard oil glucosides (differing in their sensitivity patterns), one cell sensitive to amino acids and another one to anthocyanins. In M. sexta, the sensitivity of some cells to their specific stimuli can be reduced by adding these specific compounds to its food. Modifications of food selection behaviour can be correlated with such induced receptor changes. The consequences of these observations are discussed in relation with food conditioning phenomena.
Résumé La plupart des récepteurs gustatifs, localisés dans des sensilla styloconica sur les maxilles, ont été caractérisés dans deux espèces de chenilles oligophages. En dehors des récepteurs pour le sucre et les sels, Manduca sexta a une cellule, qui est stimulée par quelques alcaloides, une autre sensible à quelques glycosides et deux cellules qui sont sensibles à l'inositol. La chenille de Pieris brassicae possède, en dehors des récepteurs pour le sucre et les sels, deux cellules qui réagissent aux glucosides des sénévols, une cellule sensible aux acides aminés et une autre aux anthocyanines. Le type de réaction induit par la sève d'une plante n'est pas seulement compliqué par des interactions inhibitrices et synergistes entre les divers composants de la séve, mais aussi par le fait que la sensibilité de certains chimiorécepteurs dépend en quelque sorte de la composition de la nourriture. Les modifications de sensibilité des récepteurs sont accompagnées par des changements du comportement dans la sélection des plantes-hôtes.
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12.
J. Dufrenoy 《Protoplasma》1930,11(1):303-311
Conclusions Les pédicelles des poils absorbants deDrosera, les nodosités radicales deMelampyre ou deMyrica, l'insertion des hampes florales de Phanérogames parasites, c'est-à-dire les organes qui servent plus spécialement à l'absorption, et qui sont la voie de transport de matières nutritives solubles, sont pauvres en bois: autour des vaisseaux ligneux, rares et peu différenciées, nous trouvons toujours, dans le tissu libérien, des cellules vivantes, allongées et disposées en files, contenant des vacuoles tanniques. Dans les pédicelles des poils deDrosera, nous savons depuisDarwin que le système vacuolaire se fragmente en une série de petites vacuoles filamenteuses lorsque les cellules sont le lieu de passage de matériaux nutritifs solubles (en particulier de protides).Des modifications identiques affectent le vacuome des cellules périvasculaires des nodosités radicales ou des hampes florales de Phanérogames parasites, et y font apparaître des formes filamenteuses de vacuoles analogues à celles qui caractérisent le «phénomène de l'agrégation». Ces vacuoles filamenteuses sont colorables vitalement par le rouge neutre. Elles sont mises en évidence, après fixation mitochondriale, sous forme de canalicules homologues des «canalicules de Holmgren» ou des «Canaux de Golgi».Ces vacuoles filamenteuses s'observent dans les territoires cytoplasmiques riches en mitochondries. Leur présence parait trahir la formation ou le passage de matériaux nutritifs solubles, et plus particulièrement, de protides solubles.  相似文献   

13.
Cores from sweet potato (Ipomoea batatas L.) storage roots, with either the outer periderm or inner core exposed, were presented to female sweet potato weevils, Cylas formicarius elegantulus (Summers) (Coleoptera: Curculionidae) in cage preference tests. Tests with weevils of different ages showed that feeding was constant 21 to 76 days after emergence, while oviposition showed a slight peak between 21 and 45 days. Differences in the levels of feeding and oviposition were noted for the periderms of four sweet potato cultivars, but these differences were not evident for the inner cores. Oviposition was reduced to low levels on the inner core and, therefore, the oviposition stimulant appears to reside in the root periderm. Feeding did occur on the inner cores, but at a reduced level compared to the root periderm in preference tests where both were available. Inner root cores have a potential use in the elucidation of the oviposition stimulant of the sweet potato weevil.
Résumé Des coeurs de racines tubéreuses d'I. batatas ont été proposés, soit avec leur périderme externe, soit avec la partie interne du coeur seule, à des femelles du charançon, C. formicarius elegantulus Summers, dans des cages pour expériences sur le choix. Les coeurs étaient prélevés à l'emportepièce pour liège dans des racines stockées et, après tirage au hasard, les expériences ont été distribuées dans des plaques à 24 puits pour cultures de tissus.L'alimentation des charançons de différents âges était constante du 21ème au 47ème jour après l'émergence, tandis que la ponte était maximale entre les 25ème et 45ème jours. Des différences quantitives quant à l'alimentation et à la ponte ont été observées avec les péridermes de 4 cultivars: Centennial, Jewel, Resisto et Regal; ces différences n'étaient pas nettes pour les parties profondes du coeur.La ponte était réduite à un niveau bas avec la partie interne du coeur; il semble ainsi qu'un stimulant de la ponte soit contenu dans de périderme de la racine. L'alimentation s'est effectuée sur la partie centrale du coeur, mais moins que sur le périderme, quand les deux étaient disponibles dans des expériences de choix. La ponte paraît un meilleur critère que l'alimentation, pour comparer les résistance variétales. La partie intérieure du coeur peut être utilisée pour connaître le stimulant le stimulant de la ponte de C. formicarius elegantulus.
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14.
One type of trichoid sensilla (designated as B-type hairs) is recognized on the tarsi of the Large White butterfly Pieris brassicae L. In contrast to the various kinds of tactile hairs and bristles (A-type structures), the number of B-type hairs is greater in the female than in the male. The difference is especially pronounced on the fifth tarsomere of the forelegs. The fine structure of these B-hairs has been studied by scanning and transmission electronmicroscopy. Each hair contains five receptor cells of which the dendrites have each a ciliary region showing the 9+0 configuration of double tubules. The cells are enveloped by a trichogen and a tormogen cell, the former enclosing the receptacle cavity and the latter the receptor-lymph cavity. The outer dendritic segments of four cells pass through the scolopale and reach the single pore opening at the hair tip. Preliminary electrophysiological experiments indicate a contact chemoreceptory function of the tarsal B-hairs. Each hair is associated with four contact chemoreceptor cells whereas the fifth cell has a mechanoreceptor function. At least one of the contact chemoreceptor cells responds to application of solutions of mustard oil glucosides at the sensillum tip. Response threshold concentrations vary between 10-5 and 10-4 M. Other cell types are probably a water receptor cell and a salt-sensitive cell. No evidence has as yet been obtained to indicate the presence of a receptor responding to stimulation by sugars. In behavioural experiments it is demonstrated that the specific chemical oviposition stimuli for the adult consist of mustard oil glucosides. Of the compounds tested, the female does not show a significant preference for either sinigrin, sinalbin or glucotropaeolin tetramethylammonium salt. The presence of tarsal B-hairs is discussed in relation to their possible function in the oviposition selection behaviour of the butterfly.
Résumé Sur les derniers segments des tarses des adultes de la Pieride du chou (Pieris brassicae) se trouvent, outre différents types de soies et de poils tactiles (structures du type A), un certain nombre de sensilles trichoïdes (type B). Le nombre de poils du type B est plus grand chez les femelles que chez les mâles, surtout quand on compare le cinquième tarsomere des pattes antérieures. L'ultrastructure de ces poils du type B a été étudiée à l'aide d'un microscope électronique à balayage et d'un microscope électronique à transmission. A chaque poil sont associées 5 cellules nerveuses sensorielles. Les segments distaux des dendrites de 4 de ces cellules s'organisent en une structure scolopidiale et se terminent au pore situé à l'extrémité de la sole. Par des expériences electrophysiologiques nous sommes portés à croire que ces poils du type B des derniers segments des tarses ont une fonction chémoréceptrice de contact. Quant à la 5me cellule associée à chaque poil du type B, on lui attribue une fonction mécanoréceptrice. Au moins une des cellules chémoréceptrices réagit à des solutions de glucosides de l'huile de sénevé. La concentration la plus faible donnant une réaction positive se trouve entre 10-4 et 10-5 M. D'autres cellules jouent probablement le rôle de récepteurs d'eau et de récepteur sensible au sel. On n'a pas pu obtenir de réactions avec des sucres. Par des expériences de comportement il a été démontré que les glucosides de l'huile de sénevé constituent les stimuli chimiques spécifiques pour l'oviposition et que la femelle, en déposant ses ufs, réagit aussi bien aux trois différents glucosides de l'huile de moutarde. On rattache donc la fonction des poils du type B au comportement de ponte du papillon.
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15.
The effects of starvation on secretion of a dispersal pheromone released or produced by female German cockroaches (Blattella germanica L.) when crowded was investigated. The experiments tested the response of adult males to filter paper conditioned by moderate and high densities of 10-day-old females. Repellency increased with increased density of fed females. Papers conditioned by starved females were not repellent. The results were similar for the two densities tested. Food availability is therefore a major factor in the control of secretion of a dispersal pheromone that females secrete when stressed by crowding.
Résumé L'examen a porté sur l'effet du jeûne sur la sécrétion d'une phéromone de dispersion émise par les femelles de B. germanica, maintenues à forte densité. Les expériences ont jugé les réponses des mâles à des papiers filtres imprégnés par des femelles de 10 jours maintenues à des densités moyennes et élevées. La répulsion a augmenté avec la densité des femelles alimentées; le papier provenant de femelles nonalimentées n'était pas répulsif. Les résultats étaient très voisins pour les deux densités. On peut en conclure que la disponibilité en aliments est le principal facteur contrôlant la sécrétion et/ou la production d'une phéromone de dispersion, sécrétée par les femelles gènées par une densité élevée.
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16.
We examined the intra-tree foraging behavior of individually-released, wild-population Mediterranean fruit flies (medflies), Ceratitis capitata (Wiedemann), on field-caged host trees bearing each of three different densities (0, 3, or 12 per tree) of non-infested host fruit (kumquat) or each of two levels of fruit quality (12 non-infested fruit or 12 fruit infested with eggs and covered with host marking pheromone). With increasing density of non-infested fruit, medflies tended to remain longer in trees, visit more fruit before leaving, oviposit more often, accept a proportionately smaller number of fruit visited, and emigrate sooner after the last egg was laid (i.e. have a shorter Giving-Up-Time). Medflies spent much less time, oviposited much less often, and exhibited a longer Giving-Up-Time on trees harboring pheromone-marked fruit than non-infested fruit. Variation in temperature within the range at which experiments were conducted (25–36°C) had little detectable influence on foraging behavior. We compare our findings with published findings on the intra-tree foraging behavior of another tephritid fly, Rhagoletis pomonella (Walsh), and with current foraging behavior theory. We discuss implications of our findings with respect to medfly management strategies, particularly fruit stripping in eradication programs and use of synthetic marking pheromone for control.
Résumé Nous avons étudié le comportement de prospection dans un arbre, de femelles d'une population sauvage de C. capitata, libérées individuellement à l'intérieur de cages contenant des Eriobotrya japonica (kumquat), portant chacun 3 densités différentes de fruits no contaminés (0, 3, 12 par arbre) et chacun 2 niveaux de qualité de fruits: 12 fruits non infestés ou 12 fruits contaminés par des oeufs et recouverts de phéromone de marquage de l'hôte. C. capitata avait terndance à rester plus longtemps dans les arbres, à visiter plus de fruits avant le quitter, à pondre plus souvent, à accepter proportionnellement un nombre plus réduit de fruits déjà visités, à émigrer plus tôt après la ponte du dernier oeuf (c'est-à-dire à présenter un temps d'abandon plus bref), quand la densité des fruits non contaminés augmentait. C. capitata a dépensé beaucoup moins de temps, pondu beaucoup moins souvent, et présenté un temps d'abandon plus long sur les arbres portant des fruits marqués par la phéromone que sur ceux ayant des fruits non contaminés. Les variations de température dans la gamme de cells où les observations ont eu lieu (23–36°C) n'ont eu qu'une faible influence décelable sur le comportement de prospection. Nous avons comparé nos résultats avec ceux publiés sur la prospection à l'intérieur de l'arbre par une autre téphritide (Rhagoletis pomonella) et avec la théorie dominante sur le comportement de prospection. Nous discutons les conséquences de nos résultats sur les stratégies de lutte contre C. capitata, en particulier l'élimination des fruits dans les plans d'erradication et l'utilisation de phéromone synthétique de marquage.
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17.
Stylets and salivary sheaths of the cabbage aphid, B. brassicae (L.) were studied in leaf tissue of B. oleracea (L.) with Transmission Electron Microscopy. Examples of inter cellular penetration are described by sections of stylets and saliva in air spaces or between adjacent cell walls. Intracellular penetrations are represented by stylets and saliva within damaged cells. High resolution microscopy reveals a third route, where stylets and saliva lie between cell walls and plasmalemmas. This route is called intramural.The results are discussed with particular reference to signals of Electrical Penetration Graphs and at wider level to aphid-host plant selection and phloem location.
Résumé Les stylets et les gaines salivaires de B. brassicae ont été examinés au microscope électronique à intérieur de feuilles de B. oleracea. Des sections de stylets et de salive dans les espaces intercellulaires et entre les parois de cellules adjacentes ont fourni des exemples de pénétration intercellulaire. Les pénétrations intracellulaires de stylets et salive ont été observées dans des cellules abimées.Une trosième voie a été mise en évidence lorsque les stylets et la salive sont coincés entre la paroi cellulaire et le plasmalesme; cette voie est baptisée intrapariétale.La discussion de ces résultats se réfère aux conditions d'obtention des signaux fournissant les images microscopiques. Ils peuvent servir à expliquer la sélection des plantes par les pucerons et leur aptitude à localiser le phloème.
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18.
Résumé La glande sternale de Kalotermes flavicollis est un épaississement épidermique du cinquième sternite abdominal. Elle sécrète une phéromone de piste dissoute dans un lipide. Deux types cellulaires principaux se reconnaissent: des cellules glandulaires basales et des cellules intercalaires. On peut en outre distinguer deux régions. La partie antérieure où les cellules glandulaires, plus développées, sont emplies de gouttelettes lipidiques, la cuticule y est formée d'endoeuticule et d'épicuticule. A la partie postérieure, les cellules glandulaires contiennent du glycogène, la cuticule est formée de mésocuticule et d'épicuticule.Les cellules glandulaires de la région antérieure élaborent des globules lipidiques associés aux mitochondries. La sécrétion gagne les cellules intercalaires et, par l'intermédiaire du reticulum endoplasmique, paraît se libérer depuis les microvillosités; elle traverse la cuticule par les canaux poraires qui aboutissent à de fines perforations de l'épicuticule. La partie postérieure est moins différenciée, mais la structure de la cuticule indique également une activité sécrétoire dans cette région. L'accent est mis sur la nature complexe de la sécrétion.
Exocrin glands of termitesI. Histochemical and ultrastructural study of the sternal gland of Kalotermes flavicollis Fab. (Isoptera, Kalotermitidae)
Summary The sternal gland of Kalotermes flavicollis is an epidermal thickening of the fifth abdominal sternite. It secretes a trail pheromone dissolved in a lipid substance. Two main cells types constitute the gland: basal glandular cells and columnar cells-with a brush border beneath the cuticle. We can also recognize two regions in the gland. At the anterior part the glandular cells, full of lipid droplets, are more developed; the cuticle is composed of endocuticle and epicuticle. At the posterior part, the glandular cells contain glycogen; the cuticle is made of mesocuticle and epicuticle.The glandular cells of the anterior part secrete lipid droplets associated with mitochondria. The secretion passes into the columnar cells and, by way of the smooth reticulum, seems to be discharged by the microvilli; it crosses the cuticle by means of pore-canals perforating the epicuticle. The posterior part is less developed, but the structure of cuticle suggests also a secretory activity at this level. The complexity of the secretion is emphasized.
Nous exprimons notre gratitude au Professeur Ch. Noirot qui a mis à notre disposition ses résultats personnels et qui a suivi avec bienveillance la réalisation de ce travail.  相似文献   

19.
Threshold dosage and type of dispersive response by aphids to the alarm pheromone, (E)--farnesene, were determined for fourteen species in the subfamilies Aphidinae and Chaitophorinae. Dosage required to disperse 50% of the most and least sensitive species was 0.02 ng and 100 ng, respectively. Some species dispersed at low dosages by walking and at high dosages by falling; others dispersed only by walking regardless of dosage. Sensitivity to alarm pheromone and type of dispersive response are interrelated with aggregation density and whether the aphid is myrmecophilous.
Résumé Quatorze espèces d'Aphides appartenant aux sous-familles des Aphidinae et Chaitophorinae ont été testées pour leur réponse à la phéromone d'alarme EBF, sur la base de la dose limite efficace et du type de réponse par dispersion des individus. Les doses d'EBF nécessaires pour disperser 50% des individus chez l'espèce la plus sensible sont de 0,02 ng, contre 100 ng pour l'espèce la moins sensible. Certaines espèces se dispersaient en marchant pour de faibles doses et en se laissant tomber pour de fortes doses; d'autres se dispersaient seulement en marchant, quelle que soit la dose. La sensibilité et le mode de réponse à la phéromone sont en relation avec la densité des groupements et avec le fait que l'espèce est ou non myrmécophile.
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20.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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