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1.
The fecundity and reproduction rate of caged Myzus persicae on leaves of potato plants growing on nutrient solutions with different anion and cation ratios were measured. The levels of total and soluble N in the leaves and the reproduction rate were found to be positively correlated with the amounts of N in the nutrient solutions. Longevity and reproduction rate were considerably less on 4-week-old plants than on 8-week-old plants; this difference is not correlated with the total N or soluble N-content of the leaves. When comparing aphid development on plants, daily variations in the amounts of N compounds in the leaves could provoke an erroneous basis for assessing the physiological condition of the host plant.
Résumé Des pucerons Myzus persicae sont élevés individuellement dans des cages sur des feuilles de pommes de terre. Chaque expérience comporte deux groupes de plantes les unes âgées d'un mois, les autres de deux mois. Les plantes sont alimentées avec des solutions nutritives dans lesquelles le rapport d'anions ou cations est différent, mais qui demeurent ioniquement équilibrées.La reproduction de Myzus persicae, sur les plantes du même âge, montre une corrélation avec la quantité de N dans la solution nutritive et avec la teneur des feuilles en N total ou en N soluble.Le taux reproduction sur des plantes âgées de deux mois est en moyenne plus élevé que sur les plantes âgées d'un mois. Cette différence n'est pas en corrélation avec la teneur des feuilles en N total ou N soluble.Sur des plantes âgées de deux mois le nombre de jours productifs par femelle est plus élevé que sur des plantes âgées d'un mois.La teneur des feuilles en composés azotés peut montrer des fluctuations quotidiennes importantes; pendant la durée de l'expérience un échantillonnage fréquent est indispensable à l'obtention de données reproductibles.Le rapport de K/Mg dans les solutions nutritives n'a pas une influence significative sur la fécondité des pucerons.La teneur en eau des feuilles n'est pas influencée par les différentes solutions nutritives ni par l'âge de la plante.Si on permet aux pucerons de se développer librement sur les plantes, on constate que la densité de population est la même sur les différentes solutions nutritives. La nutrition minérale n'influence pas de façon significative les pourcentages de production d'insectes ailés.
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2.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

3.
Summary Twenty-seven water samples taken from the Sea of Galilee, Israel, were enriched selectively with an inorganic salt medium to further the appearance of halophilic algae, rare or unknown from the lake. The Chrysophycean flagellatePrymnesium parvum, known to cause toxic blooms, has been especially looked for.A radical change in the algal composition of the enriched samples could be observed. Out of 31 species that proliferated in the so established cultures, 11 were new to the lake. Fifteen species belonged to the Cyanophyceae, 8 to the Diatomeae, and 7 species belonged to the Chlorophyceae. Prymnesium parvum could be found in 6 out of the 27 samples.It is concluded that in case of a sufficient rise in the lake's salinity, halophilic algae that are now rare or dormant in the lake, will replace the present algal flora. The presence in the lake ofPrymnesium parvum forms a potential danger of toxic blooms.
Résumé Vingt-sept échantillons d'eau prélevés dans le Lac de Tibériade, Israel, ont été enrichis sélectivement par des milieux salins inorganiques afin de stimuler le développement d'algues halophiles rares ou inconnues dans le lac. Notre attention a été particulièrement attirée par la présence du Chrysophyte flagélléPrymnesium parvum, qui provoque des pullulations toxiques dans L'eau.Nous avons pu observer un changement radical dans la composition floristique des échantillons enrichis. Parmi les 31 espèces qui se sont développées dans nos cultures, 11 espèces sont inconnues dans le lac; 15 espèces appartiennent aux Cyanophyceae, 8 aux Diatomées et 7 aux Chlorophyceae. Nous avons trouvéPrymnesium parvum dans 6 échantillons sur 27.Nous pouvons conclure, qu'en cas d'accroissement du taux de la salinité dans le lac, les algues halophiles, actuellement rares ou dormantes, remplaceront la flore présente.Les possibles pullulations toxiques dePrymnesium parvum dans les eaux du Lac constituent donc un danger permanent.
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4.
Henri Saëz 《Mycopathologia》1965,27(3-4):321-338
Résumé Au cours de l'autopsie de 58 jeunes mammifères sauvages, morts en captivité au Parc zoologique de Paris, nous avons effectué des prélèvements à différents niveaux du tube digestif: pharynx, estomac, intestin grêle, gros intestin et rectum. Chez ces animaux, mort-nés ou âgés de quelques heures à six jours, nous avonsrecherché, dans le matériel prélevé, les levures et lesGeotrichum. Les résultats sont analysés en fonction de deux question: 1-Flore fongique et Microorganismes en transit, II Vitesse de diffusion et d'implantation des champignons dans le tube digestif.Nous pensons qu'il existe une flore permanente et une flore saisonnière, auxquelles se superpose une flore étagée: flore du pharynx, flore de l'estomac, etc. .... La flore n'est pas constamment présente chez tous les animaux jeunes ou adultes. Nous passons en revue quelques facteurs qui peuvent agir sur elle. Nous mettons l'accent sur la température interne de l'hôte. A ce dernier facteur, s'oppose, au laboratoire, l'étude du comportement des souches isolées vis à vis de la température.Jusqu'à présent nous n'avons pas encore observé une véritable flore fongique constituée in utero. Parmi les 58 animaux examinés, l'implantation la plus manifeste a été vérifiée chez un Hippopotame âgé de deux jours. Cette colonisation est précédée de quelques vingt-quatre heures de la diffusion proprement dite, qui, elle, est très rapide. Cette progression des champignons à travers le tube digestif est parfois en avance sur celle du premier bol alimentaire.  相似文献   

5.
In Drepanosiphum dixoni H. R. L. the heavier the adult the greater the fecundity. However, brachypterous alatae are more fecund than macropterous alatae in the first 10 days of adult life as well as in the first 10 days of reproductive life. There is no difference in the weight at birth between the offspring of brachypterous and macropterous alatae.
Résumé Les ailés brachyptères et les ailés macroptères de Drepanosiphum dixoni sont très semblables dans leurs structures. Les brachyptères sont dépourvus des muscles indirects du vol et leurs ailes, quoique de forme parfaite, sont plus courtes que celles des ailés macroptères.La fécondité est d'autant plus grande que l'insecte adulte est plus lourd. Cependant, les ailés brachyptères sont plus féconds que les ailés macroptères aussi bien pendant les 10 premiers jours de leur vie adulte (Fig. 1A) que pendant les 10 premiers jours de leur reproduction (Fig. 1B). La différence de fécondité est plus marquée quand on se réfère aux 10 premiers jours de la vie adulte, (comparer Fig. 1, A et B), car le délai entre la mue imaginale et le début de la reproduction est plus court chez les brachyptères (2, 4 jours) que chez les macroptères (3, 3 jours).On n'observe pas de différences dans le poids à la naissance de la descendance de chacune des 2 formes.Dans l'évolution de l'aptérisme chez les Aphides il est vraisemblable que l'avantage initial réside dans un accroissement de fécondité, comme chez D. dixoni. Un développement secondaire possible dans l'évolution du dimorphisme alaire chez les Aphides est celui observé chez A. fabae où les ailés produisent une plus petite descendance, la proportion de celle-ci qui naît dans les quelques premiers jours de la vie adulte étant plus élevée que chez les formes aptères.
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6.
Hydrobiology of Lake Volta,Ghana   总被引:5,自引:4,他引:1  
A. B. Viner 《Hydrobiologia》1970,35(2):230-248
Summary An account is given of some biological features associated with the hydrological and morphological characteristics of Lake Volta which have already been described (Viner, 1970).Evidence is given that the thermocline in the main body of the Lake provides a barrier to both phytoplankton and zooplankton.The blue-green algae tended to dominate the phytoplankton population increasingly towards the extremities of the Lake arms where the water column was both shallower and more sheltered from turbulence by wind.Primary productivity assessments, made by measurements of oxygen evolution in light/dark bottles, showed variation with locality, being greater in the shallower and sheltered parts of the limbs than in the deeper, more turbulence effected main body of the Lake. When converted to carbon equivalents these values ranged from 0.8 to 5.2 grams of carbon/m2/day.
Résumé Ce mémoire est un exposé de quelques particularités biologiques associés avec les caractéristiques hydrologiques et morphologiques du Lac Volta déjà décrites (Viner, 1970).Il paraît que le thermocline au centre du lac sert de barrière contre le phytoplankton et le zooplankton.Les algues bleues avaient tendence à dominer la population de phytoplankton vers les extrémités de bras du lac, où la colonne d'eau était et moins profonde et plus arbritée contre la turbulence par le vent.La productivité primaire, tirée de mesures de l'évolution d'oxygène en boteilles illuminées ou en obscurité, parut varier selon la localité. Elle était plus grande dans les parties moins profondes et plus abritées des bras du lac que dans le centre du lac plus profond et plus atteint par la turbulence. Converties en équivalents de carbone, ces valeurs varierent de 0.8 à 5.2 g.C/m2/jour.
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7.
The selection of a suitable plant for the establishment of Papilio demoleus is done by its females and involves their two main behavioural responses: (1) Orientation and (2) Oviposition, involving abdominal-curling followed by egg-delivery. The ovipositing females visit the host (Citrus) and non-host plants almost equally due to their almost equally high attraction to the green or yellowish-green colour of both the plants. On perceiving the specific attractant odour emitted by the ether-soluble constituents of the host plant (Citrus), the attraction of the butterflies to these plants becomes greater than that to the non-host plants and increases the chances of their visiting the host plants. Subsequently, the contact chemical stimuli provided by the ether as well as 80% ethanol-soluble constituent of the host plants, in combination with their odour and colour, elicit the ovipositional response of the butterflies. If the odour and contact stimuli are not appropriate, as in the case of non-host plants, the butterflies depart and visit other plants until they come to a host plant providing the above-mentioned combination of visual, olfactory and contact chemical stimuli to elicit increased attraction and ovipositional response.
Résumé Ce travail étudie de rôle des réponses comportementales d'orientation et de ponte de Papilio demoleus, comme éléments déterminant sa sélection et son installation à l'égard d'une série de plantes: la plante-hôte principale Citrus limettioidés, l'hôte occasionnel Aegle marmelos et des plantes non-hôtes, Coriandrum sativum, Rosa indica, Gossypium hirsutum.Les réponses d'orientation (attraction) et de ponte du papillon à l'egard de la plante-hôte principale (Citrus) s'accroissent avec l'âge d'insecte, atteignant un maximum chez les femelles âgées de 3–4 jours, puis diminuent. Les papillons montrent une attraction presque aussi forte pour les plantes-hôtes et les plantes non-hôtes, mais les réponses consistant dans le recourbement de l'abdoment et le dépôt d'oeufs sont fortes pour Citrus, moindres par A. marmelos et nulles pour les plantes non-hôtes.Les stimuli visuels des plantes-hôtes et non-hôtes, en particulier la coloration vert ou jaune-vert, déclenchent une forte attraction mais non les réponses liées à la ponte. Ceci est confirmé par des tests avec des colorants de diverses couleurs. L'humidité ne provoque aucune réponse des papillons.Un extrait éthéré des feuilles de Citrus attire les papillons quand celui-ci est présenté sur un tissu de mousseline imprégné d'eau; il déclenche également les réflexes de ponte. Un extrait dans l'éthanol 80%, présenté sur un tissue humide ne provoque qu'une attraction faible et aucune réponse de ponte. Les stimuli de contact que l'on peut provoquer avec la fraction soluble dans l'éther et la fraction soluble dans l'éthanol 80% entrainent de fortes réactions de la courbure abdominale et de ponte. La combinaison d'une couleur vert jaunâtre, d'eau, d'odeur de l'extrait éthéré et de stimuli de contact avec des extraits dans l'éther et l'éthanol, déclenche les trois types de réponse des papillons.
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8.
Résumé 58 échantillons de sol sont collectés dans des parcelles cultivées en blé du Centre et de l'Ouest de la France. Ces sols sont répartis en pots, infestés ou non par une souche agressive ou hypoagressive deGaeumannomyces graminis var.tritici et cultivés en blé pendant 3 mois. Les plantes sont alors arrachées pour appréciation du niveau de maladie et mesure du volume de racines développées dans chaque sol. L'analyse en composantes principales réalisée sur ces variables biologiques et les caractéristiques physicochimiques des sols montre que le niveau de la maladie observé est corrélée négativement avec le niveau potassique et la teneur en sable, corrélé positivement avec la teneur en limon. Dans certains sols il a pu être constaté un développement plus important du système racinaire à la suite de l'infestation par l'un ou l'autre des champignons et l'analyse révèle que ce phénomène est en étroite relation avec la teneur en manganèse échangeable.  相似文献   

9.
Résumé Pour la première fois, les rotifères de la Camargue sont examinés. Des échantillons ont été pris aux environs de Salin de Badon, le long de la digue de mer et dans l'étang de Beauduc.Les 15 espèces trouvées sont nouvelles pour la région. Pour chacune d'elles, nous donnons l'écologie et la distribution dans l'eau saumâtre dans le monde entier.La plupart des espèces sont cosmopolites; une espèce est particulièrement intéressante, notamment Epiphanes mollis, dont c'est la première capture dans l'eau saumâtre de l'Éurope occidentale.

Rijkuniversiteit Gent. Laboratorium voor Systematische Dierkunde.  相似文献   

10.
Conclusion Les teignes figurent parmi les affections les plus fréquentes et les plus répandues dans le monde. Les progrès des moyens de communication, l'augmentation des mouvements de population favorisent leur extension. Grâce aux progrès thérapeutiques apportés par la Griséofulvine on peut envisager leur éradication. Avec les moyens dont nous disposons actuellement la thérapeutique prend le pas sur la prophylaxie. Et des mesures comme l'éviction scolaire sont inapplicables dans les pays en voie de développement où près de la moitié des enfants sont teigneux.Le seul obstacle dans ces pays est purement d'ordre budgétaire. La Griséofulvine est un remède trop coûteux pour des Etats qui ont d'autres soucis de Santé Publique. Si l'on obtenait de bons résultats avec l'administration d'une dose unique on pourrait réexaminer favorablement ce problème.Lu dans la séance du ler Congrès International de Dermatologie Tropicale, Napoli, 8–13 Juin, 1964.  相似文献   

11.
Resume Nous décrivons dans ce travail l'évolution de la température de l'oxygène dissous et de la transparence dans le bassin N. du lac Tanganika.La température de l'eau ne subit des fluctuations intéressantes au cours de l'année que dans les 100 premiers mètres de la surface. Les eaux du Tanganika offrent une temperature élevée jusqu' à ses plus grandes profondeurs; à 1.400 m. la température de l'eau est encore de 23.35° C. La température des eaux superficielles dépend de l'insolation journalière et les variations saisonnières n'affectent qu'une épaisseur d'eau d'une centaine de mètres. La couche oxygénée de l'eau est très faible par rapport aux énormes profondeurs du lac. Dans le bassin N. elle varie au cours de l'année entre les extrêmes de 45 m. et de 115 m.; la plupart du temps la limite de l'oxygène dissous se situant à 75–80 m de profondeur.Les eaux superficielles sont fortement oxygénées, leur teneur en oxygène dissous oscille autour de 100% de satuation, jusqu'au thermocline elles sont encore oxygénées à 80–90%.Le thermocline est toujours plus haut que la limite de l'oxygène dissous et ne présente absolument pas une barrière biologique comme c'est le cas dans la plupart des lacs des régions tempérées.La transparence des eaux du lac Tanganika est considérable, elle atteint souvent 20 m; la moyenne au cours de l'année se situant aux environs de 15 m.
Summary The author describes the temperature, oxygen and transparency conditions in the Northern basin of Lake Tanganyika.The fluctuations in the temperature of the waters in the course of the year is of interest only down to a depth of 100 m.The temperature of water in Lake Tanganyika is high even in the greatest depths; at 1.400 m depth the temperature of the water is still 23.35° C. The temperature of surface water depends on the daily solar radiation. The influence of seasonal variations is felt only down to a depth of about one hundred meters.The oxygenated layer of water is very thin in comparison with the very great depth of the lake. In the northern basin, this layer varies in thickness between 45 and 115 m, the limit of dissolved oxygen being at a depth of about 75 m most of the time.The oxygen concentration in superficial waters is very high and nearly reaches the saturation point. Down to the thermoclinal point, the concentration is still 80–90 % The thermocline is always higher than the limit of dissolved oxygen, it does not at all constitute a biological barrier as it does in most lakes in temperate climates. The waters of Lake Tanganyika are very transparent, their transparency often reaches the depth of 20 m, the average for the year being 15 m.


Centre de Recherches du Tanganika (Uvira) Institut pour la Recherche Scientifique en Afrique Centrale I.R.S.A.C.  相似文献   

12.
Crowding larvae of Spodoptera littoralis (Boisd.) [= Prodenia litura F.] shortened the larval period but lengthened the pupal period. Crowding also reduced the pupal weight and the length of the body of the resultant adult, and produced darker coloured larvae. The type of food also affected the time taken to develop. When larvae are reared in isolation they are pale in colour, very inactive and hardly react to other larvae that touch them. Crowded larvae may be pale or darker in colour and show a number of reactions to one another on contact. They are more active than isolated larvae, and darker ones are more active than pale ones.
Résumé Des chenilles de Spodoptera littora is élevées isolément et nourries de feuilles de Patience (Rumex patiencia), ont un développement larvaire plus long que celles élevées sur d'autres plantes à des températures analogues. Le groupement de 20 chenilles, dans une cage de 500 ml, diminue la durée de leur vie larvaire (22,3 jours en moyenne, contre 25,3 jours pour les chenilles témoins élevées isolément), mais accroît la durée de la nymphose (14,7 jours en moyenne, contre 9,7 jours pour les témoins). Toutefois la durée totale du développement larvaire et nymphal demeure semblable: en moyenne 35,0 et 35,6 jours respectivement.Les chrysalides obtenues à partir de chenilles isolées sont plus lourdes et les adultes qui en proviennent ont le corps et les ailes plus longs, par rapport aux chrysalides et adultes des élevages groupés. La mortalité est plus élevée dans les élevages en groupes, surtout pendant les derniers stades, larvaires. A l'éclosion les parties dorsales du corps sont de couleur vert jaune, mais en vieillisant les chenilles prennent dorsalement une coloration jaune — rouge foncé. Les chenilles isolées sont de coloration pâle, celles groupées sont pâles ou sombres; les premières sont les moins actives, les secondes les plus actives.Les chenilles elevées groupées se déplacent beaucoup plus que celles élevées isolement, L'activité varie d'ailleurs avec l'âge, elle est plus grande pour des chenilles âgées de 10 jours que pour celles âgées de 15 jours.II y a quelques similitudes entre le comportement des chenilles groupées de Spodoptera et celui des larves de Criquet, en particulier dans les mouvements de masse et l'aggrégation des chenilles de Spodoptera.


This is a part of post-doctorate research carried out at the Anti-Locust Research Centre, London.  相似文献   

13.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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14.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

15.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

16.
A population of Blattella germanica L. (Dictyoptera) cockroaches was studied in a swimming-bath. Trapped adults were marked and released in their capture area.The overall recapture rate was 15%, but it varied according to the capture area. This rate was higher in the toilets than around the pool borders. Distances between capture and recapture points also varied. Recaptures were more frequent in the capture area than in other areas; only 15% of the animals left their initial area. Movements occurred mainly between neighbouring areas. Recaptures in the capture area were lower around the large pool than around the shallow pool and in the toilets.In conclusion, there were three types of areas which were differently occupied. This could be explained by variations of resources like shelter and food. The complexity of the environmental structure favoured development of cockroach populations although they were able to modify their behavior in relation to the environmental features.
Résumé Une population de Blattes (Blattella germanica) a été étudiée dans l'enceinte d'une piscine par des piégeages hebdomadaires. Les animaux adultes sont marqués et relachés dans leur zone de capture initiale.Le taux de recapture total est de 15%; mais on observe des differences en fonction de la zone de capture. Le taux de recapture est plus élevé dans les toilettes qu'en bordure des bassins. Par contre les distances entre capture et recapture y sont plus faibles.D'autre part, le taux de recapture est plus élevé dans la zone de capture initiale: seulement 15% des animaux changent de zone. Les déplacements ont lieu principalement entre deux zones voisines. Les recaptures dans la zone d'origine sont meilleures autour du petit bassin et dans les toilettes qu'autour du grand bassin.D'après ces résultats, il est possible de distinguer trois types de zone qui présentent un taux d'occupation plus ou moins élevé. Le taux d'occupation dans ces trois zones pourrait être lié à l'abondance des ressources telles que la nourriture et les abris. L'augmentation de la complexité de la structure du milieu qui augmente le nombre d'abris potentiels semble favoriser le développement des populations de Blattes. Celles-ci sont cependant capables d'adapter leur comportement avec les caractéristiques du milieu et de l'exploiter au mieux.
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17.
In lacustrine environments, little attention has been paid to small-scale interactions between zooplankton diel vertical migration (DVM) and feeding rhythms. Moreover, most of the information on in situ diel feeding and migratory rhythms is based on low sampling frequencies. The kinetics and the degree of coupling of these processes are thus only roughly known. Here, we present a study conducted on a diel cycle in Lake Geneva to establish the temporal and spatial relationships between DVM and grazing activity of the dominant planktonic crustaceans. Our methodological approach is based on reliable and frequent (every 30 minutes) sampling, and on gut fullness analysis. We test the hypothesis of temporal and spatial segregation in DVM and feeding activity of sympatric taxa to counteract resource competition. We also evaluate the variation in DVM and feeding activity between taxa, size and sexes. In Lake Geneva, the Daphnia complex of different species and size (D. hyalina × galeata) and the diaptomid (Eudiaptomus gracilis) have distinct DVM and diel feeding patterns which lead to temporal and spatial segregation. Differences arise from the amplitude and kinetics of DVM and diel feeding rhythms. A strong day/night contrast in depth distribution and feeding activity was observed for the large daphnids while the small daphnids and the diaptomids had lower amplitudes of DVM and weaker diel changes in feeding activity. Large Daphnia exhibited a bimodal feeding pattern coupled with dynamic interchange of individuals between the epi- and hypolimnetic layers at dusk and dawn. In contrast, little coupling between DVM and feeding patterns was found for the diaptomid. These distinct behaviours can be viewed as specific adaptive strategies developed by calanids and daphnids to limit interspecific competition and to compromise between avoidance of starvation in deep waters and avoidance of visual predators in surface layers. Our study supports the hypothesis of exogenous control of Daphnia DVM by the relative change in light intensity at dusk and dawn, but also suggests that small Daphnia (not large ones), are controlled by absolute light variations when this major stimulus is lacking. Our results also support the hypothesis that selective predation by fish is responsible for the observed differences in DVM and diel feeding patterns of sized-daphnids and diaptomids. Other factors explaining the coupling of DVM and feeding patterns are hunger, vertical temperature gradient and for daphnids, size. Thus, ecological plasticity in crustacean DVM and feeding patterns results from the interactive effect of multiple abiotic and biotic driving forces. Finally, our study also shows that large Daphnia have a marked contribution to the acceleration of downward nutrient fluxes in Lake Geneva, via their diurnal rhythm in feeding and vertical migration. Ecological implications of the study for lake management and sampling design of zooplankton grazing studies are also presented.
Résumé Dans les écosystèmes lacustres, les interactions à fine échelle temporelle entre les patrons diurnes de migration verticale et de broutage du zooplancton sont peu étudiées. En outre, jusq'à présent, les études ont généralement été réalisées selon des chroniques temporelles assez lâches. La cinétique et le degré d'interaction entre les patrons journaliers de migration verticale et de broutage sont donc encore mal connus. La présente étude, conduite au Lac Léman (Lac de Genéve) au cours d'un cycle nycthéméral, tente de préciser les liaisons spatiales et temporelles existant entre les migrations journalières et la consommation de phytoplancton chez les taxons de Crustacés les mieux représentés. Notre approche méthodologique repose sur une maille temporelle d'échantillonnage fine et sur l'analyse de la fluorescence du contenu stomacal. Nous testons l'hypothèse d'une ségrégation spatio-temporelle visant à réduire la compétition entre les taxons sympatriques et reposant sur des différences entre les patrons journaliers respectifs de migration et d'alimentation. Nous évaluons pour ces rhythmes d'activité les différences entre les espèces, les classes de tailles et les sexes. Au lac Léman, le complexe de différentes espèces et tailles de daphnies (Daphnia hyalina × galeata) et le diaptomide (Eudiaptomus gracilis) présentent des patrons journaliers de migration et d'alimentation distincts, assurant une ségrégation spatio-temporelle. Les différences proviennent de variations dans la cinétique et l'amplitude des migrations et dans les niveaux d'alimentation. Les grandes daphnies affichent un fort contraste jour/nuit dans leur répartition verticale et leur état de réplétion, tandis que les petites daphnies et les diaptomides présentent une faible amplitude de migration et de variations circadiennes de réplétion. Les grandes daphnies ont un rythme alimentaire bimodal couplé avec un relais dynamique des organismes entre l'épilimnion et l'hypolimnion au crépuscule et à l'aube. Chez le diaptomide, les interactions sont au contraire faibles entre les patrons de migration verticale et de réplétion. Ces différents comportements peuvent être perçus comme des stratégies adaptives spécifiques développées par les daphnies et les diaptomides pour limiter la compétition interspécifique et aboutir à un compromis satisfaisant entre l'évitement de la famine en eaux profondes et de la prédation par les poissons dans les eaux superficielles. Notre étude conforte l'hypothèse d'un contrôle exogène de la migration verticale de Daphnia par les changements relatifs de la lumière au crépuscule et à l'aube. En l'absence de ce stimulus, la répartition verticale des petites daphnies semble par contre contrôlée par les variations absolues de lumière. Nos observations confortent également l'hypothèse que la prédation sélective par les poissons est responsable des différences observées dans les patrons de migration des grandes daphnies et ceux des petites daphnies et des diaptomides. Les autres facteurs pouvant influencer les patrons de migration et d'alimentation des crustacés du Lac Léman sont la famine, le gradient thermique vertical et, chez les daphnies, la taille. En définitive, la plasticité écologique des patrons journaliers de migration et d'alimentation résulte des effets interactifs de daphnies ont un rôle très important dans le transfert des nutriments dans les couches profondes durant l'été, via leurs migrations verticales et les variations circadiennes d'activité alimentaire. Les implications écologiques pour l'aménagement lacustre et la planification des études portant sur le broutage du zooplancton sont aussi présentées.
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18.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

19.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
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Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

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