首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 15 毫秒
1.
Glossina morsitans morsitans Westw., Glossinidae, surviving 48 hr after topical doses of endosulfan which killed 15% during this period in an initial bioassay, were investigated for effects on their lipid reserves. Males dosed with endosulfan, or maintained in pairs after their third bloodmeal (12–15-day-old) had lower lipid reserves than solvent-treated controls throughout a period of starvation. Once-fed females treated similarly showed no differences. Dosed flies of both sexes accumulated lipid reserves over their first four meals more slowly than controls. It is suggested that the delay in accumulation of lipid reserves by both sexes following exposure to low doses of endosulfan, and the more rapid utilisation of these reserves by treated males, renders the flies more susceptible to death by starvation in the field.
Résumé L'examen a porté sur les effets sur les réserves lipidiques des Glossina morsitans morsitans Westw. survivant 48 h, après des applications locales d'endosulfan qui avaient tué 15% des mouches pendant cette période au cours d'essais préalables. Des mâles traités avec de l'endosulfan, ou maintenus par paires après leur troisième repas de sang (âgés de 12 à 15 jours) avaient moins de réserves lipidiques que les témoins traités avec un solvant pendant leur période de jeûne. Des femelles alimentées, une fois traitées de la même façon, ne présentaient pas de différences. Des mouches traitées, des deux sexes, ont accumulé leurs réserves lipidiques après leurs quatre premieurs repas plus lentement que les témoins. On peut supposer que le retard dans l'accumulation des réserves lipidiques des deux sexes après une exposition à de faibles doses d'endosulfan, et l'utilisation plus rapide de ces réserves par les mâles traités, ont rendu les mouches plus susceptibles de mourir d'inanition dans la nature.


The work was financed by the Overseas Development Administration of the Foreign and Commonwealth Office.  相似文献   

2.
Batches of wild-caught adult females of Glossina palpalis palpalis R.-D. were treated topically (0.36 l per fly) with different doses of 14 chemical insecticides in acetone and subsequent abortion (if any) and death of each fly were recorded. Control flies received acetone alone. No fly was fed after treatment. Abortion rates of treated fly-batches and the corresponding control batch were compared by Fisher's exact test. The rate of abortion for 274 control flies rose from 1.1% on day 1 to 6.3% on day 5, then declined to the last abortions on day 9. The increase of rate probably resulted from increasing period of starvation. Significantly increased rates of abortion of eggs or immature larvae, compared with the control, were only found with high doses of fenitrothion, propoxur, permethrin and dieldrin and with various doses of sumithrin, sumicidin and deltamethrin. Abortion was most frequent for the last three; synthetic pyrethroids. All significant rates were for rapid abortion, within 24 h after treatment, and many abortions for sumithrin, sumicidin and deltamethrin were within 60 min Pyrethroid-treated flies frequently showed rapid and prolonged knock-down. Especially for pyrethroids, many aborted eggs or larvae were covered with white, sticky fluid. It is suggested that insecticides caused high rates of abortion by general relaxation of maternal muscles, thus opening the vaginal sphincter, smoothing the uterine wall and allowing accumulated milk gland secretions to flow into the uterus. This reduced friction between contents and the uterine wall and the egg or larva escaped passively through the vaginal aperture.
Résumé Les femelles de G. palpalis palpalis provenaient de captures de populations sauvages près d'Abuja au Nigéria. Les lots de mouches ont reçu des applications locales (0,36 l par mouche) de 14 insecticides chimiques à différentes doses. L'émission d'un oeuf ou d'une larve immature était considérée comme un avortement. Les témoins ont reçu de l'acétone. Les mouches n'ont pas été alimentées après traitement. Les résultats des différents lots ont été comparés par le test de Fisher. Pour 274 mouches traitées à l'acétone, le taux d'avortement croît de 1,1% le ler jour à 6,3% le 5e jour pour diminuer jusqu'au taux final le 9e jour, qui n'excède pas le taux naturel de 7%. On peut penser que le taux croissant est dû à la prolongation du jeûne et que l'acétone n'est pas un abortif. Les avortements se sont produits chez les mouches qui ont reçu chacun des 14 insecticides, les taux variant avec les doses, et pour la plupart des insecticides, augmentant avecle le temps depuis le traitement. Les taux d'avortement étaient particulièrement augmentés pour les lots traités avec des doses élevées de fénitrothion. propoxur ou perméthrine, et étaient très significativement augmentés chez ceux traités avec des doses très élevées de dieldrine ou différentes doses de sumithrine, sumicidine ou deltaméthrine: tous ces taux élevés étaient enrigstrés dans le jour après le traitement.Les avortements étaient particulièrement rapides, dans les 60 minutes, pour la sumithrine, la sumicidine et la delthaméthrine. Aucune mouche traitée à l'acétone ou à l'un des 11 autres produits n'a avorté dans les 60 minutes. Beaucoup de mouches traitées aux pyréthroïdes ont présenté un effrondement rapide et prolongé, suivant la dose. Beaucoup d'oeufs et de larves avortés après traitement aux pyréthroïdes étaient couverts d'un fluide blanc et visqueux. On peut estimer que les insecticides ont provoqué l'avortement par relâchement des muscles maternels, permettant l'ouverture du vagin, le déridement de la paroi utérine et la décharge dans l'utérus des secrétions de lait accumulées dans les glandes. Ceci a réduit la friction entre les parois de l'utérus et son contenu (oeuf ou larve) qui glissait à travers l'ouverture du vagin. Il est peu vraisemblable que les avortements induits par les insecticides puissent réduire les populations pendant les traitements.
  相似文献   

3.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
  相似文献   

4.
A strain of Metaseiulus (= Typhlodromus) occidentalis (Nesbitt) was treated with increasing dosages of the pyrethroid insecticide permethrin, starting with 1 g AI/100 l. Initially, survival on dipped leaf discs was 21% at this dose. After 18 selections, the strain had developed moderate resistance (ca. 10x) with survival averaging 23% at 8 g AI/100 l. Dose mortality lines were established using sprayed leaf discs for the selected strain, the base strain from which it was derived, their reciprocal F1 hybrids, F2 progeny and backcross (to the base strain males) progeny. The respective LC50 values (in g AI/100 l) using this method are: 3.81, 0.39, 0.88, 0.75 and 0.30. Permethrin resistance in this strain probably is determined quantitatively. Field releases into orchards or vineyards of this genetically improved strain therefore should be done after a permethrin spray has been applied to facilitate replacement of native M. occidentalis populations. Unidirectional genetic incompatibility was observed in crosses between the base strain males and selected strain females. The cause of this incompatibility is unknown, but could influence release strategies or field success. The base colony is resistant to azinphosmethyl and the selected strain retained its azinphosmethyl resistance, indicating there was no negatively correlated cross resistance. There was cross resistance to other pyrethroids (fenvalerate, Shell 57706).
Résumé M. occidentalis est un important prédateur de tétranyques dans les agrosystèmes par suite de sa résistance élevée à l'azinphosméthyl. Nous avons entrepris un programme de sélection pour améliorer son efficacité par l'obtention d'une résistance à la perméthrine pyréthroïde. Une lignée a été traitée à partir de 1 g AI/100 litres, avec des doses croissantes; la survie à cette dose des femelles adultes après 48 heures sur des disques trempés de feuilles de haricots était de 21%. Après 18 sélections la survie vie moyenne à 8 g AI/100 litres était de 23%. Ce taux modeste de résistance peut permettre la survie de cette lignée dans les vergers ou vignobles traités avec des taux modérés de perméthrine (les doses appliquées varient entre 1,2 et 12 g AI/100 litres d'eau).L'analyse génétique montre que la résistance de cette lignée à la perméthrine n'est pas due à un seul gène dominant ou récessif. Les résultats s'ajustent mieux à un modèle quantitatif: aucun effet maternel ou lié au sexe n'a été observé en F1. L'introduction de cette lignée pourrait ainsi être tentée dans les vergers, vignobles ou serres sans M. occidentalis, parce qu'il n'y en a jamais eu ou parce qu'ils ont été éliminés par les traitements à la perméthrine.La résistance croisée a été observée dans cette lignée résistante, aux fenvalerate pyréthroïdes et à Shell-57706. La résistance à l'azinphosméthyl de la population initiale sélectionnée pour la résistance à la perméthrine subsiste sans qu'il y ait besoin de maintenir une sélection supplémentaire à l'azinphosméthyl.Une incompatibilité génétique a été observée dans les croisements entre les mâles des colonies initiales sensibles à la perméthrine et les femelles sélectionnées pour leur résistance à la perméthrine. La cause de cette incompatibilité génétique est inconnue, mais si elle pouvait être augmentée, elle pourrait empêcher la perte de la résistance à la perméthrine dans les cultures, puisque les croisements entre populations résistantes et sensibles à la perméthrine seraient réduits. Des essais dans les cultures avec la lignée à la perméthrine sont en cours.
  相似文献   

5.
During large-scale field experiments in 1981 and 1982, designed to assess the effects of the insecticides Fenitrothion and Sumicidin (Fenvalerate) on beneficial arthropods in spring barley, significant increases in pitfall-trap catches of Pterostichus melanarius (Illiger) were observed in treated plots compared to untreated controls, several weeks after treatment. Significantly more female P. melanarius were caught in treated plots during these post-treatment increases. Corresponding decreases were observed in prey populations following treatments. Individual female P. melanarius from treated plots had significantly fewer of their gut areas full of solid (arthropod) food when compared to those from untreated control plots.Earlier workers observed both faster recapture rates in pitfalls and higher mobility in hungry carabid beetles. The following hypothesis is suggested: reducing prey populations by the application of insecticides results in hungrier carabid beetles with consequently higher activity. Since pitfall-trap catch is determined not only by population size but also activity, it is argued that pitfall-trap catches alone cannot give a true measure of the effects of insecticides on carabid populations in the field.
Relations entre les captures de Pterostichus melanarius (Col.; Carabidae) dans des trappes, le contenu de l'intestin, et la densité de proies, dans des parcelles d'orge de printemps traitées ou non
Résumé Au cours d'essais à grande échelle, effectués en 1981 et 1982, sur orge de printemps, pour évaleur l'effet des insecticides Fenitrothion et Sumicidine (fenvalerate) sur les arthropodes utiles, un accroissement significatif des captures, dans des trappes pièges de Barber, de Pterostichus melanarius (Illiger) a été observé plusierus semaines après le traitement dans les lots traités par rapport aux lots témoins. Significativement plus de femelles de P. melanarius ont été capturées dans les parcelles traitées pendant cette période d'accroissement après traitement.Une diminution correspondante dans les populations de proies a été observée à la suite des traitements.Chaque femelle de P. melanarius des parcelles traitées avait une fraction significativement moins importance de son intestin remplie d'aliments solides (arthropodes) que celles des parcelles non traitées.Des auteurs précédents avaient observé des taux de capture plus rapides dans les trappes et ne plus grande mobilité des carabes affamés. La réduction des populations proies par l'application d'insecticides affamerait les carabes dont l'activité serait par suite plus élevée. Comme le taux de captures dans les trappes est dû à la fois à la taille de la population et à son activité, on en déduit que la capture par trappes seule ne peut donner une image exacte de l'effet des insecticides sur les populations de carabes dans les champs.
  相似文献   

6.
Median threshold responses of dieldrin-treated susceptible and resistant houseflies to sucrose solutions were compared to determine the exent of functional derangement produced by the toxicant in the central nervous system. ED50 values of sucrose were lowered below the level exhibited by untreated flies. The size of this effect depends on dose and length of exposure. The overall patterns of dieldrin-induced alterations in chemosensitivity were similar in the two strains except for the difference in the doses of the insecticide required to produce these changes. This difference in doses corresponded well with the difference in the susceptibility levels of the two strains to dieldrin. Sublethal/asymptomatic doses of the insecticide also produced increased sensitivity to sucrose in the resistant flies after 4–8 hours' exposure.
Résumé L'effet de la dieldrine sur le système nerveux central à été comparé chez des mouches sensibles et des mouches résistantes en déterminant leur sensibilité limite à des solutions de sucrose, au cours des différentes phases de l'intoxication et avec différentes doses. Il y a une apparente identité du syndrome de l'intoxication dans les deux lots de mouches, qui se manifeste par une augmentation de la sensibilité chimiotactile, la seule différence résidant dans la dose d'insecticide nécessaire pour produire ces changements. Il faut approximativement 5000 fois la dose de dieldrine causant le premier accroissement appréciable de sensibilité au sucrose chez les mouches sensibles, pour produire des effets comparables chez les mouches résistantes. On peut conclure que dans chacun des lots de mouches la résistance à la dieldrine peut s'exprimer d'après ses effets sur le comportement d'extension réflexe du proboscis en réponse à une solution de sucrose. Il y a corrélation entre le degré d'accroissement de la sensibilité chimiotactile et l'intensité de l'intoxication, que celle-ci soit produite par de fortes doses ou de plus longues expositions à de faibles doses. La sensibilité des mouches résistantes à une solution de sucrose est modifiée par des doses sublétales appliquées pendant un temps plus long, ce qui indique qu'un processus de restauration intervient.
  相似文献   

7.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
  相似文献   

8.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
  相似文献   

9.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
  相似文献   

10.
Pour rechercher son partenaire sexuel Zabrotes subfasciatus doit utiliser les signaux olfactifs émis soit par les mâles ou par les femelles. Le pouvoir attractif de l'odeur des mâles et des femelles sont donc étudiés et comparés par olfactométrie. Le comportement de mâles et de femelles vierges et inséminées, mis en contact des graines de la plante hôte ou non, est observé en fonction de l'âge des imagos. En aucun cas, les odeurs des mâles n'exercent une attraction sur les femelles. Les femelles vierges en absence de graines de haricot (Phaseolus vulgaris) n'exercent pas d'attraction sur les mâles vierges. Par contre les odeurs des femelles vierges mises en contact avec les graines de haricot sont très attractives pour les mâles vierges et varie en fonction de l'âge: il est plus affirmé chez les femelles plus âgées. L'émission de la phéromone sexuelle est interrompue après l'insémination des femelles mais reprend au bout d'un certain temps après celle-ci.  相似文献   

11.
Susceptible and insecticide resistant females of Blattella germanica (L.), Dictyoptera, were exposed to propoxur treated surfaces. They carried oothecae that were expected to hatch in 48 to 72 h. Hatch was delayed in females that retained their oothecae throughout the exposure period. Oothecal hatch and nymphal survival were reduced when oothecae hatched on a treated surface but not when oothecae were retained and hatched on an insecticide-free surface. Over half of the susceptible strain females dropped their oothecae during the exposure period while very few resistance females dropped oothecae prematurely. Mortality of susceptible females that dropped their oothecae was higher than among those that retained oothacea. A tendency in this direction was apparent among the few resistant females that dropped their oothecae. The number of nymphs that emerged on the treated surface and also that survived for 24 h was higher in the resistant than in the susceptible strain. Newly hatched nymphs were frequently attached to the oothecae due to an inability to shed the embryonic cuticle.
Résumé Des femelles de B. germanica, sensibles ou résistantes aux insecticides, ont été mises en présence de surfaces traitées au propoxure. Elles portaient des oothèques dont l'éclosion était attendue entre 48 et 72 h plus tard. Les éclosions ont été retardées, les femelles ayant conservé leurs oothèques pendant toute la période d'exposition. Lex taux d'éclosion des oothèques et de survie larvaire ont été normaux quand il y a eu rétention de l'oothèque et émission sur une surface saine, par contre ils étaient réduits quand l'oothèque a été émise sur une surface traitée. Plus de la moitié des femelles de la souche sensible ont laché leur oothèque pendant la période d'exposition tandis que très peu de femelles de la souche résistante ont abandonné leur oothèque prématurément. La mortalité était plus élevée chez les femelles sensibles qui ont perdu leur oothèque que chez celles qui l'avaient conservée. Une tendance du même type était décelable parmi les quelques femelles de la souche résistante qui perdirent leur oothèque. Le nombre d'écolosions de larves et le nombre de survies larvaires à 24 h étaient plus élevés dans la souche résistante que dans la souche sensible. Les larves néonates étaient souvent fixées à l'oothèque par suite de leur incapacité à se dépouiller de la cuticle embryonnaire.
  相似文献   

12.
Dieldrin is a potent inducer of microsomal naphthalene hydroxylase and heptachlor epoxidase in the housefly, causing up to five-fold increases in the activities of these enzymes. The activation of these detoxifying enzymes is also demonstrated in vivo by a reduction in the susceptibility of the dieldrin-treated insects to carbaryl. The inductive effect is prevented in insects treated with the drug cycloheximide, an inhibitor of protein synthesis. Dieldrin-treated flies also incorporate more amino acid into protein. Under similar experimental conditions, DDT is a less effective inducer. Three housefly strains, all resistant to dieldrin but with differing levels of microsomal oxidase activity, were compared in terms of dieldrin dose, rate of appearance of the inductive effect, response on aging, and response to a second treatment with dieldrin. All of the strains, both male and female, were induced, as indicated by increased epoxidation of heptachlor. However, the strain with the lowest pretreatment microsomal oxidase activity, dieldrin-curly wing, responded least while the strain with the highest basal microsomal oxidase activity, Isolan, responded most to the dieldrin treatment. Comparing the three strains on the basis of maximum increases in heptachlor epoxide production, induction in the Isolan and Orlando strains was approximately three and two times, respectively, that found in the dieldrin-curly wing strain. It is suggested that this difference in response to the inducing agent represents differences in the number of structural genes for oxidase synthesis in the three strains. The results are discussed in terms of genetic control.
Résumé Chez la mouche domestique, la dieldrine est un inducteur efficace de la naphtalène-hydroxylase et de l'heptachlore-epoxydase, augmentant jusqu'à cinq fois l'activité de ces enzymes. L'activation de ces enzymes de détoxification est démontrée aussi in vivo, par une baisse de la sensibilité au carbaryl des insectes traités à la Dieldrine. L'effet inducteur est supprimé par un inhibiteur de la synthèse des protéines, la cyclo-heximide. De même l'incorporation des acides aminés dans les protéines est diminuée chez les mouches traitées à la Dieldrine. Dans des conditions expérimentales équivalentes, le D.D.T. est un inducteur moins efficace. Trois souches de mouches domestiques, toutes les trois résistantes à la Dieldrine, mais dont les oxydases possèdent des niveaux d'activité différents, ont été comparées pour les facteurs suivants: dose de Dieldrine, taux d'apparition de l'effet inducteur, âge, et effet d'un second traitement à la Dieldrine. L'induction se vérifia, dans toutes les souches, à la fois chez les mâles et les femelles, par une augmentation du taux d'époxydation de l'heptachlore. Cependant, la souche possédant à l'origine la plus faible activité oxydasique, la souche «dieldrin-curly wing», a une réponse inférieure à la souche «Isolan» dont les oxydases possèdent la plus forte activité originelle. En comparant les 3 souches pour leur production d'époxyde d'heptachlore, l'induction chez les souches «Isolan» et «Orlando» est respectivement environ 3 et 2 fois celle trouvée dans la souche «dieldrin-curly wing». Il est suggéré que cette différence de réponse à l'agent inducteur, représente des différences dans le nombre des gènes de structure responsables de la synthèse des oxydases dans les 3 souches. Les résultats sont discutés en termes de déterminisme génétique.


Oregon Agricultural Experiment Station, Technical Paper No. 2814.

This work was supported by grant no. ES00362-12, USPHS.  相似文献   

13.
Gross pathological changes in Malpighian tubules of adult male Melanoplus sanguinipes (Fab.) infected by the protozoan Malameba locustae (King & Taylor) included hypertrophy, rupture of the wall, loss of pigment and presence of melanotic lesions. Infected grasshoppers also had depleted fat bodies and were hyperactive and more resistant to the insecticide, cypermethrin.
Résumé Des Melanoplus sanguinipes adultes mâles, infectés par le protozoaire parasite, Malameba locustae mûrissent au même taux et avec le même poids que les sains. Cependant, les acridiens infectés, une semaine et deux semaines après l'aptitude à l'envol, étaient hyperactifs et significativement plus résistants à la prostration provoquée par la cyperméthrine (insecticide pyrèthroïde). Les modifications pathologiques brutes observées sur les tubes de Malpighi des acridiens infectés comprenaient l'hypertrophie, la rupture de la paroi, la perte de la pigmentation et des lésions mélaniques. Les insectes infectés ont aussi un épuisement du corps gras. Ces modifications pathologiques ne sont apparemment pas responsables de l'augmentation de la résistance à la cyperméthrine des individus infectés puisque la plus grande résistance à la prostration a eu lieu chez ceux qui ont été exposés à M. locustae et traités simultanément au Triple-Sulpha-G pour empêcher le développment du parasite.
  相似文献   

14.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
  相似文献   

15.
Techniques for 32P labelling of larvae and adults of the screw-worm fly, Chrysomya bezziana, are described. Egg masses of labelled flies were readily identified. At the doses used for field releases, oviposition activity, fecundity, fertility and longevity of female flies were not adversely affected. Radioactive egg masses were recovered from sentinel animals following field release of labelled flies.
Résumé Cet article décrit les techniques utilisées pour marquer avec le 32p les larves et adultes de Chrysomya bezziana. Les pontes des mouches marquées ont été aisément identifiées. Aux doses utilisées pour le relâchement des insectes dans la nature, ni l'activité de ponte, ni la fécondité, fertilité et longévité des femelles n'ont été défavorablement modifiées. Les pontes radioactives ont été recueillies sur des animaux-pièges mis en place après le lâcher des mouches marquées.
  相似文献   

16.
The effects of diet during the fifth stadium on performance of adult N. viridula were determined through comparing growth, fecundity, and duration of tethered flight of insects reared on four axenic diets: fresh green bean, raw-shelled peanut, a combination of the two and soaked soybean seed. Females reared on the combination diet were heavier than those reared on green beans and oviposited more than those reared on peanuts. Three-day-old adult females reared on peanuts flew longer than those reared on green beans. More females reared on diets containing mature seed showed a capacity for extended flight and had larger fat bodies at 34-days postemergence. Thus, inadequate diet during the fifth stadium irreversibly affected growth, development, reproduction and flight capacity.
Résumé Les effets du régime alimentaire pendant le 5ème stade sur les performances imaginales de N. viridula ont été déterminés en comparant la croissance, la fécondité, la durée du vol captif, et l'accumulation de corps gras chez des insectes élevés sur 4 régimes stérilisés. A partir de la formation des larves de 5ème stade, elles ont été alimentées sur haricots verts et arachides, ou transférées sur un régime formé exclusivement d'arachides, ou de haricots verts, ou de graines de soja trempées, cependant la durée du 5ème stade. Les insectes ont été transférés sur un régime de haricots verts et arachides à leur émergence.Les femelles élevées continuellement de haricots verts et arachides étaient plus lourdes (P<0,01) à l'émergence (161,6 mg) que celles élevées sur haricots verts (146,3 mg) pendant le 5ème stade, et pondent plus d'oeufs (P<0,08) pendant une durée de 34 jours (100,9 oeufs) que celles élevées sur arachides (54,7 oeufs). Plus de femelles élevées sur haricots verts et arachides (76,2%) pondent que celles élevées sur arachides (61,1%), soja trempé (62,5%), ou haricots verts (60,9%).Les femelles élevées sur arachides volaient plus longtemps (P < 0,01) (42,9 mn) que celles élevées sur haricots verts (19,8 mn) pendant des vols captifs le 3ème jour après l'émergence. 78% de toutes les femelles élevées sur arachides volaient >-30 mn, contre 50% pour celles élevées sur haricots verts et arachides, ou soja trempé, et 35% pour celles élevées sur haricots verts. Seulement 7% des femelles élevées sur haricots verts volaient à la 60ème minute à la fin du test, contre 25% pour les femelles soja trempé, 33% pour les femelles haricots verts et arachides, et 47% pour celles élevées sur arachides. Les femelles ont été disséquées 34 jours après l'émergence pour déterminer l'importance du corps gras. Les indices de corps gras (Kiritani, 1963) montraient que les femelles élevées sur arachides (1,8) et graines de soja (1,7) ont apparemment un corps gras plus développé que celles élevées sur haricots verts et arachides (1,5), our haricots verts (1,2), pendant le 5ème stade.Ces résultats montrent que l'alimentation pendant le dernier stade larvaire de N. viridula affecte irréversiblement la croissance, la fécondité et l'aptitude au vol des femelles. En estimant que des résultats semblables auraient été obtenus avec des insectes élevés sur ces 4 aliments depuis l'éclosion, haricots verts et arachides constituent le meilleur aliment pour l'élevage de N. viridula. Ce régime fournit une graine mûre, vraisemblablement nécessaire pour l'accumulation d'un corps gras suffisant et une aptitude au vol migratoire, et une plante verte qui fournit les aliments apparement essentiels à l'ovogenèse.
  相似文献   

17.
We document individual and age-specific variation in reproductive output and clutch size of Anastrepha ludens Loew. (Diptera: Tephritidae). The influence of host size, color, and density on clutch size are also examined. Individual and groups of flies were offered artificial hosts composed of agar spheres wrapped in Parafilm. The gross reproduction rate of individual flies was 1000 eggs/female and 165 clutches/female with a range of 1 to 40 eggs/clutch. Mean clutch sizes for these females ranged from 4.5 to 10.6 eggs/clutch. The number of eggs/clutch laid by females held in groups was highly correlated with host size, ranging from about 4.4 eggs/clutch in 2 cm diameter hosts to 12.7 eggs/clutch in 11 cm hosts. Host color, host density, fly density, and fly age did not affect clutch size. This study suggests that variation among females and host size are the principal determinants of clutch size in A. ludens.
Résumé L'examen a porté sur l'influence du polymorphisme et des modifications dues à l'âge des mouches sur la fécondité et la taille des pontes de A. ludens Loew (Dipt. Tephritidae). L'étude a concerné aussi l'influence de la dimension, de la couleur et de la densité des hôtes sur la taille des pontes. Des mouches isolées ou par groupes ont reçu des hôtes artificiels formés de sphères d'agar enveloppées dans du parafilm. La fécondité brute de femelles isolées a été de 1000 oeufs/femelle et de 165 pontes/femelle, avec une variation de 1 à 40 oeufs/ponte. La taille moyenne des pontes des différentes femelles isolées s'étalait de 4,5 à 10,6 oeufs/ponte. Le nombre d'oeufs/ponte des femelles groupées était fortement liée à la dimension de l'hôte, s'étalant de 4,4 oeufs/ponte pour des hôtes de 2 cm de diamètre à 12,7 oeufs/ponte pour ceux de 11 cm de diamètre. Ni la couleur et la densité des hôtes, ni la densité et l'âge des mouches n'ont influé sur la taille des pontes. Ces résultats suggèrent que les variabilités du comportement des femelles et de la dimension des hôtes déterminent par priorité la taille des pontes de A. ludens.
  相似文献   

18.
A method for the application of sterile male technique in Ornithodoros tholozani is described and its practicality is discussed.Techniques for rearing large numbers on rats, and feeding through artificial membranes are given.Nymphs are prevented from molting at doses of 2000r and above if applied before feeding. Both sexes emerging from nymphs irradiated by more than 2000r, two weeks after feeding, are sterile. These males are not competitive due to lack of sperm.Females become sterile after irradiation by more than 2000r, whereas males require 16000r in order to induce 99% dominant lethality. These males proved to be effective in competing with normal males.
Études sur l'application à la tique, Ornithodoros Tholozani, de la méthode de stérilisation
Résumé La tique O. tholozani, qui est le vecteur de la fièvre recurrente humaine, se trouve en tant que populations isolées, généralement dans des cavernes dans tout le Proceh Orient. Les tiques rampent profondément dans le sol et résistent plusieurs années à l'inanition.On a développé une méthode de lutte contre cette tique par l'inondation de l'habitat avec des mâles stériles.L'élevage en masse des tiques a été effectué en les nourrissant sur rats à un intervalle de deux mois, ou en les nourrissant de sang de buf défibriné sur des membranes artificielles.Les tiques ont été stérilisées en les irradiant avec une source Co60 émettant 7700r/min. Les nymphes irradiées avec 2000 r et plus n'ont pas mué si elles ont été irradiées avant d'avoir reçu la nourriture. Si elles ont été irradiées deux semaines après avoir reçu la nourriture, les adultes formés sont devenus stériles. Les mâles obtenus des nymphes traitées ne contenaient pas de sperme, et à cause de cela, n'ont pas été des concurrents des mâles normaux.Les femelles adultes irradiées avec 2000r sont devenues stériles. Les mâles adultes nécessitent 16000r pour causer 99% de léthalité dominante dans le sperme. Ces mâles ont prouvé être effectifs en compétition avec les mâles normaux, pour une période suffisamment longue. Pendant cette période les mâles n'ont pas recouvré leur fertilité.L'alimentation sur sang immédiatement après l'irradiation n'a pas affecté les mâles, mais seulement quelques tiques ainsi traitées ont pris difficilement une seconde nourriture.A cause de cela, on fît un plan de nourrir les tiques sur membranes, après irradiation et avant d'être lâchées.


This investigation was supported by a grant from the Ford Foundation.  相似文献   

19.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
  相似文献   

20.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号