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1.
Résumé L'étude en laboratoire de la biologie du développement deAmblyseius andersoni, Neoseiulus fallacis, Galendromus longipilus etTyphlodromus pyri a permis de calculer les seuils de développement et le taux intrinsèque d'accroissement naturel à 20°C lorsque ces espèces sont nourries avecTetranychus urticae. Le taux de fécondité spécifique à l'age des 4 espèces a été déterminé en utilisant comme proie soitT. urticae, soitPanonychus ulmi. PourA. andersoni et pourT. pyri, P. ulmi constitue une nourriture meilleure queT. urticae, contrairement àN. fallacis etG. longipilus, dont le taux d'accroissement est supérieur quand ils se nourrissent deT. urticae. PourG. longipilus, P. ulmi constitue même une nourriture nettement suboptimale. Pour les femelles de toutes les espèces on a pu mettre en évidence la faculté d'adapter le taux de fécondité et la durée d'oviposition au nombre des proies disponibles. En termes de fécondité, cela permet à ces espèces de réaliser presque tout leur potentiel, indépendamment de la ration quotidienne de nourriture.   相似文献   

2.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

3.
Lorsque 2 femelles ou 3 femelles de l'ectoparasite D. vagabundus parasitent conjointement un même lot d'hôtes l'intensité du grégarisme larvaire s'accroît par rapport à celui observé en présence d'une seule femelle pondeuse. Cela se traduit par une augmentation significative du nombre moyen de descendants des 2 sexes mais la production moyenne en fils est toujours très inférieure à celle des filles. Cependant, lorsque la densité de femelles pondeuses passe de 1 à 3, le rapport des sexes mâles/femelles des descendants évolue vers l'unité traduisant une augmentation plus rapide de l'effectif des fils que des filles.  相似文献   

4.
G. Morel 《BioControl》1974,19(1):85-95
Le scorpionButhus occitanus (Amoreux) infectéper os élimineBacillus thuringiensis (Berliner) dans ses déjections d'une manière progressive et en relation avec la prise de nourriture. Après inoculation dans l'hémocoele les germes peuvent persister longtemps dans l'hémolymphe sans que les animaux présentent des symptômes pathologiques. Seules les doses très élevécs conduisent à une septicémie. La DL 50, supérieure à 2,5 millions de bactéries, montre la très grande résistance de ces Arachnides à cette infection bactérienne.  相似文献   

5.
Résumé

Au cours des dernières décennies, les essais de régénération du chêne-liège en forêt de la Mamora se sont heurtés à des attaques massives de vers blancs sur les racines des jeunes plants, avec un taux de réussite des plantations ne dépassant guère 12% dans la majorité des parcelles de régénération. La biologie de Sphodroxia maroccana Ley (Coleoptera : Melolonthidae), le ravageur principal, a été en partie élucidée, avec encore des lacunes concernant la période exacte ?émergence des mâles par rapport aux femelles, la longévité des imagos et la sex-ratio. La sècheresse esti vale est parmi les autres causes de dépérissement des jeunes plants. Lors de la première année suivant la plantation dans des parcelles expérimentales, la mortalité cumulée due aux attaques larvaires et à la sècheresse a varié entre 41% et 68% selon les blocs considérés dans les parcelles. La mortalité liée aux attaques des larves de S. maroccana était comprise entre 24 et 43%, avec une distribution en taches des dégâts, plus ou moins importantes selon la densité initiale des plants. L’isolement par micro-extraction en phase solide des effluves femelles de S. maroccana a permis ?identifier le résorcinol (1,3-benzènediol) comme composé phéromonal présumé. La fonction de cette molécule comme phéromone reste toutefois à démontrer.  相似文献   

6.
Pour déterminer la ration minimale d'eau nécessaire à la survie de Locusta migratoria migratorioides (R. et F.) adulte et les repercussions d'un stress hydrique prolongé sur le fonctionnement ovarien, nous avons séparé le facteur eau du facteur aliment en élevant les criquets de l'éclosion à l'âge adulte avec des germinations de blé lyophilisé, selon une technique décrite par Louveaux et al. (1980). Il est montré que la quantité d'aliments ingérée augmente avec la quantité d'eau bue (r = 0,91). La relation linéaire déterminée permet inversement, connaissant les quantités d'aliments ingérés, d'évaluer à 300 μl la ration quotidienne d'un criquet ayant un accès non limité à l'eau de boisson. Les femelles qui n'ont reçu que 50 μl d'eau par jour (j.) sont mortes avant le 9ème jour de traitement. La survie est assurée à partir de 100 μl/j. L'avancement de la vitellogenèse est également en relation avec la quantité d'eau absorbée quotidiennement. Aucun développement ovarien ne se produit jusqu'à 100 μl/j. Une vitellogenèse ralentie commence à partir de 150 μl/j. et elle devient normale à 300 μl/j. avec des pontes comparables à celles des témoins nourris de blé frais.  相似文献   

7.
Dans la nature, les ♀♀ d'A. obtectus pondent dans les gousses sèches de P. vulgaris, par des fentes de déhiscence, ou après avoir pratiqué avec leurs mandibules une perforation sur une suture de la gousse (généralement la suture ventrale). Le taux de contamination est déjà très fort (0.40) après seulement 2 à 3 jours d'exposition au stade phénologique propice à la ponte. Ce taux augmente avec la durée d'exposition mais se stabilise assez vite pour des durées supérieures à 5 jours. Par contre, le nombre d'?ufs déposés par gousse contaminée augmente régulièrement en fonction de la durée d'exposition, les ♀♀ concentrant leur ponte dans certaines gousses en utilisant la même perforation. Ces résultats permettent de discuter les hypothèses émises à la suite de travaux ayant mis en évidence, au laboratoire, l'existence, chez A. obtectus, de «phéromones répulsives» de marquage du lieu de ponte. A. obtectus — P. vulgaris — Oviposition behaviour— Eggs distribution. A. obtectusP. vulgaris — comportement de ponte — distribution des pontes. Nous remercions le Professeur V. Labeyrie pour son aide critique.  相似文献   

8.
Résumé L'endoparasito?deMicrocharops anticarsiae (Hym.: Ichneumonidae), est un des agents naturels de régulation d'Anticarsia gemmatalis (Lep.: Noctuidae). La préférence pour un stade de l'h?te, les effets sur la sex ratio et la réponse fonctionnelle ont été étudiés expérimentalement chezM. anticarsiae pour six densités différentes de l'h?te. Dans des expériences de choix impliquant 2 stades de développement consécutifs ou dans les cas où étaient offerts en même temps les quatre premiers stades larvaires, les femelles du parasito?de n'ont présenté aucune préférence pour un stade donné. Ces résultats montrent que les femelles deM. anticarsiae acceptent tout h?te disponible indépendamment de son stade. La sex ratio présente des différences significatives entre les quatre stades de l'h?te (G3df=18.21, p<.001). La sex ratio du parasito?de est plus favorable aux femelles chez les larves se développant dans le 4e stade de l'h?te. Une réponse fonctionnelle de type II a été observée chez les parasito?des femelles en réponse à des densités variables de l'h?te. Ces informations fondamentales concernant les effets de la sex ratio ont montré quel est le stade de l'h?te qui doit être parasité pour obtenir la sex ratio la plus favorable aux femelles, tandis que la réponse fonctionnelle a fourni le taux moyen (38.0±7.5) de parasitisme par femelle. Ces informations sont importantes pour la production en masse deM. anticarsiae pour le programme de lutte biologique.   相似文献   

9.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

10.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

11.
Investigations with the sugarcane borer sex pheromone have been conducted in the laboratory and field since 1964 to: (1) develop a suitable synthetic diet for rearing large numbers of larvae; (2) develop a reliable bioassay to aid chemical studies of the pheromone; (3) study male response in the field to the pheromone; (4) determine the effects on natural populations of trapping males in small field plots; and (5) identify the pheromone. More than 1,000,000D. saccharalis have been reared on synthetic diets during the past 4 years. Bioassay techniques for detecting active fractions separated during chemical studies have been developed. Statistically significant reductions in sugarcane borer infestations and damage to sugarcane have been attained in small replicated field plots. Male movement in the field has been studied utilizing marking and release techniques. About 1400 males of the bluegrass webworm,C. teterrellus, responded to cagedD. saccharalis females during two years of field work, thus providing evidence for a lack of species specificity of the pheromone.
Résumé La découverte en 1964 d’une phéromone sexuelle efficace chez le foreur de la canne à sucre,Diatraea saccharalis (F.) a stimulé la recherche pour identifier et synthétiser la phéromone et faire l’étude de ses possibilités d’emploi dans la lutte contre ces ravageurs.D. saccharalis est le principal insecte nuisible à la canne à sucre en Louisiane où il cause environ 13% des pertes annuelles. Les femelles vierges commencent à émettre ce produit chimique après l’émergence et elles sont le plus attractives pendant les trois premiers jours de vie, ensuite l’attraction diminue avec l’age. Généralement les femelles cessent d’attirer les males après l’accouplement et la majorité des femelles s’accouplent seulement une fois dans la nature, où l’activité sexuelle a lieu entre une heure et quatre heures du matin. Plus d’un million de larves ont été élevées en laboratoire ces quatre dernières années. Environ 75% des abdomens des femelles obtenues ont été utilisés par les chimistes qui cherchent à identifier la phéromone. Des réductions significatives de l’infestation par le foreur et des préjudices à la canne à sucre ont été enregistrées dans de petites parcelles où étaient disposés 400 à 800 pièges par acre, chaque piège contenant une femelle vierge. Il n’y a pas eu de réductions significatives l’année suivante quand la densité des pièges a été réduite à 80 par acre, cependant les captures de males ont augmenté de presque 2,5 fois. Les nombres de males marqués recapturés au point de lacher ne diffèrent pas significativement si les lachers ont été faits à des distances de 40, 80, 160 et 320 pieds du piège renfermant les femelles vierges, et seulement 4,44 pour cent des males ont été recapturés. Ces phénomènes sont peut être dus à la dispersion des males à partir des points de lacher avant leur réponse à la phéromone. Le manque de spécificité de la phéromone a été déjà signalé. Pendant les deux ans d’essais dans la nature, les pièges avec les femelles vierges deD. saccharalis ont attiré beaucoup de males deCrambus teterrellus Zincken.


Presented at the symposium OILB on borers of graminaceous plants. Paris, 24th sept. 1970.  相似文献   

12.
The following aspects ofHypoaspis miles' biology were investigated; development rate of egg to adult at different temperatures, fecundity, longevity and rate of predation on sciarids. With an increase in temperature the time taken for development decreased from 33.7 days at 15°C to 9.2 days at 28°C. The threshold temperature forH. miles to complete its life cycle was between 10° and 12°C. When fed onAcarus siro, H. miles laid 2–3 eggs a day and unfertilized eggs only developed into males. Adults ofH. miles (0–1 day old) survived for 24.0±1.4 days without food and if fed for 6 days and then starved, females lived for 65.4±2.6 days which was significantly longer than males (45.2±3.0 days). With food, 60% of males and females survived for 142 days. All larval instars of sciarids were attacked byH. miles although the numbers consumed were dependent on the size of the larvae. Egg predation was negligible and pupae were not attacked. In productivity studies ofH. miles in culture (fed onA. siro), the time taken for the mites to reach a density of 45–65,000/litre ranged from 76 to 23 days at 15° and 28°C respectively.
Résumé Différents aspects de la biologied'Hypoaspis miles sont examinés: vitesse de développement de l'oeuf à l'adulte à différentes températures, fécondité, longévité et voracité sur les sciarides. Avec une augmentation de la température, la durée du développement passe de 33,7 jours à 15°C à 9,2 jours à 28°C. La température minimale qui permet le développement complet deH. miles est située entre 10 et 12°C. Quand il est nourri d'"itAcarus siro, H. miles pond 2 à 3 oeufs par jour et seuls les oeufs non fécondés donnent des males. Les adultes deH. miles (agés de 0 à 1 jour) survivent pendant 24±1,4 jours sans nourriture et si elles sont nourries pendant 6 jours puis privées de nourriture, les femelles vivent 65,4±2,6 jours, ce qui est significativement plus long que les males (45,2±3 jours). Avec de la nourriture, 60% des males et des femelles vivent pendant 142 jours. Toutes les larves de sciarides sont attaquées parH. miles, mais le nombre de proies consommées dépend de la taille des larves. La prédation des oeufs est négligeable et les pupes ne sont pas attaquées. Dans des études sur la productivité deH. miles en élevage (nourri deA. siro), la durée nécessaire aux acariens pour atteindre une densité de 45–65 000/1 est de 76 et 23 jours à 15°C et 28°C respectivement.
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13.
Résumé. La leishmaniose cutanée est un important problème de santé publique dans la province de Sidi Kacem au nord-ouest du Maroc. L'incidence de cette affetion, due aussi bien à Leishmania tropica qu'à L. infantum est en augmentation progressive depuis 1997. La présente étude a été menée dans le but d'étudier l'écologie et la dynamique des populations des vecteurs de cette maladie dans les principaux foyers de cette province. Un total de 4504 spécimens appartenant à deux genres et six espèces a été capturé à l'aide de pièges adhésifs et lumineux, dans cinq foyers. Les espèces dominantes sont Phlebotomus sergenti représentant 42,6% du total des phlébotomes capturés et P. longicuspis avec 27,2% des captures. Ces deux espèces sont présentes de mai à novembre et évoluent en deux générations avec deux pics de densité, le premier en juin et le second en septembre. En considérant la grande spécificité vecteur-parasite connue en épidémiologie des leishmanioses ainsi que l'abondance des espèces capturées pendant la saison favorable à la transmission, P. sergenti et P. longicuspis seraient respectivement les vecteurs les plus probables des leishmanioses à L. tropica et à L. infantum dans la région étudiée. Le risque de transmission de la maladie serait plus grand durant le deuxième pic de densité en fin été- début automne.  相似文献   

14.
《Biometrics》2008,64(2):669-669
Simple, Defensible Sample Sizes Based on Cost Efficiency Il est d'usage de choisir une taille d'échantillon garantissant une puissance de test de 80% ou plus, sans prendre en compte le coût impliqué. Mais dans la pratique les chercheurs comme les financeurs ne peuvent souvent pas ignorer les coûts. Nous proposons ici et nous justifions une nouvelle approche pour choisir la taille d'échantillon en fonction de la rentabilité, définie comme le rapport de la valeur scientifique et/ou pratique projetée de l'étude à son coût total. Nous montrons que la valeur projetée d'une étude, pour une large variété de définitions de cette valeur, offre des rendements marginaux décroissants quand la taille de l'échantillon augmente. Nous pouvons alors définir deux choix simples qui peuvent être défendus comme étant plus rentables que tout échantillon de taille supérieure. La première méthode choisit la taille d'échantillon qui minimise le coût moyen par sujet. La deuxième choisit la taille d'échantillon qui minimise le coût total divisé par la racine carrée de la taille d'échantillon. Cette dernière méthode est en théorie plus justifiable pour des études innovantes, mais elle reste raisonnablement satisfaisante et peut se justifier aussi dans d'autres cas. Par exemple, si la valeur projetée de l'étude est proportionnelle à la puissance du test d'une hypothèse donnée et que le coût total est une fonction linéaire de la taille d'échantillon, alors cette méthode garantit une puissance supérieure à 90% ou une rentabilité supérieure à celle de tout échantillon assurant cette puissance. Ces méthodes sont faciles à appliquer, basées sur des données fiables, et bien justifiées. Elles devraient donc être considérées comme des solutions acceptables pour remplacer les méthodes classiques courantes.  相似文献   

15.
D. Bar  D. Gerling 《BioControl》1971,16(1):19-36
The developmental history, longevity and fecundity ofPteroptrix smithi (Compere) are described and discussed. Both sexes develop as primary parasites ofChrysomphalus aonidum (L.). Developmental duration at 26°C averages 25 days and the average fecundity at this temperature is 26.5 eggs for unmated and 21.4 eggs for mated females. Under laboratory conditions 50–80% of the eggs are laid during the first few days of adult life. Longevity of females ranges from a maximum of 44 days at 20°C to a minimum of 15 days at 32°C. Male longevity does not differ significantly.
Résumé Les deux sexes sont parasites primaires de la CochenilleChrysomphalus aonidum L. La durée du développement à 26°C est en moyenne de 25 jours et la fécondité moyenne à cette température est de 26,5 œufs chez les femelles vierges et 21,4 œufs chez les femelles accouplées. Au laboratoire 50 à 80% des œufs sont déposés au cours des tout premiers jours de la vie imaginale. La longévíté des femelles varie de 44 jours à 20°C à 15 jours à 32°C, celle des males n'est pas significativement différente.


Dedicated to Prof.H. Mendelssohn on the occasion of his 60th birthday.  相似文献   

16.
B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

17.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

18.
The searching strategies ofOrius insidiosus (Say) exposed to various densities of the soybean thrips,Sericothrips variabilis (Beach), were observed on soybean trifoliolates under laboratory conditions. The effects of prey density on the predator's searching speed and feeding time were evaluated. Predator searching speed and feeding time per soybean thrips declined with increases in prey density. The greatest number of predator-prey encounters occurred on the upper midrib of the soybean trifoliolate. Adult soybean thrips were captured in 45 and 56% of their total encounters with adult male and femaleO. insidiosus, respectively. Running was found to be the primary escape tactic used by soybean thrips in response to attack byO. insidiosus.
Résumé Les stratégies de recherche deOrius insidiosus (Say) exposé à des densités variées de thrips du soja,Sericothrips variabilis (Beach), furent observées sur du soja à 3 folioles en laboratoire. Les effets de la densité de la proie sur la vitesse de recherche et sur le temps nécessaire au prédateur pour se nourrir furent évalués. La vitesse de recherche et le temps de nourriture du prédateur sur le thrips du soja déclinèrent avec l'accroissement de la densité de la proie. Les rencontres prédateur-proie eurent lieu dans leur majorité dans la partie supérieure de la nervure du soja. Les thrips du soja adultes furent capturés respectivement dans 45 et 65% du total de leurs rencontres avec des males et des femelles adultesO. insidiosus. Courir s'est avéré être la tactique primaire de fuite utilisée par les thrips de soja en réponse aux attaques deO. insidiosus.


This paper (No. 80-7-204) is in connection with a project of the Kentucky Agricultural Experiment Station and is published with the approval of the Director.  相似文献   

19.
Les criquets représentent un taxon central dans les chaînes alimentaires et sont de bons indicateurs à la fois des caractéristiques des milieux et des perturbations de leurs habitats. Associés exclusivement aux habitats herbacés pérennes, ils sont menacés dans les zones d’agriculture intensive. Du fait de leur importance dans les réseaux trophiques, notamment comme ressources alimentaires pour un grand nombre d’espèces aviaires, ils font l’objet d’une attention croissante des écologistes et des gestionnaires des milieux dans le cadre d’études de conservation pour évaluer quantitativement leurs populations. L’objectif de cette étude est de décrire une technique d’échantillonnage et un plan d’échantillonnage destinés à estimer la densité de criquets dans les milieux prairiaux. Cette étude se base sur 7 années d’observations de terrain, menées sur un vaste site d’étude en plaine agricole intensive. Nous montrons que le biocénomètre d’1 m2 de base est une technique robuste vis-à-vis des conditions de température durant l’échantillonnage. L’étude établit pour l’ensemble des espèces et pour deux espèces particulières, Pezotettix giornae et Calliptamus italicus, la relation qui lie la variance et la moyenne des effectifs par m2. C’est grâce à cette relation qu’on peut établir les tailles d’échantillons qui permettent d’atteindre des objectifs de précision choisis pour les estimateurs de la densité. Nous montrons que la réalisation de 15 lancers aléatoirement par parcelle permet d’obtenir des estimations de la densité de criquets/m2 dont la précision, définie par l’intervalle de confiance, varie selon la densité de 50% pour les densités inférieures à 1/m2 à 30% pour les densités de 2 à 7/m2 et à 20% pour les densités supérieures à 7/m2.  相似文献   

20.
La durée de conservation dans deux types de sol: une tourbe de pH=3,5 et une terre argilo-sableuse de pH=6,6, de trois agents pathogènes pour les larves du Hanneton commun,Melolontha melolontha L.:Bacillus popilliae var.melolontha, Rickettsiella melolonthae, Entomopoxvirus melolonthae a été étudiée en contaminant par le broyat de larves atteintes de chacune des maladies 4 litres de ces deux substrats qui ont été répartis en boîtes de polystyrène et en pots à fleurs placés soit dans un sol engazonné à l'extérieur, soit en laboratoire à 5°, 13° et 20°C. A intervalles réguliers des larves jeunes ont été mises en élevage à 20°C dans ces substrats contaminés. Après 4 ans le virus détermine sensiblement la même mortalité quelles que soient les modalités de conservation du sol. Mais l'altération du pouvoir pathogène en fonction du temps se traduit par une augmentation très signifcative des délais de manifestation de la maladie. Par contre la bactérie et la rickettsie perdent beaucoup de leur activité au bout de deux ans. La persistance d'un pouvoir pathogène des rickettsies introduites dans le sol est facilitée lorsqu'il s'agit de terre plutôt que de tourbe et si celle-ci est maintenue à basse température. Les conséquences épizootiologiques de ces résultats sont décrites en fonction du cycle évolutif du Hanneton commun: un délai de survie du germe de deux ans est nécessaire pour le maintien d'une maladie des vers blancs dans un site donné compte tenu de la période, de cette aurée, pendant laquelle l'activité larvaire est nulle ou insuffisante pour assurer la contamination des insectes, lorsque celle-ci s'effectue par voie orale.  相似文献   

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