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1.
Résumé Chez le cobaye, une injection intracardiaque d'alloxane de 200 à 400 mg/kg provoque des altérations hépatiques bien caractérisées:4–12 heures après l'injection, les lésions sont déjà étendues: stase sanguine avec dilatation considérable des veines périlobulaires et des capillaires, immigration massive, par voie sanguine, de granulocytes neutrophiles, rupture des capillaires des zones périportales par destruction pycnotique des cellules endothéliales. Les cellules hépatiques de la zone périlobulaire dégénèrent par vacuolisation aqueuse aboutissant à la lyse cellulaire.24 heures après l'injection, les altérations hépatiques ont atteint leur degré maximum, de vastes lacunes, résultant de la lyse cellulaire et remplies de sang extravasé, encerclent des espaces de Kiernan plus ou moins détruits; en bordure de ces lacunes, les endothéliums manquent sur une certaine distance et, dans cette zone, les cellules hépatiques sont moins vacuolisées qu'au stade précédent. Les premiers bourgeons de régénération apparaissent aux depens des régions les moins altérées des espaces de Kiernan.48 heures après l'injection, les lésions sont en grande partie réparées; la fréquence des mitoses dans les cellules hépatiques saines, en bordure lésions assure la régénération de ces éléments; tandis que des bourgeons de régénération périportaux sont responsables de la reconstruction de nouveaux espaces de Kiernan et probablement de la néoformation des endothéliums des capillaires.L'étendue des lésions dépend de la quantité d'alloxane injectée et de la voie d'injection; à dose égale, les lésions; provoquée par injection intrapéritonéale sont beaucoup moins accusées que par voie intracardiaque.Il existe une relation étroite entre la quantité de glycogène contenue dans les lobules hépatiques et l'étendue des zones nécrotiques; à dose égale d'alloxane, les altérations sont nettement moins accusées dans les foies riches en glycogène que dans ceux qui en sont dépourvus.L'intoxication alloxanique ne provoque pas chez le cobaye de dégénérescence graisseuse hépatique dans les 48 heures qui suivent l'injection.Ge travail est dédié au professeur Eugène Bujard, directeur de l'Institut d'Histologie de l'Ecole de Médecine de Genève, en l'honneur de ses 70 ans, en hommage de profonde estime et de très grande reconnaissance.  相似文献   

2.
Résumé Des hypophyses de jeunes rats de 10 jours greffées sous la capsule du rein exercent une activité lutéotrophique alors que, lorsqu'elles sont transplantées en divers points de l'hypothalamus, elles n'ont pas exercé cette action. Dans ces deux groupes d'animaux un traitement oestrogénique a déterminé l'hypertrophie des corps jaunes ovariens et une mucification vaginale, montrant l'inhibition de l'oestrogène par la progestérone provenant des corps jaunes activés. Cependant, tandis que cette inhibition s'est maintenue après hypophysectomie chez les animaux greffés sous la capsule du rein, elle a rapidement disparu après ablation de l'hypophyse en place chez ceux transplantés dans l'hypothalamus.Du point de vue morphologique, l'hypophyse greffée dans l'hypothalamus montre une structure différente de celle greffée sous la capsule du rein uniquement dans des localisations précises correspondant à l'aire hypophyséotrophe de Halász, Pupp et Uhlarik et plus particulièrement au voisinage des noyaux arqués: de nombreuses cellules gonadotropes apparaissent dans ces greffons. Dans d'autres localisations, ces cellules font défaut et la greffe est constituée de cellules à prolactine qui sont les éléments dominants des greffes sous la capsule du rein. Après stimulation oestrogénique, toutes les greffes que leur siège soit hypothalamique ou rénal sont constituées de cellules à prolactine stimulées. Cependant, les greffes hypothalamiques n'ont pu libérer la prolactine qu'elles élaborent.Le contact hypothalamique semble doncavoirempêché la libération mais non la synthèse de de prolactine par les greffons. Le mécanisme de cette inhibition ainsi que celui de l'action des oestrogènes sur le lobe antérieur sont discutés.
Summary Pituitaries from young 10-day old rats, when transplanted under the renal capsule, show luteotropic activity, whereas grafted to various hypothalamic sites they do not. In these two groups of animals, estrogen treatment has led to hypertrophy of the corpora lutea and mucification of the vagina, showing inhibition of estrogen by the progesterone derived from active corpora lutea. Whereas this inhibition was maintained in hypophysectomized animals with renal grafts, it disappeared quickly in hypophysectomized animals that had received hypothalamic transplants.Morphologically, hypothalamic grafts of pituitary differ in structure from those in the renal capsule only when located in specific regions corresponding to the hypophyseotropic area of Halász, Pupp, and Uhlarik, and more specifically in the vicinity of the arcuate nuclei: numerous gonadotropic cells appear in these grafts. In other locations these cells are missing and the grafts consists of prolactin cells which are the dominant elements in grafts under the renal capsule. After estrogen stimulation, all grafts, be they hypothalamic or renal, consist of stimulated prolactin cells. However, the hypothalamic grafts were unable to liberate the prolactin that they produced. Thus contact with the hypothalamus seems to have prevented the liberation but not the synthesis of prolactin by the grafts. The mechanism of this inhibition, as well as that of the effect of estrogen on the anterior lobe are discussed.


Travail effectué avec l'aide d'une subvention du Ponds National de la Recherche scientifique belge. — En hommage au professeur Bargmann, dont les importantes découvertes sur les phénomènes de neurosécrétion ont largement contribué à une meilleure compréhension des relations hypothalamo-hypophysaires, avec nos sincères félicitations à l'occasion de son 60 ème anniversaire.  相似文献   

3.
Résumé Trente cinq enzymes sont recherchées lors de l'étude comparative de la lutéinisation et la lutéolyse. Vingt six sont histochimiquement décelables dans les corps jaunes gestatifs leur permettant de stocker et métaboliser glucides, corps gras, nucléotides, amines, phosphates, sulfates et d'autres métabolites. Les activités importantes des enzymes de la voie des pentoses, des diaphorases et de la stéroïde 3 ol DH témoigneraient d'une stéroïdogenèse active. Les cellules lutéiniques thécales semblent histoenzymatiquement mieux pourvues au début de la luteinisation; les cellules lutéiniques granuleuses le sont pendant les stades ultérieurs.La lutéolyse est marquée par une diminution de la plupart des activités enzymatiques. Les activités tant qu'elles existent, sont topographiquement limitées (ilôts actifs extra lutéaux) et surtout métaboliquement restreintes. L'équipement enzymatique des structures lutéales très involuées suggère plutôt qu'une stéroïdogenèse même résiduelle des processus typiques et une activité des éléments conjonctifs (fibrillogenèse).
Histoenzymatic functions of the evolution and the luteolysis of the corpus luteum of the rabbit
Summary 35 enzymes were investigated in the course of a comparative study on the luteinisation and luteolysis. 26 of them were found in the corpora lutea during gestation. They were able as a consequence to stock and the metabolize glucides, lipides, nucleotides, amines, phosphates, sulphates as well as other metabolites. The strong activities of the pentose shunt's enzymes, of the tetrazolium reductases and 5 3 OH-steroide DH indicated most probably an active steroidogenesis. The theca-luteinic cells appeared having a stronger histoenzymatic activity in the beginning of the luteinisation; the granuloso-luteinic cells showed a stronger activity in the later stades.The luteolysis is characterized by a decrease of the activity of the preponderant number of the enzymes mainly in the degenerated luteal cells. The enzymes activities as far as such existed were topographically limited (active extraluteal islands) and restricted mainly in their metabolizing possibilities. The author's results suggested as more probable the existence of a process of lysis and an activity of the connective tissue elements (fibrillogenesis) than a steroidogenesis, even though in a residual or terminal form.
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4.
Sommaire Chez la femelle de cobaye gravide, une injection intracardiaque de 200 mg/kg d'alloxane provoque en 6–8 hs, une pycnose généralisée des cellules B des îlots endocriniens du pancréas; 18–20 hs après l'injection, les acini exocrines en bordure des îlots devenus nécrotiques se différencient et prolifèrent des cordons de cellules endocriniennes. Cette régénération intense et rapide est pratiquement achevée 42 hs après l'injection.L'effet, sur le pancréas foetal, de l'alloxane injectée à la femelle gravide, varie suivant le stade de développement atteint par le tissu endocrine au moment de l'injection. Pendant la phase de différenciation, aux dépens de l'épithélium des canaux, des premières cellules A (emb. de 13 mm, 25e jour) et B (emb. de 27 mm, 34e jour), puis de prolifération de cordons aboutissant à la formation des îlots primitifs dits îlots à manteau (foetus de 58 mm, 43e jour), les cellules B sont totalement réfractaires à l'action de l'alloxane. Chez les foetus ayant atteint 75 mm (50–51e jour), les premiers îlots à architecture définitive ont fait leur apparition par remaniement secondaire des îlots à manteau, processus qui continuera jusqu'à la naissance. Dès que ce stade est atteint, l'alloxane injectée à la mère provoque la pycnose généralisée des cellules B dans les îlots définitifs alors que les îlots à manteau voisins restent intacts. Il semble donc que les cellules B doivent atteindre un certain degré de maturité pour être sensibles à l'alloxane.  相似文献   

5.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

6.
The importance of color stimuli in host-finding by Dalbulus maidis (DeLong & Wolcott), D. gelbus DeLong, and D. quinquenotatus DeLong & Nault (Homoptera: Cicadellidae) was determined by comparing pre- and post-contact responses of leafhoppers to maize seedlings (Zea mays L.) with those to vertical models varying in hue or value (total amount of reflected light). For each species, more contacts were made with maize by jumping/flying than by walking, and both sexes remained on maize for similar times after contact. When presented simultaneously with seven models (vertical wooden rods) painted in different colors, each species made more contacts with yellow. Yellow also received more contacts when it was present in a group of four colors. There were no differences in contacts made with the yellow model by jumping/flying or by walking for D. maidis and D. gelbus, but D. quinquenotatus made more contacts by jumping/flying than by walking. If yellow was not present in the group, the color reflecting maximally between 500–580 nm received more contacts compared to the other three colors. Responses to a series of neutrals indicated contacts were elicited primarily because of hue, and not changes in value. Yellow also elicited tenure as long or significantly longer than other colors after contact with a model. For each species, there were no differences in tenure between males and females on models. The importance of color stimuli in host-finding by Dalbulus leafhoppers is suggested to be influenced by differences in flight behavior and habitat stability of field hosts.
Résumé Nous avons examiné l'importance de la couleur dans la découverte de l'hôte, en comparant au laboratoire les réactions avant et après contacts avec des plants de maïs,-à 4 feuilles-, et avec des leurres peints présentant des différences de nuance ou de quantité de lumière réfléchie, chez 3 espèces de Dalbulus: D. maidis,-spécialiste du maïs-, D. gelbus,-qui consomme le maïs et Tripsacum, et D. quinquenotatus,-spécialiste de Tripsacum. Les espèces entrent en contact avec le maïs plus en voltigeant que par la marche, mâles et femelles séjournant plusieurs heures après être entrés en contact. En utilisant des leurres végétaux,-des morceaux de bois verticaux peints de différentes couleurs-, une forte réponse au jaune, due à la teinte plus qu'à l'intensité, a été mise en évidence. Il n'y a pas de différence dans les contacts après voltige ou après marche avec des leurres jaunes pour D. maidis et D. gelbus, tandis que chez D. quinquenotatus, ils sont plus fréquents après voltige. Ces 3 espèces de Dalbulus continuent à être influencées par la couleur après contact, puisque chaque espèce reste plus longtemps sur le jaune que sur les autres couleurs. L'importance de la stimulation par la couleur dans la découverte des hôtes par Dalbulus est semble-t-il due au comportement de vol et à la stabilité de l'habitat dans la nature.
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7.
Résumé Les corps allates dePeriplaneta americana L. implantés dans des nymphes à destinée imaginale deCalotermes flavicollis Fabr. déterminent la formation d'intercastes soldats sexués.Ces intercastes constituent une série complète d'individus, intermédiaires entre le soldat parfait et l'imago.De remarquables intercastes soldats sexués sont apparus; ces individus allient au type soldat des structures sexuelles imaginales permettant la ponte.La morphogenèse de type soldat s'accompagne d'un développement des ovaires. Il y a multiplication des ovocytes et le vitellus se dépose dans les ufs qui parviennent à maturité. L'action morphogénétique descorpora allata se double d'une action gonadotrope.L'implantation tardive de corps allates dans des nymphes proches de la mue engendre des pseudimagos dont l'activité sexuelle se manifeste précocement.A la lumière de ces expériences nous pouvons attribuer aux corps allates les fonctions suivantes: inhibition des structures imaginales, morphogenèse des structures propres au soldat, multiplication ovocytaire et vitellogenèse; de plus, il s'ajoute à ces fonctions un rôle déterminant dans le comportement sexuel.
Summary The implantation ofcorpora allata fromPeriplaneta americana L. into future imaginal nymphs ofCalotermes flavicollis Fabr. gives rise to Intercastes sexual-soldiers.Some Intercastes have, with the soldier type, imaginal sexual structures which allow egg-laying.The soldier morphogenesis is accompanied by a development of the ovaries; there is a multiplication of oocytes and storing of yolk in the mature eggs.The implantation ofcorpora allata into nymphs very close to imaginal moult gives rise to pseudimagos whose sexual activity shows early.
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8.
Résumé La morphologie (forme, taille, structure) des corps myéloïdes de l'épithelium pigmentaire rétinien est décrite, ainsi que leur répartition chez les différentes classes de vertébrés. On définit les critères d'identification de ces corps: Ils ne sont jamais limités par une membrane, sont en continuité avec le reticulum endoplasmique lisse, sont formés de saccules aplatis, liés deux à deux par des complexes de jonction. Ils établissent des relations de continuité avec la membrane nucléaire. Les confusions entre corps myéloïdes et diverses autres structures (phagosomes en particulier) sont discutées. Il n'existe pas de corps myéloïdes dans la rétine des Mammifères.
Myeloid bodies of the retinal pigment epitheliumI. Distribution, morphology and connections with cytoplasmic organels
Summary The morphology (shape, dimensions, structure) of the myeloid bodies of the retinal pigment epithelium and their distribution through several classes of vertebrates is described. The criteria of identity of these bodies are defined: They are never membrane-bounded, they are in direct continuity with the smooth endoplasmic reticulum, they are made of flattened discs linked two and two by junction complexes. They are in direct relation with the nuclear membrane. The confusion between myeloïd bodies and other structures, like phagosomes, is discussed. The retina of Mammals does not contain myeloïd bodies.
Chargé de recherche à l'INSERM. Travail réalisé grace à une subvention de l'INSERM.  相似文献   

9.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

10.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

11.
The egg and larval stages of the generalist endoparasitoid Campoletis sonorensis Carlson (Hymenoptera: Ichneumonidae), which normally avoid the hemocytic reaction of many Lepidopteran host species, are encapsulated in 40% of Spodoptera frugiperda J. E. Smith (Lepidoptera: Noctuidae) larvae. The effect of parasitism on inhibiting the spreading ability of S. frugiperda plasmatocytes in vitro is more pronounced in susceptible larvae which fail to encapsulate the parasitoid than in resistant ones permitting parasitoid development. This suggests that induction of plasmatocyte pathology is relevant to the successful evasion of encapsulation by the parasitoid. Some granular cells disappear from the hemolymph of the parasitized resistant larvae, which implicates their involvement in the encapsulation reaction. Calyx fluid of C. sonorensis injected into host larvae produced effects on host hemocytes identical to natural parasitism. Several mechanism may cooperate to protect the parasitoid from encapsulation. The pathological reactions by the host plasmatocytes is one main manifestation of the immunosuppressive parasitoid effect. Results are discussed in regard to the known effects of C. sonorensis on Heliothis virescens Fabricius (Lepidoptera: Noctuidae) larval hemocytes which are totally unable to respond with a successful cellular defense reaction.
Résumé L'ichneumonide Campoletis sonorensis Carlson, endoparasitoïde larvaire, se développe dans de nombreuses espèces de Lépidoptères. Son statut de généraliste est dû, notamment, à son aptitude à déjouer les défenses immunitaires de ses hôtes, c.a.d. la formation d'une capsule d'hémocytes autour de l'oeuf ou de la larve parasite. Cependant, chez le noctuide Spodoptera frugiperda J.E. Smith, C. sonorensis est encapsulé dans 40% des larves qu'il parasite. Nous avons étudié la population hémocytaire de deux catégories de larves de S. frugiperda, celles qualifiées de résistantes à C. sonorensis, et qui arrêtent son développement, et celles susceptibles où le parasitoïde échappe à l'encapsulation.Cinq types d'hémocytes ont été identifiés: les prohémocytes (PR), les sphérulocytes (SP), les granulocytes (GR), les plasmatocytes (PL) et les oenocytoïdes (OE). Chez les hôtes susceptibles et résistants, le parasite provoque une baisse identique de la concentration totale des hémocytes dans l'hémolymphe (THC). Par contre, les PLs sont davantage affectés chez les hôtes susceptibles que chez ceux résistants au parasitoïde. Les résultats montrent que, chez les hôtes susceptibles, 1) le nombre des PLs dans l'hémolymphe est davantage diminué, et 2) leur aptitude d'adhérence in vitro est davantage inhibée. Il existe donc une corrélation positive entre le degré de pathologies qui affectent les PLs de l'hôte et l'incapacité de celui-ci à encapsuler le parasitoïde. Ceci tend à démontrer le rôle-clé des PLs dans la réaction immunitaire d'encapsulation chez S. frugiperda, comme chez de nombreux insectes. De plus, ce résultat renforce l'hypothèse selon laquelle C. sonorensis éviterait l'encapsulation en agissant sur les hémocytes de l'hôte, et plus particulièrement sur les PLs. Inversement aux PLs, les GRs sont moins abondants dans l'hémolymphe des hôtes qui encapsulent C. sonorensis. Les GRs pourraient donc participer à la formation de la capsule hémocytaire.Il est possible que plusieurs facteurs contribuent à protéger C. sonorensis de l'encapsulation. Néanmoins, les pathologies affectant les hémocytes des hôtes parasités sont probablement une manifestation majeure de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Les effets de C. sonorensis sur les hémocytes des larves parasitées peuvent être reproduits chez des larves saines, en leur injectant de venin extrait des glandes du calyx des femelles parasitoïdes. Ces sécrétions provenant de la glande du calyx, et normalement injectées dans l'hôte lors de l'oviposition, sont probablment responsable, au moins en partie, de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Ces résultats peuvent être comparés à ceux obtenus chez l'hôte Heliothis virescens Fabricius (lépidoptère, noctuide) qui n'encapsule jamais C. sonorensis. Bien que le parasitoïde provoque les mêmes effets pathologiques sur les hémocytes des hôtes de S. frugiperda et d'H. virescens, on constate que l'effet apparait quelques heures après l'oviposition chez H. virescens, contre 48 heures post-oviposition chez S. frugiperda. Ce délai pourrait contribuer à la résistance immunitaire de certaines larves de S. frugiperda, résistantes, à C. sonorensis.
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12.
Résumé Dans cette étude on met en évidence la propriété phagocytaire des plaquettes pour des substances étrangères. Les observations ont été faites sur des coupes de tissu pulmonaire de lapins injectés par voie endoveineuse avec du dioxyde de thorium colloïdal et sur des plaquettes humaines isolées et mises en contact in vitro avec du dioxyde de thorium colloïdal.La possibilité de la participation des plaquettes sanguines dans la défense de l'organisme contre certains agents est admise.Le mécanisme de la phagocytose du thorotrast est décrit et on explique l'origine d'une partie · des éléments du granulomère . L'auteur admet aussi l'hypothèse que les éléments du granulomère décrits par Schulz et coll. (1958) soient le résultat de la phagocytose des substances étrangères par les plaquettes.A propos des observations réalisées sur les plaquettes humaines isolées in vitro l'auteur décrit des granules de 230 Å possédant en son intérieur des granules de 30 Å très évidents dans les coupes traitées à l'acetate d'uranyl.Avec la collaboration technique de Mme. Karin David Ferrbira.  相似文献   

13.
Résumé Des femelles alimentées d'une souche francaise de bruche du haricot, fécondées peu après leur émergence, ne sont mises en présence des grains de la plante-hôte qu'après un délai plus ou moins long: jusqu'à 50 jours de délai, la stimulation de la production ovarienne est aussi forte que chez les femelles mises avec des grains dès la copulation, mais la proportion d'oeufs émis est plus faible.D'autre part, à âge identique, les effets de la stimulation de la production ovarienne sont plus marqués lorsqu'il y a retard simultané de la fécondation et de la présence des grains que lorsque celle-ci est retardée par rapport à la fécondation.Ce n'est pas chez les femelles les plus jeunes que les effects de la stimulation combinée et simultanée de la production ovarienne sont les plus importants, mais chez des femelles âgées de 20 à 30 jours. Cet âge correspond à la fin de la période de mâturation du stock de base d'ovocytes formés à partir du corps gras, mâturation qui s'effectue de toute façon, même en absence de tout stimulus externe.
Regulation of egg production in Acanthoscelides obtectus (Coleoptera: Bruchudae): The change in stimulating effect of grain of females of different ages
Summary Females from a French strain of Acanthoscelides obtectus were mated soon after emergence, and after various lengths of time presented with host plant seeds. Even after a deley of 50 days, stimulation of the ovaries occurred as it did when females were presented with seeds as soon as copulation took place, but fewer eggs were produced. For insects of similar age, the stimulating effect of the seeds was greater if they were present when the females were first mated, than if they were presented after a delay. The stimulating effects were greatest in females aged between 20 and 30 days. This age corresponds to the end of the maturation period of the initial stock of ovocytes. This maturation would normally occur even in the absence of external stimuli.
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14.
Henri Saëz 《Mycopathologia》1965,27(3-4):321-338
Résumé Au cours de l'autopsie de 58 jeunes mammifères sauvages, morts en captivité au Parc zoologique de Paris, nous avons effectué des prélèvements à différents niveaux du tube digestif: pharynx, estomac, intestin grêle, gros intestin et rectum. Chez ces animaux, mort-nés ou âgés de quelques heures à six jours, nous avonsrecherché, dans le matériel prélevé, les levures et lesGeotrichum. Les résultats sont analysés en fonction de deux question: 1-Flore fongique et Microorganismes en transit, II Vitesse de diffusion et d'implantation des champignons dans le tube digestif.Nous pensons qu'il existe une flore permanente et une flore saisonnière, auxquelles se superpose une flore étagée: flore du pharynx, flore de l'estomac, etc. .... La flore n'est pas constamment présente chez tous les animaux jeunes ou adultes. Nous passons en revue quelques facteurs qui peuvent agir sur elle. Nous mettons l'accent sur la température interne de l'hôte. A ce dernier facteur, s'oppose, au laboratoire, l'étude du comportement des souches isolées vis à vis de la température.Jusqu'à présent nous n'avons pas encore observé une véritable flore fongique constituée in utero. Parmi les 58 animaux examinés, l'implantation la plus manifeste a été vérifiée chez un Hippopotame âgé de deux jours. Cette colonisation est précédée de quelques vingt-quatre heures de la diffusion proprement dite, qui, elle, est très rapide. Cette progression des champignons à travers le tube digestif est parfois en avance sur celle du premier bol alimentaire.  相似文献   

15.
L. Joly 《Insectes Sociaux》1958,5(4):373-378
Conclusion on aurait pu s'attendre à ce que les adultoïdes (stades Vbis) se groupent sur la même droite que les stades V normaux et les adultes prématurés (V) sur celle des imagos (fig. 6). On voit qu'il n'en est rien et que cela tient à ce que la croissance des organes du vol à la fin du développement larvaire deLocusta migratoria n'est pas représentée par une droite d'allométrie unique, mais présente une discontinuité à chacune des dernières mues, de sorte que les adultoïdes ne sont pas des stades V géants mais un stade supplémentaire ajouté au développement normal, et les imagos prématurés ne sont pas des adultes nains mais des adultes privés d'une partie de leur évolution larvaire.  相似文献   

16.
Résumé La mesure précise in vivo de l'iode radioactif fixé par la thyroïde du Pigeon en fonction du temps après injection de 131I est délicate, en raison, d'une part, de la position anatomique de la thyroïde, d'autre part, de la masse des tissus juxtathyroïdiens, dont la radioactivité interfère avec celle de la glande.Nous avons conu un appareil de contention, qui, en immobilisant l'animal non anesthésié, permet de placer et de maintenir la glande dans une position identique par rapport au compteur, lors de chaque mesure.La radioactivité des tissus juxtathyroïdiens est évaluée à partir de celle d'une zone abdominale bien déterminée.La reproductibilité des mesures de radioactivité dans la zone thyroïdienne est comparable à celles d'autres méthodes d'étude in vivo chez les Mammifères. L'erreur effectuée sur la mesure de la radioactivité thyroïdienne, exprimée en % de la dose injectée, est en moyenne de 10%.  相似文献   

17.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

18.
    
The effect of various relative humidities on the eggs of artificially reared olive fruit flies, Dacus oleae, was examined at 20°. At constant humidities no eggs hatched below 90% r.h., while egg hatch at 100% and 95% r.h. was 96.7% and 72%, respectively. Reduced hatchability was observed when eggs were exposed to non-saturated atmospheres either at the beginning or at intermediate stages of embryonic development. The lower the humidity and the longer the exposure, the lower was the egg hatch. The early stages of development were more sensitive to non-saturated humidities than stages older than 24 hr. Egg development was extended at lower humidities and longer exposures.Effect of humidity on olive fruit fly eggs is compared with other insects, and discussed in relation to egg handling in the mass rearing of the fly.
Résumé A 20°, différentes humidités relatives ont été testées sur des ufs de mouche de l'olive, Dacus oleae, élevées sur régime artificiel. Quand l'H.R. était constamment inférieure à 90% aucun uf n'éclosait, à 95% il y en avait 72% et 64% des ufs non éclos contenaient des embryons avec des crochts oraux mélanisés, tandis qu'à 100% H.R. 96,7% des ufs éclosaient. Des ufs mis à incuber dans de l'eau ventilée ou dans de l'acide propionique à 0, 3% se développaient normalement, mais dans de l'eau non-ventilée il n'y avait que 62% d'éclosions. Une exposition des ufs après la ponte à 45% H.R. pendant plus de 6 heures avant leur transfert à 100% H.R. a réduit les éclosions de plus de 50%, tandis que pour une diminution similaire à 60%, 75% et 90% H.R. il fallait 8, 12 et 72 heures. Quatre heures d'exposition à 45% H.R. donnent 63% d'éclosions (contre 97,5% après une heure). Quand les ufs ont d'abord incubé à 100%, pour être transférés à 60% avant d'être remis à 100%, des expositions supérieures à 12 heures affectent le taux d'éclosion quand le transfert à 60% a eu lieu pendant les premières 24 heures. Cependant, quand le temps de latence entre la ponte et le transfert dépassait 24 heures, il n'y avait pas modification du taux d'éclosion. Le développement embryonnaire était plus long aux basses hygrométries ou après les expositions les plus prolongées.Par comparaison aux durées de développement à 100% la prolongation était de 5% pour 4 heures d'exposition à 45% H.R., de 20% pour 12 heures à 75% et de 10% pour 24 heures à 90%.Ces résultats sont comparés à ceux de différentes espèces de différents taxas, et leurs conséquences sur les manipulations d'insectes dans les élevages de masse de mouches de l'olive ont été examinées.
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19.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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20.
Diapause in Coccinella transversoguttata can be inhibited by exposing adult females to photoperiod regimens of LD 16 : 8 or 14 : 10 hours. The photoperiod regimen to which the immature instars are exposed has little effect on the diapause status of the adult female.
Résumé Coccinella transversoguttata est un des plus importants prédateurs des Pucerons de la pomme de terre dans l'État du Maine (U.S.A.). C'est la photopériode à laquelle les adultes sont soumis qui conditionne la diapause imaginale de cet insecte: une photopériode jour/nuit de 16 : 8 heures empêche la diapause, alors qu'une photopériode jour/nuit de 12 : 12 heures déclenche la diapause. Un éclairement permanent n'a pas d'effet significatif sur l'inhibition de la diapause. La photopériode à laquelle sont soumis les ufs, les larves et les nymphes n'a guère d'effet sur la diapause des adultes. La photopériode n'a pas non plus d'influence sur le développement larvaire ni sur la mortalité des larves ou des adultes.
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