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1.
Résumé Les méthodes utilisées pour localiser, en microscopie électronique, les constituants du noyau du gamète mûr de l'Equisetum arvense L. montrent que:l'ADN, associé à une histone riche en arginine, se situe dans la zone centrale de l'organite; le nucléoplasme, renfermant une histone probablement riche en lysine, est réduit à une fine couche périphérique; l'ARN n'est plus identifiable; les protéines non-histone forment des massifs lenticulaires, accolés à la membrane nucléaire.
The sperm of Equisetum arvense L. I. Ultrastructural and cytochemical studies of nuclear constituents of the ripe sperm
Summary Several ultrastructural cytochemical methods are used to determine the constituents of the ripe nucleus of Equisetum arvense L. They show that: DNA, associated with an arginine-rich histone, is localized in central region of the nucleus; nucleoplasm is reduced to a thin peripheral coat and contains a probably lysine rich histone; RNA is not detectable; non histone proteins form lenticular amounts disposed against the nuclear membrane.
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2.
Résumé Des corps niultivésiculaires, limités par une membrane lisse et contenant une trentaine de vésicules, ont pu être observés dans le noyau d'odontoblastes de chats nouveaunés. Une fusion de la membrane périphérique des corps multivésiculaires avec la membrane nucléaire interne est suivie du passage des vésicules dans la citerne périnucléaire, dans la lumière ergastoplasmique et finalement d'ans l'espace intercellulaire des odontoblastes, située à la hauteur des noyaux.
Intranuclear multivesicular bodies in young odontoblasts
Summary Multivesicular bodies, surrounded by a smooth membrane and containing about thirty vesicles, have been observed in the nucleus of young odontoblasts in new-born cats. A fusion of the limiting membrane of the multivesicular bodies with the inner nuclear membrane is followed by the passage of the vesicles in the perinuclear cisterna, the endoplasmic reticulum and finally the intercellular odontoblastic space, at the level of the nucleus.
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3.
Résumé La sexualisation de la gonade chezViviparus viviparus se manifeste d'abord au niveau morphologique: tandis que l'ovaire s'organise en un tubule très peu ramifié, à large lumière, le testicule compact bourgeonne de nombreuses excroissances. Dans l'ovaire les cellules non germinales, futures cellules folliculeuses, se mettent en place autour des cellules germinales et les processus de la préméiose débutent précocement. Au contraire plusieurs étapes se succèdent au cours de la morphogenèse de la gonade mâle: après une phase d'intense multiplication cellulaire, accompagnée de la ramification du testicule, la lumière se creuse par dégénérescence des cellules centrales. Contre la lame basale, les cellules non germinales évoluent en cellules nourricières tandis que se différencient les spermatogonies primaires. La différenciation des premiers gamètes mâles est tardive.  相似文献   

4.
Résumé Les gonocytes primaires des Reptiles sont très riches en granules vitellins et en liposomes cytoplasmiques; ils contiennent aussi un peu de glycogène. Les mitochondries se groupent dans une zone juxtanucléaire. La répartition de la chromatine est diffuse et chez certains Reptiles le nucléole des gonocytes est annulaire; une plage nucléaire particulière que nous avons dénommée «masse paranucléolaire» est visible à proximité de ce nucléole. L'évolution de ces différents constituants cellulaires est suivie au cours du développement embryonnaire et après la naissance. Les caractères cytologiques mis en évidence permettent de reconnaître sans ambiguïté les gonocytes dès les jeunes stades du développement embryonnaire. La «masse paranucléolaire» permet d'établir une continuité directe de la lignée germinale, sur le plan cytologique, depuis la fin de la gastrulation jusque chez l'adulte.
Cytological and cytochemical studies of germ cells throughout the embryonic development and after birth in reptiles
Summary The primary gonocytes contain numerous yolk granules and lipid droplets; there is also some glycogen in their cytoplasm. Mitochondria are located in a juxtanuclear area. The chromatin is diffuse and in some reptiles a ring-shaped nucleolus is noted. Near the nucleolus there is a peculiar area which we have called masse paranucléolaire. The fate of all these cellular components was studied throughout embryonic development and during postnatal life. These cytologic characteristics permit the identification of the gonocytes from the gastrula stage. The masse paranucléolaire permits the clear demonstration of a continuity of the germinal line from gastrulation to the adult stage.
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5.
Résumé Les expériences que nous avons réalisées nous ont permis d'étudier le rôle de l'absence du gaz carbonique dans l'atmosphère où se trouve l'Insecte. L'une des deux femelles deBombus est introduite dans une cellule microcalorimétrique en atmosphère normale, l'autre femelle dans une cellule dont l'atmosphère est dépourvue de gaz carbonique.Dans l'expression des résultats, je considère d'abord les indications fournies par la forme des enregistrements. Afin d'apporter une plus grande précision dans l'interprétation des enregistrements, j'ai effectué une étude quantitative de la thermogenèse.Les résultats concernant l'influence de la température sur la thermogenèse des reines de Bourdons sont généralement conformes à ce que nous connaissons de la stimulation du métabolisme thermique par une élévation de la température chez la plupart des Poïkilothermes.On peut noter, qu'à température égale, les reines deBombus terrestris ont une thermogenèse relative supérieure à celle des reines deBombus lapidarius. D'autre part, pour chacune des espèces considérées, les valeurs thermogéniques des reines deBombus sont plus élevées — à une exception près — lorsque celles-ci sont placées en atmosphère dépourvue de gaz carbonique.En conclusion, l'absence de gaz carbonique dans l'atmosphère de la cellule microcalorimétrique ne modifie pas profondément le niveau des échanges respiratoires des reines deBombus, dans les limites de mes expériences.
Thermogenesis in Bumble-bees' queens
Summary Experiments have been performed on queens ofBombus terrestris L. andBombus lapidarius L., with a Calvet micro-calorimeter. Curves of thermogenesis (thermograms) are first examined; they vary according to individuals, species, temperature of the ambiance, and composition of the atmosphere.As a rule, at constant temperature, queens ofBombus terrestris produce more heat than these ofBombus lapidarius.Experiments performed in the presence of sodium hydroxide in order to absorb the carbon dioxide elaborated display less undulated thermograms, but individual differences are wide.The thermogenesis of insects placed in micro-calorimetric cells without carbon dioxide is a little higher than that of females in normal atmosphere, but variable results of thermogenic reactions are sometimes observed.
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6.
Résumé Chez la souris C57 Bl, 2% des sections de noyaux de plasmocytes ganglionnaires contiennent un corps nucléaire, rarement plus. Chez les animaux immunisés par une injection d'hématies hétérologues, le pourcentage de noyaux plasmocytaires contenant un ou plusieurs corps nucléaires augmente jusqu'à 14% du 4ème au 9ème jour qui suivent l'administration de l'antigène. Cette augmentation est parallèle à l'élévation du taux des anticorps sériques. De plus, au même moment, le nombre des noyaux contenant plusieurs corps nucléaires augmente proportionnellement plus que celui des sections n'en contenant qu'un.Les corps nucléaires ont un diamètre moyen de 1,5 . Ils sont principalement formés d'un matériel finement granulaire ou filamenteux dont les éléments constitutifs ont un diamètre de 60 à 70 Å et de granules denses de 250 à 280 Å de diamètre. On en distingue plusieurs types selon la proportion relative et la disposition de ces constituants. Certains contiennent également des formations sphériques plus volumineuses dont le diamètre varie de 1000 à 1400 Å.L'étude ultrastructurale de ces corps après incubation des coupes en présence soit de RNAase soit de DNAase, révèle que les fins granules sont constitués de RNA, tandis que les grains denses représentent du DNA. Les digestions enzymatiques font apparaître une disposition en spirale de ces derniers éléments. Quant aux plus volumineuses formations sphériques, elles subsistent après les deux digestions et apparaissent comme étant en fait des tubes denses à double membrane.L'origine des corps nucléaires est discutée ainsi que la relation entre leur présence et la synthèse des protéines.
Ultrastructure of the nuclear bodies in the plasma cells
Summary In the C57 Bl mouse, 2% of the sections of plasma cells nuclei from lymphnodes contain one nuclear body (N.B.). The occurrence of two or several bodies per nuclear section is rare. The percentage of plasma cell nuclear sections with one or more nuclear bodies rises up to 14% from the 4th to the 9th day after the injection of heterologous erythrocytes. This increase is parallel to that of blood antibodies. The number of nuclei with several N.B. increases more than that of nuclei with only one.These nuclear bodies have a mean diameter of 1.5 . They are made up of a finely granular or filamentous material (60 to 70 Å in diameter) and of larger dense granules (250 to 280 Å). According to the relative distribution of these constituents, several types of N.B. can be identified. Some of these contain also larger spherical granules with a diameter of about 1000 to 1400 Å.Sections have been incubated with RNAase or DNAase. The fine granules disappear with the former while the dense grains are attacked by the latter enzyme. These digestions show a spiral distribution of the dense grains. The large spherical structures are not modified by these treatments but they are then found to be dense tubes with double membranes.The origin of the nuclear bodies is discussed as well as their relationship to protein synthesis.
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7.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

8.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

9.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

10.
Résumé La morphologie (forme, taille, structure) des corps myéloïdes de l'épithelium pigmentaire rétinien est décrite, ainsi que leur répartition chez les différentes classes de vertébrés. On définit les critères d'identification de ces corps: Ils ne sont jamais limités par une membrane, sont en continuité avec le reticulum endoplasmique lisse, sont formés de saccules aplatis, liés deux à deux par des complexes de jonction. Ils établissent des relations de continuité avec la membrane nucléaire. Les confusions entre corps myéloïdes et diverses autres structures (phagosomes en particulier) sont discutées. Il n'existe pas de corps myéloïdes dans la rétine des Mammifères.
Myeloid bodies of the retinal pigment epitheliumI. Distribution, morphology and connections with cytoplasmic organels
Summary The morphology (shape, dimensions, structure) of the myeloid bodies of the retinal pigment epithelium and their distribution through several classes of vertebrates is described. The criteria of identity of these bodies are defined: They are never membrane-bounded, they are in direct continuity with the smooth endoplasmic reticulum, they are made of flattened discs linked two and two by junction complexes. They are in direct relation with the nuclear membrane. The confusion between myeloïd bodies and other structures, like phagosomes, is discussed. The retina of Mammals does not contain myeloïd bodies.
Chargé de recherche à l'INSERM. Travail réalisé grace à une subvention de l'INSERM.  相似文献   

11.
Résumé L'incorporation d'uridine-3H dans l'ARN nucléaire et dans l'ARN mitochondrial est détectée à l'aide de l'autoradiographie à haute résolution au cours de la spermiogenèse chez la Drosophile.Le marquage apparaît simultanément sur le noyau et sur le chondriome jusqu'au début de la condensation de la chromatine. Le nebenkern, qui caractérise un des premiers stades de la spermiogenèse, est le territoire cellulaire le plus radioactif. La synthèse de l'ARN nucléaire cesse au cours de la condensation de la chromatine. Pendant ce temps, le marquage des dérivés mitochondriaux se poursuit; il persiste jusqu'à leur complète transformation en paracristal. Ces observations mettent en évidence une synthèse autonome d'ARN par les mitochondries à la fin de la spermiogenèse.
Autonomous mitochondrial RNA synthesis during spermiogenesis in Drosophila
Summary The incorporation of 3H-uridine into nuclear and mitochondrial RNA has been followed by electron microscope autoradiography during spermiogenesis in Drosophila.Nuclei and mitochondria are simultaneously labeled up to the beginning of the chromatin condensation. The nebenkern, characteristic of the first stages of spermiogenesis, is the most radioactive cellular component. During chromatin condensation, nuclear RNA synthesis ceases, but mitochondrial derivatives continue to be significantly labeled up to their complete paracrystalline transformation. These data show an autonomous RNA synthesis by mitochondria at the end of spermiogenesis.
Ce travail a bénéficié de l'aide du C.N.R.S. (E.R.A. 174), de la D.R.M.E. (contrat 70/414) et du C.E.A. (participation à l'achat de molécules marquées).  相似文献   

12.
The influence of odours of fresh larval rearing medium and of con-specific adult males and females on the distribution of eggs laid by E. cautella, was studied in choice experiments. Odours of larval rearing medium localised oviposition in the vicinity of the medium. Airborne stimuli from pairs of con-specific males and females exerted a similar influence. The strength of the response of ovipositing females increased linearly with a logarithmic increase in the number of con-specific paris.Odours from adult males exerted a major influence in this response to pairs, although airborne stimuli from females may have played a minor role. Positive responses were obtained to odours from methylene chloride extracts of the wings and genitalia of males, but not to extracts of the rest of the body of males, or to female body parts.This response of ovipositing females is discussed briefly in relation both to its possible biological function and to the control of E. cautella.
Influence de stimuli odorants issus des adultes d'ephestia cautella, et véhiculés par l'air, sur le comportement de ponte de cette espéce

Résumé L'influence des odeurs propres d'un milieu d'élevage larvaire et celle des odeurs émises par les adultes de chaque sexe de même espèce, sur le choix du substrat de ponte des femelles d'E. cautella, ont été étudiées expérimentalement. Il est reconnu que les odeurs sui-generis du milieu d'élevage larvaire provoquent la ponte dans le voisinage immédiat de ce milieu; une influence analogue est mise en évidence, des stimuli odorants issus des mâles ou des femelles de cette même espèce. La réponse positive des femelles pondeuses s'accroît de façon linéaire et en fonction logarithmique avec le nombre de couples en présence (Fig. 1).Les odeurs émises par les mâles adultes exercent une influence prépondérante, bien que les mêmes stimuli issus des femelles puissent jouer un rôle mineur. Des réponses positives sont obtenues à partir d'extraits d'ailes et de genitalia mâles dans le chlorure de méthylène; les autres parties du corps du mâle ne sont pas attractives, de même que les extraits du corps des femelles.Cette réponse des femelles d'E. cautella, dans leur comportement de ponte, est discutée quant à sa signification biologique, mais aussi en vue d'une orientation plus localisée et plus efficace de la lutte contre cet insecte, dans les entrepôts de grains ou farine.
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13.
C. Auer 《Plant Ecology》1949,1(2-3):79-92
Résumé Recherches sur la résistance au dessèchement et sur la croissance des plantules de Larix europaea dans les divers horizons du Podzol subalpin du Rhodoreto-Vaccinietum.L'auteur étudie la germination du Melèze (Larix europaea) sur les différentes strates d'un Podzol du Rhodoreto-Vaccinietum subalpin du Canton des Grisons (Suisse).Il constate que les différents horizons se comportent différement à l'égard des plantules.L'horizon humifère (A1) se déssèche le plus facilement. Les plantules se déssèchent facilement et meurent souvent. Lors d'un ensemencement il est donc necessaire d'enlever la couche d'humus brut.L'horizon B du Profil du Podzol étudié est le plus favorable à la germination du Melèze. Il convient d'enlever les horizons superposés au B avant de procéder à un ensemencement.  相似文献   

14.
Résumé L'application de l'analyse factorielle des correspondances à un ensemble de données floristiques relatives aux prairies grasses d'altitude (Triseto-Polygonion) et aux mégaphorbiaies (Adenostylion) permet d'éclaircir la conception phytosociologique de ces groupements dans les Alpes occidentales. Elle conduit à l'éclatement du Trisetetum flavescentis des auteurs suisses en deux associations bien individualisées, Triseto-Meetum localisé aux massifs sud-occidentaux et Triseto-Agrostidetum propre aux chaînes plus septentrionales. Par contre, elle entraîne le rattachement des divers groupements de mégaphorbiaie décrits au seul Adenostylo-Cicerbitetum, association qui se différencie secondairement, selon les secteurs de son aire, en trois sous-unités distinctes. Cette synthèse aboutit, d'autre part, à la mise en évidence d'espèces communes aux deux types de groupements mais qui en fait, sous une apparence morphologique semblable, représentent vraisemblablement des taxons distincts. Dans une seconde phase, l'étude caryologique et l'analyse chimiotaxonomique devraient permenttre de saisir les différences de constitution génotypique existant entre les populations issues des mégaphorbiaies et celles développées dans les groupements du Triseto-Polygonion.  相似文献   

15.
Résumé L'organe sensoriel apical de l'antenne deMetoponorthus a été étudié en microscopie électronique à balayage et par transmission. Il comporte un corps central à la base duquel sont articulées deux longues soies latérales et qui se termine par une touffe de soies très courtes.Les soies de la touffe terminale sont innervées par 4 à 12 neurones bipolaires. Les dendrites traversent le corps central puis pénètrent dans la lumière des soies sans se ramifier. Ils communiquent avec l'extérieur par un pore terminal assez gros. Parmi les dendrites certains paraissent assurer une fonction mécanoréceptrice. Des structures cuticulaires en forme d'écaille protègent la partie terminale des soies du côté axial. Les deux longues soies latérales sont innervées par 5 neurones bipolaires: 4 dendrites pénètrent dans la lumière de la soie; le 5ème, mécanorécepteur, s'arrête au niveau de l'articulation de la soie sur le corps central.La structure fine de cet organe sensoriel apical correspond à celle des chémo-récepteurs de contact connus chez d'autres Arthropodes. Une comparaîson est faite avec les chémorécepteurs de Crustacés marins et terrestres. Chez les formes terrestres on observe un raccourcissement de la partie libre des soies, ainsi qu'une orientation des pores du côté exposé aux stimuli extérieurs. Chez l'Isopode terrestreMetoponorthus étudié dans ce travail, les très courtes soies terminales dépassent à peine du corps central. Le développement des structures cuticulaires au sommet des soies et la tendance des soies à s'intégrer en un organe unique (corps central de l'organe sensoriel) sont autant de spécialisations pour le renforcement de ces soies et leur protection contre la dessication.
Structure of the apical sensory organ of the antenna in a terrestrial isopod,Metoponorthus sexfasciatus Budde-lund (Crustacea, Isopoda)
Summary The apical sensory organ on the antenna ofMetoponorthus was studied by scanning and transmission electron microscopy. It consists of a tuft of very short terminal hairs which prolongs a central body and two long lateral hairs which are articulated on the central body of the sensory organ.Hairs from the terminal tuft are innervated by 4 to 12 bipolar neurons. The dendritic cilia proceed through the axial body and then enter the lumen of hairs without branching. Dendrites in each hair communicate with environment through a rather wide terminal opening. It is suggested that some dendrites are mechanoreceptive. Scale-like cuticular structures protect the terminal part of the hairs, on the inner side that is not exposed to outer stimuli.The two long lateral hairs are innervated by 5 bipolar neurons: 4 dendrites enter the hair lumen while one, mechanoreceptive, terminates in the socket membrane.The fine structure of this apical sensory organ corresponds to that of known contact chemoreceptors in other Arthropods. A comparison is made with known chemo-receptors in marine and terrestrial Crustacea. In terrestrial forms it can be observed that the hairs become shorter. On the other hand the hair surfaces which are not exposed to outer stimuli show a thickened cuticule. In the terrestrial IsopodMetoponorthus (studied in the present work) the very short terminal hairs barely project past the central body. The development of the cuticular structures at the tip of the hairs and the tendancy of the hairs to be integrated into a single organ (central body of the sensory organ) represent so many adaptations for protection and reduction of evaporation.
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16.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

17.
Resume et conclusions La région de Beni-Ounif, Figuig et Ben Zireg, cadre de cette étude, est située sur la bordure méridionale de l'Atlas saharien et supporte un climat de caractère désertique par la faiblesse et l'irrégularité des précipitations. A la suite de périodes relativement pluvieuses, l'apparition de nombreuses thérophytes, l'acheb des indigènes, permet de faire l'étude des groupements végétaux dans leur développement optimum. Trois types de stations se montrent particulièrement riches en ces espèces: les stations cultivées et rudérales, les dépressions sablo-limoneuses du reg et des plateux rocheux, les pentes rocailleuses des montagnes et des collines. Seuls les deux dernières stations ont fait de notre part l'objet d'une étude phytosociologique approfondie.o| li]I.|Les d\'epressions non sal\'ees portent trois associations: association \`a Althaea Ludwigii et Trigonella anguina des cuvettes limoneuses, association \`a Lotononis dichotoma des ravinelles, association \`a Asphodelus pendulinus des talus sableux. La composition floristique et le sol de la premi\`ere sont nettement diff\'erents des deux autres, qui sont au contraire tr\`es voisines. Ce sont les diff\'erences dans la teneur en limon et argile qui sont d\'eterminantes dans la localisation respective des trois groupements: 28% en moyenne d'\'el\'ements fins (limon + argile) dans l'Althaeetum, 8,5% dans le Lotononidetum, 5% dans l'Asphodeletum; c'est pour une teneur de l'ordre de 12% d'\'el\'ements fins que s'\'etablit le passage entre l'Althaeetum et le Lotononidetum. La teneur plus \'elev\'ee en argile du sol du premier groupement lui conf\`ere une plus grande hygroscopicit\'e; mais tr\`es rapidement, apr\`es les pluies, la teneur en eau du sol des trois groupements dans les 10 cm sup\'erieurs se r\'eduit \`a l'eau d'hygroscopicit\'e. Les autres caract\`eres d'habitat sont semblables.Aux abords des habitations, l'enrichissement en matières organiques provoque le remplacement de ces associations par un groupement nitrophile, l'association à Peganum Harmala et Bassia muricata.L'élément floral saharo-sindien est nettement prédominant dans tous ces groupements, avec une représentation de 2,5 à 5 fois plus grande que celle de l'élément méditerranéen. li]II.|Les associations des pentes rocailleuses, contrairement aux pr\'ec\'edentes, sont peu sensibles \`a la nature physico-chimique du substratum, mais sont \'etroitement li\'ees aux conditions climatiques locales, elles-m\^emes sous la d\'ependance de l'exposition, de l'altitude et de la situation g\'eographique de la cha\^ine. Ce caract\`ere est particuli\`erement apparent dans le territoire que nous avons \'etudi\'e, par sa situation \`a la limite commune de deux groupes d'associations de rocailles, l'un saliarien que nous appelons l'Atractyletalia babelii, l'autre m\'editerran\'een, le Sedetalia altissimae.Au premier appartient l'association à Morettia canescens et Fagonia longispina qui colonise les rocailles des chaînons les plus méridionaux de l'Atlas saharien occidental jusqu'à une altitude de 1100 m eviron, à l'exception des fortes pentes d'exposition Nord où se localise une association à Senecio flavus et Centaurea incana var. Saharae, groupement moins héliophile, plus riche en formes méditerranéennes et faisant transition avec le Sedetalia.Le groupe du Sedetalia est représenté au Dj. Antar de Ben Zireg par l'association à Ferula Cossoniana et Leucanthemum paludosum var. gaetulum, avec une sous-association à Aristida Adscensionis aux expositions Sud à Est et Ouest depuis 1100 m jusqu'à plus de 1600 m, et une sous-association à Rosmarinus officinalis aux expositions Nord au dessus de 1500 m. Ces deux groupements ont le même aspect de steppe montagnarde d'halfa, mais les formes sahariennes sont encore dans la proportion de 4/5 des espèces méditerranéennes dans le premier, alors qu'elles n'y sont plus que dans la proportion de 1/2 dans le second. La présence du Juniperus phoenicea dans la sous-association rosmarinetosum, son absence totale de la sous-association aristidetosum donnent une indication précieuse pour des essais éventuels de reboisement. On trouvera dans Vegetationsbilder, 6 (4), T. 19, une photographie d'un de ces groupements de rocailles, le Morettieto-Fagonietum anabasidetosum, au pied d'une pente occupée par le M.-F. artemisietosum. Au fond, la face Sud de l'Antar, couverte dans sa plus grande partie par le Feruleto-Leucanthemetum.Les caractères physico-chimiques du substratum ont peu d'influence sur la composition des groupements; seuls les grès tendres, dont les éboulis se colmatent de sable, ont permis dans le Morettieto-Fagonietum l'établissement de psammophytes qui différencient une sous-association à Aristida floccosa.Ainsi, alors que les groupements sahariens des surfaces planes ou de faible relief sont des indicateurs très sensibles des conditions édaphiques, ceux des montagnes se montrent le plus influencés par les facteurs climatiques locaux. Une étude des associations de rocailles étendue à l'ensemble de l'Atlas saharien occidental permettrait sans doute d'établir avec une grande précision les moindres variations du climat dans cette région et apporterait une documentation précieuse pour une mise en valeur de ces territoires déshérités.Reçue par la rédaction le 14.XII.1951.  相似文献   

18.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

19.
Hylobius abietis migrates by flight to new breeding habitats early in summer. Flight speed and height, wind speeds during flight, and flight direction in relation to wind were studied in the field. Flight duration estimates were obtained from flight mill experiments. Using these data dispersal distances of the females in a population were calculated. According to this tentative estimate a majority of the weevils migrated more than 10 km, and some as far as 80 km, during the entire flight period.
Aire de dispersion de Hylobius abietis (Coleoptera — Curculionidae)
Résumé Hylobius abietis émigre par vol vers de nouveaux habitats tôt en été. La vitesse et la hauteur de vol, la vitesse du vent pendant le vol, et l'orientation du vol en fonction du vent ont été étudiées dans la nature. Après l'envol de nombreux adultes s'élèvent au-dessus des arbres et volent orientés dans le sens du vent, ce qui est certainement une adaptation aux dispersions à distance par le vent. La vitesse de vol est de 1,9 m/s par rapport à celle de l'air. Les captures avec des pièges à succion ont fourni des indications sur la vitesse du vent pendant le vol; en combinant ces données avec les mesures de la vitesse du vol elle-même, une estimation de la fréquence relative des vitesses de disperison a été obtenue.L'estimation de la durée du vol a été obtenue en laboratoire par des expériences avec un moulin de vol. A partir de ces données les distances de dispersion des femelles dans une population ont été calculées. Selon ces essais d'estimation, la majorité des insectes émigrent à plus de 10 kilomètres et certains vont jusqu'à 80 kilomètres pendant l'ensemble de la période de vol.
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20.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

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