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1.
Females of a membrane-fed colony of G. p. palpalis (food source: fresh defibrinated bovine blood) were fed on derivatives of bovine blood, in which the red cell fraction remained unchanged while the serum fraction was replaced by an artificial solution. This solution consisted of a simple saline, isotonic to serum and enriched by bovine serum albumin with increasing concentrations. Physical parameters such as pH and osmolarity of all media were similar to controls. The absence of serum albumin in the food medium resulted in sterility of the females and caused high mortality. The presence of increased levels of serum albumin in the medium increased the fecundity until it was similar to that of flies fed on the standard diet of fresh defibrinated bovine blood. The offspring size was positively correlated with the concentration of the serum albumin in the mother's diet. However, a high concentration of albumin (>6%) resulted in increased adult mortality. Thus, the presence of optimum amounts of free serum albumin in bovine blood appears necessary for the development and production of viable larvae of the tsetse fly G. p. palpalis.
Résumé Les femelles d'une population de G. p. palpalis élevées sur membrane (aliment: sang frais défibriné de bovin) ont été nourries de dérivés de sang bovin dont les globules rouges n'avaient pas été modifiés, mais dont le sérum avait été remplacé par une solution artificielle. Cette solution était simple, saline, isotonique au sérum et enrichie d'albumine de sérum bovin en concentrations croissantes. Les témoins ont montré l'identité des paramètres physiques, tels que le pH et l'osmolarité, pour toutes les solutions. L'absence d'albumine de sérum dans l'aliment donné aux femelles a provoqué leur stérilité et une mortalité élevée. L'augmentation des quantités d'albumine de sérum a accru la fécondité jusqu'à ce que celle-ci soit identique à celle des glossines avec un régime normal composé de sang frais défibriné de bovin. Il y avait une corrélation directe entre la taille des descendants et la concentration d'albumine de sérum dans l'alimentation de la mère. Toutefois, une forte concentration d'albumine (plus de 6%) a augmenté la mortalité imaginale. La présence de quantités optimales d'albumine de sérum libre dans le sang bovin semble donc nécessaire au développement et à la production de larves viables de la mouche tsé-tsé, G. p. palpalis.
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2.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
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3.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

4.
Dietary selection was investigated during the first 15 days of adult life in male and femaleLocusta migratoria L. Insects were provided with two artificial diets, one containing 10, 20 or 28% protein but no digestible carbohydrate, the other 10, 20 or 28% digestible carbohydrate but no protein. Amounts eaten, detailed feeding patterns and somatic and reproductive growth were measured. Unfortunately the artificial diets did not support female reproductive development. Nevertheless, there was convincing evidence that insects regulated both protein and carbohydrate intake during the somatic growth phase by dietary selection and altered consumption.
La sélection des aliments parLocusta migratoria adulte
Résumé La sélection des aliments a été suivie pendant les 15 premiers jours de vie imaginale des mâles et des femelles deLocusta migratoria L. Les insectes recevaient 2 régimes alimentaires, l'un contentant 10, 20 ou 28% de protéines, mais pas de carbohydrates assimilables, l'autre 10, 20 ou 28% de carbohydrates assimilables, mais pas de protéines. Les quantités consommées, le détail de la prise de nourriture, et les croissances somatique et reproductive ont été mesurés. Malheureusement, ces régimes artificiels n'ont pas permis le développement ovarien des femelles. Cependant, il y a des preuves convaincantes que les insectes ont contrôlé leur apport en protéines et en carbohydrates pendant la phase de croissance somatique par une sélection alimentaire et une modification de la consommation.
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5.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
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6.
Larvae reared aseptically on pellets of synthetic diet in which the ratio of casein to dextrin was varied over the full range, gained most weight in a two-month period when the ratio was either 20:80 or 70:30. When the ratio was varied by smaller amounts in the region of these concentrations, the larvae gained most weight in a narrow range of 21 to 23 parts casein and also in a broad range of 65 to 71 parts casein. This bimodal response may occur because deleterious effects of large quantities of casein or dextrin in the diet are counteracted by small quantities of the corresponding component.
Sommaire Des larves du taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), ont été élevées individuellement et aseptiquement sur des régimes synthétiques dans des éprouvettes pourvues de coton humide. D'une part, les régimes variaient de l'un à l'autre par une augmentation de 10 parties de caséine depuis 0 jusqu'à 100, pendant que la dextrine diminuait également par 10 parties depuis 100 jusqu'à 0. D'autre part, elles augmentaient de deux parties de caséine, à partir de 15 jusqu'à 25 parties et de 65 jusqu'à 75, pendant que la concentration de dextrine diminuait également de 85 jusqu'à 75 parties et de 35 jusqu'à 25 parties. Ces régimes étaient donnés sous forme de boulette sur le coton.Les larves étaient pesées à 0.1 mg près au commencement des essais et la différence entre les poids initial et final de chacune était exprimée en quantités de milligrammes par milligramme de poids initial.Les larves ont également bien survécu avec tous les régimes. La meilleure augmentation pondérale était obtenue avec un régime contenant 21, 23, ou 67 parties de caséine. Ce dernier résultat n'était pas du tout surprenant. Il est probable que ni un manque complet ni une surabondance de protéine ou d'hydrates de carbone ne profite aux taupins. Si les petites quantités peuvent favoriser l'accroissment des larves, il est fortement probable que 20 parties de caséine soient suffisantes pour détruire n'importe quel effet défavorable d'un surcroît de dextrine (80 parties). De même, une teneur de 30 parties de dextrine pourrait donner assez de vigeur aux larves pour surmonter l'effet d'un niveau alimentaire de 70 parties de caséine. Aux autres concentrations, l'action de l'un est antagoniste de l'autre et probablement leurs effets réciproques s'annulent.


Contribution No. 94, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Sask.  相似文献   

7.
Northern fowl mites, Ornithonyssus sylviarum (Canestrini & Fanzago) (Acari: Macronyssidae), were fed artificially through chick skin membranes to investigate several factors that affected the degree of mite feeding. More mites fed after starving 24 h than unstarved mites or mites starved 48 or 72 h. Protonymphs fed as well as adults. More mites fed on refrigerated blood than on fresh blood and on frozen blood than on refrigated blood. However, mites fed well on newly drawn blood that had been lysed. They fed as well on plasma and serum as on whole blood but less well on washed erythrocytes. They also fed well on citrated blood, but fewer mites fed on oxalated blood or freshly defibrinated blood.
Résumé O. sylviarum Canestri & Fanzago a été alimenté artificiellement pour étudier plusieurs facteurs qui affectent l'intensité de la prise de nourriture. Le dispositif d'alimentation consistait en un cylindre de verre de 24 mm de long, dont les ouvertures étaient fermées, à une extrémité par une membrane en peau de volaille, et à l'autre extrémité avec du polyéthylène.Après un jeûne de 24 h, le nombre de pucerons qui s'étaient alimentés était plus élevé (87%) qu'après un jeûne de 48 ou 72 h (respectivement 71 et 73%) ou en absence de jeûne (11%). Les protonymphes se sont aussi bien alimentées que les adultes; elles ont été significativement plus nombreuses à le faire aprés 2 h (84%) qu'après 1 h (71%). Le sang refroidi pendant une nuit, ou pendant une ou 2 semaines a été consommé par un plus grand nombre d'acariens (59%, 70% et 78%) que le sang frais (46%); les différences entre durées voisines ne sont pas significatives, mais elles le sont entre une nuit et deux semaines. Le sang congelé pendant 1, 2 ou 4 semaines a été consommé par un plus grand nombre d'acariens (87%, 90% et 82%) que le sang refroid: la consommation était aussi bonne pour les différentes durées de congélation. Puisque les acariens se sont bien alimentés sur sang lysé (75%), les matériaux propres au sang frais devaient être tombés hors d'atteinte des pièces bucales des acariens. Autant se sont alimentés sur plasma (87%), sérum (79%) que sur sang complet (85%), mais ils ont été moins nombreux à le faire sur érythrocytes lavés (69%); ils ont été nombreux à le faire sur sang citraté (87%), mais en plus faible nombre sur sang oxalaté (66%) ou défibriné depuis peu (32%). Le taux de mortalité des acariens qui avaient consommé du sang oxalaté était élevée (25%), à l'opposé de celui observé après alimentation sur sang citraté (6%) ou sang héparinisé (9%). Le sang défibriné n'était pas lysé, et ales érythrocytes étaient probablement hors d'atteinte, et ainsi, non ingérés par les acariens.
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8.
Batches of wild-caught adult females of Glossina palpalis palpalis R.-D. were treated topically (0.36 l per fly) with different doses of 14 chemical insecticides in acetone and subsequent abortion (if any) and death of each fly were recorded. Control flies received acetone alone. No fly was fed after treatment. Abortion rates of treated fly-batches and the corresponding control batch were compared by Fisher's exact test. The rate of abortion for 274 control flies rose from 1.1% on day 1 to 6.3% on day 5, then declined to the last abortions on day 9. The increase of rate probably resulted from increasing period of starvation. Significantly increased rates of abortion of eggs or immature larvae, compared with the control, were only found with high doses of fenitrothion, propoxur, permethrin and dieldrin and with various doses of sumithrin, sumicidin and deltamethrin. Abortion was most frequent for the last three; synthetic pyrethroids. All significant rates were for rapid abortion, within 24 h after treatment, and many abortions for sumithrin, sumicidin and deltamethrin were within 60 min Pyrethroid-treated flies frequently showed rapid and prolonged knock-down. Especially for pyrethroids, many aborted eggs or larvae were covered with white, sticky fluid. It is suggested that insecticides caused high rates of abortion by general relaxation of maternal muscles, thus opening the vaginal sphincter, smoothing the uterine wall and allowing accumulated milk gland secretions to flow into the uterus. This reduced friction between contents and the uterine wall and the egg or larva escaped passively through the vaginal aperture.
Résumé Les femelles de G. palpalis palpalis provenaient de captures de populations sauvages près d'Abuja au Nigéria. Les lots de mouches ont reçu des applications locales (0,36 l par mouche) de 14 insecticides chimiques à différentes doses. L'émission d'un oeuf ou d'une larve immature était considérée comme un avortement. Les témoins ont reçu de l'acétone. Les mouches n'ont pas été alimentées après traitement. Les résultats des différents lots ont été comparés par le test de Fisher. Pour 274 mouches traitées à l'acétone, le taux d'avortement croît de 1,1% le ler jour à 6,3% le 5e jour pour diminuer jusqu'au taux final le 9e jour, qui n'excède pas le taux naturel de 7%. On peut penser que le taux croissant est dû à la prolongation du jeûne et que l'acétone n'est pas un abortif. Les avortements se sont produits chez les mouches qui ont reçu chacun des 14 insecticides, les taux variant avec les doses, et pour la plupart des insecticides, augmentant avecle le temps depuis le traitement. Les taux d'avortement étaient particulièrement augmentés pour les lots traités avec des doses élevées de fénitrothion. propoxur ou perméthrine, et étaient très significativement augmentés chez ceux traités avec des doses très élevées de dieldrine ou différentes doses de sumithrine, sumicidine ou deltaméthrine: tous ces taux élevés étaient enrigstrés dans le jour après le traitement.Les avortements étaient particulièrement rapides, dans les 60 minutes, pour la sumithrine, la sumicidine et la delthaméthrine. Aucune mouche traitée à l'acétone ou à l'un des 11 autres produits n'a avorté dans les 60 minutes. Beaucoup de mouches traitées aux pyréthroïdes ont présenté un effrondement rapide et prolongé, suivant la dose. Beaucoup d'oeufs et de larves avortés après traitement aux pyréthroïdes étaient couverts d'un fluide blanc et visqueux. On peut estimer que les insecticides ont provoqué l'avortement par relâchement des muscles maternels, permettant l'ouverture du vagin, le déridement de la paroi utérine et la décharge dans l'utérus des secrétions de lait accumulées dans les glandes. Ceci a réduit la friction entre les parois de l'utérus et son contenu (oeuf ou larve) qui glissait à travers l'ouverture du vagin. Il est peu vraisemblable que les avortements induits par les insecticides puissent réduire les populations pendant les traitements.
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9.
Groups of Glossina morsitans morsitans Westwood fed at emergence and thereafter daily, every second or third day respectively, up to the end of their first pregnancy cycle, survived well (73–79%) and produced virtually the same number of puparia/ (0.83–0.85) in the same puparial weight class (23–24 mg). However, adult survival (29%), number of puparia/ (0.30) and puparial weight (19 mg) were much lower in the group consistently fed every 4th day after the initial meal at emergence. It is proposed that tsetse colonies could be fed on Mondays, Wednesdays and Fridays without jeopardising adult survival, puparial production/ and the size (weight) of puparia produced.
Performances en Zambie de la mouche Tsé-Tsé (Glossina morsitans morsitans) élevée en utilisant différents régimes alimentaires
Résumé Afin d'estimer si une alimentation quotidienne de G. morsitans morsitans présente un avantage sur une alimentation moins fréquente, nous avons enrigestré la survie des adultes, la production et le poids des pupes chez des individus nourris à l'émergence et, ensuite, tous les jours ou tous les 2, 3 ou 4 jours. Les femelles alimentées quotidiennement, ou tous les 2 ou 3 jours, ont produit le même nombre de pupes (0,83–0,85), avec des poids de même ordre (23–24 mg), et avec une aussi bonne survie (73 à 79%). Alimentées tous les 4 jours, elles ont produit 0,30 pupe/femelle, pesant 19 mg/pupe et avec une plus faible survie (29%). Ces résultats montrent qu'il est inutile de nourrir les mouches chaque jour au lieu de tous les 2 ou 3 jours. Cependant une alimentation à des intervalles supérieurs à 3 jours, a eu des conséquences clairement défavorables. Ainsi, peuvent être considérablement réduits et le travail et le coût des élevages, sans porter préjudice à la production, en alimentant les mouches 3 fois par semaine, par ex. les lundis, mercredis et vendredis.
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10.
Résumé On peut rendre horizontaux les rayons d'une ruche et verticaux ceux d'un nid de guêpes sans perturbations visibles pour l'élevage ou le comportement des ouvrières.Les abeilles réparent très facilement et immédiatement les trous creusés dans les cellules d'ouvrières ou de reines, elles posent sans difficulté un fond aux cellules d'ouvrières si on l'a enlevé. Elles tordent une lame de cire perpendiculaire aux rayons pour la mettre en position parallèle.Les abeilles peuvent déposer leur miel dans les trous d'une plaque de bois, dans des rayons de métal ou de plastique; elles peuvent élever leur couvain dans des rayons de plastique et leurs reines dans des cellules de verre ou de plastique. Les guêpes peuvent operculer avec du carton les rayons des abeilles. Les guêpes souterraines dont on vient de déterrer le nid le couvrent de terre et l'enterrent en creusant au-dessous. Si une plaque de métal glissée au-dessous s'y oppose, elles le reconstruisent peu à peu de manière à l'amener sur le bord de la plaque et à l'enterrer à nouveau.  相似文献   

11.
Juvenile praying mantids are faced with a wide variety of prey types, including physiologically harmful ones. How they respond to these prey, behaviorally and physiologically, is examined in this study. By adapting a technique developed by Blau et al. (1978) for herbivorous insects, we determined the deterrence and toxicity of unpalatable prey. Artificial diets containing different percentages of cardenolide-containing prey were offered to third instar juveniles. When fed diets containing small proportions of unpalatable milkweed bugs (Oncopeltus fasciatus Dallas), juvenile mantids (Tenodera sinensis Saussure) showed a slight decrease in consumption and growth. In contrast, with an intermediate proportion of milkweed bugs in the diet, feeding was not inhibited and, correspondingly, a marked reduction in growth rate occurred. Yet higher proportions of milkweed bugs in the diet acted primarily as a feeding deterrent. Mantids from different egg cases responded differently to the same range of milkweed bug diets. This variation was evident both in acceptance of the novel diet and in relative consumption rates.
Résumé De jeunes mantes ont été mises en présence d'une grande diversité de proies, y compris certaines physiologiquement nocives. La pénurie alimentaire peut être sévère dans la nature pour les jeunes mantes (Hurd & Rathet, 1986), et par conséquent, elles peuvent attaquer la plupart des proies rencontrées. Nous avons examiné comment les mantes réagissent éthologiquement et physiologiquement aux proies toxiques. A partir de la technique utilisée par Blau & al (1978) pour des insectes herbivores, nous avons examiné l'effet dissuasif et la toxicité de proies au goût désagréable. Des régimes artificiels avec différents pourcentages de proies contenant des cardénolides ont été proposés à des juvéniles de stade 3. Les courbes de l'efficacité de la croissance (taux de croissance relative en fonction du taux de consommation relative) pour différents lots traités ont été comparées à une courbe de référence (régime artificiel témoin ne contenant pas de cardénolides) en accord avec Blau et al. (1978). Les courbes significativement plus basses que la courbe de référence indiquent une efficacité de croissance inférieure et ainsi un effet toxique. Les individus de ces groupes ont consommé autant que les témoins, mais leur croissance a été inférieure. A l'opposé, quand les proies contenant des cardénolides étaient répulsives, la distribution de RGR/RCR coïncide avec la courbe de référence, mais montre des valeurs de RCR plus faibles. Ainsi les réponses des mantes indiquent les propriétés dissuasives ou toxiques de ces régimes.Quand elles consommaient des régimes contenant de faibles proportions de Oncopeltus fasciatus Dallas au goût désagréable, les mantes juvéniles, Tenodera sinensis Saussure ont présenté une légère diminution de la consommation et de la croissance. A l'opposé, avec une proportion intermédiaire de O. fasciatus dans le régime, la consommation n'a pas été inhibée et une réduction marquée du taux de croissance a été observée. De plus, il y a eu un effet compensateur des concentrations intermédiaires de O. fasciatus dans le régime alimentaire avec augmentation de la consommation, lorsque cette dernière n'est pas fortement inhibée et que l'on observe un effet immédiat sur la croissance. De plus fortes proportions de O. fasciatus dans le régime alimentaire agissent d'abord comme répulsif. Les mantes de différentes oothèques réagissent différemment, tant en ce qui concerne l'acceptation que les taux de consommation à la même gamme de régimes contenant O. fasciatus. Une des 3 oothèques acceptait deux fois moins le nouveau régime que les deux autres oothèques; 2 des 3 oothèques ont présenté des taux de consommation respectivement de la moitié et du dixième de la troisième oothèque.
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12.
The phagostimulant effectiveness of substances used in artificial diets for Schistocerca was assessed by comparing the amounts of faecal material produced by hungry hoppers allowed to feed on filter paper soaked in solutions of the substances with the amounts produced when water alone was used on the paper. Sucrose, glucose and wheatgerm oil caused markedly greater faecal production than distilled water alone. Chlorophyll, carotene, casein, peptone, olive oil, a nutritional salt mixture, a mixture of B vitamins, choline chloride and ascorbic acid were no more effective than water. Aqueous extracts of yeast were generally as effective as sugar but sometimes seemed inhibitory at high concentrations. As growth could occur on diets lacking yeast, sugar and wheatgerm oil, the only dietary components found to have pronounced phagostimulatory properties, it appears that special gustatory stimuli are unnecessary for initiating feeding activity in hungry hoppers. This view was later borne out in experiments in which the amounts of various complete diets eaten and the faeces produced from them were compared. No major differences in feeding attributable to palatability were apparent, but the amounts of food taken were found to be related to differences in utilisability. With both Schistocerca and Locusta, the lower the utilisability of the food the greater the amount eaten and for a range of diets of various utilisabilities, including fresh grass, the values obtained by multiplying the amount eaten (dry weight) by the coefficient of utilisation were similar for each species. It is suggested that in locust hoppers special gustatory stimuli are unnecessary for the initiation of feeding and of minor importance in sustaining it. The amount of food taken appears to be largely regulated by its overall utilisability where food of more or less adequate nutritional composition is concerned, a situation not wholly unexpected in insects able to thrive on diverse food plants.
Resume L'effet phagostimulant des substances employées dans les régimes artificiels pour Schistocerca a éte évalué en comparant les quatités de matière fécale produites par des nymphes affamées auxquelles étaient offertes du papier filtre trempé dans de l'eau ou dans des solutions des substances à expérimenter. Le sucrose, le glucose, l'huile de germe de blé et un extrait éthéré de son ont occasioné une excrétion nettement plus grande que celle produite par l'eau distillée seule. La chlorophylle, le carotène, la caséine, la peptone, l'huile d'olive, un mélange salin, un mélange de vitamines du complexe B, le chlorure de choline et l'acide ascorbique n'étaient pas plus efficaces que l'eau. Des extraits aquex de levure étaient en général aussi efficaces que le sucre, mais quelquefois semblaient inhibiteurs à des concentrations fortes. Le Cerophyll, une spécialité de jus d'herbe qui a amélioré la croissance quand on l'a ajouté à certains régimes artificiels, semblait répulsif à des concentrations fortes et moins efficace que le sucre une fois dilué. Comme les régimes qui manquaient de sucre, de levure ou d'huile de germe de blé, les seules parties constituantes des régimes synthétiques à manifester des effets nettement phagostimulants, étaient au début capables d'entretenir une bonne croissance, il paraît probable que la faim est plus importante que la présence de stimuli gustatifs spéciaux pour déclencher l'activité alimentaire. On a comparé les quantités de nourriture mangée et les faeces produits par des nymphes du 5ème stade de Schistocerca auquelles étaient offertes des régimes artificiels divers ou de l'herbe fraîche. La première intention était de déterminer si un régime synthétique contenant de la protéine non raffinée d'herbe, qu'on avait trouvée supérieure dans des expériences de croissance à un régime analogue qui manquait de la protéine d'herbe, devait sa supériorité à un goût amélioré. On n'a pas découvert de différences importantes au point de vue de l'alimentation dues à des différences de goût, mais on a trouvé que les quantités de nourriture prises étaient liées à des différences considérables d'utilisation digestive. En ce qui concerne le poids sec, l'herbe n'a été utilisée qu'à moitié aussi bien que le régime synthétique tandis que le régime herbe protéine était intermédiaire à cet égard. Ceci a suggéré que la meilleure croissance effectuée en incorporant l'herbe protéine, pouvait se relier avec la diminution d'utilisation. En reformulant un régime synthétique contenant davantage de cellulose pour donner une utilisation digestive de l'ordre trouvé pour l'herbe, on a obtenu une croissance aussi bonne que celle du régime herbe-protéine. Le travail subséquent avec Schistocerca et Locusta a montré que l'utilisation digestive était un élément important qui réglait la quantité de nourriture prise. En général, plus l'utilisation était basse, plus la quantité mangée augmentait, et pour des variétés de régimes de digestibilité différente, y compris l'herbe, les valeurs obtenues en multipliant la quantité mangée (poids sec) par le coefficient d'utilisation étaient semblables pour chaque espèce. Afin d'expliquer ces résultats, il est proposé que des stimuli spéciaux gustatifs ne sont pas nécessaires au déclenchement de l'activité alimentaire chez les nymphes des criquets pélerins et qu'ils sont d'une petite importance dans la sustentation de l'alimentation. Il paraît que la quantité de nourriture prise est en grande partie réglée par son utilisation digestive en ce qui concerne une nourriture d'une composition plus ou moins suffisante, situation qui n'est pas étonnante chez des insectes qui sont capables de se développer sur des plantes diverses.
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13.
In response to residue of a sublethal dose of the synthetic pyrethroid fenvalerate, twospotted spider mites, Tetranychus urticae Koch, exhibited an aerial dispersal behavior in addition to a previously documented walk-off response. The magnitudes of the two responses were positively correlated, although the peak incidence of aerial dispersal behavior occurred 1.3 h after the peak of walk-off. Mite response was the same on treated and untreated non-feeding surfaces (31.2 and 36.2% walk-off, 58.4 and 55.6% aerial, respectively), suggesting that fenvalerate did not induce dispersal by direct irritancy. Response on treated leaf disks (40.6% walk-off, 41.6% aerial) was similar to that on the non-feeding surfaces, but few mites exhibited dispersal behaviors on untreated leaf disks (7% walk-off, 0% aerial). The difference between mite dispersal from treated and untreated leaf disks was attributed to a direct antifeedant effect of fenvalerate, which was thought to hasten desiccation by preventing imbibition. This hypothesis was supported by experiments in which mites on non-feeding surfaces responded more rapidly and in greater numbers when held at 10% relative humidity than at 95% r.h. regardless of fenvalerate residues on the substrate. The relationship among the different types of fenvalerate-induced mite dispersal behavior is discussed.
Résumé T. urticae réagit, après une réaction de fuite, par un comportement de dispersion aérienne, à la présence de résidus sur disques de feuilles d'une dose subléthale (25 ppm=0,025 g AI/L) du fenvalerate pyréthroïde de synthèse: Pydrin 2.4 EC. Ces résponses ont été aussi observées chez des acariens enfermés avec des surfaces inertes. La corrélation entre les deux formes de réponses de dispersion était positive, bien que le pic des dispersions aériennes ait eu lieu 1,3 h après le pic des fuites. La dispersion était la même avec des surfaces non-allimentaires traitées ou non (respectivement départs: 31,2 et 36,2%, et dispersions aériennes: 58,4 et 55,6%), tandis que le comportement de dispersion était rare sur feuilles non traitées (départ 7%, dispersion aérienne 0). Les réactions des acariens aux surfaces inertes traitées ou non au fenvalerate laissent penser que ce produit p'induit pas une réaction par irritation directe, sinon la réaction des acariens aurait dû être plus importante sur surfaces inertes traitées. Ainsi, la différence entre les dispersions à partier de disques de feuilles traitées ou non a été attribuée à une phagodissuasion directe.Comme l'alimentation fournit nourriture et eau aux acariens, la dispersion par le fenvalerate peut répondre, soit à la privation de nourriture, soit à celle d'eau, soit enfin aux deux. La dessication, supposée résulter de la carence en eau, peut aussi être favorisée par l'induction de pertes d'eau. Pour séparer effets de privation et de dessication, les acariens ont été maintenus sur des surfaces inertes à 10% et à <95% H.R.; à 10%, ils ont réagi en plus grand nombre et plus tôt qu'à <95%, montrant que la dessication a été, plus que le jeûne, le stimulus primaire de la dispersion, bien que l'on ne doive négliger l'importance du jeûne, surtout quand il se prolonge plusieurs heures.Selon nos résultats, fuite et comportement de dispersion aérienne induits par le fenvalerate, proviennent de son action phagodissuadante, et peuvent être des manifestations différentes d'une réaction générale de dispersion. Nous suggérons que les acariens répondent par ces comportements à une perte d'eau en-dessous d'une seuil qui aurait permis l'adaptation à la détérioration de la plante hôte. Les relations entre dispersion induite par le fenvalerate (par comparaison avec les autres modes de dispersion) et mortalité dans la nature restent à éclaircir.
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14.
Sugars and amino acids were analysed in the phloem sap (sampling by the exudation method) of four clones of lucerne (Medicago sativa L.) characterized by their resistance to the pea aphid, Acyrthosiphon pisum (Harris) (Homoptera: Aphididae). Differences in the qualitative amino acid balance are shown and a negative correlation between the reproductive rate of the aphid and the sugars/amino acids ratio is underlined. To demonstrate any causal relationship between these two variables, the reproduction of A. pisum on artificial diets copying the sap of the two extreme clones (resistant and susceptible) was measured. The results show that the resistance is not a simple nutritional effect; however, the amino acid balance contributes to the resistance exhibited by some cultivars.
Résumé L'analyse (sucres et acides aminés) de la sève de 4 cultivars de luzerne (Medicago sativa) caractérisés pour leur résistance au puceron du pois (Acyrthosiphon pisum (Harris)) (Homoptera: Aphididae), est réalisée sur des exsudats de phloème. La teneur en sucres (exprimée en équivalent saccharose) montre d'importantes différences: rapport de 1 à 3 respectivement entre les clones sensible et résistant. La teneur globale en acides aminés exsudés varie en sens inverse, entraînant une corrélation négative pour les 4 clones étudiés entre le rapport sucre/acides aminés (0,6 à 3,6) et la résistance mesurée par le taux net de reproduction à 14 jours (78,5 à 11,2 larves/femelle). L'analyse des acidses aminés révèle de plus des différences qualitatives entre cultivars, notamment pour certains acides aminés essentiels méthionine, histidine, lysine, aromatiques.Le rôle de l'équilibre en acides aminés et en sacharose dans la résistance de certains cultivars au puceron du pois est apprécié par des mesures de la reproduction de A. pisum sur des milieux artificiels reproduisant le rapport sucre/acides aminés et/ou le spectre des acides aminés des 2 clones extrêmes (sensible et résistant). La résistance n'apparaît pas être le résultat d'une simple différence de la qualité nutritionnelle de la sève; la balance en acides aminés doit cependant participer pour une part à la résistance au puceron.
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15.
The effects on dietary self-selection of phagostimulation and metabolic feedback from nutrients were seperated by using two unusual carbohydrates alone or in combination: mannitol, which is nutritive but not phagostimulatory for H. zea larvae; and sorbose, which is weakly phagostimulatory but not nutritive. Last instar H. zea larvae recognized and responded positively to mannitol by metabolic feedback when it was included in a diet with casein. When offered a choice of two diets, one containing casein but lacking a utilizable carbohydrate and another lacking casein but including either mannitol or sorbose, they did not self-select for either mannitol or sorbose. However, in a similar experiment, in which the carbohydrate diet contained a mixture of mannitol and sorbose, there was a positive response, demonstrating that both metabolic feedback and phagostimulation are required to elicit self-selection.
Résumé Les chenilles d'H. zea peuvent choisir un mélange nutritif optimal parmi deux régimes séparés, répondant à des besoins alimentaires différents. Cette aptitude à l'autosélection pose la question des voies de sélection d'un régime optimal par l'insecte. L'autosélection est probablement réalisée par un feedback métabolique des aliments; la stimulation sensorielle par les aliments pourrait jouer elle aussi un rôle. Notre objectif est de séparer ces deux facteurs et d'en déterminer l'importance relative.Des L 5 venant de muer ont pu s'alimenter sur 2 régimes nutritionnellement complets, mais dont l'un contenait des carbohydrates (sucrose) mais non des protéines, tandis que l'autre contenait des protéines (caséine) mais non des carbohydrates. L'auto-sélection caséine/sucrose a été 81/19; elle correspond à la portion idéale pour le dernier stade des chenilles H. zea établie lors d'expériences antérieures (Waldbauer et al., 1984a). Pour comparer l'importance relative du feedback métabolique et de la stimulation sensorielle, 2 carbohydrates ont été substitués au sucrose, qui est à la fois nutritif et phagostimulant: le mannitol, nutritif mais ne stimulant pas de prise de nourriture, et le sorbose, faiblement stimulant mais non nutritif. Quand elles ont le choix, les chenilles ne sélectionnent ni mannitol, ni sorbose, mais consomment presque exclusivement le régime alternatif à la caséine. Quand sorbose et mannitol sont mélangés et proposés ensemble, la réponse est positive, montrant que le feedback métabolique et la stimulation sensorielle sont impliqués tous deux dans l'autosélection alimentaire.Des expériences en deux étapes d'autosélection ont montré que le feedback métabolique est de première importance. Dans la première, les chenilles avaient le choix entre caséine seule et caséine et mannitol. Les chenilles ont consommé significativement plus d'aliment avec mannitol que sans carbohydrate, bien que les goûts des deux régimes aient du être identiques, puisque le mannitol n'a pas de goût pour H. zea. La caséine a été vraisemblablement assez phagostimulante pour maintenir suffisamment les chenilles sur l'aliment avec mannitol et ainsi permettre au feedback métabolique du mannitol d'influer sur leur maintien sur cet aliment sans en rechercher un autre.Dans d'autres expériences, les chenilles ont eu le choix entre un régime alimentaire classique avec de la caséinne et d'autres n'ayant plus leur caséine mais avec des quantités décroissantes de sucrose. Elles n'ont pas réagi en consommant plus d'aliments avec du sucrose dilué, mais en consommant plus de caséine. Cependant, si du mannitol, pourtant non phagostimulant, est ajouté à des aliments avec du sucrose dilué pour remplacer le sucrose manquant, les chenilles ne compensent plus en consommant plus d'aliments avec de la caséine, mais de la même façon qu'elles le feraient avec un aliment contenant la concentration adéquate de sucrose, montrant qu'elles perçoivent ainsi le feedback métabolique du mannitol, qui est pourtant sans goût.
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16.
Honeydew droplets freshly excreted by two aphid species, Myzus persicae (Sulz.) and Acyrthosiphon pisum (Harr.), feeding on nutritionally adequate, artificial diets containing 10–40% w/v sucrose, were collected in oil. The volume, frequency of excretion, and carbohydrate content of the droplets were determined by measuring the diameter of the droplets in the oil, by recording the number of droplets excreted per aphid per hour, and by using a quantitative colorimetric method for estimating carbohydrates. Rates for the intake or excretion of fluid, the intake and absorption of sucrose, and the excretion of carbohydrate were consequently calculated for the two species on each dietary sucrose concentration. The percentage of dietary sucrose absorbed by the aphids ranged from 36% on diet with 40% sucrose to 97% on diet with 10% sucrose. Such honeydew/diet relationships may allow one to use honeydew carbohydrate concentrations to estimate the sucrose concentrations of the phloem sap ingested by aphids feeding on host plants.
Résumé Des gouttelettes de miellat fraîchement excrétées par deux espèces de pucerons, Myzus persicae (Sulz.) et Acyrthosiphon pisum (Harr.), pucerons nourris sur des régimes nutritifs synthétiques contenant 10–40% de saccharose, ont été récupérées dans de l'huile. Le volume des gouttelettes a été déterminé en mesurant leur diamètre individuel dans l'huile, la fréquence d'excrétion établie par le nombre de gouttelettes excrétées par puceron par heure, et la teneur en glucides par une méthode d'analyse colorimétrique quantitative. Les taux d'ingestion et d'excrétion de liquide, d'ingestion et d'absorption de saccharose ainsi que les taux d'excrétion de glucides ont été par la suite calculés pour les deux espèces d'aphides nourris sur les différentes concentrations de saccharose. Le pourcentage de saccharose alimentaire absorbé par les aphides a été de 36% sur le régime contenant 40% de ce glucide, mais s'est élevé à 97% sur le régime ne contenant que 10% de saccharose. D'après ces relations miellat/régime nutritif, et en connaissant la teneur du miellat en glucides, on peut faire une approximation de la concentration du saccharose dans la sève élaborée du phloème ingérée par les aphides.
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17.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
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18.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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19.
The utilization of carbohydrates by the large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus (Dallas), was studied by feeding the nymphs on chemically defined diets and recording the effects of the various sugars on growth, development, survival, and reproduction. The carbohydrate utilization by the early nymphal stages was largely similar to that observed for later ones. The results showed that some dietary carbohydrate is necessary for maintaining O. fasciatus on chemical diets. Arabinose and rhamnose were of poor value, but the insect was able to utilize glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, trehalose, lactose, turanose, melibiose, raffinose, and melezitose. The degree of utilization for each sugar, however, differed. Glucose promoted best growth and development among monosaccharides, sucrose among disaccharides, and melezitose among trisaccharides. The optimum level of sugar in the diet was around 4%, and a higher or lower concentration (2, 8, 12%) usually reduced growth. Viable eggs were obtained on some of the diets.
Résumé La valeur nutritive de plusieurs glucides pour la punaise de l'asclépiade, Oncopeltus fasciatus, a été déterminée en élevant des larves sur des régimes nutritifs de composition chimique connue. Les effets des sucres sur la croissance, le développement, la longévité et la reproduction ont été établis, et ces effets apparaissent semblables chez les très jeunes larves de même que chez les larves plus âgées. Les résultats indiquent que la présence d'un sucre dans le régime nutritif est indispensable pour la survie de l'insecte. Cependant certains sucres, tels que l'arabinose ou le rhamnose n'ont que peu ou pas de valeur nutritive, tandis que d'autres (glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, tréhalose, lactose, turanose, mélibiose, raffinose et mélézitose) ont une valeur nutritive variant de faible à élevée. Les sucres qui ont donné les meilleurs résultats sont le glucose, le sucrose, et le mélézitose. La concentration glucidique optimale dans le régime se situe à 4% et une concentration moindre (2%) ou plus élevée (8 ou 12%) ralentit généralement la croissance. Les larves sur certains régimes se sont développées jusqu'au stade adulte et des ufs fertiles ont été pondus.
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20.
Des relations sont recherchées entre les caractéristiques des grains de 58 variétés de riz paddy et leur sensibilité aux quatre principaux ravageurs primaires des stocks: Sitophilus oryzae, Sitophilus zeamais, Rhyzoperta dominica et Sitotroga cerealella. L'étude confirme la prépondérance de l'herméticité des glumelles comme facteur de résistance, et établit que les cassures mécaniques des enveloppes sont des voies de pénétration plus régulières que le défaut de coaptation entre lemma et palea. L'égrenage se révèle être un facteur de sensibilité à S. cerealella aussi déterminant que le défaut de fermeture des glumelles, car lié d'une part à la dureté du pédoncule par lequel les larves de cet insecte peuvent pénétrer, d'autre part au taux de casse des enveloppes provoqué par le battage plus ou moins intense qu'il nécéssite. S'agissant de riz non décortiqué, les caractéristiques des enveloppes expliquent pour une très large part la variabilité de la résistance aux insectes étudiés, dont le développement n'est que faiblement influencé par les caractéristiques propres du grain, tels le format ou la teneur en eau.  相似文献   

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