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1.
Extracts rich in saponin from the seeds and roots of tea (Camellia sinensis), seeds of Acacia concinna, Cyclamen europaeum and Sapindus emarginatus were found to have no inhibitory effects on the development of the tea tortrix, Homona coffearia Nietner, reared in meridic diets in the laboratory. The azasterol, 25-azacoprastane and the nonsteroidal amine, N, N-dimethyltetradecanamine, very significantly suppressed development and adult emergence, both at 50 and 100 ppm. This suppression appears to be due to the possible blockage in the availability of an adequate amount of dietary sterol and/or, an interference in the synthesis of ecdysteroids in this insect.
Effets des saponines, azasterols et amines nonsteroides, sur le developpemnet d'Homona coffearia, in vitro
Résumé Des extraits de graines et de racines de thé, des graines d'Acacia concinna, de Cyclamen europaeum et de Sapindus emarginatus, riches en saponine, n'ont pas présenté d'effets inhibiteurs sur le développement de la tordeuse de thé, Homona coffearia, élevé sur régime méridique en laboratoire. L'azastérol (25-azacoprastane) et l'amine monstéroïde, (N,N-dimethyltetradecanamine) à 50 et 100 ppm l'un et l'autre, compromettent significativement le développement et l'émergence des adultes. Cette influence pourrait être due à un possible bloquage de l'accès à une quantité satisfaisante de stérols alimentaires et (ou) à une action sur la synthèse des ecdystéroïdes de ces insectes.
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2.
An artificial diet consisting of sucrose, casein, yeast extract, tea bark extract and cellulose powder was suitable for rearing Xyleborus fornicatus Eichh. through several successive generations in the laboratory. Since the flightless adult male progeny seldom emerged, diet evaluations were based on the number of emerging adult female progeny. At 28° and 75% R.H. the emergence of progeny adult females occurred 40–70 days after the date of inoculation of the parent female. The number emerging from these laboratory cultures far exceeded the average brood size observed under field conditions. Cellulose powder was found to offer the critical physical consistency needed for tunnelling.At 75% R.H., the beetles bred successfully in the temperature range of 24°–32°. Under uniform laboratory conditions in total darkness, emergence followed a definite rhythm, with peak emergence at 12.00 h. Since the observations were made on the progeny of beetles reared continuously in the laboratory in total darkness for more than ten generations, such a rhythm appears to be an in-born endogenous character that is independent of external environmental variations.
Résumé Xyleborus fornicatus a pu être élevé pendant plusieurs générations successives sur un aliment artificiel constitué par du sucrose, de la caséine, de l'extrait de levure, de l'extrait d'écorce de thé et de la poudre de cellulose.A 28° et pour une H.R. de 75% l'émergence des premiers imagos femelles intervient 40 à 70 jours après la mise en élevage de la femelle pondeuse. Le nombre de femelles issues de ces élevages en laboratoire est beaucoup plus élevé que le nombre moyen de descendants observés dans les conditions naturelles. La poudre de cellulose s'est révélée offrir la bonne consistance physique, nécessaire au creusement des galeries.Pour une H.R. de 75%, les insectes se reproduisent normalement, dans une gamme de température comprise entre 24° et 32°. Sous les conditions uniformes du laboratoire, dans l'obscurité totale, l'émergence des imagos se manifeste selon un rythme défini, avec un pic à midi. Un tel rythme semble être de nature endogène et innée, indépendant des variations du milieu extérieur.
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3.
Résumé Des élevages expérimentaux deCallosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae) sur les graines deVicia faba décortiquées ou non, ou sur des pastilles faites des mêmes graines, ont permis de mettre en évidence une barrière empêchant le développement de la bruche.Avec les graines entières, toutes les larves meurent au premier stade enfoncées dans le tégument; alors qu'elles se développent normalement dans les graines décortiquées.Avec des pastilles de broyats de graines non décortiquées, la majorité des larves meurt avant le terme de leur développement; la plus forte mortalité est observée au quatrième stade larvaire. Les larves, qui survivent, accusent une augmentation de leur durée de développement par rapport à celles qui se nourrissent aux dépens des pastilles faites de graines sans tégument.  相似文献   

4.
A heteropolysaccharide fraction was isolated from Phaseolus vulgaris beans in which it comprises at least 1% of the dry weight of the beans. This heteropolysaccharide increases larval mortality and decreases the rate of larval development and the number of eggs deposited by females of Callosobruchus chinensis, when incorporated in artificial beans in which the larvae feed. It is composed of galactose, glucose, xylose, arabinose and traces of rhamnose, as determined after acid hydrolysis. Of these individual sugars, arabinose and xylose affect adult fecundity as well. However, partial enzymic hydrolysis of the heteropolysaccharide fraction by C. chinensis larval midgut contents releases only glucose, galactose and trace amounts of arabinose, and the integral structure of heteropolysaccharide may be necessary for biological activity. the incorporation of the starch granules of Phaseolus vulgaris beans into artificial beans increases larval mortality and decreases the rate of larval development of C. chinensis. It is suggested that the heteropolysaccharide fraction as well as the starch are part of a complex of natural components of Phaseolus vulgaris beans that make these beans resistant to C. chinensis.
Résumé Ce travail cherche à préciser pourquoi les graines de haricot (Phaseolus vulgaris) ne sont pas attaquées par la Buche chinoise (Callosobruchus chinensis), espèce cependant très polyphage.Les graines de haricot renferment 1% d'un hétéropolysaccharide, qui s'est révélé accroître la mortalité et ralentir le développement des larves de cette Bruche, mais qui aussi réduit la fécondité des femelles adultes. Ces observations ont été faites à partir d'élevages sur des milieux artificiels normalement favorables, présentés sous forme de haricots, par un moulage approprié.Une hydrolyse acide de cet hétéropolysaccharide libère du galactose, du glucose, du xylose, de l'arabinose et des traces de rhamnose. Ces sucres simples sont testés: l'arabinose et le rhamnose influencent le développement des larves, tandis que le galactose, le xylose et à nouveau l'arabinose, ont un effet sur la fécondité des femelles (réduction de la fécondité à 40% de la normale avec 1% d'arabinose).Toutefois l'hydrolyse enzymatique de cette fraction hétéropolysaccharidique, par le contenu stomacal de larves de C. chinensis reste partielle et libère seulement du glucose, du galactose et des traces d'arabinose. II est possible que la structure intégrale de l'hétéropolysaccharide soit nécessaire à son activité biologique.Un autre facteur défavorable à C. chinensis pourrait être la nature même des grains d'amidon de Phaseolus. Cet amidon incorporé à l'aliment artificiel accroît en effet la mortalité larvaire et ralentit la vitesse de développement. Cet effet défavorable pourrait être dû à la non digestibilité des grains d'amidon entiers.Il est suggéré que la fraction hétéropolysaccharide et l'amidon de Phaseolus sont deux des facteurs présents dans la graine de haricot qui lui confèrent sa résistance naturelle à la Bruche chinoise.


Supported in part by the Research and Development Authority of the Hebrew University of Jerusalem.  相似文献   

5.
A simple artificial diet consisting of minced tea leaves and brewer's yeast was found to be suitable for mass-rearing the Tea Tortrix, Homona coffearia, in the laboratory. Growth and development on this diet approximated that observed in the field. At 24° and 75% R.H., the average larval periods were 22.4 days for males and 26.7 days for females while average pupal duration was 6 days for both. The average pupal weights were 35.7 mg for males and 72.2 mg for females. The survival of inoculated 1st-instar larvae to adults was 78% and oviposition rates were superior to those observed in the field. Additional dietary ingredients did not result in any further improvement, on the contrary, an excess supply of enzymatic hydrolysate of casein suppressed development.
Résumé Un aliment artificiel simple, formé d'un mélange de feuilles de thé hachées et de levure de brasserie s'est révélé convenable pour l'élevage de masse en laboratoire de la Tordeuse du thé Homona coffearia. La croissance et le développement sur ce milieu est très comparable à ceux observés dans la nature. A 24° et pour une humidité relative de 75%, la durée du développement larvaire est en moyenne de 22.4 jours pour les mâles et 26.7 jours pour les femelles, cependant que la durée du développement nymphal est en moyenne de 6 jours pour les deux sexes. Le poids moyen de pupes obtenues est de 35.7 mg pour les mâles et 72.2 pour les femelles.La survie moyenne du premier stade larvaire au stade adulte est de 78% et la ponte des femelles issues des élevages est supérieure à celle de femelles provenant de chrysalides récoltées dans la nature.L'addition de sucrose, d'acide linoléique, de chlorure de choline, d'acide ascorbique et de vitamines du groupe B n'apporte aucune amélioration, au contraire, un apport en excès d'hydrolysat enzymatique de caséine empêche le développement.
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6.
The effects of 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromene (precocene II) on pre-imaginal development in Aedes aegypti were determined by exposure of eggs, larvae and pupae to this botanically derived compound. Precocene II prevented adult emergence when newly hatched larvae were exposed to dosages ranging from 2 to 4 ppm. Pupation was inhibited when early 4th-instar larvae were exposed to dosages ranging between 1 and 10 ppm. Fourth-instar larvae treated at concentrations above 0.1 ppm, also required more time to complete metamorphosis than controls. The pupal and egg stages were insensitive to treatments at concentrations up to 10 ppm.
Les effects du 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromé sur le développement des stades prémiginaux aegypti, (diptera: Culcicae)
Résumé Les stades préimaginaux d'Aedes aegypti ont été exposés à des concentrations de l'ordre de 0,1 à 10 ppm de 6,7-dimethoxy-2,2-dimethyl chromène un composé extrait des plantes et manifestant des propriétés anti-allatotropes. De telles substances induisent en particulier une métamorphose précoce chez Oncopeltus et pour cette raison ont été appelées «précocènes». Les ufs et le stade nymphal sont insensibles à cette game de doses, mais le ler et le 4ème stade larvaire sont affectés de diverses façons. Les larves nouveaux-nées, soit ne muent pas, soit subissent un assombrissement de leur cuticule quand elles sont exposées à des concentrations de 2 à 6 ppm. La nymphose est empêchée quand les larves du début du 4ème stade larvaire sont exposées à des doses de 1 à 10 ppm. Les individus atteints restent à l'état de larve âgée et ne se transforment pas en nymphe. La durée du développement du ler et du 4ème stade larvaire est accrue de plus de 100% après des expositions à des doses de 4 à 10 ppm, respectivement.A la différence des réponses signalées antérieurement pour Oncopeltus fasciatus, les larves traitées ne subissent pas de métamorphose précoce. Ainsi, il est manifeste que ces composés affectent de façon diverses les processus endocrines associés à la mue, plutôt que d'exercer un effet direct antiallatotrope.
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7.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
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8.
The effect of different host plant diets on the growth dynamics of the large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus, was investigated by rearing this specialized seed feeder on the seeds of seven milkweed species occurring in central Missouri. Growth rate, growth efficiency, and : biomass ratio proved to be the most sensitive measures of growth in detecting significant differences between diets. Asclepias syriaca L., A. verticillata L. and A. hirtella (Pennell) Woods, supported the most rapid and efficient growth, while A. incarnata L., A. purpurescens L., A. viridiflora Raf., and A. quadrifolia Jacq. were less suitable host species. In general, O. fasciatus grew best on the host species it utilizes most commonly in the field, thus supporting the proposed host familiarity hypothesis. The most commonly exploited plant species shared three characteristics of seed production and quality which accounted for 87%–96% of the variability in growth dynamics of O. fasciatus. The most important of these was the mean number of pods produced per plant. Seed nitrogen content was the next best parameter in further accounting for variability in growth rate and : biomass ratio but seed cardenolide content was the second parameter for growth efficiency.
Résumé L'élevage d'Oncopeltus fasciatus sur les graines de 7 espèces d'Asclepias de la région centrale du Missouri a permis d'examiner l'influence de l'alimentation sur différentes plantes hôtes sur la dynamique du développement de cet insecte.La survie, la durée du développement, la biomasse des adultes et les calories de l'aliment consommé ou de la biomasse produite, présentent peu de différences significatives suivant les aliments.Par contre, 3 autres paramètres: le taux de croissance, l'efficacité de la croissance, et le rapport des biomasses /, sont plus sensibles pour la mise en évidence de différences. Asclepias syriaca, A. verticillata et A. hirtella permettent la croissance la plus rapide et la plus efficace, tandis que A. incarnata, A. purpurescens, A. viridiflora et A. quadrifolia sont des hôtes moins favorables. En général, O. fasciatus se développe mieux sur la plante qu'il consomme le plus fréquemment dans la nature, ce que était l'hypothèse des hôtes familiers. 87% de la variabilité du développement sur les différents régimes peut être expliquée par 3 paramètres liés à la production et à la qualité des graines. Le nombre moyen de gousses par plante intervient le plus dans la détermination de la variabilité du taux de croissance. La teneur des graines en azote est le paramètre qui intervient ensuite pour le taux de croissance et le rapport de biomasses /, mais la teneur des graines en cardenolide est le second paramètre pour l'efficacité de la croissance.
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9.
The respiration of pupae ofTrichoplusia ni decreased considerably following parasitization by the chalcidoidBrachymeria intermedia. Furthermore, the process of host tissue development appeared to be arrested within 48 hr indicating that this parasite quickly kills the host insect. The rate of oxygen consumption of parasitized pupae corresponded well with the observed development of the parasite.Parasite larvae fed actively and grew on conventional defined artificial media and larval development was completed on several diets of variable composition. However, following the elimination of the meconium most individuals died as prepupae. Few pupae were obtained and no adults emerged. Survival appeared to correlate with the observable protein content of developing larvae and possible factors influencing further development were discussed.
Résumé La respiration des chrysalides deTrichoplusia ni diminue brutalement après attaque parBrachymeria intermedia. De plus, le développement des tissus de l'hôte paraît être arreté en 48 h, montrant que ce parasite tue rapidement l'insecte hôte. Le taux de consommation de la nymphe parasitée correspond bien au développement observé du parasite.Les larves du parasite consomment activement et croissent sur substrat artificiel conventionnel et le développement larvaire est complet sur différents régimes de compositions variables. Cependant, à la suite de l'élimination du méconium, la plupart des individus meurent en prénymphes. Quelques nymphes sont obtenues mais aucun adulte n'émerge. La survie paraît liée à la teneur mesurable de proteïnes de la larve en développement; des facteurs pouvant influer sur le développement ultérieurs sont discutés.
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10.
Development, adult size and fecundity of the aphid parasite, Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae), which began their development in the first and third instar nymphs of Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), were studied in the laboratory. Survival and development times were almost identical in the two host instars. However, adult parasites reared in the first instar hosts were smaller and had fewer eggs at emergence than those reared from the third instar.Further analysis showed that the size of an adult parasite, irrespective of host stage at reception of the parasite egg, was largely determined by the size of the host when the parasite was in its destructive feeding phase. Furthermore, within parasites reared from each of the two host instars, the earlier emerging individuals were larger and contained more eggs on emergence. However, the relationships between size, development time and fecundity in the parasites differed significantly between cohorts reared from the two host instars.These results indicate that (1) the suitability of the aphid to the development of the parasite varies as the aphid develops, and (2) several aspects of the parasite biology must be studied to show the relative suitability of the aphids of a given instar.
Résumé L'étude a porté sur le développement, la fécondité et la taille des adultes d'A. sonchi Marshall (Hym: Aphidiidae) qui commence son développement dans le ler et le 3ème stades larvaires d'H. lactucae (Homopt: Aphididae). La survie et la durée de développement sont presque identiques dans les hôtes des deux stades. Cependant les adultes élevés dans le ler stade de l'hôte étaient plus petits et avaient moins d'oeufs à l'émergence que ceux élevés dans le 3ème stade.Des observations ultérieures ont montré que la taille de l'adulte, indépendamment du stade de l'hôte au moment de la réception de l'oeuf, était fortement déterminée par la taille de l'hôte au moment où la larve du parasite était dans sa phase alimentaire destructrice. De plus, parmi les parasites élevés à partir des hôtes de chacun des deux stades, les premiers émergés étaient plus gros et contenaient plus d'oeufs. Cependant la relation entre taille, durée de développement et fécondité des parasites différait significativement suivant les cohortes élevées à partir des hôtes des deux stades.Ces résultats indiquent (1) que l'adéquation du puceron au développement du parasite change pendant que le puceron se développe et (2) que différents aspects de la biologie du parasite doivent être étudiés pour montrer l'adéquation relative des pucerons d'un stade donné.
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11.
The ability of eight antimicrobial food additives to suppress the growth of seven micro-organisms in a chemically defined diet for an insect, Agria affinis auct. nec Fallén, was tested by inoculating a standard number of the microorganisms into the diet and determining the amount of microbial growth and the effects on the rate of growth and survival of the insect. The antibiotics, mycifradin sulfate, streptomycin sulphate, and tetracyn, suppressed the growth of bacteria, and aerosporin suppressed the growth of yeast at concentrations that were innocuous for the insect. Mold inhibitors were less effective, and failed to suppress the growth of a species of Aspergillus. Potassium sorbate suppressed the growth of yeast, bacteria, and species of Penicillium, but only at concentrations that adversely affected the rate of growth and survival of the insect.Antimicrobial compounds that are added to synthetic diets of insects to control contamination by microorganisms must be chosen carefully with due regard for the species of micro-organisms that are responsible for the most serious contamination, for the tolerance of the insect to the effective concentrations of the antimicrobials, and for the nutritional level of the synthetic diet.
Résumé Ce travail montre que les contaminations expérimentales d'un milieu synthétique pour l'élevage axénique des larves d'Agria affinis a des effets défavorables ou nocifs, soit en retardant le développement, soit en provoquant une mortalité des divers stades. L'adjonction d'antibiotiques au milieu d'élevage, peut avec des doses appropriées, éviter les contaminations, sans affecter la croissance ou la survie de l'insecte.Les micro-organismes utilisés pour la contamination du milieu d'élevage sont: 2 bactéries (Serratia marcescens Bizio et Providencia alcalifaciens (De Salles Gomes), 1 levure (Rhodotorula sp.) 4 moississures (Penicillium sp. A, B et C et Aspergillus sp.).Les composés anti-microbiens utilisés sont: 5 antibiotiques (Aerosporin, Sulfate de Mycifradin, Penicilline G potassium, sulfate de Streptomycine, et Tetracyn) 3 mycostatiques (sorbate de potassium, benzoate de sodium et propionate de sodium). La mycifradine, la streptomycine et la tetracyne empêchent bien la développement des deux bactéries testées, l'aerosporine supprime celle de la levure (tout cela à des concentrations non-nocives pour l'insecte). Les mycostatiques furent moins efficaces en particulier contre une espèce d'Aspergillus. Le sorbate de potassium inhibe la croissance de la levure, des bactéries et de Penicillium, mais seulement à des doses qui sont défavorables à la croissance et à la survie de l'insecte. Les micro-organismes semblent exercer leurs effets nocifs en modifiant la consistance ou la valeur nutritive du milieu alimentaire des larves, plutôt qu'en provoquant des infections directes.Le choix des composés anti-microbiens qui peuvent être adjoints à un milieu alimentaire d'élevage pour des larves d'insectes doit donc être réalisé avec soin, en tenant compte d'une part, de leur efficacité réelle sur les germes dont on doit éviter la prolifération, d'autre part, de leur inocuité sur l'insecte aux doses utilisées.
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12.
The activity of the shot-hole borer in gallery construction depends on a number of factors which include the thickness of wood, the type of tea plant, and the presence or absence of bark. In the experiments described in this paper, the influence of each of these factors has been assessed, and analysed statistically. The host plant-pest relationships of the shot-hole borer are discussed based on the above findings and the available literature. A method of rapid clonal testing for borer resistance and/or tolerance which could be carried out conveniently under laboratory conditions is outlined.
Résumé Xyleborus fornicatus préfère les nuds des branches du théier pour installer ses galeries: 77,7% et 74,4% de l'ensemble des galeries sont respectivement trouvées dans les nuds en conditions de laboratoire et en conditions naturelles, qu'il s'agisse de plants issus de graines ou résultant d'une multiplication végétative.Le diamètre moyen préférentiel de la branche pour l'installation des galeries est de 10,3±0,3 cm et 10,2±1,1 cm, respectivement en conditions naturelles et en conditions expérimentales. Le bois jeune est préféré au bois âgé (73,4% des galeries dans le bois jeune dans une épreuve de choix). Xyleborus préfère également les rameaux avec écorce aux rameaux sans écorce (75,6% en faveur des premiers). Ces résultats sont les mêmes pour différents clônes.La technique utilisée dans ces expériences pourrait être utilisée pour tester rapidement en laboratoire la tolérance ou la résistance de certains clônes aux attaques de X. fornicatus. Les méthodes utilisées jusqu'ici en plein champ sur pépinières nécessitent plus de deux ans avant d'obtenir des résultats.Les relations de la plante-hôte et de X. fornicatus sont discutées à la lumière des données acquises en ce domaine pour d'autres Scolytides en diverses régions du monde. Il est suggéré que la recherche de l'hôte et l'installation des galeries par X. fornicatus est basé sur des réactions du type chimioclinotaxies. D'autres recherches doivent être entreprises en ce qui concerne les effets de la teneur en eau du bois sur la sélection de l'hôte et sur la survie des larves.
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13.
Suppression of growth and molting occurred in Mexican bean beetle (Epilachna varivestis) larvae confined with bean plants treated with 25-azacholesterol (25-A) or 3-methoxy-25-azacholesterol (3-M-25-A). No larvae confined with bean plants dipped into 10 ppm of 3-M-25-A completed development and over half failed to complete the first ecdysis. Three larvae treated with 25-A developed everted wing pads on the last instar. Addition of an equal weight of cholesterol to the dipping solution completely nullified the inhibitive effects of a dose of 25-A 100 x greater than that required for inhibitive effects. Treatment of the bean plants with a combination of 25-A and a JH mimic resulted in additive and possibly synergistic pathological developmental effects in confined larvae.
Résumé Des larves d'Epilachna varivestis élevées sur des plants de haricots trempés dans des solutions d'acétone et eau contenant soit du 25-azacholesterol (25-A) ou du 3-methoxy-25-azacholesterol (3-M-25A), cessent de muer et leur croissance est stoppée. Avec des plants de haricots trempés dans une solution à 10 p.p.m. de. 3 M-25A, aucune larve n'acheva son développement et plus de la moitié des 100 larves expérimentées ne purent achever leur lère mue. Les pupes obtenues ne pesaient fréquemment que la moitié du poids des témoins. Trois larves traitées avec 25-A développèrent des ébauches alaires inversées au cours du dernier stade.Il a été reconnu que ces azasterols inhibent les D22 et D22,24 sterolreductases dans le tissu larvaire de l'intestin moyen des larves de Manduca sexta (Tobacco Hornworm). Ces enzymes interviennent dans la transformation des principaux phytostérols des feuilles de haricots (stigmasterol, -sitosterol et campesterol) en cholesterol. Comme il y a moins de 1% de cholesterol dans les feuilles de haricots, nous avons essayé de compenser l'effet inhibiteur du 25-A en ajoutant du cholesterol aux solutions du bain. L'addition de 1000 ppm de cholesterol annule complètement les effets inhibiteurs de 1000 ppm de 25-A (100 fois plus que la dose nécessaire pour provoquer des effets inhibiteurs).Des larves de Manduca sexta élevées sur plants de tabac à l'azasterol ne sont pas affectées, bien que leur développement soit grandement retardé par de petites quantités de ces azasterols ajoutés à un aliment synthétique dépourvu de cholestérol. Sans doute, la haute teneur en cholesterol des feuilles de tabac (9% des sterols totaux) est suffisante pour satisfaire les besoins en cholesterol des larves. Des traitements de plants de haricots avec une combinaison de 25-A plus la substance mimétique de l'hormone juvénile (E)-4-[(6,7-epoxy-3-ethyl-7-methyl-2-nonenyl) oxy]-1,2-(methylenedioxy) benzène, ont provoqué des effets pathologiques surjoutés et peut être synergiques sur le développement des larves d'Epilachna.
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14.
Immature Chrysopa sp. and Nabis capsiformis required 335 and 325 d°, respectively, for development from egg to adult, while larvae of Micromus tasmaniae were able to complete development at 5°. Mean adult female longevity and oviposition rate at 23° were 52 d (max. 83 d) and 18.1 eggs/d, and 30 d (max. 43 d) and 10.4 eggs/d for C. sp. and N. capsiformis respectively, and oviposition rate of M. tasmaniae averaged 19.1 eggs/d during 5 weeks. Reduced longevity and increased oviposition rate at higher temperatures were accounted for by basing adult biology on physiological time above the immature developmental thresholds. Intrinsic rates of increase were thus calculated as 9.820, 6.868, and 8.366 eggs/103 d° above thresholds of 10.5°, -2.9°, and 11.3° for C. sp., M. tasmaniae, and N. capsiformis, respectively.
Résumé L'examen a porté sur l'influence de différentes températures constantes sur le développement et la biologie imaginale de trois espèces prédatrices (Chrysopa sp., peut-être C. signata, Micromus tasmaniae et Nabis capsiformis) récoltées dans des champs de coton du sud-est du Queensland en Australie. C. sp. et N. capsiformis ont besoin respectivement de 335° au dessus d'un seuil de 10.5° et de 325° au dessus d'un seuil de 11.3°, pour se développer de l'oeuf à l'adulte. Les larves de M. tasmaniae pouvant effectuer la totalité de leur dévelopment a 5°.-A 23° les longévités des femelles adultes et les taux de ponte de C. sp. et N. capsiformis sout en moyenne de 52 j. (maximum 83) et 30 j. (maximum 43) d'une part et 18.1 et 10.4 ufs par jour d'autre part. Le taux de ponte de M. tasmaniae est de 19,1 ufs par jour pendant 5 semaines à 23°. La longévité réduite et le taux de ponte accru aux températures supérieures sont interprétés en basant la biologie imaginale sur le temps physiologique au dessus des seuils de développement.Les taux d'accroissement intrinsèque (rm) sont plus élevés aux températures élevées, principalement à la suite du taux de développement accru. M. tasmaniae possède le rm le plus élevé à toutes les températures par suite d'un développement rapide et de seuils thermiques bas, d'une brève période précédant la ponte et d'une date de ponte maximum précoce. Le rm de C. sp. est plus élevé que celui de N. capsiformis à la suite de son taux de ponte plus élevé.Les valeurs de rm fixées à partir du temps physiologique sont respectivement: 9,820, 6.868 et 8,366 ufs femelles/103 d° au dessus des seuils de 10,5°, -2,9° et 11,3° pour C. sp., M. tasmaniae et N. capsiformis.
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15.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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16.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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17.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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18.
Olives of three varieties were oviposited in by females ofDacus oleae. A few hours or a day later, they were treated with streptomycin sulphate in tap water.Immersion for 20 and 120 min in 0.3 and 1% streptomycin sulphate of Koutsourelia olives inhibited larval growth in most fruits, while for 0.2 min it did not. Immersion at 30°C caused generally more inhibition than at 20°.In Koutsourelia and Megaritiki olives, the addition of 0.1, 0.3, and 1% K2HPO4 or 0.7 and 2% glycerol at 22°–23°, did not cause significantly more inhibition.Topical application of drops of 1% streptomycin sulphate to Megaritiki and Konservolia olives was inhibitory only when the drop covered the oviposition hole.
Résumé Des olives de trois variétés ont été collectionnées à des dates différentes d'août à octobre 1972 et 1973, et ont reçu des ufs deDacus oleae (Gmelin). Quelques heures ou un jour après la ponte, les olives furent traitées à 0,3 et 1% de sulfate de streptomycine dans l'eau, avec ou sans Agral 90 (un produit dispersant-mouillant).Les olives de la variété Koutsourelia, recoltées au début d'octobre 1972, ont été immergées pendant 0,2, 20 et:120 minutes dans des solutions aqueuses de sulfate de streptomycine contenant 0, 0,3 et 1% de l'antibiotique, et cela à deux températures (20° et 30°). Une immersion brève de 0,2 minutes n'était pas assez longue pour inhiber le développement larvaire dans la plupart des fruits, sauf si on ajoutait l'Agral 90. Sans Agral 90 une immersion de 20 minutes fut approximativement aussi effective que celle de 120 minutes. A 30°, une solution à 0,3% de sulfate de streptomycine fut presque aussi effective que celle à 1%. En général, l'inhibition du développement larvaire à 30° fut plus grande qu' à 20°.Des fruits de la même variété furent immergés momentanément, où pendant 20 et 60 minutes dans des solutions de 0,3 et 1% de sulfate de streptomycine, avec ou sans K2HPO4 (0,1, 0,3 et 1%) ou 0,7 et 2% glycerine, à une température de 22°–23°. Le développement larvaire fut inhibé dans un grand pourcentage des fruits traités, sans différences significatives entre les traitements, à l'exception d'un cas d'immersion momentanée. Les résultats avec des olives d'une autre variété, Megaritiki, recoltées à mi-septembre, furent, en général, à peu près les mêmes.D'autres olives ont reçu des gouttes de 1% de sulfate de streptomycine. Le développement larvaire fut inhibé dans un pourcentage élevé des fruits, 1) quand une goutte de solution a été placé sur le trou de ponte et 2) quand le fruit entier a été immergé dans la solution qui contenait aussi l'Agral 90 (traitement de référence). Quand l'entrée du trou de ponte était paraffiné, quand les gouttes étaient placées quelques mm vens l'apex du fruit ou autour du trou et quand la moitié du fruit ne contenant pas le trou fut immergée dans la solution de streptomycine, le développement larvaire ne fut sensiblement pas inhibé. De même il n'y eut pas d'inhibition nette du développement larvaire quand les olives étaient en contact continu avec du coton saturé avec 1 et 5% de sulfate, de streptomycine.
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19.
Conclusions Cultivé sur un milieu synthétique vitaminé, Phycomyces n'absorbe pas, dans les limites de concentration de nos expériences, une quantité appréciable de vitamine B 1. Le test animal ne permet pas de mettre en évidence une synthèse de la vitamine B 1 par le champignon.La quantité maximum de vitamine B 1 qui, théoriquement pourrait être présente dans le mycélium du champignon, en admettant le cas le plus favorable, est trop faible pour pouvoir agir sur le champignon et activer un milieu synthétique.Il est très probable que l'on doive faire appel au second facteur de croissance de Mucorinées (facteur M). Aux dépens où à la faveur de la présence de la vitamine B 1, Phycomyces fabrique donc, à part le facteur agissant sur la levure (effet bios), une autre substance auxogène activant le développement d'une nouvelle culture du champignon.Si la substance en question, contenue dans l'extrait de Phycomyces, agit sur le développement d'une nouvelle culture, il faut naturellement admettre que dans le premier mycélium, ayant servi à préparer l'extrait, un rôle doit lui être dévolu également.L'action de la vitamine B 1 ne nous semblerait donc pas directe; la présence de cette dernière est indispensable pour permettre au champignon d'effectuer la synthèse des facteurs qui lui sont propres.  相似文献   

20.
To measure the progress of diapause termination in December and March and the difference in diapause intensity between populations from two altitudes, Coccinella septempunctata adults were exposed to 25° and to photoperiods 18L:6D or 12L:12D and the oviposition was recorded.In early December, C. septempunctata females from 600 m had the pre-oviposition period 1/3–2/3 shorter than the population from 1500 m. It was shorter under long day and in injured coccinellids under short day than in intact insects under short day. In mid-March the pre-oviposition period was considerably shorter, both after the hibernation outdoors and under 15°, indicating thus that diapause was over in almost all females. Photoperiodic response in post-diapause insects was shown by a gradual halt of oviposition after a decrease in daylength.In contrast to pre-oviposition of C. septempunctata, the pre-pupal period of Perilitus coccinellae did not get shorter between December and March.
Résumé En vue d'apprécier l'intensité de la diapause et son état d'avancement au cours du temps, en fonction des conditions d'hivernage, deux populations de Coccinella septempunctata sont récoltées dans le sud-ouest de la France, l'une à 600 m d'altitude, l'autre à 1512 m. Les insectes sont prélevés, d'une part, au milieu de la période d'hivernation (2 décembre), d'autre part, en fin de cette période (20 mars). Ils sont soumis à des photopériodes longues (18 L:6D) ou courtes (12 L:12D), dans des conditions de température de 25°, et on compare le délai nécessaire pour obtenir la ponte (période de pré-oviposition). Certains lots ont subi une mutilation, à titre expérimental: section des ailes postérieures.Chez les insectes prélevés début décembre, la durée de la période de pré-oviposition est de 1/3 à 2/3 plus courte pour la population de plaine hivernant à 600 m d'altitude. L'activation est plus rapide en jours longs (18h de photophase); elle est aussi plus rapide chez les coccinelles mutilées que chez des femelles indemnes, lorsqu'elles sont placées en jours courts.Chez les insectes prélevés en mi-mars la période de pré-oviposition est beaucoup plus courte; il en est de même chez des insectes prélevés en décembre mais maintenu en hibernation artificielle au laboratoire à une température de 15° et à l'obscurité. Des femelles réactivées en jours longs se révèlent sensibles dès l'achèvement de la diapause à une réduction de la photopériode qui provoque un arrêt progressif de la ponte.En contraste avec les variations observées dans la durée de la période de pré-oviposition chez les coccinelles réactivées en décembre ou en mars, la période de pré-émergence de leur parasite Perilitus reste la même et n'est pas plus courte en mars qu'en décembre.


Dedicated to Prof. Dr. Jan de Wilde, Wageningen, on the occasion of his 60th birthday.  相似文献   

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