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1.
T. Edland 《BioControl》1965,10(4):331-333
Résumé La NoctuelleEupsilia transversa Hufn. était abondante dans l'Ouest de la Norvège en 1962, la chenille causant de graves dégats aux arbres fruitiers. En 1963, une infestation de granulose apparut sur les chenilles et en deux années réduisit la population à un niveau très bas. Le syndrome de la larve malade est décrit. Les résultats de quelques essais d'infection à petite échelle permettent de considérer ce virus comme capable de réduire effectivement la population deE. transversa dans les conditions de laboratoire. La granulose semble être léthale à tous les stades du ravageur sauf le dernier.   相似文献   

2.
Résumé La composition chimique des nymphes et des imagos à l'émergence dePhanerotoma flavitestacea Fischer, issus de larves ectoparasites et sarcophages d'Anagasta kuehniella Z., est analysée. Cette composition est à prédominance protéique comme celle de la larve. Le poids sec corporel, ainsi que les lipides, les substances azotées et le glycogène diminuent à partir de la fin du développement larvaire, après le rejet du méconium, jusqu'à l'émergence. La diminution la plus importante concerne les lipides qui chez l'imago ne représentent plus que 1/3 de ceux contenus par la larve; le poids corporel et les substances azotées diminuent de 1/3, le glycogène de 1/8; de la sorte, les pourcentages et les quantités de substances dosées sont proches de ceux de la larve de dernier stade à sa sortie de l'h?te, avant la phase sarcophage. Ainsi, les constituants acquis par la larve en fin de développement, par assimilation des organes de la chenille, sont totalement utilisés pour le métabolisme du développement nymphal et l'émergence. Chez les imagos, il appara?t un dimorphisme sexuel pondéral et biochimique. Le male dePhanerotoma, plus léger, est plus riche en lipides, mais plus pauvre en substances azotées et en glycogène que la femelle. Ces résultats sont discutés par rapport à ce qui est connu chez d'autres insectes, entomophages ou non.
Summary The chemical analysis ofPhanerotoma flavitestacea Fischer nymphs and young adults, born from larvae ectoparasitic and sarcophagous ofAnagasta kuehniella Z. caterpillars was made. The constituents were mainly proteins as in the larva. The body dry weight, lipids, nitrogenous compounds and glycogen decreased from the end of the larval development (after the meconium is thrown out), to the emergence. The most important decrease affected lipids which, in the adult, represent 1/3 of those contained in the larva. The decrease of the body dry weight and nitrogenous compounds was about 1/3, that of glycogen about 1/8, so that percentages and quantities of analysed compounds were near those of the larva which emerged from its host, before the sarcophagous period. So, the reserves gained by the larva at the end of its development by assimilation of the caterpillar organs were fully utilized for the nymphal development and for emergence metabolism. In adults a sexual dimorphism affected the body dry weight and analysed constituents. The male ofPhanerotoma was lighter than the female; it contained more lipids, but less nitrogenous compounds and less glycogen. These results are discussed by comparison to other insects, entomophagous or not.


Nous dédions ce manuscrit à la mémoire de M. le Prof. J. R.Le Berre qui avait facilité la réalisation de ce travail et nous avait prodigué toute son attention.  相似文献   

3.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

4.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

5.
Résumé Une invasion deClastoptera undulata fut découverte aux Bermudes en 1959 et il a été tenté de lutter contre cet insecte par l'introduction de l'EncyrtideCarabunia myersi, parasite des larves originaires de la Jama?que. Les recherches accomplies sur le cycle deClastoptera undulata aux Bermudes sont présentées ainsi que les observations faites dans la nature sur une espèce voisine,C. flavidorsa, à la Jama?que. Des informations sur la biologie deCarabunia myersi et un compte rendu sur son introduction et son établissement aux Bermudes sont donnés. Aux Bermudes, la plupart des individus deC. undulata hivernent à l'état d'œuf et les effets possibles sur la population du parasite sont discutés.   相似文献   

6.
P. Ferron 《BioControl》1977,22(4):393-396
The incubation of imagines ofAcanthoscelides obtectus Say inoculated with conidia ofBeauveria bassiana (Bals.) Vuillemin under different relative humidities, between 0 and 100% R. H., shows that infection develops independantly of the humidity; the development of the fungus on the cadaver is only possible when the humidity values are near the saturation point.
Résumé L'infection des imagos d'Acanthoscelides obtectus Say par des conidies deBeauveria bassiana (Bals.) Vuillemin a été étudiée, au laboratoire, en fonction des valeurs de l'humidité relative de l'atmosphère ambiante (de 0 à 100% H. R.). Il a été ainsi démontré que l'infection est possible quelle que soit la valeur de l'humidite relative; par contre le développement végétatif du champignon et donc sa sporulation à l'extérieur des cadavres ne se produisent qu'à des humidités égales ou supérieures à 92% H. R. On comprend, dans ces conditions, que le développement des épizooties naturelles, lié à la présence d'un inoculum pathogène, n'ait lieu que dans les biotopes où règne une humidité relative proche de la saturation; à l'inverse les résultats obtenus indiquent qu'il est possible d'infecter une population de ravageurs par dispersion artificielle d'un inoculum multiplié au laboratoire indépendamment des valeurs de l'humidité relative de l'atmosphère.


Avec la collaboration technique deP. H. Robert etAnnick Glandard.  相似文献   

7.
G. M. Tatchell 《BioControl》1981,26(3):291-299
The effects of temperature and granulosis virus infection both on the development ofPieris rapae L. and the area of cabbage leaf consumed by larvae were investigated. The duration of the larval period increased from 12.9 days at 24°C to 45.3 days at 13°C. The thermal constant for larval development was 196.1 day °C above the threshold temperature of 9.4°C. The area of cabbage leaf consumed per day increased with larval age so that 5th instar larvae ate 70.9% of the total food consumption. Virus infection extended the larval instar in which death occurred and reduced the potential food consumption by as much as 99.6%. Larger virus doses reduced food consumption within the same instar more than smaller doses. The results are discussed in relation to the feasibility of using granulosis virus for the control ofP. rapae.
Résumé L'étude a porté sur les effets de la température et de l'infection provoquée par le virus de la granulose sur le développement dePieris rapae L. et la quantité de feuillage de chou consommée par les larves. La durée du stade larvaire a augmenté de 12,9 j à 24°C à 45,3 j à 13°C. La constante thermique pour le développement larvaire a été de 196,1°C au-delà du seuil de température de 9,4°C. La superficie de feuillage consommée par jour s'est accrue en fonction de l'age des larves de sorte que les larves au 5e stade ont mangé 70,9% de la superficie totale consommée. L'infection provoquée par le virus a augmenté la durée du stade de mortalité et a diminué la consommation potentielle de feuillage de 99,6%. Des doses plus élevées de virus ont réduit la consommation dans le même stade davantage que les doses plus faibles. Les résultats sont discutés par rapport à la possibilité d'utiliser le virus de la granulose dans la lutte biologique contreP. rapae.
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8.
La localisation des ?ufs et des larves dePsyllaephagus euphyllurae SILV. endoparasite du psylle de l'olivier (Euphyllura olivina COSTA) ainsi que le régime alimentaire de la phase post-embryonnaire sont identifiés par examen microscopique des coupes histologiques de larves de 5c stade parasitèes. L'entomophage dépose les 2/3 de ses ?ufs dans le thorax et son régime alimentaire comprend 2 phases bien distinctes:
  • - une première phase stéatophage de 7 à 7,5 jours pendant laquelle la larve ingère le tissu adipeux de l'hôte,
  • - une deuxième phase sarcophage de 1 à 1,5 jours au cours de laquelle la larve dePsyllaephagus euphyllurae fortement mandibulée consomme tous les organes de l'hôte à l'exception des téguments qui sont alors momifiés.
  • Pendant la 1ère période, la digestion commence à être visible chez une larve âgée de 3 jours, et durant la 2ème période, elle suit l'ingestion des organes de l'hôte qui sont sous forme de fragments non reconnaissables dans le tube digestif moyen.  相似文献   

    9.
    I. Moore  A. Navon 《BioControl》1964,9(2):181-185
    Résumé Un milieu artificiel pour l'élevage deProdenia litura F. est décrit sur lequel six générations successives de cette noctuelle furent élevées collectivement et deux individuellement. La fermeture du cycle biologique de larve néonata à larve néonate fut également obtenue sur ce milieu dans le cas d'Agrotis ypsilon Rott. etCyrphis unipuncta Haw.

    Contribution from The Volcani Institute of Agricultural Research, Rehovot, Israel. 1964 Series, No. 679-E.

    Division of Entomology, the Volcani Institute of Agricultural Research Rehovot.  相似文献   

    10.
    C. A. Dedryver 《BioControl》1981,26(4):381-393
    Résumé L'étude comparée de l'action limitative de 3 espèces d'Entomophthoraceae sur les pucerons des céréales a été effectuée dans l'Ouest de la France (Bassin de Rennes essentiellement) de 1975 à 1978. La quasi-totalité des cas de mycose sont dus àErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Keller etEntomophthora planchoniana Cornu. L'analyse de la répartition des différentesEntomophthoraceae au cours de l'année montre queE. neoaphidis est l'espèce qui a la plus grande période d'activité (elle se manifeste pendant pratiquement toute l'année sur les populations anholocycliques) et qui infecte, à un moment donné, le plus de pucerons.C. obscurus dispara?t en général en hiver après la formation abondante de spores durables et ne réappara?t qu'au cours du printemps. D'une année sur l'autre, à un instant donné,C. obscurus est rarement déterminé sur plus de 25% du total des pucerons mycosés récoltés. Enfin,E. planchoniana a une période d'activité essentiellement estivale qui peut se prolonger en automne sur les pucerons pullulant sur ma?s. C'est sur ces derniers qu'elle semble la plus efficace. Sur blé d'hiver, l'action apparente deE. neoaphidis et deC. obscurus n'est pas la même selon l'espèce de pucerons et la position de ceux-ci sur la plante:E. neoaphidis est encore plus pathogène pourM. dirhodum que pourS. avenae etC. obscurus semble davantage parasiter les pucerons situés sur le feuillage que ceux situés sur les épis. Enfin, l'étude de l'action deE. neoaphidis, C. obscurus etE. planchoniana en fonction de la taille de la colonie (ou du ?groupe? de pucerons) montre que l'action deE. neoaphidis semble indépendante de la densité de pucerons alors que le développement deC. obscurus dans les colonies est moins rapide que l'augmentation de taille de celles-ci. D'une manière générale, l'action deE. planchoniana est moins bien connue du fait du manque de matériel. La prédominance deE. neoaphidis s'explique par l'excellente adaptation de cette espèce à l'anholocyclie des pucerons, par sa faible spécificité à l'intérieur du groupe des aphides et par le nombre important de conidies qu'elle projette en atmosphère saturante. Cette espèce semble avoir les meilleures potentialités entomopathogènes en tant qu'agent de lutte biologique en cultures céréalières, mais son emploi futur sera subordonné à sa production de masse sous forme stable et pathogène.
    Summary The role of 3 species ofEntomophthoraceae on cereal aphids in the West of France from 1975 to 1978 was compared. Almost all the infected aphids were killed byErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn), Remaud. & Keller andEntomophthora planchoniana Cornu. A study of the distribution of the different species ofEntomophthoraceae during the year shows thatE. neoaphidis has the longest period of activity and infects most aphids. C. obscurus generally disappears in winter after an abundant formation of resting spores and reappears during the spring. On each sampling date,C. obscurus infects generally no more than 25% of the diseased aphids.E planchoniana occurs essentially during the summer and autumn on aphids living on ma?ze on which it seems to spread efficiently. On winter wheat the action ofE. neoaphidis andC. obscurus is different, depending on the species of aphid and on the position occupied by the aphids on the plant:E. neoaphidis is more pathogenic forM. dirhodum than forS. avenae andC. obscurus seems more pathogenic for the aphids (whatever the species) on leaves than for the aphids on ears. Finally the efficiency ofE. neoaphidis, C. obscurus andE. planchoniana relative to the size of the populations of the different samples was studied: the pathogenicity ofE. neoaphidis seems to be density independant, whereas the development ofC. obscurus in the colonies is slower than the rate at which they increase in size. Little is known about the pathogenicity ofE. planchoniana because of the lack of material. The prevalence ofE. neoaphidis is explained by its adaptation to the anholocycly of the aphids, by the broad spectrum of species it infects and by the numerous conidia it produces in a moist atmosphere. This species seems to have the best potential as an agent of biological control in cereal but currently its mass production poses problems.


    Avec la collaboration technique d'Augustine Gellé etSylvie Tanguy  相似文献   

    11.
    K. C. Mathur 《BioControl》1967,12(4):443-448
    Résumé La recherche des ennemis naturels deBissetia steniellus (Hampson) [Lep. Pyralidae] gravement nuisible à la canne à sucre dans la province du Punjab, a permis de découvrir six espèces parasites des chenilles et deux autres parasites des chrysalides. Aucune de ces espèces n'avait été trouvée auparavant sur cet h?te. L'auteur suggère l'extension de cette étude en vue de vérifier le r?le du BraconideStenobracon deesae Cameron vis-à-vis de ce Lépidoptère d'une part, et de rechercher au Vietnam de nouveaux parasites de cette espèce pour leur introduction ultérieure en Inde d'autre part.

    This research has been financed in part by a grant made by the United States Department of Agriculture under P.L. 480.  相似文献   

    12.
    Résumé Bacillus thuringiensis Berl. tue 50 % des chenilles d'Earias insulana après 72 heures. Le traitement est appliqué avec une suspension de 4 g par litre d'eau (à raison de 30 milliards de spores par gramme). Dans les mêmes conditions, la mortalité atteint 100 % pour le ver à soie. Une mortalité plus élevée est constatée lors des applications sur chenilles jeunes. La poudre de larves mortes après infection parB. thuringiensis détermine une mortalité faible, tandis que les chenilles nourries de feuilles de muriers préalablement traitées par une suspension d'excrétats de vers à soie infectés deBacillus thuringiensis, ne sont pas tuées. Dans les champs de coton, leBacillus détermine une réduction considérable de l'infestation parEarias mais cette réduction n'atteint pas celle obtenue par traitement chimique. LeBacillus est sans effet sur la population d'Aleurodes et sur celle des Acariens (Tetranychus atlanticus Mcgregor) contrairement à l'endrine qui favorise la pullulation de ces derniers.   相似文献   

    13.
    F. Mansour  D. Rosen  A. Shulov 《BioControl》1980,25(3):237-248
    The biology ofChiracanthium mildei L. Koch was studied under standardized laboratory conditions (24±1°C, 55–60% RH). Specimens were reared from eggs, with 1- to 6-day-oldSpodoptera larvae serving as prey throughout their life cycle. Biological studies included an investigation of the rate of development, life cycle, reproductive potential and behavior, as well as the influence of certain environmental factors on these parameters. Under standard laboratory conditions,C. mildei showed 87% survival from egg to functional fertility. Males required a mean of 182 (137–207) days after hatching to reach maturity, became adults following 7–8 molts, and lived for an average of 73 days as adults. Females required a mean of 231 (191–286) days after hatching to mature, reached adulthood after 9–10 molts, and lived for an average of 240 days as adults. Females were found to mate only once and to oviposit from 1 to 5 times (average 1.8), at 30-day intervals. They produced a mean of 35 eggs in the 1st hatch and 31 eggs in the 2nd.
    Résumé La biologie de l'araignéeChiracanthium mildei L. Koch a été étudiée au laboratoire (24±1°C. 55–60% H.R.). Les élevages ont été conduits à partir des œufs, avec des larves deSpodoptera de 1 à 6 j fournies comme proies pendant toute la durée du cycle évolutif. Les études biologiques ont porté sur la vitesse de développement, le cycle évolutif, le potentiel et le comportement de reproduction, ainsi que sur l'influence de certains facteurs du milieu sur ces paramètres. Dans les conditions du laboratoire, le taux de survie deC. mildei fut de 87% de l'œuf à la maturité sexuelle. Chez les males la maturité est atteinte en moyenne 182 j (137–207) après l'éclosion de l'œuf. Ils deviennent adultes après 7 ou 8 mues et vivent en moyenne 73 j. Chez les femelles on compte une moyenne de 231 j (191–386) de l'éclosion de l'œuf à la maturité. Elles deviennent adultes après 9 ou 10 mues et vivent en moyenne 240 j. Les femelles s'accouplent 1 fois mais pondent 1 à 5 fois (moyenne 1,8) en 30 j. Leur fécondité moyenne est de 35 œufs lors de la 1re ponte et de 31 œufs pour la 2e.


    Contribution from the Agricultural Research Organization, Bet Dagan, Israel. No. 203-E, 1979 series.  相似文献   

    14.
    In an effort to suppress the tuliptree aphidIllinoia liriodendri (Monell), approximately 2,000 eggs ofChrysoperla carnea (Stephens) from a commercial insectary were released 4 times on each of 8 tuliptreesLiriodendron tulipifera L. in Berkeley, California, during the spring of 1984. On trees foraged by the Argentine antIridomyrmex humilis (Mayr), 98% of the eggs ofC. carnea were removed from the egg release tapes by the ants. A total of about 1,250 larvae per tree eclosed from the 8,000 eggs released on each tree without ants. Fifty percent of the larvae that did eclose died due to cannibalism or entrapment in the sticky egg release tapes and approximately 625 first instar larvae on each tree were free to forage for aphids. Inundative lacewing releases ofC. carnea did not suppress populations ofI. liriodendri due to ant predation, the low viability of commercial eggs (0–73% eclosion),
    Résumé Dans le but de limiter les populations du puceron du tulipierIllinoia liriodendri (Monell), 4 lachers d'environ 2.000 œufs de provenance commerciale deChrysoperla carnea (Stephens) ont été réalisés au cours du printemps 1984 sur 8 tulipiersLiriodendron tulipifera L., à Berkeley en Californie. cannibalism by emerged larvae, and inadequate release technology. Sur les arbres visités par la fourmi d'ArgentineIridomyrmex humilis (Mayr), 98% des œufs deC. carnea ont été enlevés du support artificiel par les fourmis. Sur les arbres exempts de fourmis, la mortalité de 50% des larves est due au cannibalisme ou à leur engluement sur le support de lacher. A partir de 8.000 œufs déposés sur chaque arbre sans fourmi, on aboutit à environ 625 larves de 1er stade susceptibles de rechercher des pucerons. Les lachers inondatifs deC. carnea n'ont pas limité les populations d'I. liriodendri. Les raisons en sont: la consommation par les fourmis, une faible viabilité de la plus grande partie des œufs commercialisés (0–73% d'éclosions), une technique inadaptée pour le lacher des œufs et le cannibalisme par les larves elles-mêmes deC. carnea.
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    15.
    Development times at constant temperatures were determined for the egg, larval and pupal stages ofCoccinella 7-punctata L., recently introduced to U.S.A. Males and females developed at the same rate. The egg stage lasted from 2.3 to 13.0 days at 30° and 15°C, respectively. Larvae feeding onAcyrthosiphon pisum (Harris), pea aphids, required from 6.2 to 31.1 days at 32.5°, and 17.0°C, respectively. These development rates are similar to those reported in the European literature.
    Résumé Les durées de développement à températures constantes ont été déterminées pour l'œuf, les stades larvaires et l'imago deCoccinella 7-punctate récemment introduit aux états-Unis. Les males et les femelles se développent au même rythme. Le stade œuf dure de 2,3 à, 13,0 j à 30° et 15°C, respectivement. L'alimentation des larves avec le puceron du poisAcyrtosiphon pisum (Harris) dure 6,2 et 31,1 j à 32,5 et 17,0°C, respectivement. Le stade nymphal est observé pendant 2,8 et 13,0 j à ces mêmes températures. Ces vitesses de développement sont les mêmes que celles données dans la littérature européenne.
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    16.
    Metasyrphus corollae (F.) larvae ingested aphid contents at a decreasing rate over time because the contents of the aphid became increasingly difficult to obtain as the body of the prey was emptied. Starved larvae usually handled prey longer than wellfed larvae. Younger starved larvae fed longer than older larvae. Larvae starved for 24 h ate the most of a prey. Larvae held prey, on average, until 71% of dry mass was extracted after which the prey carcass was discarded. Prey handling time and amount of each prey consumed were determined by size and hunger of larvae and degree of depletion of prey contents.
    Résumé Les larves deMetasyrphus corollae (F.) ingèrent de plus en plus lentement le contenu des pucerons en fonction du temps car ce contenu est de plus en plus difficile à extraire puisque la proie se vide. Les larves qui ont été privées de nourriture se nourrissent généralement plus longuement que les larves bien nourries, et les jeunes larves affamées plus longuement que les plus agées. Les larves qui n'ont pas mangé depuis 24 h sont celles qui consomment le plus. Les larves retiennent la proie, en moyenne, jusqu'à ce que 71% de son poids sec ait été extrait, après quoi la carcasse de la proie est jetée. Le temps de manipulation et la quantité consommée de la proie sont déterminés par la taille et la faim de la larve, ainsi que par l'épuisement du contenu de la proie. Il n'y a aucune preuve consistante que les larves deM. corollae répondent directement au nombre de proies.
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    17.
    Résumé Quand des œufs d’ages variés (1 h à 5 j) du lépidoptèreAnagasta kuehniella Zell. sont offerts aux femelles parasites dePhanerotoma flavitestacea Fisch., l’endroit où l’œuf du parasite est déposé, dépend du stade de développement de l’œuf h?te au moment de l’oviposition. Lorsque l’œuf h?te est agé de 1 h à 3 j, la ponte a lieu dans le vitellus. Par contre, si l’œuf du parasite est déposé dans un œuf agé de 4 jours ou plus, il est directement pondu dans l’embryon h?te. Selon ces résultats, il semble que la pénétration de l’œuf du parasite ou de la larve est due uniquement à un mouvement passif causé par la migration du vitellus dans le tube digestif moyen de l’embryon h?te. Ces différents points et l’effet de la piq?re de l’ovipositeur sur l’embryon h?te, la nature de l’élimination des larves surnuméraires sont discutés.
    Summary When lepidopterous eggs of varied ages (1 hour to 5 days) are offered to parasitic females ofPhanerotoma flavitestacea Fisch., the location where the parasitic egg is deposited, depends on the developmental stage of the host egg at the time of oviposition. When the host egg is 1 hour to 3 days old, the laying takes place in the yolk. On the other hand, if the parasite egg is deposited in a four day old or an older host egg, it is directly laid in the host embryo. According to these results, it seems that the penetration of the parasitic egg or larva is only a passive movement caused by the migration of the yolk into the midgut of the host embryo. These different points and the effect of the sting of the ovipositor on the host embryo, the nature of the elimination of the supernumerary larva, are discussed.
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    18.
    The searching strategies ofOrius insidiosus (Say) exposed to various densities of the soybean thrips,Sericothrips variabilis (Beach), were observed on soybean trifoliolates under laboratory conditions. The effects of prey density on the predator's searching speed and feeding time were evaluated. Predator searching speed and feeding time per soybean thrips declined with increases in prey density. The greatest number of predator-prey encounters occurred on the upper midrib of the soybean trifoliolate. Adult soybean thrips were captured in 45 and 56% of their total encounters with adult male and femaleO. insidiosus, respectively. Running was found to be the primary escape tactic used by soybean thrips in response to attack byO. insidiosus.
    Résumé Les stratégies de recherche deOrius insidiosus (Say) exposé à des densités variées de thrips du soja,Sericothrips variabilis (Beach), furent observées sur du soja à 3 folioles en laboratoire. Les effets de la densité de la proie sur la vitesse de recherche et sur le temps nécessaire au prédateur pour se nourrir furent évalués. La vitesse de recherche et le temps de nourriture du prédateur sur le thrips du soja déclinèrent avec l'accroissement de la densité de la proie. Les rencontres prédateur-proie eurent lieu dans leur majorité dans la partie supérieure de la nervure du soja. Les thrips du soja adultes furent capturés respectivement dans 45 et 65% du total de leurs rencontres avec des males et des femelles adultesO. insidiosus. Courir s'est avéré être la tactique primaire de fuite utilisée par les thrips de soja en réponse aux attaques deO. insidiosus.


    This paper (No. 80-7-204) is in connection with a project of the Kentucky Agricultural Experiment Station and is published with the approval of the Director.  相似文献   

    19.
    Résumé Par application de la méthode deBondenheimer en prenant 10 °C pour seuil inférieur de développement du parasite, il a été calculé le nombre de jours/degrés nécessaires à l'évolution moyenne deProspaltella. Avec cette méthode, le nombre de générations calculé est identique à celui observé dans divers vergers de différentes régions. La méthode est proposée pour faciliter l'emploi deProspaltella en déterminant le temps nécessaire à la manifestation de l'efficacité.
    Summary By application of theBodenheimer's method, in taking 10°C for the threshold of the parasit development, the number of days/degrees necessary for a mean evolution ofProspaltella has been calculated. With this method, the theoretical number of generations is identical with that observed in several orchards of some countries. This method is suggested to facilitate the use ofProspaltella by fixing the time necessary to show the parasite's efficiency.
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    20.
    F. Riviere  R. Thirel 《BioControl》1981,26(4):427-439
    Résumé Le Crustacé CopépodeMesocyclops leuckarti pilosa,Kieffer 1930, commun à Tahiti dans les nappes d'eau douce en association avec les larves deCulex quinquefasciatus Say, 1823 etCx. annulirostris,Skuse, 1829 a été reconnu par les auteurs comme un prédateur efficace des larves nouvelles nées desAedes du sous-genreStegomyia de Polynésie (Ae. aegypti L. etAe. polynesiensis,Marks, 1951) lorsqu'il est introduit dans les g?tes larvaires de ces moustiques. Afin d'évaluer les possibilités de son utilisation comme agent de lutte biologique, les auteurs ont étudié le cycle biologique et le régime alimentaire de ce Cycclopidé et ont mené une série d'expériences sur sa prédation dans les conditions de laboratoire et du milieu naturel. En introduisant chaque semaine durant 14 mois des œufs d'Ae. aegypti et d'Ae. polynesiensis en nombre connu dans des pondoirs pièges de type O.M.S. au laboratoire, les auteurs ont montré queM. l. pilosa dévore en moyenne 91,6% des larves nouvelles nées des 2 espèces deStegomyia, durant toute la période d'observation. Les mortalités ou réductions obtenues ont été corrigées en fonction des résultats des pondoirs témoins d'où les Cyclopidés étaient absents. Dans des pondoirs placés dans des conditions naturelles, l'introduction de 5 femelles deM. l. pilosa dans chaque pondoir piège colonisé par desAedes (Stegomyia) provoque une réduction de 85% des formes préimaginales de ces moustiques. Ce taux de réduction se maintient durant toute la période d'observation de 14 mois.M. l. pilosa exerce une prédation beaucoup plus faible sur les autres espèces de Culicidés fréquentant les pondoirs exposés au milieu naturel, 9,7% pourCulex quinquefasciatus et 1,9% pourToxorhynchites amboinensis,Doleschall, 1857. Les auteurs décrivent la cha?ne alimentaire de l'écosystème existant dans les pondoirs ensemencés avecM. l. pilosa. Le copépode se nourrit essentiellement d'infusoires et n'est qu'un prédateur occasionnel de larves de moustiques. De ce fait, il ne s'établit pas d'équilibre proie-prédateur entre le copépode et les larves de moustiques. La dynamique des populations des copépodes est donc indépendante de celle des larves de moustiques. Ces résultats expérimentaux nous incitent à rechercher les conditions d'utilisation deM. l. pilosa comme agent de lutte biologique contre les larves desAedes du sous genreStegomyia, en particulier dans les terriers de crabe et les grands réservoirs d'eau domestiques.
    Summary The cyclopoid copepodMesocyclops leuckarti pilosa Kieffer, 1930,(Crustacea) common in Tahiti in fresh water ground pools in association withCulex quinquefasciatus Say, 1823 andCx. annulirostris Skuse, larvae, has been recognized as an efficient predator of the 1st stage larvae of the polynesianAedes of the subgenusStegomyia (Ae. aegypti andAe. polynesiensis Marks, 1951), when introduced in their breeding sites. In order to assess its potential as a biological control agent, the authors studied the life cycle and the feeding habits of thatCyclopidae. They carried out experiments on its predatory habits in the laboratory and in the natural conditions. In the laboratory during 14 months, eggs ofAe. aegypti andAe. polynesiensis, have been introduced in known numbers in back ovitraps containing females ofM. leuckarti pilosa. As compared with the copepods free control, 91,6% of theAedes larvae are eaten up byM. l. pilosa. In natural conditions, the introduction of 5 females ofM. l. pilosa in each ovitrap colonized by theStegomyia induced a reduction of 85% of the immature forms of these mosquitoes, as compared with the control. This reduction rate has been kept up during the whole 14 months of the observation period. The reduction of the immature stages ofCx. quinquefasciatus is only 9,7% and that ofToxorhynchites amboinensis 1,9%. The authors describe the food chain in the ovitraps ecosystem whenM. l. pilosa is present. The copepod feeds mainly on Infusoria and is only an occasional predator of mosquito larvae. Therefore, there is no predatory-prey equilibrium between the copepod and the mosquito larvae. The copepod population dynamic is independant of that of the mosquito larvae. These experimental results incitate us to search for practical application ofM. l. pilosa as an biological agent againstAedes (Stegomyia) larvae, in particular in the large artifical water containers and in the crab holes.


    Travail réalisé à l'Institut de recherches médicales ?Louis Malardé? (I.R.M.L.M., B.P. 30 — Papeete — Tahiti). Directeur: Dr J. Laigret. Depuis le dép?t du manuscrit une révision du genreMesocyclops a montré que l'espèce impliquée devait être rapportée àMesocyclops aspericornis,Daday, 1906.  相似文献   

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