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1.
Résumé L'oviducte de Nectophrynoïdes occidentalis Angel, petit crapaud vivipare d'Afrique occidentale, peut être divisé en quatre parties: le pavillon, la trompe, l'utérus et le tronc commun utérin distal.Seul le pavillon ne varie pas au cours de l'année; il reste toujours transparent et dépourvu de cellules glandulaires. Un épithélium cilié tapisse sa lumière.La trompe est un conduit rectiligne de 7 à 10 millimètres de long qui peut être divisé en quatre segments principaux, différenciés par la constitution chimique des substances de la muqueuse. La structure de la trompe est relativement simple et comparable à celle des autres Vertébrés inférieurs. Elle apparait alternativement sous deux aspects principaux: trompe au repos et trompe active. La période de repos se poursuit pendant une bonne partie de la gestation; la reprise d'activité sécrétrice s'effectue plusieurs semaines avant la parturition et atteint son maximum dans les jours qui précèdent l'ovulation.L'utérus subit continuellement des remaniements. Tour à tour vide et gravide, il passe par trois phases essentielles: une phase de nécrose s'étendant sur les douze jours qui suivent la parturition et correspondant à l'élimination de la couche superficielle de la muqueuse; une phase de prolifération, allant du douzième jour après la mise-bas jusqu'à lóvulation suivante; caractérisée par le régénération progressive de la muqueuse à partir de la couche profonde restée en dehors des processus de nécrose; une phase de sécrétion et d'hypérémie qui dure pendant toute la gestation.La partie terminale de l'oviducte, formée par la confluence des deux conduits müllériens, subit les mêmes variations que l'utérus gestant. Son épithélium est tout-à-fait comparable à celui de l'utérus; son chorion, en revanche, est beaucoup plus dense et développé mais ne possède qu'une faible vascularisation.
The cycle of the female genital tract in Nectophrynoides occidentalis angel, a viviparous anuran amphibian
Summary The oviduct of Nectophrynoides occidentalis Angel, a small viviparous toad of West Africa, is divided into four parts: ostium, tube, uterus and the distal common uterine segment.Only the ostium does not show seasonal variations: it always remains transparent and is devoid of glandular cells. A ciliated epithelium lines its lumen.The tube is rectilinear, about 7–10 millimeters long and may be subdivided into four principal segments, on the basis of the chemical composition of the substances of the mucosa. Its structure is relatively simple and comparable to that of other lower vertebrates. Its appearance differs according to whether it is at rest or in activity. For most of the gestation period the tube is at rest but secretory activity starts several weeks before birth. It reaches its maximum during the days immediately preceding ovulation.Unlike the tube, the uterus undergoes continuous changes, which can be pregnant, divided into three essential phases: a phase of necrosis, extending to twelve days following birth, and corresponding to the elimination of the superficial layer of the mucosa; a phase of proliferation, extending from the twelfth day after birth until the subsequent ovulation, characterized by the progressive regeneration of the mucosa, which is initiated by the deep layer which was not involved in necrosis; a phase of secretion and hyperemia which lasts during the whole period of gestation.The terminal part of the oviduct, formed by the confluence of the two Müllerian ducts, undergoes the same variations as the uterus, its epithelium being completely comparable to that of the uterus; its chorion, however, is much denser and better developed but its vascularization is less intense.
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2.
Résumé Les cellules à inclusion acidophile sont caractérisées par un cytoplasme réduit, périphérique, constitué de membranes ergastoplasmiques, par une volumineuse inclusion, homogène et opaque chez les Limnées élevées au laboratoire, granuleuse et peu dense aux électrons chez celles prélevées dans leur milieu naturel, et par une dépression apicale, pôle sécrétoire de ces cellules, creusée dans la masse de l'inclusion.La différenciation de ces cellules à partir d'éléments riches en ergastoplasme membranaire est caractérisée par la coalescence des granules façonnés dans les nombreuses aires golgiennes, par la vésiculisation transitoire de l'ergastoplasme et par la transformation des saccules golgiens disponibles à la fin du cycle sécrétoire en figures pseudo-myéliniques qui semblent marquer le terme du cycle fonctionnel de cet organite.L'étude des glandes, à des temps échelonnés après le déclenchement de leur fonctionnement, suggère que ces cellules parcourent un unique cycle sécrétoire, que la phase d'extrusion du produit (type mérocrine) est longue ou intermittente.Cette étude fournit des arguments permettant de comparer ces cellules aux cellules cystiques des glandes salivaires d'autres Gastéropodes pulmonés et incite à penser que le schéma du fonctionnement de ces glandes est sans doute superposable chez de nombreux pulmonés.
Salivary-gland cells with acidophilic inclusions in Limnaea stagnalis L.
Summary The salivary glands of fresh water pond snails contain cells which are characterized by a voluminous inclusion body, homogeneous and opaque in laboratory reared animals, granular and less dense in wild populations. This inclusion is surrounded by a thin cytoplasmic layer with parallel cytomembranes. The apical secretory pole forms a deep depression in the acidophilic material.Acidophilic cells are derived from basophilic elements which contain a well developed rough endoplasmic reticulum. Their differentiation is characterized by the coalescence of dark granules originating from the Golgi apparatus, by ergastoplasmic vesiculisation, finally by the appearance of myelin structures in the Golgi area.The results of experiments speak in favour of the assumption, that only one secretory cycle occurs in these cells and that the extrusion phase (merocrine type) is slow or intermittent.The fact that the acidophils can be compared with the cystic cells of the salivary glands in other pulmonates suggests that the mode of action of these glands is more or less identical in a wide range of species.


Je remercie Monsieur le Docteur M. Gabe, Directeur de Recherches au C.N.R.S., pour l'intérêt constant qu'il a bien voulu porter à ce travail.  相似文献   

3.
Summary The problem of hidromeiosis is its mechanism.Hidromeiosis is a rapidly reversible process and an active sweat gland and a wetted skin are necessary conditions for its development. The threshold for hidromeiosis is lower for unacclimatized than acclimatized males. The facts suggest that accumulation of water in the skin and depression of the eccrine sweat gland may be involved in the explanation of the condition.Histochemical studies of the sweat glands during the development of hidromeiosis should elucidate curious individual differences in the manner in which the depression of sweating develops and the role of the sweat gland in the process.
Zusammenfassung Der Wirkungsmechanismus der Hidromiosis (progressiver Abfall der Schweissmenge bei hoher Umgebungstemperatur) ist noch nicht aufgeklärt. Aktive Schweissdrüsen und nasse Haut sind für die Auslösung der Hidromiosis notwendig; der Vorgang is leicht reversibel. Der Hidromiosis-Schwellenwert ist bei nicht-akklimatisierten Männern niedriger als bei akklimatisierten. Diese Tatsachen führen zu der Annahme,dass die Ansammlung von Wasser in der Haut und die Unterdrückung der Sekretion der Schweissdrüsen für die Erklärung des Vorgangs eine Rolle spielen können. Durch histochemische Untersuchungen der Schweissdrüsen während Hidromiosis sollte es möglich sein die sonderbaren individuellen Unterschiede in der Art wie sich der Abfall des Schwitzens entwickelt und die Holle der Schweissdrüsen dabei aufzuklären.

Résumé Le mécanisme de l'hidromiose (diminution progressive de la quantité de sueur lors de températures externes éleyées) n'est pas encore éclairci.Des glandes sudoripares actives et une peau humide sont nécessaires pour que l'hidromiose se produise; le processus est aisément réversible.Le senil de température de l'hidromiose est plus bas pour des hommes non acclimatés. Les faits font supposer que l'accumulation d'eau dans la peau et la gène de la sécrétion des glandes sudoripares peuvent jouer un rÔle dans l'explication du processus. L'examen histochimique des glandes sudoripares pendant l'hidromiose devrait expliquer les remarquables différences individuelles dans l'apparition de la diminution de sudation et le rÔle des glandes sudoripares.
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4.
Summary The mandibular glands of Kalotermes were examined in different castes. They showed sexual dimorphism in the soldiers and primary reproductives. Moreover, in female soldiers and queens, mandibular gland cells contained numerous crystalline structures of mitochondrial origin. The role of these glands (secretion of saliva or pheromone) is discussed.
Résumé Les glandes mandibulaires de Calotermes sont étudiées dans les différentes castes. Elles présentent un dimorphisme sexuel chez les soldats et les sexués. Après la mue imaginale, les cellules glandulaires ont toujours une activité sécrétrice. De plus, chez les soldats femelles et les reines, elles contiennent de nombreuses formations cristallines d'origine mitochondriale. Le rôle de ces glandes (sécrétion de salive ou de phéromone) est discuté.
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5.
Résumé Dans ce travail, les auteurs présentent les résultats de leurs recherches, au niveau de la microscopie électronique, concernant les processus sécrétoires dans les cellules glandulaires de la partie antérieure, réniforme, du canal déférent chez Porcellio scaber Latreille.Les observations sont dirigées spécialement sur l'appareil de Golgi qui est poursuivi dans toutes les phases d'élaboration de la sécrétion, dans laquelle il paraît avoir un rôle essentiel.Après avoir obtenu la conviction que, dans le processus délaboration de la sécrétion, les dictyosomes s'usent complètement et disparaissent, les auteurs recherchent l'origine de nouveaux dictyosomes qui participeront au cycle de sécrétion suivant.
Infrastructural aspects of the secretion in the glandular cells of the vas deferens in Porcellio scaber Latreille (terrestial Isopoda)
Summary In this paper the authors present an investigation at infrastructural level concerning the secretory process in the glandular cells of the anterior kidney-like portion of the deferent ducts in Porcellio scaber Latreille.The observations are directed especially to the Golgi apparatus in all phases of elaboration of secretion in which it seems to have an essential role.After ascertaining that in the process of elaboration of secretion the dictyosomes waste away and disappear, the authors investigated the origin of the new dictyosomes that become involved in the following secretory cycle.
Nous remercions beaucoup les Drs Al. Petrovitch et M. Ionesco, ainsi que l'Ing. C. Dumitriu et Mme M. Russu, chercheur soientifique, qui nous ont aidé avec beaucoup d'amabilité dans nos recherches.  相似文献   

6.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

7.
Résumé Les réponses E.A.G. d'Acrolepiopsis assectella Zell., Lépidoptère Hyponomeutoïdea spécialiste des Allium, montrent une sensibilité à l'odeur de la plante-hôte larvaire A. porrum saine ou attaquée, et à ses composés volatils soufrés spécifiques, toutes odeurs actives dans l'attraction des deux sexes en olfactomètre. Le Ti-P2, le plus abondant et le plus spécifique du végétal est toujours le plus efficace. Ceci confirme le rôle prépondérant des substances allélochimiques soufrées dans la recherche de la plante-hôte. Une réactivité antennaire plus ou moins importante est également enregistrée avec l'odeur de certaines plantes non-hôtes (chou et tomate). L'antenne du lépidoptère est également très sensible à certains produits volatils du complexe odorant vert des végétaux qui sont identifiés dans l'odeur du poireau, le cis-hexen-3-ol-1 le plus actif est aussi le seul à être attractif. Le rôle biologique exact des composés verts et l'interférence de l'odeur complète de la plantehôte avec celle de plantes non-hôtes, telle que la tomate, efficace sur l'antenne et sur le comportement sont discutés.  相似文献   

8.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

9.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

10.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

11.
Résumé Des recherches histologiques et histochimiques sont faites sur le pancréas du chat avec discussion surtout au sujet du tissu endocrine. Quelques particularités sont signalées: la richesse en îlots ganglionnaires, en corpuscules de Pacini et en complexes neuro-insulaires, aussi bien que l'existence dans la partie apicale de l'épithélium des canaux excréteurs de granulations paraldéhyde positives. En principe l'histoenzymologie du pancréas du chat est semblable à celle des autres mammifères mais ne lui est pas toujours identique. Certaines considérations sont faites sur le rôle probable des enzymes étudiées et du Zn dans la cytophysiologie insulaire.
Summary Morphological and histochemical investigations on the pancreas of cat have been carried out and discussion on the question of the endocrine tissue. Some particularities are marked down: abundance of ganglion islets, of corpuscules of Pacini and neuro-insular complexes, as well as existence of positive paraldehyde granulations in the top portion of the epithelium of the excretory ducts. In general the histoenzymology of the pancreas of the cat is similar to other mammals, but is not always identical. Some considerations on the probable role of the enzymes investigated and on the zinc in the insular cytophysiology are made.
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12.
Visual symptoms of malnutrition associated with the unsatisfactory development of natural and planted black spruce seedlings in a 20-year-old burn suggested low supply and uptake of nitrogen, phosphorus, and possibly other nutrients as the primarily adverse factors.In order to test the hypothesis, both soil and foliage of the species there and in another climatic region were compared and the diagnosis partly confirmed. Of the elements studied (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe, and N) only nitrogen was found to be related to needle colour and poor leader growth.A lichen crustLecidea granulosa rich in nutrients, especially nitrogen, dominates the sites. The crust decomposes very slowly and retains large proportions of available nutrients in its tissues. Incorporation of the crust in the mineral soil is suggested as a means of accelerating nutrient cycling and promoting development of future plantations.
Sommaire Nous basant sur certains symptômes de déficiences minérales, nous avons émis l'hypothèse que la faible croissance des jeunes épinettes noires et de celles plantées dans le brûlis de 1941 de la rivière York, était surtout attribuable à la carence de l'azote et du phosphore et peut-être aussi à d'autres éléments dans le sol et les tissus. L'hypothèse a été vérifiée et partiellement confirmée. De tous les éléments étudiés (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe et N), seul l'azote est relié à la couleur des aiguilles et à la croissance de la flèche terminale. Cette relation cependant est beaucoup plus marquée lorsque la couleur est estimée à l'aide de comparaison avec des semis recueillis sur la place même de l'étude plutôt qu'avec le guide des couleurs de Munsell.Les résultats de cette étude ont été comparés avec d'autres déjà obtenus avec l'épinette noire, ayant le même âge et croissant dans un sol de même texture mais dans des régions climatiques différentes. Même si le contenu minimum en azote d'un sol est susceptible de varier d'une région climatique à l'autre, il semblerait que la disponibilité de l'azote dans le brûlis de la rivière York est nettement insuffisante pour espérer le développement normal d'une plantation d'épinettes noires.A la suite de travaux préliminaires faits en serre, nous avons constaté que le lichenLecidea granulosa, riche en azote et qui recouvre en partie l'aire étudiée, favorisait la croissance des jeunes épinettes quand il était broyé et incorporé au sol minéral. On suggère donc, comme moyen d'amélioration du sol en vue de futures plantations, de broyer sur place ce lichen et de l'incorporer au sol.
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13.
Evidence is presented in support of the hypothesis that in Piezosternum calidum the mid-gut contents consist of symbiotic bacteria from the gastric caeca, and are not derived from the plant sap ingested. A similar process has been observed in other large sap-sucking Heteroptera, of which Mygdonia tuberculosa (Coreidae) has been studied as an example, the site of bacterial digestion is usually posterior to an interruption in the continuity of the mid-gut, but in P. calidum the gut is continuous and the contents fill it completely. It is suggested that the mid-gut contents of some other sap-sucking Heteroptera with continuous guts may also prove to be derived from their bacterial symbionts.
Résumé Les Hétéroptères suceurs de sève possèdent sur le mesenteron postérieur de nombreux coecums remplis de bactéries symbiotiques. Chez beaucoup d'espèces, par exemple Mygdonia tuberculosa (Coreidae) le mesenteron est interrompu dans sa région moyenne et la partie postérieure renferme un contenu digestif qui représente les bactéries coecales digérées. La partie antérieure contient peu de matière solide provenant de la sève de la plante-hôte. Chez Piezosternum calidum, suceur de sève sur des cucurbitacées; l'intestin moyen n'est pas interrompu et est complètement rempli par un matériel presque solide. Ce contenu digestif est uniforme d'aspect sur coupes histologiques et sa composition riche en acides aminés, le rapproche davantage des bactéries coecales que de la sève de la plante-hôte. Le mesenteron présente d'ailleurs une région très acide où les bactéries pourraient être digérées. Ces bactéries se cultivent sur un milieu à base d'acide urique, de nitrate ou d'ammoniaque, en ce qui concerne la source d'azote. L'utilisation massive des bactéries symbiotiques par l'insecte lui est peut-être nécessaire car la source d'azote dans la plante n'est pas directement assimilable. La continuité de la lumière intestinale est peut-être liée à l'absence dans la sève de la plante d'une substance qui serait nuisible aux bactéries.
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14.
Résumé La lame terminale de l'homme, comme celle de nombreuses classes de vertébrés, est occupée par un système vasculaire remarquable.A partir de sources artérielles constituées dans les cas les plus typiques de quatre pédicules, un réseau capillaire superficiel tapisse la face pie-mérienne ou antérieure de la lame terminale; le sang de ce réseau est drainé dans un réseau profond formé de capillaires sinusoides groupés en anses ou en boucles dans la partie haute de l'organe, tandis que sa partie basse est occupée par un vaste plexus. Le sang du réseau profond gagne ensuite des veines communes à d'autres régions hypothalamiques qui se déversent dans le système des veines cérébrales antérieures.L'aspect des vaisseaux de la lame terminale et leur organisation particulière permet de penser qu'ils interviennent dans la fonction encore inconnue de l'organe vasculaire de la lame terminale.
On the vascularisation of the lamina terminalis in the human
Summary The human supra-optic crest like that of numerous classes of vertebrates, has a highly differentiated vascular system.From the arterial supply usually consisting of four pedicles, a superficial capillary network covers the pia-mater or anterior side of the supra-optic crest. The blood in this superficial network is drained into a deep network made up of sinusoidal capillaries in loops or whirls, situated in the upper part of the organ, whereas in the lower part a vast plexus is to be found. The blood from the deep network then flows into veins which also drain other hypothalamic regions and then flow into the anterior cerebral veinous system.The appearance of the vessels of the supra-optic crest and their special arrangement seems to indicate that they play a part in the as yet unknown function of the vascular organ of the supra-optic crest.
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15.
Hydrology and Plankton of Eleiyele Reservoir Ibadan,Nigeria   总被引:5,自引:4,他引:1  
Summary This study describes seasonal variation in the numbers of planktonic organisms in relation to hydrological changes in a flood-controlled reservoir at Ibadan, Nigeria. Results of fortnightly estimations of water-level, temperature, transparency, and oxygen content have been presented. The reservoir is thermally stratified for most of the year but the periodic flooding following heavy rainfall and the occasional breakdown of the periodic flooding following heavy rainfall and the occasional breakdown of the thermal stratification by winds during the dry season dominate the habitat, causing regular seasonal fluctuation in plant nutrients and the transparency of the water.Such effects have also been shown to exert an important influence directly on the zooplankton as well as on the phytoplankton. The highest plankton densities were recorded during periods of maximum water level and the lowest during the beginning of the filling process. Some evidence suggests that the zooplankton feeds directly on bacteria-rich detritus and that the phytoplankton probably plays an insignificant part as food source for the zooplankton. The phytoplankton may be controlled primarily by the limitation and decline of plant nutrients from the reservoir bed.
Résumé Etude concernant les variations de la quantité de plancton en rapport avec les changements de l'eau dans un reservoir a Ibadan (Nigéria). Les résultats des mensurations bimensuelles du niveau de l'eau, de sa température et de sa transparence ont été étudiés. L'auteur a fait une stratification thermale pour une grande partie de l'année, mais l'inondation périodique qui suit chaque grande précipitation ainsi que la perturbation occasionelle de la stratification thermale efectuée par les vents pendant la saison sèche, dominent le milieu et occasionnent des variations régulières dans la quantité des plantes nutritives et dans la transparence de l'eau.Ces phénomènes ont une grande influence directe sur le zooplancton aussi bien que sur le phytoplancton. Les densités les plus considérables de plancton sont enrégistrées pendant la saison où le niveau de l'eau est au maximum et les plus basses au début de la saison d'inondation. Les résultats montrent que le zooplancton se nourrit du détritus très riche en bactéries et que le phytoplancton ne joue qu'un rôle insignifiant comme source de nourriture pour le zooplancton. On peut d'ordinaire contrôler le phytoplancton par la limitation et la diminution des plantes nutritives dan le lit du réservoir.


This is part of the material present for a Ph.D. Thesis of the University of London.  相似文献   

16.
Summary Simulation of the way workers attack big larvae in spring has produced evidence that the mechanical component of this alone is sufficient to induce earlier metamorphosis with a consequent switch from queen to worker formation.As the jaws are used and the mandibular glands contain a proteinase normally used in the external digestion of prey, it is highly probable that this, too, is involved in attack. It is shown that the mandibular gland material causes major damage to the cuticle of the larva and may cause it to lose water.Like queens, workers contain fatty acids in their heads and the chain length frequency is quite similar. In both castes the commonest is oleic acid. Applied topically this enters the larva, reduces its growth rate and damages its water-proofing. Water-impermeability can be restored by workers.These fatty acids, however, are not very abundant inMyrmica. They are present in the pharyngeal gland which is used to feed larvae and is very palatable. There is no evidence that it is used topically as a poison though it is certainly able to pass straight in through the larval cuticle; if implanted it is harmless.The mandibular glands of queens and workers have been removed surgically. Workers are still able to rear larvae quite well and are susceptible to the influence of queens, but to a lesser degree than normal. This is either because they are undernourished, as the gland is their main oral source of proteinase, or because they need the mandibular chemicals to raise the intensity of their group aggression.the pharyngeal glands of queens and workers have also been removed. This destroys much of the worker drive towards larvae and leads to their gradual emaciation, probably because some dligestion and absorption takes place there. Larvae lose weight, too, and so the influence of queens on broodrearing cannot be tested.
Résumé En simulant la manière dont les ouvrières attaquent au printemps les grandes larves, on montre que les stimulations mécaniques seules suffisent à induire prématurément la métamorphose avec production d'ouvrières ou bien de reine.Puisque les mandibules sont utilisées et que les glandes mandibulaires contiennent une protéinase, utilisée normalement pour la digestion externe des proies, il est hautement probable que cela, aussi, intervienne dans l'attaque. Il est montré que la subtance des glandes mandibulaires occasionne les principaux dégâts à la cuticule de la larve et peut induire des pertes d'eau.Comme celle des reines, la tête des ouvrières contient des acides gras et leur répartition en fonction de la longueur des chaînes est rigoureusement identique. Dans les deux castes, le plus commun est l'acide oléique. Appliqué localement, celui-ci pénètre dans la larve, réduit son taux de croissance et perturbe son imperméabilité à l'eau. L'imperméabilité à l'eau peut être rétablie par les ouvrières.Cependant, ces acides gras ne sont pas très abondants chezMyrmica. Ils sont présents dans la glande pharyngienne qui est utilisée dans le nourrissement des larves et est d'un goût agréable. Il n'y a aucune preuve qu'elle soit utilisée localement comme poison, bien qu'elle soit certainement capable de traverser directement la cuticule larvaire; implantée, elle est inoffensive.L'ablation chirurgicale des glandes mandibulaires de reines et d'ouvrières a été faite. Les ouvrières sont encore tout à fait capables d'élever des larves et sont sensibles à l'influence des reines, mais à un degré moindre que normal. Cela est dû soit à une sous-alimentation, car la glande est leur principale source orale de protéinase, soit parce qu'elles ont besoin des substances mandibulaires pour augmenter l'intensité de l'agression de leur groupe.Les glandes pharyngiennes de reines et d'ouvrières ont aussi, été enlevées. Cela annihile beaucoup de l'attirance des ouvrières vers les larves et mène à leur déssèchement progressif probablement parce qu'il y a alors une certaine digestion et absorption. Les larves perdent aussi du poids, et ainsi l'influence des reines sur l'élevage du couvain ne peut pas être étudiée.
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17.
Résumé Une étude sur l'appareil ectadenial du mâle de Hydrous piceus a démontré la nature lipo-protéique de la sécrétion; la fraction lipidique se rapporte aux céphalines et la fraction protéique montre une haute téneur en proline et aminoacides dicarboxyliques. La sécrétion est député à la formation du bouchon vaginal (Begattungszeichen) de la femelle. Les observations précédentes sur la présence de DNA dans la sécrétion n'ont pas été confirmées.
Ectadenic glands of Hydrous piceus L.
Summary The secretory products of the ectadenic system of the male coleopterus Hydrous piceus is composed of lipoprotein. The lipid fraction consists of cephalins; in the proteic fraction a high content of proline and dicarhoxylic aminoacids was found. The secretion of the ectadenic system constitutes the vaginal plug (Begattungszeichen) of the female. Previous observations on the presence of DNA in the secretory product are not confirmed.


Les Auteurs remercient vivement Mme. Dr. Silvia Caravita pour sa contribution dans la partie ultrastructurelle du travail et le Prof. R. Zito pour ses conseils dans l'interprétation des données biochimiques.  相似文献   

18.
Glucose, fructose, sucrose, raffinose and glucuronic acid were present in both adult froghopper excrement and in sugar cane leaf sap. Melibiose was also present in the excrement but did not occur in the plant sap. Sugars were not recovered in the salivary glands of the insect, but in the haemolymph, glucose, fructose, sucrose and trehalose were determined.Most of the amino acids (alanine, arginine, asparagine, aspartic acid, cysteine/cysteic acid, cystine, glutamic acid, glutamine, glycine, histidine, isoleucine, leucine, lysine, phenylalanine, proline, serine, tryptophan, tyrosine and valine) in the leaf sap were present in the froghopper haemolymph and salivary glands. Nine of these acids also occurred in the excrement of the insect.
Résumé Le glucose, le fructose, le sucrose, le raffinose et l'acide glucuronique se retrouvent à la fois dans les excréments du Cercopide adulte et dans le jus extrait des feuilles de la canne à sucre. Le melibiose est présent dans les excréments de l'insecte mais non dans la sève. Aucun sucre ne fut décelé dans les glandes salivaires de l'insecte mais dans l'hémolymphe on a identifié du glucose, du fructose, du sucrose et du tréhalose.La plupart des acides aminés de l'extrait foliaire (alanine, arginine, asparagine, acide aspartique, cystéine et acide cystéique, cystine, acide glutamique, glutamine, glycine, histidine, isoleucine, leucine, lysine, phenylalanine, proline, sérine, tryptophane, tyrosine et valine) existent aussi dans le sang du Cercopide et dans ses glandes salivaires. 9 de ces acides aminés se retrouvent également dans les excréments de l'insecte.
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19.
Conclusion A un certain stade, dans les foyers d'inflammation aseptique du tissu conjonctif, apparaissent des cellules riches en éléments réticuloendoplasmique (cellules réticulo-histiocytaires) ayant à certains points de vue des apparences plasmocytaires. A partir de leur réticulum endoplasmique se développent de larges citernes (cisternae) à contenu vraisemblement protéique. Ce contenu est rejeté dans le milieu intercellulaire soit par ouverture des citernes superficielles soit par dislocation de tout ou partie de la cellule. Par ce phénomène assimilable à une clasmatose, des citernes sont libérées dans le milieu intercellulaire. Elles apparaissent alors comme des vacuoles limitées par des membranes riches en ribosomes. On peut rattacher ce processus à l'élaboration de protéines et à leur déversement dans le milieu intercellulaire, à un moment de l'évolution de la réaction inflammatoire o la construction de nouvelles cellules et de nouvelles fibrilles nécessite des éléments protéiques de construction.Avec la collaboration technique de C. Reuet.  相似文献   

20.
Male sexual behaviour in Anisopteromalus calandrae was observed and experimentally analyzed. The female secretes a sex pheromone which releases the wing vibration of males. The female sex pheromone, and not the visual stimulus, is essential for the recognition by males of the nearby presence of a female. This pheromone which is secreted from glands situated in abdomen of the female, is already released since pupal stage, but the male is attracted most effectively by the female still under the reed of the beans. Copulation takes place immediately after the female comes out of the bean.
Résumé Le comportement sexuel mâle chez Anisopteromalus calandrae a été observé et expérimentalement analysé. La femelle émet la phéromone sexuelle qui déclenche la vibration des ailes chez le mâle. La phéromone sexuelle, et non le stimulus visuel, est essentielle pour que le mâle reconnaisse la présence voisine d'une femelle. Cette phéromone, sécrétée par des glandes situées dans l'abdomen de la femelle, est émise dès le stade nymphal, et le mâle est effectivement attiré par les femelles encore incluses dans le pois. L'accouplement a lieu aussitôt que la femelle sort dehors.
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