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Résumé Afin d'évaluer la production de prolactine par l'hypophyse de l'Anguille après déconnexion hypothalamique, nous avons étudié divers paramètres biologiques contrôlés par cette hormone: structure histologique du rein, sodium et calcium plasmatiques et teneur en eau du muscle.Ayant montré, avec A. M. Lemoine, que l'épithélium des tubes rénaux est affecté par l'hypophysectomie et en partie préservé par l'apport de prolactine ovine, nous avons comparé le rein d'Anguilles intactes, hypophysectomisées et autogreffées depuis 2 mois. Chez un témoin, aux cellules á prolactine extrêmement actives, la néoformation de néphrons est très stimulée. Nous avons vérifié que 2 mois après hypophysectomie l'atrophie porte principalement sur les surfaces nucléaires, étant moins marquée sur la hauteur des épithéliums. L'atrophie est totalement compensée par l'autogreffe pour la hauteur des cellules, mais en partie seulement pour les aires nucléaires des divers segments tubulaires.La prolactine joue un rôle important dans l'équilibre hydrominéral de l'Anguille. Après hypophysectomie, nous avons confirmé la chute du sodium plasmatique qui atteint 36% et une baisse très significative du calcium, tandis que la teneur en eau du muscle s'accroît. Chez les Anguilles greffées, la chute du sodium est fortement réduite (8,5% seulement), celle du calcium n'apparaît plus, mais la teneur en eau du muscle est intermédiaire entre celle des intactes et des opérées.Pour les paramètres étudiés, sauf pour la calcémie, la greffe est donc incapable de compenser complètement les effets de l'hypophysectomie, et l'hypothèse d'un déficit de la sécrétion globale de prolactine est envisagée, en dépit de l'image de forte stimulation des cellules à prolactine du greffon. La présence hypothétique d'un PIF et d'un PRF (facteurs hypothalamiques inhibant ou stimulant la décharge de prolactine hypophysaire) est discutée et la similitude avec l'hypophyse ectopique des Oiseaux est soulignée.
Plasma electrolytes and the histological structure of the kidney in eels with autotransplanted pituitary glands
Summary In order to evaluate prolactin secretion by autotransplanted pituitaries in eels Anguilla anguilla, some biological phenomena under prolactin control were collected: the histological structure of the kidney, plasma sodium, and calcium levels, and the water content of muscle.Previously, we showed with A. M. Lemoine that the epithelium (cell height and nuclear size) in kidney tubules was affected after hypophysectomy and partly restored with ovine prolactin treatment. A similar kidney activation is observed in an intact eel in which prolactin cells were spontaneously overstimulated.A comparison of kidneys in intact and hypophysectomized eels, and in eels which have had an autotransplanted pituitary for 2 months confirms that hypophysectomy leads mainly to a decrease of nuclear surfaces in the various segments of kidney tubules after 2 months; in grafted eels, the epithelial cell height remains normal, but the nuclear surfaces are intermediate between those of intact and operated animals; that is, nuclear atrophy is partly prevented by the graft.Prolactin plays an important role in the water and electrolyte metabolism of eels. After hypophysectomy a 36% decrease of blood sodium level is noted as well as a significant blood calcium diminution, and muscle water content is increased. In grafted eels blood sodium decrease is only 8.45%, calcium level is normal, and water content, although below that of hypophysectomized eels, remains higher than in the controls.Data collected on kidney structure, plasma sodium, and muscle water content show that a graft is unable to completely prevent the effect of hypophysectomy. This suggests a deficit of prolactin secretion despite the histological picture of a high stimulation of the prolactin cells in the transplant.The hypothesis of a PIF and a PRF (hypothalamic factors of prolactin inhibition and release) is discussed and similarities with ectopic pituitary in birds are noted.


Nous remercions bien vivement le Professeur M. Fontaine qui a mis à notre disposition les Anguilles hypophysectomisées et autotransplantées grâce à la collaboration de Mme Cuvier et du Dr. A. Dimovska, et de Melle P. Sicard qui a dosé les électrolytes plasmatiques. Nos remerciements s'adressent aussi à Melle J. Olivereau qui a exécuté la partie histologique de ce travail et évalué la teneur en eau du muscle.  相似文献   

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Résumé Ce travail est consacré à l'identification des cellules sécrétant respectivement LH et FSH chez le Porc. Les caractères morphologiques de ces deux lignées cellulaires ont été précisés grâce à deux techniques de coloration: l'APS-bleu de méthazol-orange G et l'APS-bleu alcian-orange G. Cette dernière technique est la seule à révéler que les grandes cellules de la zone médiane auxquelles avait été précédemment attribuée la sécrétion de FSH se scindent en deux classes distinctes: les unes ne réagissent qu'à l'APS, les autres réagissent simultanément à l'APS et au bleu alcian.Les modifications hypophysaires caractérisant les phases du cycle oestral, la castration, la cryptorchidie, l'administration d'un antiovulatoire concordent à démontrer que l'activité LH est exercée par une lignée spécifique de cellules glycoprotidiques caractérisées par la disposition de leurs granulations en amas distincts. Les mêmes conditions physiologiques ou expérimentales suggèrent que seules parmi les cellules basophiles de la zone médiane, celles qui réagissent simultanément à l'APS et au bleu alcian participent à l'activité gonadotrope de l'hypophyse et sécrètent vraisemblablement FSH.Le microscope électronique précise les caractères distinctifs des deux formes gonadotropes. Elles diffèrent l'une de l'autre par la structure de leurs granulations et l'aspect de leur ergastoplasme. Les cellules LH se repèrent aisément grâce à la disposition de leurs granulations en amas distincts et le microscope électronique confirme leur hypertrophie fonctionnelle à la suite de la castration. D'autre part, le microscope électronique confirme également la dualité des cellules basophiles occupant la région médiane de la glande et l'étude de ces cellules basophiles chez le castrat démontre bien que seule, l'une de ces formes cellulaires subit une vacuolisation massive de son ergastoplasme.L'attribution de l'activité LH aux cellules glycoprotidiques dont les granulations sont réparties en amas distincts est confirmée par une réaction d'immuno-fluorescence réalisée à partir d'un immun-sérum spécifique vis-à-vis de l'hormone LH.
The gonadotropic cells in the pigs hypophysis
Summary The present paper concerns the identification of LH -and FSH-secreting cells in the hypophysis of the pig. The morphological characteristics of the involved cell types can be accurately demonstrated by two staining techniques: PAS-methazol: blue-Orange G and PAS-Alcian blue-Orange G. Only the second of these methods reveals that the large cells of the median region, usually considered as FSH-secretory, can be separated into two cells types; some of them stain exclusively with PAS, the other ones stain simultaneously with PAS and Alcian blue.The cytological modifications of the hypophyseal structure observed in different functional conditions (f.i. during the different phases of the oestrous cycle, after castration, in cryptorchidism, after administration of antiovulatory drugs) point to an identical conclusion, namely that the secretion of LH must be ascribed to a specific glycoprotidic cell type, identified by a peculiar clusterlike disposition of the cytoplasmic granules. On the other hand, the cytological observations suggest that, among the basophil cells of the median region, only those which stain simultaneously with PAS and Alcian blue have a gonadotrope function and are most probably FSH-secreting.The electron microscope allows a precise distinction between the two gonadotrope cell types, based on the aspect of the ergastoplasm and the structure of the granules. The LH cells are easily identified by the characteristic disposition of the granules in clusters or clumps. Their hypertrophy after castration is confirmed by EM observations.On the other hand the EM confirmes the duality of the basophil cells of the median region; since, after castration, one of the two cell types only shows a massive vacuolisation of the ergastoplasm.Finally, the LH-secretory function of the glycoprotidic cells with clump like aspect of the granules is confirmed by their immuno-fluorescence reaction towards a specific anti-LH serum.
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Résumé Après radiothyroïdectomie chez la souris, l'augmentation volumétrique du lobe intermédiaire, son aspect cytologique, l'incorporation importante de 3H-Méthionine et de 35SO4Na2 par ses cellules, plaident en faveur d'une hyperactivité sécrétrice et excrétrice parallèle à celle du métabolisme thyréotrope du lobe antérieur.
Study of the pars intermedia of the hypophysis in normal and thyroidectomized mice: Volumetry, histology and incorporation of various radioactive elements
Summary After radiothyroidectomy in the mouse, the volumetric increase of the intermediate lobe, its cytological aspect, the considerable incorporation of 3H-Methionine and 35SO4Na2 by its cells, speak in favour of a secretory and excretory hyperactivity paralleling the anterior lobe's thyreotrope metabolism.
Abréviations utilisées: LA Lobe antérieur de l'hypophyse. LI Lobe intermédiaire. LN Lobe nerveux. NSO Noyau supra-optique de l'hypothalamus. PAS Periodic acid Schiff. BA Bleu Alcian. AF Aldéhyde fuchsine.  相似文献   

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Résumé Chez l'Anguille dont l'hypophyse est autotransplantée dans la musculature dorsale depuis 2 mois, la pigmentation est assez variable, mais généralement plus sombre que celle des animaux hypophysectomisés. De plus, une tache foncée apparaît au voisinage du greffon, indiquant une sécrétion d'intermédine ou MSH (melanocyte-stimulating hormone). Il existe une corrélation entre l'intensité de la pigmentation, le diamètre de cette tache noire et le degré de conservation de la pars intermedia dans les 13 cas où celle-ci est identifiée dans le greffon; le tissu intermédiaire est absent chez les 3 Anguilles aussi pâles que celles hypophysectomisées.La pars intermedia contient normalement 2 catégories cellulaires; seule celle colorable par l'hématoxyline au plomb (H-Pb) est encore présente dans les transplants: elle apparaît donc responsable de la sécrétion de l'intermédine; l'autre catégorie PAS (acide periodique-fuchsine de Schiff) positive, moins abondante, régresse fortement et peut même disparaître. Il s'agit donc bien de deux types cellulaires distincts, avec une évolution propre. Cependant, aucun caractère histologique ne permet de penser que les cellules hématoxylinophiles de la pars intermedia sont hyperactives, et ce fait, joint à l'absence d'une mélano-dispersion permanente n'autorise pas à conclure à la présence d'un facteur hypothalamique inhibant la décharge de MSH ou MSH-IF chez cette espèce, similaire à celui décrit chez les Amphibiens; l'hypothèse inverse de l'existence d'un MSH-RF, ou facteur de décharge de MSH, apparaît plus probable, bien que la pars intermedia jouisse d'une autonomie importante chez l'Anguille. Ces observations sont discutées à la lumière des données publiées chez d'autres Vertébrés.L'hormone de type prolactinique sécrétée par les cellules érythrosinophiles de l'hypophyse, présentes dans les 15 greffons viables, ne semble pas jouer de rôle primordial dans le contrôle de la pigmentation, elle apparaît même incapable de reproduire l'effet mélano-dispersant de la prolactine ovine. Les cellules corticotropes, identifiées dans les 15 greffons, ne paraissent pas intervenir dans le maintien de la pigmentation, mais il reste à préciser leur activité fonctionnelle.
Activity of the pars intermedia of the autotransplanted pituitary gland in the European eel
Summary The pituitary gland was autotransplanted in the dorsal muscle of 16 eels; 2 months later, the pigmentation is quite variable, but generally darker than that of hypophysectomized animals. Also, a dark spot appears close to the graft, indicating intermedin (MSH) secretion. There is a correlation between the intensity of the pigmentation, the diameter of the black spot, and the degree of maintenance of the pars intermedia in the 13 cases where it was identified in the transplant. The intermediate lobe tissue is absent in the 3 eels which are as pale as the hypophysectomized ones.The pars intermedia normally contains 2 cell types: only the cell stainable with the leadhaematoxylin technique (H-Pb) is still present in the grafts: then, it appears responsible for the elaboration of intermedin. The other cell type, PAS positive, less abundant, is strongly regressed and can even disappear. It seems obvious that there are two distinct cell types with their own development. However, no histological criteria suggest that the H-Pb positive cells are hyperactive. As there is no permanent melano-dispersion in the grafted animals, it does not seem evident that the hypothalamus of the eel secretes a MSH-inhibiting factor (MSH-IF) similar to that described in Amphibians. Conversely, the hypothesis of a MSH-releasing factor (MSH-RF) would appear more probable despite a large degree of autonomy of the pars intermedia. These observations are compared with data published on various Vertebrates.The prolactin-like hormone secreted by the erythrosinophilic cells of the pituitary gland, identified in the 15 healthy grafts, does not seem to play an important role in the control of the pigmentation. It appears even unable to mimic the melanophoro-dispersing effect of the ovine prolactin. The corticotrophic cells present in the 15 transplants do not seem to act on the maintenance of the pigmentation, but their functional activity remains to be evaluated.


Nous remercions bien vivement le Dr. Anastasija Dimovska pour l'aide amicale qu'elle nous a apportée au cours de cette expérience lors de son séjour en France rendu possible grâce à une bourse du Gouvernement Yougoslave. Nous remercions Mme Cuvier pour sa participation aux hypophysectomies et aux greffes et Melle J. Olivereau du CNRS pour sa collaboration histologique.  相似文献   

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Résumé L'étude de l'hypophyse de l'Anguille femelle jaune ou argentée, et celle de trois Anguilles femelles mûres confirment l'identification fonctionnelle des six types cellulaires, en particulier somatotrope et gonadotrope, établie antérieurement à la suite d'une expérimentation variée chez le mâle.Les différences entre les aspects des cellules corticotropes du mâle et de la femelle sont minimes; il en est de même pour les cellules thyréotropes, bien que celles-ci paraissent un peu moins actives chez la femelle. Les cellules à prolactine sont souvent plus actives chez la femelle, et caractérisées par le développement d'un ergastoplasme basal riche en acide ribonucléique.Les cellules somatotropes sont aussi beaucoup plus nombreuses et généralement plus actives chez la femelle dont la croissance est très prolongée, aboutissant à un dimorphisme sexuel marqué.Les cellules gonadotropes sont normalement peu différenciées, assez peu nombreuses, et ne présentent pas de stimulation spontanée décelable chez les individus capturés en eau douce. Chez l'Anguille femelle mûre, le développement numérique de ces cellules est énorme, avec invasion de la pars distalis rostrale; l'accroissement volumétrique est aussi considérable (10 à 12 fois le volume de celles de la femelle argentée). L'élaboration d'abondantes granulations glycoprotéiques reflète l'activité fonctionnelle de ces cellules, mais leur distinction en deux catégories est assez difficile à réaliser à l'aide des techniques histochimiques classiques. Elle peut cependant être établie grâce au PAS-hématoxyline au plomb, mais elle reste d'une interprétation délicate.L'examen des trois Anguilles mûres confirme l'involution des cellules à gprolactine lors d'un séjour prolongé en eau de mer, involution déjà constatée chez le mâle argenté.La pars intermedia est composée de deux types de cellules sans que l'on puisse préciser lequel des deux élabore l'intermédine; la neurohypophyse renferme deux types de neurosécrétat, l'un PAS positif en fins chapelets dans la région antérieure, l'autre AF positif et bleu alcian positif, dans la zone postérieure, réparti en amas plus volumineux, formant de gros corps de Herring, chez les femelles de poids élevé. Le neurosécrétat est raréfié chez les Anguilles mûres.
Summary The pituitary glands of 45 yellow or silver female eels and of 3 mature females were studied. The results confirm the functional identification of six cell types, mainly the somatotrophic and gonadotrophic cells, previously established after various experiments in the silver male eel or just before silvering.There is only a slight difference between the corticotrophic cells of the male and that of the female eels; there is a similar minimal difference for the thyreotrophic cells; however, they may look slightly less active in the female. The prolactin cells are more often active in the female, and characterized by development of a basal ergastoplasm with abundant ribonucleic acid. The somatotrophic cells are much more numerous and generally more active in the female whose growth is prolonged, so that an evident sexual dimorphism is present.Normally, the gonadotrophic cells are almost undifferentiated and do not show a spontaneous stimulation which can be detected in eels collected in freshwater. The mature female eel presents a considerable increase of the number of these cells which are hypertrophied and tend to invade the rostral pars distalis. The cell volume is multiplied by 10 to 12. Numerous granules, rich in glycoproteins, indicate a functional hyperactivity. The distinction between the two types of gonadotrophic cells is not as apparent as in salmon, however, it can be achieved with the PAS-lead hematoxylin technique, but its interpretation remains difficult.In the three mature female eels, kept in seawater for several months, the prolactin cells are regressed, corroborating a previous experiment on male eels.The pars intermedia is composed of two cell types, but their functional significance remains uncertain. The neurohypophysis contains two types of neurosecretory material, one is PAS positive, localized in the anterior region, the other one is AF and alcian blue positive, in the posterior region, composing larger masses and forming voluminous Herring bodies in the biggest females.


Nous remercions vivement Monsieur le Professeur M. Fontaine qui a bien voulu nous confier l'étude des hypophyses des Anguilles femelles mûres. Le traitement de ces animaux a été assuré par Mademoisselle E. Bagot que nous remercions ainsi que Mademoiselle J. Olivereau, du CNRS, qui a effectué toute la technique histologique des glandes examinées et nous a aidée dans l'illustration de cette publication.  相似文献   

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Résumé La teneur en acide N-acétyl-neuraminique du mucus de la peau d'Anguille est mesurée après coloration avec l'acide periodique-acide thiobarbiturique au spectrophotomètre. En eau douce, à 21° C, elle présente une chute très significative de 34,1% 2 mois après hypophysectomie par rapport à celle d'animaux intacts. L'autotransplantation de l'hypophyse dans la musculature dorsale atténue cette chute (19,7%), effet similaire à celui de l'injection de prolactine ovine.Ces réponses de la teneur en acide sialique, utilisées comme indice des variations quantitatives du mucus de la peau, suggèrent que greffe et prolactine ovine stimulent la production de mucus. Or, chez les Téléostéens, divers travaux montrent que l'hypophyse transplantée sécrète une prolactine, probablement responsable de cette action.Ces données sur l'acide sialique sont comparées à celles obtenues sur les électrolytes sériques et la structure rénale après hypophysectomie, autogreffe hypophysaire et injection de prolactine. La similitude des résultats dans ces diverses conditions expérimentales suggère les hypothèses suivantes: la teneur en acide N-acétylneuraminique de la peau serait contrôlée, au moins en partie, par la prolactine; par sa sécrétion de mucus, la peau pourrait être partiellement responsable du maintien de l'équilibre osmotique modifié après hypophysectomie. Enfin, le déficit global observé ne plaide pas en faveur de l'existence d'un facteur hypothalamique inhibiteur de la sécrétion de prolaotine (PIF) chez l'Anguille, malgré l'image histologique d'hyperactivité des éléments prolactiniques dans l'hypophyse déconnectée.
N-acetyl-neuraminic acid content of the skin in the eel after pituitary autotransplantation
Summary The concentration of N-acetyl-neuraminic acid in the skin mucus of the eel was determined by spectrophotometric measurement after staining with periodic acid-thiobarbituric acid.Two months after hypophysectomy, in fresh water at 21° C, a 34.1% decrease, compared with intact animals kept under identical conditions is detected in the skin. When the pituitary gland is autotransplanted in the dorsal muscle, this decrease is limited to 19.7%, an effect which is similar to that of an ovine prolactin treatment.These responses of the sialic acid content, which reflect the quantitative variations of the skin mucus, suggest that both grafts and ovine prolactin stimulate mucus production. In teleost fishes, some results indicate that transplanted pituitary gland is secreting a prolactin-like hormone most probably involved in this effect.These data on the skin sialic acid content are compared with those obtained on blood electrolytes and renal histology after hypophysectomy, pituitary graft and prolactin injection. The similarities of results collected under these various experimental conditions suggest the following hypothesis: the content of cutaneous N-acetyl-neuraminic acid would be, at least in part, under the control of a prolactin hormone. By its mucus production, the skin might be partly responsible for the maintenance of osmotic balance disturbed after hypophysectomy.Finally, the total amount of prolactin secreted by the graft seems to be lower than that released by the in situ gland; this fact is not in favour of the presence of a prolactin-inhibiting factor (PIF) in the hypothalamus of eels, although prolactin cells appear stimulated in the ectopic pituitary gland.


Nous remercions vivement le Professeur Fontaine qui a mis à notre disposition des Anguilles hypophysectomisées ou autogreffées par Mme Cuvier. L'aide amicale de Mme le Dr Dimovska pendant ces expériences a été très appréciée, ainsi que celle de Melle J. Olivereau.  相似文献   

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Résumé Chez les Anguilles dont la destruction totale ou sub-totale de la glande thyroïde a été réalisée avec des injections répétées de fortes doses d'iode radioactif 131I, l'interrénal présente un aspect histologique indiquant un hypofonctionnement traduit par une atrophie cellulaire et nucléaire. De même, après 2 à 8 mois d'expérience, les cellules corticotropes de l'hypophyse sont plus petites, moins granulées à l'apex qui devient finement vacuolisé, le diamètre nucléaire est significativement réduit. La réponse de l'interrénal à la thyroïdectomie est donc contrôlée en partie par l'hypophyse. Comme l'apport de thyroxine stimule l'axe hypophyso-corticosurrénalien de l'Anguille, et la réduction ou la disparition des hormones thyroïdiennes le déprime, il semble exister chez ce Téléostéen une synergie entre les activités de la thyroïde et de l'interrénal ayant l'hypophyse comme intermédiaire.
Modifications of the Corticotrophic Cells of the hypophysis of the radiothyroidectomized eel
Summary Eels were completely or sub-totally radiothyroidectomized with repeated injections of high doses of radioiodine 131I. After 2 to 8 months, the histological picture of the interrenal suggests a hypoactivity, indicated by a nuclear and nucleolar atrophy. Simultaneously, in the pituitary gland, the corticotrophic cells are smaller, less granulated with a finely vacuolated apical cytoplasm. The diameter of their nuclei is significantly reduced. It then appears that the adrenal response to thyroidectomy is, at least partly, mediated by the pituitary gland. As thyroxine treatment induces a stimulation of the hypophyso-adrenocortical system in the eel, and a decrease or disappearance of thyroidal hormones exerts a depressing effect, it seems that there is a synergy between the activity of the thyroid gland and the interrenal in this species, the hypophysis playing a role of mediator in these responses.


Ce travail a été réalisé avec la collaboration technique de Mademoiselle Jacqueline Olivereau, du CNRS, que nous remercions bien vivement.  相似文献   

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Summary The bisexual species Luffia lapidella has a pseudogamic (or gynogenetic) form, which is thelytokous and very similar to the parthenogenetic L. ferchaultella, but its egg needs the stimulation of the sperm.The inseminated egg restores its diploid chromosomal number in performing the same kind of restitutional first meiotic division as ferchaultella does. The second division, although already diploid, is normal and is followed by the formation of two nuclei, one of them degenerating as a polar body. The sperm starts developing as in the normal egg, but by metaphase II, it stops growing to a pronucleus and remains as a contracted and pycnotic body. Although attracted by the central female nucleus, it does not fuse with it. The male centriole behaves normally, it possibly plays a role in the first cleavage mitosis. The egg divides diploid and without any paternal chromosomes.

Travail subventionné par le Fonds National Suisse de la Recherche Scientifique.  相似文献   

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After a short review of the functional anatomy of the kidney, we express the usual hypotheses about the phenomena of reabsorption and filtration in the loop of Henle and the collecting duct.Starting from these hypotheses and the laws of biophysics, we formulate the equations of the model.This model accounts for the great increase in concentration of electrolyte and urea in the loop of Henle, the collecting duct and the interstitium, as we “go down” from the outer medullary area towards the inner areas, the active transportation of sodium in the loop of Henle being limited to the thick ascending limb.  相似文献   

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Jürgen Reiss 《Protoplasma》1972,74(1-2):71-84
Zusammenfassung Mitochondrien (gefärbt mit Hilfe des Succinat-Dehydrogenase-Mediums und durch Janusgrün B), Lipide sowie das Enzym saure Phosphatase sind beiThamnidium elegans in besonderem Maße an Orten intensiver Differenzierungsprozesse zu finden, so im Spitzenbereich von Sporangiophoren im Stadium I, in Sporangien und in Sporangiolen bildenden Seitenästen. Die Sporangiolen zeigen im Gegensatz zu den meisten Sporangiosporen positive cytochemische Reaktionen, was offenbar auf Unterschiede in der Wandstruktur und damit in der Permeabilität beruht. Im Spitzenbereich von Hyphen läßt sich phasenkontrastmikroskopisch ein scharf abgegrenztes Gebilde nachweisen, das möglicherweise mit dem Spitzenkörper identisch ist.
Cytology ofThamnidium elegans linkI. Cytochemical and phase contrast microscope investigations of hyphae, sporangia, and sporangiola
Summary Mitochondria (stained by succinate dehydrogenase medium and Janusgreen B), lipids, and acid phosphatase are found in high degree at sites of pronounced differentiation: in the tips of sporangiophores at stage I, in sporangia and in sporangiola producing side-branches. In contrast to most of the sporangiospores the sporangiola show positive cytochemical reactions; this is very probably due to differences in cell wall composition and subsequently in permeability. In the apex of hyphae a distinct structure can be detected by phase contrast microscopy which is perhaps identical with a Spitzenkörper.


Frau Prof. Dr. B.Haccius danke ich für die Überlassung der Pilzkultur.  相似文献   

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Pierre -Paul Lacas 《PSN》2005,3(5):248-260
Gisela Pankow’s theoretical and clinical research led her to work out an original method of dynamic structuration for the cure of psychosis and serious mental disorders. She distinguishes two fundamental functions in the living body-image, and according to her master’s views, Ernst Kretschmer, who introduced the difference betweenKernpsychose (nuclear psychosis) andRandpsychose (marginal psychosis). These two functions are “symbolizing” and are relying on the “immanent laws” of the body. Such pankowian concepts are an extension of psychiatric, psychoanalytic and philosophical works which are not well known in ordinary medical circles: we must quote those of Kurt Goldstein, Gustav Siewerth, Gaston Fessard, for example. G. Pannkow uses ordinary words, such as form, sign, symbol, but this may be deceiving, for symbolism is not the same when speaking about forms or about language. Reading these authors reveals the background of these terms and enlightens the pankowian original concept of the living bodyimage, based on a realistic anthropology of the body’s immanent laws. This paper is only a basic introduction to Gisela Pankow’s rich and fruitful research.  相似文献   

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Although germ cell cancer is rare (about 1% of cancers in male), it is the commonest cancer in young man. Many studies in Europe, Northern America and Australia show that incidence rates of testis cancer are climbing. In Northern Europe and America, where cancer registration exist since the fifties, it is showed that overall age-adjusted incidence rate of testis cancer has increased more than 3 fold during the past 50 years. This increase affect particularly teenagers and young men. The increase of incidence rates is less documented in under developed countries but recent studies seem to confirm an increase of incidence rates in many parts of the world, even if testis cancer remain rarer in non Caucasian populations. Etiologies of a such increase are still unknown, but arguments point in view a possible relation between environmental hormone disrupters and many hormonodependent cancers, such as testicular neoplasm, the cancer of the breast or even prostate cancer. Epidemiological studies with large sample size are needed to identify risk factors responsible for the increase of incidence rates of testis cancer.  相似文献   

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