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1.
Clarification of factors enabling diapause termination was carried out in a stem borer, Busseola fusca. Diapausing larvae very rarely pupated under dry conditions. Water apparently played a significant role in the termination of late diapause. During the late diapause period, larvae in the field were exposed to rains of the short rainy season. This precipitation, however, terminated diapause in only a few larvae, which indicate that termination requires sustained exposure to wet conditions that are not usually met during the short rains.
Résumé Les causes de la fin de la diapause ont été précisées sur B. fusca. Les chenilles diapausantes se nymphosent très rarement en conditions sèches. L'eau joue apparement un rôle important dans la fin de la dernière phase de la diapause. Dans la nature, les chenilles sont exposées pendant cette période aux plues de la brève saison de pluies. Cependant, ces précipitations n'interrompent la diapause que d'un nombre limité de chenilles, ce qui montre que la fin de la diapause exige une exposition prolongée à des conditions humides que l'on ne rencontre pas généralement pendant la brève saison des pluies.
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2.
Summary Rice straw, maize, and cotton stalks and poultry droppings, both as such and with either wheat straw litter or sawdust litter, were used as substrates for biogasification. Water slurry combinations, each containing a crop residue and a type of poultry wastes, were prepared to achieve a uniform C/N ratio 301 (w/w) and a total solids content 10% (w/v). Biogas generated and its methane component, as well as changes brought about in the major organic constituents of the feedstocks, were monitored in laboratory biogas digesters for 90 days at 35°C. The maximum cumulative volumes of biogas and methane, were respectively 30 and 14 l/l with rice straw plus wheat straw poultry droppings. The minimum volumes were 15 l biogas/l with cotton stalks + sawdust poultry droppings and 8 l methane/l with rice straw + sawdust poultry droppings. Rice straw combinations gave the highest rates of volatile solids disappearance, short-chain fatty acid formation, and NH4 -N liberation. No consistent trend among the poultry wastes mixed with each crop residue was evident. Changes in water-soluble substances, protein, fats, hemicellulose, cellulose and lignin depended on the components of each feedstock mixture.
Changement dans les composants organiques des résidus de récolte et des déchets avicoles lors de la fermentation pour la production de biogaz
Résumé La paille de riz, les fanes de maïs et les tiges de coton ainsi que le lisier avicole, comme tels ou en mélange avec la litière de paille de froment ou de sciure ont servi de substrats pour la biométhanisation. On a préparé des combinaisons de boues aqueuses, chacune contenant un résidu de récolte et un type de lisier avicole, de manière à respecter un rapport C/N uniforme de 301 (p/p) et un contenu total en solides de 10% (p/vol.). On a suivi le biogaz produit et son contenu en méthane, ainsi que les changements apparus dans les principaux constituents organiques des substrats, dans des digesteurs de laboratoire pendant 90 jours à 35°C. On a obtenu les volumes cumulés maximum respectivement de 30 l/l de biogaz et de 14/l de méthane pour la paille de riz plus le lisier avicole avec paille de froment. On a obtenu les volumes cumulés minimum de 15l/l de biogaz pour les tiges de coton avec le lisier avicole avec sciure de bois et de 8 l/l de méthane pour la paille de riz et le lisier de poule avec sciure de bois. Les combinaisons avec la paille de riz ont donné les vitesses les plus élevées de disparition des solides volatils, de formation d'acides gras à courte chaîne et de libération d'azote ammoniacal. Il n'y a pas de tendances évidentes pour les lisiers avicoles mélangés avec les divers résidus de récolte. Les changements en substances hydro-solubles, en protéines, graisses, hémicellulose, cellulose et lignine dépendent de la composition de chaque mélange de substrats.
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3.
Azadirachtin, applied topically to final instar larvae of the African armyworm (Spodoptera exempta, Walker) (Lepidoptera: Noctuidae), adversely affected oogenesis and reproductive maturation in subsequent female moths. Moths obtained from such treated larvae failed to mature their oocytes, probably as a result of interference of azadirachtin with vitellogenin synthesis and/or its uptake by developing oocytes. Such larval treatment also caused substantial decreases in fecundity and although fertility in affected females was not decreased significantly, emerging larvae were less viable, less than 40% reaching the fourth instar.Closer examination revealed that protein levels as well as fat body development in female moths were suppressed by azadirachtin. Prospects for field control of this pest with neem are discussed in the light of these findings.
Résumé L'application locale d'azadirachtine sur des chenilles de dernier stade de S. exempta Walker nuit à l'ovogenèse et à la maturation des ovaires des futures femelles. Les papillons provenant des chenilles traitées ne produisent pas d'ovocytes mûrs, probablement par suite de l'interférence de l'azadirachtine avec la synthèse de la vitellogénine et/ou son incorporation dans les ovocytes en développement. De tels traitements larvaires provoquent aussi une diminution importante de la fécondité et bien que la fertilité des femelles touchées ne diminue pas significativement, les chenilles néonates sont moins viables, moins de 40% atteignant le 4e stade. Un examen plus précis a révélé que la teneur en protéines et le développement du corps gras des papillons femelles étaient altérés par l'azadirachtine. Des perspectives d'utilisation du NEEM dans la lutte contre cet insecte ont été discutées à la lumière de ces résultats.
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4.
Management of spotted stem borer, Chilo partellus (Swinhoe) by the use of resistant cultivars is being developed at ICRISAT. Different cultivars show resistance based on several mechanisms, one of which affects the establishment of first instar larvae in the plant whorl. However, it has been found that low establishment is a factor associated with resistance only in some cultivars and not in others. A number of physical and chemical plant factors are associated with preferential establishment of the young larvae in the leaf whorl. Among the physical characteristics, erect leaves and curled leaf bases are involved in larval establishment. Detailed chemical analysis of surface extracts showed that the concentration of one compound in the wax is related to resistance at this stage and assessment of physical and chemical plant characters has been used to predict resistance.
Résumé L'Institut International de Recherches sur les Cultures en Régions Semi-Arides (ICRISAT) étudie la protection contre C. partellus Swinhoe par l'utilisation de cultivars résistants. Différents cultivars présentent une résistance à différents stades de croissance de la plante, et à différents stades de l'insecte. La résistance du sorgho à C. partellus dépend de plusieurs mécanismes, l'un d'eux conditionnant l'installation des chenilles du premier stade dans le verticille de la plante. Cependant, la lenteur de l'installation d'est un facteur lié à la résistance que chez quelques cultivars. Plusiers facteurs physiques et chimiques sont associés à l'installation préférentielle des jeunes chenilles dans le verticille foliare. Parmi les caractères physiques, le port érigé des feuilles, la présence de poches à leur base et les cires superficielles sont impliqués dans l'installation des chenilles. Une analyse chimique détaillée d'extraits des structures superficielles a montré que la concentration d'une substance, le C32 marqueur de la lignée résistante IS 2205, était 2 fois plus faible que dans les lignées sensibles IS 1151 et CSH 1.
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5.
Previous studies revealed that diapause larvae of Busseola fusca (Lepidoptera: Noctuidae) began to respond to water and pupated in artificial wet conditions only in late diapause. Experiments are designed to clarify how water is involved in the termination of larval diapause. Neither feeding the larvae on fresh sorghum stems (6 weeks old) nor allowing them to drink water stimulated a break in the larval diapause. Diapause larvae transferred to artificial wet conditions pupated without increase in fresh weight. It is thus concluded that water contact is more significant as a factor terminating diapause in B. fusca than water uptake.
Résumé Des études antérieures avaient montré que la diapause des chenilles de B. fusca (Lep., Noctuidae) commence par une réaction à l'eau et qu'elles ne se nymphosent dans des conditions artificiellement humides qu'en fin de diapause. Des expériences ont été conçues pour préciser l'intervention de l'eau dans la terminaison de la diapause. Ni l'alimentation des chenilles sur des tiges fraiches de jeune sorgho (de 6 semaines), ni la possibilité de boire de l'eau n'ont stimulé une rupture de la diapause larvaire. Des chenilles en diapause transférées dans des conditions artificiellement humides se sont nymphosées sans augmentation du poids frais. On en a conclu que le contact avec de l'eau était plus important que l'absorption d'eau comme facteur de fin de diapause chez B. fusca.
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6.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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7.
A geographical difference in reproductive status of moths in populations of C. medinalis Guénée was recognized in autumn paddy fields of north Kyushu, south-west Japan. This geographical variation in mating frequency of the population resembled the intensity of immigrant density in early summer: the proportion of mated females in the population was high in the west coast regions of Kyushu and low in inland areas. Light trap catches of moths in 1985 suggested overseas invasions from China in the autumn to westerly regions of north Kyushu. The potential autumn immigrations of moths in ripening paddy fields would satisfactorily explain the variations in reproductive status of moths with locality in the same season. These migrations are apparently non-adaptive because immigrants or their progeny would soon be killed at harvest or from cold weather.
Résumé Une différence géographique dans l'activité reproductrice des papillons de la population de C. medinalis a été observée dans les champs de paddy d'automne du Kyushu septentrional au Japon. Cette différence géographique dans la fréquence des accouplements de la population ressemble à celle de l'importance de la densité d'immigration au début de l'été: la proportion de femelles inséminées est élevée dans les populations de la côte occidentale de Kyushu et basse dans la région intérieure. Les captures de papillons aux pièges lumineux, en 1985, suggèrent l'existence au Kyushu septentrional d'invasions d'outre-mer venant de Chine. Ces immigrations potentielles automnales de papillons dans les champs de paddy à maturité expliqueraient correctement les variations au cours de la même saison de l'activité reproductrice des papillons suivant les localités. Ces migrations ne sont apparemment pas adaptatives puisque les immigrants ou leur progéniture seront immédiatement tués à la récolte ou par le froid hivernal.
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8.
Chrysopa nigricornis Burm, exhibits a facultative diapause during the third instar within the cocoon. The first, second, and free-living third instars must experience short-day (LD 12 : 12) for diapause to occur; however, the third instar within the cocoon and the egg appear to have no role in diapause induction. As day-lengths decreased from 13 to 12.5 hours. diapause incidence increased from 50% to 100%, whereas at LD 13.5 : 10.5 no diapause resulted.Diapause ended spontaneously under LD 12 : 12 and after 142 days (s.d.±32) larva-pupal ecdysis occurred. Exposure to long-day conditions (LD 16 : 8) 4 or 6 weeks after the beginning of diapause hastened diapause termination; i.e. larval-pupal ecdysis occurred in about 40 days. Apparently during the first 6 weeks of diapause under short-day, little or no diapause development took place.It seems that the short days of late summer-early fall, which act on the three free-living instars, initiate diapause and that subsequent to diapause development, which occurs under short-day conditions, the insect's temperature requirements and temperature summations govern the rate of development and the proper timing of ecdysis in the spring.
Résumé Chrysopa nigricornis qui est prédateur à la fois à l'état larvaire et à l'état adulte, hiverne sous la forme de larve de 3ème stade à l'intérieur du cocon. Une alimentation à base de Myzus persicae assure le développement et la reproduction de cette espèce, tandis que les Pucerons desfèves se révèlent impropres. C. nigricornis montre une diapause facultative induite par des jours courts (LD 12 : 12) agissant sur le premier, le second stade larvaire ainsi que sur la phase libre du 3ème stade. L'exposition d'un quelconque de ces stades larvaires à un jour long (LD 16 : 8) empêche la diapause. Ni le stade uf ni le 3ème stade larvaire inclus dans le cocon ne semblent avoir de rôle dans l'induction ou l'inhibition de la diapause.Les conditions de développement des stades de prédiapause ne sont pas affectées par les régimes de photopériode qu'ils ont subis.Dans les populations de C. nigricornis que nous avons étudiées, et qui proviennent d'Ithaca, New York (42° 27 latitude N) des jours de 13 heures ou moins, provoquaient plus de 50% de diapause, tandis que des jours de 13h.30 ou plus empêchaient la diapause.Sous les conditions d'induction de la diapause (LD 12 : 12), celle-ci se termine spontanément, la mue nymphale du 3ème stade larvaire intervenant 20 semaines après la secrétion du cocon de nymphose. Cependant, si les larves ont subi une LD 16 : 8, la diapause s'achève beaucoup plus tôt, dans un délai de 6 semaines (40 jours) après la secrétion du cocon de nymphose. Durant ces 6 semaines et peut-être plus, peu ou pas développement de diapause ne semble avoir pris place.Nous suggérons que dans la nature les jours courts de la fin de l'été et du début de l'automne agissent sur le ler, le second et le 3ème stade larvaire (phase libre) pour induire la diapause du 3ème stade larvaire inclus dans son cocon de nymphose. Après que le développement de type diapause ait pris place sous l'influence des jours courts, les conditions saisonnières de température et les exigences thermiques de l'insecte interviennent pour régler la vitesse de la morphogénèse et en conséquence le moment même de la mue nymphale.

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9.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

10.
Eucelatoria bryani Sabrosky (Diptera: Tachinidae) successfully parasitized 2nd through 5th instars and prepupal Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) in the laboratory. Percent successful parasitism (that which resulted in the production of adult parasitoid progeny) increased with host developmental state, reaching 95% in 5th instars, but fell to 63% in prepupae. While 25% of the exposed prepupae metamorphosed to pupae, none developed into adults. E. bryani maggots emerged from only 5% of H. zea pupae. The mean number of fly puparia and adults produced per successfully parasitized larva increased with host stadium, reaching 14.5±1.33 (SEM) and 10.6±1.02, respectively, in prepupae. The sex ratio of adult parasitoid progeny per host larval stadium was variable, and did not appear to follow a pattern. A formula for calculating a host favorability index is presented. This index allows a direct comparison of the overall impact and reproductive potential of E. bryani attacking hosts of varying developmental states.
Résumé Les influences de l'état de développement de l'hôte sur le taux de parasitisme, la production de descendants, l'émergence des adultes et le taux sexuel de la techinaire E. bryani Sabrosky ont été examinés au laboratoire. Un parasitisme réussi,-qui entraîne la formation d'un parasitoïde adulte-, s'effectue dans les chenilles de stades 2 à 5 et dans les prénymphes d'Heliothis zea Boddie. II s'agit d'un élargissement considérable de la gamme connue des tailles convenables d'hôtes. Bien que le parasitisme n'ait jamais réussi avec les chenilles de premier stade, une très forte mortalité, 93% a été observée quand ces petites chenilles ont été exposées à la tachinaire. Pour permettre l'introduction par le larvipositeur des asticots dans la chenille, la mouche perfore la cuticule de l'hôte avec un sclérite modifié; ainsi, une grande partie de la mortalité est provoquée vraisemblablement par le traumatisme dû au parasitoïde. Le succès du parasitisme a augmenté en fonction du développement de l'hôte du second stade (30%) au cinquième stade (95%), pour tomber à 63% dans les prénymphes. Cependant, aucune des prénymphes exposées aux mouches n'a été capable de donner des papillons.Les production moyennes de pupes et de mouches par chenille effectivement parasitée ont augmenté avec le stade de développement de l'hôte pouratteindre dans les prénymphes respectivement 14,5±1,33 et 10,6±1,02. Le taux sexuel des mouches obtenues a été très variable pour les différents stades de développement des chenilles, sans qu'aucune corrélation ait pu être mise en évidence. Une formule permettant de calculer un indice d'adéquation de l'hôte est proposé. Cet indice permet une comparaison directe des impacts globaux et des potentiels reproducteurs des femelles de E. bryani attaquant des hôtes à différents stades.
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11.
Eggs of Diabrotica virgifera from subtropical Mexico, when compared with those from South Dakota, are more resistant to desiccation and have a more intense diapause. Diapause occurs at the same embryological stage in the two populations and both can be dormant at humidities below 100%. The data suggest that the diapause mechanism evolved in a tropical climate to overcome a dry season and that same mechanism also adapts the species to a temperate climate.
Diapuse chez diabrotica virgifera (Coleoptera: chrysomelidae): comparaison de lévolution des oeufs provenant de populations adaptées au climat tempéré ou au climat subtropical
Résumé La diapause des ufs de Diabrotica virgifera, dans la zone subtropicale du Mexique, est plus intense que celle des ufs des populations du South Dakota, et ces ufs sont en même temps plus résistants à la dessication. La diapause intervient au même stade embryonnaire dans les deux populations et, dans les deux cas, la dormance peut se maintenir pour une humidité relative inférieure à 100%. Les faits observés suggèrent que le mécanisme de la diapause chez Diabrotica virgifera s'est développé sous un climat tropical pour assurer la survie pendant la saison sèche, ce même mécanisme ayant aussi permis à l'espèce de s'adapter à un climat tempéré.
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12.
The activity of the shot-hole borer in gallery construction depends on a number of factors which include the thickness of wood, the type of tea plant, and the presence or absence of bark. In the experiments described in this paper, the influence of each of these factors has been assessed, and analysed statistically. The host plant-pest relationships of the shot-hole borer are discussed based on the above findings and the available literature. A method of rapid clonal testing for borer resistance and/or tolerance which could be carried out conveniently under laboratory conditions is outlined.
Résumé Xyleborus fornicatus préfère les nuds des branches du théier pour installer ses galeries: 77,7% et 74,4% de l'ensemble des galeries sont respectivement trouvées dans les nuds en conditions de laboratoire et en conditions naturelles, qu'il s'agisse de plants issus de graines ou résultant d'une multiplication végétative.Le diamètre moyen préférentiel de la branche pour l'installation des galeries est de 10,3±0,3 cm et 10,2±1,1 cm, respectivement en conditions naturelles et en conditions expérimentales. Le bois jeune est préféré au bois âgé (73,4% des galeries dans le bois jeune dans une épreuve de choix). Xyleborus préfère également les rameaux avec écorce aux rameaux sans écorce (75,6% en faveur des premiers). Ces résultats sont les mêmes pour différents clônes.La technique utilisée dans ces expériences pourrait être utilisée pour tester rapidement en laboratoire la tolérance ou la résistance de certains clônes aux attaques de X. fornicatus. Les méthodes utilisées jusqu'ici en plein champ sur pépinières nécessitent plus de deux ans avant d'obtenir des résultats.Les relations de la plante-hôte et de X. fornicatus sont discutées à la lumière des données acquises en ce domaine pour d'autres Scolytides en diverses régions du monde. Il est suggéré que la recherche de l'hôte et l'installation des galeries par X. fornicatus est basé sur des réactions du type chimioclinotaxies. D'autres recherches doivent être entreprises en ce qui concerne les effets de la teneur en eau du bois sur la sélection de l'hôte et sur la survie des larves.
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13.
Summary 1. The number of damaged lobsters(Homarus americanus) seen aboard commercial moss raking boats varies with the abundance of lobsters on the grounds, but is low in comparison with the numbers known to be damaged.2. Lobster abundance is highest on rough, boulder strewn moss beds, and lowest where beds are smooth.3. Some lobsters are seen to escape from the path of the rake unharmed. The proportion avoiding the rake is lowest on rough grounds, and highest on smooth grounds.4. Examination of rake tracks in heavily raked areas shows that up to 5.2 % of lobsters in the path may be killed by each passage of the rakes.5. Up to 280 lobsters, average size 35 mm carapace length, average value 8 c each, may be killed by one moss raking boat in one day. More lose claws or are wounded.6. Total value of lobsters killed by all rakers in one area is $ 36,000 which is 18 % of landed value of moss or 7 % of lobster landings.7. Some control of moss raking is justified.
Effets de la récolte de «mousse d'Irlande»(Chondrus crispus) sur les homards, dans l'Ile du Prince-Edouard
Extrait Quatre méthodes principales furent utilisées pour évaluer le dommage causé aux stocks de homards par la récolte deChondrus crispus: l'observation depuis les bateaux équipés à cette fin; l'examen, par des plongeurs, des secteurs prospectés et de la densité des peuplements de homards; l'observation sousmarine des rateaux en mouvement et des réactions provoquées sur les homards(Homarus americanus); l'examen des traces creusées par les rateaux et des homards qui s'y trouvaient. Sur les fonds de mousse lisses les peuplements de homards étaient peu denses et les dommages causés par récolte de mousse étaient sans importance. Sur les fonds modérément raboteux l'abondance des homards est estimée à 600 par hectare; approximativement 2 % des homards récoltés sur les traces des rateaux étaient tués à chaque passage. Sur les fonds très raboteux, l'abondance des homards dépassait 1000 par hectare; 5,2 % des homards récoltés sur les traces des rateaux étaient tués. Une récolte intensive de mousse est estimée entraîner la perte de 280 homards par bateau et par jour; il s'y ajoute d'autres dommages, tels que la perte des pinces ou les blessures qui abaissent le taux de croissance et la valeur commerciale. La taille moyenne des homards tués était de 35 mm pour la longueur de la carapace (environ 100 mm de longueur totale); ces homards auraient été commercialement exploitables dans un délai de deux ans, et auraient alors la valeur d'environ 8 «cents» canadiens pièce. La perte totale causée à ces fonds raboteux fut évalué à 36.000 $, somme correspondant à 16–20 % de la valeur de la récolte de mousse, ou à 7 % de la valeur annuelle de la récolte de homards dans ce secteur. Ces chiffres sont suffisamment élevés pour justifier un examen critique des efforts consacrés à la récolte de mousse.
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14.
Bruchidius atrolineatus (Pic) (Bruchidae: Coleoptera) is a bruchid beetle infesting Vigna unguiculata (Walp). During the dry season, adults are in reproductive diapause. Studies of adult populations in a traditional store containing contaminated pods of V. unguiculata show that the reproductive diapause is induced during the first larval instars. The temperature decrease from November to January probably is the main climatic factor inducing this diapause. The percentage of diapausing adults depends on the duration of the larval development at low temperatures. Experiments in climatic boxes confirm these results. At 12 h 25 °T-12 h 20° C 11–13 LD, a high proportion of the adults emerging from the V. unguiculata seeds are in reproductive diapause and the duration of their growth is variable. L1 L2 L3 larvae probably are sensitive stages to the thermal variations and the processes allowing emergence of diapausing adults probably are induced during these larval instars.
Résumé Bruchidius atrolineatus (Pic) est un Coléoptère Bruchidae se développant en zone sahélienne aux dépens d'une légumineuse Vigna unguiculata. Pendant la saison sèche, les adultes sont en diapause reproductrice. Un suivi des populations d'adultes a été réalisé dans un grenier traditionnel en terre séchée contenant des gousses récoltées dans la nature et portant des ufs de B. atrolineatus. Il a permis de constater que la diapause reproductrice était induite durant les premières phases du développement larvaire. La décroissance des températures de Novembre à Janvier avec des minima de 15 ° C et des maxima de 25 °C est probablement le principal facteur permettant l'induction de cette diapause. L'introduction dans le grenier de gousses portant des ufs venant d'être émis à différentes périodes de la saison sèche montre que le pourcentage d'adultes diapausants dépend de la durée du développement larvaire aux températures basses. Des expériences réalisées dans des étuves programmées confirment ces résultats. A 12 h 25 °T/12 h 20 °C 11–13 LD, un taux élevé d'adultes émergeant des graines est en diapause reproductrice et la durée de leur développement post-embryonnaire est très variable. En conditions plus chaudes 12 h 40 °C/12 h 25 °C 11–13 LD, le taux d'adultes diapausants est plus réduit et la durée du développement plus courte. L'analyse de la croissance larvaire montre que les premiers stades larvaires sont probablement des stades sensibles aux variations thermiques. Les modifications physiologiques permettant l'émergence d'adultes diapausants ou sexuellement actifs seraient induites durant ces stades.
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15.
Larval diapause induction in Ephestia cautella (Walker) (Lepidoptera: Pyralidae) is a function of the interaction between genotype and larval crowding. A diapause stock in which 79% of the larvae diapaused under crowded conditions and 40% diapaused under uncrowded conditions was maintained by selection. Outbreeding of adults from this diapause stock to those from a non-diapause stock resulted in 36% diapause under crowded conditions and 6% diapause under uncrowded conditions. The rate of termination of larval diapause is inheritable and temperature dependent. These data seem to explain the seasonal trends in percentage larval diapause among E. cautella infesting citrus pulp during storage.Larval diapause was induced in groups of larvae by crowding in mass cultures and in single larvae by rearing on a small amount of fresh diet or on a larger amount of fresh diet containing residual diet from crowded cultures. The diapause-inducing effects of this residual diet could be removed by extraction with lipid solvents. Some activity was demonstrated when the extract was dried onto fresh diet.
Resume L'induction de la diapause larvaire d'Ephestia cautella (Walker) dépend du génotype et de la densité larvaire.Des croisements à l'intérieur de la souche diapausante donnent 79% de diapause aux fortes densités larvaires et 40% aux faibles densités. Les croisements des adultes de cette souche avec ceux de la souche non-diapausante donnent 36% de diapause aux fortes densités et 6% aux faibles densités. La fréquence de fin de diapause est héréditaire et dépend de la température. Ces résultats peuvent expliquer les variations saisonnières du taux de diapause E. cautella dans la pulpe de citron stockée.La diapause larvaire a été induite chez des groupes de chenilles par surpeuplement dans des élevages standards, et chez des chenilles isolées par élevage sur une quantité limitée d'aliments frais ou sur une quantité abondante d'aliments frais contenant des résidus alimentaires provenent d'élevages surpeuplés. Les effets inducteurs de ces résidus alimentaires disparaissent après extraction avec les solvants de lipides. Une certaine action est observée par de l'extraint sec sur de l'aliment frais.
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16.
Although the first two instars tend to eat the silks, last instar larvae of the corn earworm, Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae), prefer to feed on the kernels rather than on the other components of the maize ear. They feed preferentially on the germ of the kernel, but when offered whole kernels also eat some of the endosperm. Larvae that eat cut portions of the kernels that include all of the germ and some endosperm utilize their food for growth more efficiently than do larvae that eat portions of the kernel that include only endosperm. Adults that ate germ portions or endosperm portions of the kernel as larvae do not differ significantly in longevity, number of days on which they oviposit, number of eggs laid per day or the percentage of the eggs that hatched. We suggest that the larvae use self-selection to increase their intake of germ, thus increasing utilization efficiency and decreasing the amount of food that they must eat. When they feed on plants (other than maize) with small fruits, this probably increases their ability to compete for food when it is scarce and minimizes exposure to predation by decreasing the number of foraging trips and the distance that they must travel in search of food.
Résumé Bien que les deux premiers stades larvaires d'H. zea (Lepid.: Noctuidae) tendent à consommer les soies, les trois derniers stades préfèrent les grains aux autres parties de l'épi de maïs. La chenille du dernier stade consomme de préférence le germe du grain, mais quand on lui offre l'ensemble du grain, elle consomme aussi une partie de l'albumen. Les chenilles qui coupent des morceaux du grain comprenant la totalité du germe et une fraction d'albumen ont une alimentation permettant une croissance plus efficace que les chenilles qui consomment des portions de grain ne contenant que de l'albumen. Ainsi, les chenilles qui mangent des fractions de germe ont besoin de consommer moins, pour atteindre le même poids que les chenilles qui consomment des morceaux d'albumen. Les longévités, les nombres de jours de ponte, les fécondités quotidiennes et les fertilités des oeufs sont les mêmes pour les papillons provenant des chenilles ayant consomme des morceaux de germe ou des morceaux d'albumien. L'albumen seul est un aliment suboptimal, et H. zea pourrait théoriquement améliorer ultérieurement son régime en mangeant plus de germes. Nous estimons que ceci ne serait pas rentable puisque la durée des stades devrait être prolongée et que la manutention et les rejets d'albumen devraient être accrus. H. zea se serait adapté à une solution de compromis pour l'optimalisation du régime alimentaire. Il réduit le temps de récolte et perd en efficacité en consommant de l'albumin suboptimal; mais il regagne autant que possible en efficacité en mangenat le germe de pratiquement tous les grains attaqués. Cette augmentation de l'efficacité diminue la quantité d'aliments qui doit être ingéré, et fournit un potentiel adaptatif quand les chenilles consomment des plantes (autres que le maïs) avec des petits fruits. L'exposition à la prédation est réduite, puisque la distance parcourue pour la recherche des fruits est diminuée.
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17.
A method of field application of strontium chloride (SrCl2) and the assessment of local dispersal of marked Helicoverpa armigera moths in a mark-capture experiment in southern India are described. A 1.7 ha field of pigeonpea sustaining a population of approximately 400,000 larvae was treated with a single application of SrCl2 plus surfactant at 10 kg/ha, using a motorised high volume sprayer. An estimated 50,400 moths emerging over a 20 day period were unequivocally marked with Sr at a marking efficiency of 55%. Catches of moths in an array of 14 battery operated light traps and 29 pheromone traps, up to 3.5 km distant were analysed by atomic absorption spectrophotometry. Low recaptures of marked moths (7%) in the treated field suggested the rapid exodus of emergent moths, even while the crop remained attractive, and their dilution or replacement by immigrants. The distribution of marked moths in lights and pheromone traps is consistent with a predominantly downwind dispersal close to the ground during the early part of the night and more random movement later on.
Résumé L'exposé concerne une méthode de traitement en champ des chenilles par le chlorure de strontium (SrCl2) et de la mesure de la dispersion locale des papillons marqués de H. armigera Hübner (Lépido.: Noctuida) dans le sud de l'Inde. Un champ de 1,7 ha de C. cajan (cultivar ICPL138) qui hébergeait une population d'environ 400 000 chenilles a été traité en une seule fois avec un pulvérisateur motorisé de forte capacité à raison de 10 kg/ha de SrCl2 additionné de 0,1% Triton X-100 comme surfactant. 55% des 50 400 papillons émergeant sur une période de 20 jours étaient sans ambiguïté marqués au strontium. Les papillons, capturés dans des rangées de 14 pièges lumineux et 33 pièges à phéromones attractifs jusqu'à 3,5 km, ont été examinés au spectrophotomètre à absorption atomique. Les faibles recapturés (7%) dans le champ traité suggèrent un rapide exode des mouches ayant émergé ou leur remplacement par des immigrants. Les captures révèlent, au début de la nuit, une dispersion majoritairement dans le sens du vent, près du sol et, plus tard dans la nuit, un mouvement plus au hasard.
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18.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

19.
Larvae of the Southern armyworm Spodoptera eridania Cramer (Lepidoptera:Noctuidae), feeding on perennial ryegrasses (Lolium perenne L.) infected with an endophytic fungus (Acremonium loliae Latch, Christensen and Samuels), had a much lower survival rate (7–13%) than larvae feeding on endophyte-free ryegrasses (82–90%). Death of the larvae on endophyte-infected entries occurred rapidly between 144 h and 168 h of feeding. This corresponded with armyworms feeding on the base of the plant, where endophyte concentration is highest. Twenty-four hours after the start of the bioassay the larval mass and rate of larval development were significantly higher on endophytic entries. From 48–144 h no differences were seen, but after 144 h the mass of larvae on endophyte-infected grasses sharply declined. Observations from this bioassay further substantiate the association between A. loliae-infected ryegrass and antibiosis to several lepidopterous and coleopterous insect pests.
Résumé Le ray-grass vivace (Lolium perenne), contaminé par le champignon endophyte Acremonium loliae Latch, Christensen & Samuels, a présenté une augmentation de la resistance à de nombreux coléoptères et lépidoptères nuisibles. Cette note examine les réactions de Spodoptera eridania Cramer (Lépido., Noctuidae) alimenté sur trois lignées de ray-grass contaminées par le champignon et trois lignées saines. Après 168 h d'alimentation sur ray-grass contaminé, les chenilles presentent une très forte mortalité; la survie n'est que de 7 à 13% contre 82 à 90% pour le ray-grass sain. Le décès brutal des chenilles correspond à leur alimentation sur la base de la plante ou la concentration du champignon est la plus forte. Les chenilles consomment constamment, broutant plus des 2/3 du feuillage du ray-grass; les broutements des six séries ne différaient pas significativement.Au bout de 24 h, la nombre de chenilles passées du 3ème au 4ème stade, et l'augmentation de poids sont plus élevés pour les séries sur plante contaminée, ce qui suggère un avantage initial pour les chenilles en présence de champignon endophyte, l'analyse en poids sec a montré que l'augmentation de poids initial est réel. Entre 48 et 144 h, cependant, le nombre de 4ème stade et le poids des chenilles sont les mêmes dans les deux séries. Après 144 h, le poids des chenilles sur ray-grass contaminé diminue significativement; aucune n'était parvenue au 5ème stade, contre 11% sur ray-grass sain. Nous n'avons pas observé de signes apparents de neurotoxicité. Au lieu de cela, il ya a eu interaction avec un processus physiologique fondamental, ce qui a provoqué une forte perte de poids larvaire et la mort, indiquant l'intervention d'inhibiteurs métaboliques.
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20.
General observations of the behavioural effects of sublethal doses of the fomamidine pesticide chlordimeform (CDM) on saturniid larvae led to a detailed investigation of the disruption of proleg clasping caused by CDM in Philosamia cynthia ricini Hutt. (Castor Silk Moth) larvae. Subjects received doses ranging from 5.09×10–3 to 19.3 g/g body weight. Doses above 0.15 g/g caused uncoordinated movements of the legs which led to reductions in the effective grip on the substrate. Greatest interference was recorded in the prolegs. The effects were reversible. Significance of these results is discussed in relation to their possible role in crop protection mechanisms. In investigating the degree of specificity of the observed effects as a mode of insecticidal action, larvae were treated with a pyrethroid compound, cypermethrin. Doses ranging from 0.002 to 0.842 g/g resulted in reduction in the times the larvae spent firmly attached to the substrate. It is concluded that this is a consequence of an overall excitation caused by the insecticide, displayed as a number of described irritant behaviours, rather than any specific disruption of proleg action.
Résumé Des doses sublétales de chlordiméforme (CDM), insecticide formamidine, injectées dans des chenilles de Saturniidae, provoquent divers effets comportementaux. Ceux-ci comprennent l'arrêt de l'alimentation, l'augmentation du taux de locomotion, une hyperactivité générale de la tête et de ses appendices, et des mouvements désordonnés des pattes; Une conséquence de ce dernier effet est une réduction de l'étreinte réelle du substrat par les chenilles. Il a été étudié en détail sur les chenilles de cinquième stade de Philosamia cynthia ricini. Pour toute une gamme de doses, les effets les plus nets ont été observés sur les fausses pattes. Ils on été évalués par une série d'observations continues de chenilles placées sur une baquette de bois, permettant d'observer clairement le comportement d'étreinte. Les effet étaient réversibles.Des comparaisons ont été réalisées en utilisant la cyperméthrine, insecticide pyréthroïde. Les chenilles traitées ont présenté un certain nombre de comportements d'irritation, mais aucune réponse spécifique d'étreinte n'a été notée.La discussion de ces résultats examine les possibilités d'action de CDM dans la nature. Compte tenu de l'importance jouée par les fausses pattes dans le maintien sur la plante, on peut envisager que la suppression de l'étreinte peut entraîner une protection efficace des cultures.
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