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1.
Variations in the amounts of sucrose, starch, lipid, and lipid with different amounts of fatty acids affect the amount of triglycerides and the composition of fatty acids found in the lipids of adult boll weevils, Anthonomus grandis Boheman (Coleoptera: Curculionidae). Artificial diets that contained 4% or 8% starch, 2% starch plus 2% sucrose, 4% starch plus 4% sucrose, 4% sucrose plus 4% Alphacel®, and 4, 8, or 12% sucrose with 0.1% lipid were used as larval and adult diets for the boll weevil. Soybean, peanut, and linseed oils at 0.1% and 0.5% were incorporated into diets for the weevil.Lipids were extracted from the diet and from the weevils, and the percent lipid, percent triglyceride, and composition of the fatty acids in the lipids were determined. The amount of lipids and triglycerides were greatest on diets with 4% or more sucrose. The amount and type of carbohydrate had a significant effect on relative fatty acid content of the weevil; for example, 4% starch diets produced 8.9%, 0.5, 11.1, 30.0, 26.5, and 20.8% of palmitic, palmitoleic, stearic, oleic, linoleic, and linolenic acids, respectively; diets with 12% sucrose produced 21.7, 8.4, 6.7, 58.8, 1.8, and 2.2% of palmitic, palmitoleic, stearic, oleic, linoleic, and linolenic acids, respectively. Diets with increased percentages of surcrose produced weevils with lowered percentages of linoleic and linolenic acids.
Résumé La teneur en triglycérides et la composition des acides gras des adultes d'Anthonomus grandis sont affectées par les taux d'amidon, de sucrose, de lipide et le taux d'acides gras des lipides des aliments.Les larves et les adultes ont été nourris sur régimes artificiels contenant 4% ou 8% d'amidon, 2% d'amidon et 2% de sucrose, 4% d'amidon et 4% de sucrose, 4% de sucrose et 4% d'alphacel, et enfin 4%, 8% et 12% de sucrose avec 0.1% de lipide.Des huiles de soja, d'arachide et de graine de lin à 0.1% et 0.5% ont été incorporées dans les aliments de A. grandis.Les lipides, les triglycérides, les acides gras des lipides des régimes alimentaires et des insectes ont été dosés. Les teneurs en lipides et triglycérides sont plus élevées avec des régimes contenant 4% ou plus de sucrose. Le taux et la nature de l'hydrate de carbone ont une influence significative sur la teneur relative en acide gras de l'insecte; par exemple des régimes à 4% d'amidon induisent respectivement des teneurs en acides palmitique, palmitoléique, stéarique, oléique, linoléique et linolénique de 8,9%; 0,5; 11,1; 30,0; 26,5 et 20,8%; tandis que des régimes avec 12% de sucrose donnent 21,7; 8,4; 6,7; 58,8; 1,8 et 2,2% pour les mêmes acides gras.Des régimes avec des teneurs croissantes en sucrose produisent des insectes avec des taux degressifs d'acides linoléique et linolénique.
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2.
Résumé Des femelles alimentées d'une souche francaise de bruche du haricot, fécondées peu après leur émergence, ne sont mises en présence des grains de la plante-hôte qu'après un délai plus ou moins long: jusqu'à 50 jours de délai, la stimulation de la production ovarienne est aussi forte que chez les femelles mises avec des grains dès la copulation, mais la proportion d'oeufs émis est plus faible.D'autre part, à âge identique, les effets de la stimulation de la production ovarienne sont plus marqués lorsqu'il y a retard simultané de la fécondation et de la présence des grains que lorsque celle-ci est retardée par rapport à la fécondation.Ce n'est pas chez les femelles les plus jeunes que les effects de la stimulation combinée et simultanée de la production ovarienne sont les plus importants, mais chez des femelles âgées de 20 à 30 jours. Cet âge correspond à la fin de la période de mâturation du stock de base d'ovocytes formés à partir du corps gras, mâturation qui s'effectue de toute façon, même en absence de tout stimulus externe.
Regulation of egg production in Acanthoscelides obtectus (Coleoptera: Bruchudae): The change in stimulating effect of grain of females of different ages
Summary Females from a French strain of Acanthoscelides obtectus were mated soon after emergence, and after various lengths of time presented with host plant seeds. Even after a deley of 50 days, stimulation of the ovaries occurred as it did when females were presented with seeds as soon as copulation took place, but fewer eggs were produced. For insects of similar age, the stimulating effect of the seeds was greater if they were present when the females were first mated, than if they were presented after a delay. The stimulating effects were greatest in females aged between 20 and 30 days. This age corresponds to the end of the maturation period of the initial stock of ovocytes. This maturation would normally occur even in the absence of external stimuli.
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3.
The patterns of flight activity of adult Distantiella theobroma were recorded in an actograph placed in the field. Flight activity of virgin females showed a non-linear increase with age, was highest around mid-day and related to sex attraction behaviour. Mated females and males both showed sharp peaks of activity in the late afternoons. Male flight was depressed by low light intensities and all activity declined with falling light intensity in the evenings and ceased entirely during the hours of darkness.
Résumé Un appareil a été conçu pour enregistrer l'activité de vol dans les conditions naturelles et a été utilisé pour étudier le comportement des mâles et des femelles de D. theobroma, aux diverses phases de leur vie imaginale.L'activité de vol de D. theobroma eest exclusivement diurne. Les femelles restent relativement inactives pendant les premiers trois jours de leur vie imaginale. Après le début de maturité et bien que non encore accouplées, on note un accroissement de leur activité qui est maximum vers le milieu du jour, mais s'atténue pendant la fin de l'après-midi, alors qu'elles manifestent un comportement d'appel et se révèlent attractives pour les mâles.Les femelles qui se sont accouplées montrent un début d'activité tôt le matin et qui s'accroît pour atteindre un pic bien marqué en fin de l'après-midi, pour décliner ensuite avec la baisse de l'intensité lumineuse. L'activité des mâles commence plus tard et atteint son maximum vers 16h30. Ceci coïncide avec le moment où le plus grand nombre de femelles manifestent un comportement d'appel. Le vol des mâles n'apparaît qu'au-dessus d'un certain seuil d'intensité lumineuse et est inhibé par la pluie.Le changement avec l'âge de l'activité des femelles vierges présente des modalités caractéristiques qui se révèlent concorder avec les variations du nombre de mâles attirés par les femelles vierges de différents âges.


This work was done as part of the programme of the International Capsid Research Team which was sponsored by the International Office of Cocoa and Chocolate.  相似文献   

4.
Pour rechercher son partenaire sexuel Zabrotes subfasciatus doit utiliser les signaux olfactifs émis soit par les mâles ou par les femelles. Le pouvoir attractif de l'odeur des mâles et des femelles sont donc étudiés et comparés par olfactométrie. Le comportement de mâles et de femelles vierges et inséminées, mis en contact des graines de la plante hôte ou non, est observé en fonction de l'âge des imagos. En aucun cas, les odeurs des mâles n'exercent une attraction sur les femelles. Les femelles vierges en absence de graines de haricot (Phaseolus vulgaris) n'exercent pas d'attraction sur les mâles vierges. Par contre les odeurs des femelles vierges mises en contact avec les graines de haricot sont très attractives pour les mâles vierges et varie en fonction de l'âge: il est plus affirmé chez les femelles plus âgées. L'émission de la phéromone sexuelle est interrompue après l'insémination des femelles mais reprend au bout d'un certain temps après celle-ci.  相似文献   

5.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
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6.
Les concentrations en acides gras totaux de deux Diptères Tachinaires, dont l'un élevé sur deux hôtes différents et un milieu artificiel, ne sont que peu influencés par la composition et la concentration en acides gras totaux des aliments. Par contre, le spectre d'acides gras de l'hôte a une influence profonde sur celui du parasitoïde. Cependant, le profil des acides gras des parasitoïdes n'est pas une simple copie de celui de son hôte: les Tachinaires apparaissent capables de le modifier dans certaines proportions vers un profil propre, qu'elles ne peuvent pas toujours atteindre.
Summary The total fatty acid composition of two tachinid flies is studied, one of which is reared on two different hosts and one on an artificial medium.The fatty acid profile of the hosts greatly influences that of the parasites, but the fatty acid concentration of the hosts has no influence on that of the parasites.However, the fatty acid patterns of the parasites is not a true duplication of the hosts': the tachinids seem to be able to modify the pattern more or less towards their own characteristic one which cannot always be attained.


Avec la collaboration technique de Madeleine Dubois.  相似文献   

7.
The vast majority of females of the Old World screw-worm fly, Chrysomya bezziana Villeneuve (Diptera: Calliphoridae), from field populations and from normally maintained laboratory cultures are autogenous. Anautogenous C. bezziana females which are smaller in size are produced when the larval feeding period is curtailed. Autogenous and anautogenous C. bezziana were compared with reference to abdominal larval fat body (LFB), ovarian development and protein relationships. At emergence, autogenous C. bezziana have larger amounts of LFB relative to body size than anautogenous C. bezziana. Volume of LFB is directly correlated with body size in females showing autogeny but there is no correlation with size in females in the anautogenous size classes. Males and females of equal sizes have the same volume of LFB and their rates of LFB depletion are similar and temperature-dependent. In autogenous females, about 70% of the LFB disappears before vitellogenesis begins. LFB disappears more rapidly in smaller flies. In anautogenous C. bezziana females, access to a source of protein from the time of adult emergence reduced the rate of LFB depletion, but in autogenous flies the depletion rate is not affected by diet.LFB protein accounts for about 24% of total protein in newly emerged autogenous females of C. bezziana. The protein content of the mature ovaries of non-protein-fed wild C. bezziana is 85% of that of the original LFB protein. Non-protein-fed anautogenous C. bezziana of the same age have negligible quantities of ovary protein.
Résumé Les femelles provenant de populations naturelles ou d'élevages traditionnels en laboratoire de la mouche Chrysomya bezziana sont en large majorité autogènes. Des femelles de C. bezziana non-autogènes et de taille réduite sont obtenues lorsque la durée de l'alimentation larvaire est abrégée. Les relations entre corps gras abdominal des larves (CGL = LFB dans le texte anglais), développement ovarien et réserves protéiniques ont été comparées chez les femelles autogènes et non-autogènes. A l'émergence, les femelles autogènes ont un CGL rapporté au poids corporel plus abondant que les femelles non-autogènes. Le volume du CGL est en relation directe avec la taille des femelles autogènes, mais cette corrélation ne se vérifie pas chez les femelles non-autogènes. A taille égale, mâles et femelles ont un volume égal de CGL, lequel s'épuise à la même vitesse, dépendant de la température. Chez les femelles autogènes, 70% environ du CGL disparaît avant le début de la vitellogenèse. Le CGL décroît plus rapidement ches les mouches de petite taille. Chez les femelles autogènes, le taux d'utilisation du CGL n'est past affecté par l'alimentation; chez les femelles non-autogènes en revanche, l'accès à une source de protéines après émergence des adultes réduit le taux d'utilisation du CGL.Les protéines provenant du CGL représentent quelque 24% du total des protéines ches les femelles autogènes fraîchement émergées. Chez C. bezziana, prélevé dans des populations naturelles et n'ayant pas reçu d'appoint en protéines, les ovaires mûrs contiennent 82% des protéines du CGL d'origine. Au même âge, les femelles non-autogènes n'ayant reçu aucun appoint en protéines ont des quantités insignifiantes de protéines ovariennes.
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8.
The influence of odours of fresh larval rearing medium and of con-specific adult males and females on the distribution of eggs laid by E. cautella, was studied in choice experiments. Odours of larval rearing medium localised oviposition in the vicinity of the medium. Airborne stimuli from pairs of con-specific males and females exerted a similar influence. The strength of the response of ovipositing females increased linearly with a logarithmic increase in the number of con-specific paris.Odours from adult males exerted a major influence in this response to pairs, although airborne stimuli from females may have played a minor role. Positive responses were obtained to odours from methylene chloride extracts of the wings and genitalia of males, but not to extracts of the rest of the body of males, or to female body parts.This response of ovipositing females is discussed briefly in relation both to its possible biological function and to the control of E. cautella.
Influence de stimuli odorants issus des adultes d'ephestia cautella, et véhiculés par l'air, sur le comportement de ponte de cette espéce

Résumé L'influence des odeurs propres d'un milieu d'élevage larvaire et celle des odeurs émises par les adultes de chaque sexe de même espèce, sur le choix du substrat de ponte des femelles d'E. cautella, ont été étudiées expérimentalement. Il est reconnu que les odeurs sui-generis du milieu d'élevage larvaire provoquent la ponte dans le voisinage immédiat de ce milieu; une influence analogue est mise en évidence, des stimuli odorants issus des mâles ou des femelles de cette même espèce. La réponse positive des femelles pondeuses s'accroît de façon linéaire et en fonction logarithmique avec le nombre de couples en présence (Fig. 1).Les odeurs émises par les mâles adultes exercent une influence prépondérante, bien que les mêmes stimuli issus des femelles puissent jouer un rôle mineur. Des réponses positives sont obtenues à partir d'extraits d'ailes et de genitalia mâles dans le chlorure de méthylène; les autres parties du corps du mâle ne sont pas attractives, de même que les extraits du corps des femelles.Cette réponse des femelles d'E. cautella, dans leur comportement de ponte, est discutée quant à sa signification biologique, mais aussi en vue d'une orientation plus localisée et plus efficace de la lutte contre cet insecte, dans les entrepôts de grains ou farine.
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9.
Labotatory mosquitos are commonly maintained using larval media based on crude food materials such as powdered animal chows, dried yeast, liver powder, etc. Males of Culex tarsalis so reared for use in studies of sterile male control methods proved unsuccessful in competition for mates against wild males in the field, even if tested after one generation of laboratory rearing. Such laboratory-reared adults had much lower levels of an essential fatty acid, eicosapentaenoic acid (EPA) than wild C. tarsalis adults from the sterile-male-control experimental sites. Hypothesizing that suboptimal essential fatty acid status might reduce adult vigor, we attempted to raise levels of EPA in tissues of laboratory-reared C. tarsalis by supplementing the larval food mixture with fish oils, which are rich sources of EPA and related n3 polyunsaturated fatty acids. Supplementation with codliver oil doubled tissue phospholipid EPA levels compared with unsupplemented controls, and a proprietary fish oil, Walgreen EPA 500, trebled the level, as high as for wild adults. Oil-supplemented diets improved growth, as judged by bigger pupae and increased female adult longevity, and flight mill studies provided some evidence that improved EPA status improved flight. Although the phenotypic contribution to mating inferiority of laboratory-reared mosquitos remains unclear, this work illustrates how an apparently satisfactory stock rearing regimen may be cryptically suboptimal with respect to an essential nutrient.
Résumé Les souches de laboratoire de moustiques sont généralement conservées en utilisant un régime larvaire brut tel que pâtée pour animaux domestiques, levure desséchée, poudre de foie, etc. Les mâles de C. tarsalis élevés de la sorte se sont révélés défavorisés dans la compétition sexuelle avec des mâles sauvages dans la nature, lors d'expériences sur l'utilisation de mâles stériles dans la lutte contre les moustiques, même si la compétition a eu lieu après un seul cycle larvaire en élevage au laboratoire. Les adultes provenant de ces élevages avaient une teneur en acide eicosapentaenoique (EPA),-acide gras essentiel-, beaucoup plus faible que les adultes provenant de la nature. En envisageant qu'une teneur suboptimale en acides gras essentiels pouvait diminuer la vigueur des adultes, nous avons tenté d'augmenter la teneur en EPA des tissus de C. tarsalis élevés au laboratoire en complétant le régime avec des huiles de poisson qui sont riches en EPA et en acides gras polyinsaturés n3 apparentés. L'addition d'huile de foie de moure double la teneur des tissus en phospholipides EPA par rapport aux témoins, et la spécialité Walgreen EPA 500, triple la teneur en EPA, la mettant au niveau des adultes de la nature. Les régimes complétés en huile ont amélioré la croissance (pupes plus grosses et longévité des femelles accrue), et quelques études en moulin à vol ont montré que l'amélioration de la teneur en EPA modifiait les caractéristiques du vol. Bien que ce travail n'ait pas permis de clarifier la part phénotypique de l'infériorité des mâles des moustiques élevés au laboratoire, son intérêt général a été de montrer comment un régime apparemment satisfaisant peut être en réalité suboptimal en ce qui concerne un aliment essentiel.
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10.
An investigation on localization of the pheromone-producing gland in female Trogoderma granarium was accomplished using two methods: a) search for site of excretion by use of behavioural attraction tests, and b) histological investigation of the suspect area found in a). From the results obtained in a series of attraction tests we concluded that: 1) The eggs of T. granarium bear the attractive odour; 2) This odour is not excreted from the ovipositor; 3) The site of excretion could be related to the last externally visible abdominal segment. This was shown by covering the tip of the abdomen of females with diluted laquer (itself not attractive for the beetles) which prevented excretion of the pheromone; 4) The intensity of pheromone excretion differed in beetles of various ages.A histological study of the female abdomen revealed that the epithelium of the ventral intersegmental fold between the 5th. and 6th. abdominal sternites is composed of thick columnar cells with relatively large nuclei and a granulated cytoplasm. The latter appeared shrunken and atrophied in older beetles. The histological data suggest that the above intersegmental fold serves as a multicellular gland excreting the pheromone. This conclusion is in agreement with the data obtained from attraction tests.
Résumé La localisation de la glande productrice de phéromone chez la femelle de Trogoderma granarium a été recherchée selon deux méthodes: a) recherche du lieu de l'excrétion par l'emploi de tests basés sur le comportement d'attraction; b) examen histologique de la région suspectée, d'après les résultats précédents.Nous avons conclu d'après les résultats obtenus dans une série de tests d'attractivité que: 1) les ufs de T. granarium sont porteurs d'une odeur attractive; 2) cette odeur ne provient pas de l'ovipositeur; 3) on peut localiser le lieu de production de cette odeur au dernier segment abdominal visible extérieurement. Ce point a été démontré en recouvrant l'extrémité de l'abdomen des femelles d'un vernis dilué (lui-même non-attractif pour les insectes) qui empêche l'excrétion de la phéromone; 4) l'intensité de l'excrétion de la phéromone varie avec l'âge des insectes.Une étude histologique de l'abdomen de la femelle révèle que l'épithélium du repli intersegmentaire ventral compris entre le 5ème et le 6ème sternite abdominal est formé de hautes cellules cylindriques, avec un noyau relativement grand et un cytoplasme granuleux. Ce dernier apparaît réduit et contracté chez les insectes plus âgés.Les données histologiques suggèrent que ce repli intersegmentaire fait office d'une glande multicellulaire sécrétrice de la phéromone. Cette conclusion est en accord avec les résultats obtenus au cours des tests d'attraction.
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11.
The fatty acid composition of human subcutaneous fat obtained at a hospital in the north of Japan, was determined by means of gas chromatography. In the fat of chest and abdominal walls percentages of saturated fatty acids were higher and those of mono-unsaturated ones were less in comparison with respective values in the fat of forearm and leg. The unsaturation of the fat of extremities was more pronounced in the winter than in the summer, while no seasonal variations were observed in the fatty acid composition of the fat of trunk.
Zusammenfassung Die Verteilung der Fettsäuren im subcutanen Fett des Menschen wurde gaschromatographisch bestimmt. Die Fettproben wurden in einer Klinik im Norden Japans bei Operationen entnommen. Der prozentuale Anteil an gesättigten Fettsäuren war höher im Fett der Brust und Bauchwand und der an einfach ungesättigten Fettsäuren im Fett des Vorderarms und Beines. Die Anreicherung ungesättigter Fettsäuren in den Extremitäten war im Winter ausgeprägter als im Sommer. In der Zusammensetzung der Fett des Rumpfes fehlte eine jahreszeitenabhängige Variation.

Resume Par analyse chromatographique des gaz, on a déterminé la répartition des acides gras dans les tissus adipeux sous-cutanés de l'homme. Les échantillons de graisse ont été prélevés lors d'opérations dans une clinique du nord du Japon. La proportion d'acides gras saturés était plus élevée dans la graisse de la poitrine et du ventre, alors que les acides gras mono-nonsatures l'emportaient dans l'avant-bras et dans les jambes. L'accumulation d'acides gras non saturés dans les extrémités était plus accentuée en hiver qu'en été. On n'a par contre pas pu établir de relation saisonnière dans la composition de la graisse du tronc.
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12.
Groups of females of Glossina austeni and G. morsitans morsitans fed on rabbits with 75 ppm sulphaquinoxaline and 7.5 ppm pyrimethamine in their diets had markedly lower fecundity than other groups fed on rabbits supplied with additive-free diets. There was little effect on the longevity of female flies. Females of G. austeni produced normal numbers of puparia for one reproductive cycle, large numbers of aborted larvae in succeeding reproductive cycles and many females eventually became sterile. The effect on G. m. morsitans was less marked but when the dose rate of the additives in the rabbit diet was quadrupled this species also showed greatly reduced fecundity, with no effect on longevity. In G. austeni, those puparia which were produced in later reproductive cycles were lighter and less viable than those produced in the first cycle.It is concluded that the toxicant in the rabbit diet was sulphaquinoxaline acting as a systemic insecticide but, at these low dose rates, at a sub-lethal level. The possible mode of action of sulphaquinoxaline and the significance of the results for the laboratory rearing of haematophagous arthropods are discussed.
Résumé Des groupes de femelles de Glossina austeni et Gl. morsitans morsitans sont nourris sur des lapins, euxmêmes alimentés avec des aliments artificiels de type commercial, qui ont été ou non additionnés de composés chimiques coccidiostatiques, soit 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm de pyrimethamine. Quand les glossines sont nourries sur des lapins ayant reçu l'aliment additionné des substances coccidiostatiques, la fécondité de G. austeni (en termes de production de pupes viables par femelle) est réduite de façon nette, bien que la longévité demeure inaffectée; G. m. morsitans se révèle moins sévèrement touchée.Dans les expériences conçues pour étudier l'effet de la sulfaquinoxaline et de la pyrimethamine, les lapins reçoivent un aliment en poudre auquel sont ajoutées des quantités appropriées de ces substances. Des groupes de femelles de G. austeni nourries sur des lapins ayant reçu un aliment contenant 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm pyrimethamine se reproduisent normalement pendant un premier cycle reproducteur, après quoi elles engendrent un grand nombre de larves avortées et beaucoup de femelles deviennent éventuellement stériles. Les pupes produites par G. austeni au cours des cycles reproducteurs plus tardifs sont plus légères et moins viables que celles produites lors du ler cycle. Quand le taux des composés coccidiostatiques est quadruplé dans l'aliment des lapins, la fécondité de Gl. m. morsitans est aussi fortement réduite, sans effet sur la longévité. Quand Gl. morsitans est alimentée artificiellement sur du sang contenant 75 et 300 ppm. de sulfaquinoxaline, la fécondité des femelles est sérieusement réduite. Aucune différence ne se décèle quant aux effets relatifs de ces deux doses du composé coccidiostatique; il est possible que les mouches en absorbent une même petite quantité dans les deux cas, en raison de la faible solubilité du produit, qui n'est soluble que dans des solutions alcalines. La sulfaquinoxaline, aux faibles doses absorbées agit comme un insecticide systémique à des doses sub-létales. Ce coccidiostatique peut agir en interférant avec le métabolisme du folate au niveau des ovaires; les effets sur la fécondité deviennent progressivement plus marqués chez les femelles âgées et chez celles qui ont cessé de se reproduire on observe des ovaires atrophiés.L' incidence de ces faits sur les conditions d'élevage des Glossines, et d'autres arthropodes hématophages, est discuté.
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13.
Résumé Après injection de cystéine S35, les cellules A, B, C et les neurones banaux de la pars intercerebralis chez Locusta (femelles immatures et mûres) sont radioactifs. Le taux d' incorporation de la cystéine S35 dans les cellules B est identique chez toutes les femelles et il est légèrement supérieur à celui des neurones banaux. Ces résultats confirment l'inactivité sécrétoire protéique des cellules B. Les cellules C incorporent 3 à 5 fois plus de cystéine S35 que les neurones banaux. Elles synthétisent donc une ou plusieurs protéines contenant de la cystéine ce qui réaffirme leur activité neurosécrétrice chez Locusta. Les cellules A possèdent le taux d'incorporation de cystéine S35 le plus élevé: 5 à 8 fois celui des neurones banaux.Chez toutes les femelles, les cellules A synthétisent plus de neurosécrétion et en éliminent proportionellement plus que les cellules C. La neurosécrétion A est élaborée sous sa forme figurée plus rapidement (30 min) que la neurosécrétion C (60 min). Le renouvellement de la neurosécrétion A est donc quantitativement plus important et plus rapide que celui de la neurosécrétion C. Chez les femelles immatures, les cellules A et C synthétisent plus de matériel et en éliminent proportionnellement plus que chez les femelles mûres. Le temps nécessaire à l'élaboration et à la vidange des grains de neurosécrétion A est identique chez toutes les femelles. Il en est de même pour le matériel C. Le renouvellement des neurosécrétions A et C est donc plus important chez les femelles immatures que chez les femelles mûres mais il n'est pas plus rapide. L'accumulation du matériel fuchsinophile dans les cellules A et C lors de la maturation ovarienne correspond à une réduction de leur fonction neurosécrétrice: elle résulte d'une diminution de l'activité d'élimination des cellules neurosécrétrices A et C supérieure à l'affaiblissement de leur activité de synthèse.
Evolution of the radioactivity of the neurosecretory cells of pars intercerebralis in Locusta migratoria migratorioides (insect orthoptera) after injection of 35S-cysteineAn autoradiographic study by optical and electronic microscopy
Summary After injection of 35S-cysteine, the A, B, C cells and the ordinary neurones of pars intercerebralis in Locusta — immature and mature females — are radioactive. The rate of incorporation of 35S-cysteine into the B cells is the same for all the females, and it is slightly higher than the rate of incorporation of 35S-cysteine into the ordinary neurones. These results demonstrate the proteinic secretory inactivity of the B cells. The C cells incorporate 3 to 5 times more 35S-cysteine than ordinary neurones. Thus, the C cells synthesize one protein or several proteins with cysteine; this observation confirms their neurosecretory activity in Locusta. The A cells have the highest rate of incorporation of 35S-cysteine: 5 to 8 times the one of ordinary neurones.In all the females, the A cells produce and release proportionally more neurosecretion than the C cells. The production of granules is faster in A cells (30 min) than in C cells (60 min). The turnover of the A neurosecretion is consequently higher and quicker than the C neurosecretion. In immature females, the A and C cells synthesize and release proportionally more material than in mature females. The time necessary for production and release of the A neurosecretion is the same for all the females. It is so for the C material. The turnover of the A and C neurosecretions is thus more important in immature females than in mature females but it is not more rapid. The accumulation of stainable neurosecretory material in A and C cells at the time of ovarian maturation is associated with a reduction of their neurosecretory activity: it is due to a decrease of the rate of release of the A and C cells being more important than their rate of production.
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14.
The majority of wild and laboratory-reared Chrysomya bezziana Villeneuve (Diptera: Calliphoridae) are autogenous, maturing their ovaries during the first ovarian cycle in the absence of external sources of protein. Very few females mature all their oocytes however, resorption occurring in approximately 30% of oocytes if protein is not available and 10% when protein is ingested. Protein-fed flies produce larger eggs than protein-deprived ones. Females which are underfed as larvae are small and anautogenous, requiring external sources of protein to mature their ovaries. Protein-fed autogenous and anautogenous females mature a similar proportion of oocytes. During the second and subsequent ovarian cycles C. bezziana females are physiologically anautogenous although ad lib. protein feeding during the first ovarian cycle results in most females reaching an early stage of vitellogenesis in the second ovarian cycle. Protein-deprived females cease second cycle development in a previtellogenic stage. When females are given access ad lib. to protein, approximately 16% fewer oocytes are matured in the second and subsequent ovarian cycles than in the first cycle. Oosorption occurs during the early stages of vitellogenesis (stages IV–VI) and follows a similar temporal pattern in successive ovarian cycles.
Résumé La plupart des femelles de C. bezziana provenant de populations naturelles ou d'élevages au laboratoire sont autogènes, leurs ovocytes murissent sans apport externe de protéines au premier cycle ovarien. Chez très peu de femelles tous les ovocytes murissent; environ 30% d'entre eux sont résorbés sans, et 10% avec ingestion de protéines. Les mouches nourries de protéines ont des oeufs légèrement plus grands (1,31 à 1,33 mm de long) que celles privées de protéines (1,29 mm). Les femelles issues de larves sousalimentées sont de taille réduite, non-autogènes, et leurs ovocytes exigent un apport externe de protéines pour mûrir. 88% à 90% des ovocytes des femelles autogènes ou non nourries de protéines parviennent à maturité. A partir du second cycle ovarien, aucune femelle n'est autogène; 56% de celles qui ont disposé de protéines à discrétion pendant le premier cycle ovarien atteignent un stade précoce de vitellogenèse au second. Les femelles privées de protéines ne dépassent pas un stade de prévitellogenèse au second cycle ovarien. Le nombre d'ovocytes parvenant à maturité au cours du cycle second et des suivants n'est diminué que d'environ 16% par rapport au premier cycle si les femelles ont libre accès aux protéines. Quel que soit le cycle ovarien, la résopption a lieu à un stade précoce de vitellogenèse (stade IV à VI) et se déroule de manière comparable dans tous les cycles.
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15.
The vast majority of wild-type females of Lucilia cuprina are anautogenous. The survival of wild-type anautogenous females following emergence was compared with that of females from laboratory-selected autogenous strains, when deprived of sucrose and given ad lib access to water, deprived of water and given ad lib access to sucrose, or deprived of both water and sucrose.Anautogenous females survived substantially longer than autogenous females when only sucrose was supplied, but the opposite applied when the flies were supplied with water only. Anautogenous females survived somewhat longer than autogenous females in the absence of both sucrose and water. Thus, autogenous females might be at a disadvantage in the dry conditions which often prevail in areas occupied by the species.
Résumé La grande majorité des femelles de L. cuprina est anautogène. Cependant, l'observation de femelles autogènes dans la nature, et la sélection au laboratoire d'une lignée autogène à partir d'une souche anautogène indique que cette espèce est susceptible de devenir autogène.Le stade de développement ovarien des femelles capturées dans la nature montre que l'habitat est généralement carencé en aliments riches en protéines susceptibles de permettre le développement ovarien de L. cuprina. Dans de telles conditions, les femelles autogènes devraient être avantagées; leur très grande rareté indique que certains désavantages doivent être associés au génotype autogène. On a constaté que les femelles autogénes qui viennent d'émerger ont une teneur en eau plus faible que les anautogènes; ceci suggère que l'un des coûts possibles de l'autogénie pourraît être une aptitude réduite à supporter les périodes de privation d'eau suivant l'émergence. Pour cette raison, la survie de femelles sauvages anautogènes a été comparée à celles de lignées autogènes sélectionnées au laboratoire, en absence de sucrose, en présence ad lib. de sucrose, ou sans eau ni sucre.Pouvues uniquement de sucrose, les femelles anautogènes survivent 12 heures de plus que les autogènes, tandis qu'en présence exclusive d'eau les femelles autogènes survivent 19 heures de plus. En absence de sucrose et d'eau les femelles anautogènes survivent environ 5 heures de plus. Il semble que la mortalité des femelles autogènes privées totalement d'aliments est due principalement à un stress hydrique, tandis que le sucrose et le stress hydrique ensemble paraissent jouer un rôle dans la mort des femelles anautogènes. Ces résultats montrent que l'autogénie des femelles peut être un désavantage lors des conditions sèches fréquentes dans l'aire de cette espèce.
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16.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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17.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
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18.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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19.
Summary The mandibular glands of Kalotermes were examined in different castes. They showed sexual dimorphism in the soldiers and primary reproductives. Moreover, in female soldiers and queens, mandibular gland cells contained numerous crystalline structures of mitochondrial origin. The role of these glands (secretion of saliva or pheromone) is discussed.
Résumé Les glandes mandibulaires de Calotermes sont étudiées dans les différentes castes. Elles présentent un dimorphisme sexuel chez les soldats et les sexués. Après la mue imaginale, les cellules glandulaires ont toujours une activité sécrétrice. De plus, chez les soldats femelles et les reines, elles contiennent de nombreuses formations cristallines d'origine mitochondriale. Le rôle de ces glandes (sécrétion de salive ou de phéromone) est discuté.
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20.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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