首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
Glossina morsitans morsitans Westw. surviving 48 hr after topical doses of dieldrin, endosulfan or permethrin which killed 15% or 30% during this period in an initial bioassay, were investigated for subsequent effects of the insecticides. Males surviving 48 hr after exposure to dieldrin and endosulfan were subject to further mortality which reached 70%–80% by day 15. Permethrin had some influence on longevity but only later than day 30 after treatment. Females were less susceptible than males to these effects. Treated flies mated readily but early separation occurred more frequently in pairs including dieldrin or endosulfan-dosed males. This premature separation may impede insemination and ovulation. Mortality associated with mating in flies exposed to dieldrin and endosulfan in these experiments is attributed mainly to enforced activity following matual disturbance under the experimental conditions. Reproductive performance in treated females surviving mating was largely unaffected, except for a small reduction in the number of pupae produced by permethrin-treated females and some indication of reduced survival of pupae from females exposed to dieldrin. Minor effects of the solvent (butanone) and the insecticides on activity and on feeding were also demonstrated. These results show that permethrin has relatively little effect on flies surviving at 48 hr after exposure to a low dose, compared with dieldrin or endosulfan. It is suggested that the intrinsic toxicity of insecticides measured by conventional laboratory bioassay (based on mortality at 48 hr after dosing) may prove misleading if effects of low doses similar to those described here, make a significant contribution to the impact of insecticides on tsetse populations in the field.
Résumé Les effets latents de trois insecticides: dieldrine, endosulfan et perméthrine sont étudiés sur Glossina morsitans morsitans en utilisant les survivants après un délai de 48 h., à la suite d'applications topiques de doses qui tuent 15% à 30% des insectes pendant ce même laps de temps. Les mâles survivant 48h après l'application de dieldrine et d'endosulfan, montrent une mortalité ultérieure qui atteint 70%–80% au 15ème jour. La perméthrine a également une certaine influence sur la longévité, mais seulement au-delà du 30° jour suivant le traitement. Les femelles sont moins sensibles à ces effets que les mâles. Les mouches traitées s'accouplaient facilement mais la séparation survenait plus fréquemment pour les couples dont les mâles avaient été traités avec la dieldrine et l'endosulfan. Cette séparation prématurée peut empêcher l'insémination et l'ovulation. La mortalité associée à l'accouplement chez les mouches exposées à la dieldrine et à l'endosulfan dans ces expériences est principalement attribuée à l'activité accrue liée au dérangement mutuel dans les conditions expérimentales. Les performances de la reproduction chez les femelles traitées, survivantes après l'accouplement sont en grande partie inchangées, excepté en ce qui concerne une petite réduction du nombre de pupes produites par les femelles traitées à la perméthrine et quelque indication d'une survie réduite des pupes provenant de femelles traitées à la dieldrine. Des effets mineurs du solvant (butanone) et des insecticides sur l'activité et l'alimentation des mouches ont aussi été observés. Ces résultats montrent que la perméthrine a relativement peu d'effet par comparaison avec la dieldrine et l'endosulfan sur les mouches ayant survécu 48h après une application d'une faible dose. Il est suggéré que la toxicité intrinsèque des insecticides, mesurée par les méthodes conventionnelles de laboratoire (basées sur la mortalité 48h après l'application) peut se révéler erronée si des effects de doses faibles, semblables à ceux décrits ci-dessus, contribuent de façon significative à l'impact des insecticides sur les populations de Tsé-Tsé dans la nature.


The work was financed by the Ministry of Overseas Development.  相似文献   

2.
Ivermectin produced 100% mortality in adult teneral males, mature males and fertile females ofGlossina morsitans morsitans following a single meal of defibrinated pig blood containing concentrations of 0.1, 1.6 or >1.6 g ml–1 respectively. The lethal concentration was reduced to <0.04 g ml–1 for teneral males when fed repeatedly on treated blood. When pregnant females were fed a single blood meal containing ivermectin (0.08 g ml–1) on the day after their first larviposition, followed by normal blood meals, no offspring were produced in the subsequent reproductive cycle but full recovery occurred thereafter. A dose dependent decline in fecundity was measured and data were subjected to Probit analysis. Thus estimates were made of ivermectin concentrations in the peripheral blood of treated animals by measuring the reduction in fecundity induced in flies fed on such blood. Indications are that with subcutaneous injections at least, amounts greatly in excess of the recommended clinical dose would be required to achieve levels lethal to feeding flies following a single blood meal. Oral treatment of a horse with twice the anthelmintic dose of ivermectin (0.4 mg kg–1) produced a maximum concentration in the blood of about 0.14 g ml–1 within 24 h and this was adequate to reduce tsetse fecundity to zero following a single meal. Such levels in a single blood meal were also sufficient to shorten the life expectancy of teneral male flies. The half-life of ivermectin in the horse was approximately 5–6 days with a maximum of 2.4% of ingested material entering the peripheral circulation. A cow treated with injectable ivermectin (0.2 mg kg–1) produced maximum blood levels of about 0.005 g ml–1 after one week; this was only 0.17% of the administered dose and sufficient to reduce fecundity in female flies to 50% of normal following a single blood meal. Such levels in a single blood meal had no effect on the longevity of flies. However, at least half the maximum activity was present in the circulation between 3 and 14 days following injection. Repeated feeding on the blood of a treated animal reduced considerably the dose of ivermectin required to produce a given effect. The fecundity of female flies was reduced to zero by repeated feeding on blood taken from the horse 8 days after treatment, and even after 15 days the blood of the horse contained sufficient drug to reduce fly fecundity to 50% of normal. Thus where domestic animals constitute major hosts of tsetse, treatment with ivermectin can be expected to achieve some measure of fly population reduction.
L'invermectine comme moyen de lutte utilisable contre la mouche tsé-tsé,Glossina morsitans
Résumé Après un repas unique de sang de porc défibrillé contenant 0,1; 1,6 ou plus de 1,6 g ml–1 d'ivermectine, tous les mâles jeunes non encore alimentes, tous les mâles adultes et toutes les femelles fécondes deGlossina morsitans morsitans sont tués. Les concentrations léthales ont été réduites à moins de 0,04 g ml–1 pour les jeunes mâles quand on les a alimentés régulièrement sur du sang traité. Quand des femelles en gestation ont été alimentées, le jour après leur première parturition, avec un seul repas de sang contenant 0,08 g ml–1 d'ivermectine, et ensuite avec des repas de sang normal, il n'y a pas eu production de descendants pendant le cycle suivant, bien qu'une restauration totale ait eu lieu par la suite. Une diminution de la fécondité en relation avec la dose a été enregistrée, et les données soumisses à un test Probit. Ainsi des estimations de la concentration en ivermectine du sang périphérique des animaux traités ont été obtenues en mesurant la réduction de la fécondité induite chez les mouches ayant consommé ce sang. Ceci montre qu'une dose absorbée de 4 mg kg–1, ou une injection souscutanée de 16 mg kg–1, seraient nécessaires pour obtenir le seuil létal chez des mouches alimentées après un repas de sang unique, c'est-à-dire 20 fois la dose absorbée et 80 fois la dose subcutanée nécessaires contre les nématodes gastrointestinaux. Le traitement par voie buccale d'un cheval avec 2 fois la dose vermifuge d'ivermectine (0,4 mg kg–1) provoque dans les 24 heures des taux sanguins suffisants pour réduire la fécondité jusqu'à zéro après un seul repas de sang. La demi-vie dans le cheval a été approximativement de 5 à 6 jours avec une pénétration dans la circulation périphérique d'une quantité maximale de 2,4% de l'ivermectine absorbée. Une vache traitée avec de l'ivermectine injectable (0,2 mg kg–1) atteint la teneur sanguine maximale au bout d'une semain; celle-ci, correspondant seulement à 0,17% de la quantité administrée, était suffisante pour réduire de 50% la fécondité des mouches après un repas unique de sang. Cependant, entre les 3ème et 14ème jours suivant l'injection, la circulation sanguine présente au moins la moitié de l'activité maximale. Des repas répétés sur le sang des animaux traités réduisent considérablement la dose d'ivermectine nécessaire pour produire un effet donné. La fécondité des mouches devient nulle après des repas répétés sur le sang d'un cheval 8 jours après le traitement; et même après 15 jours, le sang de ce cheval contient suffisamment de produits pour abaisser la fécondité des mouches de 50%. Ainsi, à où les animaux domestiques constituent les principaux hôtes de la mouche tsé-tsé, avec le traitement à l'ivermectine, on peut espérer réduire d'une façon efficace la population de mouches.
  相似文献   

3.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
  相似文献   

4.
Groups of females of Glossina austeni and G. morsitans morsitans fed on rabbits with 75 ppm sulphaquinoxaline and 7.5 ppm pyrimethamine in their diets had markedly lower fecundity than other groups fed on rabbits supplied with additive-free diets. There was little effect on the longevity of female flies. Females of G. austeni produced normal numbers of puparia for one reproductive cycle, large numbers of aborted larvae in succeeding reproductive cycles and many females eventually became sterile. The effect on G. m. morsitans was less marked but when the dose rate of the additives in the rabbit diet was quadrupled this species also showed greatly reduced fecundity, with no effect on longevity. In G. austeni, those puparia which were produced in later reproductive cycles were lighter and less viable than those produced in the first cycle.It is concluded that the toxicant in the rabbit diet was sulphaquinoxaline acting as a systemic insecticide but, at these low dose rates, at a sub-lethal level. The possible mode of action of sulphaquinoxaline and the significance of the results for the laboratory rearing of haematophagous arthropods are discussed.
Résumé Des groupes de femelles de Glossina austeni et Gl. morsitans morsitans sont nourris sur des lapins, euxmêmes alimentés avec des aliments artificiels de type commercial, qui ont été ou non additionnés de composés chimiques coccidiostatiques, soit 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm de pyrimethamine. Quand les glossines sont nourries sur des lapins ayant reçu l'aliment additionné des substances coccidiostatiques, la fécondité de G. austeni (en termes de production de pupes viables par femelle) est réduite de façon nette, bien que la longévité demeure inaffectée; G. m. morsitans se révèle moins sévèrement touchée.Dans les expériences conçues pour étudier l'effet de la sulfaquinoxaline et de la pyrimethamine, les lapins reçoivent un aliment en poudre auquel sont ajoutées des quantités appropriées de ces substances. Des groupes de femelles de G. austeni nourries sur des lapins ayant reçu un aliment contenant 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm pyrimethamine se reproduisent normalement pendant un premier cycle reproducteur, après quoi elles engendrent un grand nombre de larves avortées et beaucoup de femelles deviennent éventuellement stériles. Les pupes produites par G. austeni au cours des cycles reproducteurs plus tardifs sont plus légères et moins viables que celles produites lors du ler cycle. Quand le taux des composés coccidiostatiques est quadruplé dans l'aliment des lapins, la fécondité de Gl. m. morsitans est aussi fortement réduite, sans effet sur la longévité. Quand Gl. morsitans est alimentée artificiellement sur du sang contenant 75 et 300 ppm. de sulfaquinoxaline, la fécondité des femelles est sérieusement réduite. Aucune différence ne se décèle quant aux effets relatifs de ces deux doses du composé coccidiostatique; il est possible que les mouches en absorbent une même petite quantité dans les deux cas, en raison de la faible solubilité du produit, qui n'est soluble que dans des solutions alcalines. La sulfaquinoxaline, aux faibles doses absorbées agit comme un insecticide systémique à des doses sub-létales. Ce coccidiostatique peut agir en interférant avec le métabolisme du folate au niveau des ovaires; les effets sur la fécondité deviennent progressivement plus marqués chez les femelles âgées et chez celles qui ont cessé de se reproduire on observe des ovaires atrophiés.L' incidence de ces faits sur les conditions d'élevage des Glossines, et d'autres arthropodes hématophages, est discuté.
  相似文献   

5.
Apterous virginoparae of Megoura viciae Buckton starved during the fourth instar lost weight but nevertheless completed their development, showing that growth and development could proceed independently. Their weight at the end of starvation was a function of initial weight. Aphids used considerable amounts of lipid during starvation, and if allowed to feed on becoming adult showed a delayed onset to reproduction. Starvation in the fourth instar arrested embryogenesis, and in small aphids resulted in degeneration of gonadal and somatic tissues.
Résumé Des virginipares de M. viciae Buckton, privées de nourriture à partir de la mue au quatrième stade, achèvent leur développement et muent en adulte en perdant du poids; elles montrent que croissance et développement peuvent être indépendants. Le jeûne pendant le quatrième stade provoque en moyenne la perte de 84% des réserves lipidiques. Le poids à la mue imaginale dépend significativement du poids lors de la mue du quatrième stade: de petits pucerons achèvent leur développement plus lentement que les gros. Le jeûne pendant le 4ème stade interrompt l'ovulation et le développement des gonades; lorsque les adultes peuvent se réalimenter après ce jeûne, la période précédant la ponte est plus longue. L'examen histologique montre que les pucerons les plus petits subissent une régression somatique et gonadale plus importante que les plus lourds: la dégenérescence des gonades apparaît chez les petits pucerons après le jeûne au 4ème stade, tandis que les plus gros voient leur potentiel reproductif réduit par un arrêt de l'embryogenèse.
  相似文献   

6.
Populations of Glossina pallidipes from opposite ends of the species range were studied in the laboratory. Flies from Uganda had a higher reproductive rate than flies from Zimbabwe but produced slightly smaller offspring. The Zimbabwe flies were noticeably less willing to mate than those from Uganda under identical conditions but cross-breeding experiments resulted in similar reproductive rates regardless of the origin of the sexes; unwillingness to mate could not be attributed to one or other sex of the Zimbabwe flies. The F1 male hybrids showed normal fertility when back-crossed to females of maternal origin. Hence there is no indication that speciation has occurred. The flies from Zimbabwe possess supernumerary (B) chromosomes which are absent from the Uganda population. C-banding techniques showed the presence of a heavilybanded Y-chromosome in the Uganda flies while that of the Zimbabwe flies was featureless. The origin of the male parent in hybrids was clearly identifiable from an examination of the Y-chromosome while supernumeraries were present in the offspring from both crosses but in smaller numbers than in the Zimbabwe parents. The possession of supernumerary chromosomes is discussed in relation to the fitness of a population within a particular natural or laboratory environment.
Résumé Des populations de Glossina pallidipes des extrémités opposées de l'aire de l'espèce ont été examinées au laboratoire. Les mouches de l'Ouganda ont un taux de reproduction plus élevé que celles du Zimbabwe, mais produisent des descendants légèrement plus petits. En conditions identiques, les mouches du Zimbabwe sont nettement moins disposées à s'accoupler que celles de l'Ouganda, mais les expériences de croisements donnent les mêmes taux de reproduction quelle que soit l'origine des sexes; le peu d'ardeur à l'accouplement ne peut être attribué à l'un ou l'autre sexe des mouches du Zimbabwe. Les mâles hybrides de F1 sont totalement fertiles quand ils sont croisés en retour avec des femelles d'origine maternelle. Ainsi il n'y a aucun indice de subspéciation en cours. Les mouches du Zimbabwe ont un chromosome surnuméraire (B) absent de la population de l'Ouganda. Les techniques de banding C ont révélé la présence d'une bande très nette sur le chromosome Y des mouches de l'Ouganda, tandis que celles du Zimbabwe ne présentent pas ce caractère. L'origine du parent mâle des hybrides est facilement identifiable par examen du chromosome Y; par contre les chromosomes surnuméraires sont présents chez les descendants des deux types de croisements, mais en plus petit nombre que chez les parents du Zimbabwe. La possession de chromosomes surnuméraires est discutée en relation avec l'adaptabilité d'une population dans un habitat naturel particulier ou au laboratoire.
  相似文献   

7.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
  相似文献   

8.
At topically applied doses of fenvalerate sublethal to resistant (R) and susceptible (S) flies, R flies immediately initiated a vigorous grooming behavior which allowed them to remove as much as 13% of the topically applied dose at 24 h. On the contrary, in S flies grooming was not immediately observed because S were quickly knocked down by the pyrethroid; however, grooming was observed in S after flies recovered from knockdown. Comparisons at 24 h between R flies free to groom and those restricted from grooming indicated that 90–100% of the parent compound that was recovered from the holding vials of freely grooming flies was rubbed off while only 0–10% was excreted. Additionally, grooming significantly affected the amount of radiocarbon recovered as unpenetrated insecticide, because R flies removed a portion of the topical material and deposited it in their holding vials.
Résumé Après application topiques de doses subléthales de fenvalerate à des mouches résistantes (R) et sensibles (S), les mouches R se nettoyent immédiatement et vigoureusement, ce qui leur permet d'éliminer jusqu'à 13% de la dose en 24 h. Au contraire chez les mouches S, ce nettoyage rapide n'a pas été observé, parce qu'elles étaient rapidement paralysées par le pyréthroïde. Cependant le nettoyage s'observe après que les mouches S aient récupéré. Des comparaisons après 24 h, entre des mouches R capables de se nettoyer et d'autres à qui l'on interdit cette activité de nettoyage indiquent que 90–100% des substances marquées au 14C, récupérées dans le récipient ayant contenu les premières, proviennent de l'élimination de l'insecticide par nettoyage et seulement 0–10% de l'excrétion de l'insecticide. De plus, le nettoyage diminue de manière significative la quantité récupérée de radiocarbone correspondant à de l'insecticide n'ayant pas pénétré dans l'insecte, parce que les mouches R enlèvent une partie du matériel et le déposent dans leur récipient.
  相似文献   

9.
Batches of wild-caught adult females of Glossina palpalis palpalis R.-D. were treated topically (0.36 l per fly) with different doses of 14 chemical insecticides in acetone and subsequent abortion (if any) and death of each fly were recorded. Control flies received acetone alone. No fly was fed after treatment. Abortion rates of treated fly-batches and the corresponding control batch were compared by Fisher's exact test. The rate of abortion for 274 control flies rose from 1.1% on day 1 to 6.3% on day 5, then declined to the last abortions on day 9. The increase of rate probably resulted from increasing period of starvation. Significantly increased rates of abortion of eggs or immature larvae, compared with the control, were only found with high doses of fenitrothion, propoxur, permethrin and dieldrin and with various doses of sumithrin, sumicidin and deltamethrin. Abortion was most frequent for the last three; synthetic pyrethroids. All significant rates were for rapid abortion, within 24 h after treatment, and many abortions for sumithrin, sumicidin and deltamethrin were within 60 min Pyrethroid-treated flies frequently showed rapid and prolonged knock-down. Especially for pyrethroids, many aborted eggs or larvae were covered with white, sticky fluid. It is suggested that insecticides caused high rates of abortion by general relaxation of maternal muscles, thus opening the vaginal sphincter, smoothing the uterine wall and allowing accumulated milk gland secretions to flow into the uterus. This reduced friction between contents and the uterine wall and the egg or larva escaped passively through the vaginal aperture.
Résumé Les femelles de G. palpalis palpalis provenaient de captures de populations sauvages près d'Abuja au Nigéria. Les lots de mouches ont reçu des applications locales (0,36 l par mouche) de 14 insecticides chimiques à différentes doses. L'émission d'un oeuf ou d'une larve immature était considérée comme un avortement. Les témoins ont reçu de l'acétone. Les mouches n'ont pas été alimentées après traitement. Les résultats des différents lots ont été comparés par le test de Fisher. Pour 274 mouches traitées à l'acétone, le taux d'avortement croît de 1,1% le ler jour à 6,3% le 5e jour pour diminuer jusqu'au taux final le 9e jour, qui n'excède pas le taux naturel de 7%. On peut penser que le taux croissant est dû à la prolongation du jeûne et que l'acétone n'est pas un abortif. Les avortements se sont produits chez les mouches qui ont reçu chacun des 14 insecticides, les taux variant avec les doses, et pour la plupart des insecticides, augmentant avecle le temps depuis le traitement. Les taux d'avortement étaient particulièrement augmentés pour les lots traités avec des doses élevées de fénitrothion. propoxur ou perméthrine, et étaient très significativement augmentés chez ceux traités avec des doses très élevées de dieldrine ou différentes doses de sumithrine, sumicidine ou deltaméthrine: tous ces taux élevés étaient enrigstrés dans le jour après le traitement.Les avortements étaient particulièrement rapides, dans les 60 minutes, pour la sumithrine, la sumicidine et la delthaméthrine. Aucune mouche traitée à l'acétone ou à l'un des 11 autres produits n'a avorté dans les 60 minutes. Beaucoup de mouches traitées aux pyréthroïdes ont présenté un effrondement rapide et prolongé, suivant la dose. Beaucoup d'oeufs et de larves avortés après traitement aux pyréthroïdes étaient couverts d'un fluide blanc et visqueux. On peut estimer que les insecticides ont provoqué l'avortement par relâchement des muscles maternels, permettant l'ouverture du vagin, le déridement de la paroi utérine et la décharge dans l'utérus des secrétions de lait accumulées dans les glandes. Ceci a réduit la friction entre les parois de l'utérus et son contenu (oeuf ou larve) qui glissait à travers l'ouverture du vagin. Il est peu vraisemblable que les avortements induits par les insecticides puissent réduire les populations pendant les traitements.
  相似文献   

10.
Rates of dispersal of adult Dacus oleae Gmel. were measured on Corfu during June and early July using grids of McPhail traps. When released into an area with no new season fruit crop the mean distance travelled by the flies was over 400 m during the first 7 days. When released at an earlier stage into an olive grove with 30% of trees bearing a fruit crop estimated dispersal rates were lower (approx. 180 m in 7 days). These results indicate that adults which emerge in late May and June in areas with no new season fruit crop, which is a common situation because of the biannual fruiting cycle of the olive tree, start to disperse immediately despite the hot dry conditions and immaturity of the fruit in other areas. The significance of these findings in relation to current control strategies is discussed.
Résumé En 1977 et 1979, la dispersion des adultes de Dacus oleae a été étudiée en juin-juillet sur deux sites de l'île de Corfou, afin de réunir des informations concernant leur comportement en été. Des adultes élevés au laboratoire, et marqués à l'émergence avec une poudre fluorescente, ont été libérés dans une oliveraie au centre d'un réseau de trappes McPhail contenant un attractif d'hydrolisat de protéines et disposées en forme de croix. Les mouches capturées étaient prélevées régulièrement et examinées au laboratoire sous lumière ultraviolette. L'analyse des captures de mouches marquées a permis de définir la distance moyenne parcourue après le lâcher en fonction du temps (Fletcher & Economopoulos, 1976).La distance moyenne parcourue par les mouches la première semaine était de plus de 400 m si le lâcher avait lieu dans une oliveraie dépourvue de fruits; elle était de quelque 180 m si le lâcher avait lieu plus tôt, dans une oliveraie dont 30% des arbres portaient des fruits. Il est done plausible que les adultes émergeant en mai-juin dans des oliveraies dépourvues de fruits—situation courante à Corfou en raison de la fructification en général cyclique et synchronisée tous les deux ans des oliviers—se déplacent aussitôt en dépit du climat sec et chaud et de l'absence de fruits mûrs alentour. Les résultats montrent qu'en été, les mouches quittent leur zone d'émergence si les olives mûrissantes font défaut pour se concentrer dans des oliveraies portant de nouveaux fruits, confirmant ainsi le bien-fondé de la lutte actuellement pratiquée à Corfou.
  相似文献   

11.
A virus infection, associated with enlargement of the salivary glands (ESG) and gonadal pathology in Glossina pallidipes Austen (Diptera: Glossinidae), was studied in field-caught and laboratory-reared flies. The lifespan of both sexes of infected (ESG-) flies was significantly shorter than that of flies with normal salivary glands (NSG). NSG-females, mated to infected males only or to both infected and normal males, produced predominantly male progeny. In general, NSG-parents produced only NSG-progeny, and ESG-females only ESG-progeny. ESG-males were usually sterile, but a few NSG-females inseminated by ESG-males produced NSG-progeny. One NSG-female, mated first to an ESG-male and then to an NSG-male, produced 3 ESG-sons. As will be discussed, this virus may have important effects (reduced insemination rates, fecundity and lifespan, and sex ratio distortion) on laboratory colonies of G. pallidipes as well as on the regulation of its natural populations.
Résumé C'est à partir de mouches capturées et élevées au laboratoire à Kibwezi au Kenya, qu'a été étudiée l'infection virale, accompagnée d'hyperplasie des glandes salivaires (ESG) et la pathologie des gonades de G. pallidipes Aust. La durée de vie des mouches contaminées (ESG)_des 2 sexes était significativement plus brève que celle des mouches aux glandes salivaires normales (NSG). Des femelles NSG accouplées uniquement à des mâles contaminés ou à des mâles sains et contaminés, ont donné une descendance majoritairement mâle.En général, des parents NSG ont donné uniquement des enfants NSG, et des femelles ESG des enfants ESG. Les mâles ESG étaient généralement stériles, mais quelques femelles NSG inséminées par des mâles ESG ont donné des enfants NSG. Une femelle NSG accouplée en premier avec un mâle ESG et ensuite à un mâle NSG, a donné 3 fils ESG. Bien que les transmissions orales et sexuelles puissent être naturellement des modes de contamination, la transmission verticale de la mère à la descendance semble être le mécanisme le plus significatif du maintien de ce virus. L'apparition d'enfants ESG de parents NSG est dans quelques cas vraisemblablement due à la présence du virus chez quelques mouches NSG sans qu'il y ait apparemment infection, sans symptômes visibles. Le virus ESG peut avoir des effets importants (diminution des taux d'insémination, de la fécondité, de la durée de vie, et modification de la fréquence des sexes) dans les souches de laboratoire et aussi sur la régulation des populations naturelles de ce vecteur des trypanosomiases africaines.
  相似文献   

12.
No-choice feeding trials and automatic feeding detector studies were used in a quantitative analysis of the feeding behaviour of adult Mexican bean beetles on their host-plant. Different chemical stimuli and physiological factors gave clearly distinguishable patterns in the feeding process. Compared to controls: age had no marked effect; starvation synchronised and reduced the time of initiating feeding, increased consumption rates, increased feeding duration, but did not alter the number of meals; sucrose increased consumption rates over the same feeding duration as controls, and reduced the number of meals; phenolic compounds decreased consumption rates, feeding durations and number of meals. The methodology produces quantitative indices of specific feeding behaviours from the measurement of cumulative consumption/time data, while being sufficiently rapid for screening plant materials and chemicals. The methods are considered generally applicable to laboratory bioassays with phytophagous insects, and are being used to generate a predictive model for the Mexican bean beetle.
Résumé Des expériences sans choix et des études avec un enregistreur automatique de l'alimentation ont été utilisées pour une analyse quantitative du comportement alimentaire des adultes d'Epilachna varivestis sur leur plante hôte.La consommation cumulée à partir de données temporelles d'insectes isolés a permis de déterminer les courbes temporellement cumulées de la consommation moyenne, les surfaces recouvertes par ces courbes, un rapport entre les aires des courbes expérimentales et témoin, le moment du début du repas, le nombre et la durée des périodes de jeûne et de repas et les taux de consommation pendant les repas. Les témoins ont été comparés aux résultats avec des stimuli physiologiques et chimiques variés.L'âge n'a pas d'effet sensible, peut être parce qu'il s'agit d'un insecte à longévité élevée. La privation d'aliment synchronise et réduit le temps de latence avant le repas, accroît les taux de consommation et les périodes de repas, mais augmente les taux de consommation pour les périodes d'alimentation identiques par rapport aux témoins; le nombre de périodes de repas et le nombre et la durée des périodes de jeûne diminuent. Quelques composés phénologes augmentent le temps avant le repas tandis que d'autres ne le font pas. Beaucoup de composés phénologes diminuent les taux de consommation, les durées et le nombre de repas, tandis qu'ils augmentent la durée des périodes de jeûne et diminuent leur nombre.Cette méthodologie fournit des indices quantitatifs des comportements alimentaires spécifiques et est suffisamment rapide pour tester des végétaux et des substances chimiques. Ces méthodes paraissent applicables à la majorité des essais en laboratoire avec des insectes phytophages, et ont été utilisées pour construire un modèle prédictif sur Epilachna varivestis.
  相似文献   

13.
Topical application of JHA to Spodoptera littoralis larvae extends the duration and increases the final weight of the last larval instar. No supernumary moults occur. Respiration decreases to very low levels and glycogen and lipid stores increase. Respiration remains lower in JHA-treated pharate pupae and more polyunsaturated C18 fatty acids accumulate than in normal pharate pupae. These physiological parameters are similar to those occurring during diapause but are not definitive. Diapause has not been reported in field populations of S. littoralis, nor it's artificial induction by photoperiodic manipulation.
Résumé Le dernier stade des chenilles de Spodoptera littoralis, traitées avec JHA, est nettement prolongé par rapport aux témoins. Bien que le poids final des chenilles traitées soit plus élevé que celui des témoins, il n'y a pas de mue surnuméraire. Ces chenilles géantes s'alimentent rarement et leur respiration est sérieusement réduite. Les réserves de glycogène s'accumulent chez les chenilles traitées à la même date chronologique que chez les prénymphes non traitées. Bien que les prénymphes traitées à la JHA conservent leur profil biochimique juvénile — tout au moins dans la mesure où on considère la teneur en glycogène et en lipides totales — leur composition en acides gras saturés et non saturés diffère de celle normalement rencontrée à la fin du développement larvaire, et beaucoup plus d'acide oléique monosaturé s'accumule finalement chez les insectes traités par JHA. Ces résultats suggèrent que la JHA fournie peut avoir provoqué un état de développement de diapause naissante semblable par quelques traits fondamentaux à celle induite par la JH endogène chez les insectes enclins à la diapause. Il est cependant prématuré de définir cet état physiologique comme indiquant une vraie diapause chez Spodoptera littoralis.
  相似文献   

14.
The response of early, middle and late instar (mixed sexes), adult male, and gravid and non-gravid female German cockroaches to aggregation pheromone on filter papers conditioned by gravid and non-gravid females was studied. Cockroaches were attracted to and settled on each of the conditioned papers. Classes varied in the strength of their response to conditioned papers, relative response to gravid versus non-gravid female conditioned paper, and in clustering behavior. A significantly greater attraction of all classes except middle instars and non-gravid females to paper conditioned by non-gravid females suggests that non-gravid females emit more aggregation pheromone than gravid females. Possible explanations of differences in response with age/sex class, including an enhanced attraction of males from female sex phermone, are discussed.
Résumé L'étude a porté sur les réponses de six groupes/âges/sexes de B. germanica à des papiers filtres imprégnés de phéromones émises par des femelles pleines ou non. Tous les groupes ont été attirés par les papiers traités, mais les attractions des stades larvaires moyens ou âgés ont été inférieures aux autres. 4 groupes sur 6 ont été plus attirés par le papier traité avec des femelles ne contenant pas d'oeufs mûrs que par les femelles pleines, ce qui suggère une plus forte émission par les femelles sans oeufs mûrs. Les stades larvaires moyens ont été les seuls à être plus attirés par le papier traité avec les femelles pleines. Les femelles ne contenant aucun oeuf ne manifestent aucune préférence. La tendance à former des amas inégaux était moins nette pour les stades larvaires moyens et âgés que pour les autres groupes. Les premiers stades ont montré une tendance très nette à se rassembler sur le même papier. Le rassemblement de mâles adultes sur du papier traité avec des femelles ne contenant pas d'oeufs peut avoir été partiellement une réponse à la phéromone sexuelle femelle qui avait imprégné le papier pendant le conditionnement.
  相似文献   

15.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
  相似文献   

16.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
  相似文献   

17.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
  相似文献   

18.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
  相似文献   

19.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

20.
During large-scale field experiments in 1981 and 1982, designed to assess the effects of the insecticides Fenitrothion and Sumicidin (Fenvalerate) on beneficial arthropods in spring barley, significant increases in pitfall-trap catches of Pterostichus melanarius (Illiger) were observed in treated plots compared to untreated controls, several weeks after treatment. Significantly more female P. melanarius were caught in treated plots during these post-treatment increases. Corresponding decreases were observed in prey populations following treatments. Individual female P. melanarius from treated plots had significantly fewer of their gut areas full of solid (arthropod) food when compared to those from untreated control plots.Earlier workers observed both faster recapture rates in pitfalls and higher mobility in hungry carabid beetles. The following hypothesis is suggested: reducing prey populations by the application of insecticides results in hungrier carabid beetles with consequently higher activity. Since pitfall-trap catch is determined not only by population size but also activity, it is argued that pitfall-trap catches alone cannot give a true measure of the effects of insecticides on carabid populations in the field.
Relations entre les captures de Pterostichus melanarius (Col.; Carabidae) dans des trappes, le contenu de l'intestin, et la densité de proies, dans des parcelles d'orge de printemps traitées ou non
Résumé Au cours d'essais à grande échelle, effectués en 1981 et 1982, sur orge de printemps, pour évaleur l'effet des insecticides Fenitrothion et Sumicidine (fenvalerate) sur les arthropodes utiles, un accroissement significatif des captures, dans des trappes pièges de Barber, de Pterostichus melanarius (Illiger) a été observé plusierus semaines après le traitement dans les lots traités par rapport aux lots témoins. Significativement plus de femelles de P. melanarius ont été capturées dans les parcelles traitées pendant cette période d'accroissement après traitement.Une diminution correspondante dans les populations de proies a été observée à la suite des traitements.Chaque femelle de P. melanarius des parcelles traitées avait une fraction significativement moins importance de son intestin remplie d'aliments solides (arthropodes) que celles des parcelles non traitées.Des auteurs précédents avaient observé des taux de capture plus rapides dans les trappes et ne plus grande mobilité des carabes affamés. La réduction des populations proies par l'application d'insecticides affamerait les carabes dont l'activité serait par suite plus élevée. Comme le taux de captures dans les trappes est dû à la fois à la taille de la population et à son activité, on en déduit que la capture par trappes seule ne peut donner une image exacte de l'effet des insecticides sur les populations de carabes dans les champs.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号