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1.
Les larves néonates d'Acanthoscelides obtectus Say (Col. Bruchidae) doivent percer le tégument des graines de Phaseolus vulguris pour effectuer leur développement dans les cotylédons. Ce tégument représente une véritable barrière tant mécanique que chimique. La dureté de celui-ci est un facteur important qui influence la fréquence de pénétration larvaire. Nous le montrons en contrôlant la teneur en eau du tégument un des facteurs déterminant de la dureté de celui-cl. l'âge des graines influence aussi la fréquence de percement indépendamment de la teneur en eau du tégument.  相似文献   

2.
Résumé La présence des gousses et graines de six espèces de Phaseolus déclenche une ponte importante chez A. obtectus et stimule significativement la production ovarienne. Cependant, les meilleures performances ne sont pas observées avec P. vulgaris, hôte habituel, mais avec P. coccineus.Pour toutes ces espèces le tégument de la graine représente une barrière importante pour la pénétration des larves. Chez certaines espèces sauvages, et dans les conditions expérimentales, il permet une protection totale de la graine. Cette protection semble diminuer avec la domestication chez P. vulgaris.Lorsque les graines sont perforées artificiellement, les larves (une par graine) pénètrent sans difficulté, quelle que soit l'espèce. Les graines de P. coccineus et de P. vulgaris permettent le développement complet de la majorité des larves, tandis que dans celles de P. metcalfei et de P. acutifolius ne peut se développer qu'une faible partie de la population larvaire. Certains Phaseolinae peuvent donc stimuler la ponte sans permettre le développement des larves.Les femelles de la F1 provenant de P. coccineus ont des performances reproductrices supérieures à celles des femelles provenant de P. vulgaris (variétés sauvage ou cultivée). P. coccineus pourrait être considéré comme une des plantes-hôtes d'origine.
Summary The presence of pods and seeds of six Phaseolus species induces significant egg-laying in A. obtectus and strongly stimulates ovarian production. However, the best performances are not observed with P. vulgaris, the common host, but with P. coccineus.For all six species, the seed testa is an important barrier against larval penetration. For some wild species, it can give total protection of the seed, but this protection is reduced with domestication in P. vulgaris.For all species, when the seeds are artificially perforated, larvae (one per seed) penetrate easily. Most of the larvae can complete their development in seeds of P. coccineus and P. vulgaris, but only a small proportion of the larval population can develop in seeds of P. metcalfei and P. acutifolius. Thus certain Phaseolinae seeds stimulate egg-laying without allowing larval growth.Females of the F1 reared in P. coccineus have superior reproductive capacities than those reared in P. vulgaris. P. coccineus could be considered as one of the original host-plants of A. obtectus.
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3.
Résumé Des élevages expérimentaux deCallosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae) sur les graines deVicia faba décortiquées ou non, ou sur des pastilles faites des mêmes graines, ont permis de mettre en évidence une barrière empêchant le développement de la bruche.Avec les graines entières, toutes les larves meurent au premier stade enfoncées dans le tégument; alors qu'elles se développent normalement dans les graines décortiquées.Avec des pastilles de broyats de graines non décortiquées, la majorité des larves meurt avant le terme de leur développement; la plus forte mortalité est observée au quatrième stade larvaire. Les larves, qui survivent, accusent une augmentation de leur durée de développement par rapport à celles qui se nourrissent aux dépens des pastilles faites de graines sans tégument.  相似文献   

4.
Résumé Les larves de la mouche du céleri peuvent quitter leur galerie d'origine et en creuser une nouvelle dans le parenchyme d'une autre foliole. Ces changements se produisent lorsque la quantité de nourriture est insuffisante pour assurer le développement complet ou lorsque l'état physiologique de la feuille est mauvais.Des changements peuvent être induits expérimentalement en transférant les larves d'une foliole sur une autre, ou en augmentant la pression de la compétition intraspécifique; dans ce dernier cas le comportement d'alimentation peut être changé, les larves pouvant se nourrir aux dépens des pétioles.Les changements de galerie sont plus nombreux et la mortalité larvaire plus faible lorsque le déficit de saturation en eau du milieu ambiant est faible. Lorsque l'humidité relative est basse (HR=50–60%) la mortalíté larvaire est importante à l'intérieur des galeries d'origine et le nombre de changements est par conséquent limité.
Summary The mining larvae of the celery fly, Philophylla heraclei, normally achieve their full development in a single mine inside a celery leaflet. If the amount of food is not sufficient, or in the case of a bad physiological condition of the leaflet (desiccation, celery leafspot, etc...), the larvae can leave their original mine and move to another leaflet to bore another mine.Such migrations can be induced experimentally by removing the larvae from their mine and placing them on another leaflet or leafstalk. They can also be induced by creating acute competition for food on celery plants offering a limited number of small leaves. In this case, larvae are frequently observed feeding on the tissues of the petiole of leaflets or the leafstalk, which behaviour is not observed in nature.There are few cases of migrations and larval mortality inside the leaf tissue is high (85%) when the humidity of the chamber is far removed from saturation (RH=50–60%). When humidity is near saturation (RH=95%), there are many cases of larval migration; about 50% of the larvae then reach the pupal stage, most of the larval mortality being due to the lack of utilisable vegetable tissue.In nature, this possibility of migration in a humid atmosphere enables the larvae of P. heraclei to resist competition and to escape leaf-spot which causes a rapid decrease in the amount of healthy utilisable tissue.
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5.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

6.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

7.
Résumé Les larves d'Acrolepiopsis assectella Zell. se développent facilement dans un substrat gélosé contenant, entre autres éléments nutritifs, des feuilles de poireaux séchées et broyées. En l'absence de ces substances foliaires, le taux de survie est abaissé et le développement plus long. Ces phénomènes sont encore plus accentués si les feuilles déshydratées sont remplacées par un même poids de fleurs de poireaux ayant subi le même traitement. On observe alors une mortalité importante au moment de la 2ème mue. Par contre, les larves ayant atteint le 3ème stade achèvent leur développement normalement, quel que soit l'aliment fourni.Les résultats indiquent: 1) une sensibilité, aux stades jeunes, des larves d'Acrolepiopsis assectella aux fleurs d'Allium porrum, dont elles consomment habituellement le feuillage: un grand nombre de larves meurent au 2ème stade, après avoir abandonné le substrat alimentaire. 2) une perte de sensibilité aux stades plus âgés, qui n'est pas due à une sélection sur les premiers stades, mais plutôt à des changements métaboliques au cours du développement.
Summary Acrolepiopsis assectella is a specific feeder on leek leaves (Allium porrum). Larvae were reared on an artificial agar-diet containing maize semolina, wheat germ, yeast powder, ascorbic acid, benzoic acid, nipagine and dried leek-leaf powder. On this diet, about 80% of larvae can develop, and the average duration of development is 14 days at 25°. On a diet without leek material, 52% of larvae develop, and the development time is longer (17 days).If leek-flower powder is used instead of leaf powder in the diet, only 25% of the larvae survive. They have an average time of development of 18 days, but this is very variable and many larvae leave the nutrient substrate and die. The sizes of head capsules were measured and it was found that death occurred at the second or third larval instar, probably at the time of the second ecdysis. Only young larvae are affected by flower extract. Third-instar larvae, transferred from a dried-leaf diet to a dried-flower diet, are able to utilize the material and complete development. It seems that loss of young larval sensitivity may be the result of metabolic changes during larval life.


E.R.A. C.N.R.S. 328.  相似文献   

8.
Résumé L'élevage au laboratoire du criquet migrateur Locusta migratoria L. se fait généralement sur des graminées sauvages comme le roseau (Phragmites communis T.), le bambou (Sasa japonica L.), le pâturin (Poa annua L.) ou des graminées cultivées tel le blé par exemple (Triticum sativum Vill.). Malgré les efforts faits par de nombreux auteurs, le développement complet n'a pu encore être obtenu sur un milieu nutritif de type holidique ou synthétique c'est-à-dire totalement défini du point de vue chimique. Par contre, deux milieux nutritifs semi-synthétiques et qualifiés de méridique par Dougherty (1959), permettent au criquet de se développer dans des conditions satisfaisantes. L'un comporte des feuilles sèches de roseau, (Borisova, 1966) l'autre seulement de l'extrait aqueux de pâturin (Rigollet, 1966).Nous avons repris les conclusions des précédents auteurs et cherché à obtenir un milieu nutritif de type méridique capable de satisfaire les exigences alimentaires des larves du criquet migrateur prises dès l'éclosion. Nous avons aussi tenu à voir si l'introduction d'une photopériode dans les conditions d'élevage ne modifie pas l'assimilation des éléments nutritifs ingérés et digérés.Il apparaît ainsi qu'une croissance régulière et satisfaisante des larves peut être obtenue sur des milieux nutritifs semi-synthétiques ne comportant pas de particules végétales. Celles-ci sont remplacées par de l'extrait de blé, de pâturin ou de salade qui représente à peine un pour cent du poids sec de l'aliment. Cependant, les extraits interviennent différemment selon le stade dy développement et le sexe des larves, la composition de base du milieu, la durée journalière de l'éclairement.Par ailleurs, quel que soit le régime alimentaire auquel sont soumises les larves, une photopériode de douze heures améliore la croissance pondérale et diminue la durée du développement, par rapport à ce qui est observé en éclairement continu. Il paraît enfin démontré que les larves femelles, en fin de développement, se montrent plus sensibles que les larves mâles, en face de déficiences ou de déséquilibres nutritionnels.
Summary Laboratory rearing of the migratory locust Locusta migratoria usually is on such wild Gramineae as the reed (Phragmites communis), bamboo (Sasa japonica), meadow grass (Poa annua) or on cultivated Gramineae, for example on wheat (Triticum sativum). Complete development has not yet been obtained on a diet of the holidic or synthetic type. On the other hand there are two meridic or semi-synthetic diets, that allow the locust to develop satisfactorily. One consists of dried reed leaves (Borisova, 1966), the other includes merely aqueous extract of meadow grass (Rigollet, 1966).We have sought a diet of the meridic type that would satisfy the alimentary requirements of nymphs of the migratory locust taken shortly after hatching. We also investigated whether introduction into the rearing conditions of a photoperiod modifies the assimilation of the nutritive elements that were eaten and digested.Regular and satisfactory growth of the nymphs could be obtained on semi-synthetic diets that contain no vegetable particles. The latter are replaced by an extract of wheat, meadow grass, or lettuce, amounting scarcely to 1% of the dry weight of the food. However, the effect of the extracts differs according to the developmental stage and sex of the nymphs, the basic composition of the medium, and the diurnal duration of lighting.Besides, whatever the alimentary regime to which the nymphs are subjected, a photoperiod of 12 hours improves the gain in weight and reduces the duration of development, relative to what is seen under constant illumination. Finally, it is demonstrated that female nymphs, at the end of the developmental period, are more sensitive than male nymphs to nutritional deficiencies or disequilibria.
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9.
A heteropolysaccharide fraction was isolated from Phaseolus vulgaris beans in which it comprises at least 1% of the dry weight of the beans. This heteropolysaccharide increases larval mortality and decreases the rate of larval development and the number of eggs deposited by females of Callosobruchus chinensis, when incorporated in artificial beans in which the larvae feed. It is composed of galactose, glucose, xylose, arabinose and traces of rhamnose, as determined after acid hydrolysis. Of these individual sugars, arabinose and xylose affect adult fecundity as well. However, partial enzymic hydrolysis of the heteropolysaccharide fraction by C. chinensis larval midgut contents releases only glucose, galactose and trace amounts of arabinose, and the integral structure of heteropolysaccharide may be necessary for biological activity. the incorporation of the starch granules of Phaseolus vulgaris beans into artificial beans increases larval mortality and decreases the rate of larval development of C. chinensis. It is suggested that the heteropolysaccharide fraction as well as the starch are part of a complex of natural components of Phaseolus vulgaris beans that make these beans resistant to C. chinensis.
Résumé Ce travail cherche à préciser pourquoi les graines de haricot (Phaseolus vulgaris) ne sont pas attaquées par la Buche chinoise (Callosobruchus chinensis), espèce cependant très polyphage.Les graines de haricot renferment 1% d'un hétéropolysaccharide, qui s'est révélé accroître la mortalité et ralentir le développement des larves de cette Bruche, mais qui aussi réduit la fécondité des femelles adultes. Ces observations ont été faites à partir d'élevages sur des milieux artificiels normalement favorables, présentés sous forme de haricots, par un moulage approprié.Une hydrolyse acide de cet hétéropolysaccharide libère du galactose, du glucose, du xylose, de l'arabinose et des traces de rhamnose. Ces sucres simples sont testés: l'arabinose et le rhamnose influencent le développement des larves, tandis que le galactose, le xylose et à nouveau l'arabinose, ont un effet sur la fécondité des femelles (réduction de la fécondité à 40% de la normale avec 1% d'arabinose).Toutefois l'hydrolyse enzymatique de cette fraction hétéropolysaccharidique, par le contenu stomacal de larves de C. chinensis reste partielle et libère seulement du glucose, du galactose et des traces d'arabinose. II est possible que la structure intégrale de l'hétéropolysaccharide soit nécessaire à son activité biologique.Un autre facteur défavorable à C. chinensis pourrait être la nature même des grains d'amidon de Phaseolus. Cet amidon incorporé à l'aliment artificiel accroît en effet la mortalité larvaire et ralentit la vitesse de développement. Cet effet défavorable pourrait être dû à la non digestibilité des grains d'amidon entiers.Il est suggéré que la fraction hétéropolysaccharide et l'amidon de Phaseolus sont deux des facteurs présents dans la graine de haricot qui lui confèrent sa résistance naturelle à la Bruche chinoise.


Supported in part by the Research and Development Authority of the Hebrew University of Jerusalem.  相似文献   

10.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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11.
If larvae start to feed on dry or germinating wheat, they take as much food, and a similar proportion of embryo and endosperm, at each feeding. However, they feed twice as frequently on germinating wheat than on dry wheat, and therefore consume twice as much of the former than of the latter. It is suggested that an olfactory attractant may diffuse out from germinating wheat. The larvae gained as much weight on embryo or endosperm as on whole kernels of germinating wheat. The gain in weight on each of these foods was significantly greater than on hard seeds. Forty-four percent of those provided with whole dry seeds, 22 percent with whole germinating seeds, 26 percent with endosperm and 18 percent with embryo of germinating wheat moulted during the 28-day period. No diapause occurred in larvae fed only on endosperm of germinating wheat for 80 days.
Sommaire Les larves du taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), furent élevées individuellement pendant 28 jours dans des éprouvettes pourvues de ouate humide, d'une graine sèche de blé, ou d'un embryon, d'une graine entière de blé germé, et bouchées d'un tampon d'ouate non-absorbante. Les larves mangèrent pendant deux fois plus de jours les graines germées que les graines sèches. Cependant, la consommation journalière et le rapport d'embryon à l'endosperme furent semblables avec les deux graines. Les larves entrèrent presque toujours dans les graines par l'embryon, probablement à cause d'un péricarpe plus mince dans cette région.Le comportement général des larves suggère qu'un facteur olfactif attrayant soit diffusé pendant la germination et que ce facteur soit du premier rang comme déterminant d'attaque par le taupin. Ni la teneur en eau de la graine, ni la dureté de l'épisperme parut être important à cet égard.Le poids des larves augmenta également avec l'embryon, l'endosperme, et la graine entière de blé germé et significativement plus qu'avec la graine entière de blé sec. Aucune evidence d'une diapause ne fut observée quand les larves ne mangèrent que de l'endosperme du blé germé pendant 80 jours.


Contribution No. 18, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Sask.  相似文献   

12.
Dans la nature, les ♀♀ d'A. obtectus pondent dans les gousses sèches de P. vulgaris, par des fentes de déhiscence, ou après avoir pratiqué avec leurs mandibules une perforation sur une suture de la gousse (généralement la suture ventrale). Le taux de contamination est déjà très fort (0.40) après seulement 2 à 3 jours d'exposition au stade phénologique propice à la ponte. Ce taux augmente avec la durée d'exposition mais se stabilise assez vite pour des durées supérieures à 5 jours. Par contre, le nombre d'?ufs déposés par gousse contaminée augmente régulièrement en fonction de la durée d'exposition, les ♀♀ concentrant leur ponte dans certaines gousses en utilisant la même perforation. Ces résultats permettent de discuter les hypothèses émises à la suite de travaux ayant mis en évidence, au laboratoire, l'existence, chez A. obtectus, de «phéromones répulsives» de marquage du lieu de ponte. A. obtectus — P. vulgaris — Oviposition behaviour— Eggs distribution. A. obtectusP. vulgaris — comportement de ponte — distribution des pontes. Nous remercions le Professeur V. Labeyrie pour son aide critique.  相似文献   

13.
Résumé Un milieu semi-synthétique dont les seules substances brutes sont la caséine et l'huile de germe de maïs, a permis d'obtenir vingt générations successives de Plodia interpunctella. Les caractères physiologiques de cette population sont comparés à ceux des insectes élevés sur le substrat naturel constitué par des graines de pistache.Sur le milieu semi-synthétique, la durée moyenne du développement larvaire (39,1 jours) est plus longue que sur le milieu naturel (32,6 jours), mais le taux d'émergence est plus élevé (81,4% contre 53,1%). D'autre part, la fécondité des femelles est plus faible sur le milieu semi-synthétique (146 ufs par femelle) que sur le milieu naturel (213 ufs par femelle). La fertilité des ufs est, dans les deux cas, supérieure à 90%.Après analyse des résultats et discussion, nous concluons que le milieu semi-synthétique utilisé est satisfaisant pour la croissance et le développement de Plodia interpunctella.
Summary A semi-synthetic diet containing as crude materials only casein and maize germ oil has sustained twenty successive generations of Plodia interpunctella. The physiological characters of this population are compared to those of the control insects reared on pistachio nuts. On the semi-synthetic diet, the mean duration of development (39.1 days) was longer than on the natural food (32.6 days), but the emergence rate was higher: 81,4% vs 53.1%. On the other hand, the fecundity of the female was smaller on the semi-synthetic diet (146 eggs per female) than on the natural food (213 eggs per female). The fertility of eggs was in both cases higher than 90%.It is concluded that the semi-synthetic diet allows satisfactory growth and development of Plodia interpunctella.
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14.
At a concentration of 1 %, a soluble heteropolysaccharide fraction derived from Phaseolus vulgaris beans prevents development of Callosobruchus chinensis but not of Acanthoscelides obtectus. At a concentration of 2 %, it partly inhibits A. obtectus. The differential response could provide a basis for selecting resistant bean varieties. The heteropolysaccharide contains arabinose, xylose, rhamnose, glucose and galactose in approximate molar proportions of 9 : 2 : 1 : 1 : 4. Its biological activity resides mainly in its integral basic structure and only to a small extent in its constituent sugars. The insensitivity of A. obtectus is due to its effectively digesting a large portion of the heteropolysaccharide, releasing most of the contained arabinose, at the larval mid-gut pH of 6.7–6.8. C. chinensis hydrolyses much less of it at its mid-gut pH of 6.4–6.6, whereby the biological activity of the polymer is retained. In vitro digestion of the heteropolysaccharide by A. obtectus enzyme results in a residue which is comparatively inactive on this beetle in vivo, but is still partly toxic for C. chinensis.
Résumé A la concentration de 1 %, l'extrait de Phaseolus contenant l'heteropolysaccharide soluble, empêche le développement de Callosobruchus chinensis, mais non celui d'Acanthoscelides obtectus. A une concentration de 2 %, il inhibe partiellement ce dernier. Cette différence dans la réponse pourrait servir de base, en vue de la sélection de variétées de pois résistants.L'heteropolysaccharide contient de l'arabinose, du xylose, du rhamnose, du glucose et du galactose dans les proportions respectives approchées en moles 9 : 2 : 1 : 1 : 4. Son activité biologique réside principalement dans l'intégrité de sa structure fondamentale, et seulement à un faible degré dans ses sucres constitutifs. L'insensibilité de Acanthoscelides obtectus est due à ce qu'il digère effectivement une grande portion de l'heteropolysaccharide, libérant la plupart de l'arabinose contenu, cela à PH 6.7–6.8 de l'intestin moyen de la larve, Callosobruchus chinensis en hydrolyse beaucoup moins au PH 6.4–6.6 de son intestin moyen, à la suite de quoi l'activité biologique du polymère est conservée. In vitro la digestion de l'heteropolysaccharide par les enzymes d'Acanthoscelides obtectus engendre un résidu qui est comparativement inactif sur cette espèce in vivo mais est encore partiellement toxique pour Callosobruchus chinensis.
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15.
Inhibition of growth of Dacus oleae larvae in untreated green olive fruits occurred in a high percentage when the parents were treated, in the laboratory, with 1% streptomycin sulphate plus a spreader-wetter in the following ways: — (a) brief immersion of the olives in which the parent insects grew as larvae; (b) brief immersion as fully grown larvae; (c) spraying of adults; (d) allowing parent females to oviposit for a few hours in treated olives, prior to ovipositing in untreated ones. In the last case, the degree of inhibition of progeny growth was related to the time between the maternal treatment and the birth of the progeny.
Résumé Le développement larvaire de Dacus oleae dans des olives vertes non-traitées est inhibé à un pourcentage élevé quant les parents ont été traités, au laboratoire, avec 1% de sulfate de streptomycine associé à un produit dispersant-mouillant, selon les modalités suivantes: (a) immersion brève des olives dans lesquelles les parents se sont développés comme larves; (b) immersion brève des larves à développement complet; (c) pulvérisation des adultes; (d) oviposition des femelles pour quelques heures dans des olives traitées, avant de pondre dans des olives non-traitées. Dans ce dernier cas, l'inhibition de la descendance fut influencée par le temps séparant le traitement de la mère et la naissance de la descendance.
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16.
The reproductive activity of a specialist bruchid (Zabrotes subfasciatus Boh., Coleoptera) was studied in two beetle stocks obtained from the same area. The first was harvested on the insect's wild host plant, Phaseolus lunatus L. The second was collected on a cultivated host plant, P. vulgaris L.Within each of the two insect stocks, fecundities and ovarian productions were similar whether females were offered seeds of the host plant on which they completed their larval development or an alternative host. When given the choice of host plants, females of both stock oviposited preferentially on P. vulgaris. The substrate used for larval development did not influence the choice of subsequent oviposition sites.There appears to be no behavioural or physiological barriers preventing a single population of Z. subfasciatus from reproducing on both wild and cultivated host plants where they grow together.
Reproduction et choix du lieu de ponte de Zabrotes subfasciatus en présence de plantes hôtes sauvages et cultivées
Résumé L'activité reproductrice d'un insecte spécialiste (Zabrotes subfasciatus) est étudiée sur deux lots d'individus provenant de la même zone. Le premier a été récolté sur une plante hôte sauvage de l'insecte, Phaseolus lunatus L., et le deuxième sur une plante hôte cultivée, P. vulgaris L.La fécondité, la production ovarienne et les préférences d'oviposition des femelles en présence de graines de P. lunatus ou de P. vulgaris ou en présence de graines des deux plantes hôtes sont analysées séparément pour chaque lot.En présence de graines de l'une ou de l'autre plante hôte (absence de choix du lieu de ponte) les fécondités et productions ovariennes des femelles de chacun des lots sont comparables. Par contre, lorsqu'on leur donne le choix de pondre sur les deux plantes hôtes, les femelles pondent préférentiellement sur P. vulgaris. Le substrat utilisé pour le développement larvaire n'influence pas le choix du lieu de ponte.Il n'y a donc pas d'obstacle physiologique ou comportemental empêchant Z. subfasciatus de se reproduire sur ces deux plantes hôtes, dans le contexte écologique d'où proviennent les insectes étudiés ici.
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17.
Des tanins condensés sont extraits et isolés à partir du tégument de Vicia faba var. Géante Portugaise. Quatre polymères sont quantifiés et identifiés à quatre fractions: A, B, C et D. Ces fractions sont incorporées, en mélange ou séparées à différentes concentrations, dans un milieu nutritif favorable au développement de Callosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae).Les composés phénoliques provoquent la mortalité d'une partie de la population et retardent le développement des survivants. La mortalité observée varie suivant les fractions, leurs doses et le stade de développement de la bruche.La barrière constituée par le tégument des fèves est bien de nature chimique et concerne les tanins condensés.Dans un système de production agricole, l'utilisation des cultivars de fèves riches en tanins faiblement condensés pourrait permettre de réduire les taux d'infestation des graines de V. faba par C. maculatus.  相似文献   

18.
Temperature has no significant effect in inducing diapause in B. fusca larvae. Lower temperature than the optimum, however, delayed larval growth but induced no diapause.Diapause in B. fusca was induced largely by the state of maturity and composition of food taken by the larvae. The incidence of diapausing larvae increased with the maturity of the food plants in which larvae were feeding. The carbohydrate, protein and water content of the type of food plants were probably the critical elements associated with the induction of diapause.
Résumé Deux facteurs, la température et la nourriture, ont été étudiés expérimentalement en laboratoire, quant à leur rôle dans le déclenchement de la diapause larvaire de B. fusca.Les résultats montrent, bien que la température de 23°C n'induit pas la diapause, que le développement est cependant retardé. A 28° et 30° la croissance est plus rapide et les larves se nymphosent après 5 à 6 mues.La diapause est largement induite par l'état de maturité et la composition de la nourriture prise par les larves. Le plus faible pourcentage de diapause (24%) s'observe chez des larves nourries avec du maïs âgé de 6 à 9 semaines, tandis que ce pourcentage atteint 76%, 88% et 91% chez des larves nourries respectivement avec des plants de maïs âgés de 8–11, 10–13 et 12–15 semaines.On a aussi établi que les teneurs en hydrates de carbon, en protéïne et en eau, du type de plantes utilisées, étaient probablement les facteurs critiques intervenant dans le délenchement de la diapause.
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19.
Medium sized (average 43.1 mg) and large (average 110.6 mg) wireworm larvae (Ctenicera aeripennis aeripennis) were reared in sterilized or unsterilized soil, with sterilized or unsterilized flax seed supplied as food. Sterilized flax was a better food than unsterilized flax, but unsterilized soil improved the results obtained with unsterilized flax.
Sommaire Dans un effort de détérminer les différences biologiques entre le taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), et celui de Puget Sound, Ctenicera aeripennis aeripennis (Kby), les effets sur les larves de ce dernier de la semence de lin et du sol sterilisés fut observés pendant 30 semaines. Contraire aux résultats obtenus avec les larves de C. a. destructor, le lin sterilisé autant que le lin non-sterilisé prouva attrayant et efficace pour la croissance aux larves de taille moyenne de C. a. aeripennis. Les larves de C. a. aeripennis de grosse taille ne différèrent de celles de C. a. destructor que par une plus grande augmentation de poids quand le lin sterilisé ou non-sterilisé fut présent en sol nonsterilisé. La survivance des larves de grandeur moyenne fut meilleure avec le lin sterilisé qu'avec le lin non-sterilisé tandis que celle des grosses larves ne fut pas influencée.Les résultats obtenus sans le lin avec les larves des deux espèces suggèrent que les microorganismes dans le sol ne sont probablement pas utilisés dans l'alimentation de ces espèces. Dans le cas des larves de C. a. aeripennis de grosse taille, il est fort probable que les microorganismes dans le sol rendent plus accessibles aux larves des facteurs alimentaires du lin, ce qui leur permet une croissance meilleure que d'ordinaire.Pourvues du lin, 25 p.c. des larves de grandeur moyenne mangèrent hebdomadairement. A peu près de 5 p.c. muèrent chaque semaine, même sans lin. Avec le lin non-sterilisé, 17 p.c. des larves survécurent dans le sol sterilisé, tandis que 55 p.c. survécurent en sol non-sterilisé. Avec le lin sterilisé, plus de 90 p.c. survécurent, et dans le sol non-sterilisé et dans le sol sterilisé. Pourvues du lin, les larves prirent du poids; sans lin, elles en perdirent.Avec le lin sterilisé dans le sol sterilisé, 31 p.c. des larves de grosse taille mangèrent chaque semaine et seulement 16 p.c. dans tout autre cas. A peu prés 4 p.c. muèrent chaque semaine. Seulement 37 p.c. des larves de cette taille survécurent dans le sol non-sterilisé avec le lin non-sterilisé, mais plus de 98 p.c. survécurent avec du lin sterilisé dans le même sol et plus de 65 p.c. dans le sol sterilisé pourvu de lin ou sans lin.


Contribution No. 22, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Canada.  相似文献   

20.
Crowding larvae of Spodoptera littoralis (Boisd.) [= Prodenia litura F.] shortened the larval period but lengthened the pupal period. Crowding also reduced the pupal weight and the length of the body of the resultant adult, and produced darker coloured larvae. The type of food also affected the time taken to develop. When larvae are reared in isolation they are pale in colour, very inactive and hardly react to other larvae that touch them. Crowded larvae may be pale or darker in colour and show a number of reactions to one another on contact. They are more active than isolated larvae, and darker ones are more active than pale ones.
Résumé Des chenilles de Spodoptera littora is élevées isolément et nourries de feuilles de Patience (Rumex patiencia), ont un développement larvaire plus long que celles élevées sur d'autres plantes à des températures analogues. Le groupement de 20 chenilles, dans une cage de 500 ml, diminue la durée de leur vie larvaire (22,3 jours en moyenne, contre 25,3 jours pour les chenilles témoins élevées isolément), mais accroît la durée de la nymphose (14,7 jours en moyenne, contre 9,7 jours pour les témoins). Toutefois la durée totale du développement larvaire et nymphal demeure semblable: en moyenne 35,0 et 35,6 jours respectivement.Les chrysalides obtenues à partir de chenilles isolées sont plus lourdes et les adultes qui en proviennent ont le corps et les ailes plus longs, par rapport aux chrysalides et adultes des élevages groupés. La mortalité est plus élevée dans les élevages en groupes, surtout pendant les derniers stades, larvaires. A l'éclosion les parties dorsales du corps sont de couleur vert jaune, mais en vieillisant les chenilles prennent dorsalement une coloration jaune — rouge foncé. Les chenilles isolées sont de coloration pâle, celles groupées sont pâles ou sombres; les premières sont les moins actives, les secondes les plus actives.Les chenilles elevées groupées se déplacent beaucoup plus que celles élevées isolement, L'activité varie d'ailleurs avec l'âge, elle est plus grande pour des chenilles âgées de 10 jours que pour celles âgées de 15 jours.II y a quelques similitudes entre le comportement des chenilles groupées de Spodoptera et celui des larves de Criquet, en particulier dans les mouvements de masse et l'aggrégation des chenilles de Spodoptera.


This is a part of post-doctorate research carried out at the Anti-Locust Research Centre, London.  相似文献   

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