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相似文献
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1.
À la suite de captures de larves effectuées dans les Monts Bamboutos (Ouest du Cameroun) et de leurs mises en élevage, les auteurs décrivent le mâle, la nymphe et la larve d’Anopheles deemingi Service, 1970 dont seule une femelle était connue. Ils décrivent aussi la nymphe et la femelle d’une nouvelle espèce: Anopheles eouzani n. sp. qui a été capturée dans ces mêmes Monts Bamboutos mais à une altitude supérieure à 2 000 m.  相似文献   

2.
J. Chazeau 《BioControl》1974,19(2):183-193
Afin de préciser l'action prédatrice deStethorus madecassus surTetranychus neocaledonicus, la consommation des différents stades du prédateur a été étudiée dans une enceinte à température constante. A 25°, la consommation totale est de 494 ?ufs de tétranyque pour l'ensemble des 4 stades larvaires. A cette température, elle est de 46,8 femelles de tétranyque par jour pour une femelle fécondée deStethorus, 21,3 pour un mâle, et 13,1 pour une femelle vierge. Des essais complémentaires en conditions ambiantes naturelles ont permis de s'assurer de la validité de ces résultats. Les tests à 20° et 30° montrent que, dans cet intervalle, la consommation des adultes double sensiblement pour une élévation de température de 5°, et qu'une forte corrélation positive existe entre la voracité et la fécondité individuelles des femelles.  相似文献   

3.
4.
A partir de dissections systématiques de femelles capturées sur le terrain, une étude des caractéristiques de la reproduction de Machaeridia bilineata Stål a été réalisée dans les savanes de Lamto (Côte d'Ivoire), complétée par quelques données en provenance de Ouango-Fitini. Cet acridien univoltin, une des espèces dominantes de Lamto, passe la saison sèche au stade d'imago immature. Le dépôt du vitellus commence dans les ovocytes vers la mi-février, soit près de 2 mois après les mues. Au cours de sa vie, une femelle ne pond en moyenne qu'une fois et demi à deux fois, mais avec un taux de réussite de 95%. Chaque femelle produit alors de 15 à 20 ?ufs. Une des caractéristiques de cette espèce est la rétention des ovocytes dans les calices avant la ponte. A Ouango-Fitini, les phénomènes sont décalés de 5 à 6 semaines par rapport à Lamto. Il n'y a pas de lien entre le début de la maturation sexuelle et le passage des feux. Pour la période d'étude, il existe une relation avec l'arrivée des premières pluies, mais les limites de ce synchronisme restent à préciser.  相似文献   

5.
Dans les zones de savanes de l’Afrique, un genre d’abeille, Lipotriches Gerstaecker 1858, s’est spécialisé dans la collecte du pollen de graminées. Un site de nidification et l’aire de butinage de Lipotriches notabilis ont été suivis pendant trois années dans la région de Ngaoundéré au Cameroun. Le régime alimentaire pollinique est composé presque exclusivement du pollen de graminées, notamment Brachiaria ruziziensis abondant dans cette région. Le maïs est aussi visité et l’abeille contribue indirectement à la pollinisation par la mise en suspension dans l’air du pollen. Comme les graminées n’offrent pas de ressource sucrée, les femelles comme les mâles de L. notabilis butinent de temps en temps les Asteraceae pour la collecte de nectar. La consommation du pollen de graminées par les femelles a été aussi observée. Lespèce niche en bourgades dont la taille varie d’une dizaine à une centaine de nids. Le nid creusé dans un sol horizontal est du type progressif. Il comprend un tumulus, une cheminée verticale, un conduit principal vertical pouvant atteindre 65 cm de profondeur et en moyenne 3 conduits latéraux obliques de 4 à 16 cm aboutissant dans une ou plusieurs cellules successives. Les cellules des conduits latéraux sont approvisionnées simultanément et fermées de manière régressive. On compte un maximum de 10 cellules par nid. Généralement un nid est habité par une seule femelle, mais certains nids sont habités par deux ou trois. Lactivité de butinage de cette espèce est limitée dans la matinée. Dès 7 heures, elle s’envole pour le site de butinage. Après 11 heures, il n’y a généralement plus de nids ouverts. Les mâles n’ont pas été aperçus au niveau du site de nidification et l’accouplement a lieu sur le site de butinage. La période d’activité commence avec la saison des pluies en avril et se termine au début de la saison sèche en décembre, avec la fanaison des graminées.  相似文献   

6.
Résumé

Ce travail a pour objectif l’étude de quelques aspects bio-écologiques de la cochenille violette, Parlatoria oleae Colvée 1880, bio-agresseur des cultures de l’Olivier en régions arides. Le suivi du cycle biologique ainsi que la démo-écologie de ce ravageur ont été réalisés grâce à des dénombrements périodiques des populations sur les différents organes de l’arbre (méthodes de Vasseur &; Schvester) de décembre 2010 à décembre 2011 dans la région d’Ain Touta (nord-est algérien). L’espèce y a montré deux générations par an : une génération printanière se développant entre avril et juillet et une génération automnale évoluant entre août et octobre. La ponte débuta en avril et s’échelonna jusqu‘à la fin septembre. L’exposition nord est la plus favorable à cette diaspine qui y trouve des conditions microclimatiques optimales pour son développement. La ponte moyenne est de 8 à 9 ?ufs par femelle. L’analyse statistique de l’effet des conditions climatiques étudiées (températures minimale, maximale et moyenne ; précipitations, gelée et indice d’aridité De Martone) sur les effectifs des différents stades, montre une grande variabilité d’un stade à un autre. L’analyse statistique établie révèle également que les effectifs de l’espèce présentent des variations très hautement significatives selon l’orientation dans l’arbre d’olive colonisé.  相似文献   

7.
Résumé

La sélection du substrat de ponte par des souches de la bruche de l’arachide, Caryedon serratus, issues d’hôtes différents est étudiée au laboratoire. Des tests de choix sur des gousses de différentes plantes ont été d’abord effectués. Les distributions des oeufs sur les différents substrats de ponte sont comparées. Les niveaux d’adaptation des souches dites sauvages (Bauhinia rufescens, Cassia sieberiana, Piliostigma reticulatum et Tamarindus indica) sur l’arachide et les capacités de développement de la souche ? arachide ? sur les graines des plantes hôtes ? sauvages ? sont aussi testés. Les résultats révèlent que, d’une manière générale, les souches évoluent selon le principe de sélection d’hôtes de Hopkins puisque la ponte se fait de manière privilégiée sur la gousse de la plante d’où est issue la femelle. La souche ? Piliostigma ? dépose ses oeufs de manière indifférenciée sur gousses de P. reticulatum et sur gousses d’arachide. Les résultats des tests sur les niveaux d’adaptation révèlent du point de vue de la durée de développement, qu’on peut considérer les différentes souches comme identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide. Le paramètre poids des adultes, montre que la souche ? Bauhinia ? est intrinsèquement moins bien adaptée que les autres souches sur l’arachide. Les taux fécondité révèlent que les différentes souches sont identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide mais, ici également, la souche ? Bauhinia ? paraît moins bien adaptée à l’arachide. Le passage de la souche ? arachide ? aux plantes hôtes sauvages est possible mais, élevée sur graines plantes hôtes sauvages, celle-ci se comporte généralement moins bien que sur arachide.  相似文献   

8.
La nervation des élytres d’Acrididae de la région ouest paléarctique a été étudiée au moyen de 2 méthodes de morphométrie de manière à faire ressortir les caractères adaptatifs relatifs à la stridulation et les marqueurs de phylogénie. Huit Points de Repère (PR) situés dans la région proximale des élytres, incluant le champ médian, ont été considérés pour l’analyse de morphométrie géométrique. L’importance relative des champs a été appréhendée par ACP. Il apparaît que le dimorphisme sexuel des PR caractérise les espèces à stridulation de forte intensité chez le mâle (Gomphocerinae et Stethophyma grossum). Les mâles présentent par rapport aux femelles un élargissement des champs sous-costaux antérieur et postérieur, et du champ radial, lié à un déplacement distal de la bifurcation entre les radiales antérieure et postérieure, ce qui entraîne un élargissement de la surface de résonance. L’élargissement du champ cubital antérieur est une déformation propre à la tribu des Locustini et n’a pas de valeur adaptative apparente.  相似文献   

9.
Est redécrite ici l’espèce Dalyat mirabilis Mateu, 2002, Coléoptère troglobie connu de trois grottes de la Sierra de Gádor (Almería, sud de la péninsule Ibérique). D. mirabilis a été placé dans la famille des Promecognathidae. Limportance des caractères qui définissent cette espèce si particulière justifie la proposition, non seulement du genre monospécifique Dalyat, mais aussi de la nouvelle sous- famille des Dalyatinae. La distribution amphitropicale actuelle des Promecognathidae (avec des représentants dans le nord-ouest de l’Amérique du Nord et en Afrique du Sud, en plus de l’espèce ibérique) suggère que cette famille puisse avoir eu son origine vers le milieu du Jurassique dans la Pangée centrale. Par la suite, après une différentiation précoce de la lignée ibérique, les Promecognathidae se seraient divisés en deux lignées supplémentaires par la séparation du Gondwana et de la Laurasie vers la fin du Jurassique. Finalement, l’émergence et la connexion continentale de la Sierra de Gádor dans le Messinien permettent de postuler que la colonisation des grottes, et l’adaptation à la vie cavernicole des ancêtres de D. mirabilis, doit avoir eu lieu après cet période géologique, peut-être au Pléistocène comme il a été proposé pour la plupart des arthropodes troglobies actuels de la péninsule Ibérique.  相似文献   

10.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

11.
La phylogénie des Panurginae, en particulier des espèces de l’Ancien Monde, a fait l’objet de peu d’études. Seuls trois auteurs ont réalisé des essais de synthèses systématiques et de reconstruction des affinités phylogénétiques de ces taxons. Parmi ceux-ci, Patiny a proposé une révision extensive des travaux antérieurs, de la systématique et de la phylogénie des espèces de la sous-famille. Dans ce cadre, l’étude de quelques taxons a cependant été moins approfondie, c’est en particulier le cas de Clavipanurgus et Panurginus Nylander, 1848. L’inférence des affinités évolutives des espèces de Clavipanurgus est le sujet de la présente recherche. Sur la base de l’analyse des caractères sexuels primaires et secondaires des mâles des dix espèces de Clavipanurgus, on produit ici la première reconstruction de la phylogénie du genre. Une série de groupes d’espèces sont identifiés et comparés du point de vue morphologique.  相似文献   

12.
Résumé Les femelles deCaryedon serratus (Ol.) produisent, pendant la scotophase, une phéromone sexuelle volatile qui déclenche chez les males une chémoanémotaxie positive. Les effets de l'age sur l'attractivité des femelles et sur la réactivité des males ont été étudiés. Plus de soixante-dix pour cent des males commencent à réagir à la phéromone sexuelle dès les premières 24 heures qui suivent leur émergence. Une seule femelle sur 31 a été attractive à cet age. A 48 heures, le pourcentage des femelles attractives est de 38,7%. Il existe une variabilité inter et intra femelles dans la production de phéromone sexuelle (début, régularité). L'existence des récepteurs antennaires à la phéromone sexuelle chez le male est montrée par des études électrophysiologiques (EAG). La variabilité de la production de phéromone sexuelle est discutée.
Summary The female ofCaryedon serratus release, from the beginning of scotophase, a sex pheromone witch triggers a positive chemoanemotaxy in males. The effects of age on female attractiveness and on male reactivity are studied. About 70.37% of males begin to react to the sex pheromone within the first 24 h after emergence. At this age, only one female out of 31 is attractive. At 48 h, the percentage of attractive females is 38.7%. There is inter and intra-female variation in sex pheromone production (beginning, regularity). The existence of receptors on male antennae for this pheromone is shown by electrophysiology (EAG). The variability in sex pheromone production is discussed.
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13.
Dans le cadre de l’inventaire des Eumaeini de Guyane (Lycaenidae, Theclinae), trois nouvelles espèces sont décrites: Siderus nouraguensis n. sp., Nicolaea salki n. sp. et Ostrinotes silva n. sp. Elles appartiennent à des genres différents regroupés dans la section Tmolus de la tribu des Eumaeini. La première espèce provient de la Réserve Naturelle des Nouragues (ONF/CNRS). Elle a été capturée au sommet de l’inselberg dans un biotope très particulier (savane-roche) et pourrait être inféodée à cette végétation typique basse et xérophile poussant sur la roche. En plus d’être écologiquement inhabituelle, cette espèce est morphologiquement insolite puisque c’est la seule dans ce groupe dont les genitalia mâle possèdent des soies sur la partie dorsale du vinculum. Les deux autres espèces ont été capturées dans la forêt primaire de la montagne de Kaw mais également dans d’autres pays d’Amérique du Sud.  相似文献   

14.
L’analyse cytogénétique de quatre espèces européennes de Saginae, dont les caryotypes n’avaient jamais été étudiés, la ré-investigation de celui de Saga pedo (Pallas 1771), la prise en compte des données publiées, et le résultat d’investigations sur le terrain, permettent de proposer une reconstitution de leur phylogénie. Les caryotypes les plus ancestraux semblent être ceux de Saga ornata Burmeister 1839 et de Saga cappadocica Werner 1903, publiés antérieurement, dont tous les autosomes seraient acrocentriques. La fusion de deux paires de leurs chromosomes aboutirait aux caryotypes de Saga natoliae Serville 1839 et de Saga hellenica Kaltenbach 1967, comportant une paire de grands submétacentriques. Ces deux caryotypes se différencient par une inversion péricentrique touchant ces grands chromosomes, probablement chez S. natoliae. Saga campbelli Uvarov 1921 et Saga rammei Kaltenbach 1965, ont acquis une fusion chromosomique de plus et possèdent donc deux paires de grands submétacentriques. Le caryotype de S. rammei détient en plus une particularité de son hétérochromatine. Enfin, le caryotype de S. pedo est tétraploïde, probablement formé de la juxtaposition de deux génomes diploïdes par hybridation. La particularité de l’hétérochromatine de S. rammei se retrouve chez S. pedo sur deux chromosomes différents. Alors que l’on pourrait attendre des quadruplets ou des doublets de chromosomes, il existe une grande diversité de chromosomes en copie unique. Ceci démontre qu’un fort taux de remaniements chromosomiques a modifié le caryotype de S. pedo, postérieurement à son passage à la tétraploïdie. Cette accumulation de remaniements, aboutissant à une forte hétérozygotie, peut s’expliquer par l’absence de filtre méiotique chez cette espèce parthénogénétique. Nos dernières prospections terrain dans le sud des Balkans, nous ont amené à découvrir une zone probable d’intergradation entre Saga pedo et certains taxons sexués affines. L’analyse chromosomique des individus de cette région va sans doute se révéler d’une importance essentielle pour la poursuite de nos recherches.  相似文献   

15.
Résumé

Wasmannia auropunctata (Roger 1863) est une fourmi originaire d’Amérique du Sud. Elle a été introduite au Gabon vers 1920 par des agronomes qui l’ont utilisée comme agent de lutte biologique contre certains insectes parasites du cacaoyer. Aujourd’hui, cette fourmi se retrouve en zone forestière même hors des anciennes plantations de cacaoyers. Depuis 1984, sa présence a été signalée dans le parc national de la Lopé qui fait partie des réserves protégées du Gabon. Des études antérieures réalisées en Nouvelle-Calédonie ont montré que la présence de W. auropunctata a d’énormes conséquences sur la biodiversité car elle a fait disparaître l’ensemble des fourmis de cette région. Quel peut donc être l’impact de sa présence au Gabon dans la zone de la Lopé? Ces études préliminaires de l’impact de W. auropunctata sur la biodiversité de la Lopé ont consisté à évaluer la dispersion de cette espèce et la densité relative des autres espèces de fourmis en présence sur le site. Les résultats montrent que W. auropunctata se répartit selon un gradient décroissant du point d’introduction vers l’intérieur de la forêt jusqu’à une distance de 120 m. Il n’y a pas de W. auropunctata au-delà de cette distance. Du point d’introduction jusqu’à 80 m de distance, la densité relative des autres espèces de fourmis varie de 0 à 10 %. Lorsqu’il y a forte densité de W. auropunctata, les autres espèces de fourmis sont absentes.  相似文献   

16.
Résumé La hauteur préférentielle de ponte a été étudiée chez plusieurs espèces deSyrphidae aphidophages. A cet effet, le nombre d'œufs pondus sur des fèveroles en pot (Vicia faba L.), infestées parAphis fabae Scop. et fixées à hauteur de 180 cm, 120 cm et 30 cm a été enregistré. Des hauteurs préférentielles bien précises ont été trouvées pour les différentes espèces, variant de celle deSyrphus triangulifer (Zett.) qui pond 69% des œufs à 180 cm et seulement 5% à 30 cm, à celle deLeucozona lucorum (L.) qui ne pond que 8% à 180 cm, mais 78% à 30 cm.S. ribesii (L.) préfère initialement 180 cm mais le pourcentage de pontes à 30 cm augmente en fonction de l'age. En ce qui concerne les fèveroles en cage, la couleur de la couche inférieure modifie la hauteur préférentielle de ponte.S. balteatus (Deg.), par exemple, pond de préférence à 30 cm lorsque le fond de la cage est recouvert d'herbe ou de papier vert mais ne montre pas de préférence particulière lorsque le sol est tout simplement de la terre ou est recouvert de tissu brun, argenté ou jaune. Il est possible que la couleur verte serve de point de repère visuel à partir duquel la femelle estime la hauteur de ponte.   相似文献   

17.
Résumé L'endoparasito?deMicrocharops anticarsiae (Hym.: Ichneumonidae), est un des agents naturels de régulation d'Anticarsia gemmatalis (Lep.: Noctuidae). La préférence pour un stade de l'h?te, les effets sur la sex ratio et la réponse fonctionnelle ont été étudiés expérimentalement chezM. anticarsiae pour six densités différentes de l'h?te. Dans des expériences de choix impliquant 2 stades de développement consécutifs ou dans les cas où étaient offerts en même temps les quatre premiers stades larvaires, les femelles du parasito?de n'ont présenté aucune préférence pour un stade donné. Ces résultats montrent que les femelles deM. anticarsiae acceptent tout h?te disponible indépendamment de son stade. La sex ratio présente des différences significatives entre les quatre stades de l'h?te (G3df=18.21, p<.001). La sex ratio du parasito?de est plus favorable aux femelles chez les larves se développant dans le 4e stade de l'h?te. Une réponse fonctionnelle de type II a été observée chez les parasito?des femelles en réponse à des densités variables de l'h?te. Ces informations fondamentales concernant les effets de la sex ratio ont montré quel est le stade de l'h?te qui doit être parasité pour obtenir la sex ratio la plus favorable aux femelles, tandis que la réponse fonctionnelle a fourni le taux moyen (38.0±7.5) de parasitisme par femelle. Ces informations sont importantes pour la production en masse deM. anticarsiae pour le programme de lutte biologique.   相似文献   

18.
Prise de nourriture par Sogatella furcifera sur des variétés de riz sensibles ou résistantes Des déterminations des taux d'ingestion et des sites de prise de nourriture par Sogatella furcifera, faites indirectement par des estimations du pH. du contenu en acides aminés libres et de la quantité de miellat excrété par cet Homoptère sur une variété sensible (TN1) et une variété résistante (IR2035-117-3) de riz. Oriza sativa L., suggèrent que le taux d'ingestion de sève est 267 fois plus élevé sur la variété TN1, bien que le site principal de la prise de nourriture sur les 2 variétés semble se situer au niveau de la sève élaborée des tubes criblés du liber (phloème). Ces résultats sont comparés à ceux publiés antérieurement sur la cicadelle du riz. Nephotettix virescens, dont le taux d'ingestion est semblable sur des variétés de riz sensibles ou résistantes, mais dont les sites de prise de nourriture sont différents. Cette cicadelle se nourrirait principalement de la sève élaborée du phloème chez la variété TN1, tandis qu'elle absorberait surtout de la sève brute provenant des vaisseaux du bois (xylème) chez des variétés de riz résistantes aux attaques de ce déprédateur.  相似文献   

19.
J. Kugler  Z. Wollberg 《BioControl》1967,12(4):363-379
Résumé Les auteurs décrivent le cycle évolutif et le comportement de ponte de l'Agrothereutes tunetanus Haber. (Ichneumonidae, Cryptinae) dans les conditions de laboratoire (25°C et 50–60% H.R.). Le développement des œufs des larves et des nymphes, le comportement des stades larvaires, les habitudes alimentaires, l'accouplement et le comportement pendant l'oviposition sont décrits. A. tunetanus est un parasite de l'Orgyia dubia Tausch., attaquant le dernier stade larvaire de la femelle après que celle-ci ait tissé son cocon, mais avant la nymphose. Le même degré d'activité de ponte du parasite est provoqué par le dernier stade larvaire et la nymphe des femelles h?tes. Une moindre activité est suscitée par les femelles m?res dans les cocons et le dernier stade larvaire male, tandis que l'activité de ponte provoquée par les nymphes males est presque nulle. Le nombre moyen d'œufs pondus par une femelle durant une seule attaque (entre 3 et 4) ne dépend pas (de manière significative) du nombre de cocons présents. Le nombre d'attaques effectuées parA. tunetanus en 24 heures dépend de la quantité de cocons disponibles, les facteurs limitants sont le nombre d'œufs m?rs dans de la femelle gravide et la quantité d'œfus pondus pendant chaque attaque. Avec 6 cocons en 24 heures, une femelle, au maximum de sa fécondité, arive à une moyenne de 3,27 attaques. La fécondité d'une femelle est en moyenne de 308 œufs.

Part of the M. Sc. thesis done under the supervision of the first author and submitted to the Department of Zoology of the Tel-Aviv University.  相似文献   

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