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1.
L’analyse cytogénétique de quatre espèces européennes de Saginae, dont les caryotypes n’avaient jamais été étudiés, la ré-investigation de celui de Saga pedo (Pallas 1771), la prise en compte des données publiées, et le résultat d’investigations sur le terrain, permettent de proposer une reconstitution de leur phylogénie. Les caryotypes les plus ancestraux semblent être ceux de Saga ornata Burmeister 1839 et de Saga cappadocica Werner 1903, publiés antérieurement, dont tous les autosomes seraient acrocentriques. La fusion de deux paires de leurs chromosomes aboutirait aux caryotypes de Saga natoliae Serville 1839 et de Saga hellenica Kaltenbach 1967, comportant une paire de grands submétacentriques. Ces deux caryotypes se différencient par une inversion péricentrique touchant ces grands chromosomes, probablement chez S. natoliae. Saga campbelli Uvarov 1921 et Saga rammei Kaltenbach 1965, ont acquis une fusion chromosomique de plus et possèdent donc deux paires de grands submétacentriques. Le caryotype de S. rammei détient en plus une particularité de son hétérochromatine. Enfin, le caryotype de S. pedo est tétraploïde, probablement formé de la juxtaposition de deux génomes diploïdes par hybridation. La particularité de l’hétérochromatine de S. rammei se retrouve chez S. pedo sur deux chromosomes différents. Alors que l’on pourrait attendre des quadruplets ou des doublets de chromosomes, il existe une grande diversité de chromosomes en copie unique. Ceci démontre qu’un fort taux de remaniements chromosomiques a modifié le caryotype de S. pedo, postérieurement à son passage à la tétraploïdie. Cette accumulation de remaniements, aboutissant à une forte hétérozygotie, peut s’expliquer par l’absence de filtre méiotique chez cette espèce parthénogénétique. Nos dernières prospections terrain dans le sud des Balkans, nous ont amené à découvrir une zone probable d’intergradation entre Saga pedo et certains taxons sexués affines. L’analyse chromosomique des individus de cette région va sans doute se révéler d’une importance essentielle pour la poursuite de nos recherches.  相似文献   

2.
Dans le cadre de ses recherches sur le genre Saga, le G.E.E.M. enregistre en mai 2009 la naissance en élevage, d’un male et d’une femelle issus du croisement d’une femelle de Saga campbelli Kaltenbach 1965 avec un mâle de Saga hellenica Kaltenbach 1967. L’analyse cytogénétique de la femelle hybride confirme son origine hybride et qu’une seule translocation robertsonienne sépare les caryotypes de S. hellenica de S. campbelli. L’habitus du mâle montre une affinité plus forte avec S. hellenica qu’avec S. campbelli.  相似文献   

3.
Saga rhodiensis se révèle très proche de S. natoliae et ces deux taxons s’acceptent mutuellement pour la copulation. En outre, ils constituent, avec S. hellenica, un groupe assez homogène au niveau chromosomique. Sur le plan morphologique S. hellenica se distingue aisément des deux autres espèces, et aucun accouplement croisé n’a pu aboutir dans nos élevages. La découverte d’individus femelles de S. natoliae présentant les critères morphologiques de S. rhodiensis bien audelà de l’aire de distribution actuellement connue, nous interroge sur la pertinence de ces critères. Des investigations complémentaires sont nécessaires pour préciser le statut exact de S. rhodiensis.  相似文献   

4.
5.
Les affinités fauniques et la délimitation même du Turkestan en tant qu’entité biogéographique sont mal connues ou controversées. Elles sont discutées ici dans le cadre d’une révision systématique des espèces d’abeilles rubicoles du genre Ceratina. Onze espèces, dont une nouvelle: Ceratina (Euceratina) haladai n. sp., y sont répertoriées. Trois espèces sont redécrites et une clé d’identification est proposée. Toutes ces espèces sont soit présentes dans la région ouest-paléarctique, soit de proches parentes d’espèces méditerranéennes. Aucune espèce ne présente d’affinités notables avec les taxons orientaux ou est-paléarctiques. La carte de distribution de chaque espèce est établie et comparée à la distribution des biomes régionaux. Comme elles sont très largement polylectiques, les plantes butinées ne constituent probablement pas un facteur limitant de leur distribution. A l’inverse, leur nidification rubicole les cantonne à des biotopes riches en ronces (Rubus species) ou en autres plantes à tiges creuses ou médullaires (par ex. Verbascum species). Ceci explique leur implantation plutôt synanthrope en montagne et le long des fleuves.  相似文献   

6.
Le percher est un comportement répandu chez les espèces d’un assemblage de Scarabaeinae d’une forêt non perturbée de Guyane française. Quarante-trois espèces de percheurs ont été répertoriées sur 7 ans d’échantillonnage. Les fouisseurs diurnes de petite taille (moyenne 7,0 mm) dominaient sur les feuilles isolées et autour des défécations de Singes hurleurs ou des fèces humaines, avec une hauteur moyenne de percher de 62,8 cm. Les hauteurs étaient positivement corrélées aux tailles des insectes excepté pour cinq grandes espèces dont trois possédaient une défense chimique contre les prédateurs. Deux complexes mimétiques ont été identifiés. L’agrégation en dehors de la présence de ressource a été montrée. Les défécations de singes provoquaient une concentration d’insectes dont des Canthon (Glaphyrocanthon) arboricoles qui formaient leurs pilules sur les feuilles. D’autres espèces perchaient en attente de rencontrer au sol un partenaire ou de se livrer au kleptoparasitisme. Les signaux olfactifs pourraient jouer un rôle dans diverses modalités du percher. Compétition et prédation semblent être les principales contraintes auxquelles le percher répond.  相似文献   

7.
Nous rapportons les résultats sur la distinction entre deux espèces sympatriques du genre Phlebotomus, vecteurs de la leishmaniose viscérale à Leishmania infantum en Algérie. Dans les pays circum mediterranéen, Phlebotomus perniciosus Newstead 1911 a révélé l’existence de morphes atypiques qui sont à l’origine d’erreurs d’identification et par conséquent d’une confusion avec l’espèce voisine Phlebotomus longicuspis Nitzulescu 1930. Nous avons utilisé les critères morphologiques comme une première approche sur les variations morphologiques de ces espèces. L’identification repose, outre les caractères des appareils génitaux, sur le dénombrement des soies médianes des coxites qui permettent de déterminer l’existence de morphotypes particuliers de Phlebotomus perniciosus dans les localités prospectées.  相似文献   

8.
P. Silvie 《BioControl》1991,36(3):431-441
Résumé Le parasitisme naturel deS. derogata et deC. flava, 2 Lépidoptères phyllophages du cotonnier a été étudié pour la première fois au Tchad en 1986 et 1987. Le pourcentage de parasitisme des larves deS. derogata récoltées dans les champs avoisinait en moyenne 18,5% en 1986, année avec une faible infestation de larves et 14,1% en 1987, année avec une forte infestation. En 1986,Meteoridea testacea (Braconidae) était le parasito?de le plus commun tandis qu'en 1987, quand plus de larves h?tes étaient disponibles,Apanteles syleptae (Braconidae) était l'espèce la plus commune. En 1987, des parasito?des secondaires sortaient de beaucoup de cocons de braconides apportés du champ au laboratoire, pour une étude ultérieure. En 1987, 15,7% des larves deC. flava récoltées dans les champs furent parasitées. Les parasito?des primaires qui sortaient de ces larves étaient tous spécifiques des espèces. Le parasito?de primaire le plus commun étaitAleiodes aligharensis (Braconidae). Par opposition, les parasites secondaires n'étaient pas spécifiques, mais c'étaient les mêmes espèces qui infestaient les cocons des parasito?des deS. derogata.   相似文献   

9.
En utilisant des marqueurs allozymiques, nous avons étudié la structuration génétique de populations du puceron du pois prélevées en sympatrie, au printemps, lors de différentes années sur sept espèces de Fabaceae cultivées pérennes ou annuelles et sur une espèce pérenne spontanée (Vicia cracca). Par espèce végétale, nous avons trouvé une faible diversification génétique temporelle (caractérisée par l’indice de fixation) tant à l’échelle d’une saison qu’entre années, sauf dans le cas de la féverole où les génotypes mis en évidence diffèrent entre années. Des différences génétiques importantes se manifestent entre les populations d’aphides provenant de la luzerne par rapport à celles des autres Fabacées annuelles comme le pois. La constitution génétique des populations issues du pois et de V cracca présente de fortes analogies, ce qui fait de cette espèce vivace un hôte alternatif potentiel des pucerons vivant sur le pois.  相似文献   

10.
Est redécrite ici l’espèce Dalyat mirabilis Mateu, 2002, Coléoptère troglobie connu de trois grottes de la Sierra de Gádor (Almería, sud de la péninsule Ibérique). D. mirabilis a été placé dans la famille des Promecognathidae. Limportance des caractères qui définissent cette espèce si particulière justifie la proposition, non seulement du genre monospécifique Dalyat, mais aussi de la nouvelle sous- famille des Dalyatinae. La distribution amphitropicale actuelle des Promecognathidae (avec des représentants dans le nord-ouest de l’Amérique du Nord et en Afrique du Sud, en plus de l’espèce ibérique) suggère que cette famille puisse avoir eu son origine vers le milieu du Jurassique dans la Pangée centrale. Par la suite, après une différentiation précoce de la lignée ibérique, les Promecognathidae se seraient divisés en deux lignées supplémentaires par la séparation du Gondwana et de la Laurasie vers la fin du Jurassique. Finalement, l’émergence et la connexion continentale de la Sierra de Gádor dans le Messinien permettent de postuler que la colonisation des grottes, et l’adaptation à la vie cavernicole des ancêtres de D. mirabilis, doit avoir eu lieu après cet période géologique, peut-être au Pléistocène comme il a été proposé pour la plupart des arthropodes troglobies actuels de la péninsule Ibérique.  相似文献   

11.
Les espèces du genre Sisyphus Latreille, 1807, présentant des touffes de soies sur les élytres sont étudiées. Sept nouvelles espèces appartenant à ce groupe sont décrites, illustrées et comparées aux espèces proches: deux espèces aux ailes normalement développées, S. manni n. sp. et S. perissinottoi n. sp., et cinq espèces brachyptères, S. jossoi n. sp., S. janssensi n. sp., S. bouyeri n. sp., S. felschei n. sp. et S. usambaricus n. sp. Une autre espèce appartenant au groupe étudié, S. alveatus Boucomont, 1935, se révèle également être brachyptère. Elles constituent les premiers exemples de brachyptérisme au sein de ce genre. Une clé d’identification des espèces à touffes de soies sur les élytres est donnée.  相似文献   

12.
Les espèces seychelloises du genre Cratopus Schoenherr 1823 sont révisées, et quatre nouveaux taxons sont décrits. Espèce de grande taille (16–19 mm), C. roberti n. sp. possède dix stries élytrales, des fémurs antérieurs portant de petits denticules, y compris sur la dent, et un revêtement squamuleux vert métallique, avec une bande blanche le long de la base et des côtés des élytres, ainsi que sur les côtés du prothorax. Long de 8–10 mm, C. venustus n. sp. se reconnait à ses téguments noirs et brillants, sa vestiture réduite bleu-vert métallique, ses douze stries élytrales de forts points, ainsi qu’à ses interstries 8 et 9 caréniformes. C. griseovestitus northislandensis n. ssp. diffère de la forme nominative C. griseovestitus griseovestitus Linell 1887 par ses téguments coriacés et sa vestiture métallique du dessus dense, à reflets cuivre doré ou verts, et non gris blanchâtre ou bleuâtre. C. griseovestitus fregata n. ssp. diffère de son côté de la forme nominative par ses téguments bruns plus ou moins foncés, saupoudrés de poils et de squamules très petits. Les synonymies de C. parcesquamosus Fairmaire 1893 et de C. abbotti Linell 1907 avec C. aurostriatus Fairmaire 1892 sont confirmées, et enfin un tableau de détermination des espèces seychelloises du genre est donné. Les Cratopus des Seychelles se divisent en un ensemble de trois espèces du groupe de griseovestitus, à large répartition, habitant les côtes et les îles coralliennes basses et probablement d’arrivée récente, et un ensemble de six espèces limitées aux îles granitiques, où cinq d’entre elles ont une distribution limitée à l’intérieur d’une île ou deux. Elles sont certainement de souche beaucoup plus ancienne. Les Cratopus des Seychelles sont folivores à l’état adulte, et souvent polyphages. Une liste de leurs plantes-hôtes connues est donnée.  相似文献   

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H. Thill 《BioControl》1964,9(3):239-242
Résumé Les acariens prédateurs vivant sur pruniers, font partie de 8 espèces de la famille desPhytoseiidae, dont 1, espèce appartient au genrePhytoseiius et 7 au genreTyphlodromus. Seules trois de ces espèces sont assez nombreuses pour avoir de l'importance comme ennemis des araignées rouges. Leur présence au cours des années 1956 à 1962 a été soumise à des changements qui sont dus en première ligne à la lutte phytosanitaire, vis-à-vis de laquelle les espèces des acariens prédateurs sont d'une sensibilité différente. Les conditions climatiques se sont avérées être d'une influence analogue.   相似文献   

16.
Résumé

Wasmannia auropunctata (Roger 1863) est une fourmi originaire d’Amérique du Sud. Elle a été introduite au Gabon vers 1920 par des agronomes qui l’ont utilisée comme agent de lutte biologique contre certains insectes parasites du cacaoyer. Aujourd’hui, cette fourmi se retrouve en zone forestière même hors des anciennes plantations de cacaoyers. Depuis 1984, sa présence a été signalée dans le parc national de la Lopé qui fait partie des réserves protégées du Gabon. Des études antérieures réalisées en Nouvelle-Calédonie ont montré que la présence de W. auropunctata a d’énormes conséquences sur la biodiversité car elle a fait disparaître l’ensemble des fourmis de cette région. Quel peut donc être l’impact de sa présence au Gabon dans la zone de la Lopé? Ces études préliminaires de l’impact de W. auropunctata sur la biodiversité de la Lopé ont consisté à évaluer la dispersion de cette espèce et la densité relative des autres espèces de fourmis en présence sur le site. Les résultats montrent que W. auropunctata se répartit selon un gradient décroissant du point d’introduction vers l’intérieur de la forêt jusqu’à une distance de 120 m. Il n’y a pas de W. auropunctata au-delà de cette distance. Du point d’introduction jusqu’à 80 m de distance, la densité relative des autres espèces de fourmis varie de 0 à 10 %. Lorsqu’il y a forte densité de W. auropunctata, les autres espèces de fourmis sont absentes.  相似文献   

17.
B. Pintureau 《BioControl》1993,38(3):411-431
The genusTrichogramma includes numerous species which parasitize primarily the eggs of Lepidoptera worldwide. Thirteen European species were characterized biochemically to improve the systematic basis of this genus. Three enzyme systems, studied by electrophoresis, provided characters which discriminate among species. Nei distances were calculated to estimate the relationships among these species. Esterase bands proved to be a very reliable technique for discriminating among closely related species when morphological characters are not evident. The within and between population variability of isozyme patterns was greater than previously assumed forTrichogramma. The results allowed the affinity of some species to be reexamined.
Résumé Le genreTrichogramma comprend de nombreuses espèces qui parasitent les œufs d'insectes, surtout de Lépidoptères, dans le Monde entier. Treize espèces européennes ont été caractérisées biochimiquement pour améliorer les connaissances en systématique chez ce genre. Trois systèmes enzymatiques, étudiés par électrophorèse, ont fourni des caractères qui discriminent les espèces. Afin d'apprécier les relations existant entre ces espèces, des distances de Nei ont été calculées. Les estérases se sont révélées être de bon caractères pour identifier les espèces morphologiquement très proches. La variabilité à l'intérieur des populations est plus importante que ce qui était jusque-là admis. Les résultats ont conduit à réexaminer le contenu de certains groupes d'espèces.
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18.
Ochlerotatus caspius et Oc. detritus, deux espèces de moustiques fréquemment rencontrées en Tunisie, font l’objet de traitements insecticides en vue de limiter leur nuisance. Cependant, la portée de ces traitements demeure limitée compte tenu des grandes étendues de leurs biotopes larvaires et du caractère synchrone de leurs éclosions. Le but de cette étude vise à caractériser, à travers des analyses multivariées (AFC, CHA), la niche écologique de chaque espèce afin de définir des plans d’intervention plus adaptés. Nos résultats montrent que les abondances larvaires d’Oc. caspius et Oc. detritus sont principalement corrélées au couvert végétal et à la salinité des gîtes larvaires. En effet, Oc. detritus se développe abondamment dans les milieux fortement salés dominés par Sarcocornia fruticosa, alors qu’Oc. caspius est associé à une végétation plus diversifiée supportant une salinité moindre dominée par Juncus maritimus, et développant une litière végétale plus abondante.  相似文献   

19.
Cette publication présente les résultats d’une étude de 6.263 spécimens de Xylocopinae récoltés en France métropolitaine (France continentale et Corse) et en Belgique et qui proviennent de récoltes personnelles et de 63 institutions et collections privées. Les Xylocopinae de France sont représentées par 11 espèces du genre Ceratina et 4 espèces du genre Xylocopa. Seules deux de ces espèces sont présentes en Belgique : Xylocopa violacea (L.) et Ceratina cyanea (Kirby). Un nouveau sous-genre pour le genre Ceratina est décrit : Dalyatina n. subg. Il comporte l’espèce méditerranéenne Ceratina parvula Smith présente en France, ainsi que six autres espèces d’Afrique subsaharienne. Pour chaque genre, sous-genre et espèce, les auteurs fournissent une diagnose, une diagnose différentielle, la liste des fleurs visitées, la liste des sites de nidification, la carte de distribution en France métropolitaine, un diagramme phénologique et une clé d’identifi cation des genres, sous-genres et espèces. La systématique, la biogéographie, l’écologie et le sexe ratio des espèces sont présentés et discutés. Les Xylocopinae apparaissent comme très largement polylectiques mais montrent une très nette affinité envers les Lamiaceae, les Asteraceae Cardueae et, pour le genre Xylocopa, envers les Fabaceae. Toutes les espèces présentent une phénologie estivale qui s’étend d’avril à septembre. Le sexe-ratio de la plupart des espèces est biaisé vers les femelles. Aucun mâle de C. parvula, pour 120 femelles, n’a été observé ce qui suggère que, en France du moins, l’espèce pourrait se reproduire par parthénogenèse thélytoque comme c’est le cas de C. dallatorreana Friese. La publication comprend 62 dessins au trait, 18 photos au microscope électronique à balayage, 17 cartes, 14 graphiques de phénologie, une liste de 232 espèces de fleurs visitées par les Xylocopinae, dont 176 observations originales, et 171 références.  相似文献   

20.
Résumé. La leishmaniose cutanée est un important problème de santé publique dans la province de Sidi Kacem au nord-ouest du Maroc. L'incidence de cette affetion, due aussi bien à Leishmania tropica qu'à L. infantum est en augmentation progressive depuis 1997. La présente étude a été menée dans le but d'étudier l'écologie et la dynamique des populations des vecteurs de cette maladie dans les principaux foyers de cette province. Un total de 4504 spécimens appartenant à deux genres et six espèces a été capturé à l'aide de pièges adhésifs et lumineux, dans cinq foyers. Les espèces dominantes sont Phlebotomus sergenti représentant 42,6% du total des phlébotomes capturés et P. longicuspis avec 27,2% des captures. Ces deux espèces sont présentes de mai à novembre et évoluent en deux générations avec deux pics de densité, le premier en juin et le second en septembre. En considérant la grande spécificité vecteur-parasite connue en épidémiologie des leishmanioses ainsi que l'abondance des espèces capturées pendant la saison favorable à la transmission, P. sergenti et P. longicuspis seraient respectivement les vecteurs les plus probables des leishmanioses à L. tropica et à L. infantum dans la région étudiée. Le risque de transmission de la maladie serait plus grand durant le deuxième pic de densité en fin été- début automne.  相似文献   

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