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相似文献
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Les vingt-quatre espèces actuellement attribuées au genre Megalocoleus sont réexaminées après étude de tous les types disponibles. Les genitalia mâles et femelles apportent des caractères discriminants beaucoup plus fiables que les caractères externes et sont souvent indispensables pour séparer les espèces. Quelques caractères externes se révèlent néanmoins utiles mais ces derniers sont particulièrement difficiles à apprécier sur les spécimens qui ne sont pas en parfait état. Au terme de cette revue, il apparaît que le genre ne pourra être correctement défini qu’après étude de toutes les espèces décrites dans le genre voisin Amblytylus. Les modifications suivantes peuvent être néanmoins proposées dès à présent:– Réhabilitation d’une espèce, Megalocoleus krueperi (Reuter, 1879) bona species; en conséquence, M. satrapes Horváth, 1907 et M. binotatus (Wagner, 1953), auparavant synonymes de M. lunula, deviennent synonymes de M. krueperi (Reuter, 1879). – Mise en synonymie de 8 espèces: M. hungaricus Wagner, 1944 n. syn. de M. naso (Reuter, 1879); M. ocrensis Wagner, 1972 n. syn. de M. exsanguis (Herrich-Schaeffer, 1835); M. bifidus Wagner, 1973 n. syn. et M. fasciatus Wagner, 1969 n. syn. de M. lunula (Fieber, 1861); M. hirsutus Drapolyuk, 1991 n. syn. de M. signoreti (Reuter, 1879); M. confusus Wagner, 1958 n. syn. et M. pericarti Linnavuori, 1970 n. syn. de M. molliculus (Fallén, 1807). – Exclusion du genre Megalocoleus de quatre espèces; trois sont mises en synonymie: M. femoralis (Reuter, 1879), n. syn. de Tinicephalus hortulanus (Meyer-Dür, 1843), M. fumanae Wagner, 1974 n. syn. de Tinicephalus croceus Wagner 1969, M. servadeii Wagner, 1954 n. syn. d’Amblytylus tarsalis Reuter, 1894; une espèce, M. atricornis devient Tinicephalus atricornis (Wagner, 1965) n. comb. Une clé d’identification pratique (en français et en anglais), basée sur des caractères externes, tente de séparer les 14 espèces de Megalocoleus que le genre compte après cette étude.  相似文献   

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Résumé Une analyse par électrophorèse des protéines à 20 locus a été réalisée sur trois espèces du genre Mastomys au Sénégal. Malgré l'absence de locus diagnostique, une approche multivariée par analyses factorielles (AFC et AFD) permet néanmoins de reconnaître de façon sûre une des espèces en présence (M. cf. natalensis, 100% d'individus bien classés par l'AFD) et d'attribuer correctement les individus des deux autres espèces (M. erythroleucus et M. huberti) dans 92% et 77% des cas respectivement. Bien qu'écologiquement nettement différenciées, ces deux dernières espèces apparaissent très proches génétiquement (DNei=0,12) et montrent par ailleurs de hétérozygoties très elevées. Les faibles distances génétiques entre les trois espèces contrastent avec la forte différenciation chromosomique observée par ailleurs. Chez M. erythroleucus et M. huberti, les distances génétiques observées entre populations continentales ne sont pas corrélées avec les distances géographiques alors que les populations insulaires présentent une nette baisse de variabilité, en relation probable avec leur isolement géographique important. Par ailleurs, chez M. huberti, plusieurs populations s'écartent fortement de la panmixie. Ces tensions génétiques pourraient résulter de phénomènes d'introgression avec M. erythroleucus.
Compared genetic structures of three species of African rodents of the genus Mastomys from Senegal. A protein electrophoresis analysis at 20 loci was performed on three species of the genus Mastomys from Senegal. Although no diagnostic locus was found between the three species, they can be readily recognized by multivariate analysis (100% of the M. cf. natalensis, 92% of the M. erythroleucus and 77% of the M. huberti individuals could be correctly classified by discriminant analysis). Although ecologically quite clearly differentiated, M. erythroleucus and M. huberti were found to be genetically very close (DNei=0.12) and display very high heterozygosities. On the whole, the small genetic distances between the three species contrast with the high chromosomal differentiation that has been reported in another study. In M. erythroleucus and M. huberti, genetic distances between mainland populations are not correlated with geographic distances, whereas insular populations show an important decrease of variability probably linked with their geographic isolation. In M. huberti, some populations show a strong departure from panmictic equilibrium: these genetical tensions could result from introgression phenomena with M. erythroleucus.
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B. Hurpin 《BioControl》1959,4(3):233-248
Résumé Nous avons comparé, au laboratoire, la virulence pour les larves du Hanneton commun (Melolontha melolontha L.), ainsi que pour quelques autres espèces deScarabeidae (Amphimallon majalis Raz.,A. solstitialis L.,Oryctes nasicornis L.,Cetonia aúrata L.) de quatre types de maladie laiteuse: le germe pathogène dans la nature pour nos Vers blances indigènes:Bacillus popilliae, soucheMelolontha, B. popilliae Dutky,B. euloomarahae Beard, etB. lentimorbus Var.australis Beard. Les essais effectués à la fois par injection intralymphale et par contamination de la nourriture montrent que la souche indigène,B. popilliae soucheMelolontha, est la plus virulente pour les larves de cette espèce. Seule, elle est active par infection ?per os?. L'évolution de la maladie en fonction de la température a été étudiée en comparantB. popilliae ?Melolontha? àB. popilliae Dutky. Pour les deux germes il est nécessaire que la température soit supérieure à 15°C, l'optimum étant voisin de 25°C. Le nombre de spores injectées ou ingérées para?t avoir moins d'importance à condition qu'il soit plus grand qu'une dose minimum, inférieure à 10 000 spores injectées à l'individu. D'après les essais préliminaires réalisés jusqu'à présent, la virulence semble se conserver au cours des passages d'h?te à h?te aussi bien pour la souche fran?aise que pour la bactérie américaine. Le déclenchement de la métamorphose est compatible avec la poursuite de l'infection, mais la résistance des nymphes et la sensibilité des jeunes insectes parfaits empêche la contamination des imagos dans la nature.
Zusammenfassung In Laboratoriumsversuchen wurde die Pathogenit?t von folgenden 4 verschiedenen Erregern der ?Milchkrankheit? verglichen:Bacillus popilliae, Stamm ?Melolontha? (in der Natur bei uns vorkommend und für einheimische Engerlinge vonMelolontha pathogen),B popilliae Dutky,B. euloomarahae Beard. undB. lentimorbus, var.australis Beard; diese wurden in ihrer Wirkung gegenüber folgenden Scarab?idenarten untersucht:Melolontha melolontha L.,Amphimallon majalis Raz.,A. solstitialis L.,Oryctes nasicornis L.,Cetonia aurata L. Die sowohl durch intralymphale Injektion als auch durch Versuchung der Nahrung durchgeführten Versuche zeigen, dass der einheimische Bakterienstamm (B. popilliae, Stamm ?Melolontha?) der virulenteste für die Larven dieser Spezies ist: nur dieser führt nach peroraler Infektion zur Erkrankung. Der Einfluss der Temperatur auf die Entwicklung der Krankheit wurde anB. popilliae ?Melolontha? undB. popilliae Dutky verglichen. Beide Keime ben?tigen mehr als 15°C W?rme, ihre Optimaltemperatur liegt bei 25°C. Die Anzahl Sporen, die konsumiert oder injiziert wird, scheint weniger wichtig zu sein, sofern bei Injektionen der Minimalbetrag von 10 000 Sporen pro Individuum erreicht wird. Den bis jetzt durchgeführten Vorversuchen nach zu schliessen, scheint sich die Virulenz des franz?sischen sowie des amerikanischen Bakterienstammes durch übertragung von Wirt zu Wirt zu erhalten. Die Infektion dauert selbst bei Beginn der Metamorphose an, die Widerstandsf?higkeit der Puppen und der jungen Imagines macht jedoch einen Befall der letzteren in der Natur unm?glich.
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Résumé En France, une quarantaine de souches de l'EntomophthoraleZoophthora radicans (Brefeld) Batko ont été isolées d'Homoptères, de Lépidoptères, de Diptères et d'Hyménoptères. Le champignon s'est révélé capable d'exercer une action épizootique à l'égard du LépidoptèreTortricidae: Tortrix viridana L., de l'HomoptèreJassidae: Opsius stactogalus Fieb. et de l'HomoptèrePsyllidae: Trioza urticae L. Le comportement pathogène de 8 de ces souches (1 provenant d'un Lépidoptère, 2 de Diptères, 2 d'Hyménotpères et 3 d'Homoptères, respectivement d'un Aphide, d'un Jasside, d'un Psyllide), a été étudié simultanément vis-à-vis du puceronAcyrthosiphon pisum Harris. Les 8 souches diffèrent entre elles par leur infectivité, leur aptitude à produire des conidies et à former des rhizo?des. Parmi les 4 souches isolées en même temps dans la même localité, c'est la souche issue de Jasside et à un degré moindre la souche provenant de Psyllide qui se développeraient le plus rapidement dans les populations de pucerons, car elles possèdent, comparativement aux 2 autres souches, isolées respectivement d'un Hyménoptère et d'un Diptère, une forte infectivité et la plus grande capacité de conidiogénèse. Ces faits établissent sur des bases quantitatives l'existence chezZ. radicans d'une adaptation des souches à un h?te d'une famille proche dans la classification de celle de l'h?te d'origine.
Summary About 40 strains ofZoophthora radicans (Brefeld) Batko (Zygomycetes, Entomophthorales) were isolated in France from Homoptera, Lepidoptera, Diptera and Hymenoptera. Epizootics occurred in populations ofTortrix viridana L. (Lep.: Tortricidae), Opsius stactogalus Fieb. (Hom.: Jassidae) andTrioza urticae L. (Hom.: Psyllidae). The pathogenic behaviour of 8 of these strains (1 from Lepidoptera, 2 from Diptera, 2 from Hymenoptera and 3 from Homoptera: respectively from an aphid, a jassid and a psyllid) was studied simultaneously on the aphidAcyrthosiphon pisum Harris. The 8 strains differed from one another in infectivity and in their ability to produce conidia and to form rhizoids. Among 4 strains isolated at the same time in the same local area, that from the jassid and, to a lesser extent, that from the psyllid, were highly infective and produced more conidia per aphid than those from the Diptera and the Hymenoptera, suggesting that the former 2 would spread more effectively in aphid populations. These results establish quantitatively the existence inZ. radicans, of an adaptation of strains to an host taxonomically related to the host from which the strain was isolated.


avec la collaboration technique de Madame N. Delatre.  相似文献   

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《Geobios》1986,19(1):5-16
In this paper, two new species of Cricetidae, Hispanomys adroveri nov. sp. and Kowalskia meini nov. sp., from the locality of Casa del Acero (Fortuna basin, Middle Turolian, MN 12) are described. They have, in general, less evolved characters than their vicariant pairs in the Central Spain basins Ruscinomys schaubi and Kowalskia fahlbuschi. The latter is interpreted as being the result of the presence of more humid conditions in the Levant province than in the Interior basins.  相似文献   

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Myrica gale, Alnus rugosa and Populus tremuloides leaves were incubated in situ in the oligotrophic acid waters of the Canadian Shield (James Bay, Quebec) in order to follow microorganic decomposition, respiration and chemical transformations.Respiratory activities in decomposing speckled alder and trembling aspen leaves were more important than that in sweet gale. In spite of low nutrient concentrations in the water, nitrogen concentration increased in the three species while phosphorus levels increased only in the speckled alder during decomposition.
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Studies of skeleton elements of several jurassic species of Saitoum allow to compare them with Poulpus from Trias. The sub-family Poulpinae is introduced, caracterised by three cephalic arcs and the collar position of the cephalic structure. Among the jurassic forms, 4 species are newly described: S. corniculum, S. elegans, S. levium and S. trichylum.  相似文献   

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Intact sediment-water columns from a flowing cypress swamp receiving primary wastewater effluent were used to evaluate inorganic N removal and to determine the fate of 15NH inf4 sup+ -N added to the floodwater. Treatments represented wetland sites which had received 0 (initial application), 2, and 50 years of primary wastewater application. The rate of inorganic-N decrease in the floodwater was greatest for the initial application columns, primarily due to sediment adsorption of NH inf4 sup+ , followed by 2-year and 50-yr-columns. Maximum removal rates were 318, 296, and 148 mg N m–2 day–1, respectively. At the end of the 21-day study period, only 0.5 to 2.3% of applied 15N was recovered in the floodwater and 11.4 to 17.3% was recovered in the sediment, with the remaining 82.2 to 86.3% being lost from the sediment-water system. Results of the study indicated that N removal efficiency did not decrease with prolonged wastewater application, despite reduced sediment adsorption capacity, because of the significance of gaseous N losses (nitrification-denitrification, NH3 volatilization) as an N sink in the sediment-water system.Florida Agricultural Experiment Stations Journal Series No. 7712  相似文献   

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C. A. Dedryver 《BioControl》1978,23(2):137-151
Résumé Plusieurs espèces d'Entomophthora participent à la régulation des populations d'Aphis fabae Scop. sur féverole dans l'Ouest de la France. Les r?les respectifs de chaque espèce ont été évalués en 1971 et de 1973 à 1975. Entomophthora fresenii Nowak. est l'espèce qui se dissémine le plus rapidement et le plus complètement dans les parcelles, et qui est la plus agressive au niveau des colonies. Ces deux caractères en font l'agent pathogène dominant d'A. fabae dans l'Ouest, 3 années d'observations sur 4.Entomophthora aphidis Hoffman, bien que présent tous les ans n'est le pathogène le plus efficace qu'en 1973.Entomophthora thaxteriana Petch etEntomophthora planchoniana Cornu n'apparaissent pas chaque année et, lorsqu'ils sont présents, n'interviennent que pour une faible part dans le développement des mycoses. Des facteurs inhérents à l'agent pathogène (spécificité, caractères du cycle) ainsi que des facteurs écologiques (climatiques) sont évoqués pour expliquer la prédominance d'E. fresenii.
Summary Several species ofEntomophthora take part in the natural control ofAphis fabae Scop. on field beans (Vicia faba) in the West of France. The respective importance of each species was assessed in 1971 and from 1973 to 1975. Entomophthora fresenii Nowak. is the species that most completely and quickly spreads in the fields, and the most efficient in the colonies. For both reasonsE. fresenii is the main pathogen ofA. fabae in the West of France 3 years over 4. AlthoughEntomophthora aphidis Hoffman occurs every year, this species was the most efficient pathogen in 1973 only.Entomophthora thaxteriana Petch just occurred in 1974 and 1975 and, these years, its contribution in the total sum of infected aphids was low.Entomophthora planchoniana Cornu appeared in 1975 only, very late in the season, which makes its pathogenicity difficult to assess. Factors inherent to the pathogen (specificity ofE. fresenii, nature of its cycle, dependence of the aggregation of aphids) and ecological factors such as response to climate variations, may at least to a great extent explain the predominance ofE. fresenii. All these factors must be studied for a good understanding of this species.


Les 2 premiers mémoires de cette étude ont été publiés dans Entomophaga respectivement parRobert et al. (18, 1973, 61–75) etRabasse & Robert (20, 1975, 49–63)  相似文献   

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Christian Gaillard 《Geobios》1978,11(4):439-455
Coprulus, described by R. Richter & E. Richter (1939a) is very abundant in the Oxfordian marls and muddy limestones of the French Jura Mountains. These small cylindrical calcareous bodies are characterised by longitudinal grooves. They have been often found in washings but are also visible in thin sections. Coprulus is rarely mentioned by micropaleontologists but its stratigraphical and geographical range is certainly very extended. Often considered as Problematica, this trace fossil has been differently interpreted. This work confirms and specifies the results of F. Gramann (1966): Coprulus represents a fecal pellet of a deposit-feeder mollusc (Nuculidae?). Three new ichnospecies are described herein and the ichnogenus Coprulus is compared with Bactryllium, Coptocampylodon and Tomaculum.  相似文献   

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