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1.
Apterous virginoparae of A. fabae were reared on four different parts of broad bean seedlings. The energy channeled into larval growth, exuvia, adult reproduction and excretion was measured throughout the aphid's life. The greatest differences in the energy budgets were during reproductive life when aphids living on young stems fed at a much greater rate and were more fecund than those living on mature stems. There were also considerable differences in energy utilization of aphids reared on young plant growth and mature plant growth but there were few differences between stem and leaf dwellers.
Résumé Le puceron noir de la fève A. fabae, bien que vivant normalement sur les extrêmités des tiges en croissance des plantes herbacées, peut en fait vivre et se reproduire sur d'autres parties de la plante. Le budget énergétique de cet insecte a été établi comparativement pour des pucerons vivant sur de jeunes tiges sur de jeunes feuilles, sur des tiges et des feuilles pleinement développées de pieds issus de semis. On a mesuré pour des aphides élevés sur chacun de ces sites: l'énergie utilisée pour la croissance pondérale au cours de la croissance larvaire, Pg, l'énergie correspondant aux exuvies larvaires Pe, l'énergie utilisée pour la reproduction de l'adulte Pr, celle correspondant aux excrétions de la larve et de l'adulte. Pour des pucerons vivant sur des feuilles pleinement développées on trouvé: Pg=10% de l'énergie totale consommée, Pr=45%; Pe 1%; R 7% et F+U 37%. Pour des pucerons vivant sur des jeunes feuilles: Pg=7%; Pr 34%; Pe 1%, R 5% et F+U 53%. Pour des pucerons vivant sur des tiges âgées: Pr=18%, Pr 36%; Pe 1%, R 8% et F+U 37%. Pour des pucerons élevés sur jeunes tiges: Pg 9%, Pr 42%; Pe 1%, R 6% et F+U 43%. Les différences les plus significatives s'observent pour des pucerons adultes dont l'énergie utilisée pour la reproduction est sérieusement réduite pour les individus s'alimentant sur des tiges âgées.
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2.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
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3.
Galling by Dysaphis devecta benefits groups of Aphis fabae as they are larger both on control and nitrogen-deprived apple plants which have been galled. Presumably D. devecta gains these advantages for itself because it can produce galls.Honeydew from A. fabae feeding on galled and ungalled control apple plants of the same age differs in its amino-acid content. It is thought that the presence of larger amounts of amino acids in the honeydew of aphids feeding on galled plants indicates that they had access to a better supply of these essential nutrients and consequently were able to attain a larger body-size.
Résumé Le puceron Dysaphis devecta Walker provoque des galles rouges sur les feuilles du pommier. Il n'est pas possible d'évaluer les bénéfices que peuvent offrir à ce puceron cette formation de galles, mais si on élève sur ces mêmes feuilles Aphis fabae Scop. qui lui ne provoque pas de galles, alors on peut constater que la formation de galles est bénéfique pour cette dernière espèce.Deux lots de ces pucerons ont été élevés sur des jeunes pommiers âgés de deux semaines, un lot se composant uniquement de cinq larves d'A. fabae, l'autre comportant quatre larves d'A. fabae et une de D. devecta. La même expérience a été répétée pendant quatre générations avec les descendants de chacun de ces lots de Puceron. Dans toutes les générations la longueur moyenne des pucerons élevés sur les plantes attaquées simultanément par un individu de D. devecta était supérieure à celle des pucerons issus de lots se composant seulement d'A. fabae. En même temps les Aphis fabae des lots mixtes se développaient plus rapidement et moins d'ailés sont apparus.D'autres essais ont été réalisés de la même façon, mais les plantes étaient âgées de cinq semaines et avaient reçu des solutions nutritives complètes ou sans azote. A nouveau, l'influence de d. devecta sur la plante-hôte a entraîné une alimentation plus favorable pour Aphis fabae pendant quelques générations.Le miellat d'A. fabae s'alimentant sur des plantes de même âge, attaquée ou non par D. devecta diffère par sa teneur en acides aminés; celle-ci est plus, élevée dans le miellat des pucerons se nourrissant sur des feuilles portant des galles. La production de galles foliaires par D. devecta favorise donc la production d'acides aminés ce qui est bénéfique pour ce puceron gallicole.
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4.
A non-gall-forming aphid, Macrosiphum euphorbiae, was reared within the galls of Dysaphis devecta and Aphis pomi which had been induced in apple seedlings. Similar aphids were also reared on ungalled seedling leaves of a similar age and also on mature leaves and in old galls.There is a weak positive linear relationship between lipid content and pre-reproductive adult dry weight, but aphids living on young galled or ungalled plant tissue have 30% lipid compared to 11% for aphids living on old plant tissue. Adult aphids gradually decline in weight, losing between 24% and 38% of their pre-reproductive biomass before death. The energy content of this loss subsidieses reproduction. Reproduction of aphids feeding in old galls or on mature leaves was negligible, but on younger tissues average fecundity was 31, there being little difference between aphids living on galled and ungalled tissue. There is no simple relationship between pre-reproductive adult embryo content and fecundity.The principal factor mediating honeydew production was aphid size and this factor overrides any variation caused by different feeding sites. Honeydew production averaged 0.43 mg during a life of 30 days. Aphids successfully completing their life cycle have a life-time energy consumption of 30.58 joules of which 18% is lost as heat during respiration (R), 30% is contained in honeydew (F+U), 1% is contained in exuviae (Pe). Larval growth accounts for 17% (Pg), and adult reproduction for 34% (Pr).The P/C ratio for M. euphorbiae is 53% and is broadly comparable with aphids living on herbaceous plants.
Résumé Un puceron ne formant pas de galles, Macrosiphum euphorbiae, a été élevé dans des galles de Dysaphis devecta et Aphis pomi formées sur semis de pommiers. D'autres M. euphorbiae ont été élevés sur feuilles sans galles du même âge provenent de semis identiques, sur feuilles mûres et sur vieilles galles.Il y a une faible relation positive linéaire entre la teneur en lipides et le poids sec des adultes avant la reproduction, mais les pucerons élevés sur tissus végétaux jeunes avec ou sans galles contiennent 30% de lipides contre 11% pour ceux élevés sur tissus âgés. Le poids des pucerons adultes diminue progressivement, la perte avant la mort se situant entre 24 et 38% de la biomasse avant la reproduction. Le contenu énergétique de ces pertes alimente la reproduction. La reproduction de pucerons consommant les vieilles galles ou les feuilles mûres était négligeable, mais sur jeunes tissus la fécondité moyenne était de 31-avec peu de différences entre pucerons sur galles ou feuilles-. Il n'y a pas de corrélation simple entre le contenu en embryon des adultes avant la reproduction et la fécondité.Le principal paramètre conditionnant la production de miellat est la taille du puceron; ce paramètre surpasse toute variation provoquée par les divers lieux d'alimentation. La production moyenne de miellat est de 0,43-mg pendant une vie de 30 jours. Les pucerons accomplissant leur cycle avec succès utilisent pendant leur vie 30,58 joules, dont 18% sont dissipés sous forme de chaleur pendant la respiration (R); le contenu du miellat (F+U) correspond à 30%, et 1% est contenu dans l'exuvie (Pe). La croissance larvaire (Pg) utilise 17%, et l'activité reproductrice des adultes (Pr) 34% de l'énergie. Le rapport P/C-53% pour M. euphorbiae-est globalement comparable à celui des pucerons vivant sur plantes herbacées.
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5.
The effects of diet during the fifth stadium on performance of adult N. viridula were determined through comparing growth, fecundity, and duration of tethered flight of insects reared on four axenic diets: fresh green bean, raw-shelled peanut, a combination of the two and soaked soybean seed. Females reared on the combination diet were heavier than those reared on green beans and oviposited more than those reared on peanuts. Three-day-old adult females reared on peanuts flew longer than those reared on green beans. More females reared on diets containing mature seed showed a capacity for extended flight and had larger fat bodies at 34-days postemergence. Thus, inadequate diet during the fifth stadium irreversibly affected growth, development, reproduction and flight capacity.
Résumé Les effets du régime alimentaire pendant le 5ème stade sur les performances imaginales de N. viridula ont été déterminés en comparant la croissance, la fécondité, la durée du vol captif, et l'accumulation de corps gras chez des insectes élevés sur 4 régimes stérilisés. A partir de la formation des larves de 5ème stade, elles ont été alimentées sur haricots verts et arachides, ou transférées sur un régime formé exclusivement d'arachides, ou de haricots verts, ou de graines de soja trempées, cependant la durée du 5ème stade. Les insectes ont été transférés sur un régime de haricots verts et arachides à leur émergence.Les femelles élevées continuellement de haricots verts et arachides étaient plus lourdes (P<0,01) à l'émergence (161,6 mg) que celles élevées sur haricots verts (146,3 mg) pendant le 5ème stade, et pondent plus d'oeufs (P<0,08) pendant une durée de 34 jours (100,9 oeufs) que celles élevées sur arachides (54,7 oeufs). Plus de femelles élevées sur haricots verts et arachides (76,2%) pondent que celles élevées sur arachides (61,1%), soja trempé (62,5%), ou haricots verts (60,9%).Les femelles élevées sur arachides volaient plus longtemps (P < 0,01) (42,9 mn) que celles élevées sur haricots verts (19,8 mn) pendant des vols captifs le 3ème jour après l'émergence. 78% de toutes les femelles élevées sur arachides volaient >-30 mn, contre 50% pour celles élevées sur haricots verts et arachides, ou soja trempé, et 35% pour celles élevées sur haricots verts. Seulement 7% des femelles élevées sur haricots verts volaient à la 60ème minute à la fin du test, contre 25% pour les femelles soja trempé, 33% pour les femelles haricots verts et arachides, et 47% pour celles élevées sur arachides. Les femelles ont été disséquées 34 jours après l'émergence pour déterminer l'importance du corps gras. Les indices de corps gras (Kiritani, 1963) montraient que les femelles élevées sur arachides (1,8) et graines de soja (1,7) ont apparemment un corps gras plus développé que celles élevées sur haricots verts et arachides (1,5), our haricots verts (1,2), pendant le 5ème stade.Ces résultats montrent que l'alimentation pendant le dernier stade larvaire de N. viridula affecte irréversiblement la croissance, la fécondité et l'aptitude au vol des femelles. En estimant que des résultats semblables auraient été obtenus avec des insectes élevés sur ces 4 aliments depuis l'éclosion, haricots verts et arachides constituent le meilleur aliment pour l'élevage de N. viridula. Ce régime fournit une graine mûre, vraisemblablement nécessaire pour l'accumulation d'un corps gras suffisant et une aptitude au vol migratoire, et une plante verte qui fournit les aliments apparement essentiels à l'ovogenèse.
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6.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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7.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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8.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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9.
Unless leaf-water content is maintained near the saturation level of excised leaves via high humidities and leaf-water supplementation via the petiole, larval growth is suppressed. In 87 paired feeding experiments involving sixteen species of Lepidoptera, the effects on larval growth of leaves with, and without, leaf-water supplementation were compared. Suppressive effects upon the efficiencies of larval growth were observed for larvae fed leaves without water supplementation. These effects were more pronounced for tree leaf-feeders than for forb leaf-feeders.
Résumé La croissance des chenilles est supprimée quand la teneur en eau des feuilles coupées n'est pas maintenue proche de la saturation grâce à une humidité ambiante élevée et grâce à un apport d'eau supplémentaire par le pétiole. La comparaison des effets sur le développement larvaire de 16 espèces de Lépidoptères avec ou sans apport supplémentaire d'eau foliaire a été effectuée au cours de 87 expériences.L'absence d'apport supplémentaire d'eau affecte la croissance des chenilles alimentées sur feuilles. Les effets les plus marqués s'observent sur l'avant dernier stade et sont plus nets sur les chenilles consommant les feuilles d'arbres que sur celles consommant les plantes herbacées. L'E.C.D. (efficacité de conversion de la biomasse digérée) subit la réduction la plus nette, particulièrement chez les chenilles consommatrices de feuilles d'arbres. La teneur en eau de ces dernières est faible même quand elles sont saturées. La croissance des chenilles observée dans ces expériences laisse supposer que les feuilles d'arbres, avec une teneur à saturation de 50% à 75% d'eau, ne permettent pas le taux de croissance des chenilles des plantes herbacées dont la teneur en eau est de 80% à 95%.Un apport supplémentaire en eau pour les feuilles d'arbres peut empêcher la combustion superflue de biomasse assimilée et d'énergie pour l'eau métabolique, ainsi que toutes les tentatives pour mesurer les dépenses respiratoires liées au degré de spécialisation alimentaire larvaire ou les possibilités de détoxification devraient comprendre un apport supplémentaire d'eau pour maintenir la saturation des feuilles coupées. Même alors, l'efficacité des conversions de biomasse végétale, d'énérgie et d'azote pendant la croissance larvaire dépend fortement des disponibilités, pour les larves, des différentes plantes-hôtes, en eau foliaire.
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10.
Planthoppers and leafhoppers (Delphacidae and Deltocephalidae) were reared on a holidic diet for eight generations. On the holidic diet, nymphal stages were prolonged, but they became shorter after the fourth generation. The resulting adults showed no difference in sizes compared with the controls. The survival of nymphs was improved after the third and subsequent generations.
Résumé La Cicadelle Laodelphax striatellus a pu être élevée pendant huit générations successives sur un aliment synthétique de composition chimique connue, dérivé de deux utilisés par divers auterus pour des Aphides. On note un allongement de la durée de développement de chaque stade larvaire, bien qu'après la 4ème génération cette durée diminue, tout en restant plus grande que pour les témoins. Les adultes obtenus ne présentent pas de différence de taille par rapport aux témoins, mais on remarque qu'ils sont tous du type macroptère, alors que quelques brachyptères apparaissent toujours dans les élevages sur pousses de riz, particularité déjà signalée à propos d'Aphides. La mortalité larvaire sur milieu alimentaire synthétique est élevée, mais le pourcentage de survie s'améliore de génération en génération pour égaler ou même surpasser celle des témoins à la 8ème génération. La fertilité des femelles élevées sur aliment synthétique est considérablement amoindrie.D'autres Homoptères, Delphacidae et Deltocephalidae ont été élevés sur ce même milieu de l'éclosion jusqu'au stade adulte.
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11.
The effect of various concentrations of agar and cellulose on the efficiency of larval diets for Dacus oleae (Gmel.) was investigated. Agar ranged from 0–2g and cellulose from 0–30g/55ml H2O. Puparial recovery varied from 5–86.5% of hatched eggs; in diets with 0.25g, and higher than 1.5g agar, it declined at the highest and lowest cellulose levels; in those with 0.5–1.25 g agar it was high at all cellulose levels except the poor 0.5:30; diet 0:30 gave the highest yield (86.5%). Larval development was 10–15 days (50% pupariation) and it was longest at very low or high levels of both materials except 0:30 in which it was short. Growth (3.2–6.9mg) was lower in diets at the highest levels of both materials except 0:30 in which it was high. Adult emergence (75–98%) was not correlated with puparial weight or recovery.From diet 0:30, diet T was derived by taking out peanuts and omitting heating without any loss in the efficiency.The advantages and improved physical characteristics of the agarless media with the increased cellulose levels are discussed.
Résumé L'effet de diverses concentrations d'agar et de cellulose sur l'efficience d'aliments larvaires par Dacus oleae a été étudié. Les concentrations d'agar allaient de 0 à 2 g et celles de cellulose de 0 à 30 g/55 ml d'eau. Le nombre de pupes obtenues variait de 5 à 86,5% du nombre d'ufs éclos; avec des aliments contenant 0,25 g et plus de 1.5 g d'agar, ce pourcentage diminuait pour les teneurs en cellulose les plus élevées et les plus faibles; avec 0.5–1.25 g d'agar il était élevé pour toutes les concentrations en cellulose sauf pour le rapport 0.5:30; l'aliment avec un rapport 0:30 a donné la plus forte récolte de pupes (86.5%). Le développement larvaire était de 10–15 jours (50% pour la pupaison), le temps le plus long s'observant sur aliments avec les taux très faibles ou élevés de ces deux constituants, sauf sur ceux offrant le rapport 0:30, avec lesquels le développement était court. La croissance (3,2–6,9 mg) était plus faible avec les aliments ayant les plus hautes teneurs en agar et cellulose, excepté dans le rapport 0:30 aliments avec lesquels la croissance était forte. L'émergence des adultes (75–98%) n'était pas en corrélation avec le poids pupal ou le nombre de pupes obtenues.Un aliment larvaire, T, a été défini, à partir d'aliment du type 0:30, en éliminant les arachides et supprimant le chauffage, sans enregistrer aucune perte d'efficience.Les avantages et l'amélioration des caractéristiques physiques des milieux sans agar avec une teneur accrue en cellulose, sont discutés.
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12.
The hypothesis that arbivorous insects are protein limited was tested by feeding larvae of Datana ministra mature leaves of Tilia americana that were coated with a mixture of protein. Larvae fed the protein supplement had a lower ingestion rate and net growth efficienty but higher apparent digestion efficiency and apparent assimilation rate than control larvae. Protein supplement had no effect on the rate of growth of 5th instar larvae although larvae fed added protein pupated at a lower weight than control larvae. The added protein placed a metabolic load on the larvae, perhaps by excessive nitrogen excretion demands and osmotic imbalance. The results do not support the hypothesis that arbivorous insects are protein limited.
Résumé L'hypothèse suivant laquelle la croissance des larves d'insectes est limitée par l'insuffisance des protéines disponibles dans les feuilles d'arbres a été examinée par l'alimentation des chenilles de Datana ministra Drury sur feuilles développées de Tilia americana L. enduites d'une mixture de protéines d'oeuf et de lait. Des chenilles de second stade, prélevées dans des colonies naturelles, ont été séparées en un lot témoin élevé en masse sur feuilles coupées et un lot expérimental élevé sur feuiles coupées mais enduites de protéines. Le bilan en matière sèche, le taux de croissance, la relation entre ce taux de croissance et la quantité de matière ingérée, le poids des prénymphes ont été déterminés sur 10 chenilles de dernier stade dans chaque lot. Les chenilles ayant consommé un supplément de protéine ont présenté un plus faible taux d'ingestion et un plus faible rendement de croissance, mais une meilleure efficacité apparente d'ingestion et un meilleur taux apparent d'assimilation que les témoins.Le complément protéique n'a pas eu d'effet sur le taux de croissance des chenilles de 5ème stade bien que l'alimentation avec addition de protéines ait provoqué la nymphose à un poids larvaire plus faible. L'addition de protéines avait provoqué une chargé métabolique pour les chenilles, peut-être en provoquant une demande d'excrétion d'azote excessive ou en créant un déséquilibre osmotique, ce qui aurait provoqué une réduction du taux de croissance et du poids des chenilles malgré un taux d'assimilation supérieur. Ces résultats ne confirment pas l'hypothèse que les insectes des arbres sont carencés en protéines.
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13.
The southwestern corn borer was reared on a meridic diet containing wheat germ and wheat germ oil as its only plant adjuvants. The insect's requirements for protein, a mineral mixture, and L-ascorbic acid were studied using a bioassay based on larval growth rate and adult wing condition. The principal results showed that dietary supplements of casein (5.0%), a mineral mixture with nine components (0.9%), and L-ascorbic acid (0.5%) were essential for optimum growth and development of the insect.
Résumé Diatraea grandiosella ou Southwestern Corn Borer, a été élevé sur un aliment de type méridique et on a déterminé ses besoins quantitatifs en protéïne, en sels minéraux et en acide ascorbique. Un test biologique a été conçu, basé sur le pourcentage de chrysalides obtenues et sur les conditions de développement des ailes, cela dans chaque test et dans le groupe témoin. Un supplément alimentaire de 5% de vitamine sans caséine, a permis une croissance et un développement optima.Une modification de la teneur en caséine de 2% a un effet défavorable sur la vitesse de la croissance larvaire. L'insecte exige un mélange de sels minéraux; une concentration de 0,9% de ce mélange est optima. En l'absence de ce supplément, la croissance larvaire est significativement ralentie. L'acide L. ascorbique a aussi été reconnu indispensable, sa présence, au taux de 0,5%, donne les meileurs résultats. La plupart des larves élevées sur milieux manquants d'acide L. ascorbique meurent au cours de la mue, entre le 4ème et le 5ème stade. La comparaison entre les présents résultats et deux d'autres chercheurs sont discutés.


Contribution from the Missouri Agricultural Experiment Station, Columbia, as journal series no. 7116.  相似文献   

14.
Presumptive alatiform larvae deposited by groups of plant-reared apterous Myzus persicae can be diverted to an apterous course of development on artificial diets, which, although providing all essential nutrients, have an amino nitrogen ratio suboptimal for growth. These results are in contradiction to a widely accepted assumption that poor nutrition induces alata-production. Experiments with a newly developed continuous-flow artificial feeding apparatus for aphids showed that a nutritionally imbalanced diet may indeed favour wing production in case such a diet stimulates restlessness of the aphids. The tendency to follow an apterous course of development can be neutralized by inhibitors of the synthesis of indole alkylamines in new-born larvae, reared under conditions of controlled crowding stimuli. The possible significance of monoamine metabolism in wing formation of M. persicae is discussed.
Résumé Des larves présumées alatiformes, nées d'aptères de Myzus persicae élevées sur des plantes, peuvent donner des aptères quand elles sont transférées sur des milieux artificiels d'une composition appropriée. Ces milieux contiennent tous les éléments nutritifs essentiels pour la croissance, seule la proportion des acides aminés est suboptimale. Ces résultats sont en contradiction avec l'opinion générale qu'une nutrition déficiente a pour conséquence la production d'alatiformes.À l'aide d'un appareil nouvellement mis au point et avec lequel il est possible d'assurer une alimentation continue des pucerons, on a pu mettre en évidence que la production d'alatiformes est possible sur un milieu nutritif suboptimal, mais il s'est révélé que cela est dû à l'augmentation de l'agitation des larves.Dans les larves nouvellement nées et élvées dans des conditions d'une surpopulation contrôlée, la tendance des pucerons à devenir aptères peut être neutralisée par des inhibiteurs de la synthèse des indol-alkylamines. L'importance du metabolisme des mono-amines dans la formation des ailes est discutée.
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15.
The amount of honeydew excreted by the pea aphid, Acyrthosiphon pisum (Harr.), reared singly and in groups on susceptible resistant varieties of peas, Pisum sativum L., grown under greenhouse conditions, was measured. Excretion by isolated aphids was interrupted at moulting for mean periods of 12 and 16 hr, and between moults and in the adult stage for mean periods of 3 to 15 hr, although in many cases the aphids remained in the feeding position. Droplet volume, frequency, and rate of excretion were generally proportional to the susceptibility of the host variety on which the aphids were feeding. The rate of feeding on susceptible varieties was higher and contributed therefore to the faster rate of aphid growth; a greater proportion of the material ingested was excreted and a lesser proportion assimilated than on resistant varieties. Honeydew from aphids feeding on susceptible varieties usually contained a slightly higher concentration of free amino acids and amides.
Résumê La production de miellat par le puceron du pois, Acyrthosiphon pisum (Harr.), élevé isolément et en groupes a été mesurée sur des variétés sensibles et résistantes de pois, Pisum sativum L., cultivées en serre. La production de miellat par les pucerons isolés fut interrompue au moment de la mue durant les périodes moyennes de 12 et 16 hr; elle fut interrompue entre les mues et ausi au stade adulte durant des périodes moyennes de 3 á 15 hr, même lorsque les aphides en observation paraissaient se nourrir, le bout de leur rostre étant placé sur les nervures des feuilles. Le volume moyen des gouttelettes, la fréquence et le taux d'excrétion furent en général proportionnels au degré de sensibilité de la variétéhôte. Le taux d'ingestion de ces insectes fut plus élevé lorsqu'ils se nourrissaient sur les variétés sensibles, contribuant ainsi à accélérer leur croissance. Une plus grande proportion de la matière ingérée fut excrétée et une proportion moindre assimilée sur les plantes sensibles. Le miellat des pucerons se nourrissant sur les variétés sensibles avait une teneur légèrement plus élevée en amides et acides aminés.
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16.
Initial population growth of spotted alfalfa aphid reared on shoots cut from individual lucerne plants, was tested and used as a realistic bioassay of antibiosis. Within cultivars selected for aphid-resistance there was a J-shaped distribution of antibiosis between plants of the crop, the majority being highly resistant, a few apparently susceptible and a proportion partly-resistant. For a given level of antibiosis, reproduction, mortality and thus initial age distribution of aphid populations were generally similar. Vegetative cloning of plants from the range of resistance available in a cultivar has allowed studies of the likely effect of spatial variation of resistance in crops on aphid infestations, using experimental arrays of cut shoots. Simulation of aphid invasion of crops by the placement of adults on all shoots of an array gave results explicable only if the aphids moved through the array to find and breed on the more susceptible plants. A patchy arrangement of these, as might be expected in a field crop, would not hinder the aphids, for although movement off a plant is stimulated by higher resistance (non-preference) levels, it was inferred that aphids will move onto higher resistance plants, eventually to reach lower resistance plants beyond.
Résumé L'étude de la multiplication initiale des effectifs de T. trifolii, élevés au laboratoire sur pousses de différents pieds de luzerne, a servi de test d'antibiose pour les cultures en plein champ. La distribution de l'antibiose, dans des échantillons importants de plantes appartenant à des cultivars sélectionnés pour leur résistance aux pucerons, a présenté une forme en J, c'est-à-dire que la majorité des plantes était très résistante, quelques unes apparemment sensibles, et un certain nombre intermédiaires entre ces deux extrêmes. Pour un niveau donné d'antibiose, la reproduction, la mortalité et ainsi la distribution initiale en âges dans les populations de pucerons ont été généralement identiques. La multiplication végétative de plantes présentant un gradient de résistance à l'intérieur d'un cultivar et l'utilisation d'un plan de distribution des boutures ont permis l'étude de ce qui semble être l'effet de l'hétérogénéité spatiale sur la résistance des cultures aux attaques de pucerons. La simulation d'une invasion de la culture par les pucerons en plaçant des adulte sur toutes les boutures d'un rang ne pouvait donner une explication de la croissance de la population que si les pucerons se déplacaient le long du rang pour découvrir et exploiter les pieds les plus sensibles. Une distribution par taches, comme on peut l'envisager dans un champ, ne devrait pas gêner les pucerons, car bien que les mouvements d'évasion soient stimulés par les niveaux de résistance élevés (de non-préférence), on peut en déduire que les pucerons se déplaceront sur des plantes très résistantes, eventuellement pour atteindre des plantes moins résistantes placées derriere.
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17.
Crowding larvae of Spodoptera littoralis (Boisd.) [= Prodenia litura F.] shortened the larval period but lengthened the pupal period. Crowding also reduced the pupal weight and the length of the body of the resultant adult, and produced darker coloured larvae. The type of food also affected the time taken to develop. When larvae are reared in isolation they are pale in colour, very inactive and hardly react to other larvae that touch them. Crowded larvae may be pale or darker in colour and show a number of reactions to one another on contact. They are more active than isolated larvae, and darker ones are more active than pale ones.
Résumé Des chenilles de Spodoptera littora is élevées isolément et nourries de feuilles de Patience (Rumex patiencia), ont un développement larvaire plus long que celles élevées sur d'autres plantes à des températures analogues. Le groupement de 20 chenilles, dans une cage de 500 ml, diminue la durée de leur vie larvaire (22,3 jours en moyenne, contre 25,3 jours pour les chenilles témoins élevées isolément), mais accroît la durée de la nymphose (14,7 jours en moyenne, contre 9,7 jours pour les témoins). Toutefois la durée totale du développement larvaire et nymphal demeure semblable: en moyenne 35,0 et 35,6 jours respectivement.Les chrysalides obtenues à partir de chenilles isolées sont plus lourdes et les adultes qui en proviennent ont le corps et les ailes plus longs, par rapport aux chrysalides et adultes des élevages groupés. La mortalité est plus élevée dans les élevages en groupes, surtout pendant les derniers stades, larvaires. A l'éclosion les parties dorsales du corps sont de couleur vert jaune, mais en vieillisant les chenilles prennent dorsalement une coloration jaune — rouge foncé. Les chenilles isolées sont de coloration pâle, celles groupées sont pâles ou sombres; les premières sont les moins actives, les secondes les plus actives.Les chenilles elevées groupées se déplacent beaucoup plus que celles élevées isolement, L'activité varie d'ailleurs avec l'âge, elle est plus grande pour des chenilles âgées de 10 jours que pour celles âgées de 15 jours.II y a quelques similitudes entre le comportement des chenilles groupées de Spodoptera et celui des larves de Criquet, en particulier dans les mouvements de masse et l'aggrégation des chenilles de Spodoptera.


This is a part of post-doctorate research carried out at the Anti-Locust Research Centre, London.  相似文献   

18.
An aphid rate of increase index was used as a comparative measure of antibiotic resistance to Aphis fabae Scopoli (Homoptera: Aphididae) in five faba bean cultivars. The index was measured over a range of bioassays in laboratory and field, with seedlings and older plants, with three different previous aphid hosts and with two different aphid clones. Antixenotic resistance was measured by recording host selection and acceptance of the same cultivars by alate aphids. Cultivars which were antibiotically resistant were also antixenotically resistant. Antibiotic, but not antixenotic resistance, was less effective in the field than in the laboratory. The resistance of cv. Herra was influenced by previous aphid host, aphid clone and plant age but the resistance of Line 14 was more stable. Honeydew production was measured; aphids on resistant cultivars produced less honeydew of lower amino acid concentration than those on susceptible cultivars.
Résumé L'importance des composantes antibiotique et antixénotique de la résistance de la fève à A. fabae a été évaluée dans différentes conditions au champ et au laboratoire.Un indice de performance du puceron sur des cultivars témoins très voisins du taux intrinsèque d'accroissement naturel a été utilisé pour les mesures comparant la résistance antibiotique. La lignée 14 et le cv. Herra ont été les plus résistants des 5 cultivars examinés. La résistance antibiotique de 14 par comparaison avec les cultivars sensibles n'a pas été modifiée par l'âge de la plante, le clone de puceron ou les cultivars qu'avaient eu précédemment les pucerons dans des expériences de laboiratoire. La résistance de Herra était moins stable. Les différences entre résistances antibiotiques des cultivars était plus faible en champ où aucune différence significative dans les taux de multiplication des pucerons n'a été observée.L'antixénose a été évaluée au laboratoire en mesurant les taux d'installation des ailés sur les cultivars et les taux d'acceptation des ailés quand ils avaient été placés sur les cultivars. La résistance antixénotique a refleté la résistance antibiotique. L'antixénose reste efficace quand aucun cultivar sensible alternatif était disponible. Des observations sur des infestations précoces de pucerons sur parcelles ont laissé penser que l'antixénose était effective aux mêmes niveaux au champ et au laboratoire.Les pucerons s'alimentant sur des cultivars résistants ont produit moins de miellat avec une plus faible concentration en acides aminés.Ces résultats font penser que les efforts dans la sélection pour la résistance à A. fabae devraient être orientés vers l'antixénose pour laquelle un screening rapide en laboratoire pourrait être efficace.
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19.
The effects of plant age and growing conditions on the wound-induced responses of tomatoes (Lycopersicon esculentum Mill) was studied. The impact of these variables on the suitability of tomato foliage as food was assessed both by growth rates of neonate Manduca sexta Johannson larvae and by radiometric assay for proteinase inhibitor concentration. Plant quality (as assessed by M. sexta growth rates) was decreased by wounding regardless of plant age or environmental conditions at the time of wounding. The decrease in quality was not necessarily associated with increased concentrations of proteinase inhibitor. When tested directly, high concentrations of proteinase inhibitor did not affect larval growth rates. Induction of foliar proteinase inhibitors in response to wounding was found to peak while the plants were young and decrease as the plants matured.
Résumé Le feuillage de pieds de tomates (Lycospersicon esculentum Mill) a été endommagé à différents âges et dans différentes conditions écologiques. Les modifications de sa valeur alimentaire ont été testées avec des chenilles néonates de Manduca sexta Johannson et par des dosages radiométriques de sa concentration en inhibiteurs de protéïnase. Des plantes endommagées à 2 semaines provoquent une croissance larvaire plus lente que des plantes endommagées à 2 semaines provoquent une croissance larvaire plus lente que des plantes endommagées à 4 semaines. Des plantes soumises à une forte intensité lumineuse et à des températures élevées lors de leur altération provoquent une croissance larvaire plus lente que des plantes maintenues en serre pendant cette période. Les changements de la qualité des plantes mis en évidence par les taux de croissance larvaire n'étaient pas liés à l'importance de l'induction des inhibiteurs de protéïnase dans le feuillage. Quand les plantes sont endommagées à 3 jours d'intervalle, 10 à 30 jours après la germination, l'induction des inhibiteurs de protéïnase est maximale le 16e jour et diminue ensuite. M. sexta se développe aussi bien sur les feuilles mûres de tomate, qu'elles contiennent ou non des concentrations élevées en inhibiteurs de protéïnase. Ces résultats montrent que la blessure a un impact négatif sur la valeur comme aliment pour M. sexta du feuillage de tomate, qui ne dépend pas de la quantité d'inhibiteurs de protéïnase induite dans les feuilles.
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20.
Six successive summer generations of the alder aphid (Pterocallis alni (DeGeer) (Homoptera: Callaphididae)) were reared simultaneously in the field and under controlled temperature conditions in the laboratory. The growth and reproduction of each generation were recorded. The available food quality for the aphids was measured by weekly analysis of foliar soluble nitrogen concentrations. Although there was a significant change in leaf soluble nitrogen during the season, the decline was only 23% and this did not appear to have an adverse effect on the performance of this aphid. Instead, the major environmental factor affecting the aphid is temperature. This is evidenced by the facts that when aphids were reared at constant temperatures, there were no differences in generation performance, even though food quality varied seasonally. In addition, all generations of the aphid posess the same number of ovarioles, indicating that there is no pre-programmed anticipation of a seasonal deterioration in food quality in this aphid species.
Résumé P. alni DeGeer (Homopt. Callaphididae) vit sur Alnus glutinosa Gaertner pendant toute l'année. L'aulne étant un arbre fixant l'azote, cette étude a été entreprise pour examiner la croissance et la reproduction de ce puceron sur cet arbre afin d'expliquer les changements de la dynamique de sa population. 6 générations successives estivales ont été élevées dans la nature et en température constante au laboratoire. La qualité de l'aliment a été mesurée chaque semaine par une microkjeldahl analyse des concentrations foliaires en azote soluble. La qualité de l'aliment varie saisonnière, mais ne diminue que de 23%; elle semble n'avoir que peu d'effets sur le puceron, puisque la fécondité dans la nature n'est réduite que pendant une génération. Quand la température est maintenue constante, il n'y a pas de différences entre les performances des différentes générations de pucerons. Ainsi, les changements saisonniers dans la croissance et la reproduction des pucerons sont provoqués par la température et non par la qualité de l'aliment.
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