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相似文献
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1.
Summary Antisera were prepared against threeRhizobium spp, (Cicer arietinum L.) strains H45, R18 and 46b4. Results obtained by the ELISA technique complement those obtained by immunofluorescence and revealed a broad serological diversity in the chickpea Rhizobium strains used. This serological diversity allowed us to use the immunofluorescence technique for competitiveness studies between an inoculated strain (H45) and native strains. Strain H45 formed all the nodules on plants cultivated on an acidic soil, 48 per cent of Montpellier soil and 11 per cent on Montelimar soil. The inoculum concentration was 5.2 107 bacteria per seed. On the Montpellier soil, the ratio of nodules formed by H45 increased with the inoculum concentration. The competitiveness of strain H45 against native strains of Montpellier soil is highly influenced by the host plant genotype. In each case, no cross reaction were observed between native strains of the soils studied and the antisera prepared against H45.
Resume Des antiserums ont été préparés contre trois souches deRhizobium sp. du Pois chiche (Cicer arietinum L.):H45, R18 et 46b4. Les résultats obtenus en tests ELISA concordent avec ceux obtenus en immunofluorescence et révèlent une grande diversité sérologique des souches étudiées. Cette diversité sérologique a été mise à profit pour l'étude de la compétition pour la formation des nodosités entre une souche apportée au semis (H45) et les souches indigènes du sol. La souche H45 a formé la totalité des nodosités sur les plantes de pois chiche cultivées sur un sol à pH acide et respectivement 48% (sol Montpellier) et 11% (sol Montélimar) pour une concentration d'inoculum de 5, 2×107 bactéries par graine. Avec le sol de Montpellier, la proportion de nodosités formées par H45 augmente avec la concentration de l'inoculum. Le pouvoir de compétition de la souche H45 vis-à-vis des souches naturelles du sol de Montpellier est fortement influencé par le génotype de la plante. Dans tous les cas, aucune réaction croisée n'est observée entre les souches indigènes des sols étudiés et l'antisérum préparé contre H45.
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2.
B. Papierok 《BioControl》1985,30(3):303-312
Résumé La finesse des procédés mis au point pour la mise en culture de l'agent responsable des entomophthoroses d'insectes permet de montrer queConidiobolus coronatus (Costantin) Batko se comporte dans la nature comme un pathogène opportuniste, contaminant secondairement des insectes morts d'une véritable entomophthorose ou de tout autre cause. C'est la première fois qu'il est montré expérimentalement qu'une souche deC. coronatus isolée de l'homme est capable d'infecter un insecte. Les variations de l'infectivité entre 6 souches de provenances diverses: insectes, sol ou lésions humaines ne semblent pas liées à la nature du substrat d'origine, la souche la plus active vis-à-vis du puceron du pois,Acyrthosiphon pisum (Harris), étant celle isolée du sol. Cependant, l'intensité de conidiogénèsein vivo semble liée à l'origine des souches étudiées, les souches isolées de pucerons étant celles qui produisent le plus grand nombre de conidies sur les pucerons tués par le champignon. Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etN. Delatre.  相似文献   

3.
Resume Un mutant acido-tolérant deR. meliloti a été isolé. Le caractère de résistance en milieu acide n'a pas été obtenu par adaptation sur des milieux de plus en plus acides mais par mutagenèses successives provoquées par la N-méthyl-N'nitroso-N-nitrosoguanidine (NTG) et sélection sur milieu acide de fa?on à rendre stable le caractère acido-tolérant. Ce mutant acide présente la propriété de se développer plus lentement que la souche sauvage sur milieu pauvre. Ceci ne l'empêche pas de présenter sensiblement la même efficience que cette dernière à pH voisin de la neutralité en milieu synthétique. L'étude comparative de l'efficience de la souche parentale et de la souche mutée sur la luzerne cultivée en terre acide est rendue difficile du fait de la présence de nitrates qui réduit la nodulation et inhibe l'action de la nitrogénase: par épuisement, en effectuant une culture dense de luzerne sur cette terre, il est possible de mettre en évidence ensuite l'activité symbiotique importante à pH 5,9 du mutant par rapport à la souche sauvage.  相似文献   

4.
Résumé La toxicité du méthidathion a été mesurée sur 7 souches dePhytoseiulus persimilis provenant de collections de laboratoire, d'unités de production ou du terrain. Les résultats obtenus se sont avérés être très variables: la CL50 de la souche la plus résistante est 100 fois plus élevée que celle de la souche la plus sensible. Chaque souche a ensuite été sélectionnée pour la résistance à cet insecticide; toutes les souches ont répondu à la sélection et ont atteint des niveaux de résistance similaires. Elles ont ensuite été mélangées, à nouveau sélectionnées pour la résistance au méthidathion et à d'autres insecticides et utilisées dans les programmes de lutte intégrée. La résistance a pu ainsi être légèrement augmentée et la souche obtenue, bien qu'encore affectée par le méthidathion sur le terrain, n'est plus complètement éliminée par les traitements et est moins sensible aux résidus présents sur les feuilles.   相似文献   

5.
La durée de conservation dans deux types de sol: une tourbe de pH=3,5 et une terre argilo-sableuse de pH=6,6, de trois agents pathogènes pour les larves du Hanneton commun,Melolontha melolontha L.:Bacillus popilliae var.melolontha, Rickettsiella melolonthae, Entomopoxvirus melolonthae a été étudiée en contaminant par le broyat de larves atteintes de chacune des maladies 4 litres de ces deux substrats qui ont été répartis en boîtes de polystyrène et en pots à fleurs placés soit dans un sol engazonné à l'extérieur, soit en laboratoire à 5°, 13° et 20°C. A intervalles réguliers des larves jeunes ont été mises en élevage à 20°C dans ces substrats contaminés. Après 4 ans le virus détermine sensiblement la même mortalité quelles que soient les modalités de conservation du sol. Mais l'altération du pouvoir pathogène en fonction du temps se traduit par une augmentation très signifcative des délais de manifestation de la maladie. Par contre la bactérie et la rickettsie perdent beaucoup de leur activité au bout de deux ans. La persistance d'un pouvoir pathogène des rickettsies introduites dans le sol est facilitée lorsqu'il s'agit de terre plutôt que de tourbe et si celle-ci est maintenue à basse température. Les conséquences épizootiologiques de ces résultats sont décrites en fonction du cycle évolutif du Hanneton commun: un délai de survie du germe de deux ans est nécessaire pour le maintien d'une maladie des vers blancs dans un site donné compte tenu de la période, de cette aurée, pendant laquelle l'activité larvaire est nulle ou insuffisante pour assurer la contamination des insectes, lorsque celle-ci s'effectue par voie orale.  相似文献   

6.
Résumé Quelle que soit l'origine de la souche (sol, arthropodes, lésions humaines), les conidies de l'EntomophthoraleConidiobolus coronatus sont capables d'infecter le puceronAcyrthosiphon pisum (Hémiptères, Aphididae) et les chenilles deGalleria mellonella (Lépidoptères, Pyralidae). De plus, les filtrats, de culture en milieu liquide agité des huit souches éprouvées sont toxiques par inoculation à l'égard de ces derniers insectes; cette toxicité se traduit d'abord par une hémorragie au trou de pip?re, qui peut durer plusiers heures, puis par un noircissement du corps de l'insecte et enfin par la mort de celui-ci. L'effet anticoagulant de substances produites par une Entomophthorale est ici signalé pour la première fois. Les deux souches les plus virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum, parmi lesquelles se trouve celle isolée de lésions humaines, sont également les plus toxinogènes. L'étude de la vitesse de croissancein vitro du champignon à des températures comprises entre 4 et 37°C révèle une adaptation des souches aux conditions thermiques en relation avec la région d'origine de l'isolat. Notamment, les souches d'origine tropicale se développent plus, rapidement à 26–29°C que les souches originaires de France. La vitesse maximale de croissance est constatée à 29°C pour les différentes souches, sauf pour celle isolée de lésions humaines qui se développe le plus rapidement à 37°C. Cette température est létale pour les autres souches sauf pour une souche isolée d'un myriapode de l'?le de la Réunion. C'est la première fois que l'aptitude à cro?tre à cette température est reconnue chez un isolat deConidiobolus coronatus provenant d'un arthropode.
Summary Whatever the substrate of origin of the strain (soil, arthropods, human phycomycosis), conidia ofConidiobolus coronatus (Zygomycotina, Entomophthorales) are able to infect the pea aphid,Acyrthosiphon pisum (Hemiptera, Aphididae) and the greater wax moth,Galleria mellonella (Lepidoptera, Pyralidae). Moreover, intrahemocoelic injections of filtrates from shake cultures of all the 8 strains tested proved to be toxic for the later insect; the symptoms are successively haemorrhage, which could last for a few hours, blackening of the blood and at last death. This is the first mention of an anti-coagulant effect of metabolic products from any Entomophthorale. The strain isolated from an human phycomycosis is both the most virulent against the pea aphid and the most effective with regard to toxicity. Comparison of fungal growthin vitro at different temperatures, ranging from 4 to 37°C, revealed a certain relation between the temperature for the optimal growth and the locality of origin of a strain. In particular, strains from tropical areas were growing at 26–29°C faster than those from temperate regions. The higher growth rate was noticed at 29°C for all the 8 tested strains, except for the strain from human phycomycosis, for which the optimum temperature was 37°C. This temperature was lethal for the other strains, but for a strain isolated from a myriapod from the Reunion Island. It is the first time that the ability of a strain ofC. coronatus isolated from an arthropod to growth at 37°C is ascertained.
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7.
L'importance des pressions de sélection au cours des premières générations, dans des élevages en alimentation artificielle, est mise en évidence par l'étude de souches d 'Acrolepiopsis assectella Zeller soumises à des changements de régime alimentaire. l'évolution du taux de survie et de la durée du développement des larves a été suivie pendant les premières générations après le changement, et ultérieurement contrôlée au cours de plusieurs années d'élevage dans les mêmes conditions. Le taux de survie semble atteindre assez rapidement un équilibre, dont le niveau n'est pas indépendant de l'aliment consommé, tandis qu la durée du développement larvaire devient identique pour toutes les souches dès la quatrième génération. Ces phénomènes semblent correspondre à une adaptation des insectes à leurs conditions d'élevage, qui provoquent une sélection dans les populations d'origine.  相似文献   

8.
Summary Strains of Staphylococci originally resistant to chloramphenicol, tetracycline and erythromycin, or made resistantin vitro to tyrothricin and streptomycin, were transformed into the “L” form and subcultured in this phase for more than twenty passages. The “L” colonies of the entire series could be reversed to bacterial forms. From all theisolated staphylococci strains the phage pattern was found to be maintained; slight changes in the number of active phages and the degree of activity are deemed to be insignificant. New types were never found. The strains made resistant to tyrothricin and streptomycin remained insensitive, those, however, that were originally resistant to chloramphenicol, tetracycline and erythromycin, became sensitive after a number of passages in the “L” phase. This loss of resistance—the only significant change from the original strains—is thought not to be due to mutation.
Résumé Des souches de Staphylocoques sensibles à la pénicilline, mais naturellement résistantes au chloramphénicol, à la tétracycline et à l'érythromycine, aussi bien que des souches rendues insensibles à la tyrothricine ou à la streptomycine, étaient transformées en phase “L”. Dans cette phase plus de vingt subcultures étaient faites; les colonies “L” de chaque passage pouvaient être reversées en phase bacillaire. Toutes les souches récupérées avaient conservé le type bactériophagique des souches d'origine; l'augmentation du nombre des phages actifs et le changement du degré de leur activité ne peuvent être considérés signifiants. Nous n'avons jamais trouvé de nouveaux types. Les souches résistantes à la streptomycine et à la tyrothricine restaient insensibles; celles au contraire, qui étaient naturellement résistantes a la tétracycline, à l'érythromycine ou au chloramphénicol devenaient sensibles après peu de subcultures en phase “L”. Cette perte de résistance est considérée être d'origine non-mutationelle. L'existence d'un cycle “L” des Staphylocoques s'est averée ainsi.


Working with grants of the foundation “De Drie Lichten” and the “Stichting ter Bevordering van Medisch-Wetenschappelijk Onderzoek”.  相似文献   

9.
A. Kiyindou  G. Fabres 《BioControl》1987,32(2):181-189
Résumé Hyperaspis raynevali Mulsant est une coccinelle prédatrice dePhenacoccus herreni Cox & Williams en Guyane. Elle a été introduite au Congo pour particier à la régulation des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Avant les lachers de plein champ, une étude a été conduite au laboratoire pour tenter de quantifier son pouvoir de multiplication et comparer ce dernier à celui des coccinelles locales précédemment étudiées. La capacité d'accroissement d'une population deP. raynevali est de 0,081 (rc deLaughlin) dans les conditions du laboratoire avec un taux net de reproduction de 271,7 et une durée de génération de 69 jours. La durée du développement préimaginal est sensiblement allongée aux températures inférieures à 25°C et la mortalité embryonnaire reste élevée aux différentes conditions thermohygrométriques testées.   相似文献   

10.
G. Reyd  R. Gery  A. Ferran  G. Iperti  J. Brun 《BioControl》1991,36(2):161-171
Résumé Hyperaspis raynevali Muls. est une coccinelle coccidiphage appelée à intervenir en lutte biologique contre la cochenille du manioc:Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero en Afrique. Au laboratoire, ce prédateur est multiplié sur la cochenille du manioc et sur la cochenille farineuse des agrumesPlanoccus citri Risso (proie de substitution). L'étude des aptitudes trophiques d'H. raynevali élevée avec ces 2 espèces de cochenille a été entreprise afin de comparer la valeur alimentaire respective de ces proies. Les résultats montrent que la qualité nutritive deP. manihoti est légèrement supérieure à celle deP. citri pour les larves et les adultes de la coccinelle, à condition de ne pas utiliser le poinsettia, comme végétal de substitution pour élever la cochenille du manioc. De plus,P. citri constitue une proie que l'on peut avantageusement utiliser au Congo afin de produireH. raynevali pour entreprendre une opération de lutte biologique contreP. manihoti.   相似文献   

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