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1.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

2.
Rearing larvae of Ips calligraphus (Germar) (Coleoptera: Scolytidae) in bolts of typical slash pine, Pinus elliottii Engelm. var. elliottii, with thin (TN; 0.5–1.5 mm) phloem (inner bark) relative to adult beetle body width significantly reduced body weight and lipid content of emerging adults compared with thick (TK; 2.5–3.5 mm) phloem-reared adults. Unmated (pre-nuptial) TK beetles averaged 2-fold longer daily and life-time flight duration than TN beetles. Daily flights were highly variable, averaging <20 min (longest daily flight=173 min). TK and TN beetles initiated flight, and the greatest number flew, on the first or second day after emergence form their rearing bolt; % of beetles flying and survival gradually declined to zero by day 9. Males (both TK and TN) averaged 2.5 days of flight, ca. 1 day longer than females. Fliers lived ca. 2-fold longer than non-fliers. Among TK and TN fliers, significant but weak positive correlations occurred between body weight and lifetime flight duration. Poor correlation between lifetime flight duration and longevity suggests little physiological cost to flight, but effects on fecundity were not assessed. Flight by mated, egg-laying (post-nuptial) beetles was substantially delayed (peaking on day 6), suggesting degeneration and subsequent regeneration of flight muscles.
Résumé Le comportement de vol d'Ips calligraphus GERMAR (Scolytidae) a été examiné au laboratoire par une technique de vol captif. La génération parentale avait été artificiellement introduite, suivant la taille des adultes (1,6 à 2,1 mm) dans des morceaux de Pinus elliottii Engelm. variété elliottii au phloeme épais (TK=2,5 à 3,5 mm) ou fin (TN=0,5 à 1,5 mm) les larves se sont développées dans ces morceaux de pin. Le poids et la teneur en lipide des adultes obtenus à partir de TN étaient significativement inférieure à ceux de TK. Le poids des mâles les plus gros a été plus réduit que celui des femelles; les mâles les plus petits semblaient être moins efficaces dans l'initiation des attaques sur les arbres, et les femelles les plus petites ont eu une fécondité réduite.Les durées de vol quotidiennes pendant la vie des mâles TK vierges étaient en moyenne deux fois plus longues que celles des mâles TN. Les durées de vol quotidiennes étaient très variables: en moyenne moins de 20 minutes, mais la plus longue a été de 173 mn. En moyennes les adultes TN et TK ont commencé à voler, et volaient en plus grand nombre, le premier et le second jour après l'émergence. Ensuite la fréquence d'adultes volants et le pourcentage de surviveants, ont graduellement diminué jusqu'à tomber à zéro le neuvième jour. Les mâles TN et TK avaient des vols quotidiens plus longs et volaient environ 1 jour de plus que les femelles. L'activité de vol accrue des mâles reflète leur besoin de trouver dans la nature des arbres convenables; les vols des femelles peuvent généralement être plus brefs, étant plus directement orientés comme une réponse aux phéromones mâles.Les voiliers ont vécu environ 2 fois plus longtemps que les non-voiliers. Parmi les voiliers TK et TN il y avait une corrélation positive étroite entre le poids du corps et la durée totale des vols. Il n'y en a qu'une faible corrélation entre cette durée totale des vols et la longévité, suggérant un faible coût physiologique du vol. L'influence de cette durée des vols et du prélèvement consécutif de lipides sur la fécondité n'a pas été examinée. L'initiation au vol chez les individus fécondés a été sérieusement retardée (maximum le sixième jour) par rapport aux vierges, ce qui suggère un dégénérescence des muscles du vol associée à la reproduction, suivie d'une régénération importante, comme cela a été signalé chez d'autres Scolytes.Ces résultats contribuent à notre compréhension des facteurs conditionnant le comportement de vol et d'autres aspects fondamentaux de la biologie des insectes des pins. Une telle connaissance est nécessaire au développement d'une politique efficace de protection.
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3.
Females of a membrane-fed colony of G. p. palpalis (food source: fresh defibrinated bovine blood) were fed on derivatives of bovine blood, in which the red cell fraction remained unchanged while the serum fraction was replaced by an artificial solution. This solution consisted of a simple saline, isotonic to serum and enriched by bovine serum albumin with increasing concentrations. Physical parameters such as pH and osmolarity of all media were similar to controls. The absence of serum albumin in the food medium resulted in sterility of the females and caused high mortality. The presence of increased levels of serum albumin in the medium increased the fecundity until it was similar to that of flies fed on the standard diet of fresh defibrinated bovine blood. The offspring size was positively correlated with the concentration of the serum albumin in the mother's diet. However, a high concentration of albumin (>6%) resulted in increased adult mortality. Thus, the presence of optimum amounts of free serum albumin in bovine blood appears necessary for the development and production of viable larvae of the tsetse fly G. p. palpalis.
Résumé Les femelles d'une population de G. p. palpalis élevées sur membrane (aliment: sang frais défibriné de bovin) ont été nourries de dérivés de sang bovin dont les globules rouges n'avaient pas été modifiés, mais dont le sérum avait été remplacé par une solution artificielle. Cette solution était simple, saline, isotonique au sérum et enrichie d'albumine de sérum bovin en concentrations croissantes. Les témoins ont montré l'identité des paramètres physiques, tels que le pH et l'osmolarité, pour toutes les solutions. L'absence d'albumine de sérum dans l'aliment donné aux femelles a provoqué leur stérilité et une mortalité élevée. L'augmentation des quantités d'albumine de sérum a accru la fécondité jusqu'à ce que celle-ci soit identique à celle des glossines avec un régime normal composé de sang frais défibriné de bovin. Il y avait une corrélation directe entre la taille des descendants et la concentration d'albumine de sérum dans l'alimentation de la mère. Toutefois, une forte concentration d'albumine (plus de 6%) a augmenté la mortalité imaginale. La présence de quantités optimales d'albumine de sérum libre dans le sang bovin semble donc nécessaire au développement et à la production de larves viables de la mouche tsé-tsé, G. p. palpalis.
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4.
Feeding behavior of biotype E greenbugs from populations maintained either on corn or sorghum was studied on four corn germplasm entries and two sorghums using a computerized electronic insect feeding monitor. Greenbug fecundity and weight were also measured. Both populations showed differences in time to committed phloem ingestion and time spent ingesting phloem among plant entries, but the two populations did not respond similarly to each entry. Corn-reared greenbugs fed more readily on resistant sorghum than did sorghum-reared greenbugs, whereas sorghum-reared greenbugs fed more readily on some corn. Feeding behavior was not correlated with fecundity. Corn-reared greenbugs were equally or more fecund than sorghum-reared greenbugs on all entries. Time to committed phloem ingestion was negatively correlated with adult weight in the corn-reared population. Offspring of corn-reared greenbugs attained equal or greater weight than those of sorghum-reared ones, even though corn-reared greenbugs weighed less on their colony host (OH45) than did sorghum-reared greenbugs on their colony host (NC + 630X). Weight and fecundity were positively correlated across both populations and all entries, but both greenbug populations were more fecund and weighed more on sorghum and Antigua corn than on the other corn entries. The results confirm that biotype E greenbugs can colonize and use corn as a host, although they are more fecund on sorghum. The results also suggest that corn-reared greenbugs are different from sorghum-reared greenbugs because of either genetic or physiological adaptation, with a corresponding change in fecundity and adult weight. The implications of these results for biotype development are discussed.
Résumé Le comportement alimentaire du biotype E de S. graminum, provenant de souches maintenues soit sur maïs (OH45), soit sur sorgho (NC + 630X) a été examiné sur 4 cultivars de maïs (Antigua, AP670, OH45 et 2570), un sorgho sensible (NC + 630X) et un résistant (PI264453), à l'aide d'un enregistreur électronique à programme d'analyse. La fécondité et la poids ont été analysés séparément. Les résultats des souches on été comparés en fonction des cultivars, et les relations entre comportement alimentaire, fécondité et poids analysées.Le comportement alimentaire des différentes souches sur sorghos résistants et sur 2 cultivars de maïs (2570 OH45) ont divergé, mais pas toujours dans la même direction. Par exemple, les insectes élevés sur maïs ont consommé plus facilement le sorgho résistant que ne l'ont fait les insectes élevés sur sorgho, tandis que le contraire a été observé avec le maïs OH45. Les 2 souches ont montré le même comportement alimentaire sur les différents cultivars. Le maximum de temps à été consacré à s'alimenter sur sorgho résistant et le moins sur le maïs AP6.70.Bien qu'il n'y ait eu aucune différence entre les comportements alimentaires des souches élevées sur maïs et sur sorgho, elles ont présenté des différences de poids et de fécondité. Ces résultats ont montré l'absence de corrélation entre l'ingestion de phloème (PI) et le moment de la première consommation de phloème (CPI) d'une part, et la fécondité d'autre part. Sur tous les cultivars, les insectes élevés sur maïs ont toujours été au moins aussi féconds que ceux élevés sur sorgho. Il en est de même pour le poids de leurs descendants, bien que les insectes élevés sur maïs pèsent moins sur leur hôte propre (OH45) que les insectes élevés sur sorgho sur leur hôte propre (NC + 630X). Les corrélations entre poids et fécondité ont été positives dans les 2 souches et pour tous les cultivars, mais les 2 souches ont été plus fécondes et ont gagné plus de poids sur sorgho et sur le cultivar Antigua de maïs que sur les autres cultivars de maïs. Or, les sorghos et le maïs Antigua sont considérés comme manquant de DIMBOA, qui doit être vraisemblablement présent dans les autres cultivars de maïs. DIMBOA est undacide hydoxamique commun dans le maïs connu pour réduire la fécondité, la survie et la prise de nourriture des hétéroptères.Ces résultats confirment les possibilités de colonisation du maïs par le biotype E de S. graminum, bien qu'il ait été plus fécond sur sorgho. Ces résultats suggèrent aussi que les insectes élevés sur maïs sont différents des insectes élevés sur sorgho, par adaptation génétique ou physiologique, avec modification concomitante du poids des adultes et de la fécondité. Par suite de ces différences, les insectes élevés sur maïs sont plus aptes à utiliser le maïs et le sorgho résistant que les insectes élevés sur sorgho. Tout ceci suggère les possibilités de développement d'un biotype dangereux pour le maïs.
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5.
Tolerance to two chlorinated hydrocarbon (DDT and endrin) and two organophosphorous insecticides (trichlorfon and ronnel) in 18 Italian bee colonies was studied using topical applications. The LD50 values obtained for each insecticide were subjected to a component of variance analysis. Correlation coefficients between LD50's for the various insecticides and between LD50 and body weight and fat content were also calculated.From a consideration of the variation between colonies, it is suggested that selection based on the exploitation of existing polygenic variation can provide only minor increases in LD50's, and that development of resistant bee strains will require methods that capitalize upon major gene mutations.
Résumé La tolérance envers 2 organochlorés (DDT et endrin) et envers 2 esters phosphoriques (trichlorfon et ronnel) a été étudiée dans 18 colonies d'abeilles italiennes. La méthode employée a consisté dans l'application sur la partie dorsale du thorax, d'une solution acétonique d'insecticide. Les abeilles ont été maintenues en groupes de 10 individus dans des sacs de polyvinyl à une température de 26° C et 70 H.R., avec une réserve d'eau et un mélange de sucre et de miel. La mortalité a été évaluée après 24 heures. L'action de chaque insecticide sur une colonie a été évaluée trois fois pendant l'expérience. La teneur en lipides des abeilles de chaque colonie a été déterminée par extraction à l'éther. Les valeurs der DL50 obtenues ont été analysées statistiquement. On a évalué aussi les coefficients de corrélation entre les DL50 pour chaque insecticide ainsi que la relation entre la DL50, le poids des insectes et leur teneur en lipides.La fréquence de distribution de DL50 pour chaque colonie a été normale pour le trichlorfon, le ronnel et l'endrin tandis qu'elle était irrégulière pour le DDT: les valeurs de DL50 pour 2 colonies étaient 2 fois plus élevées que pour les autres. Les différences dans les valeurs des DL50 entre les colonies étaient significatives à l'exception de l'endrin. Le degré de répétition de ces différences était très marqué pour le ronnel, moyen pour le DDT, et assez bas pour l'endrin et le trichlorfon. Une corrélation positive a été décelée entre la résistance envers certains insecticides. Cette corrélation a été plus marquée entre le trichlorfon et le ronnel, le DDT et le ronnel, moins marquée entre le DDT et l'endrin, et entre le trichlorfon et l'endrin ou le ronnel et presque nul entre le ronnel et l'endrin. On a trouvé une corrélation directe assez importante entre le poids des insectes vivants et la DL50 pour les produits organophosphorés et une corrélation indirecte entre la teneur en lipides et la DL50 pour le DDT.En considérant les différences entre les colonies, on arrive à la conclusion que la sélection basée sur l'utilisation des variations polygéniques existantes peut expliquer seulement des augmentations minimes dans les valeurs de la DL50 (1 à 2 g), mais le développement des souches résistantes chez les abeilles doit être basé sur des mutations de gènes majeurs.
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6.
Host-specific development and survival rates were measured and population parameters computed for both a wild and a laboratory strain of the oriental fruit fly (Dacus dorsalis Hendel) in Hawaii. Gross fecundities of the wild and laboratory strains were 241 and 1551 eggs per female, respectively. Egg to eclosion developmental rates were 27 days for the wild strain and 24 days for the laboratory strain. The preovipositional period of the wild strain was 19 days compared to 9 days in the laboratory strain.Differences of this magnitude in fecundity and developmental rates between laboratory and wild strains have not been observed in other recent demographic studies of tephritids. The results suggest that the laboratory strain of the oriental fruit fly may have undergone more intense selection than laboratory strains of the other species.
Résumé Pour deux souches, l'une sauvage, l'autre de laboratoire, de D. dorsalis de Hawaï, les mesures ont porté sur la durée de développement et le taux de survie, les paramètres caractéristiques de la population ont été traités sur ordinateur. Pour les souches sauvage et de laboratoire, les fécondités brutes ont été respectivement de 241 et 1551 oeufs par femelle. Les durées de développement larvaire et nymphal ont été de même de 27 jours pour la souche sauvage et de 24 j pour celle de laboratoire; les périodes de latence avant la ponte ont été de 19 j pour la souche sauvage contre 9 j pour celle de laboratoire.Jamais de telles différences de fécondités et de durées de développement entre souches sauvages et de laboratoire n'avaient été observées lors des études récentes sur des téphritidae. Ces résultats suggèrent que la sélection subie par la souche de laboratoire de D. dorsalis été plus intense que celles subies par d'autres espèces.
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7.
Summary Quantitative plankton samples were collected from three small ponds weekly for fourteen weeks during the summer. Seven species of Cladocera and five species of Copepoda were collected. Nine of the species had significant affinities which were formed into one recurrent group and three associated species. The recurrent group of two cladocerans, one calanoid and three cyclopoids resembled the species composition of many small to medium lakes.The members of the recurrent group were sub-divided into filter-feeders and seizers. There were no constant numerical dominance (W) relations among the filter-feeders; W was highly significant for the seizers. There were significant differences in relative abundance for both sub-groups. The test for concordance was insignificant for both sub-groups.The population cycle of each species in each pond is described. Correlation analysis of population units of each species and several environmental factors is presented.Populations of each species found in more than one pond were compared. Population trends were compared by correlation analysis. Few significant correlations were found. Population levels were compared by analysis of variance. Many significant differences were found but the measured environmental data did not explain the differences.The diversity index did not differ significantly among weeks or among ponds. More significant correlations occurred among the species in the recurrent group; the second highest number occurred between associated species and recurrent group species. Few correlations occurred among associated species or among non-associated species or between non-associated species and any other species grouping. The significance of these patterns of diversity and correlations to the idea of a community is discussed.
Résumé Des échantillons de plancton ont été recueillis chaque semaine de trois petits étangs pendant quatorze semaines de lété. Sept espèces de Cladocères et cinq espèces de Copepodes ont été recueillies. Neuf des espèces avaient des affinités importantes et étaient formées dans un groupe récurrent et trois espèces avaient une association avec le groupe récurrent. Le groupe récurrent, composé de deux Cladocères, un Calanoide, et trois Cyclopoides, ressemblait la composition des espèces trouvées dans des petits lacs ou dans des lacs moyens.Les members du groupe récurrent étaient subdivisés entre des filtreurs et des prédateurs. Entre les filtreurs on ne pouvait pas trouver une domination numérique (W) qui était constante; (W) était vraiment important dans les prédateurs. Il y avait des différences importantes dans l'abondance relative pour les deux sous-groupes. L'épeuve de concordance était significative pour les deux sous-groupes.Le cycle de population de chaque espèce trouvée dans chaque étang est décrit. Les éléments de population de chaque espèce et plusieurs facteurs d'environnement ont été analysés corrélativement et les résultats sont présentés ici. Les populations des espèces trouvées dans plusieurs étangs ont été comparées. Les tendances de population ont été comparées par des analyses de corrélations. Peu de corrélations importantes ont été trouvées. Les hauteurs de population ont été comparées par des analyses de variabilité. Beaucoup de différences significatives ont été trouvées, mais les données d'environnement mesurées n'ont pas expliqué les differences trouvées.L'indice de diversité n'était pas différent d'une manière significative entre les semaines ou entre les étangs. Les corrélations les plus significative ont été trouvées parmi les espèces dans le groupe récurrent; le deuxième nombre de corrélations significatives le plus haut se présentait entre les espèces ayant une affinité et les espèces du groupe récurrent. Peu de corrélations ont été trouvé parmi les espèces ayant une affinité ou parmi les espèces n'ayant aucune affinité ou entre les espèces n'ayant aucune affinité et d'autres groupes d'espèces. La signification de ces modèles de diversités et de la corrélation à l'idée d'une communauté est discutée.
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8.
Females of Adoxophyes orana F. v. R. (Lepidoptera: Tortricidae) could mate after one day, or after up to 7 days, after eclosion. It was recorded how many eggs per female were laid, had been fertilized and ultimately hatched. Mating rate was assessed by counting the spermatophores in a female.Egg production did not depend on mating rate, but proportion fertilization of eggs from females with three or more spermatophores was reduced. Delayed mating promoted longevity and changed the pattern of oviposition in time. No correlation was found between the proportion hatching of fertilized eggs and any of the other variables in the experiments.The data were introduced into a population model to compute the relation between fecundity and probability to mate.
Effets du nombre d'accouplements et du retard de la date du premier accouplement sur la fécondité de Adoxophyes orana
Résumé Des femelles de A. orana F. v. R. (Lep., Tortricid.) ont eu la possibilité de s'accoupler le lendemain de leur émergence. Nous avons dénombré l'effectif d'oeufs pondus par chaque femelle, et calculé leur taux de fertilisation et d'éclosion. Les femelles ont été disséquées et les spermatophores comptés pour déterminer le nombre de copulations. La même procédure a été suivie avec d'autres femelles qui ont pu copuler librement jusquà leur mort, (leur longévité a été notée), mais avec une date du premier accouplement pouvant être retardée jusqu'à 6 jours après l'émergence.La production d'oeufs ne dépend pas du nombre de copulations, mais le taux de fertilisation des femelles avec 3 ou 4 spermatophores a été plus faible. Le retard de la date du premier accouplement augmente la longévité, mais réduit légérement le taux de fertilisation. La production d'oeufs était à peu près proportionnelle à la durée de la vie décomptée à partir du moment où la copulation était possible. Aucune corrélation n'a été mise en évidence entre la taux d'éclosion des oeufs fertilisés et les variables de l'habitat.Pour évaluer ces résultats et obtenir plus de connaissances sur les conséquences des copulations retardées, par exemple provenant de procédures d'interruption des copulations, les données ont été introduites successivement dans un modèle de populations pour établir la relations entre fécondité et probabilité d'accouplement.
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9.
G. Bouxin 《Plant Ecology》1977,33(2-3):65-78
Résumé Dans un site de la forêt de montagne du Rwanda, diverses méthodes d'étude de la structure de la strate arborescente sont présentées. Grâce à diverses méthodes d'ordination et de classification, il est possible de représenter la distribution de la surface terrière de plusieurs espèces d'arbre le long d'un gradient d'humidité. L'analyse des coefficients de corrélation entre individus adultes et jeunes fait apparaître des différences entre l'écologie des arbres jeunes et adultes; à cause de la variance élevée des données, une standardisation est nécessaire. Le diamètre de l'arbre de surface terrière moyenne est une valeur de synthèse très intéressante sur le plan écologique. Les caractéristiques dendrométriques et écologiques de 4 groupements végétaux sont présentées; les courbes de fréquences de circonférences de trones sont un complément intéressant dans la compréhension de l'écologie des espèces.
Summary In a site of the Rwanda upland forest, different methods of study of the tree layer structure are presented. By using diverse ordination and classification methods, it is possible to represent the distribution of the basal area of several species along a moisture gradient. The analysis of the correlation coefficients between adult and young individuals of a same species exhibits differences in the ecology of young and adult trees; because of the high data variance, a standardization is necessary. The diameter of the tree of mean basal area is a very interesting synthesis value from an ecological point of view. The ecological and dendrometric characteristics of four groupings are presented; the frequency curves of trunk girth are an interesting complement to the understanding of the species ecology.
Toutes les données présentées ont été rassemblées pendant notre séjour à l'Institut national de la Recherche scientifique du Rwanda. Les ajustements à la fonction béta ont été réalisés sur l'ordinateur IBM 1130 de la Faculté des Sciences agronomiques de l'Etat à Gembloux; nous remercions vivement le Dr. J. Rondeux pour sa collaboration dans la réalisation du programme et des calculs.  相似文献   

10.
The minimum number of sperm stored in the spermatheca of many individual females of Oncopeltus fasciatus (maintained at 20°–22° C on milkweed seed), estimated from the total count of fertile eggs laid after mating and isolation, is variable (100–1000, mean 400). This variability may result from very slow sperm transfer and the highly variable duration of copulation. Spermatozoa can survive at least 5 months, but the reserve is often completely depleted by egg fertilization. There is no correlation between the number of sperm stored and the egg production rate. The percentage of fertile eggs remains high (95%) while the number of stored sperm is above 100, but then falls linearly; this suggests that fertilization may be monospermic.
Résumé Le nombre d'ufs fertiles et infertiles déposés par des femelles d'Oncopeltus fasciatus, isolées après accouplement, a été compté chaque semaine, en vue d'évaluer la quantité et la longévité des spermatozoïdes stockés dans leur spermathèque. Quand une femelle cesse de pondre des ufs fertiles, un nouveau mâle est introduit afin de vérifier si, après un second accouplement cette femelle peut utiliser un nouvel apport de spermatozoïdes. Les estimations obtenues correspondent à un minimum car il est supposé qu'un seul spermatozoïde est utilisé pour la fécondation de chaque uf.Le nombre moyen de spermotozoïdes stockés a été de 370 pour un lot de 26 femelles, après un seul accouplement, mais on observe cependant une très grande variabilité (100–1000). Cette variabilité peut résulter de la lenteur du transfert des spermatozoïdes au cours de l'accouplement et dépendre ainsi de la durée de l'accouplement. Les spermatozoïdes peuvent survivre au moins 5 mois mais la réserve est souvent complètement utilisée pour la fertilisation des ufs. Il n'y a pas de corrélation entre le nombre de spermatozoïdes stockés et la fécondité. Le pourcentage d'ufs fertiles reste élevé (95%) tant que le nombre de spermatozoïdes en réserve est au-dessus de 100, mais régresse ensuite de façon linéaire audessous de ce nombre. Cela suggère que la fertilisation peut bien être monospermique.
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11.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

12.
The oviposition preference of the European Corn Borer Ostrinia nubilalis Hbn. Lepidoptera pyralidae was studied in relation to phenological stages of different plant species (Zea mays L., Helianthus annuus L., Phaseolus vulgaris L.). The experiments were done in greenhouses in binary choices. The results show that the plant phenological stages were more important than the plant species in the insect oviposition preference. When the choice was given between two plant species throughout their growth, the preference varied in relation to the development of each species. The relative differences in fructose amounts found on the leaf surfaces (phylloplane) were highly correlated with the insect oviposition preference. Amounts of proline, glucose and sucrose may accentuate this previous effect.
Résumé Cette étude porte sur l'évaluation de l'importance de la phénologie des plantes dans le choix interspécifique de la pyrale du maïs (Ostrinia nubilalis Hbn.) pour pondre. Les expériences ont été poursuivies en serre en choix binaires sur plantes entières. Le choix entre le maïs et le haricot a été donné à l'insecte en différentes combinaisons de stades phénologiques. Les résultats montrent que c'est la phénologie qui gouverne la préférence plus que l'espèce végétale. Au cours de la croissance simultanée du maïs et du haricot d'une part, du maïs et du tournesol d'autre part, l'espèce préférée par la pyrale change. A certaines associations de stades phénologiques il n'y a pas de préférence entre les deux espèces, qui reçoivent alors autant de pontes l'une que l'autre.Des substances biochimiques hydrosolubles telles que les glucides et acides aminés libres présentes en surface des feuilles (phylloplan) ont été étudiées en corrélation avec le comportement de choix de site de ponte de la pyrale. Les différences relatives des quantités de fructose entre les deux espèces composantes du choix sont hautement corrélées avec la préférence de l'insecte. L'effet de cette substance est accentué par les différences relatives des quantités de proline, glucose et saccharose.
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13.
Summary Aphidius rhopalosiphi produced 212 offspring on average but in one case 509 deposited eggs were found. Superparasitization occurred but the frequency distribution of parasitoid larvae in aphids differed significantly from random, indicating a certain degree of host discrimination. Average life span of adults was 13.1 days and sex ratio was 1:1. It changed in time among successively produced offspring.Handling time was about 2 sec and was somewhat longer in the fourth instar than in the second. Second and third aphid instars were preferred for oviposition. Functional response was sigmoid and at an aphid density of 100 aphids per cage percentage parasitization decreased.
Résumé Nous avons examiné quelques aspects des relations entre le parasitoïde Aphidius rhopalosiphi et son hôte Sitobion avenae. La fécondité potentielle à l'émergence (144 ufs) était inférieure à la fécondité réalisée: nombre de pucerons momifiés (212). La plupart des ufs étaient pondus dans la première semaine de la vie imaginale (fig. 1). Le super-parasi-tisme s'est produit dans les conditions expérimentales, mais la distribution des larves (fig. 2) s'écartait souvent de la distribution au hasard, ce qui indiquait une certaine discrimination parmi les hôtes.La longévité moyenne était de 13,1 jours et le maximum de 23 jours. Le taux sexuel (fig. 3) pour l'ensemble de la descendance était 1/1, mais changeait dans le temps. Après le premier jour de ponte, plus de femelles que de mâles étaient obtenues; mais après 6 jours, il n'y avait presque plus que des mâles.Le taux de rencontre des aphides et des parasitoïdes augmentait avec la taille (fig. 4a). Le temps de prospection de l'hôte était en moyenne de 2 secondes, mais dans certains cas il atteignait 10 secondes ou plus. La proportion de rencontres efficaces était plus faible au 4ème stade (fig. 4b). Il n'y avait pas de différence significative dans le nombre de larves de parasitoïdes obtenues par rencontre pendant les stades 1 à 3 des pucerons, mais elle était significativement inférieure au 4ème stade par rapport au second. Les taux globaux de succès (taux de rencontre et nombre de larves formées par rencontre) étaient plus élevés aux 2ème stades des pucerons. La réponse fonctionnelle était sigmoïde (fig. 5).
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14.
The number of ovarioles in female Musca vetustissima (potential fecundity/ovarian cycle) is positively correlated with fly size (headwidth) and potential fecundity does not vary between successive ovarian cycles. Field females of average headwidth (2 mm) have a mean potential fecundity of 25 eggs/cycle. Females are anautogenous, needing to ingest protein-rich material in order to mature their oocytes. Females that obtain insufficient protein material for maturation of full egg complements may cease ovarian development before or during early vitellogenesis, or resorb some of their oocytes and mature the remainder. Field females consistently matured in excess of 85% of their egg complements, indicating that female M. vetustissima have ready access to protein-rich material in the field.
Résumé Le nombre d'ovarioles des Musca vetustissima femelles (fécondité potentielle/cycle ovarien) est lié directement à la taille de la mouche (largeur de la tête); la fécondité potentielle ne varie pas entre les cycles ovariens successifs. Les femelles de la nature, d'une largeur de tête moyenne (2 mm) ont une fécondité potentielle moyenne de 25 oeufs par cycle. Les femelles anautogènes, ont besoin d'un repas riche en protéines pour produire des oeufs mûrs. Les femelles qui n'obtiennent pas la quantité suffisante de protéines pour permettre la maturation d'un lot complet d'oeufs peuvent interrompre leur développement avant ou pendant le début de la vitellogenèse, ou résorber certains ovocytes tout en conduisant à maturité le reste. Les femelles de la nature conduisent a maturité 85% de leurs lots d'oeufs, montrant ainsi que les femelles de M. vetustissima y ont un accès facile à des aliments riches en protéines.
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15.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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16.
In Bruschidius atrolineatus (Pic), an increase in larval density inside the seed led to a reduction in the survival rate during post-embryonic development, with only a limited decrease in the weight of adults. A high larval density increased the proportion of adults in reproductive diapause under certain thermoperiodic conditions. Under other conditions that already promote the emergence of a high proportion of diapausing beetles, an increase in larval density had no effect on diapause.There was no correlation between the larval developmental time and the weights of adults in a strain with a very low incidence of diapause. However, such a correlation was observed when both sexuallyactive and diapausing beetles emerged. This correlation was explained by the longer developmental times and lower weights of diapausing beetles.
Résumé Chez Bruchidius atrolineatus, l'accroissement de la densité larvaire à l'intérieur de la graine entraîne une augmentation de la mortalité alors que la réduction de poids des individus à l'émergence est relativement limitée. L'accroissement de la densité larvaire provoque une augmentation du taux d'adultes en diapause reproductrice, dans certaines conditions thermopériodiques. Dans d'autres conditions, permenttant l'émergence d'un fort taux d'adultes diapausants, l'effet de la densité larvaire est nul. Lorsque l'on analyse l'effet de la densité chez les individus d'une souche ne présentant pas de phénomène de diapause, il n'y a pas de corrélation entre la durée de développement et le poids des adultes. Par contre, lorsqu'il y a émergence d'adultes sexuellement actifs et diapausants, il existe une corrélation entre la durée de développement et le poids des adultes émergeants. Cette corrélation est due au fait que les adultes diapausants, qui présentent les durées de développement les plus longues, sont ceux qui ont les poids les plus faibles.
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17.
A non-gall-forming aphid, Macrosiphum euphorbiae, was reared within the galls of Dysaphis devecta and Aphis pomi which had been induced in apple seedlings. Similar aphids were also reared on ungalled seedling leaves of a similar age and also on mature leaves and in old galls.There is a weak positive linear relationship between lipid content and pre-reproductive adult dry weight, but aphids living on young galled or ungalled plant tissue have 30% lipid compared to 11% for aphids living on old plant tissue. Adult aphids gradually decline in weight, losing between 24% and 38% of their pre-reproductive biomass before death. The energy content of this loss subsidieses reproduction. Reproduction of aphids feeding in old galls or on mature leaves was negligible, but on younger tissues average fecundity was 31, there being little difference between aphids living on galled and ungalled tissue. There is no simple relationship between pre-reproductive adult embryo content and fecundity.The principal factor mediating honeydew production was aphid size and this factor overrides any variation caused by different feeding sites. Honeydew production averaged 0.43 mg during a life of 30 days. Aphids successfully completing their life cycle have a life-time energy consumption of 30.58 joules of which 18% is lost as heat during respiration (R), 30% is contained in honeydew (F+U), 1% is contained in exuviae (Pe). Larval growth accounts for 17% (Pg), and adult reproduction for 34% (Pr).The P/C ratio for M. euphorbiae is 53% and is broadly comparable with aphids living on herbaceous plants.
Résumé Un puceron ne formant pas de galles, Macrosiphum euphorbiae, a été élevé dans des galles de Dysaphis devecta et Aphis pomi formées sur semis de pommiers. D'autres M. euphorbiae ont été élevés sur feuilles sans galles du même âge provenent de semis identiques, sur feuilles mûres et sur vieilles galles.Il y a une faible relation positive linéaire entre la teneur en lipides et le poids sec des adultes avant la reproduction, mais les pucerons élevés sur tissus végétaux jeunes avec ou sans galles contiennent 30% de lipides contre 11% pour ceux élevés sur tissus âgés. Le poids des pucerons adultes diminue progressivement, la perte avant la mort se situant entre 24 et 38% de la biomasse avant la reproduction. Le contenu énergétique de ces pertes alimente la reproduction. La reproduction de pucerons consommant les vieilles galles ou les feuilles mûres était négligeable, mais sur jeunes tissus la fécondité moyenne était de 31-avec peu de différences entre pucerons sur galles ou feuilles-. Il n'y a pas de corrélation simple entre le contenu en embryon des adultes avant la reproduction et la fécondité.Le principal paramètre conditionnant la production de miellat est la taille du puceron; ce paramètre surpasse toute variation provoquée par les divers lieux d'alimentation. La production moyenne de miellat est de 0,43-mg pendant une vie de 30 jours. Les pucerons accomplissant leur cycle avec succès utilisent pendant leur vie 30,58 joules, dont 18% sont dissipés sous forme de chaleur pendant la respiration (R); le contenu du miellat (F+U) correspond à 30%, et 1% est contenu dans l'exuvie (Pe). La croissance larvaire (Pg) utilise 17%, et l'activité reproductrice des adultes (Pr) 34% de l'énergie. Le rapport P/C-53% pour M. euphorbiae-est globalement comparable à celui des pucerons vivant sur plantes herbacées.
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18.
Longevity, egg production and sensitivity towards induction of diapause of two laboratory cultures of Leptinotarsa decemlineata Say, the Colorado potato beetle, were compared. One culture was kept ab ovo under long-day conditions (LD: 16 hr photophase; 25°=LD culture); the other was raised ab ovo in short-day condition (SD: 10 hr photophase; 25°), kept in diapause during 9 months at 25° in dry sand and after termination of diapause brought to LD (=DP-LD culture). During 97 days, there were no significant differences in the longevities of the cultures (50% mortality: day 52 in DP-LD; day 58 in LD). The survival curve of each was almost linear, which is rather unusual in animals. If the regression line, representing each survival curve was linearly extrapolated beyond day 97 (end of experiment), a theoretical maximal life span of 121 days was found for the LD culture, and of 110 days for the DP-LD culture. Beetles did not enter a second diapause as easily as the first. The haemolymph protein pattern of old animals that had ceased reproduction was almost similar to that of young reproducing animals. In both cultures, the last egg was laid at day 86. Mated females produced 30–60 eggs per day as compared with virgin females which produced less than ten per day. Application of JH 1, 20-hydroxyecdysone, prostaglandin E2, haemolymph or brain extracts of females did not increase egg production in virgins.
Résumé La longévité, la fécondité et la sensibilité à l'induction de la diapause ont été comparées chez deux souches de laboratoire du doryphore, Leptinotarsa decemlineata. Une souche a été conservée ab ovo en jours longs (LD: 16 h de photophase; 25°=LD culture). L'autre souche a été élevée ab ovo en jours courts (SD: 10 h de photophase; 25°); elle est restée en diapause pendant 9 mois à 25° dans du sable sec et a été placée en LD après la fin de diapause (= DP-LD culture). Jusqu'au 97ième jour de l'expérience, il n'y avait pas de différence significative entre les longévités des deux souches. Les courbes de survie des deux souches étaient presque rectilignes, ce qui est plutôt rare chez des animaux.En extrapolant linéairement après le 97ième jour (fin de l'expérience) les lignes de régression linéaire correspondant aux deux courbes, une durée de vie maximale théorique de 121 jours a pu être déduite dans la souche LD et de 110 jours pour la souche DP-LD. Aucune différence significative n'a été observée entre les fécondités des deux souches. Le dernier uf a été pondu le 86ième jour. Les doryphores qui avaient déjà été en diapause, n'y retournaient pas aussi aisément que ceux qui n'avaient jamais été en diapause avant leur vie reproductive. Le protéinogramme de l'hémolymphe des animaux âgés ne différait pas de celui des jeunes animaux reproducteurs. Tandis que les femelles accouplées ont pondu 30 à 60 ufs par jour, les femelles vierges n'en ont pas émis généralement plus de 10. L'application d'hormone juvénile 1, de 20-hydroxyecdysone, de prostaglatine E2, d'hémolymphe ou d'extraits céphaliques de femelles n'a pas accru la production d'ufs.


This research was supported by the National Foundation of Scientific Research (N.F.W.O.) of Belgium.  相似文献   

19.
Females of the gall midge Rabdophaga terminalis (H. Loew) (Diptera: Cecidomyiidae) are very selective in their choice of host plants at oviposition. In preference trials, eggs were laid almost exclusively on S. alba and S. fragilis. One single oviposition occurred on S. viminalis but none on S. triandra, S. daphnoides or S. smithiana. Significantly more eggs were laid on S. alba than on S. fragilis. No differences were detected between clones of the same species regarding oviposition in laboratory trials. Within the species of S. alba, larger buds were preferred. However, this did not explain the preference of S. alba to S. fragilis. There was agreement between plant species selected by the females and survival of the larvae. No galls developed when eggs were transferred to species that were not oviposited on. There was no difference between S. alba and S. fragilis in larval growth, but after two weeks of development there was a significantly higher proportion of larvae in cocoons and pupae on S. alba. There was a negative linear relationship between weight of larvae and larval number per gall, indicating larval competition. The negative slope was steeper for S. alba than for S. fragilis when larvae were weighed after two weeks of development. There were some discrepancies between laboratory and field data on infestation of S. alba and S. fragilis. Higher infestation levels were related to denser stands in the field.
Résumé Etude de la ponte et des performances larvaires de Rabdophaga terminalis (Diptera; Cecidomyiidae) sur plusieurs espèces de saules avec examen particulier de l'influence de la taille des bourgeons.La ponte et les performances larvaires de la cécidomyie galliforme, Rabdophaga terminalis (H. Loew) ont été étudiées sur plusieurs espèces et clones de saules cultivés en Suède. Les femelles sélectionnent avec soin les plantes hôtes lors de la ponte. Dans des essais préférentiels, les oeufs ont été pondus presque exclusivement sur S. alba et S. fragilis; une ponte a été observée sur S. viminalis et aucune sur S. triandra, S. daphnoïdes ou S. smithiana. Significativement plus d'oeufs ont été pondus sur S. alba que sur S. fragilis. Les essais au laboratoire n'ont pas permis de déceler des différences entre clones de la même espèce. Chez S. alba, les plus gros bourgeons étaient préférés, mais ceci ne permet pas d'expliquer la préférence pour S. alba par rapport à S. fragilis. Il y a coïncidence entre les plantes choisies par les femelles et al survie des larves; il n'y avait pas développement de galles quand des oeufs étaient transférés sur des espèces qui n'avaient pas reçu de pontes. La croissance larvaire sur S. alba et S. fragilis ne présentait pas de différences, mais après 2 semaines de développement il y avait significativement plus de larves en cocons et pupes sur S. alba. La corrélation entre le poids des larves et le nombre de larves par cellule était linéaire et négative, ce qui indique une compétition larvaire; la pente était plus raide pour S. alba que pour S. fragilis quand les larves étaient pesées au bout de 2 semaines de développement. Il y a eu quelques discordances entre les résultats au laboratoire et les données de terrain sur la contamination de S. alba et S. fragilis. Les plus fortes contaminations étaient observées à l'extérieur sur pépinières denses.
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20.
Tri-o-cresyl phosphate was added to the food of Acheta domesticus (L.) at 0.7%. Symptoms of vitamin E deficiency induced by tri-o-cresyl phosphate were a diminished fecundity and egg viability as well as a prolonged pre-oviposition period. The maximum effect on fecundity was observed when treated food was fed to the adult, whereas a partial effect was produced when treated food was fed only to the larva. Spermatogenesis was unaffected. The diminished viability was due to a reduction in sperm motility, from which it was inferred that vitamin E plays a rôle in sperm motility. This is the first evidence for such a function for vitamin E. The effect on sperm motility was observed when treated food was fed to either the larva or to the adult.
Le mode d'action du trio-o-cresyl phosphate, substance stèrilisant le grillon domestique
Résumé 0,7% de tri-o-cresyl phosphate (PTOC) a été ajouté à la nourriture d'Acheta domesticus. Les symptomes d'avitaminose E, induits par le PTOG ont été: un retard de la période de ponte, une diminution de la fécondité et une réduction de la fertilité des oeufs.L'effet sur la fécondité a été plus important quand l'aliment a été absrbé par les adultes, que par les larves, ou il n'était que partiel. La spermatogénèse n'a pas été a ffectée. La réduction de la fertilité a été provoquée par une diminution de la mobilité des spermatozoïdes. Ceci est la première démonstration d'une telle fonction de la vitamine. E. Le même effet sur la mobilité des spermatozoïdes a été observé quand les larves ou les adultes ont consommé la nourriture traitée au P.T.O.C.
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