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1.
A. G. Coche 《Hydrobiologia》1967,30(2):293-302
Summary An experiment was conducted over a 48-hour period to test the ability of yearling coho salmon to dispose of the absorbed chloride when abruptly transferred from fresh water to sea-water. The Schale micromethod was used to titrate chloride in the plasma and the samples after 0-, 24- and 48hour exposure in fresh-, 15 p.p.th. and 30 p.p.th. salt water. Results showed that one-year old fish, averaging 11.5 cm in length and 13.5 g in weight were able to osmoregulate in 7.35 p.p.th. Cl sea-water. In 12.5 p.p.th. Cl concentrations, their body fluids showed an increasing chloride content. No mortality however was recorded within the 48 hours of the experiment. Fish exposed for one month to estuarine sea-water succeeded in bringing their body fluid chloride level back to normal (5.4 p.p.th). Size is suggested as an important limiting factor for the development of an efficient osmoregulatory mechanism termed secreting cells and localised near the gills.
Résumé Des alevins de saumon argenté agés de 13 mois furent transférés sans transition d'eau fraîche en eau de mer. La microméthode de Schale fut utilisée pour la titration de l'ion Cl dans le plasma sanguin des poissons en experience et dans le milieu ambiant. Des échantillons furent prélevés après des séjours de 0,24 et 48 heures en milieu de concentration saline totale de 0,15 et 30 p.p.mille.Les résultats montrèrent que de jeunes saumons de 11,5 cm de long et pesant 13,5 g en moyenne, étaient capables d'osmorégulation dans un milieu contenant 7,35 p.p. mille Cl. Cependant, en présence de 12.5 p.p. mille Cl la teneur en Cl de leur plasma sanguin s'accrût. Mais aucune mortalité ne fut observée.Des poissons similaires réussirent au cours d'un mois de séjour dans de l'eau de mer légèrement diluée, à rétablir la teneur en Cl de leur plasma sanguin à un niveau normal (5,4 p.p. mille).Ces résultats et ceux d'autres auteurs suggèrent la taille de l'alevin comme facteur limitant important dans de développement d'un mécanisme d'osmorégulation efficient, dénommé cellules sécrétrices et localisé près des branchies.
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2.
Per Haage 《Hydrobiologia》1968,32(1-2):257-270
Summary The salinity tolerance of eggs and recently hatched larvae of Phryganea grandis Linné (Trichoptera) from brackish-water in the Baltic Sea was investigated. Freshly deposited eggs will not develop to hatching in salinities above 7 More mature eggs will hatch even in 20 \% but the larvae die soon after emerging. Larvae have the same tolerance range as freshly deposited eggs (distilled water to 7 \%) in accordance with the actual distribution of the species. The high tolerance of mature eggs is probably due to changes in the egg-membranes or in the jelly of the egg-masses.Case building becomes abnormal in salinities above 10
Résumé La tolérance de sel des oeufs et des larves récemment écloses de Phryganea grandis Linné (Trichoptera) de l'eau saumâtre de la Baltique a été examinée. Des oeufs nouvellement pondus ne se développeront pas jusqu'à éclosion dans une salinité de 7 Des oeufs plus mûrs sortiront de l'oeuf même dans une salinité de 20 \%, mais les larves meurent bientôt. Les larves ont la même limite de tolérance que des oeufs nouvellement pondus (de l'eau distillee de 7 \%), conformément à la distribution actuelle des espèces. La haute tolérance des oeufs mûrs est probablement conditionnée par des changements dans les membranes des oeufs ou dans la gelèe des masses d'oeufs. La construction des fourreaux devient anormale dans des salinités au-dessus de 10
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3.
Ronald Eisler 《Hydrobiologia》1970,36(3-4):345-352
Summary Clams and gastropods survived 96-hour immersion in concentrations up to 25 mg/l of four organophosphorus insecticides (DDVP, dioxathion, methyl parathion, Phosdrin(R)) or 10 mg/l of four organochloride compounds (p,p-DDT, lindane, endrin, dieldrin) at 24 salinity and 20°C. During a post-treatment observation period of 33 days for gastropods and 133 days for clams, the following was noted: a reduction in number of egg cases deposited by gastropods initially subjected to comparatively high levels of endrin, dieldrin, and lindane; an apparent stimulatory effect on gastropod fecundity by relatively low concentrations of p,p-DDT, endrin, dieldrin, and lindane; and a decrease in survival of clams and gastropods initially subjected to high levels of DDVP or methyl parathion.
Résumé Des groupes différents de mollusques bivalve, Mercenaria mercenaria, ou gastéropode, Nassa obsoleta, ont survécu des traitements de 25 mg/l d'insecticides organophosphoriques (DDVP, dioxathion, méthyl parathion, Phosdrin(R)) ou de 10 mg/l de chlorures d'hydrocarbures (p,p-DDT, lindane, endrine, dieldrine). Ces traitements de 96 heures pour chaque groupe exposé à une concentration d'insecticide furent accomplis à une salinité de 24 et à une température de 20°C. Après ce treaement initial les gasteropodes furent placés dans de nouveaux aquariums contenant de l'eau non-contaminée et gardés sous observation pendant 33 jours. Les bivalves, traités de façon identique, furent gardés pendant une periode de 133 jours. La période d'observation révéla les différences suivantes entre les animaux traités et les témoins : a/ réduction du nombre des plaques de ponte pour le gastéropode soumis à de fortes doses d'endrine, de dieldrine, et de lindane; b/ stimulation apparent de la fécundité comme le laisse supposer l'augmentation du nombre des plaques de pontes pour les gastéropodes traités avec de faibles concentrations de p,p-DDT, d'endrine, de dieldrine, et de lindane; c/ une augmentation du taux de mortalité chez les bivalves et les gastéropodes soumis à de fortes doses de DDVP ou de méthyl parathion.
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4.
Résumé Le transfert graduel de l'Anguille d'eau douce en eau de mer provoque une augmentation de la teneur en acide N-acétyl-neuraminique (ANAN) de la peau, temporaire chez le mâle argenté, prolongée chez le mâle en cours d'argenture. Les cellules à prolactine de l'adénohypophyse, très actives en eau douce, subissent une lente involution, mais après 30 jours en eau de mer, leur aspect n'indique pas encore un hypofonctionnement très marqué. L'évolution de la mucifieation cutanée et celle de l'aspect des cellules à prolactine ne présentent donc pas de corrélation étroite au cours de l'adaptation à l'eau de mer, surtout après 160 jours.Chez les Anguilles maintenues en eau de mer pendant 20 jours, le retour en eau douce affecte légèrement la teneur en ANAN; elle demeurs très supérieure à celle des témoins restés en eau douce. Les cellules à prolaetine sont stimulées, mais même 10 jours après le transfert, l'image obtenue est encore loin de celle initialement observée en eau douce. Ces changements de salinité modifient les electrolytes plasmatiques. Les corrélations entre ces divers résultats sont envisagées.
Effects of external salinity changes on N-acetyl-neuraminic acid (ANAN) content of the skin in eelsSimultaneous modifications of hypophyseal prolaotin cells
Summary Progressive transfer of European eels from fresh water to sea water induces an increase in the skin content of N-acetyl-neuraminic acid (ANAN). This increase is of short duration in silver male eels but lasts for at least 160 days in animals studied during the silvering process. In the pituitary gland the cells secreting a prolactin-like hormone are very active in fresh water but slowly regress after transfer to sea water. Even after 30 days the regression is only slight but after 160 days they are markedly hypoactive. The development of skin mucus production and the activity of the prolactin cells are not correlated during adaptation to sea water particularly after five months.The transfer back to fresh water of eels which have been kept in sea water for 20 days, produces slight changes in the skin content of ANAN which, after 2, 5 or 10 days, tends to be lower or similar to that of animals remaining in sea water. However, it remains much higher than in controls maintained in fresh water. This transfer stimulates the prolactin cells but even after 10 days their histological picture is different from that commonly observed in fresh water.Plasma electrolytes are affected by the salinity changes and some correlations among histological and biochemical data are considered and discussed in the light of results obtained by other authors on different teleosts.


Nous remercions bien vivement Mme P. Martin-Sicard du CNRS qui a effectué les dosages des divers electrolytes plasmatiques et Mlle J. Olivereau du CNRS pour tout le travail histologique réalisé.  相似文献   

5.
The lethal salinity limits (LC50 and mean survival times) of two populations of barbel, Barbus callensis, were determined. Conditions in Lake Ichkeul, Tunisia, are lethal for the fish in summer; this explains their seasonal migrations into Oued Sejnane and the other tributaries. Tolerance increased between 1984 and 1985 from LC50 = 15.6 to LC50 = 17.2 in a population from Oued Mejerdah; this may be connected with the dissolution of rock salt in the new Sidi Salem reservoir.
Résumé Les limites létales de salinité (CL50 et durée moyenne de survie) de deux populations de barbeaux tunisiens ont été déterminées. Nous avons montré que les conditions de salinité dans le lac Ichkeul sont létales pour ces poissons en été, ce qui explique leurs migrations saisonnières vers l'oued Sejnane et les autres affluents. Nous avons aussi constaté une élévation récente de la tolérance de la population de la Mejerdah, qui peut être en relation avec la dissolution des roches salines dans le nouveau réservoir de Sidi Salem.
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6.
Summary Several factors affecting the physical and biological quality of fertilizer-based legume inocula were evaluated. Application of 2.5, 5 or 8% (v/w) peanut oil or paraffin oil in a fertilizer granule resulted in stable and flowable granules, free from aggregation. However, chemical composition of fertilizers significantly limited rhizobial survival in that granulated phosphate rock (PR) promoted survival better than either 0/6.5/12.4 or 0/8.7/16.6 (N/P/K) fertilizers. Oil-suspended rhizobia applied to granular PR at 8% survived acceptably at 30°C but was less tolerant at 60°C although the fertilizer still contained 103 to 104 cells/g at the elevated temperature after 56 days of storage.Rhizobium strains also differed significantly in tolerance to fertilizer type and elevated temperatures. The results suggest that fertilizer-base inocula can be an important special purpose inoculant for use as an alternative to conventional inocula in many areas of the world.
Compatibilité des Rhizobia et des engrais en combinaison, comme inoculum de légumes
Résumé On a évalué plusieurs facteurs qui influencent la qualité physique et biologique d'inocula de légumes à base d'engrais. L'incorporation de 2.5, 5 ou 8% d'huile d'arachide ou d'huile de paraffine dans les granules d'engrais conduit à des granules stables et fluides, exempts d'agrégation. Toutefois, la composition chimique des engrais limite de façon significative la survie des Rhizobia. Ainsi, la roche phosphatée en granules (PR) a permis une meilleure survie que les engrais à respectivement 0/6.5/12.4 ou à 0/8.7/16.6 d'N, P et K. Les Rhizobia suspendus dans l'huile appliqués aux granules PR à 8% ont survécu de manière acceptable à 30°C mais se sont révélés moins tolérants à la température de 60°C bien que l'engrais contenant encore 103 à 104 cellules par gramme à cette température élevée après 56 jours de conservation. Les souches deRhizobium diffèrent également entre elles quant à leur tolérance vis-à-vis du type d'engrais et de la température élevée. Les résultats suggèrent que les inocula à base d'engrais peuvent constituer un inoculum important pour un usage particulier, notamment comme alternative aux inocula conventionnels dans plusieurs régions du monde.
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7.
Medium sized (average 43.1 mg) and large (average 110.6 mg) wireworm larvae (Ctenicera aeripennis aeripennis) were reared in sterilized or unsterilized soil, with sterilized or unsterilized flax seed supplied as food. Sterilized flax was a better food than unsterilized flax, but unsterilized soil improved the results obtained with unsterilized flax.
Sommaire Dans un effort de détérminer les différences biologiques entre le taupin des graminées, Ctenicera aeripennis destructor (Brown), et celui de Puget Sound, Ctenicera aeripennis aeripennis (Kby), les effets sur les larves de ce dernier de la semence de lin et du sol sterilisés fut observés pendant 30 semaines. Contraire aux résultats obtenus avec les larves de C. a. destructor, le lin sterilisé autant que le lin non-sterilisé prouva attrayant et efficace pour la croissance aux larves de taille moyenne de C. a. aeripennis. Les larves de C. a. aeripennis de grosse taille ne différèrent de celles de C. a. destructor que par une plus grande augmentation de poids quand le lin sterilisé ou non-sterilisé fut présent en sol nonsterilisé. La survivance des larves de grandeur moyenne fut meilleure avec le lin sterilisé qu'avec le lin non-sterilisé tandis que celle des grosses larves ne fut pas influencée.Les résultats obtenus sans le lin avec les larves des deux espèces suggèrent que les microorganismes dans le sol ne sont probablement pas utilisés dans l'alimentation de ces espèces. Dans le cas des larves de C. a. aeripennis de grosse taille, il est fort probable que les microorganismes dans le sol rendent plus accessibles aux larves des facteurs alimentaires du lin, ce qui leur permet une croissance meilleure que d'ordinaire.Pourvues du lin, 25 p.c. des larves de grandeur moyenne mangèrent hebdomadairement. A peu près de 5 p.c. muèrent chaque semaine, même sans lin. Avec le lin non-sterilisé, 17 p.c. des larves survécurent dans le sol sterilisé, tandis que 55 p.c. survécurent en sol non-sterilisé. Avec le lin sterilisé, plus de 90 p.c. survécurent, et dans le sol non-sterilisé et dans le sol sterilisé. Pourvues du lin, les larves prirent du poids; sans lin, elles en perdirent.Avec le lin sterilisé dans le sol sterilisé, 31 p.c. des larves de grosse taille mangèrent chaque semaine et seulement 16 p.c. dans tout autre cas. A peu prés 4 p.c. muèrent chaque semaine. Seulement 37 p.c. des larves de cette taille survécurent dans le sol non-sterilisé avec le lin non-sterilisé, mais plus de 98 p.c. survécurent avec du lin sterilisé dans le même sol et plus de 65 p.c. dans le sol sterilisé pourvu de lin ou sans lin.


Contribution No. 22, Canada Department of Agriculture Research Station, Saskatoon, Canada.  相似文献   

8.
Several methods for hatching the eggs and rearing individuals of the first generation (fundatrices) of Sitobion avenae were investigated. The most successful methods were incubation of the eggs on grass seedlings at 2°C and rearing the fundatrices on grass seedlings (overall survival 66%) and incubation of the eggs in plastic boxes at 2°C and rearing the fundatrices on wheat seedlings (overall survival 62%).
Résumé L'éclosion des oeufs de S. avenae peut être induite par le transfert à 10°C ou 12°C, après une incubation de 75–120 jours à 2°C. Le pourcentage le plus élevé d'éclosions a été obtenu quand les oeufs avaient incubé pendant 100 à 110 jours à 2°C (67% at 71.5% respectivement) dans des petites boîtes de plastique, ou pendant 100 jours à 2°C sur des pousses de graminées (73.5%). Si les oeufs sont pondus sur blé, la plante ne peut pas tolérer la période d'incubation, mais cet obstacle peut être surmonté en obligeant les ovipares à pondre leurs oeufs sur de pousses de graminées, comme Poa annua, hôte convenable pour les fondatrices. Les ovipares peuvent aussi pondre sans difficultés sur autre chose que des végétaux, et des récipients peuvent ètre mis à incuber sans contenir du matériel végétal.
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9.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

10.
Ovarian maturation was prevented in 7-, 22-, 23- and 28-day-old females of Dacus oleae (Gmelin) (Diptera: Tephritidae), developed in the pre-imaginal stages at LD 12:12, 19±1°C and kept as adults at LD 16:8, 26±1°C without access to olive fruits. In females of the above ages having continuous access to olive fruits and held under the same photoperiod and temperature conditions, 54, 87 and 100%, respectively, had mature oocytes. When the females had access to domes of paraffin wax, the percentages of females with mature oocytes were intermediate between those with and those without access to olive fruits. Under the above photoperiod and temperature conditions unfavorable for maturation, 50% of 4-week-old females had mature oocytes if exposed for one week to olive fruits during their first week and 91% if exposed during their 4th week of adult life. The respective percentages with wax domes in the cages were again intermediate between those with olives and those without olives or wax domes. The presence of olive fruits had also a strong positive effect on the ovarian maturation of females which developed from egg through the adult stage at LD 16:8, 26±1°C, a condition favoring ovarian maturation. Access to wax domes had again an intermediate effect on maturation. It is concluded therefore that the lack of ovarian maturation of D. oleae females which is observed under a short photophase during the pre-imaginal stages if followed by a long photophase and an increase of temperature during the adult stage, continues at least till the end of the 4th week of adult life in the absence of olive fruits but is averted when such fruits are offered to the adult flies.
Résumé La maturation ovarienne des femelles adultes agées de 7, 22–23 et 28 jours de D. oleae ayant accompli leur développement embryonnaire, larvaire et nymphal en LD 12:12, 19±1°C et maintenues en LD 16:8, 26±1°C, sans accès à des olives, est inhibée. Dans les mêmes conditions, mais avec accès permanent à des olives, 54% des femelles ont des ovocytes mûrs à 7 jours, 87% à 22–23 jours et 100% à 28 jours. Avec des femelles ayant accès à des domes de paraffine, les pourcentages d'individus ayant des ovocytes mûrs sont intermédiaires entre ceux des deux situations précédentes. Dans les conditions cidessus défavorables à la maturation ovarienne, 50% des femelles de 28 jours ont des ovocytes mûrs si elles sont en présence d'olives durant leur première semaine de vie imaginale et 91% si elles sont en présence la 4éme semaine. Les pourcentages respectifs concernant les femelles pourvues de dômes de paraffine sont encore intermédiaires entre ceux des femelles avec olives et ceux de femelles privées de tout substrat. La présence d'olives a aussi un effet fortement positif sur la maturation ovarienne de femelles ayant accompli leur développement pre-imaginal et maintenues aussi à l'etat adulte en conditions LD 16:8, 26±1°C, favorisant la maturation ovarienne. L'accès à des dômes de paraffine a, là encore, un effet intermédiaire. On conclut par conséquent que la non maturation ovarienne des femelles de D. oleae qui est causée par une photopériode à jour court pendant la vie pre-imaginale accompagné par une photopériode à jour long et une augmentation de la température pendant la vie imaginale persiste au moins jusqu'à la fin de la quatrième semaine de la vie imaginale en absence d'olives, mais ne se produit pas si on met les femelles adultes en présence d'olives.
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11.
H. M. Bishai 《Hydrobiologia》1962,19(4):357-382
Summary The study of both the physical and chemical water characteristics of the Nile and its tributaries in the Sudan (south of Khartoum) was carried out. The main changes along the White Nile are due to tributary contribution especially that of the riverain swamps and River Sobat. The Gazal has no effect due to its negligible contribution to the White Nile. The influence of the Zeraf, although showing marked characteristics, is restricted to 50–80 km north its mouth. This is due to its low discharge and it is being diluted with the Sobat water.The study of Bahr el Gazal showed a significant longitudinal succession of this tributary where the water characteristics of its upper reaches differ considerably from those at Lake No. At the Gazal mouth a decrease in the dissolved phosphates, silicon, iron and chlorides takes place.The water of Bahr el Jebel, as it passes through the Zeraf, becomes enriched with nutrient salts which account for the dense plankton population of this tributary. As the water passes through the swamps at the sudd region depletion of its oxygen and sulphate content takes place. The characteristics of the water at the swamps affect the animal life and may be important factors in the distribution of animals living in these waters.The influence of Jebel Aulia dam on the water characteristics was studied and results show that significant modifications take place during the seasonal storage of water.The effect of the water hyacinth (Eichhornia crassipes Sol ms.) on the hydrobiology of the Nile was pointed out. The marked decrease of the nitrate nitrogen at Jebel Aulia basin may be partly attributed to its uptake by this plant; especially the reservoir provides ideal conditions for the spread of Eichhornia. The stunted growth of the water hyacinth was recorded at the upper reaches of Bahr el Gazal. This could not be explained due to the low salt content or low pH of the Gazal as Eichhornia is widely spread and shows maximum growth at the Sobat which has more or less the same salt content, pH, oxygen content and alkalinity.
Résumé Une étude des caractéristiques physiques et chimiques de l'eau du Nil et ses tributaires au Sudan (Sud de Khartoum) a été faite. Les changements principaux au long du Nil Blanc sont dues à la contribution des tributaires spécialement celle des marais et du fleuve Sobat. Le Gazal n'a pas d'effet étant donné sa contribution négligeable au Nil Blanc. Le Zaraf, malgre qu'il montre des caractéristiques marqués, a un effet limité à 50–80 kms au nord de son embouchure. Ceci est du à son faible écoulement et à son étendue avec l'eau du Sobat.L'étude de l'eau du Bahr el Gazal a montré une succession longidutinale de ses tributaires où les caractéristiques de l'eau de ses hautes ressources diffèrent de celle du lac No. A l'embouchure du Gazal se produit une réduction des phosphates diluées, silice, fer et chlorides. L'eau du Bahr el Jebel étant donné qu'elle passe dans le Zeraf enrich de sels nutritif qui alimentent le plankton dans ce tributaire. Quand l'eau passe dans les marais du Sud une dépletion de son contenu en oxygen et sulphates se présente. Les caractéristiques de l'eau des marais affectent la vie de l'animal et peuvent être d'importants facteurs dans la distribution des animaux qui vivent dans ces eaux.L'influence du Barrage de Jebel Aulia sur les caractéristiques a été étudiée et les résultats montrent des modifications signifiantes qui ont lieu durant l'emmagasinage de la saison.L'effet de l'Eichhornia crassipes Solms sur l'hydrobiologie du Nil a été remarqué. La diminution marquée du nitrogen au bassin de Jebel Aulia peut être attribuée à son absorbtion par cette plante surtout que le resérvoir fournit des conditions idéales pour l'étendue d'Eichhornia.La lente croissance de cette dernière plante a été remarquée aux hautes embouchures de Bahr el Gazal. Ceci ne peut pas être expliqué étant donnée la faible quantité de sel et au bas pH de l'eau de Gazal. Au Sobat où l'eau contient plus ou moins le même sel, pH, oxygen et alcalinité, l'Eichhorina est largement développé et s'accroit rapidement.
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12.
Summary 1. Marine sandy beaches allow interesting basic studies on animal distribution and other marine ecological aspects.2. The field distributions observed should be accompanied by laboratory experiments in order to establish the specific effects of the different environmental factors. The use of tolerance and preference experiments as simple and highly successful tools is discussed.3. The distribution of the copepodParastenocaris vicesima Klie in a sandy beach on Askö (Baltic Sea) has been investigated and tested in laboratory experiments. Measurements of salinity, temperature, water content, oxygen availability, grain size and organic matter in four successive beach stations are presented.4.P. vicesima was absent in the two most seaward stations and the vertical distribution in the two inner stations seemed rather irregular.5. Tolerance experiments with 8 different salinity concentrations showed the greatest survival in 10 to 0.1 S. Preference experiments revealed a preference zone at 2.5 to 0.16. Tolerance to high temperature was tested at 30° C in 5 different salinities. The survival was best in 5 to 0.57. A simple apparatus for testing the responses of small animals to low oxygen availabilities was constructed. A lower tolerance limit in habitat water of 15° C was located around 1×10–7 gO2 cm–2min–1.8. In preference experiments with different grain sizes,P. vicesima preferred sand with a medium grain size of 250µ.9. The results of our laboratory experiments could be used to explain the field distributions ofP. vicesima observed. The lack of animals in the outer station was caused by the salinity factor. The vertical distribution in the inner stations was a result of the combined effects of (a) detritus concentration, (b) oxygen availability and (c) great percentages of fine sand, which attracted the animals in several layers.10. The necessity of knowing the local weather conditions which were effective during the period previous to the field investigations is stressed.
L'importance d'experiments de tolerance et de préférence pour la compréhension de la distribution de mesopsammon dans la nature
Extrait La plage marine est un endroit propice aux études des problèmes fondamentaux de l'écologie marine. Des échantillons quantitatifs permettent d'étudier la distribution des animaux dans le réseau des gradients verticaux et horizontaux. Les causes de la distribution relevée doivent être élucidées par des expériences faites au laboratoire. Il est surtout indiqué de procéder à des expériences de tolérance et de préférence. Ces méthodes ont été appliquées à étude écologique du Copépode HarpacticideParastenocaris vicesima qui colonise une plage de la Baltique. Les concentrations les plus importantes de cet organisme furent relevées entre 2 et 3,5 m du bord de la mer dans une salinité de 0,7 à 0,2 et la distribution verticale était très irrégulière. Les facteurs notés constitutifs du milieu sont: salinité, température, teneur en eau, accessibilité d'oxygène, granulométrie et teneur en matière organique. En plus de l'espèce étudiée il y avait une faune très riche dont les groupes dominants étaient: Oligochètes, Nématodes, Turbellariés. Au cours des expériences faites au laboratoire les organismes ont montré une grande résistance à des salinités basses et ils ont préféré une salinité de 2,5 à 0,5 S. A une température de 30° C et dans des salinités de 5 et de 0,5 respectivement, 50% des animaux ont subsisté pendant 4 à 5 jours. Quant à l'accessibilité d'oxygène la limite inférieure était à 1×10–7 gO2 cm–2min–1 et aucun individu n'a été récolté dans les couches de sable ayant une accessibilité inférieure à 1,9×10–7 gO2 cm–2min–1.P. vicesima a préféré au laboratoire le sable ayant des grains d'un diamètre de 250–125 microns et n'a été relevé que dans les horizons caractérisés par ce type de sable. On peut s'attendre à trouver une pareille corrélation entre la distribution de la faune interstitielle et l'incidence des facteurs écologiques, mais seulement après des délais ayant permis aux animaux de rechercher leurs microhabitats normaux.
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13.
Summary A cytometrical study of the various segments of kidney tubules was performed on silver or silvering male eels during acclimation to sea water (SW) for 2 to 160 days and their return to fresh water (FW). Tubular epithelial cell height and nuclear area are markedly reduced during the first two days, and further reduced in the following period to reach a stable level around the 20th day. The glomerular size is slightly decreased. Phospholipids are less abundant and the brush borders become thinner. In a single eel kept for 9 months in pure SW slowly concentrated by evaporation (NaCl 45 g/l), cell and nuclear values were similar to those obtained in full strength SW after 160 days. Distal and collecting tubules exhibit maximal reactivity, that of the first proximal tubule being minimal.When eels kept for 20 days in SW are returned to FW, there is a rapid increase (48 h), sometimes with an overshoot, of all measured parameters, followed by a rapid decrease (5 days) and a normalization of the values in the distal and collecting tubules.The rapid response of eel kidney to salinity changes does not appear to be linked to cellular hydration as the various segments of the kidney tubules react differently. The data are discussed with respect to osmotic acclimation and in relation to variations of prolactin secretion. Prolactin (PRL) release during transfer to FW stimulates the renal tubules less strongly than mammalian PRL: while mitotic activity and differentiation of new nephrons are induced by ovine PRL treatment in intact or hypophysectomized FW eels (Olivereau and Lemoine, 1969b), no such events were detected during acclimation to this hypotonic medium, at least during the first ten days. This rather reflects insufficient PRL release than a different biological activity, despite immunological differences between fish and ovine prolactin.
Résumé L'étude cytométrique (hauteur épithéliale et aire nucléaire) des divers segments du tube rénal, réalisée chez l'Anguille mâle argentée ou en cours d'argenture lors de l'adaptation à l'eau de mer (SW) montre une réduction marquée dès les premières 48 h en SW qui s'accuse légèrement pour atteindre un niveau stable vers le 20e jour; la taille des glomérules est réduite. Les phospholipides sont moins abondants, la bordure en brosse est plus mince. Chez une Anguille conservée 9 mois en SW initialement normale et lentement concentrée par évaporation (NaCl 45 g/l), les valeurs obtenues sont peu différentes de celles après 160 jours en SW pure. La réactivité maximale s'observe au niveau du tube distal et du collecteur, celle du tube proximal l étant minimale.Le retour en eau douce (FW) provoque une rapide augmentation (2 jours), parfois excessive, de ces paramètres, suivie d'une baisse rapide (5 jours) et de la normalisation des valeurs du tube distal et collecteur (10 jours).Les réponses du rein aux changements de salinité, très rapides, ne paraissent pas liées à des processus de déshydratation ou hydratation cellulaire car elles affectent inégalement les divers segments du néphron. Elles sont discutées en fonction des variations des électrolytes plasmatiques et de la sécrétion hypophysaire de prolactine (PRL): sa décharge qui accompagne le retour en FW stimule moins intensément le tube rénal que l'injection de PRL ovine, elle ne provoque pas une intense activité mitotique ni une différenciation de nouveaux néphrons, au moins pendant les 10 premiers jours. Ce fait représente probablement plus une sécrétion insuffisante de PRL lors du retour en milieu hypotonique qu'une différence d'activité biologique, malgré des différences immunologiques entre prolactines ovine et de Poisson.
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14.
Rates of feeding of larvae of Culex pipiens in distilled water and larval water (water in which larvae were held overnight at a density of 1–2 larvae/ml) were compared by two methods. One method depended on assessing the relative rate of displacement of kaolin from the gut when kaolin-glutted larvae were provided with charcoal powder in the test liquids. The other method involved observation of changes in the time spent filtering by individual larvae transferred between distilled and larval water. Compared with plain water, larval water stimulates increased rates of feeding by the same or other conspecific larvae.
Résumé L'eau dans laquelle on a maintenu des larves pendant une nuit, à la densité de 1–2 larves ml, stimule l'activité de filtration et la prise de nourriture de larves introduites isolément dans ce milieu, par comparaison avec des larves témoins placées dans de l'eau distillée. La comparaison de l'activité alimentaire a été faite selon deux méthodes. La première méthode utilise des larves gavées de poudre de kaolin ajoutée à l'eau du milieu d'élevage; ces larves sont transférées ensuite dans de l'eau distillée ou de l'eau ayant hébergé de nombreuses larves (eau de larves) eau à laquelle on ajoute de la poudre de charbon. La quantité de charbon filtrée et absorbée peut alors être appréciée et comparee pour l'eau distillée et pour l'eau de larves. La seconde méthode est basée sur la mesure du temps passé en activité de filtration, pour des larves isolées introduites dans de l'eau distillée ou de l'eau, ayant hébergé, de larves.Ces expériences démontrent que l'eau d'êlevage des larves groupées renferme un principe phagostimulant apporté par les larves elles-mêmes.
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15.
Summary Five rates of urea application (0 to 40 kg N/ha) and three rates of K+ (0 to 65 kg/ha) on the nitrogen-fixing activity of two varieties (SLS-40 and SLS-44) of winged bean were examined in the field. Specific activity of nitrogenase was inhibited with increasing amounts of urea up to 75 days after sowing (d.a.s.), but this was not so apparent at 90 d.a.s. Nitrogenase activity increased in proportion to K+ fertilization especially during the early stages of growth (30 to 60 d.a.s.) and continued even with added N fertilizer. Nitrogenase activities correlated better with nodule dry weight than with nodule number. Nodule number and nodule dry weight were significantly decreased by added N. K+ had a significant effect on nodule number and nodule dry weight. Forty-five day-old plants gave high nodule number but the highest nodule dry weight was recorded on 75 day-old plants. K+ fertilizer stimulated early root growth (30 to 45 d.a.s.) but the overall root biomass at the end of the experiment was similar under all K+ treatments. The shoot weight increased with N but not with K+.
Effet d'une fertilisation basée sur l'azote et le potassium sur la fixation de l'azote chez la fève ailée (Psophocarpus tetragonolobus)
Résumé On examine sur le terrain l'effet de cinq doses d'application d'urée (de 0 à 40 kg d'azote par ha) et de trois doses d'application de K+ (de 0 à 65 kg/ha) sur la fève ailée. Les activités spécifiques de nitrogénase sont inhibées par des doses croissantes d'urée jusqu'à 75 jours après le semis (j.a.s.) mais ceci n'est pas aussi apparent 90 j.a.s. Les activités de nitrogénase augmentent proportionnellement aux doses de fertilisation par le K+, surtout pendant les premiers temps de la croissance (de 30 à 60 j.a.s.) et se maintiennent même en cas d'ajout de fertilisant azoté. Les activités de nitrogénase sont mieux correlées avec les poids secs des nodules qu'avec les nombres de nodules. Tant les nombres de nodules que les poids secs de nodules diminuent de manière significative par ajout d'azote. K+ a un effet significatif tant sur les nombres de nodules que sur les poids secs de nodules. Des plants agés de 45 jours démontrent des nombres élevés de nodules mais les poids secs les plus élevés de nodules sont enregistrés chez des plants agés de 75 jours. La fertilisation par K+ stimule la croissance précoce des racines (de 30 à 45 j.a.s.) mais les biomasses radiculaires totales à la fin de l'expérimentation sont semblables quelque soit le traitement potassique. Les poids de pousses augmentent avec les doses d'azote mais pas avec les doses de K+.
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16.
Résumé Les fibres nerveuses renfermant des vésicules granuleuses et des vésicules de type synaptique apparaissent dans l'éminence médiane de foetus de 14 jours. Dés le 18è jour foetal, de véritables terminaisons nerveuses sont au contact des capillaires du plexus intercalaire, constituant une charnière neurohémale. Les anses intrainfundibulaires commencent à pénétrer dans l'éminence médiane à la naissance mais ce n'est que chez des souris de 5 jours qu'elles deviennent très nombreuses. — Nous discuterons sur des critères morphologiques, de la possibilité d'un contrôle hypothalamique sur l'adénohypophyse avant la naissance.
Fine structure of the mouse median eminence during early stages of its ontogenesis
Summary Nerve fibers containing granular vesicles and vesicles closely resembling synaptic vesicles appear in the median eminence of 14 days old mouse fetuses. At 18th fetal day true nerve endings have been observed which are located close to the capillaries of the superficial plexus forming a neurovascular link. The capillary loops penetrate into the median eminence at the time of parturition but only in 5 days old mice they can be observed more frequently. — On the basis of the morphological observations presented the question is discussed whether the hypothalamus can influence pituitary hormone secretion before birth.
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17.
In three Experiments (I, II, IV), adult male rats, between 115 and 150 days of age were exposed to either a 0.5–3 or 3–30 gauss ELF (0.5 Hz) rotating magnetic field (RMF), for 5, 10, or 26 days. The rats exposed to the RMF for 10 and 26 days averaged significantly (p< 0,05) greater water consumption than controls. The group exposed to the RMF for 5 days also consumed more water, although the difference was not significant. ELF-RMF-exposed rats also showed a progressive decrease (p <0.02) in relative thyroid weights, but increase in body weight gain (p <0.001) up to 10 days of exposure, and increase in testicle weights (p < 0.05) up to 26 days of exposure. No significant differences were found between groups for circulating blood eosinophil counts or relative adrenal weights, although again the differences did increase with duration of exposure. In a fourth Experiment (III), rats that were 80 days of age at the beginning of 21 days of exposure did not show any significant differences in the above measures from the control group. The changes in behavior and physiology associated with ELF exposure is discussed in terms of its effects upon the thyroid and its probable liquid crystalline properties.
Zusammenfassung In drei Untersuchungen (I, II, IV) wurden männliche, 115–150 Tage alte Ratten entweder einem 0,5–3 oder einem 3–30 Gauss ELF (0,5 Hz) rotierenden magnetischen Feld (RMF) für 5, 10 oder 26 Tage ausgesetzt. Die Ratten, die dem RMF für 10 und 26 Tage ausgesetzt waren, hatten einen signifikant (p < 0,05) höheren Wasserkonsum als die Kontrollgruppe. Auch die Tiere, die dem RMF für 5 Tage ausgesetzt waren, tranken mehr Wasser (p > 0,05). Die exponierten Tiere zeigten auch eine fortschreitende Abnahme (p < 0,02) des relativen Schilddrüsengewichts, dagegen eine grössere Gewichtszunahme (p < 0,001) bei bis zu 10 Tagen Exponierung und Zunahme des relativen Hodengewichts (p < 0,05) bei bis zu 26 Tagen Exponierung. Die Unterschiede in der Zahl der zirkulierenden Esinophilen und im relativen Nebennierengewicht waren nicht signifikant. In der vierten Untersuchung (III) mit Ratten die bei Versuchsbeginn 80 Tage alt waren fanden sich nach 21 Tagen Exponierung keine Unterschiede beim Vergleich mit der Kontrollgruppe. Die physiologischen Veränderungen durch ELF-Exponierung, werden über eine Wirkung auf der Schilddrüse und ihre möglichen flüssigen und kristallinen Eigenschaften erklärt.

Resume Lors de trois essais (I, II et IV), on a exposé des rats mâles, adultes, âgés de 115 à 150 jours à un champ magnétique tournant (CMT) d'une très basse fréquence (FTB) — de 0,5 Hz — soit de 0,5 à 3 Gauss, soit de 3 à 30 gauss, et cela durant 5, 10 ou 26 jours. Les rats exposés au CMT durant 10 ou 26 jours ont bu plus d'eau que des rats de contrôle et cela de façon significative (p < 0,05). Le groupe exposé au CMT durant 5 jours seulement a aussi bu davantage d'eau, mais la différence n'est alors pas significative. Les rats exposés à la fois au CMT et au FTB ont aussi montré une diminution significative (p < 0,02) du poids relatif de la glande thyroïde, une augmentation du poids du corps (p< 0,001) jusqu'au 10ème jour d'exposition et une augmentation du poids des testicules pour 26 jours d'exposition. On n'a par contre pas constaté de différences significatives entre les groupes quant au nombre d'oesinophiles circulant dans le sang, ni quant au poids des glandes surrénales, bien que ces différences augmentassent avec la durée d'exposition. Dans un quatrième essai (III), des rats âgés de 80 jours au début d'une période d'exposition de 21 jours n'ont présenté aucune différence quant aux paramètres mentionnés ci-dessus. Les changements du comportement et de la physiologie dûs à une exposition au FTB sont discutés par rapport aux répercussions d'une telle exposition sur la thyroïde et ses propriétés liquides et cristalline.
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18.
Résumé Alors que la plupart des travaux sur la réaction hygrotaxique des Termites ont étudié l'effet de l'humidité de l'air, le présent travail est consacré à l'étude de l'eau du substrat, comme facteur attractif chez le Termite de Saintonge.Quand l'eau est présentée aux Termites sur des barres de plâtre en quantité croissante continue, aucun gradient pour l'hygropreferendum n'est mis en évidence: les Termites tendent à se grouper dans la zone d'humidité maximale. La réaction est plus rapide à température plus élevée.Quand l'eau est répartie de façon discontinue sur des morceaux de plâtre, les Termites manifestent toujours une préférence pour l'humidité maximale. Les Termites peuvent très bien discriminer des humidités peu différentes entre elles. Ils évitent de se fixer à l'humidité la plus grande lorsqu'on leur présente à proximité une humidité légèrement inférieure à cette dernière. Cet hygropreferendum est aussi bien marqué pour les substrats neutres (plâtre) que pour les bois attractifs. Le nombre de Termites joue un rôle important dans la réaction hygrotaxique. Un termite isolé peut choisir l'humidité maximale, mais plus le groupe est important plus la réaction hygrotaxique est intense. La réaction hygrotaxique est plus intense si l'eau est présentée sur le substrat que si elle parvient par l'atmosphère. Les Termites ne vont pas directement dans les zones humides mais essaient, avant, toutes les possibilités offertes.
Summary Most works upon Termites hygrotactic reactions studied the effect of air humidity; this paper deals with water into the substrate as an attractive factor in Saintonge Termite.When water is presented to termites into plaster bars following a continuous pattern, no hygropreferendum gradient can be detected; termites seek to cluster in maximal humidity zone. The reaction is faster at higher temperature.When water is presented following a discontinuous pattern (separate plaster bars) termites prefer always maximum humidity. They are very able to discriminate humidities slightly different only. They avoid saturation hygrometry when a slightly inferior humidity is presented close to. This hygropreferendum is as clearly seen in the case of neutral substrates (plaster) than in the case of attractive ones (pieces of wood). Termites number play an important role in hygrotactic reaction. An isolated worker can choose maximal hygrometry but the more the Termites group is big, the more hygrotactic reaction is intense. It is more intense when water is into the substrate than into the air. Termites do not go directly towards wet zones, but try first all the possibilities following a chance schedule.
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19.
The insect growth regulator Dimilin®, common name: diflubenzuron, applied at concentrations effective against the cabbage maggot Delia radicum L., did not affect the hatching of eggs of the staphylinid predator and parasite, Aleochara bilineata Gyllenhal. Applied externally in distilled water, Dimilin was non-toxic to first instar larvae, to larval instars developing within host puparia, and to adults. When Dimilin was dissolved in dimethylsulfoxide, then applied to the exoskeleton of host puparia, emergence of A. bilineata adults was suppressed. The conventional insecticide Furadan, at a concentration (0.001% in distilled water) equal to the lowest concentration of Dimilin used, was toxic to both eggs and larvae of A. bilineata.
Résumé Lorsqu' appliqué dans des concentrations efficaces contre la mouche du chou Delia radicum L. (0.1, 0.01, 0.001% p/v dans de l'eau distillée), le Dimilin (diflubenzuron), un régulateur de croissance des insectes, n'a pas affecté l'éclosion des oeufs de Aleochara bilineata Gyllenhal, un staphylin prédateur et parasite. En application externe, à la plus forte concentration (0.1% p/v dans de l'eau distillée), cet inhibiteur de synthèse de la chitine s'est avéré non toxique pour les larves du premier stade, les stades larvaires qui se développent à l'intérieur du puparium de l'hôte, et les adultes. Le traitement au Dimilin n'a pas affecté la fertilité des staphylins adultes. Cependant, lorsque le diflubenzuron était dissous dans du diméthylsulfoxyde et appliqué sur l'exosquelette du puparium de l'hôte, l'émergence des adultes de A. bilineata était éliminée. L'insecticide conventionnel Furadan (carbofurane), à une concentration égale à la plus faible concentration de Dimilin utilisée (0.001% p/v dans de l'eau distillée), s'est avéré toxique à la fois pour les oeufs et pour les larves de A. bilineata.
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Previous studies revealed that diapause larvae of Busseola fusca (Lepidoptera: Noctuidae) began to respond to water and pupated in artificial wet conditions only in late diapause. Experiments are designed to clarify how water is involved in the termination of larval diapause. Neither feeding the larvae on fresh sorghum stems (6 weeks old) nor allowing them to drink water stimulated a break in the larval diapause. Diapause larvae transferred to artificial wet conditions pupated without increase in fresh weight. It is thus concluded that water contact is more significant as a factor terminating diapause in B. fusca than water uptake.
Résumé Des études antérieures avaient montré que la diapause des chenilles de B. fusca (Lep., Noctuidae) commence par une réaction à l'eau et qu'elles ne se nymphosent dans des conditions artificiellement humides qu'en fin de diapause. Des expériences ont été conçues pour préciser l'intervention de l'eau dans la terminaison de la diapause. Ni l'alimentation des chenilles sur des tiges fraiches de jeune sorgho (de 6 semaines), ni la possibilité de boire de l'eau n'ont stimulé une rupture de la diapause larvaire. Des chenilles en diapause transférées dans des conditions artificiellement humides se sont nymphosées sans augmentation du poids frais. On en a conclu que le contact avec de l'eau était plus important que l'absorption d'eau comme facteur de fin de diapause chez B. fusca.
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