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1.
Résumé L'AcridienGesonula punctifrons
St?l attaque la Jacinthe d'eau (Eichhornia crassipes) dans plusieurs parties de l'Inde et est adapté à un habitat aquatique ou semi-aquatique. Les œufs, pondus dans les pétioles
des feuilles, éclosent en 3 à 4 semaines. Les larves se développent en 4 à 5 semaines et demi, avec 5 mues. Les adultes vivent
au maximum 4 à 5 mois en s'alimentant seulement de Jacinthe d'eau. En essais de laboratoire cet Acridien se nourrit activement
deCanna orientalis dont les tiges sont percées de trous pour la ponte par les femelles, mais aucun œuf n'est déposé. Quarante trois autres plantes
d'intérêt économique ont été expérimentées: plusieurs d'entre elles ont été l'objet d'attaques légères à modérées. L'analyse
de la littérature concernant les plantes-h?tes du genreGesonula et la distribution deG. punctifrons montrent que cette espèce s'est adaptée secondairement àE. crassipes. Bien que cet Acridien s'observe en grand nombre dans quelques régions, l'ensemble de ses dégats à la mauvaise herbe n'est
pas suffisant pour assurer le contr?le de celle-ci.
This research has been financed in part by a grant made by the United States Department of Agriculture under P. L. 480. 相似文献
This research has been financed in part by a grant made by the United States Department of Agriculture under P. L. 480. 相似文献
2.
Gottfried Neuffer 《BioControl》1966,11(4):383-393
Résumé Commencés en 1954, les essais de naturalisation deProspaltella perniciosi
Tower pour la lutte biologique contre le Pou de San-José,Quadraspidiotus perniciosus
Comstock dans la région Sud-Ouest de l'Allemagne ont conduit aux résultats suivants. Jusqu'en 1965, dans une région d'expérience de
plus de 1 000 ha située près de Heidelberg, en moyenne le quart desQ. perniciosus ont été exterminés parProspaltella peerniciosi, tant sur les arbres où ils avaient été lachés, que sur les arbres voisins. Les résultats donnés par les graphiques et les
tableaux précédents expliquent l'augmentation des taux de parasitisme, la composition et l'importance des différents éléments
de la faune des parasites dans le Baden-Württemberg ainsi que dans la région de Stutgtart où se trouvent des échantillons
de pommier du Connecticut. Dans les régions d'expérience,Prospaltella perniciosi est le parasite le plus important. L'origine du parasite joue seulement un r?le secondaire. LesProspaltella bisexués, mis en élevage et lachés depuis 1963 se sonst bien maintenus à c?té des races unisexuées qui avaient été libérées
précédemment. Sous le climat des lieux d'expérience, leP. perniciosi parthénogénétique a aussi bien réussi que le bisexué.
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3.
V. Delucchi 《BioControl》1957,2(2):137-160
Résumé Au cours de nos études sur les Chalcidiens Pteromalides d'Europe nous avons remarqué quelques difficultés dans la séparation
des genresC?nacis
Foerster etCecidostiba
Thomson, ce qui nous a conduit à la révision de ces derniers et à la formation de deux nouveaux genres,Hobbya etAblaxia. Les genresAggelma (auquel nous avons attribué les deux espècespilosella etspiracularis
Thomson précédemment incluses dans le genreC?nacis) etApelioma
Delucchi ont été présentés dans le premier tome de cette revue.
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4.
D. J. Greathead 《BioControl》1958,3(1):3-22
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali
oldroyd etaurifacies
greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria
Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail.
Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques.
Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts.
La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière.
Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent
plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le
stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la
durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment
pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.
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5.
Résumé Cet article relate un essai de lutte biologique effectué aux Bermudes contre deux Gastéropodes nuisibles:Rumina decollata (Linné) (Achatinidae) etOtata lactea
Muller (Helicidae) au moyen du mollusque carnivoreEuglandina rosea (Ferussac). 845Euglandina, ont été libérés dans l'?le en 1958 et 1960. Dès 1962, il était évident que l'opération se soldait par un succès complet
contreOtata mais par un échec contreRumina. 500Euglandina ont été récoltés en quelques jours aux Bermudes et expédiés à l'?le Maurice, à Hong-kong, Nord-Bornéo et les Bahamas pour
de semblables essais.
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6.
Résumé Au cours de six essais le comportement des deux espèces d'acariens phytophages,Panonychus ulmi
Koch etTetranychus viennensis
Zacher, soumises à l'effet de divers fertilisants, insecticides et fongicides, a été étudié. Les investigations devaient permettre
de suivre les conséquences chimico-physiologiques exercées sur la plante-h?te par les différents traitements, d'une part,
et les répercussions entra?nées par celles-ci sur les acariens, d'autre part. L'action directe des produits appliqués sur
les populations d'acariens a également fait l'objet d'études.
Il n'a pas été possible d'établir une relation entre la teneur des feuilles de la plante-h?te en N, P, K, Ca, Mg et la densité
et le comportement des populations d'acariens. Les expériences réalisées en vergers ont cependant révélé qu'une déficience
en K est apparemment responsable d'un bas niveau des populations deP. ulmi.
En cages recouvertes de mousseline, les arbres placés à l'abri des prédateurs et traités à l'azinphos méthyle ont présenté
des populations deP. ulmi moins importantes que les arbres traités au DDT et au parathion, mais il n'a pas été possible d'enregistrer dans les feuilles
des différences de teneur par rapport aux éléments susmentionnés.
Les expériences réalisées à l'aide de mancozèbe ont révélé un effet répulsif ou léthal surP. ulmi. Il n'a cependant pas été possible de démontrer une action stimulatrice exercée par le captane, soufre mouillable, zinèbe,
phaltane, TMTD et zirame. Un test en laboratoire a conduit à une population plus élevée pour les séries traitées à l'eau distillée
et au soufre mouillable que pour les séries traitées au captane.
Une teneur élevée des feuilles en zinc semble entra?ner un développement important des populations deT. viennensis.
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7.
Résumé Trois annés d'éhantillonnage automnal de pyrale du ma?s dans différentes régions ma?sicoles de France ont permis de déterminer
le taux de parasitisme par les Tachinidae. Ce taux varie de 1% à 51% selon les régions et les années. Les tachinaires sont
préents dans toutes les zones étudiées.Lydella thompsoni Hert. est l'espèce la plus abondante et la plus répandue.Pseudoperichaeta nigrolineata Walk. se rencontre dans le Sud-Ouest. Les Tachinidae pourraient jouer un r?le important dans la régulation des populations
de pyrale.
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8.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec
certains pesticides chimiques.
L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches
fondamentales.
Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues.
Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée
en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants.
Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action
assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement.
Le statut deBacillus thuringiensis
Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents.
Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses
et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta.
En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement
faible (0,002%) de D.D.T.
Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs.
Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés.
En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes
culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O.
en Hollande. 相似文献
9.
B. J. Wood 《BioControl》1963,8(1):67-82
Résumé L'application d'insecticides de contact sur lesCitrus à Chypre a apporté des perturbations à l'équilibre naturel si bien que certains insectes nuisibles ont pris une importance
accrue et de sévères infestations d'insectes normalement sans importance sont survenues. Ceci est particulièrement sensible
dans le cas des Coccides. La situation dans les cultures non traitées révèle de fa?on évidente que, à partLepidosaphes beckii
newm., les cochenilles nuisibles ont des ennemis naturels capables d'assurer un contr?le économique en l'absence de facteurs adverses
susceptibles de freiner leur activité. L'équilibre naturel du Pou rouge (Aonidiella aurantii
mask) est très facilement bouleversé. Il devient spécialement dangereux quand les insecticides de contact sont utilisés.
Les ennemis les plus fréquents des Cochenilles desCitrus sont répertoriés. Dans quelques cas, l'importance relative des espèces attaquant certains insectes nuisibles dans des situations
variées, est précisée. L'importation de 5 espèces d'Aphytis est notée.
L'intégration de la lutte chimique qui est nécessaire avec la lutte biologique est discutée. Enfin, les moyens de détermination
des programmes de traitements sont esquissés.
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10.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites,
préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites.
Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la
parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace
à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement
implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est
de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide.
Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky. 相似文献
11.
Nahoulé Armand Adja Mathias Danho Ayékpa Jean Gnago Jean-Yves Zimmer Frédéric Francis 《法国昆虫学会纪事》2013,49(3-4):301-310
Les observations faites sur deux cucurbitacées africaines, Lagenaria siceraria Molina (Standl.) et Citrullus lanatus Thumb (Matsum & Nakai) ont permis d’inventorier l’entomofaune (utiles et ravageurs) associée à la pratique culturale. L’évaluation des dégâts occasionnés par les ravageurs a mis en évidence leur impact sur la production. Suivant un schéma expérimental, des parcelles de 49 m2 traitées au CYPERCAL 50 EC (50 g/l de Cypermétrine) et au FURADAN 5G (50 g/kg de Carbofuran) et non traitées ont été disposées en blocs aléatoires. Les observations ont porté sur l’identification et le dénombrement des insectes, sur le pourcentage de plants attaqués ainsi que sur la production de baies mûres et de graines. Au total, 71 espèces ont été identifiées, réparties en 41 familles et 10 ordres (Coléoptères, Hyménoptères, Diptères, Lépidoptères, Orthoptères, Homoptères, Hétéroptères, Dictyoptères, Odonates et Dermaptères). Les principaux ravageurs appartiennent à la famille des Chrysomelidae (Lamprocopa occidentalis, Aulacophora foveicolis, Aulacophora africana, Asbecesta cyanipennis, Ootheca mutabilis et Lilioceris livida), des Coccinellidae (Henosepilachna elaterii et Henosepilachna reticulata) et des Meloidae (Mylabris holosericea). Plus de 50 % de plants sains ont été recensés dans les parcelles traitées contre 0 à 33 % dans les parcelles témoins. Les nombres moyens des baies obtenues dans les parcelles traitées (37,16 ± 2,99 pour L. siceraria et 42,33 ± 2,58 pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) plus importants que ceux observés dans les parcelles témoins (29,33 ± 4,67 pour L. siceraria et 31,33 ± 3,5 pour C. lanatus). Les rendements moyens en graines dans les parcelles traitées (222,39 ± 15,78 kg/ha pour L. siceraria et 127,4 ± 8,16 kg/ha pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) supérieurs à ceux observés dans les parcelles témoins (144,4 ± 14,52 kg/ha pour L. siceraria et 88,18 ± 8,09 kg/ha pour C. lanatus). Les traitements insecticides, en réduisant les populations de ravageurs et les dégâts sur les plants, ont entrainé une augmentation du rendement à l’hectare de plus de 40 %. 相似文献
12.
Résumé Une expérience a été conduite en vue de comparer la lutte chimique, la lutte biologique par entomophages et la lutte biologique
par entomopathogènes contre le Carpocapse des Prunes. Le verger choisi comportait plus de 6 000 arbres de 15 ans, pratiquement
d'une seule variété. Chaque lot contenait 100 arbres séparés par une zone d'isolement de 50 arbres. Les résultats obtenus
dans chacune des 18 formulations testées sont donnés dans le tableau 1 et l'analyse de la signification des différences de
production (totale) constatées entre chaque lot est présentée par la figure 2. En conclusion, les auteurs soulignent l'intérêt
deTrichogramma cacoeciae qui se révèle un des plus efficaces moyens de lutte contre ce ravageur.
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13.
D. Fournier M. Pralavorio Y. Trottin-Caudal J. Coulon S. Malezieux J. B. Berge 《BioControl》1987,32(2):209-219
Résumé La toxicité du méthidathion a été mesurée sur 7 souches dePhytoseiulus persimilis provenant de collections de laboratoire, d'unités de production ou du terrain. Les résultats obtenus se sont avérés être
très variables: la CL50 de la souche la plus résistante est 100 fois plus élevée que celle de la souche la plus sensible.
Chaque souche a ensuite été sélectionnée pour la résistance à cet insecticide; toutes les souches ont répondu à la sélection
et ont atteint des niveaux de résistance similaires. Elles ont ensuite été mélangées, à nouveau sélectionnées pour la résistance
au méthidathion et à d'autres insecticides et utilisées dans les programmes de lutte intégrée. La résistance a pu ainsi être
légèrement augmentée et la souche obtenue, bien qu'encore affectée par le méthidathion sur le terrain, n'est plus complètement
éliminée par les traitements et est moins sensible aux résidus présents sur les feuilles.
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14.
Afin de connaître la faune des cicadiaires dans le vignoble tunisien, plusieurs collectes ont été réalisées. Ces prélèvements de 1109 spécimens, effectuées aussi bien sur la vigne que sur les adventices, au cours de l’année 2001, ont concerné plusieurs parcelles, dans les principales régions viticoles du pays : Rafraf, Baddar, Mraissa, Belli, Gobba et Bousalem. Trente espèces d’Hemiptera: Cicadomorpha et Fulgoromorpha, ont été collectées dont les espèces vectrices de phytoplasme et les espèces aux dégâts directs sur la vigne. 82,50% des espèces de cicadelles rencontrées en Tunisie sont signalées comme vecteurs de virus ou de phytoplasmes causant des maladies graves ou comme ravageurs directs des cultures. Les 17,49% restant ne jouent pas de rôle important sur les cultures. 相似文献
15.
François Feer 《法国昆虫学会纪事》2013,49(4):331-340
Le percher est un comportement répandu chez les espèces d’un assemblage de Scarabaeinae d’une forêt non perturbée de Guyane française. Quarante-trois espèces de percheurs ont été répertoriées sur 7 ans d’échantillonnage. Les fouisseurs diurnes de petite taille (moyenne 7,0 mm) dominaient sur les feuilles isolées et autour des défécations de Singes hurleurs ou des fèces humaines, avec une hauteur moyenne de percher de 62,8 cm. Les hauteurs étaient positivement corrélées aux tailles des insectes excepté pour cinq grandes espèces dont trois possédaient une défense chimique contre les prédateurs. Deux complexes mimétiques ont été identifiés. L’agrégation en dehors de la présence de ressource a été montrée. Les défécations de singes provoquaient une concentration d’insectes dont des Canthon (Glaphyrocanthon) arboricoles qui formaient leurs pilules sur les feuilles. D’autres espèces perchaient en attente de rencontrer au sol un partenaire ou de se livrer au kleptoparasitisme. Les signaux olfactifs pourraient jouer un rôle dans diverses modalités du percher. Compétition et prédation semblent être les principales contraintes auxquelles le percher répond. 相似文献
16.
Résumé Les auteurs ont mis au point un procédé d'estimation de la virulence des Entomophthorales à l'égard des adultes du moustiqueAedes aegypti. Ce paramètre est estimé en termes de CL 50 de conidies/mm2. C'est la 1re fois qu'une telle méthodologie est appliquée à ces champignons vis-à-vis de Diptères. L'activité de 2 souches deZoophthora radicans isolées le même jour dans la même localité a ainsi pu être comparée à des intervalles successifs après la mise en culture.
Au début de l'expérience, les 2 souches se sont révélées capables d'entra?ner des taux de mortalité de 100% et leur virulence
était comparable. La symptomatologie de la mycose était caractéristique, avec formation de conidiophores chez la quasitotalité
des cadavres. Par la suite, une discordance a été notée dans le comportement respectif des 2 souches. Alors que la virulence
de l'une est restée stable pendant les 6 mois qu'a duré l'expérience, celle de l'autre a diminué très rapidement, le taux
maximum de mycose ne dépassant plus 20% après le 1er essai. Le passage sur l'h?te expérimental n'a pas eu pour effet de modifier cette situation. Ces résultats, ainsi que leurs
implications, sont discutés. Ils soulignent l'importante variabilité comportementale qui peut exister au sein d'une même espèce
d'Entomophthorale.
Avec la collaboration technique deMonique Arnault et deNelly Delatre. 相似文献
17.
Résumé
Melanagromyza cuscutae
Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute.
Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après
leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6
à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée.
L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et
8 à 13 jours.
La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur
noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en
mai et juin.
La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures
étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées.
Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à
42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement.
L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas
lieu.
相似文献
18.
Fernand-Nestor Tchuenguem Fohouo Alain Pauly Jean Messi Dorothea Brückner Léonard Ngamo Tinkeu Emmanuel Basga 《法国昆虫学会纪事》2013,49(2):131-143
Dans les zones de savanes de l’Afrique, un genre d’abeille, Lipotriches Gerstaecker 1858, s’est spécialisé dans la collecte du pollen de graminées. Un site de nidification et l’aire de butinage de Lipotriches notabilis ont été suivis pendant trois années dans la région de Ngaoundéré au Cameroun. Le régime alimentaire pollinique est composé presque exclusivement du pollen de graminées, notamment Brachiaria ruziziensis abondant dans cette région. Le maïs est aussi visité et l’abeille contribue indirectement à la pollinisation par la mise en suspension dans l’air du pollen. Comme les graminées n’offrent pas de ressource sucrée, les femelles comme les mâles de L. notabilis butinent de temps en temps les Asteraceae pour la collecte de nectar. La consommation du pollen de graminées par les femelles a été aussi observée. Lespèce niche en bourgades dont la taille varie d’une dizaine à une centaine de nids. Le nid creusé dans un sol horizontal est du type progressif. Il comprend un tumulus, une cheminée verticale, un conduit principal vertical pouvant atteindre 65 cm de profondeur et en moyenne 3 conduits latéraux obliques de 4 à 16 cm aboutissant dans une ou plusieurs cellules successives. Les cellules des conduits latéraux sont approvisionnées simultanément et fermées de manière régressive. On compte un maximum de 10 cellules par nid. Généralement un nid est habité par une seule femelle, mais certains nids sont habités par deux ou trois. Lactivité de butinage de cette espèce est limitée dans la matinée. Dès 7 heures, elle s’envole pour le site de butinage. Après 11 heures, il n’y a généralement plus de nids ouverts. Les mâles n’ont pas été aperçus au niveau du site de nidification et l’accouplement a lieu sur le site de butinage. La période d’activité commence avec la saison des pluies en avril et se termine au début de la saison sèche en décembre, avec la fanaison des graminées. 相似文献
19.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti.
Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement
8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air,
la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant
un an et demi.
A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est
montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre
entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon
rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus
encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence
une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu
plus favorables aux élevages.
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20.
Gottfried Neuffer 《BioControl》1964,9(2):131-136
Résumé Dans la région d'Heidelberg, infestée par le Pou de San-José, 13,5 millions de parasites (9,5 millions deProspaltella perniciosi
Tow. et 4 millions deProspaltella fasciata
mal.) ont été lachés de 1954 à 1963. Depuis 1959 on étudie le degré de parasitisme, ainsi que la dispersion de ces Aphélinidés
par l'examen méthodique d'échantillons de rameaux infestés. Les résultats donnés dans les tableaux précédents, montrent que
l'intensité et la diffusion deProspaltella perniciosi sont en progression.
L'activité des autres parasites indigènes s'attaquant au Pou de San-José (Aspidiotiphagus citrinus, Aphytis proclia, Aphytis mytilaspidis, Thysanus ater etErythmelus goochi) reste pratiquement stationnaire tandis que chezProspaltella fasciata elle est en régression.
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