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1.
M. Labrousse 《Genetica》1984,63(3):195-202
Résumé Le rayonnement appliqué à l'oeuf fécondé chez Pleurodeles waltlii (2n = 24) a permis d'obtenir un mâle fertile hétérozygote pour la translocation réciproque 24,t(6q-; 11p+). Sa descendance compte des mâles et des femelles hétérozygotes pour la même translocation et également fertiles. La transmission des chromosomes impliqués dans la translocation est étudiée dans les descendances issues de croisements entre des animaux hétérozygotes et diploïdes normaux et entre des animaux hétérozygotes. Les caryotypes larvaires sont établis. Leur étude montre qu'il existe des descendants porteurs de trisomies primaires translocation hétérozygote ou de trisomies tertiaires. Ils proviennent des gamètes aneuploïdes formés par le parent hétérozygote pour la translocation, après non-disjonction en première division de méiose des chromosomes 6 ou 11 normaux ou remaniés. Deux autres transmissions chromosomiques irrégulières sont discutées: séparation du chromosome 11 p+ en ses chromatides lors de l'anaphase I du parent hétérozygote; non-disjonction des chromosomes normaux 6 ou 11 au cours de la première division de segmentation aboutissant aux individus mosaïques à 24 et 25 chromosomes. Les autres descendants possèdent 24 chromosomes et proviennent de sept types de gamètes, parmi les dix combinaisons possibles, formés par le parent hétérozygote après modes de disjonction alterné et adjacent-1, mais également adjacent-2 avec ou sans crossing-over dans le segment interstitiel des chromosomes 6 et 6q-. Parmi les types parentaux la transmission préférentielle des chromosomes transloqués est discutée. Les individus homozygotes sont létaux au stade larvaire. Les individus porteurs de trisomies primaires 6 ou 11 translocation hétérozygote sont viables.
Trisomisation by non-disjunction of chromosomes involved in a reciprocal translocation, in the newt Pleurodeles waltlii Michah.-In Pleurodeles waltlii (2n = 24) a fertile male heterozygous for the translocation 24,t(6q-; 11p+) was obtained by irradiation of the fertilized egg. The male produced fertile male and female heterozygotes for the same translocation. The transmission of chromosomes involved in the translocation is studied in the offsprings of crosses between heterozygote and diploid normal individuals or between heterozygotes. Karyotypes of larvae were established. Their study shows that some descendants are primary trisomics translocation heterozygote or tertiary trisomics. They arise from aneuploid gametes formed by the parent carrying the translocation, after non-disjunction at first meiotic division always involving normal and translocated chromosomes 6 or 11. Other irregular chromosome transmission mechanisms are discussed: separation of chromosome 11p+ into chromatids in anaphase I of parent heterozygote; non-disjunction of normal chromosomes 6 or 11 during the first cleavage division, resulting in 24–25 chromosome mosaics. Other descendants have 24 chromosomes and arise from seven types of gametes, among the ten possible combinations, formed by heterozygotes after alternate and adjacent-1 disjunctions, but also after adjacent-2 disjunction with possible occurrence of a crossing-over in the interstitial segment of chromosomes 6 and 6q-. Preferential transmission of translocated chromosomes in the parental types is discussed. Homozygous larvae are lethal. The primary trisomics 6 or 11 translocation heterozygote are viable.
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2.
A pilot experiment in genetic control of the German cockroach was conducted aboard a small vessel based at Norfolk, Virginia. It utilized sterile (double translocation heterozygotes) whose sterility effects were due to embryonic lethality plus complete entrapment of any remaining viable embryos within the egg case. Initial infestations were reduced by insecticides prior to male release. Three releases of unmated were made at monthly intervals. Infested harborages, located in the course of insecticide application, were used as release sites. The experiment was terminated after 41/2 months. The results showed that released joined groups near release sites and that they competed well against wild type . Apparently neither they nor with which they mated moved far from these sites. Sterility effects differed in respect to specific sites and general areas. Population growth was retarded markedly in the galley, the area of heaviest initial infestation. Terminal infestation was heaviest in the mess deck, although the highest sterility among occurred at/near the mess-deck release site (only one mess deck-infested site was found prior to initation of the experiment). It is suggested that a slight increase in the number released would have suppressed/eliminated groups inhabiting galley harborages, but that site selection was the major problem in the mess deck. Analyses of nymphal age classes and mating types among led to a hypothesis that insecticide-induced dispersal of nymphs resulted in the infestation of many new mess-deck harborages. Population growth was unchecked at these sites because they were too far removed from the sterile male release sites.
Résumé Une expérience pilote dans la lutte génétique contre Blattella germanica L. a été réalisée sur un petit navire encré à Norfolk, Virginie. La léthalité embryonnaire des mâles stériles utilisés (hétérozygotes à double translocation) était associée au piégeage des quelques embryons viables dans les oothèques. Les pullulations initiales avaient été réduites par des insecticides avant le lâcher des mâles. Des mâles vierges ont été lâchés à trois reprises à un mois d'intervalle. Les abris contaminés, localisés au cours des traitements insecticides, ont été utilisés comme lieux de lâcher. L'expérience s'est achevée au bout de quatre mois et demi. Les résultats montrent que les mâles introduits rejoignent les autres blattes près des lieux de libération et qu'ils ne sont pas défavorisés dans leur compétition avec les autres mâles. Ni eux, ni les femelles avec lesquelles ils se sont accouplés, ne s'éloignent apparemment de ces emplacements. Les effets de stérilisation varient en fonction des sites spécifiques et des zones plus vastes. La croissance de la population est significativement retardée dans la cuisine, zone où l'infestation initiale était la plus élevée. L'infestation finale la plus importante est dans le pont du mess, bien que la stérilité des femelles la plus élevée s'observe à (ou près) du lieu de libération au pont du mess (seulement un lieu d'infestation avait été observé sur le pont du mess avant le début de l'expérience). On pense qu'une légère augmentation de l'effectif libéré aurait supprimé (ou éliminé) les groupes occupant des abris dans la cuisine, mais que la sélection des sites était le principal problème pour le pont du mess. L'analyse des classes d'âges des larves et des catégories de femelles accouplées laisse supposer que la dispersion des larves provoquée par l'insecticide a entrainé la contamination de beaucoup de nouveaux abris dans le pont du mess. La croissance de la population n'a pas été contenue dans ces sites parce qu'ils étaient trop éloignés des lieux de lâcher des mâles stériles.
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3.
Apterous and alate Sitobion avenae (Fab.) were dissected from the third instar onwards and the size and degree of development of their largest embryos recorded. From at least the third instar apterae had larger and more well developed embryos than alatae. Embryos in both morphs showed an exponential increase in volume with time during their mothers' nymphal development, but those in apterous mothers grew faster. Although alatae had a longer pre-reproductive development than apterae, it was not long enough to compensate for the lower embryo growth rates in alatae and as a consequence they initially produced smaller and fewer offspring than apterae. After 4 days of reproduction apterous and alate mothers produced similar sized offspring and at the same rate. The total fecundity of apterae was greater than that of alatae.
Résumé La taille et l'état de développement des plus gros embryons de Sitobion avenae Fab ont été examinés par dissection d'ailés et aptères à partir du troisième stade. La taille des embryons des 2 morphes augmente pendant le développement larvaire des mères, mais ceux des mères aptères grossissent plus vite. Bien que la période précédant la reproduction des alates soit plus longue chez les ailés que chez les aptères, les embryons des ailés sont néanmoins incapables de l'emporter en taille sur les aptères, et les ailés produisent initialement moins de pucerons et plus petits que les aptères. Après 4 jours de reproduction, les mères ailées et aptères produisent des pucerons de même taille au même rythme. La fécondité totale des aptères est supérieure à celle des ailés; la différence est liée à la biologie des 2 morphes.
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4.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

5.
Résumé LeHansfordia pulvinata a été observé sur feuilles de tomate où sa présence est liée aux thalles duCladosporium fulvum. Il se comporte en parasite à l'égard de ce champignon phytopathogène: ses rameaux télémorphiques terminés en appressorium enserrent les hyphes et les chaînes de spores de son hôte et les tuent. Dès le contact, la croissance du mycoparasite s'accélère, il recouvre les thalles duCladosporium (lui-même freiné par les substances fongistatiques émises) et gêne la dissémination de ses propagules.L'effet néfaste pour leC. fulvum de cette interaction ainsi que certains caractères biologiques duH. pulvinata (notamment la dissémination aisée de ses abondantes xérospores et leur aptitude à la germination en conditions difficiles, ses exigences thermiques) nous font penser que cette espèce mycoparasite pourrait être utilisée comme agent de lutte biologique contre la cladosporiose de la tomate en serre.  相似文献   

6.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

7.
Topical application of JHA to Spodoptera littoralis larvae extends the duration and increases the final weight of the last larval instar. No supernumary moults occur. Respiration decreases to very low levels and glycogen and lipid stores increase. Respiration remains lower in JHA-treated pharate pupae and more polyunsaturated C18 fatty acids accumulate than in normal pharate pupae. These physiological parameters are similar to those occurring during diapause but are not definitive. Diapause has not been reported in field populations of S. littoralis, nor it's artificial induction by photoperiodic manipulation.
Résumé Le dernier stade des chenilles de Spodoptera littoralis, traitées avec JHA, est nettement prolongé par rapport aux témoins. Bien que le poids final des chenilles traitées soit plus élevé que celui des témoins, il n'y a pas de mue surnuméraire. Ces chenilles géantes s'alimentent rarement et leur respiration est sérieusement réduite. Les réserves de glycogène s'accumulent chez les chenilles traitées à la même date chronologique que chez les prénymphes non traitées. Bien que les prénymphes traitées à la JHA conservent leur profil biochimique juvénile — tout au moins dans la mesure où on considère la teneur en glycogène et en lipides totales — leur composition en acides gras saturés et non saturés diffère de celle normalement rencontrée à la fin du développement larvaire, et beaucoup plus d'acide oléique monosaturé s'accumule finalement chez les insectes traités par JHA. Ces résultats suggèrent que la JHA fournie peut avoir provoqué un état de développement de diapause naissante semblable par quelques traits fondamentaux à celle induite par la JH endogène chez les insectes enclins à la diapause. Il est cependant prématuré de définir cet état physiologique comme indiquant une vraie diapause chez Spodoptera littoralis.
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8.
Résumé Chez le cobaye, une injection intracardiaque d'alloxane de 200 à 400 mg/kg provoque des altérations hépatiques bien caractérisées:4–12 heures après l'injection, les lésions sont déjà étendues: stase sanguine avec dilatation considérable des veines périlobulaires et des capillaires, immigration massive, par voie sanguine, de granulocytes neutrophiles, rupture des capillaires des zones périportales par destruction pycnotique des cellules endothéliales. Les cellules hépatiques de la zone périlobulaire dégénèrent par vacuolisation aqueuse aboutissant à la lyse cellulaire.24 heures après l'injection, les altérations hépatiques ont atteint leur degré maximum, de vastes lacunes, résultant de la lyse cellulaire et remplies de sang extravasé, encerclent des espaces de Kiernan plus ou moins détruits; en bordure de ces lacunes, les endothéliums manquent sur une certaine distance et, dans cette zone, les cellules hépatiques sont moins vacuolisées qu'au stade précédent. Les premiers bourgeons de régénération apparaissent aux depens des régions les moins altérées des espaces de Kiernan.48 heures après l'injection, les lésions sont en grande partie réparées; la fréquence des mitoses dans les cellules hépatiques saines, en bordure lésions assure la régénération de ces éléments; tandis que des bourgeons de régénération périportaux sont responsables de la reconstruction de nouveaux espaces de Kiernan et probablement de la néoformation des endothéliums des capillaires.L'étendue des lésions dépend de la quantité d'alloxane injectée et de la voie d'injection; à dose égale, les lésions; provoquée par injection intrapéritonéale sont beaucoup moins accusées que par voie intracardiaque.Il existe une relation étroite entre la quantité de glycogène contenue dans les lobules hépatiques et l'étendue des zones nécrotiques; à dose égale d'alloxane, les altérations sont nettement moins accusées dans les foies riches en glycogène que dans ceux qui en sont dépourvus.L'intoxication alloxanique ne provoque pas chez le cobaye de dégénérescence graisseuse hépatique dans les 48 heures qui suivent l'injection.Ge travail est dédié au professeur Eugène Bujard, directeur de l'Institut d'Histologie de l'Ecole de Médecine de Genève, en l'honneur de ses 70 ans, en hommage de profonde estime et de très grande reconnaissance.  相似文献   

9.
Conclusions Ces essais effectués en plein champ prouvent que les nitrites produisent dans plusieurs cas des dégâts parfois conséquents aux cultures et que les plantes présentent une sensibilité variable à leur action. Il n'est cependant pas encore possible de déduire des résultats si l'utilisation des nitrites comme herbicides sélectifs peut être envisagée. L'action des nitrites semble cependant de courte durée probablement en raison de la prompte transformation des nitrites; plusieurs résultats portent d'ailleurs à croire que l'azote des nitrites à été eventuellement après transformation, utilisée par les plantes. Il n'en reste pas moins vrai, que l'emploi de nitrites comme engrais ferait courir le risque grave de voir occasionner d'importantes brûlures. Mais nous estimons que la présence de faibles quantité de nitrite, à l'état d'impureté dans d'autres engrais, ne peut pas provoquer de sérieux dégâts aux cultures.  相似文献   

10.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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11.
At a site in Nicaragua with high population densities of the leafhopper Dalbulus maidis Delong & Wolcott, leafhopper densities were significantly lower in mixed stands of maize (Zea mays mays L.) varieties than would be expected by averaging the densities found in the pure stands of the component varieties. This response to genetic diversity appears to be due to a behavioral response during the period of colonization or establishment. The reduction in leafhopper abundance was not clearly reflected in a reduction in the incidence of the corn stunt pathogen transmitted by the leafhopper, probably because of increased leafhopper movement in mixed stands.
Résumé Deux champs du Nicaragua, très différents quant aux densités moyennes de la cicadelle, Dalbulus maidis, et à la fréquence du nanisme par spiroplasme du maïs, — dont la cicadelle est le vecteur —, ont servi à l'étude de l'influence de l'hétérogénéité génétique sur l'abondance de Dalbulus maidis Delong & Wolcott. La maïs a été semé en parcelles pures d'une seule variété ou en parcelles génétiquement hétérogènes avec mélange de 5 variétés. Dans la zone où D. maidis est très abondant, la densité de la cicadelle était significativement plus faible dans les parcelles hétérogènes que ne le laissaient prévoir les densités moyennes observées dans les parcelles des variétés pures intervenant dans le mélange. Cette réponse à l'hétérogénéité génétique semble due aux réactions comportementales pendant la période de colonisation ou d'installation. La diminution de l'abondance de D. maidis ne se traduit pas nettement par une réduction de la fréquence du nanisme du maïs, peutêtre par suite d'un accroissement des mouvements de cicadelles dans les parcelles hétérogènes.
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12.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

13.
Adult female Blattella germanica (L.) (Dictyoptera: Blattellidae) carrying oothecae were confined in cages with bait formulations of boric acid or hydramethylnon at 90% r.h. and either 20° or 28° C until all had been killed. Females poisoned by hydramethylnon retained their oothecae at death, while a considerable proportion of those killed by boric acid deposited their oothecae prematurely. Oothecae from both groups of insects were monitored until they either hatched or lost viability. Oothecae from both 7–14 day old adults and 14–21 day old adults poisoned with hydramethylnon showed reduced hatching relative to controls at 20° but not at 28 °C, an effect attributed to premature loss of water-exchange between oothecae and female adult during the maturation process. Fewer oothecae hatched from females poisoned with boric acid at both temperatures, and the proportion of those which did hatch was higher in the group retained by the female at death than in the group prematurely deposited. These results for the boric acid-treated females and results which showed no significant difference between the hatch of oothecae from hydramethylnon-treated females and decapitated females suggested that transfer of insecticide from treated female to oothecae was not important in reducing hatch for either compound. Reinfestation as a consequence of the failure of conventional blatticides to prevent hatching of oothecae carried by female B. germanica is discussed.
Résumé Des femelles adultes de B. germanica, maintenues à 20° ou 28° C et 90% HR, ont été exposées, 7 à 14 jours ou 14 à 21 jours après l'émergence à des appâts contenant de l'hydraméthylnone ou de l'acide borique. Empoisonnées par l'hydraméthylnone les femelles retiennent leur oothèque jusqu'à la mort, tandis que empoisonnées par l'acide borique, elles déposent leur oothèque prématurément. Toutes les oothèque des femelles empoisonnées ont été maintenues dans les mêmes conditions écologiques jusqu'à ce qu'elles éclosent ou se révèlent non viables. Avec l'acide borique, une réduction des naissances a été observée pour les oothèques des mères des 2 classes d'âges et aux 2 températures, ce qui n'a eu lieu qu'à la température basse avec l'hydraméthylnone. L'effet ne semble pas dû au transfert de l'insecticide de la femelle à l'oothèque et est plus probablement provoqué par la fin des échanges d'eau entre la mère et l'oothèque, à la mort ou lors de l'émission prématurée. Pour les femelles traitées à l'acide borique, la proportion d'éclosion d'oothèques est plus importante chez les femelles ayant retenu leur oothèque jusqu'à la mort que chez celles qui les ont émises prématurément. Les femelles empoisonnées lors d'opérations d'éradication peuvent mourir ou déposer leurs oothèques loin des zones traitées; les larves éclosant de ces oothèques peuvent maintenir la contamination.
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14.
Conclusions L'invasion de la cornée par les leucocytes est tardive. Ces cellules sont évidemment destinées à servir de moyen de protection contre les microbes, mais elles ont encore probablement une autre fonction, qui reste inconnue, car elles se transforment par métaplasie en éléments différenciés, les cellules en épieu, décrites par Ranvier, dont la durée de vie est limitée.Cette métaplasie s'effectue au cours d'un processus spécial, qui m'a paru fort étrange lorsque j'ai commencé à l'étudier; mais la netteté des images observées aux différentes phases ne m'a laissé aucun doute sur sa réalité. Il ne peut d'ailleurs y avoir aucune erreur sur le sens dans lequel ces phases de la métaplasie se succèdent, à partir d'un leucocyte banal.Les leucocytes sont d'abord englobés par les cellules fixes en donnant des images identiques à celles de la phagocytose ordinaire; mais ils ressortent ensuite de ces cellules et redeviennent libres, ayant acquis une morphologie nouvelle, très caractéristique; souvent ils restent quelques temps rattachés par un mince filament à la cellule d'où ils sortent. Leur noyau a subi, chez l'adulte, mais non chez l'animal très jeune, un amoindrissement; il est normalement en bâtonnet régulier mais présente souvent une fragmentation qui indique un état de dégénérescence. Pourtant la plupart des cellules en épieu possèdent des pseudopodes lamelleux très développés, qui témoignent d'une grande activité migratrice. Les différents stades de cette évolution se rencontrent avec une très grande fréquence, dans toutes les coupes de cornée, et ils sont faciles à voir; s'ils n'ont pas été remarqués jusqu'ici, cela tient uniquement à des raisons techniques.  相似文献   

15.
A survey of 22 strains ofCallosobruchus maculatus associated with six different leguminous hosts indicates extensive genetic differentiation for oviposition preference. Female behavior suggests the existence of two distinct host preference groups among the nine oviposition substrates tested. Strains associated with plants in these two groups show distinct preference profiles. Genetic differentiation of oviposition preference is due to evolutionary modification of the threshold of acceptance of host plants, not to alteration of the preference hierarchy. From principal components analysis of these results, it is likely that very few independent plant traits govern oviposition preference.
Variabilitégénétique de l'adaptation aux plantes a l'intérieur des populations de Collosobruchus maculatus: Évolution de la selection du lieu de ponte
Résumé Vingt-deux lignées deC. maculatus Fab., liées à 6 plantes-hôtes, ont été examinées quant à leurs préférences — sans choix—parmi les graines de 9 légumineuses. Ces préférences se sont révél'ees semblables à celles observées lors de choix binaires; 3 paramètres ont donné les mêmes résultats: nombre moyen d'oeufs pondus par l'ensemble des femelles, nombre moyen d'oeufs émis par l'ensemble de celles acceptant la plante, fréquence des femelles acceptant la plante.L'analyse en composantes principales des préférences pour les 9 plantes a révélé que la majorité des mesures se situe sur les 2 premiers axes, qui ont rendu compte de 89% de la variation. Les performances des lignées sur le premier axe suggèrent qu'il s'agit d'un critère général de préférence. La classification automatique des plantes a montré un aspect général semblable à celui des composantes principales. Par ces 2 méthodes, les plantes ne se sont pas classées nettement selon leurs affinités taxonomiques.Bien que la classification automatique n'ait pas mis en évidence une similarité de comportement chez les insectes liés au même hôte, ceci était apparemment le cas. Les lignées liées à des hôtes présentant de fortes — ou à l'opoosé — de faibles préférences, ont montré différents seuils d'acceptation pour les 9 substrats de ponte. A l'opposé, il n'y a aucune preuve d'altération évolutive de la hiérarchie de préférences. On en a déduit que ces insectes étaient motivés par un petit nombre de stimulus, tels que les allélochimiques et al texture de tégument, pour déceler l'adéquation des substrats potentiels. (La microscopie électronique a suggéré une corrélation entre la texture du tégument et la hiérarchie des préférences de ces populations). La confiance dans les stimulus recueillis contribue à limiter les stratégies évolutives disponibles pour la population. A partir de là, la sélection en faveur —ou contre — des plantes, à l'origine, faiblement préférées, peut conduire, dans la niche de ponte, à l'incorporation — ou à l'exclusion — d'un groupe d'espèces taxonomiquemment éloignées, mais phénétiquement semblables. La probabilité d'altérations importantes de la hiérarchie des préférences paraît extrémement faible.
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16.
Eleven adult patients (7 males, 4 females) were found to be infected with Microsporum canis. There was involvement of the scalp in three patients: in one male and one female there were kerion-like lesions and in one male the lesions resembled seborrheic dermatitis. There were three cases of tinea barbae, males aged 28, 65 and 82 years, in the first resembling an infected single lesion of granuloma annulare, the second with a kerion-like lesion and the third with an abscess-like tumor. There were five patients with lesions in glabrous areas: one male with a lesion of the palm resembling erythema multiforme and one with an infection of the auricular lobe resembling a seborrheic dermatitis or otitis externa; of three females with tinea faciei one had a lesion simulating granuloma faciale, one simulating lymphocytic infiltration and one simulating discoid lupus erythematosus. A cat was the source of infection in three cases; in the remainder it could not be determined with certainty. It is of note that a continuous increase in infection with M. canis has been observed in Israel during the past five years.
Résumé Onze malades adultes ont été infectés par Microsporum canis. L'invasion du cuir chevelu a été observée chez 3 malades; un homme et une femme présentaient des lésions à l'aspect de Kérion; chez le troisième (homme aussi) les lésions simulaient un pytiriasis stéatoïde. Il y avait encore 3 cas de teigne de la barbe, à l'âge de 28, 65 et 82 ans, ressemblant, pour le premier, un granulome annulaire, le second présentant le type de Kérion et le troisième un abscès. Chez le groupe de 5 malades avec des lésions sur la peau glabre, il y avait un homme avec une éruption palmaire ressemblant un érythème multiforme et un autre avec une infection du lobe de l'oreille très sembleble à une dermatite séborrhéique ou à une otite externe. Chez les 3 femmes à teigne glabreuse les lésions siégeaient le visage en simulant un granulome faciale, un lupus érythémateux discoïde et une infiltration lymphocitaire. La source d'infection a été le chat dans 3 cas, dans le reste elle ne pouvant être déterminée avec précision. Il est à noter que l'infection par M. canis en Israel s'est très rapidement dévelopée dans les dernières années.
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17.
Phenological and genetic observations were made during two outbreak seasons on a population of the fall cankerworm, Alsophila pometaria Harris (Lepidoptera, Geometridae), at Beltsville, Maryland, U.S.A. As in intensively-studied populations 300 km to the northeast on Long Island, new York, this population consisted mostly of asexual females requiring conspecific mating to reproduce. The estimated fraction of outcrossing (15–20%), however, was several times that typical for Long Island. Numerous intersexes were found, concentrated in a few families, suggesting that pseudogamy is controlled by more than one heritable factor. The genetic diversity and ecological heterogeneity among asexual females in the Maryland population appear similar to that on Long Island, but there is little overlap in common axexual genotypes. Electromorph frequencies at three loci in males, by contrast, show little geographic variation. The adult activity period is later and longer in Maryland than in colder parts of the range.
Comparaison de population géographiques d'Alsophila pometria
Résumé Au cours d'une pullulation d'Alsophila pometaria, à Beltsville, Maryland, U.S.A, nous avons contrôlé les émergences des papillons pendant deux saisons, échantillonné les sexes et les génotypes par électrophorèse pour quatre loci, puis nous avons examiné l'héritabilité de ces marqueurs électrophorétiques dans la descendance élevée au laboratoire. Comme pour les populations étudiées avec précision à 300 km au N.E à Long Island, New York, cette population comprenait essentiellement des femelles asexuées exigeant des accouplements conspécifiques pour se reproduire. Environ 15% de la descendance examinée présentait une ségrégation, contre 5% ou moins à Long Island. De nombreux intersexués élevés à partir des populations de Maryland et de New York, se trouvaient uniquement dans quelques lignées, ceci suggère que le rejet des spermatozoïdes et la diploïde des oeufs qui caractérise la pseudogamie, ont des déterminismes génétiques séparés. La diversité des femelles asexuées de la population de Beltsville, dominée par quatre génotypes asexués, paraît semblable à celle de Long Island, mais les clones similaires se chevauchent très peu. Par contre, les fréquences allèliques de tois loci sont presque identiques chez les mâles de deux localités. Les fréquences génétiques des chenilles diffèrent pour des échantillons prélevés à quelques kilomètres de distance sur des hôtes différents dans la même population; il en est de même pour des femelles prélevées à différentes époques. Tout ceci suggère une hétérogénéité écologique parmi les clones, comme cela a été suggéré pour Long Island. La période d'activité des adultes est plus tardive, plus marquée et plus longue au Maryland que dans les parties les plus froides de l'aire; elle s'étend de décembre à mars, avec les captures les plus fortes en janvier et février.
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18.
Previous foraging studies of individual Rhagoletis flies predict a positive relationship between the density of host fruits and probability of fruit infestation. This study examines how fruit density and other traits influence the distribution of Rhagoletis indifferens Curran larvae in an abandoned orchard. In 1986, when the level of fruit infestation was high, both the number of larvae/fruit and the percentage of fruits attacked were independent of fruit density at all spatial scales examined (among trees, within trees, or among fruit clusters). In 1987, when the level of fruit infestation was low and fruits were sampled throughout the season, the number of larvae/fruit was either independent of fruit density or, contrary to prediction, was inversely dependent on fruit density and tree size. In fruit-parasitic insects, as in many parasitoids, population-level responses to spatial variation in host density may be difficult to predict from analyses of individual behavior.
Résumé Des études précédentes sur Rhagoletis avaient suggéré que différentes caractéristiques de la plant-hôte,-densité des fruits, taille de la plante, présence de phéromones de marquage, etc.-, influençaient la prospection par les femelles gravides. Ce travail examine si ces caractéristiques sont utilisables pour prévoir la distribution des larves de R. indifferens dans un verger abandonné; par exemple, si une prospection concentrée dans les zones de forte densité de fruits entraîne une relation positive entre densité des hôtes et intensité des contaminations.En 1986, le niveau d'attaque était élevé: 89% des fruits examinés contenaient au moins une larve. Tant le nombre de larves par fruit que le pourcentage des fruits attaqués étaient indépendants de la densité des fruits et de l'échelle spatiale utilisée: entre les arbres, dans l'arbre, parmi le paquet de fruits. L'abondance de larves n'était pas plus liée à la taille de l'arbre, qu'à son aspect ou à sa position dans le verger. En 1987, quand l'attaque a été faible (<60% des fruits attaqués), l'échantillonnage des fruits pendant toute la saison a donné un nombre de larves par fruit, soit indépendant de la densité de fruits, soit, à l'opposé de nos prévisions, inversement dépendant de la taille de l'arbre et de sa densité en fruits. Bien que des infections multiples de fruits aient été fréquentes (17% des fruits contenaient de une à cinq larves), les larves étaient clairement distribuées uniformément parmi les fruits de l'arbre, probablement par suite de la présence de phéromones de marquage déposées après la ponte. Les mouches peuvent déceler lors de leur ponte la présence de larves d'autres espèces dans le fruit; la distribution des asticots est en relation négative avec celles des chenilles qui entrent plus tôt dans les fruits.Chez les insectes des fruits, comme chez de nombreux parasitoïdes, les réponses des populations aux variations spatiales de la densité de l'hôte peuvent difficilement être déduites de l'analyse du comportement individuel.
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19.
Summary The physiological prerequisites of social organization, in the Hymenoptera, haplo-diploid sex control, ovisorption, imaginal diapause, and female communication culminate in social reproduction in which the «starvation» phenomenon is «exquisitely regulated and exploited», undernourished female embryos being predisposed to become workers (females in imaginal diapause) but doing so only if undernourished as larvae, as well.In the social Hymenoptera, ovisorption is apparently the central physiological prerequisite, the primary trophogenic factor, for the fullest development of social organization.The facultative nature of this phenomenon is evident from the fact that embryonic undernourishment in both parasitic and social Hymenoptera may be carried to an extreme which is lethal. Social species in which normally all embryos are subjected to non-lethal undernourishment occasionally produce queens, whose deposited eggs have all had so much nutrient extracted that none hatch, the embryos dying in various stages of development.Colony conditions conducive to the production of queens and males (colony opulence) are characterized by the feeding of deposited eggs to the developing brood, an action which tends to counteract the ovisorption induced predisposition of the brood to become workers. This relation-ship is correlated with a primitive physiological phenomenon, i. e. the activation of the spermathecal gland under indigent conditions (high brood/worker ratios) and nonactivation of the spermathecal gland under opulent conditions (low brood/worker ratios).
Résumé Les conditions physiologiques nécessaires à l'organisation sociale, au contrôle haplo-diploïde du sexe, à l'ovisorption, à la diapause imaginale et à la communication entre femelles chez les Hyménoptères, atteignent leur maximum dans la reproduction sociale, où le phénomène de «famine» est «habilement réglé et utilisé», des embryons femelles sous-alimentés sont destinés à donner des ouvrières (de femelles dans la diapause imaginale), mais ceci seulement s'ils sont sous-alimentés à l'état larvaire.Chez les Hyménoptères sociaux, l'ovisorption est apparemment la principale condition physiologique requise, le facteur trophogénique primordial, pour un développement complet de l'organisation sociale.Le caractère facultatif de ce phénomène tire son évidence du fait que la sous-alimentation, au niveau de l'embryon chez les Hyménoptères parasites ou sociaux, peut être poussée à un extrême qui devient léthal. Les espèces sociales chez lesquelles tous les embryons sont naturellement soumis à une sous-alimentation non léthale, donnent de temps à autre des reines, dont les ufs pondus ont eu tant de nourriture prélevée qu'aucun d'eux n'éclôt, les embryons mourant pendant les divers stades du développement.Les conditions de la colonie conduisant à la production de reines et de mâles (opulence de la colonie) sont caractérisées par l'alimentation du couvain en développement par les ufs pondus, une action qui tend à compenser l'effet ovisorptif du couvain à devenir des ouvrières. Cette corrélation est en rapport avec un phénomène physiologique primitif qui est l'activation de la glande spermathèque dans des conditions pauvres (élevé taux couvain/ouvrières) et la non-activation de la glande spermathèque dans des conditions riches (réduit taux couvain/ouvrières).


Paper No 1396, University of California Citrus Research Center and Agri cultural Experiment Station, Riverside, California.  相似文献   

20.
Résumé Une épidémie ayant atteint des souris blanches de laboratoire, a présenté le syndrome d'une pseudotuberculose du foie. Les cultures de cet organe ont révélé leCorynebacterium pseudotuberculosis murium (Kutscher), qui, pour différents motifs, a été considéré comme l'agent de la maladie. Ce micro-organisme n'a provoqué les pneumonies à foyers, régulièrement décrites par la bibliographie, que lorsqu'il a été administré oralement avec les aliments.  相似文献   

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