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1.
The fecundity of the South India strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) is 73 eggs for females developing in 31 days and increases to 94 eggs for females emerging after 41 days. Fed females lay 45–55 more eggs which is the egg-equivalent of the reserves unfed females had to sacrifice for activity. Competition as a larva did not reduce a female's fecundity. Oviposition is inhibited when females are given 25 or fewer beans for oviposition and it is reversed if females find fresh beans. Oviposition is generally released by beans carrying a below average number of eggs, thus, the eggs are almost uniformly distributed over the beans. Eggs are preferentially placed on the largest egg-free beans as expected if oviposition is released when a beetle goes from a smaller to a larger bean. The cues resulating host preferences, cowpea > mung pigeonpea chickpea, are secondary to the cues producing hyperdispersion and the selection of larger beans. We present a model for the oviposition behavior that accounts for the observed responses to species, size, and egg load of oviposition sites.
Résumé La fécondité de femelles isolées avec un mâle, sans aliment ni eau, et laissées sans perturbation avec 50 graines au moins sert de fécondité standard. Elle augmente avec le temps de développement de l'uf à l'adulte de 73 ufs (32 j) à 94 ufs (44 j). La fécondité potentielle, obtenue avec des femelles alimentées sur sucre est de 125 ufs. Des femelles maintenues avec moins de 25 graines réduisent leur fécondité.Plus de la moitié des femelles distribuent leurs ufs uniformément jusqu'à une densité de 1,5 uf. L'uniformité peut provenir de l'induction de réactions de ponte par les graines portant moins d'ufs que l'effectif moyen. L'hyperdistribution au dessus des densités de 3 ufs/graine révèle l'aptitude à distinguer les graines avec 3 ufs des graines avec 4 ufs. Il y a moins d'écarts par rapport à l'uniformité (erreurs) avec des graines à surface rugueuse. Des femelles avec 10 graines font moins d'erreurs que des femelles avec 50 ou 100 graines.Les ufs sont ajoutés aux plus grosses graines sans ufs; ainsi, plus il y a de graines qui portent des ufs, plus le poids des graines avec ufs diminue. Un tel schéma est prévisible si la ponte est induite par des graines plus grosses que les graines rencontrées précédemment. Les femelles présentent un ordre de préférence clair quand elles sont en rapport avec leurs hôtes classiques: Vigna unguiculata > V. radiata > Cajanus cajan > Cicer arietinum Les caractères spécifiques de l'hôte, plutôt que la taille ou la texture de la surface servent à la distinction entre les graines d'un même hôte.Ces résultats expérimentaux peuvent être utilisés pour la modélisation du comportement de ponte d'une femelle.
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2.
Oviposition rate and developmental capacity was determined for Amblyseius hibisci (Chant), A. limonicus Garman and McGregor, A. largoensis (Muma), Metaseiulus pomoides Schuster & Pritchard, M. occidentalis (Nesbitt), Typhloseiopsis arboreus (Chant), Typhodromus pyri Scheuten, Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, and Iphiseius degenerans (Berlese) on both artificial and natural diets. Oviposition and development occurred in seven of nine species when fed artificial diet and in all species when fed natural diets (phytophagous mites or pollen). The combined mean oviposition rate (21-d tests) for all species which oviposited on artificial diet was ca. one third the rate achieved by these species when tested on natural diets. Eggs and immature stages derived from oviposition tests with artificial diet showed no abnormalities and developmental times (egg to egg) were similar to those observed on natural diets. Predator cultures maintained on artificial diet showed gradual declines in viability within 2–3 months and only A. hibisci survived longer than 6 months. Adult predators of species which failed to oviposit when fed artificial diet survived longer than adults tested in the absence of food and water. Immature stages of these species failed to develop on artificial diet.
Ponte et developpement d'acariens predateurs alimentes a partir d'un regime artificiel et d'un regime naturel (Acari: Phytoseiidae)
Résumé Le nombre d'ufs pondus par 7 espèces de Phytoseiidae nourries sur milieu artificiel a varié de 0,1 à 1,2 uf/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 0,5 uf/femelle/jour pour une période de ponte moyenne de 18,5 jours.Deux espèces, Phytoseiulus persimilis et Metaseiulus occidentalis nourries sur milieu artificiel, n'ont pas pondu; leurs longévités moyennes ont été respectivement de 11,3 et de 10,3 jours.Avec un régime naturel (acariens phytophages ou pollen), le nombre d'ufs pondus, pour 9 espèces de Phytoseiidae a varié de 0,8 à 3,2 ufs/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 1,7 uf/femelle/jour pour une durée moyenne de la période de ponte de 19,0 jours.La viabilité des ufs provenant des expériences de ponte avec régime artificiel était elevée chez toutes les espèces prédatrices et les durées du développement sur milieu artificiel étaient semblables à celles observées avec régime naturel. La viabilité des élevages de prédateurs maintenus sur milieu artificiel a diminué progressivement et la plupart des élevages avaient disparu en moins de 6 mois. Les tentatives d'élevage de P. persimilis et M. occidentalis sur milieu artificiel ont été négatives bien que les prédateurs adultes femelles aient eu une plus grande longévité sur milieu artificiel qu'en absence de nourriture et d'eau.
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3.
When a host is stung by a parasitoid female in the aphid-aphidiid association Myzus persiae Sulzer-Aphidius colemani Viereck, four host responses have been observed: 1) a host develops into a mummy, 2) it dies very soon after it was stung, 3) it develops a cellular immune response, 4) it shows no apparent perturbation subsequent to the sting. The ratios of the responses are clearly determined by the type, the number and the rank of the sting and also by the experience of the female. Some assumptions concerning the cause of the host response are discussed.
Résumé Le devenir d'un puceron piqué par une femelle parasitoïde dans l'association Myzus persicae Sulzer-Aphidius colemani Viereck est clairement conditionné par différents facteurs associés à la séquence de piqûre. Quatre devenirs ont été régulièrement observés parmi tous les lots d'hôtes piqués; il s'agit d'une mommification classique aboutissant à l'émergence d'un parasitoïde adulte, d'une mort précoce, de l'apparition de profondes modifications anatomiques et physiologiques ou enfin, d'un développement apparemment sain du puceron. Les proportions de ces devenirs varient avec la nature, le nombre, le rang de la piqûre, ainsi qu'avec le passé de la femelle avant l'expérience. Par comparaison avec une piqûre classique, une piqûre peu profonde réduit le nombre de momies formées, mais surtout élimine toute mortalité avancée et favorise le devenir sain. Lorsqu'on augmente de un à trois le nombre de piqûres reçues par l'hôte, la probabilité d'échapper en apparence à un effet quelconque de la piqûre diminue, alors qu'en parallèle, c'est surtout celle de la mommification qui croît. Il existe de plus pour certaines femelles, une relation entre le rang de la piqûre et le devenir de l'hôte. Enfin, si une femelle a dans un premier temps piqué un puceron altéré, près de 90% des pucerons normaux qui sont ensuite piqués évoluent en momies. A partir de ces résultats, certaines hypothèses concernant la cause des différents devenirs sont avancées.
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4.
Résumé Chez l'insecte Ulopa reticulata Fab. (Homoptera-Auchenorhyncha), les enveloppes de l'uf se mettent en place en deux étapes. C'est d'abord au contact de l'ovocyte, la formation d'une couche interne constituée par l'empilement de plus en plus serré de lames dont la nature et l'origine sont discutées. Ensuite une couche externe se dépose de la manière habituelle aux insectes, à partir de matériel granulaire au moins en partie protéique, fourni par les cellules folliculeuses.Des symbiontes à transmission héréditaire existent à la base de l'uf chez Ulopa reticulata. Leur pénétration se produit dès le début du dépôt de la couche externe: les symbiontes repoussent la couche interne qui les sépare donc du vitellus de l'uf; la couche externe se déposant ensuite les isole des cellules folliculeuses. Les symbiontes sont ainsi enfermés dans l'uf.
Formation of the egg envelopes and penetration of symbionts in the egg of the insect Ulopa reticulata Fab. (Homoptera Auchenorhyncha)
Summary In the insect Ulopa reticulata Fab. (Homoptera Auchenorhyncha), the egg envelopes are laid in the course of two stages. At first, closely apposed to the oocyte an inner layer is formed by stacking of closer and closer dense laminae, the origin and nature of which are discussed. Then an outer layer is deposited, as ordinary in the insects by the follicle cells which secrete a granular, at least partially proteinaceous substance.Heriditary transovarian transmitted symbionts are to be found at the egg basis, in Ulopa reticulata. Their penetration occurs immediately after the beginning of the outer layer formation: the symbionts push back the inner layer which keeps them apart from the egg cytoplasm. The outer layer which is laid down, isolates also the symbionts from the follicle cells. The symbionts are, in this way, enclosed by the egg shell.
Equipe de Recherche associée au C.N.R.S. Cytologie Ultrastructurale, n 129.  相似文献   

5.
Diglyphus begini (Ashmead) (Hymenoptera: Eulophidae) is a larval ectoparasitoid of the leafminer, Liriomyza trifolii (Burgess) (Diptera: Agromyzidae). Female wasps oviposit on larvae which are significantly larger than larvae utilized for host feeding or hosts rejected for oviposition or feeding. Host size is evaluated on a relative rather than absolute basis. Individual female reproductive success increases with host size because of accompanying increases in offspring survivorship and adult body size. The number and duration of parasitoid stings is significantly greater when host feeding compared to oviposition and host rejection due to extensive probing of the internal viscera of larvae with the female ovipositor when host feeding. Upon host paralysis, 47.5% of parasitoid eggs become displaced from their host. However, eggs experimentally placed a mean distance of 0.8 mm away from a host do not result in a reduction in offspring survivorship compared to eggs attached to a host.
Résumé La mineuse L. trifolii Burgess attaque de nombreuses cultures à travers le monde. L'eulophide, D. begini Ashmead, est un parasitoïde fréquent du diptère. L'objectif de nombreux praticiens de la lutte biologique est de pouvoir prédire le résultat de lâchers d'ennemis naturels. Cette étude a été entreprise en estimant que la connaissance du comportement de prospection aide á comprendre la dynamique des interactions des populations hôtes et parasites. Une attaque de D. begini se concrétisant par une ponte, est généralement caractérisée par deux piqûres de durée limitée avec émission de l'uf normalement au cours de la seconde piqûre.L'alimentation aux dépens de l'hôte est caractérisée par des piqûres prolongées et répétées. Les hôtes refusés pour la ponte ou l'alimentation sont piqués une fois ou deux, les deux piqûres étant très brèves.L'aptitude de D. begini à percevoir les différences de tailles des larves de L. trifolii augmente la valeur adaptative individuelle des parasites. Les femelles ne pondent que dans les hôtes les plus grands, ce qui augmente le taux de survie des descendants et la taille des adultes. Puisque la taille des hôtes est évaluée sur une base relative, la valeur adaptative du parasite est indépendante des changements de distribution des tailles des hôtes rencontrés. Les larves de L. trifolii utilisées comme hôtes ne deviennent pas immédiatement immobiles après avoir été attaquées. Ceci fait que de nombreux ufs peuvent être délogés de leur hôte. Nous avons été incapables de déceler quelque effet nocif de ces mouvements de l'hôte après la ponte sur la survie des ufs de D. begini.
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6.
The extent to which the parasitoid Cotesia glomerata (L.) (Hymenoptera: Braconidae) discriminates between parasitised and unparasitised host larvae was tested by comparing the mean clutch sizes laid in thirty unparasitised and thirty parasitised two day-old Pieris brassicae (L.) (Lepidoptera:Pieridae) larvae. No eggs were laid in any of the previously-parasitised hosts. In contrast, eggs were laid in all but two of the unparasitised hosts. Most host-rejections involved only a brief insertion of the ovipositor, lasting two seconds or less. However, nearly a third occurred after a more prolonged insertion of the ovipositor, with a mean duration of twenty seconds: not significantly different from that of a normal oviposition.
Résumé Cotesia glomerata (L.) (Hymenopteres: Braconidae) montre deux types de comportement associés à l'oviposition et à l'insertion dans des larves (Pieris brassicae (L.), Lepidoptères: Pieridae) hôtes. Dans le premier cas, il s'agit d'une longue insertion de l'ovipositeur d'une duree de cinq a vingt secondes d'habitude. Dans le second cas, on voit le comportement après une insertion de l'ovipositeur durant deux secondes ou moins. Chez les C. glomerata et chez les autres espèces parasitoides, la première catégorie de comportement a été interprétée comme pondaison (comportement ovipositif) quand à la seconde, elle a été définie comme rejet des hôtes préparasitisés (ou comportement exploratoire). Dans cette étude-ci, on a enregistré la réaction (ovipositive exploratoire) de six guêpes chacuner exposées alternativement à cinq larves parasitisées et à cinq larves non parasitisées âgées de deux jours, le nombre d'ufs pondus dans chacune etant déterminé par dissection. Les ufs pondus par les premières et deuxièmes femelles pouvaient être distinguées par leur grandeux et par leur apparence. Parmi les trente hôtes nonparasitisés initialement, vingt-huit furent parasitisés durant leur comportement ovipositif. On a exploré l'un trouvant qu'aucun uf n'avait été pondu. La guêpe avait montré un comportement ovipositif envers un autre hôte sans pondre d'uf. Aucun des trente hôtes parasitisés auparavant et qui furent réexposés n'avait été super parasitisé. On avait testé vingt et une hôte et la guêpe avait réagi ovipositivement à neuf d'entre eux sans pour autant pondre d'uf. Il n'y avait pas eu de différence marquante entre la durée moyenne d'un comportement ovipositif des guêpes s'attaquant à des hôtes non-parasitisés (lorsque des ufs avaient été pondus dans tous les cas sauf un) et par celles qui s'étaient attaquées à des hôtes parasitisés (alors qu'aucun uf n'avait été pondu).
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7.
Telenomus lobatus Johnson & Bin (Hymenoptera: Scelionidae), previously known only from the eggs of a berothid species, emerged from field-collected eggs of the chrysopid Mallada macleodi. In the laboratory, host species differentially influenced development, survival, and size of the parasitoid. Females parasitized between 55 and 65% of the available eggs of Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, and C. rufilabris), and these yielded 98 to 100% adult parasitoids within an average of 13 days. In contrast, eggs of Chrysopa were parasitized less frequently, (C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1.3%) and relatively few (C. chi: 5.6%; C. oculata: 21%) or no (C. quadripunctata) parasitoids survived to adult emergence. Preimaginal development of T. lobatus in eggs of C. chi and C. oculata was approximately two days longer than in eggs of Chrysoperla spp. Although eggs of Meleoma dolicharthra were parasitized infrequently (approx. 16%), they yielded 100% adult parasitoids. Anomalochrysa maclachlani eggs were parasitized at low rates (1.8%) and parasitoid survival was intermediate (40.7%). Among all species, size of the host egg was positively related to the size of the emerging parasitoid adult.
Résumé T. lobatus Johnson & Bin (Hym. Scelionidae) connu jusqu'ici uniquement comme parasitoïde des ufs de Berothidae, a étè obtenu d'ufs du chrysope, Mallada macleodi récoltés dans la nature. Au laboratoire, l'espèce de l'hôte influe sur le développement, la survie et la taille du parasitoïde. Les femellles ont parasité 55 à 65% des ufs disponibles de Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, C. rufilabris) et ceux-ci ont donné 98 à 100% de parasitoïdes adultes en 13 jours en moyenne. Par contre, les ufs de Chrysopa étaient moins souvent parasités,-C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1,3%-, et relativement peu de parasitoïdes avaient survecu jusqu'à l'émergence,-C. chi: 5,6%; C. oculata: 21%; C. quadripunctata: 0. Le développment préimaginal est approximativement 2 jours plus long dans les ufs de C. chi et C. oculata que dans ceux de Chrysoperla spp. Bien que les ufs de Meleoma dolicharthra aient été peu parasités,-environ 16%-, 100% ont donné des parasitoïdes adultes. Les ufs de Anomalochrysa maclachlani ont été peu parasités,-1,8%-, et le taux de survie a été moyen: 40,7%. Pour toutes les espèces, la taille de l'uf de l'hôte était liée positivement à la taille du parasitoïde obtenu.
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8.
Résumé Une femelle pondeuse de Poliste ne réagit pas e la même façon envers les deverses catégories d'ufs qu'elle rencontre sur le nid. Notamment, il arrive qu'elle détruise systématiquement tous ceux qui proviennent d'autres femelles (ufs étrangers), alors qu'elle respecte les siene propres. Cette différence de traitement selon l'origine de l'uf définit l'oophagie différentielle.On cherche à analyser, dans le présent article, divers facteurs, internes et externes, qui sont à l'origine de ce comportement.Dans la société polygyne, l'oophagie différentielle devient le privilège de l'individu . Cette spécialisation d'une seule Guêpe dans l'oophagie assure l'homogénéité du couvain: en règle, toute la descendance provient de la même mère.
Summary A laying female ofPolistes does not react in the same manner to the different categories of eggs which she encounters in the nest. Particularly, she may exterminate systematically all those layed by other females (foreign eggs) while she respects her own. This difference of treatment occording the origine of egg defines the differential oophagy.In that paper, various internal and external factors which may be the start of that behaviour, are analysed.In the polygynous society, the differential oophagy becomes the privilege of the subject . This specialization of a single wasp in the oophagy assure the homogeneity of the brood: as a general rule, all the progeny comes from the same mother.

Zusammenfassung Eine LegerinPolistes reagiert nicht auf die selbe Art bei den verschieden Kategorien die sie antrifft im Nest. Namentlich kommt es vor dass sie systematisch alle Eier vernichtet die sie von anderen Weibchen vorfindet (d. h. fremde Eier), während sie ihre Eigenen respektiert. Diese unterschiedliche Behandlung je nach herkommen des Eies bezeichnet mandifferentiale Oophagie In diesem Artikel versucht man die verschiedenen intern und extern Faktoren zu analysieren, sowie was das Benehmen ihres Ursprungs sind.Bei den Polygyne die differentiale Oophagie wird das Privilegium des Einzelwesens . Diese Spezialization einer einzelnen Wespe der Oophagie sichert die Gleichartigkeit der Brut: in der Regel stammen alle Nachkommen von der selben Mutter.


Ce travail a été fait en collaboration avec Ed. Ph.Deleurance.  相似文献   

9.
Conclusion Le système vecteur montre une différenciation morphologique plus ou moins accusée selon ses diverses parties. Les modifications musculaires sont les plus marquées dans le nud de Keith-Flack. Les fibres vectrices se rapprochent ensuite progressivement des fibres communes. Le nud de Tawara est caractérisé par une intrications d'éléments musculaires et nerveux.Il existe dans le myocarde auriculaire plusieurs types de fibres; mais la connection entre les nuds de Keith-Flack et de Tawara ne semble pas assurée par un système de fibres spécifiques.Un certain nombre de données physiologiques semblent pouvoir être reliées à des particularités structurales du tissu vecteur.Avec la collaboration technique de Mlle. M. E. Stoeckel.  相似文献   

10.
During the developmental period from egg to pupae Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) beetles were exposed to homogeneous and heterogeneous environments at two initial egg densities as well as undiluted and diluted media. The medium consisted of flour, flour and yeasts or flour and yeasts diluted with sawdust. Initial egg density had a strong influence on the variability of pupal weight: the weight was more variable in high density, where the coefficients of variation ranged between 0.121–0.189, compared to the coefficients of variation in low density ranging between 0.058–0.183. The dilution of the medium did not influence the pupal weight variability. Heterogeneity influenced pupation site choice. In the majority of cases larvae chose the apparently less crowded, poorer compartment, to pupate. Survival and developmental time were influenced by egg density. Environmental heterogeneity acted only as reinforcer, not as a factor itself causing variability.
Résumé Pendant le développement de l'uf à la chrysalide, des ufs de Tribolium confusum (Coleoptera: Tenebrionidae; DuVal 1886) ont été soumis à differents traitements de façon à établir un lieu entre la variabilité phénotypique chez les chrysalides de cet espèce et la composition de l'habitat. L'hypothèse voulait que la variabilité phénotypique soit releé au degré de complexité de l'habitat a été testé en modifiant la qualité du substrat nutritif et la concentration initiale des ufs dans le milieu.Un milieu hétérogène a été obtenu en separant un bocal par une cloison contenant d'une côté un substrat nutritif de haute qualité et de l'autre un substrat nutritif de pauvre qualité. Le milieu de haute qualité était composé de 95% de farine et 5% de levain alors que le pauvre milieu se composait de farine et levain dilués dans 3 portions de sciure pour 1 potion de farine et levain. Deux témoins ont été préparés: l'un deux comprenait deux bocaux contenant un substrat nutritif de même valeur et l'autre comprenant le même milieu mais sans cloison. Les différentes expériences ont été repétées avec des ufs concentration initiale élevée (100 ufs/1 g de substrat) ou faible (25 ufs/1 g de substrat).La proportion moyenne d'insects qui ont survécu jusqu'à la nymphose était de 0.705±0.161 (SE) à faible densité et de 0.312±0.163 (SE) à densité élevé. La phase larvaire s'étola sur 27 jours (durée médiane) à faible densité sur 42 à densité élevée.L'hétérogéneité du milieu a aussi influencé le choix du lieu de nymphose: la majorité des larves se sont metamorphosées du côté du substrat de faible valeur nutritive. La densité initiale de ufs dans le milieu influença le poids de chrysalides: à densité élevée la variabilité phénotypique (CV) du poids de ces chrysalides était de 0.121–0.189 et de 0.058–0.183 à faible densité. Les differences des associations statistiques du poids de chrysalides entre densité et hétérogéneité, densité et dilution, hétérogéneité et dilution étaient toutes significatives.
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11.
The host-selection behaviour of nine strains ofTrichogramma spp., towards eggs ofMamestra brassicae, Pieris brassicae andP. rapae, was investigated in laboratory experiments in order to select candidate strains for inundative releases against these species. Experiments were carried out by continuously observing the behaviour of individual females, which were offered equal numbers of eggs of two host species arranged in a grid.M. brassicae was a highly acceptable host species for all strains, whereas the acceptability of the twoPieris species was similar within strains, but varied between strains. Considering the variation in acceptance ofPieris eggs, strains either showed: (1) no preference betweenMamestra andPieris (High PierisAcceptance = HPA strains), (2) a preference forMamestra (Variable PierisAcceptance = VPA strains), or (3) an aversion forPieris (Low PierisAcceptance = LPA strains). Females of VPA strains showed a high acceptance ofPieris eggs if the preferredMamestra eggs were absent. They contacted comparatively fewerPieris eggs in presence ofMamestra eggs, which indicates selection of hosts at a distance. HPA strains probably are the best candidates for inundative releases.
Sélection hôte-espèce par différences souches de l'æuf-parasiteTrichogramma spp.
Résumé Le comportement de sélection de l'hôte par neuf souches deTrichogrammes, vis-à-vis d'ufs deMamestra brassicae, Pieris brassicae etP. rapae a été étudié au laboratoire afin de sélectioner des souches candidates pour des lâchers inondatifs contre ses espèces. Des expériences ont été menées par observations en continu du comportement de femelles auxquelles était offert un nombre égal d'ufs de deux espèces d'hôtes, disposés selon un grille.M. brassicae est un espèce-hôte fortement acceptée par toutes les souches. Au contraire, l'acceptabilité des deux espèces dePieris, semblable pour chaque souche, varie entre les souches. En tenant compte de la variation d'acceptance des ufs dePieris les souches (1) ne montrent aucune préférence entreMamestra etPieris, (2) montrent une préférence pourMamestra, ou(3) une aversion pourPieris. Des femelles des souches du second groupe acceptent fortement les ufs dePieris si les ufs deMamestra, préférés, sont absents. Comparativement, elles rentrent en contact avec moins d'ufs dePieris en présence d'ufs deMamestra. Ceci indique une sélection des hôtes à distance. Les souches du premier groupe sont probablement les meilleures candidates pour des lâchers inondatifs.
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12.
    
The effect of various relative humidities on the eggs of artificially reared olive fruit flies, Dacus oleae, was examined at 20°. At constant humidities no eggs hatched below 90% r.h., while egg hatch at 100% and 95% r.h. was 96.7% and 72%, respectively. Reduced hatchability was observed when eggs were exposed to non-saturated atmospheres either at the beginning or at intermediate stages of embryonic development. The lower the humidity and the longer the exposure, the lower was the egg hatch. The early stages of development were more sensitive to non-saturated humidities than stages older than 24 hr. Egg development was extended at lower humidities and longer exposures.Effect of humidity on olive fruit fly eggs is compared with other insects, and discussed in relation to egg handling in the mass rearing of the fly.
Résumé A 20°, différentes humidités relatives ont été testées sur des ufs de mouche de l'olive, Dacus oleae, élevées sur régime artificiel. Quand l'H.R. était constamment inférieure à 90% aucun uf n'éclosait, à 95% il y en avait 72% et 64% des ufs non éclos contenaient des embryons avec des crochts oraux mélanisés, tandis qu'à 100% H.R. 96,7% des ufs éclosaient. Des ufs mis à incuber dans de l'eau ventilée ou dans de l'acide propionique à 0, 3% se développaient normalement, mais dans de l'eau non-ventilée il n'y avait que 62% d'éclosions. Une exposition des ufs après la ponte à 45% H.R. pendant plus de 6 heures avant leur transfert à 100% H.R. a réduit les éclosions de plus de 50%, tandis que pour une diminution similaire à 60%, 75% et 90% H.R. il fallait 8, 12 et 72 heures. Quatre heures d'exposition à 45% H.R. donnent 63% d'éclosions (contre 97,5% après une heure). Quand les ufs ont d'abord incubé à 100%, pour être transférés à 60% avant d'être remis à 100%, des expositions supérieures à 12 heures affectent le taux d'éclosion quand le transfert à 60% a eu lieu pendant les premières 24 heures. Cependant, quand le temps de latence entre la ponte et le transfert dépassait 24 heures, il n'y avait pas modification du taux d'éclosion. Le développement embryonnaire était plus long aux basses hygrométries ou après les expositions les plus prolongées.Par comparaison aux durées de développement à 100% la prolongation était de 5% pour 4 heures d'exposition à 45% H.R., de 20% pour 12 heures à 75% et de 10% pour 24 heures à 90%.Ces résultats sont comparés à ceux de différentes espèces de différents taxas, et leurs conséquences sur les manipulations d'insectes dans les élevages de masse de mouches de l'olive ont été examinées.
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13.
Laboratory experiments tested whether two economically-important sibling species of tephritid fruit flies have evolved distinct egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. The egg-laying preferences displayed by apple maggot flies, R. pomonella, and blueberry maggot flies, R. mendax, on artificial fruits treated with apple and blueberry extract paralleled their egg-laying responses to whole apples and blueberries. R. pomonella flies laid more eggs than R. mendax flies in artificial fruits treated with extract from ripe McIntosh apples, and vice versa for artificial fruits treated with extract from ripe Bluehaven blueberries. Furthermore, both species laid more eggs in artificial fruits treated with extract from their respective host fruits than control artificial fruits which were not treated with fruit extract. Prior electroantennogram recordings from R. mendax and R. pomonella flies exposed to volatiles from pentane extracts of apples and blueberries indicate that the antennal sensitivity of both species is selectively tuned to their respective host fruit odors. This differentiation in their olfactory responses to fruit odors could be important in mediating their distinct ovipositional responses to blueberry and apple fruits. Extract from unripe McIntosh apples also elicited egg laying by R. pomonella flies, however, artificial fruits treated with unripe apple extract received 1.9 times fewer eggs than those treated with ripe apple extract. Moreover, the numbers of R. pomonella ovipositor punctures and eggs placed in wax artificial fruits were increased when the artificial fruits were treated with a blend of 7 identified apple esters. Black coloration on these artificial fruits and the presence of apple esters had a synergistic effect on the egg-laying behavior of R. pomonella flies, which caused them to lay substantially more eggs per black fruit than white fruit treated with the same concentration of apple esters. In summary, our results indicate that the egg-laying responses of R. pomonella flies are mediated by the integration of information from fruit chemical and visual cues, and that R. mendax and R. pomonella flies have evolved divergent egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. These findings are discussed in the context of other studies on plant compounds which influence the ovipositional behavior of phytophagous Diptera.
Stimuli chimiques des pommes et des myrtilles induisant la ponte des espèces jumelles, Rhagoletis pomonella et R. mendax
Résumé Des fruits artificiels en cire traités avec des extraits de fruits ont provoqué chez les espèces jumelles de R. mendax (Curran) et R. pomonella (Walsh) des réactions de ponte différentes suivant les stimulations chimiques par les fruits. Le comportement de ponte sur des fruits artificiels traités avec des extraits au pentane des myrtilles mûres (Vaccinium corymbosum L.) et de pommes mûres (Malus pumila Miller = Pyrus malus L.), est le même que sur des fruits naturels, ce qui montre que la réponse aux stimulations chimiques provenant du fruit constitue un aspect important de la reconnaissance de l'hôte. R. pomonella pond plus d'ufs que R. mendax sur les fruits artificiels traités à l'extrait de pommes mûres; c'est l'inverse pour les fruits traités aux extraits de myrtille. Les fruits artificiels traités avec des pommes ou des myrtilles provoquent la ponte de R. pomonella, tandis que les myrtilles mûres seules provoquent la ponte de R. mendax. Les extraits de pommes vertes stimulent la ponte de R. pomonella mais elle est alors 2 fois plus faible qu'avec des extraits de pommes mûres. Un mélange de 7 esters identifiés dans l'extrait de pomme induit aussi la ponte de R. pomonella. Le nombre de piqûres de tarièresfli dans les fruits artificiels en cire et le nombre d'ufs par fruit ont été augmentés par addition d'esters de pommes à des fruits blancs ou noirs. La couleur des fruits artificiels influence aussi la réaction de ponte de R. pomonella; la fréquence des piqûres de tarière contenant un uf et le nombre d'ufs par fruit étaient significativement plus élevés sur les fruits noirs que sur les fruits blancs traités avec la même concentration d'esters de pomme. Les fruits artificiels noirs traités avec la concentration la plus stimulante d'esters de pommes ont reçu 2, 3 fois plus d'ufs que les fruits blancs avec les mêmes concentrations en esters. Ces résultats montrent que les esters de pomme et la couleur noire stimulent synergiquement la ponte de R. pomonella sur des fruits artificiels.
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14.
Egg production under laboratory conditions was examined over the lifespan of Heliothis zea (Boddie) and Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae). Although H. zea oviposits singly and S. ornithogalli oviposits in masses, temporal trends were similar. Egg numbers peaked shortly after mating and then rapidly declined. Egg weights also peaked shortly after mating, but decreased gradually over time. Temporal oviposition patterns were more erratic for unmated than mated females, suggesting the importance of mating in establishing the shape of the oviposition curve.
Résumé La production d'ufs d'Heliothis zea (Boddie) et de Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae) durant toute la vie adulte a été examinée au laboratoire. Bien que H. zea dépose ses ufs isolément et que S. ornithogalli les dépose en groupes, les courbes temporelles d'oviposition chez des individus fécondés sont similaires. Le nomber d'ufs culmine peu après l'accouplement, puis décline rapidement. Le poids des ufs culmine aussi peu après l'accouplement, puis décroît graduellement. Des femelles fécondées produisent environ deux fois autant d'ufs que les femelles non fécondées, quoique la longévité ne diffère pas significativement entre les deux groupes. Des femelles non fécondées montrent des distributions temporelles plus irrégulières que des femelles fécondées, en ce qui concerne le nombre des ufs et leur poids. Ces irrégularités ont été attribuées à la tendance des femelles non fécondées à retenir leur ufs, ce qui suggère que l'accouplement exerce une influence sur la forme de la courbe temporelle d'oviposition. Des femelles d'H. zea contenant un, deux ou trois spermatophores n'ont pas produit des nombres d'ufs significativement différents.
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15.
Samples of aquatic macroinvertebrates were taken from abandoned beds of the river Rhône in the Brégnier-Cordon area. This sector of the French Upper Rhône is particularly rich in old beds or lônes which vary in age and morphological type and have more or less direct connections with the river.Samples were collected using a hand net in eight different lônes. The results concerned five groups of fauna: Mollusca, Crustacea, Ephemeroptera, Coleoptera, Trichoptera. The study revealed a wide range of fauna, and the fact that group of taxa can be used to describe types of lônes defined by morphological and hydrological characteristics. This kind of research adds to our understanding of how such aquatic ecosystems evolve, and may be applied in a more general way to other important river systems.  相似文献   

16.
Résumé Nos méthodes expérimentales permettent l'isolement d'une larve de sexe déterminé par hôte de l'ectoparasite grégaire Dinarmus vagabundus et du solaitire, D. basalis. Des hôtes porteurs de 3 à 8 larves par hôte de D. vagabundus sont aussi isolés. Dans ces conditions la quantité de nourriture disponible est la même pour toutes les densités larvaires étudiées.Les larves élevées en solitaire des deux espèces assimilent une quantité de nourriture significativement supérieure à celle assimilée par les . Ceci conduit à des adultes de poids moyen supérieur à celui des . Le poids moyen des et des de D. vagabundus diminue significativement aux fortes densités larvaires. L'intensité de la liaison entre la quantité de nourriture assimilée et la biomasse produite s'affaiblit au fur et à mesure que la densité larvaire par hôte augmente.Les de D. vagabundus de poids moyen (0,42 mg) engendrent deux fois et demi plus de descendants que les lilliputiennes (0,20 mg) émergées d'hôtes à forte densité larvaire. Celles de D. basalis (0,65 g) sont moins prolifiques que les de D. vagabundus.  相似文献   

17.
The supercooling point (SCP) of individual Epirrita autumnata eggs (approx. 60 eggs batch-1) was tested each month from September (eggs newly laid) to April under laboratory conditions simulating winter temperatures in the field (from +4 to-30 °C). Parallel to each test, one batch of eggs was transferred from the acclimation treatment to room temperature (22 °C) and the incubation duration to the first 50% hatch was recorded, giving a measure of embryo growth at the time of the SCP test. Data also give information on egg mortality, which generally was low.The SCP was found to be equivalent to the lower lethal temperatures for this species. Already in autumn, the SCP was in a low range of-34.9 to-36.5 °C and either rose (at a storage temperature of -3 °C) to a range between-28.3 and-29.8 °C in February, due to reduced cold hardiness during embryogenesis, or remained unchanged because the eggs were in quiescence (at -10 °C).The time to 50% hatch at 22 °C decreased from 60 days to 10–14 days in January when it either continued to decrease up to hatch (at -3 °C), or remained unchanged, indicating end of diapause in January. In December, 260 degree-days (DD) above a threshold of +5.8 °C was required for 50% hatch; in February the corresponding figures were 362 DD and-2 °C.When the supercooling point moved from the low to the high SCP range, the frequency distribution of the individual SCPs changed from positively to negatively skewed. The transition was rapid, intermediary distributions being flat and covering both ranges.Thus, in the field the eggs run the risk of freezing mainly at two temperature levels: below about-36 °C during diapause and post-diapause quiescence (in midwinter) and below about-29 °C during embryogenesis (in late winter spring).
Résumé La température de congélation (supercooling point: SCP) de chaque uf de E. (Oporinia) autumnata (Lépido, géométride) (environ 60 ufs par ponte) a été examinée chaque mois, de septembre (ufs venant d'être pondus) à avril, dans des conditions simulant les températures hivernales de la nature (de-30° à +4 °C). Parallèlement à chaque expérience, une ponte était transférée aux fins d'acclimatation à la température du laboratoire (22 °C) pour noter la durée d'incubation des premiers 50% d'ufs éclos, afin d'avoir une donnée sur la durée du développement embryonnaire à l'époque de l'expérience de congélation, et sur la mortalité embryonnaire, d'ailleurs généralement basse.Le point de congélation (SCP) a correspondu pour cette espèce aux températures létales les plus basses. En automne déjà, la SCP avait une gamme basse de-34.9 à-36.5 °C et, soit s'élevait (pour une température de conservation >-3 °C) à une gamme de-28.3 à-29.8 °C en février, par suite de la diminution de la résistance au froid pendant l'embryogenèse, soit demeurait inchangée parce que les ufs étaient quiescents (<10 °C).Le temps d'éclosion 50 à 22 °C s'est abaissée de 60 j à 10–14 j en janvier pour ensuite, soit continuer de diminuer jusqu'à l'éclosion (>-3 °C), soit rester inchangé indiquant la fin de la diapause en janvier. En décembre, 260 degrés-jours (DD) au-dessus du seuil de +5.8 °C ont été nécessaires pour obtenir 50% d'éclosions, en février il a fallu 362 DD et-2 °C.Quand la température de congélation était déplacée de faibles à fortes valeurs de la SCP, la distribution des fréquences des SCP individuelles passait d'un biais positif à un biais négatif. La transition était rapide, les distributions intermédiaires étant plates et recouvrant les deux gammes.Ainsi les risques de congélation des ufs dans la nature se situent à deux niveaux: environ audessous de-36 °C pendant la diapause et la quiescence post-diapause (au milieu de l'hiver), et au-dessous d'environ-29 °C pendant l'embryogenèse (en fin d'hiver et au printemps).
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18.
Copulation duration of Glossina pallidipes from Lambwe Valley (0° 35, S, 34° 15 E) and Kibwezi Forest (2° 27 S, 37° 55 E) in Kenya, was investigated in the laboratory. The difference in mean copulation time between the populations was highly significant. Reciprocal copulations showed that the trait is predominantly or only determined by the male. F1 and F2 male hybrid durations were similar and intermediate between the parental durations. The variances of the F2 hybrid durations were not significantly larger than those of the F1 hybrids. Male hybrids from backcrosses had durations on the average intermediate between their parents'. Reciprocal F1 hybrid male durations gave different means. It is inferred that the trait, in the two populations investigated, is under polygenic control by factors distributed on an unknown number of autosomes and on the X chromosomes.
Résumé On a étudié et comparé en laboratoire, la durée de copulation de deux populations de Glossina pallidipes du Kenya, l'une de Lambwe Valley (0°35S, 34°15E) l'autre de Kibwezi Forest (2°27S, 37°55E). Les femelles agées de 7–8 jours sont accouplées avec des mâles agés de 14–18 jours, à une température d'environ 27.5° C. La différence de la durée moyenne de copulation entre les deux populations est hautement significative: 21,8 min pour les mouches originaires de Lambwe, contre 59,0 min pour celles originaires de Kibwezi. Des accouplements croisés ont montré que le caractère est avant tout ou uniquement déterminé par le mâle. Les durées de copulation avec des mâles hybrides F1 et F2 sont semblables et intermédiaires avec celles observées chez les parents. Les variances de la durée de copulation pour les mâles hybrides F2 ne sont pas significativement plus grandes que celles des hybrides F1. Les mâles hybrides issus de croisements de retour offrent des durées de copulation en moyenne intermédiaires avec celles des parents. Les mâles hybrides réciproques F1 ont des durées de copulation ayant des valeurs moyennes différentes.Il est conclu que le caractère évoqué, dans les deux populations testées, obéit à un contrôle polygénique, dont les facteurs sont distribués à la fois sur un nombre inconnu d'autosomes et sur les chromosomes X. Il est suggéré que le paramètre durée de la copulation peut apporter une information complémentaire dans l'étude systématique des populations de Glossina pallidipes.


Financed by grants from Uppsala University, The Royal Swedish Academy of Science and The Lars Hierta's Memory Foundation.  相似文献   

19.
At constant temperatures in the laboratory, the rate of development (i.e. the reciprocal of the time of development in days) of eggs of T. ampliata increased with temperature in the range 15–30°C and threshold temperature for egg development was calculated to be 8.2°. The percentage of eggs hatching tended to increase with temperature, but hatching at 25° was not significantly different from that at 30° and no eggs hatched at 10°. A formula for predicting egg-developmental time at known temperature is provided.At 25° incubation period decreased and the percentage of eggs hatching increased with increase in relative humidity from 51–53% to 100 per cent. Embryonic development and egg hatching were inhibited at relative humidities below 51–53 per cent.
Résumé La vitesse du dévelopment (c'est-à-dire la réciproque de la durée du développement en jours) des ufs de Tingis ampliata soumis au laboratoire à des conditions constantes de température, s'accroît avec cette température pour une gamme comprise entre 15 et 30°, cependant que la température limite inférieure pour le développement est de 8°2. Le pourcentage d'ufs écols tend à augmenter avec la température mais l'éclosion à 25° n'est pas significativement différente de celle à 30° et aucun uf n'éclot à 10°. Une formule est proposée permettant de prédire la durée de développement des ufs à une température donnée.Pour une température de 25°, la durée d'incubation et le pourcentage d'éclosion des ufs s'accroissent avec l'humidité relative (de 51–53% à 100%). Le développement embryonnaire et l'éclosion sont inhibés par une humidité relative inférieure à 51–53%.
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20.
The deposition of eggs by this strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) departs from randomness in three ways; eggs are uniformly dispersed, oviposition rates drop when beans begin to carry 2 or more eggs, and there are sharp host preferences. Using random egg placement for the unspecialized condition, these traits are evaluated for their effect on a female's contributions of offspring to the next generation (R0, the net reproductive rate). The major increases in R0 result from females dispersing eggs so uniformly that larval competition is either reduced or eliminated. Females reduce their oviposition rate when the larva from an egg added to a bean is almost certain to die in competitive encounters. Host preferences and larval survival in a host are positively associated with the abundance of the host in South India. The three oviposition traits act together to give and R0 that is 25–50% than that of eggs placed at random. These traits are known to be variable and heritable, hence, the conditions necessary for natural selection are statisfied.
Résumé Le taux partiel de reproduction nette (R inf0 sup* ) dépend de l'espèce de la plante sur laquelle les ufs sont pondus et du nombre de larves entrant dans la graine. La survie larvaire est réduite par 1/(le nombre de larves par graine) parce qu'une seule larve se développe dans une graine. La fécondité n'est pas modifiée par la compétition subie par les larves, la mortalité larvaire a l'effet le plus important sur R inf0 sup* . Les femelles éliminent ou réduisent la compétition larvaire en dispersant leurs ufs uniformément et font si peu d'erreurs avec une hyperdispersion que l'évolution d'un comportement plus précis n'accroîtrait R inf0 sup* que de 4% au maximum. Des femelles retournant à une distribution des ufs au hasard provoqueraient une réduction de R inf0 sup* de 25% au moins.Les légumineuses généralement cultivées dans l'Inde du Sud sont des hôtes acceptables quand elles sont présentées seules. Le choix des femelles entre 2 hôtes élève R inf0 sup* de 30% ou plus par rapport à une distribution au hasard. Les préférences les plus nettes concernent des combinaisons présentant la plus grande différence de R inf0 sup* . Les femelles qui hyperdispersent leurs ufs, choisissent leurs hôtes et évitent les pertes par compétition en empêchant que les ufs ne donnent plus de descendants que ne le ferait une ponte au hasard.Les particularités de la ponte sont variables et héritables. Les lignées se sélectionnent bien, en fonction de la dispersion de leurs ufs sur les graines, de la discrimination des plantes hôtes, et de la modulation de leur taux de ponte. La sélection naturelle maintient ces particularités du comportement d'une façon sédentaire.
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