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1.
We examined the intra-tree foraging behavior of individually-released, wild-population Mediterranean fruit flies (medflies), Ceratitis capitata (Wiedemann), on field-caged host trees bearing each of three different densities (0, 3, or 12 per tree) of non-infested host fruit (kumquat) or each of two levels of fruit quality (12 non-infested fruit or 12 fruit infested with eggs and covered with host marking pheromone). With increasing density of non-infested fruit, medflies tended to remain longer in trees, visit more fruit before leaving, oviposit more often, accept a proportionately smaller number of fruit visited, and emigrate sooner after the last egg was laid (i.e. have a shorter Giving-Up-Time). Medflies spent much less time, oviposited much less often, and exhibited a longer Giving-Up-Time on trees harboring pheromone-marked fruit than non-infested fruit. Variation in temperature within the range at which experiments were conducted (25–36°C) had little detectable influence on foraging behavior. We compare our findings with published findings on the intra-tree foraging behavior of another tephritid fly, Rhagoletis pomonella (Walsh), and with current foraging behavior theory. We discuss implications of our findings with respect to medfly management strategies, particularly fruit stripping in eradication programs and use of synthetic marking pheromone for control.
Résumé Nous avons étudié le comportement de prospection dans un arbre, de femelles d'une population sauvage de C. capitata, libérées individuellement à l'intérieur de cages contenant des Eriobotrya japonica (kumquat), portant chacun 3 densités différentes de fruits no contaminés (0, 3, 12 par arbre) et chacun 2 niveaux de qualité de fruits: 12 fruits non infestés ou 12 fruits contaminés par des oeufs et recouverts de phéromone de marquage de l'hôte. C. capitata avait terndance à rester plus longtemps dans les arbres, à visiter plus de fruits avant le quitter, à pondre plus souvent, à accepter proportionnellement un nombre plus réduit de fruits déjà visités, à émigrer plus tôt après la ponte du dernier oeuf (c'est-à-dire à présenter un temps d'abandon plus bref), quand la densité des fruits non contaminés augmentait. C. capitata a dépensé beaucoup moins de temps, pondu beaucoup moins souvent, et présenté un temps d'abandon plus long sur les arbres portant des fruits marqués par la phéromone que sur ceux ayant des fruits non contaminés. Les variations de température dans la gamme de cells où les observations ont eu lieu (23–36°C) n'ont eu qu'une faible influence décelable sur le comportement de prospection. Nous avons comparé nos résultats avec ceux publiés sur la prospection à l'intérieur de l'arbre par une autre téphritide (Rhagoletis pomonella) et avec la théorie dominante sur le comportement de prospection. Nous discutons les conséquences de nos résultats sur les stratégies de lutte contre C. capitata, en particulier l'élimination des fruits dans les plans d'erradication et l'utilisation de phéromone synthétique de marquage.
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2.
Previous foraging studies of individual Rhagoletis flies predict a positive relationship between the density of host fruits and probability of fruit infestation. This study examines how fruit density and other traits influence the distribution of Rhagoletis indifferens Curran larvae in an abandoned orchard. In 1986, when the level of fruit infestation was high, both the number of larvae/fruit and the percentage of fruits attacked were independent of fruit density at all spatial scales examined (among trees, within trees, or among fruit clusters). In 1987, when the level of fruit infestation was low and fruits were sampled throughout the season, the number of larvae/fruit was either independent of fruit density or, contrary to prediction, was inversely dependent on fruit density and tree size. In fruit-parasitic insects, as in many parasitoids, population-level responses to spatial variation in host density may be difficult to predict from analyses of individual behavior.
Résumé Des études précédentes sur Rhagoletis avaient suggéré que différentes caractéristiques de la plant-hôte,-densité des fruits, taille de la plante, présence de phéromones de marquage, etc.-, influençaient la prospection par les femelles gravides. Ce travail examine si ces caractéristiques sont utilisables pour prévoir la distribution des larves de R. indifferens dans un verger abandonné; par exemple, si une prospection concentrée dans les zones de forte densité de fruits entraîne une relation positive entre densité des hôtes et intensité des contaminations.En 1986, le niveau d'attaque était élevé: 89% des fruits examinés contenaient au moins une larve. Tant le nombre de larves par fruit que le pourcentage des fruits attaqués étaient indépendants de la densité des fruits et de l'échelle spatiale utilisée: entre les arbres, dans l'arbre, parmi le paquet de fruits. L'abondance de larves n'était pas plus liée à la taille de l'arbre, qu'à son aspect ou à sa position dans le verger. En 1987, quand l'attaque a été faible (<60% des fruits attaqués), l'échantillonnage des fruits pendant toute la saison a donné un nombre de larves par fruit, soit indépendant de la densité de fruits, soit, à l'opposé de nos prévisions, inversement dépendant de la taille de l'arbre et de sa densité en fruits. Bien que des infections multiples de fruits aient été fréquentes (17% des fruits contenaient de une à cinq larves), les larves étaient clairement distribuées uniformément parmi les fruits de l'arbre, probablement par suite de la présence de phéromones de marquage déposées après la ponte. Les mouches peuvent déceler lors de leur ponte la présence de larves d'autres espèces dans le fruit; la distribution des asticots est en relation négative avec celles des chenilles qui entrent plus tôt dans les fruits.Chez les insectes des fruits, comme chez de nombreux parasitoïdes, les réponses des populations aux variations spatiales de la densité de l'hôte peuvent difficilement être déduites de l'analyse du comportement individuel.
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3.
Female medflies were subjected to four different patterns of host deprivation at each of three levels for a 24-day period. Treatments ranged from host absence 8 days post-eclosion to host absence 2 out of 3 days. Survival was recorded daily and egg production was recorded on the days in which hosts were present.The direct effect of host deprivation is to deny females the opportunity to oviposit. This disrupts their reproductive cycle and reduces their overall reproductive effort. Reduced reproductive effort at young ages increases survival (up to 2-fold) and daily reproduction (up to 8-fold) at older ages. Therefore, the long term effect of host deprivation is to postpone senescence.The implications of these findings regarding medfly sensescence are discussed in relation to: (i) reduction in population extinction rates during periods of host scarcity and (ii) egging strategies in medfly mass-rearing.
Résumé Les femelles de C. capitata ont été privées d'hôtes suivant 4 modalités pendant 3 durées (33, 50 et 67% de leur vie) par période de 24 heures. Les modalités se répartissaient de la privation pendant 8 jours après l'éclosion jusqu'à 1 jour sur 3. La survie a été notée chaque jour et la ponte pour tous les jours où il y avait des hôtes.L'effect direct de l'absence d'hôte est d'empêcher la femelle de pondre. Ceci interrompt leur cycle de ponte et réduit leur activité reproductrice totale. Un effort reproductif réduit des femelles jeunes augmente la survie (jusqu'à 2 fois) et la ponte quotidienne (jusqu'à 8 fois) chez les femelles plus âgées. Ainsi, l'effet à long terme de la privation d'hôtes est d'ajourner la sénescence.Les implications de ces observations sur la sénescence de C. capitata sont discutées quant à: (1) la réduction des taux d'extinction des populations pendant les périodes de rareté d'hôtes; et: (2) les stratégies d'obtention de pontes dan les élevages de masse de C. capitata.
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4.
Functions describing instantaneous development rates in constant and natural temperature regimes were obtained for pupae of the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina (Wiedemann). These were derived using a technique that directly calculates rate functions from development-time observations made under any temperature regime. The functions indicated similar instantaneous development rates for constant and natural temperatures up to 30°C. At 30° the constant-temperature function reached a plateau which was maintained to the constant-temperature thermal limit. The natural-temperature function, however, continued its ascending phase to 34°, and then fell sharply to zero at 42°.The median survival temperatures of pupae for single 7-h exposures, daily 7-h exposures, and continuous exposures to high temperatures were 44.7, 39.2, and 34.4°, respectively. Development was completed at constant 15° but not at 10°. Median survival times at constant 10, 5, 0 and-5° were 4.3, 4.2, 2.5 and 1.5 days. Mortality was slight for single or daily 7-h exposures to-5°, but was complete for all except brief single exposures to-10°.
Influence des températures constantes et de la thermopériode sur le taux de développement et la survie des pupes de Lucilia cuprina
Résumé Des fonctions associant les taux de développement aux températures en conditions constantes et en thermopériodes naturelles ont été établies pour les pupes de L. cuprina. La fonction pour les conditions naturelles décrit les taux de développement immédiat-c'est-à-dire les taux de développement existant en réponse à la température pour chaque laps de temps (en réalité, pour un court intervalle), plutôt que le taux moyen pour une gamme de températures. La fonction pour les températures constantes décrit à la fois les taux de développement instantané et moyen (ceux-ci étant équivalents, en ne supposant pas de réponses spécifiques suivant l'âge en conditions constantes). Les fonctions ont été dérivées en utilisant une technique qui calcule directement les fonctions des taux à partir des observations sur les durées de développement faites dans chaque condition de température.Les fonctions ont révélé des taux de développement instantanés semblables pour les températures jusqu'à 30°C. A 30°C la fonction pour la température constante a atteint un plateau qui s'est maintenu jusqu'à la limite thermique. La fonction pour les thermopériodes naturelles a continué de s'élever jusqu'a 34°C, et alors a chuté brutalement jusqu'à zéro à 42°C. Dans la région d'où les lots de pupes ont été obtenus les températures subies par les pupes dans les zones non ombragées dépassent fréquemment 50°C pendant l'été. Les taux de développement des pupes aux températures au dessus de 30°C, où les fonctions avec températures constantes et thermopériodes deviennent différentes, sont cependant cohérent avec les expériences dans la nature avec L. cuprina. Les températures médianes de survie des pupes pour une exposition unique de 7 h, pour des expositions quotidiennes de 7 h et pour une exposition constante à haute température étaient respectivement de 44,7; 39, 2 et 34,4°C. Par comparaison avec des températures estivales du sol de 50°C et plus, il semble vraisemblable que la mortalité nymphale est un facteur important de déclin des populations de L. cuprina au milieu de l'été.
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5.
Factors affecting parasitism of stem-boring larvae which attack Italian ryegrass were studied. Stem-boring larvae dissected out of tillers from a range of Italian ryegrass cultivars showed parasitism of between 10–65%. However, the level of attack by Chasmodon apterus Nees, a ground-dwelling braconid which dominated the parasitoid complex, did appear to be affected by the plant cultivar, independently of the level of stem-borer infestation.Italian ryegrass cultivars, newly-sown on land previously sown to barley and which had received conventional seed-bed cultivations showed low levels of attack by C. apterus, but increased levels of attack by Halticoptera circulus Walker. The use of the pesticide phorate adversely affected parasitism by c. apterus.
Résumé L'étude porte sur les facteurs influençant le parasitisme par des hyménoptères des larves mineuses des tiges du ray-gras Italien. Le niveau du parasitisme dans les larves extraites des talles de 13 cultivars différents du ray-gras Italien est identique. Toutefois, le niveau d'attaque par Chasmodon apterus, majoritaire dans le complexe des parasites, semble être affecté par le cultivar, quel que soit le niveau d'infestation par les mineuses des tiges. Les effectifs des larves de mineuses des tiges et de C. apterus semblent augmenter parallèlement, le maximum étant atteint avec le cultivar Tiara. Bien que la densité des mineuses soit plus importante pour d'autres cultivars, le niveau de parasitisme y est moindre. Les cultivars de ray-gras Italiens semées après une culture d'orge, et recevant une fertilisation conventionnelle au semis, sont peu attaqués par C. apterus, probablement parce que ce parasite colonise les champs lentement; par contre le niveau d'attaque dû à Halticoptera circulus est accru. Les traitements pesticides à base de phorate affectent négativement le parasitisme par C. apterus.
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6.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
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7.
In field experiments, larvae of codling moth Cydia pomonella (L.) rarely acquired granulosis virus on hatching from the egg, but picked up most later, on the tree surface. Deposits of virus sprayed in 1.0% w/v skimmed milk did not affect neonate larval behaviour. Larvae died, usually in the first instar, after entering treated fruit, but they frequently entered via the calyx or near the base of the stalk or through cracks in the skin, where little feeding damage by first-and sometimes second-instar larvae was seen.
Résumé En verger, la pulvérisation d'oeufs de carpocapse avec du virus de la granulose en suspension dans l'eau (additionnée de lait écrémé dilué à 1%) n'a pas modifié la survie des chenilles avant pénétration dans le fruit; par contre la pulvérisation des arbres a provoqué une forte mortalité. Bien que des chenilles consommant des poils et la surface des feuilles aient été observées avant leur pénétration dans le fruit, ce qui aurait pu provoquer leur contamination par le virus, il semble que la contamination létale provienne des fruits seuls.La présence de produit n'a modifié ni le comportement larvaire, ni le taux de pénétration dans les fruits; la mortalité y a lieu ensuite, généralement au premier stade. Dans 74 à 78% des cas, les chenilles ont pénétré dans le fruit par le calice ou près de la base du pédoncule — aucun dégât provenant de larves du premier stade n'y était visible, de même que dans le calice pour les larves du deuxième stade. Par contre, toute pénétration par la surface du fruit était repérable dès le premier stade. Il est possible que la répartition des lieux de pénétration dans le fruit influe sur la létalité due au virus et explique les variations d'efficacité observées en verger. Un système de classification des dégâts, provoqués lors de la pénétration dans le fruit, de chenilles du premier au troisième stade est proposé pour évaluer l'efficacité des essais en verger.
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8.
Casual observations suggested that female Mediterranean fruit flies (Ceratitis capitata Wiedemann) exploit fruit wounds (including pre-existing oviposition punctures) as oviposition sites. This behaviour was quantified under field conditions in a citrus grove on the Greek island of Chios. Fruit wounds influenced oviposition behaviour in three ways. First, females were more likely to land on oranges (Citrus sinensis) that were artificially wounded than into unwounded control oranges. Second, having landed, females were more likely to attempt oviposition into a wounded orange than into control oranges. Third, females that attempted oviposition into wounded oranges usually did so directly into or very near the wound. The diameter and depth of the wound significantly influenced the tendency for female flies to land on a fruit but not their propensity, having landed, to attempt oviposition in or near the wound. The significance of this behavior in nature and implications for management of the Mediterranean fruit fly are discussed.
Résumé Des observations fortuites nous ont suggéré que C. capitata Weidemann utilise les blessures des fruits, y compris d'anciennes piqûres de ponte, pour déposer ses oeufs. Ce comportement a été quantifié dans une orangeraie de l'île grecque de Chios. Les blessures des fruits influent sur la ponte de 3 façons. D'abord, les femelles atterissent plus fréquemment sur les oranges, Citrus sinensis, artificiellement blessées que sur les fruits intacts. Ensuite, après atterrissage, les femelles tentent plus souvent de pondre sur une orange blessée que sur des oranges intactes. Enfin, les femelles pondent directement dans la blessure ou à proximité. Le diamètre et la profondeur de la blessure influent sur la tendance à l'atterrissage, mais non sur les tentatives de ponte dans la blessure ou près d'elle. La signification de ce comportement dans la nature et ses conséquences sur la lutte contre C. capitata sont discutées.
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9.
When mature larvae of the Mediterranean fruit fly, Ceratitis capitata (Wiedemann) pupated in bran rather than naked there was an increase in adult eclosion, but no difference in 9 day pupal weight, 9 day lipid content, or flight ability. There was no difference when pupation occurred at 20 or 25°C. Pupation in sand at 20°C caused severe mortality, while pupation in sand at 25°C did not. Data are presented which favour naked pupation over pupation in any medium, and evidence is presented which indicates that collection of mature larvae in a rotary tumbler rather than by the conventional popping method is economically preferable and is without significant biologically adverse effects.
Résumé Si des larves mûres de Ceratitis capitata se nymphosent dans du son ou à l'air libre, dans le premier cas le taux d'éclosions est plus élevé, mais le poids et la teneur en lipides au neuvième jour de nymphose ainsi que l'aptitude au vol sont identiques dans les deux. Il n'y a pas de différences pour les pupaisons à 20°C et 25°C, mais la pupaison dans le sable à 20°C provoque une forte mortalité, tandis qu'à 25°C le sable n'a aucun effet. Les résultats obtenus sont favorable à une pupaison à nu plutôt que dans un substrat, et des arguments sont apportés montrant que la collecte des larves mûres dans un culbuteur rotatif ne provoque significativement pas plus d'effets nocifs que la méthode classique du saut.
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10.
Des tanins condensés sont extraits et isolés à partir du tégument de Vicia faba var. Géante Portugaise. Quatre polymères sont quantifiés et identifiés à quatre fractions: A, B, C et D. Ces fractions sont incorporées, en mélange ou séparées à différentes concentrations, dans un milieu nutritif favorable au développement de Callosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae).Les composés phénoliques provoquent la mortalité d'une partie de la population et retardent le développement des survivants. La mortalité observée varie suivant les fractions, leurs doses et le stade de développement de la bruche.La barrière constituée par le tégument des fèves est bien de nature chimique et concerne les tanins condensés.Dans un système de production agricole, l'utilisation des cultivars de fèves riches en tanins faiblement condensés pourrait permettre de réduire les taux d'infestation des graines de V. faba par C. maculatus.  相似文献   

11.
Gramine (N,N-Dimethyl-3-aminomethylindole) content in various barley cultivars varied from 0 to 2.6 mmoles/kg fresh weight. Those cultivars which were lacking gramine were the most susceptible to the aphid Rhopalosiphum padi (L.). The population growth rate of R. padi negatively correlated with gramine content in leaves of barley seedlings. In addition, gramine incorporated in artificial diets decreased survival, amount of diet ingested and reproduction of aphids at concentrations similar to those found in plant leaves. Thus, it is suggested that gramine may be one of the factors responsible for the resistance of barley seedlings to R. padi.
Résumé La teneur de gramine (N,N-dimethyl-3-aminomethyl-indole) dans différentes cultures de seigle présente des variations comprises entre 0 et 2,8 mmoles/Kg (poids frois). Les varietés dépourvues de gramine sont plus sensibles à l'attaque des pucerons. Le taux de croissance de la population des Rhopalosiphum padi a une correlation négative avec la teneur en gramine des feuilles de plantules de seigle. D'ailleurs, la gramine diminue les taux de nourrissement, de survie et de réproduction des pucerons alimentés avec des diètes artificielles contenant des concentrations du produit testé, similaire à celles trouvées pour les feuilles des plantes. Donc, on suggèrent que la gramine peut être un des facteurs responsables de la résistance des plantules de seigle contre l'attaque de Rhopalosiphum padi.
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12.
Rates of ovarian development in L. cuprina are determined by ambient temperatures and females require a minimum of 57 day degrees above 8°C to mature their first complement of eggs. The number of oocytes that a female can mature depends on her size and the amount of protein-rich material ingested. Under field conditions, females usually obtain sufficient protein to reach maturity but rarely mature their full egg complements (Vogt et al., 1985), i.e., most females resorb some of their oocytes. Oocyte resorption prolongs the maturation period by approximately 0.3 day degrees/oocyte resorbed.A model of ovarian development rates is presented which incorporates resorption delays and uses ambient temperature regimes to estimate the physiological ages and maturation rates of field females.
Résumé Les taux de développement ovarien de L. cuprina sont déterminés par la température ambiante, et la femelle exige un minimum de 57 degrés-jours audessus de 8°C pour développer son premier lot d'oeufs. Le nombre d'ovocytes qu'une femelle peut former dépend de sa taille et de la quantité d'aliments riches en protéines absorbées. Dans les conditions de la nature, les femelles obtiennent normalement suffisamment de protéines pour atteindre la maturité mais rarement l'ensemble de leur contingent d'oeufs se développe totalement, c'est à dire que la majorité des femelles résorbé une partie de ses ovocytes. La résorption des ovocytes prolonge la période de maturation d'environ 0,3 dégre-jour par ovocyte résorbé. Un modèle de taux de développement ovarien est proposé qui incorpore les retards dus à la résorption et utilise les régimes de température ambiante pour évaluer les âges physiologiques et les taux de maturation des femelles dans la nature.
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13.
Quality control charts were employed to monitor the quality of several parameters during mass rearing of the T : Y(wp +)30C strain of Ceratitis capitata (Wiedemann), in which male and female flies emerge from brown and white puparia, respectively. Egg hatch and pupal recovery in this genetic sexing strain were below that reported for a wild-type Sohag strain, whereas pupal size, adult emergence and flight ability were higher. The overall recovery from eggs to adult flies capable of flight was similar in the two strains but egg production in T:Y(wp +)30C was reduced to about 56% of that of Sohag. The quality control charts showed an acceptable level of variation within sets of data but the level between data sets was occasionally out of control. This indicated the presence of uncontrolled conditions during the rearing process, possibly arising from variations in the quality of the larval diet. It is concluded that the quality of T : Y(wp +)30C renders this strain suitable for mass rearing in sterile insect technique (SIT) programmes requiring the elimination of the female flies prior to the release of sterilized males. The next step should involve further quality assessments both under field cage and under field release conditions. The importance of optimal and standardized dietary conditions is stressed in relation to the quality of mass reared medflies.
Résumé Des normes de qualité ont été utilisées pour relever la valuer de plusieurs paramètres lors de l'élevage industriel de la souche T : Y(wp +)30C de C. capitata Wied. dont les mâles et les femelles émergent respectivement de pupes brunes et blanches. Les taux d'éclosion et d'obtention de pupes sont plus faibles avec cette souche qu'avec la souche souvage Sohag; par contre, la taille des pupes, le taux d'émergence des adultes et l'aptitude au vol étaient plus élevés. La fréquence totale des adultes capables de voler par rapport au nombre initial d'ufs a été de 0,297 contre environ 0,311 pour Sohag. Cependant, la production d'ufs a été réduite à environ 56% de celle de Sohag. Les tableaux de contrôle de la qualité ont révélé un niveau de variation acceptable à l'interieur rieur des lots de données, mais la variabilité entre les lots excédait les normes admissibles. Ceci implique des paramètres incontrôlés pendant l'élevage de masse, probablement liés à des variations de la qualité de l'aliment. On peut en conclure que la qualité de la souche T : Y(wp +)30C la rend utilisable pour un élevage de masse dans des programmes d'utilisation d'insectes stériles (SIT) exigeant l'élimination des femelles avant le lâcher de mâles stériles. La prochaine étape impliquera de nouvelles épreuves de qualité dans des cages en champ et dans les conditions de libération dans la nature. L'importance des conditions optimales d'une alimentation standardisée est soulignée par la qualité des mouches obtenues en élevage de masse.
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14.
Fluorescent orange sticky traps (15×20 cm) reflecting maximally at 590 nm captured significantly more Caribbean fruit flies than nonfluorescent orange traps. Fluorescent traps with reflectance peaks at 510 and 610 nm also tended to capture more flies than the plain orange traps. Fly capture rates were directly related to the proportion of total light reflected in the 580–590 nm region and to the intensity of light of this hue. The fluorescent orange paint combined these features (optimal hue and high-intensity emission). A disproportionate number of the captured flies were females (70%), as only ca. 50% of the adults reared from field-infested fruit were females. Most (80%) of the captured females were reproductively mature. These data support previous indications that responses to orange panels represent fruit-seeking rather than foliage-seeking behavior. The relevance of these findings is discussed in relation to fruit fly detection programs.
Résumé Des pièges adhésifs (15×20 cm) fluorescents de coloration orange, dont la réflexion maximale se situe à 590 nm, capturent significativement plus de cette mouche des fruits (Anastrepha suspensa) que des pièges oranges non fluorescents. Des pièges fluorescents avec maxima de lumière réfléchie à 510 et 610 nm tendent aussi à capturer plus de mouches que des pièges oranges simples. Les taux de capture de mouches sont en relation directe avec la proportion de lumière totale réfléchie dans la région spectrale 580–590 nm et avec l'intensité lumineuse dans cette longueur d'onde. La peinture fluorescente orange combine ces deux avantages (couleur optimale et émission de forte intensité). Un nombre disproportionné des mouches capturées sont des femelles (70%) alors que seulement 50% environ des mouches issues de fruits naturellement infestés sont des femelles. La majorité (80%) des femelles capturées étaient génitalement mûres. Ces divers faits sont en accord avec les données antérieures établissant que les réponses aux panneaux oranges correspondent à un comportement de recherche de fruits plutôt que de recherche de feuillage. La valeur de ces observations est discutée en relation avec les programmes d'avertissements relatifs à la mouche des fruits.
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15.
A population of Blattella germanica L. (Dictyoptera) cockroaches was studied in a swimming-bath. Trapped adults were marked and released in their capture area.The overall recapture rate was 15%, but it varied according to the capture area. This rate was higher in the toilets than around the pool borders. Distances between capture and recapture points also varied. Recaptures were more frequent in the capture area than in other areas; only 15% of the animals left their initial area. Movements occurred mainly between neighbouring areas. Recaptures in the capture area were lower around the large pool than around the shallow pool and in the toilets.In conclusion, there were three types of areas which were differently occupied. This could be explained by variations of resources like shelter and food. The complexity of the environmental structure favoured development of cockroach populations although they were able to modify their behavior in relation to the environmental features.
Résumé Une population de Blattes (Blattella germanica) a été étudiée dans l'enceinte d'une piscine par des piégeages hebdomadaires. Les animaux adultes sont marqués et relachés dans leur zone de capture initiale.Le taux de recapture total est de 15%; mais on observe des differences en fonction de la zone de capture. Le taux de recapture est plus élevé dans les toilettes qu'en bordure des bassins. Par contre les distances entre capture et recapture y sont plus faibles.D'autre part, le taux de recapture est plus élevé dans la zone de capture initiale: seulement 15% des animaux changent de zone. Les déplacements ont lieu principalement entre deux zones voisines. Les recaptures dans la zone d'origine sont meilleures autour du petit bassin et dans les toilettes qu'autour du grand bassin.D'après ces résultats, il est possible de distinguer trois types de zone qui présentent un taux d'occupation plus ou moins élevé. Le taux d'occupation dans ces trois zones pourrait être lié à l'abondance des ressources telles que la nourriture et les abris. L'augmentation de la complexité de la structure du milieu qui augmente le nombre d'abris potentiels semble favoriser le développement des populations de Blattes. Celles-ci sont cependant capables d'adapter leur comportement avec les caractéristiques du milieu et de l'exploiter au mieux.
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16.
A stem-boring moth, Coleophora parthenica was introduced into California from Pakistan, in 1973, in a biological control attempt against the weed, Russian thistle (Salsola australis). A population of Russian thistle plants growing near Coalinga, California, which were infested and damaged by varying numbers of C. parthenica larvae, was studied to better understand the moth's impact.The xylem sap pressures were measured during the period of seed set. No significant correlations were obtained between the measured levels of water stress and the amounts of C. parthenica infestations and damage in these plants, except late in the season, but these are not considered to be important. Translocation of carbon-14 was studied during seed set. The levels of translocation and C. parthenica infestations and damage in the plants were not correlated. Measured levels of various reproductive indices did not correlate significantly with the levels of larval infestation and damage. Histological and x-ray examinations of the damaged stems showed that once C. parthenica larvae enter the stems of Russian thistle they feed only in the pith and do not damage the critical xylem and phloem. This explains why the plant's translocation, water balance, and reproduction were unaffected by C. parthenica. Coleophora parthenica appears to have very limited value as a biological control agent of Russian thistle, except perhaps as part of a complex of natural enemies attacking the plant.
Résumé Coleophera parthenica Meyrick (Lep., Coleophoridae), mineuse de tiges, a été introduite en 1973 du Pakistan en Californie, pour lutter contre Salsola australis. Pour mieux appréhender l'effet de C. parthenica, une population de S. australis attaquée par la mineuse a été suivie près de Coalinga (Californie).La pression de sève du xylème a été mesurée pendant la période de production des graines. Aucune corrélation n'est apparue entre les niveaux de stress hydrique et les taux d'infestation et les dégâts de C. parthenica, sauf en fin de saison; mais ils n'ont pas été alors estimés importants.Le transfert de C14 a été étudié pendant la période de production de graines; aucune corrélation n'est apparue avec les infestations et les dégâts de C. parthenica. Les différents indices de la reproduction n'étaient pas significativement liés aux niveaux d'infestation et de dégâts larvaires.Les examens histologiques et par rayons X des tiges attaquées ont montré qu'après la pénétration des chenilles de C. parthenica dans les tiges de S. australis, celles-ci ne s'alimentent que dans la moelle sans atteindre gravement le xylème et le phloème.Ceci explique pourquoi, les transferts dans la plante, la circulation de l'eau et la reproduction, ne sont pas modifiés par C. parthenica; cet insecte semble n'offrir que très peu d'intérêt pour la lutte biologique contre S. australis, sauf peut-être comme élément du complexe des ennemis naturels de cette plante.
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17.
A model is presented that describes the reemergence of parent spruce bark beetles, Ips typographus, based on breeding density and temperature conditions. Laboratory data obtained at one constant temperature provide the distribution of reemergence time and different combinations of threshold temperatures and degreedays (°D) at mean reemergence. Of these combinations, 167.71 °D above 7.5 °C gave the best correspondence between model prediction and field data obtained from densely infested standing trees. The model was in good agreement with the reemergence pattern found for two groups of infested logs under different temperature conditions when adjusted for the lower breeding density. The applicability of the model in the study of bark beetle reproductive biology and in forest management is discussed. The method used to construct the model should be useful in developing other models for poikilothermic processes.
Résumé Ce modèle décrit la réémergence d'adultes d'I. typographus L. (Coleoptera, Scolytidae) en fonction de la densité et de la température.Les résultats obtenus en laboratoire à des températures constantes fournissent la distribution des réémergences et pour les dates de réémergence moyenne les différentes combinaisons de température de seuil et de degré de jour (°D). De toutes ces combinaisons, 167.71 °D au-dessus de 7,5 °C fournit la meilleure concordance entre les prévisions du modèle et les observations dans la nature à partir d'arbres fortement attaqués.Le modèle a montré un bon accord avec la réémergence observée dans deux groupes de branches attaquées dans différentes conditions de la température quand il a été ajusté aux faibles densités d'élevage.La discussion examine les possibilités d'application du modèle à l'étude de la biologie de la reproduction d'I. typographus et à l'aménagement forestier.La méthode utilisée pour construire le modèle pourrait être employée pour en développer d'autres chez des poikilothermes.
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18.
Sexual morph production in Hyperomyzus lactucae (L.) is under photoperiodic control. In southern England oviparae are not produced in night lengths of less than 10 h 40 min at 15 ° C but males are produced in all night lengths between 8 and 14 h with a peak between 10 and 12 h. Old clones produce sexual morphs after fewer generations and via a limited sequence of morphs compared to young clones, but the restraining mechanism in young clones is very variable in the extent of its operation.
Résumé La production des sexués chez Hyperomyzus lactucae est sous un déterminisme photopériodique, mais les mécanismes qui provoquent la production des ovipares et des mâles sont indépendants et contrôlés par des stimulus photopériodiques différents. La durée de la scotophase pour la production des ovipares est déterminante et d'environ 10 h 40 pour les clones étudiés. Il n'y a pas de production d'ovipares à 15° C en scotophase plus courte. Par contre, des mâles sont produits à toutes les scotophases étudiées entre 8 et 14 h, atteignant un pic entre 10 h 20 et 12 h, mais avec diminution de leur apparition encore plus nette quand les nuits se prolongent.La diversité des conditions tendant à produire des sexués chez les jeunes clones fait contraste avec le nombre limité de possibilités chez les clones plus âgés et prouve qu'un mécanisme réduit dans certains cas la sensibilité à la scotophase tôt dans l'année. Mais, même dans un seul clone, la variation causée par un tel mécanisme est considérable.Il semble que la longueur de la scotophase critique chez cet insecte suffise seule à empêcher la production de sexués au printemps dans le sud de l'Angleterre. Ceci peut donc expliquer les variations du mécanisme restrictif qui, vraisemblablement, ne doit pas être important pour la survie des clones de cette région.
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19.
Learning to find fruit in Ceratitis capitata flies   总被引:1,自引:0,他引:1  
Wild Mediterranean fruit fly females, Ceratitis capitata (Wiedemann), from an essentially monophagous population on the island of Hawaii were exposed to natural mock orange (Murraya paniculata) or sweet orange (Citrus sinensis) host fruit hung from branches of potted trees for 3-day periods in field enclosures. Subsequently, when flies were released individually onto potted trees harboring one or the other (or a mixture) of these fruit types, a higher proportion visited the type of fruit with which they were familiar (and visitors found familiar fruit faster) compared with the fruit type with which they were unfamiliar. Moreover, fruit-finding flies of this monophagous population attempted oviposition exclusively in the familiar fruit type, and thus appeared to be just as capable of learning to accept fruit for oviposition as wild flies from a previously-tested polyphagous population on the island of Maui. Additional tests were conducted in which flies were exposed to natural or colored-wax-covered mock oranges or sweet oranges and tested for response to colored-wax-covered natural or artificial fruit. Results suggested that fruit size was the principal character learned and used in finding mock orange or sweet orange fruit, while fruit color and odor appeared to be of little or no importance in this regard.
Résumé Des femelles sauvages d'une population essentiellement monophage de C. capitata Wiedemann, provenant de l'île de Hawaï, ont été mises en présence pendant des périodes de 3 jours dans des enceintes dans la nature à des fruits de Murraya paniculata et de Citrus sinensis suspendus à des branches d'arbres empotés. Quand les mouches ont été libérées individuellement sur les arbres empotés portant l'un ou l'autre de ces fruits (ou leur mélange), une plus forte proportion a visité le fruit avec lequel elles étaient familiarisées (et l'ont trouvé plus vite) que le fruit avec lequel elles ne n'étaient pas. De plus, les femelles découvrant des fruits de cette population monophage ne tentèrent de pondre que dans le type de fruit avec lequel elle étaient familiarisées. Elles se montrèrent aussi capables que les mouches d'une population polyphage de l'île de Maui d'apprendre à accepter de nouveaux fruits pour pondre. Des expériences complémentaires ont été réalisées dans lesquelles les mouches étaient mises en présence de fruits de M. paniculata ou de C. sinensis naturels ou couverts de cire colorée ou encore de fruits artificiels. Les résultats suggèrent que la taille du fruit est le principal critère d'apprentissage utilisé pour trouver M. paniculata ou C. sinensis, la couleur et l'odeur du fruit étant apparus comme de moindre importance ou sans effet.
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20.
Control of sex ratio by female spider mites   总被引:1,自引:0,他引:1  
Control of sex ratio in the progenies of mated female spider mites was investigated in two laboratory experiments. In Experiment I, a single strain of Tetranychus urticae Koch was reared in four different environments. In Experiment II, 4 different geographic strains of T. urticae were reared in a single environment.Results indicated that spider mite females were able to control the sex ratio of their progeny at two levels: an initial control of mean population ratio according to ovipositional environment. In addition, a secondary control resulted in an approximately uniform daily ratio. Although each parental female produced a varying number of eggs from day to day, a more or less constant fraction of those eggs were fertilized every day. It is concluded that both of these characteristics are probably important to the colonizing ability of the species.
Résumé L'étude de la régulation du sexe de la descendance de femelles inséminées d'acariens est basée sur deux expériences de laboratoire. Dans l'expérience I, une lignée de Tetranychus urticae a été élevée dans deux conditions différentes de qualité des feuilles pendant le développement des parents, d'une part, pendant leur ponte et le développement de la descendance d'autre part. Dans l'expérience II, quatre souches géographiques différentes de T. urticae ont été élevées dans les mêmes conditions.Il est apparu nettement que les femelles dans des conditions différentes ont donné des descendances avec des taux sexuels variant dans certaines limites. Ces différences étaient statistiquement significatives dans les duex lots de données expérimentales. Les taux sexuels des populations d'acariens variaient aussi avec les conditions écologiques. Dans les bonnes conditions, la proportion de femelles dans la descendance était la plus élevée. Les taux sexuels des populations variaient aussi entre les quatre souches géographiques.Les analyses ont aussi révélé que les femelles d'acariens sont capables de contrôler le taux sexuel à deux niveaux: une régulation initiale du taux de la population en fonction des conditions écologiques ou de la lignée géographique et un contrôle secondaire qui s'est traduit par un taux quotidien approximativement uniforme.En utilisant un argument mathématique simple incorporant la fécondité caractéristique des acariens, nous avons conclu que ces deux caractéristiques de la rulation sont probablement d'une importance capitale pour le pouvoir colonisateur de cette espèce.
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