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1.
In a series of laboratory and climate chamber tests we compared the growth and behaviour of Aphis craccivora on one susceptible (ICV-1) and two aphid-resistant (ICV-11 and ICV-12) cowpea lines. The aphids' growth rates were much lower on the resistant cowpea lines than on the susceptible one, indicating strong antibiosis. In addition, the aphids invariably settled in higher numbers on the susceptible line than on either of the resistant. Compared to ICV-1, damaged leaves of the resistant line ICV-12 were settled upon to a higher degree than undamaged leaves, and leaf discs from the same line were even less resistant.On resistant lines individual aphids waited a significantly longer time before making their first test probe. Total probing time as well as the time preceding a decision to stay or leave was also longer.These results are discussed in relation to the possible mechanisms involved, and we also consider the effects of previous leaf feeding on the expression of resistance in the field.
Résumé Au cours d'expériences au laboratoire et en chambres climatisées nous avons comparé la croissance et le comportement de A. craccivora sur une lignée sensible (ICV-1) et deux lignées résistantes (ICV-11 et ICV-12) de V. unguiculata. Les vitesses de croissance des pucerons ont été beaucoup plus lentes sur les lignées résistantes que sur la lignée sensible, ce qui révèle une forte antibiose. De plus, les pucerons atterrissent invariablement en plus grand nombre sur la variété sensible. Par comparaison avec ICV-1, les atterrissages sur lignée résistante ICV-12 étaient plus nombreux sur les feuilles endommagées que sur les feuilles intactes; les disques de feuilles de cette même lignée étaient encore moins résistants.Les pucerons ont séjourné individuellement un temps plus long sur les lignées résistantes avant de faire leur premier sondage. Le temps consacré aux sondages ainsi que le temps précédant de choix entre départ ou maintien sur la feuille étaient plus longs avec les lignées résistantes.Ces résultats ont été discutés en fonction des mécanismes impliqués. Nous avons aussi examiné les effets de la consommation antérieure sur les manifestations de la résistance dans la nature.
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2.
The size of cottonwood (Populus deltoides L. Bartr.) leaf discs used in insect feeding preference trials with the chrysomelid beetle, Plagiodera versicoloraLaich., was shown to affect behavior, and the outcome of the feeding trial. It is suggested that disc size has an effect because it alters the ratio of chemical signals from the cut leaf edge to those of the intact leaf center. The implications of this finding to the design of bioassays; to previously noted differences in feeding behavior for insects on discs versus leaves; and to the study of feeding preference and induction of plant defense are discussed.
Résumé Plagiodera versicolora Laich (Coléo., Chrysomelidae) a préféré significativement consommer les grandes rondelles (diamètre 17 mm) de Populus deltoides préalablement exposées à l'ozone ambiant, aux témoins exposés à de l'air filtré sur charbon de bois. Cependant, quand le diamètre a été réduit à 10 mm, les insectes n'ont plus préféré les feuilles soumises à l'ozone. Les préférences alimentaires de cet insecte consommant le centre des feuilles ont probablement changé parceque les signaux chimiques de la coupure ont surpassé ou masqué ceux des petits disques. Ainsi, le rapport périmètre sur surface du disque est un critère important de la procédure expérimentale. L'influence de la taille du disque dépend vraisemblablement du fait que l'insecte consomme le centre ou la pourtour de la feuille, de la taille de l'insecte et du type d'expérience. Nous en avons déduit que l'effet de la taille du disque est fréquent particulièrement chez les insectes consommant le centre des feuilles.Les modificatons du choix des insectes lorsque les plantes avaient été présentées sous forme de rondelles au lieu de feuilles ou plantes entières, peuvent être expliqués aussi par le changement des signaux provoqué par le découpage des rondelles, plutôt que par l'induction de modifications chimiques dues à la cueillette, comme cela a été précédemment indiqué par différents auteurs. Par ailleurs, dans les conditions naturelles, des changements dans les signaux chimiques des feuilles dus à une consommation antérieure par des insectes, peuvent être aussi importants dans le comportement alimentaire des insectes que n'importe quel changement chimique induit dans les feuilles par les dégâts.
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3.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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4.
Studies on the mating and ovipositional responses ofDiopsis macrophthalma Dalman (=D. thoracica Westw.) were carried out under field and screenhouse conditions. Chemoreceptors on the tarsi of the first pair of legs and on the ovipositor have a decisive role in the final selection of a site for oviposition. Generally, there was one egg per rice tiller and also one or two eggs per plant, the egg being laid on either the abaxial or adaxial leaf-blade surfaces or on the leaf sheaths. On the leaf blades, eggs were laid on or near the midribs and, as the plants got older, were either laid on the lower leaf blades or on the sheaths. Preferences for oviposition was observed among six rice cultivars, and rice was preferred for oviposition in comparison with sorghum. The possibility of utilising some of these results in a pest management programme is discussed.
Accouplement et comportement de ponte sur riz deDiopsis macrophthalma (Diopsidae)
Résumé L'accouplement et le comportement de ponte deDiopsis macrophthalma Dalman ont été étudiés dans le champ et sous abri. Les récepteurs chimiques de la tarière et des tarses des pattes antérieures jouent un rôle décisif dans la sélection définitive du lieu de ponte. Il y avait généralement un oeuf par drageon, et ainsi 1 ou 2 oeufs par plant de riz. Les oeufs étaient pondus soit sur les limbes des feuilles les plus éloignées ou les plus proches de l'axe, soit sur les gaines des feuilles; sur les limbes des feuilles, les oeufs étaient pondus sur (ou près) de la nervure médiane, et, quand la plante vieillissait, les oeufs étaient pondus soit sur les feuilles les plus basses, soit sur les gaines. Le choix entre 6 cultivars de riz a été examiné et en présence de sorgho la ponte a lieu de préférence sur riz. La possibilité d'utiliser certains de ces résultats pour l'organisation de la protection a été examinée.
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5.
Host discrimination was investigated in two related species of ichneumonid wasps: Diadegma eucerophaga Horst. and D. fenestralis (Holmgr.) attacking a common host, the diamond-back moth Plutella xylostella (L.). In the laboratory, I studied: (1) the relative amounts of time spent between patches containing unparasitized or parasitized hosts, (2) the results of parasitoid encounters with parasitized and unparasitized hosts, (3) dissections to reveal whether or not the wasps preferred to oviposit in unparasitized hosts. D. eucerophaga showed discrimination by (1) avoiding patches containing parasitized hosts and by (2) preference to oviposit in unparasitized larvae. No discrimination was detected for D. fenestralis at any of the three levels.In the field, a population consisting primarity of D. eucerophaga was presented to plants containin either unparasitized or previously-parasitized larvae. Although superparasitism occurred, the wasps preferred to oviposit in the unparasitized larvae.
Résumé La sélection a été examinée sur P. xylostella attaqué par deux espèces voisines Diadegma eucerophaga et D. fenestralis. La sélection a été examinée examinée à 3 niveaux au laboratoire: (1) par la comparaison des temps passés sur feuilles portant des chenilles parasitées ou non; (2) par l'analyse des résultats des rencontres avec chenilles parasitées ou non; (3) par des dissections pour examiner dans quel type la ponte a lieu de préférence. Les résultats prouvent une sélection chez D. eucerophaga qui évite les feuilles portant des chenilles parasitées, et pond de préférence dans les chenilles non parasitées. Les chenilles parasitées sont autant attaquées que les saines (insertion de la tarière), ce qui suggère peut-être un signal interne et l'aptitude à ne pas pondre après sa détection. Aucune preuve de sélection à ces trois niveaux n'a pu être apportée pour D. fenestralis. Une explication est suggérée.La sélection par une population naturelle de D. eucerophaga a aussi été étudiée dans la nature en lui présentant des chenilles parasitées ou non. Bien qu'il y ait eu un superparasitisme, les ichneumonides ont préféré pondre dans les chenilles non parasitées.
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6.
Fall armyworm larvae, Spodoptera frugiperda (J. G. Smith), were exposed to leaf disks treated with the feeding deterrent aristolochic acid under two types of regimes: In group 1, untreated leaf tissue was replenished as soon as it was consumed; in group 2, the control tissue was not replenished. A strong feeding deterrence was evident during the early stages of the assay in both groups, but eventually declined in group 2. When the experiment was continued through a second 24 h period, the control tissue was not replenished for either group. During this second trial, group 2 larvae, which had previously fed on treated tissue, fed more rapidly on treated tissue than did group 1 larvae. Moreover, group 2 larvae fed more readily and extensively on treated tissue than they had in the first trial.The time for the onset of behavioral desensitization was determined by subtracting the median onset of feeding on untreated tissue from the median interval between when a larva finished all of the control tissue and when it started feeding on treated tissue under no-choice conditions. Once larvae began to feed on treated tissue, their rate of consumption was equal to that of larvae feeding on control tissue.A general model for determining the onset and degree of desensitization was developed. The implications of these results for future experiments aimed at determining the underlying physiological mechanisms and the use of antifeedants in plant protection are discussed.
Résumé L'avenir des phagodissuadants en protection des cultures dépend, en particulier, de l'aptitude des insectes à devenir insensibles à ces substances. Les phagodissuadants sont classés en relatifs ou absolus, suivant que les insectes consomment les tissus traités ou se laissent mourir de faim. Cette propriété dépend beaucoup de la structure chimique, mais les paramètres biologiques n'ont pas été étudiés à fond.Des expériences ont donc été entreprises pour apprécier les effets combinés de jeûne et d'autres facteurs physiologiques dans l'apparition et l'évolution de la désensibilisation chez une espèce polyphage: Spodoptera frugiperda (Lep. Noctuidae). Des expériences préliminaires ont montré qu'un alcaloïde, l'acide aristolochique, est un puissant phagodissuadant pour S. frugiperda. Les chenilles, réparties en deux groupes expérimentaux, ont toutes été isolées et ont reçu chacune deux feuilles de Phaseolus lunatus: une témoin et une traitée avec 1000 ppm. Dans le groupe 1), les feuilles étaient remplacées dès consommation; dans le groupe 2), elles ne l'étaient pas.Un puissant effet dissuadant a été observé tout au long de l'expérience pour le groupe 1); dans le groupe 2), les chenilles ont finalement consommé les feuilles traitées. L'apparition de la désensibilisation était liée au jeûne. Quelques individus ont commencé à s'alimenter sur la rondelle traitée 3,5 heures aprés avoir totalement consommé la rondelle témoin; le temps médian du début de cette consommation a été de 5,7 h. Une fois la répulsion surmontée, les chenilles ont consommé le feuillage traité de la même façon que le feuillage témoin.Les expériences ont été recommencées avec les mêmes insectes, mais sans que les feuilles témoins aient alors été remplacées dans aucun des 2 groupes. Dans cette seconde expérience, les chenilles, qui avaient précédemment consommé des feuilles traitées, sont à nouveau dissuadées lors de choix binaires; cependant elles ont mangé plus rapidement les feuilles traitées, que ne l'ont fait les chenilles qui avaient disposé d'une source inépuisable de feuilles témoins. Elles se sont alimentées aussi plus facilement et plus généralement au cours de cette seconde expérience qu'au cours de la première. Quoi qu'il en soit, les deux groupes ont présenté finalement une désensibilisation.Un modèle mathématique général est proposé pour évaluer l'apparition et l'évolution de la désensibilisation. Les possibilités d'utilisation des phagodissuadants dans la protection des cultures sont discutées à la lumière de ces résultats.
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7.
The length of the time young gypsy moth, Lymantria dispar L. (Lepidoptera: Lymantriidae), larvae remain in litter after failing from trees would help in understanding the impact of predation by ants, as ants appear to be important predators of gypsy moths only in litter. To obtain information on caterpillar litter residence times, visual activity of larvae was investigated in the laboratory by presenting them with vertical dark silhouettes of various widths in a 1 m wide cylindrical arena. Their limit of angular resolution was about 1°. This value helped to determine distances to trees caterpillars could be expected to orient toward from randomly-located points in a forest. These data were used with results on litter crawling speed of instars 1, 2, and 3 in a simulation model that generated litter residence times averaging serveral hours. By combining results with a previously-developed model of ant predation in forest litter, it was estimated that about half of unfed first instars falling into the litter would survive, whereas only about 10% of 2nd and 3rd instars would. The implications these results have for control of the gypsy moth are discussed.
Résumé La prédation par les fourmis du genre Formica spp. a une influence importante sur les premiers stades de L. dispar (Lepido., Lymantriidae) en Amérique du Nord. La durée du temps passé dans la litière par les jeunes chenilles après être tombées des arbres doit permettre de comprendre l'impact de la prédation par les fourmis. Pour connaître le temps de séjour des chenilles dans la litière, l'acuité visuelle des chenilles a été examinée au laboratoire en leur présentant des silhouettes noires verticales de différentes largeurs dans une arène circulaire de 1 m de diamètre. La limite de leur angle de résolution était d'environ 1°. Cette valeur a été utilisée pour déterminer les distances (jusqu'à 5 m) quelles que soient les orientations dans la forêt, d'arbres supposés susceptibles d'orienter les chenilles. Les arbres aux silhouettes acceptables étaient distribués uniformément entre 1 et 5 m.Les vitesses de déplacement dans la litière des stades 1, 2, et 3 ont été mesurées par observation directe dans la forêt (elles variaient de 0.9 à 1,54 cm/min). La distance des arbres et la vitesse de déplacement on servi à construire un modèle de simulation qui a donné un temps moyen de séjour de plusieurs heures. En combinant ces résultats avec un modèle précédemment publié de la prédation par les fourmis dans la litière de la forêt, qui utilisait le temps de contact des chenilles avec les fourmis et les taux de captures victorieuses pour estimer la mortalité, nous avons déterminé que la moitié environ des chenilles non alimentées de premier stade tombées dans la litière pourraient survivre, tandis que la survie pour le second et le troisième stade ne serait que de 10%. La discussion porte sur l'importance de ces résultats dans la lutte contre L. dispar.
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8.
Stomatal conductance, mesophyll conductance, transpiration and photosynthesis varied considerably by within-plant locations on celery (Apium graveolens L.), but specific opposite leaves proved equivalent. Using such comparable leaves, feeding damage by Liriomyza trifolii (Burgess) (Diptera: Agromyzidae) larvae or adults was found to reduce significantly the capacity of celery for photosynthetic activity. In field trials where populations of L. trifolii were manipulated with pesticides, numbers of leaves, plant height, and numbers of petioles per plant were significantly greater in treatments with low leafminer densities. In treatments where L. trifolii was encouraged, harvest was delayed by up to 3 weeks. Related laboratory studies indicated that the pesticides used in the field trial neither promoted nor slowed celery growth. None of the physiological parameters measured at either 1.5 h or 7 days post-treatment was significantly affected.
Résumé Les conductances des stomates et du mésophylle, la transpiration et la photosynthèse varient considérablement suivant la position des feuilles dans un pied de céleri (Apium graveolens L.) mais ces paramètres sont identiques pour des folioles opposées.En utilisant de telles folioles comparables, une réduction singificative de l'activité photosynthétique du céleri a été observée lors des dégâts alimentaires par les larves et les adultes de Liriomyza trifolii Burg. (Dipt. Agromyzidae). Dans des essais en champ où des populations de L. trifolii ont été contrôlées avec des insecticides, les nombres de pétioles et de folioles et la hauteur des plantes étaient significativement plus élevés là où les traitements avaient entraîné de faibles densités de mineuses. Dans les parcelles où L. trifolii avait été avantagé, la récolte avait été retardée jusqu'à 3 semaines. Des essais parallèles au laboratoire ont montré que les insecticides utilisés dans ces essais au champ, n'avaient ni accéléré, ni retardé la croissance du céleri. Aucun des paramètres physiologiques mesurés après 1,5 heure ou 7 jours après le traitement n'avait été modifié.
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9.
An aphid rate of increase index was used as a comparative measure of antibiotic resistance to Aphis fabae Scopoli (Homoptera: Aphididae) in five faba bean cultivars. The index was measured over a range of bioassays in laboratory and field, with seedlings and older plants, with three different previous aphid hosts and with two different aphid clones. Antixenotic resistance was measured by recording host selection and acceptance of the same cultivars by alate aphids. Cultivars which were antibiotically resistant were also antixenotically resistant. Antibiotic, but not antixenotic resistance, was less effective in the field than in the laboratory. The resistance of cv. Herra was influenced by previous aphid host, aphid clone and plant age but the resistance of Line 14 was more stable. Honeydew production was measured; aphids on resistant cultivars produced less honeydew of lower amino acid concentration than those on susceptible cultivars.
Résumé L'importance des composantes antibiotique et antixénotique de la résistance de la fève à A. fabae a été évaluée dans différentes conditions au champ et au laboratoire.Un indice de performance du puceron sur des cultivars témoins très voisins du taux intrinsèque d'accroissement naturel a été utilisé pour les mesures comparant la résistance antibiotique. La lignée 14 et le cv. Herra ont été les plus résistants des 5 cultivars examinés. La résistance antibiotique de 14 par comparaison avec les cultivars sensibles n'a pas été modifiée par l'âge de la plante, le clone de puceron ou les cultivars qu'avaient eu précédemment les pucerons dans des expériences de laboiratoire. La résistance de Herra était moins stable. Les différences entre résistances antibiotiques des cultivars était plus faible en champ où aucune différence significative dans les taux de multiplication des pucerons n'a été observée.L'antixénose a été évaluée au laboratoire en mesurant les taux d'installation des ailés sur les cultivars et les taux d'acceptation des ailés quand ils avaient été placés sur les cultivars. La résistance antixénotique a refleté la résistance antibiotique. L'antixénose reste efficace quand aucun cultivar sensible alternatif était disponible. Des observations sur des infestations précoces de pucerons sur parcelles ont laissé penser que l'antixénose était effective aux mêmes niveaux au champ et au laboratoire.Les pucerons s'alimentant sur des cultivars résistants ont produit moins de miellat avec une plus faible concentration en acides aminés.Ces résultats font penser que les efforts dans la sélection pour la résistance à A. fabae devraient être orientés vers l'antixénose pour laquelle un screening rapide en laboratoire pourrait être efficace.
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10.
Egglaying responses of Pieris rapae L. butterflies to the oviposition deterring pheromone (ODP) of Pieris brassicae L. were studied in the laboratory. Choice experiments with ODP treated leaves and control leaves revealed that females perform a strong preference to lay their eggs on the control leaves. This preference is maintained even when during the experiment the control leaf becomes covered with a large number of conspecific eggs. Choice experiments with cabbage leaves with and without P. rapae eggs seem to indicate the absence of intraspecific egg load assessment of host plants in P. rapae. The deterrent effect of the ODP of P. brassicae to P. rapae females persists for at least 8 days. Behavioural observations suggest olfactory hairs as well as gustatory hairs to be involved in the perception of the ODP but electrophysiological recordings of the various chemoreceptors are necessary to confirm this. Finally the prospects of application of this pheromone/kairomone in cabbage pest control are discussed.
Appréciation de la charge interspécifique en oeufs sur la plante hôte par Pieris rapae
Résumé La réponse au laboratoire de P. rapae à la phéromone dissuadant la ponte (ODP) de P. brassicae a été étudiée par l'oviposition. Des expériences de choix entre des feuilles traitées à l'ODP et des témoins ont montré que les femelles préfèrent nettement les feuilles témoins. Cette préférence s'est maintenue même quand les feuilles témoins ont été recouvertes d'un grand nombre d'oeufs de P. rapae. Ceci peut indiquer l'absence chez P. rapae d'une évaluation de la charge de ses propres oeufs. L'effet dissuadant du ODP de P. brassicae sur les femelles de P. rapae persiste au moins 8 jours. Les observations comportementales suggèrent que des poils olfactifs aussi bien que des poils gustatifs sont impliqués dans la perception d'ODP mais une confirmation de cette hypothèse par enregistrements électrophysiologiques est nécessaire. Les perspectives d'utilisation de cette phéromone/kairomone dans la lutte contre les insectes du chou sont examinées.
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11.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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12.
Colpoclypeus florus Walk. is a gregarious ectoparasite of tortricids. Details of biology and annual cycle in orchards in the Netherland are reported. It has four to five generations per year, but only females of the second generation, and some of the third, meet with abundant hosts (Adoxophyes orana F.v.R.) of the proper size. Therefore, the parasite is scarce to virtually absent from Duth orchards except in July and August. A technique for mass-rearing of C. florus is described, producing 6 000 wasps per week. 16 000–28 000 wasps/ha were released in spring, in order to control leafrollers. Although all important leafroller species were parasitized, the rate of parasitization was too low to be effective.
Colpoclypeus florus (Hym. Eulophidae), parasite de tordeuses dans les vergers: techniques d'élevage, biologie et expériences de lutte biologique
Résumé Colpoclypeus florus Walk., ectoparasite grégaire de Tortricidae, est capable de provoquer un taux de parasitisme élevé dans plusieurs types de cultures, y compris dans les vergers de pommiers. Dans les vergers aux Pay-Bas, ce parasite n'abonde qu'en été sur la première génération d'Adoxophyes orana. Les autres tortricides échappent à ses attaques, parce qu'elles ne peuvent être attaquées qu'au printemps. Le but de ces études était donc la mise au point d'une technique d'élevage de masse de C. florus, pour relâcher ce parasite en grand nombre dans les vergers au printemps. La technique décrite a permis de produire plusieurs milliers de parasites par semaine. Des lâchers de 16 000–28 000 parasites par ha dans un verger soumis à un programme de lutte intégrée, bien que faisant des victimes parmi toutes les espèces importantes de tortricides présentes, étaient loin d'occasionner le taux de parasitisme escompté.Le nombre de degrés-jours nécessaire au développement des différents stades de C. florus a été déterminé au laboratoire, et son cycle évolutif, inconnu aux Pays-Bas, puisque le parasite ne se trouve qu'en été, a été calculé et comparé aux observations faites en élevages en plein air. C. florus a de 4 à 5 générations par an, et la comparaison de sa phénologie avec celle des différentes tordeuses explique son absence hors de l'été.Au laboratoire, Archips podana était plus parasité, et Pandemis heparana moins parasité qu'A. orana. Le nombre moyen de descendants produits par femelle de C. florus et par chenille-hôte variait selon les hôtes, dépendant probablement de la taille des chenilles. Bien qu'A. orana n'ait pas produit le plus grand nombre de parasites par chenille, elle a été néanmoins préférée aux autres tortricides comme hôte pour les élevages.
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13.
A virus infection, associated with enlargement of the salivary glands (ESG) and gonadal pathology in Glossina pallidipes Austen (Diptera: Glossinidae), was studied in field-caught and laboratory-reared flies. The lifespan of both sexes of infected (ESG-) flies was significantly shorter than that of flies with normal salivary glands (NSG). NSG-females, mated to infected males only or to both infected and normal males, produced predominantly male progeny. In general, NSG-parents produced only NSG-progeny, and ESG-females only ESG-progeny. ESG-males were usually sterile, but a few NSG-females inseminated by ESG-males produced NSG-progeny. One NSG-female, mated first to an ESG-male and then to an NSG-male, produced 3 ESG-sons. As will be discussed, this virus may have important effects (reduced insemination rates, fecundity and lifespan, and sex ratio distortion) on laboratory colonies of G. pallidipes as well as on the regulation of its natural populations.
Résumé C'est à partir de mouches capturées et élevées au laboratoire à Kibwezi au Kenya, qu'a été étudiée l'infection virale, accompagnée d'hyperplasie des glandes salivaires (ESG) et la pathologie des gonades de G. pallidipes Aust. La durée de vie des mouches contaminées (ESG)_des 2 sexes était significativement plus brève que celle des mouches aux glandes salivaires normales (NSG). Des femelles NSG accouplées uniquement à des mâles contaminés ou à des mâles sains et contaminés, ont donné une descendance majoritairement mâle.En général, des parents NSG ont donné uniquement des enfants NSG, et des femelles ESG des enfants ESG. Les mâles ESG étaient généralement stériles, mais quelques femelles NSG inséminées par des mâles ESG ont donné des enfants NSG. Une femelle NSG accouplée en premier avec un mâle ESG et ensuite à un mâle NSG, a donné 3 fils ESG. Bien que les transmissions orales et sexuelles puissent être naturellement des modes de contamination, la transmission verticale de la mère à la descendance semble être le mécanisme le plus significatif du maintien de ce virus. L'apparition d'enfants ESG de parents NSG est dans quelques cas vraisemblablement due à la présence du virus chez quelques mouches NSG sans qu'il y ait apparemment infection, sans symptômes visibles. Le virus ESG peut avoir des effets importants (diminution des taux d'insémination, de la fécondité, de la durée de vie, et modification de la fréquence des sexes) dans les souches de laboratoire et aussi sur la régulation des populations naturelles de ce vecteur des trypanosomiases africaines.
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14.
The food selection behaviour of male fifth instar nymphs of Locusta migratoria was monitored on the host plant wheat and on the non-host plants Senecio vulgaris, S. jacobaea and Brassica oleracea. The non-hosts were rejected, but the mode of rejection altered with time in a way which suggested associative learning. This hypothesis was tested and the results discussed in relation to classical theories of learning.
La sélection des aliments chez les criquets: Le rôle de l'apprentissage dans le comportement de rejet
Résumé Des larves mâles de cinquième stade de Locusta migratoria ont été placées dans des cages avec des végétaux qui pouvaient être changées sans troubler les insectes. Le contact avec des pieds de blé entraînait généralement une palpation suivie de morsures et alors d'alimentation continue. Les plantes non-hôtes Senecio vulgaris, S. jacobaea et Brassica oleracea étaient rejetées, d'abord après morsures suivant la palpation, mais ultérieurement par palpation seule. Nous avons vérifié l'hypothèse que la sensation obtenue par palpation était initialement inadéquate pour provoquer le rejet, ce qui était assuré par les morsures ultérieures mais qu'avec l'expérience l'insecte apprenait à lier la sensation de palpation avec celle de morsures et progressivement rejetait après palpation seule. Ainsi les 8 premiers contacts avec des aliments désagréables ont été observés, soit quant S. vulgaris était présenté continuellement, soit quand S. vulgaris était remplacé par une autre plante désagréable après 4 contacts. Une analyse mathématique des résultats révèle une tendance au rejet par palpation seule à travers les contacts successifs, et que cette tendance est interrompue et se restaure quand l'espace végétal est changé. Ces résultats sond discutés dans le contexte des théories de l'apprentissage et on en a conclu que le phénomène observé est le résultat d'un apprentissage associatif.
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15.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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16.
Larvae of the lacewing Nineta pallida (Schneider), collected in the field during two seasons, from September to July, were reared in the laboratory under short- or long-day light conditions at 21°C. In autumn and winter, artificial short days delayed the first ecdysis. The influence on the duration of the first instar was maximal (3.4 times longer) when the short days began at hatching time, and later regularly diminished. In spring, the second and third instars showed a reversed response so that the long days now increased the duration of development, although development took no more than 1.4 time as long as in short days. A similar effect appeared in field-collected third instars on and after mid June, reaching its maximum (1.8 time until the cocoon spinning) in July. This sort of photoperiodic effect on the larval development is new to the seasonal adaptation of the life cycle in insects.
Résumé Des formes préimaginales (oeufs, puis larves) de N. pallida sont récoltées sur des conifères de montagne (Pyrénées), chaque mois depuis septembre jusqu'en juillet en deux saisons (1983/84 et 1985/86). Elles sont ensuite élevées au laboratoire à 21°C, soit en jours longs (JL=L16:D8), soit en jours courts (JC=L8:D16).Le développement embryonnaire est légèrement plus long s'il se fait en JC. Pour les larves de premier stade récoltées en automne et en hiver, les JC retardent considérablement la première mue et prolongent aussi le deuxième stade qui en provient. L'influence retardatrice est maximale (3,4 fois) lorsque les JC agissent dès l'éclosion. Elle diminue ensuite progressivement et devient insignificante pour les larves récoltées à artir de février.Au printemps, les larves récoltées au deuxième stade ainsi que les troisièmes stades qui en découlent présentent une réaction inverse: ce sont alors les JL qui augmentent la durée du dévelopement, toutefois, pas plus de 1,4 fois par rapport aux JC. Un effet de même ordre se manifeste sur les larves de troisième stade récoltées à partir de juin, atteignant son maximum (1,8 fois) dans le lot de larves de juillet, c'est-à-dire peu avant la fin de la croissance pondérale larvaire et le coconnage.Un tel retardement du développement larvaire hivernal, prolongé au printemps et au début de l'été par une inversion de la réponse à la photopériode, est nouveau comme élément d'adaptation saisonnière du cycle naturel chez les insectes.
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17.
The orientation response of adult apterous Myzus persicae (Sulz.) to targets approximately 1 m distant in an arena was investigated. The targets were combinations of turnip leaves of different known ages and/or paper leaves of the same shape and size, but of different known reflectances. In white arenas, the apterae consistently approached the target which had the greatest percentage reflectance in the range 520–580 nm over targets of lesser reflectance. There was no evidence of olfaction. Compact shapes were approached more frequently than narrow rectangles of the same surface area. Turnip leaves against a black background were approached less frequently than those against a white background. Small black targets against a white background elicited a response, although most apterae became disorientated before reaching them. With increasing target size, this disorientation occurred at increasing distances. These responses to colour and shape are similar to those described by other authors for flight exhausted alatae.
Effets de la couleur et de la forme des hôtes cibles sur l'orientation au laboratoire d'adultes aptères Myzus persicae en train d'émigrer
Résumé L'étude a porté sur la ré-orientation de l'adulte aptère Myzus persicae en réaction à des cibles situées approximativement à 1 m de distance dans une arène blanche. Les cibles étaient composées de feuilles de navet de différents âges connus et/ou de feuilles de papier de la même taille et même forme, mais de réflectance différente mais connue. Dans des arènes blanches, les adultes aptères ont atteint d'une façon nette les cibles, qui avaient la plus grande réflectance dans la gamme de 520–580 nm. Il n'y avait pas d'indices d'olfaction. Les formes compactes ont été atteintes plus fréquemment que les rectangles étroits de même superficie. Les feuilles de navet sur fond noir étaient atteintes moins fréquemment que celles qui étaient sur un fond blanc. De petites cibles noires sur fond blanc ont provoqué une certaine réaction, bienque la plupart des adultes aptères semblaient devenir désorientées avant de les atteindre. En augmentant la taille de la cible, cette désorientation est apparue à des distances croissantes. Ces réactions à la couleur et à la forme correspondent à celles décrites par d'autres auteurs chez des adultes ailés épuisés par leur vol.
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18.
The allelochemic, 2-tridecanone, which conditions resistance in the wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum to Manduca sexta and plays an important role in the resistance to Leptinotarsa decemlineate is shown to induce an enhanced level of tolerance to the carbamate insecticide carbaryl in a third important insect pest of tomato, Heliothis zea. This phenomenon has important implications regarding the compatibility of using tomato cultivars having 2-tridecanone-mediated insect resistance in conjunction with insecticides to manage the full spectrum of tomato insect pests.
Résumé Le 2-Tridécanone,est présent dans les extrémités des poils glandulaires des feuilles de Lycopersicon hirsutum et glabratum (PI 134417). On a précédemmment mis en évidence son rôle capital dans la résistance du PI 134417 à Manduca sexta L. et à Leptinotarsa decemlineata Say, mais sa faible importance dans la résistance à Heliothis zea Boddie. Au cours de cette étude, la paralysie temporaire des larves néonates de H. zea par le 2-Tridécanone associé aux feuilles a été observée, mais cette substance induit chez ces larves un système de détoxification qui entraîne, non seulement une récupération apparemment complète, mais provoque une résistance au carbaryl, insecticide au carbamate, 3–4 fois plus élevée.Dans les programmes d'amélioration de la tomate, toute sélection pour une résistance élevée à M. sexta et L. decemlineata attribuable à une forte teneur en 2-Tridécanone, sans sélection parallèle pour la résistance à H. zea, caractère génétique séparé, produirait des lignées de tomates chez lesquelles la protection contre H. zea serait plus difficile par suite de la résistance au carbaryl induite par le 2-Tridécanone.
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19.
Cores from sweet potato (Ipomoea batatas L.) storage roots, with either the outer periderm or inner core exposed, were presented to female sweet potato weevils, Cylas formicarius elegantulus (Summers) (Coleoptera: Curculionidae) in cage preference tests. Tests with weevils of different ages showed that feeding was constant 21 to 76 days after emergence, while oviposition showed a slight peak between 21 and 45 days. Differences in the levels of feeding and oviposition were noted for the periderms of four sweet potato cultivars, but these differences were not evident for the inner cores. Oviposition was reduced to low levels on the inner core and, therefore, the oviposition stimulant appears to reside in the root periderm. Feeding did occur on the inner cores, but at a reduced level compared to the root periderm in preference tests where both were available. Inner root cores have a potential use in the elucidation of the oviposition stimulant of the sweet potato weevil.
Résumé Des coeurs de racines tubéreuses d'I. batatas ont été proposés, soit avec leur périderme externe, soit avec la partie interne du coeur seule, à des femelles du charançon, C. formicarius elegantulus Summers, dans des cages pour expériences sur le choix. Les coeurs étaient prélevés à l'emportepièce pour liège dans des racines stockées et, après tirage au hasard, les expériences ont été distribuées dans des plaques à 24 puits pour cultures de tissus.L'alimentation des charançons de différents âges était constante du 21ème au 47ème jour après l'émergence, tandis que la ponte était maximale entre les 25ème et 45ème jours. Des différences quantitives quant à l'alimentation et à la ponte ont été observées avec les péridermes de 4 cultivars: Centennial, Jewel, Resisto et Regal; ces différences n'étaient pas nettes pour les parties profondes du coeur.La ponte était réduite à un niveau bas avec la partie interne du coeur; il semble ainsi qu'un stimulant de la ponte soit contenu dans de périderme de la racine. L'alimentation s'est effectuée sur la partie centrale du coeur, mais moins que sur le périderme, quand les deux étaient disponibles dans des expériences de choix. La ponte paraît un meilleur critère que l'alimentation, pour comparer les résistance variétales. La partie intérieure du coeur peut être utilisée pour connaître le stimulant le stimulant de la ponte de C. formicarius elegantulus.
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20.
Dispersal of adult Viburnum whitefly,Aleurotrachelus jelinekii (Frauenf.) was assessed over a period of 6 years, both in the field and in the laboratory. Flight activity did not appear to be strongly affected by normal variation in either temperature or windspeed. The aerial density of flying adults decreased rapidly with distance from the host plant. Movement up to 5 m from the host plant was found to be density dependent, although there is no suggestion that longer flights become more frequent at higher population densities. More males were caught at the beginning of the season and the number of males flying increased as the population density rose. Insects were flight mature after about 3 h, but flew readily only after 2 days. Longer flights were observed from younger females at a time when they would move from old to young leaves. Landing site preference was not recorded, which contrasts with the behaviour of the cabbage whitefly. Flight in the Viburnum whitefly appears to redistribute the population within the immediate habitat, but migration did not appear to be a significant demographic factor in the isolated populations studied.
Etude de l'activité de vold d'Aleurotrachelus jelinekii peu enclin au vol
Résumé La dispersion des adultes d'Aleurotrachelus jelinekii Frauenf, tant dans la nature qu'au laboratoire, a été estimée sur une période de 6 ans. L'activité de vol n'a pas paru être fortement modifiée par les variations de la température et de la vitesse du vent. Le nombre d'adultes en vol a diminué rapidement jusqu'à 5 m de la plante hôte, et il était density-dependent, bien que rien ne prouve que les vols les plus longs deviennent plus fréquents à des densités de population plus élevées. Plus de mâles ont été capturés au début de la saison et le nombre de mâles en vol s'est accru avec la densité de la population. Les insectes étaient aptes au vol 3 heures après la mue imaginale, mais ne volaient normalement que 2 jours après. Les vols les plus longs ont été observés chez les plus jeunes femelles au moment où elles devaient migrer de feuilles âgées à des feuilles jeunes. Les lieux d'atterrissage préférés n'ont pas été décelés. Le vol chezA. jelinekii semble redistribuer la population dans l'habitat immédiat et la migration n'apparaît pas être un paramètre démographique significantif dans les populations isolées étudiées.
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