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1.
Résumé Les levures Schizosaccharomyces possèdent, entre autres propriétés remarquables, celle de métaboliser l'acide l-malique, provoquant en anaérobiose une fermentation alcoolique: HOOC·CH2 CHOH·COOHCH3CH2OH+2CO2. Au point de vue énergétique cette fermentation ne peut satisfaire la croissance des cellules et est liée à la fermentation du sucre. La présente étude des souches de Schizosaccharomyces se trouvant dans les collections de levures est centrée sur la fermentation de l'acide l-malique.Nous avons étudié dans quelle mesure cette propriété peut servir de base à une classification de ces levures et se trouve en relation avec le milieu d'origine, suivant le concept de «classification naturelle» de Kudrjawzew. En réalité il ne saurait y avoir de distinction d'espèce fondée sur cette propriété entre les Schizos. pombe provenant de fruits à pulpe amylacée des pays tropicaux et les Schizos. acidodevoratus provenant de fruits à pulpe acide des régions tempérées, tous attaquant plus ou moins l'acide l-malique, et ces deux termes doivent être considérés comme synonymes.Certaines propriétés physiologiques ont été étudiées: intensités respiratoire et fermentative, fermentation sélective du glucose et du fructose, produits secondaires formés, besoins en facteurs de croissance, etc. Enfin, on a défini les facteurs de la fermentation de l'acide l-malique par les Schizosaccharomyces, notamment la nature des souches, les conditions de pH, etc. L'étude de fermentations associées révèle la concurrence qu'exerce sur les Schizosaccharomyces la présence des Saccharomyces et illustre la difficulté de modifier la microflore naturelle dans la fermentation d'un milieu naturel.  相似文献   

2.
The sublethal effects of four pesticides on paedogenetic larvae of the Cecidomyiidae were investigated in sterile culture. With Heteropeza pygmaea:-(a) diazinon at 0.2 ppm and above in the agar medium produced an all or nothing response where most larvae lost locomotory co-ordination and did not feed, but on transference to an untreated culture many recovered and reproduced; (b) HCH reduced activity, hemipupal size and fecundity in proportion to dosage; (c) quinomethionate reduced hemipupal size but the number of young increased from a mean of 12 for untreated parents to 15.5 at 0.32 ppm; (d) diflubenzuron induced one larva to produce a previously unrecorded second instar and the evolutionary significance of this is discussed. The effect of diflubenzuron on larvae of Mycophila speyeri was twofold: a reduction in fecundity of the parents and an increase in pupa-larva production.
Effets sublétaux de quatre pesticides sur les larves paedogénétique de cecidomyiidae
Résumé Les recherches présentées se rapportent aux effets de doses sublétales de quatre pesticides à l'égard de larves paedogénétiques de Cecidomyiidae, élevées sur milieu gnotobiotique. La plupart des larves d'Heteropeza pygmaea refusent de s'alimenter sur un milieu contenant 0,2 ppm au plus de diazinon et perdent leur faculté locomotrice; transférées sur un milieu normal, elles se rétablissent et se reproduisent normalement. La réponse est du type tout ou rien, car le reste des larves se comporte normalement.Le HCH réduit l'activité larvaire, la taille hémipupale et la fécondité, en fonction de la dose.Le quinomethionate réduit la taille hémipupale mais provoque une augmentation du nombre de jeunes larves, qui passent d'une moyenne de 12 chez les parents témoins, à 15,5 dans le milieu additionné de 0,32 ppm de ce toxique.Le diflubenzuron a provoqué, chez une larve, la formation d'une cuticule surnuméraire, conduisant à un second stade larvaire, au lieu de donner comme normalement une hémipupe. C'est la première fois qu'un tel phénomène est observé, sa signification évolutive est discutée.Les effets du diflubenzuron sur les larves de Mycophila speyeri (Barnes) sont doubles: une réduction de la fécondité des parents et une augmentation de la production des larves imaginales.
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3.
Conclusions On peut conclure, en résumé, que l'hémodigestion et la liquéfaction de la gélatine sont des manifestations de 2 ferments.Au surplus, les comportements du pouvoir de scission de la gélatine et du pouvoir hémodigestif furent comparés chez 4 souches deV. El Tor cultivées sur gélose et conservées sur un milieu renfermant du blanc d'oeuf. A cette occasion on a eu recours au viscosimètre de Ostwald.Il fut observé que, chez les souches deV. El Tor cultivées sur gélose, la scission de la gélatine et l'hémodigestion furent plus intenses que chez des souches conservées sur milieu à l'oeuf. En cutre, chez ces dernières, le pouvoir hémodigestif avait entièrement disparu.  相似文献   

4.
Résumé La fréquence des gouttelettes de miellat excrétées par Toxoptera aurantii (Boyer de F.) augmente en la présence de Tapinoma simrothi Krausse., mais le phénomène est seulement important quand les aphides sont familiarisés avec la visite des fourmis. En présence d'ouvrières pourvoyeuses âgées, le nombre de gouttelettes de miellat excrétées par une colonie d'aphides est multiplié par 4,9. Les meilleures performances sont obtenues avec les larves, qui défèquent plus vite que les adultes. Les jeunes ouvrières âgées de moins de deux semaines et isolées juste avant la naissance, sont capables d'augmenter la production de gouttelettes, et ceci sans apprentissage. Mais l'effet est plutôt faible. Dans tous les cas, le nombre de sollicitations pour la nourriture est plus élevé que le nombre des gouttelettes excrétées. Habituellement, les fourmis collectent le miellat directement sur les aphides. Néanmoins, le miellat restant sur les feuilles peut être ramassé, mais cette récolte n'est pas très importante.
Summary The frequency of honeydew droplets excreted by Toxoptera aurantii (Boyer de F.) increases in the presence of Tapinoma simrothi Krausse., but the phenomenon is only important when aphids are familiarized with ant-attendance. In presence of old foraging workers, the number of honeydew droplets excreted by an aphid colony is multiplied by 4.9. The best performances are obtained with larvae, which defecate faster than adults. Young workers less than two weeks old and isolated just before birth, are able to increase the droplets production, and this without apprenticeship. But the effect is rather slight. In all cases, the number of food sollicitations is higher than the number of excreted droplets. Usually, ants collect honeydew directly on aphids. Nevertheless, honeydew remaining on leaves can be picked up, but this gathering is not very important.
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5.
Diglyphus begini (Ashmead) (Hymenoptera: Eulophidae) is a larval ectoparasitoid of the leafminer, Liriomyza trifolii (Burgess) (Diptera: Agromyzidae). Female wasps oviposit on larvae which are significantly larger than larvae utilized for host feeding or hosts rejected for oviposition or feeding. Host size is evaluated on a relative rather than absolute basis. Individual female reproductive success increases with host size because of accompanying increases in offspring survivorship and adult body size. The number and duration of parasitoid stings is significantly greater when host feeding compared to oviposition and host rejection due to extensive probing of the internal viscera of larvae with the female ovipositor when host feeding. Upon host paralysis, 47.5% of parasitoid eggs become displaced from their host. However, eggs experimentally placed a mean distance of 0.8 mm away from a host do not result in a reduction in offspring survivorship compared to eggs attached to a host.
Résumé La mineuse L. trifolii Burgess attaque de nombreuses cultures à travers le monde. L'eulophide, D. begini Ashmead, est un parasitoïde fréquent du diptère. L'objectif de nombreux praticiens de la lutte biologique est de pouvoir prédire le résultat de lâchers d'ennemis naturels. Cette étude a été entreprise en estimant que la connaissance du comportement de prospection aide á comprendre la dynamique des interactions des populations hôtes et parasites. Une attaque de D. begini se concrétisant par une ponte, est généralement caractérisée par deux piqûres de durée limitée avec émission de l'uf normalement au cours de la seconde piqûre.L'alimentation aux dépens de l'hôte est caractérisée par des piqûres prolongées et répétées. Les hôtes refusés pour la ponte ou l'alimentation sont piqués une fois ou deux, les deux piqûres étant très brèves.L'aptitude de D. begini à percevoir les différences de tailles des larves de L. trifolii augmente la valeur adaptative individuelle des parasites. Les femelles ne pondent que dans les hôtes les plus grands, ce qui augmente le taux de survie des descendants et la taille des adultes. Puisque la taille des hôtes est évaluée sur une base relative, la valeur adaptative du parasite est indépendante des changements de distribution des tailles des hôtes rencontrés. Les larves de L. trifolii utilisées comme hôtes ne deviennent pas immédiatement immobiles après avoir été attaquées. Ceci fait que de nombreux ufs peuvent être délogés de leur hôte. Nous avons été incapables de déceler quelque effet nocif de ces mouvements de l'hôte après la ponte sur la survie des ufs de D. begini.
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6.
The egg and larval stages of the generalist endoparasitoid Campoletis sonorensis Carlson (Hymenoptera: Ichneumonidae), which normally avoid the hemocytic reaction of many Lepidopteran host species, are encapsulated in 40% of Spodoptera frugiperda J. E. Smith (Lepidoptera: Noctuidae) larvae. The effect of parasitism on inhibiting the spreading ability of S. frugiperda plasmatocytes in vitro is more pronounced in susceptible larvae which fail to encapsulate the parasitoid than in resistant ones permitting parasitoid development. This suggests that induction of plasmatocyte pathology is relevant to the successful evasion of encapsulation by the parasitoid. Some granular cells disappear from the hemolymph of the parasitized resistant larvae, which implicates their involvement in the encapsulation reaction. Calyx fluid of C. sonorensis injected into host larvae produced effects on host hemocytes identical to natural parasitism. Several mechanism may cooperate to protect the parasitoid from encapsulation. The pathological reactions by the host plasmatocytes is one main manifestation of the immunosuppressive parasitoid effect. Results are discussed in regard to the known effects of C. sonorensis on Heliothis virescens Fabricius (Lepidoptera: Noctuidae) larval hemocytes which are totally unable to respond with a successful cellular defense reaction.
Résumé L'ichneumonide Campoletis sonorensis Carlson, endoparasitoïde larvaire, se développe dans de nombreuses espèces de Lépidoptères. Son statut de généraliste est dû, notamment, à son aptitude à déjouer les défenses immunitaires de ses hôtes, c.a.d. la formation d'une capsule d'hémocytes autour de l'oeuf ou de la larve parasite. Cependant, chez le noctuide Spodoptera frugiperda J.E. Smith, C. sonorensis est encapsulé dans 40% des larves qu'il parasite. Nous avons étudié la population hémocytaire de deux catégories de larves de S. frugiperda, celles qualifiées de résistantes à C. sonorensis, et qui arrêtent son développement, et celles susceptibles où le parasitoïde échappe à l'encapsulation.Cinq types d'hémocytes ont été identifiés: les prohémocytes (PR), les sphérulocytes (SP), les granulocytes (GR), les plasmatocytes (PL) et les oenocytoïdes (OE). Chez les hôtes susceptibles et résistants, le parasite provoque une baisse identique de la concentration totale des hémocytes dans l'hémolymphe (THC). Par contre, les PLs sont davantage affectés chez les hôtes susceptibles que chez ceux résistants au parasitoïde. Les résultats montrent que, chez les hôtes susceptibles, 1) le nombre des PLs dans l'hémolymphe est davantage diminué, et 2) leur aptitude d'adhérence in vitro est davantage inhibée. Il existe donc une corrélation positive entre le degré de pathologies qui affectent les PLs de l'hôte et l'incapacité de celui-ci à encapsuler le parasitoïde. Ceci tend à démontrer le rôle-clé des PLs dans la réaction immunitaire d'encapsulation chez S. frugiperda, comme chez de nombreux insectes. De plus, ce résultat renforce l'hypothèse selon laquelle C. sonorensis éviterait l'encapsulation en agissant sur les hémocytes de l'hôte, et plus particulièrement sur les PLs. Inversement aux PLs, les GRs sont moins abondants dans l'hémolymphe des hôtes qui encapsulent C. sonorensis. Les GRs pourraient donc participer à la formation de la capsule hémocytaire.Il est possible que plusieurs facteurs contribuent à protéger C. sonorensis de l'encapsulation. Néanmoins, les pathologies affectant les hémocytes des hôtes parasités sont probablement une manifestation majeure de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Les effets de C. sonorensis sur les hémocytes des larves parasitées peuvent être reproduits chez des larves saines, en leur injectant de venin extrait des glandes du calyx des femelles parasitoïdes. Ces sécrétions provenant de la glande du calyx, et normalement injectées dans l'hôte lors de l'oviposition, sont probablment responsable, au moins en partie, de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Ces résultats peuvent être comparés à ceux obtenus chez l'hôte Heliothis virescens Fabricius (lépidoptère, noctuide) qui n'encapsule jamais C. sonorensis. Bien que le parasitoïde provoque les mêmes effets pathologiques sur les hémocytes des hôtes de S. frugiperda et d'H. virescens, on constate que l'effet apparait quelques heures après l'oviposition chez H. virescens, contre 48 heures post-oviposition chez S. frugiperda. Ce délai pourrait contribuer à la résistance immunitaire de certaines larves de S. frugiperda, résistantes, à C. sonorensis.
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7.
Host-specific development and survival rates were measured and population parameters computed for both a wild and a laboratory strain of the oriental fruit fly (Dacus dorsalis Hendel) in Hawaii. Gross fecundities of the wild and laboratory strains were 241 and 1551 eggs per female, respectively. Egg to eclosion developmental rates were 27 days for the wild strain and 24 days for the laboratory strain. The preovipositional period of the wild strain was 19 days compared to 9 days in the laboratory strain.Differences of this magnitude in fecundity and developmental rates between laboratory and wild strains have not been observed in other recent demographic studies of tephritids. The results suggest that the laboratory strain of the oriental fruit fly may have undergone more intense selection than laboratory strains of the other species.
Résumé Pour deux souches, l'une sauvage, l'autre de laboratoire, de D. dorsalis de Hawaï, les mesures ont porté sur la durée de développement et le taux de survie, les paramètres caractéristiques de la population ont été traités sur ordinateur. Pour les souches sauvage et de laboratoire, les fécondités brutes ont été respectivement de 241 et 1551 oeufs par femelle. Les durées de développement larvaire et nymphal ont été de même de 27 jours pour la souche sauvage et de 24 j pour celle de laboratoire; les périodes de latence avant la ponte ont été de 19 j pour la souche sauvage contre 9 j pour celle de laboratoire.Jamais de telles différences de fécondités et de durées de développement entre souches sauvages et de laboratoire n'avaient été observées lors des études récentes sur des téphritidae. Ces résultats suggèrent que la sélection subie par la souche de laboratoire de D. dorsalis été plus intense que celles subies par d'autres espèces.
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8.
The effects of constant temperature (23 °C), food quality (B, natural diet i.e. powdered oak bark; B+C, natural diet enriched with powdered sweet crackers) and season on larval development of the cerambycid Morimus funereus L. were studied. The temperature of 23 °C exerted an unfavourable effect on larvae collected from oak stumps in September and bred on B; i.e. the larvae died within 30 days. When the larvae consumed B+C the unfavourable effect of temperature was abolished and the larvae increased their weight by 543%, 897% and 1179% in 1, 2 and 3 months, respectively. Newly hatched summerand winter-larvae developed successfully on B+C, while all the winter-larvae died within 40 days on B. Larvae of an identical parentage hatched in different phases of the annual cycle and showed seasonal differences in the rate of development and survival when reared on B+C at 23 °C. The fastest development and the highest survival rate were observed in larvae which emerged in early- and midsummer, whereas the slowest development and the lowest survival rate were in those hatched in late summer. The synchronized seasonal changes of adults and their offspring, as expressed at different levels of biological organization, suggest the existence of an endogenous annual rhythm which is dependent upon the expression of different genes in the course of the annual cycle.
Résumé L'étude a porté sur les effets d'une température constante (23 °C), de la qualité de l'aliment,-B = aliment naturel, c'est-à-dire de l'écorce de chêne pulvérisée; B+C = aliment naturel enrichi avec de la poudre de biscuits sucrés-, et de la saison sur le développement larvaire de M. funereus L. La température de 23 °C a été défavorable aux larves récoltées en septembre dans des souches de chênes et élevées sur aliment B: les larves étaient mortes en 30 jours. Avec aliment B+C, l'effet défavorable a été neutralisé et le poids des larves augmenté de 543%, 897% et 1179% en 1, 2 et 3 mois. Des larves néonates d'été ou d'hiver se sont bien développées sur B+C, mais toutes les larves d'hiver étaient mortes sur B en 40 j. Des larves de mêmes parents, écloses à différentes époques de l'année, ont présenté des différences saisonnières du taux de survie et de la vitesse de développement lors de leur élevage à 23 °C sur B+C. Le développement le plus rapide et la meilleure survie ont été obtenus avec des larves écloses au début ou au milieu de l'été; tandis que le développement le plus lent et la plus mauvaise survie ont été obtenus avec les larves écloses à la fin de l'été. Les changements saisonniers synchrones des adultes et de leurs descendants, exprimés à différents niveaux d'organisation biologique, suggèrent l'existence d'un rythme annuel endogène qui dépend de l'expression de différents gènes au cours du cycle annuel.
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9.
Stylet insertion sites on the leaf surface and leaf cell types fed upon by nymphs and adults of the pear psylla, Psylla pyricola Foerster (Homoptera: Psyllidae) were identified using histological techniques and electronic monitoring of probing and feeding activities. Neither the nymphs nor the adult ingested predominantly from the phloem of Pyrus communis cv. Bartlett. We showed that the pear psylla ingests from all leaf cell types, but that xylem, phloem and bundle sheath cells are more acceptable for ingestion than non-vascular tissues. The possible sensory mechanisms underlying selection of stylet insertion sites on the leaf surface and acceptance of various cell types for ingestion are discussed.
Résumé Les lieux d'insertion des stylets sur la surface de la feuille et les types cellulaires consommés par les larves et les adultes de Psylla pyricola Foerster ont été précisés par étude histologique et par enregistrement électronique du comportement de piqûre et d'alimentation. Ni les larves, ni les adultes n'ont absorbé de préférence le phloème de Pyrus communis de la variété Bartlett. Nous avons constaté que le psylle du poirier ingère le contenu de tous les types cellulaires, mais que le xylème, le phloème et autre cellules des faisceaux libéro-ligneux étaient préferés aux tissus non vasculaires. La discussion a porte sur les méchanismes sensoriels éventuellement responsables de la sélection des lieux d'insertion des stylets à la surface de la feuille et l'acceptation des différents types cellulaires lors de l'ingestion.
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10.
Five populations of Tetranychus neocaledonicus, collected in various biotopes from different plants, were studied in order to become informed about variation in this species. It appeared that all strains differed with respect to longevity and fecundity. Crossings resulted in incompatibility, hybrid inviability, hybrid sterility and hybrid breakdown. It is suggested that the great interpopulational variation as found in T. neocaledonicus is a consequence of the haplo-diploid system.An important difference in longevity and fecundity between mated and unmated females has been stated for all strains. Outcrosses with males from another species indicated that it is not the fertilization, but the insemination only which induces the enhanced fecundity in T. neocaledonicus. Irradiated males appeared to be able to inseminate females effectively, resulting in the prevention of viable diploid offspring.
Résumé A la suite d'une étude morphologique concluant à l'homogénéité d'un grand nombre de prélèvements de Tetranychus neocaledonicus, dans plusieurs régions de la zone intertropicale, les auteurs proposent 3 séries d'expériences portant sur la physiologie et la compatibilité de quelques souches de ce taxon.La première série d'essais, porte sur la comparaison de la longévité et de la fécondité de femelles fécondées ou non, appartenant à 4 souches prélevées à Madagascar et à une souche originaire de Louisiane (U.S.A.). Pour ces souches élevées dans des conditions identiques, les femelles fécondées pondent davantage et vivent moins longtemps que les femelles vierges. Les graphiques fournis et les tests statistiques employés, montrent que suivant leur appartenance à l'une des 5 souches, les femelles étudiées ont une longévité propre et présentent du point de vue de la reproduction, des différences très nettes.La seconde série d'expériences a pour but de vérifier la compatibilité entre les différentes souches malgaches précédentes, aussi bien entre elles qu'avec la souche Louisiane white eye, marquée génétiquement et dérivant de la souche Louisiane précédente. Un croisement a été également tenté entre une souche de T. neocaledonicus et une souche de T. urticae. Huit croisements ont été ainsi réalisés avec chaque fois le croisement réciproque. La composition des F1, F2 et F3 est analysée. Une très forte agressivité des mâles à l'égard des jeunes femelles est chaque fois constatée. Le croisement de T. neocaledonicus avec T. urticae n'entraîne aucune hybridation. Entre les souches de T. neocaledonicus il y a formation de femelles, dans l'un des 2 sens au moins mais les femelles produites en F1 se révèlent stériles dans 5 cas sur 12 et peu de souches semblent vraiment compatibles au-delà de la F3. Finalement, les différences entre les souches du point de vue physiologique et les incompatibilités génétiques, amènent les auteurs à considérer qu'il y a, en fait, plusieurs espèces d T. neocaledonicus devant être groupées en un complexe. Ces croisements permettent aussi de remarquer, que l'abaissement de la longévité des femelles fécondées, dépend étroitement du taux de fécondation des ufs.La troisième série d'expériences tente d'expliquer l'augmentation de la production d'ufs chez les femelles fécondées. Les pontes des 14 premiers jours de vie, de femelles de la souche Lousiane fécondées ou non, sont comparées à celles de femelles fécondées, par des mâles de la même souche, irradiés aux rayons X ou par des mâles de T. urticae. La technique d'élevage employée ici permet l'intervention de plusieurs mâles. L'analyse de la F1 et la quantité d'ufs produits à la suite du croisement avec les mâles de T. urticae, prouvent que l'augmentation de la ponte est dûe à un phénomène indépendant du taux de fécondation des ufs.Les auteurs signalent, en conclusion, que les incompatibilités entre les différentes souches de T. neocaledonicus pourraient être utilisées en lutte biologique par voie génétique, mais que la stérilisation des mâles aux rayons X, obtenue au cours de la dernière série d'expériences, aboutit aux mêmes résultats et paraît plus sûre.
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11.
Rank transformation of specific activity values of -amylase across four strains of Sitophilus oryzae (L.) and four strains of S. zeamais Motschulsky indicates that levels of these predominant enzymes are highest in adults feeding on hulled barley or long-grain brown rice. Intermediate activity levels are found in weevils feeding on yellow corn (maize) and lowest levels are found in wheat-fed weevils. Although extracts prepared from barley contain inhibitory activity against two purified isoamylases from S. oryzae, levels of the naturally-occurring -amylase inhibitors against these two enzymes are about 2.2-fold and 6.1-fold, respectively, more concentrated in wheat. Ingestion of these amylase inhibitors and formation of an inactive enzyme:inhibitor complex with previously secreted amylase may account for the lower activity of amylase in weevils of both species feeding on wheat. Amylase levels across all strains feeding on a given diet are about 2-fold higher in S. oryzae than in S. zeamais. Significant differences in activity levels were also found between strains in both species. Since -amylase is a predominant digestive hydrolase in these species, the degree to which cereal diets affect amylase levels may indicate their suitability as potential hosts.
Résumé La transformation de rang des valeur d'activité spécifique de l'-amylase de 4 souches de S. oryzae et de 4 souches de S. zeamais montre que les niveaux les plus élevés de ces enzymes prédominantes s'observent chez les adultes nourris d'orge mondé ou de riz brun á grains longs. Des niveaux intermédiaires d'activité ont été obtenus chez les insectes élevés sur maïs jaune, et les niveaux les plus faibles chez ceux élevés sur blé. Bien que les extraits préparés à partir d'orge présentent une activité inhibitrice de deux isoamylases purifiées de S. oryzae, les niveaux des inhibiteurs naturels -amylase de ces deux enzymes sont environ respectivement 2,2 et 6,1 fois plus concentrés dans le blé. L'ingestion de ces inhibiteurs d'amylase et la formation d'un complexe enzyme inactive/inhibiteur avec l'amylase secrétée antérieurement, peut rendre compte de la plus faible activité de l'amylase chez les charançons consommant du blé. Le niveau d'amylase de S. oryzae est 2 fois plus élevé que celui de S. zeamais pour toutes les souches élevées sur un régime donné. Des niveaux d'activité significativement différents ont été trouvés suivant les souches pour chacune des deux espèces. Puisque l'amylase est la principale hydrolase digestive de ces espèces, l'intensité de la modification des teneurs en amylase par la consommation de céréales peut indiquer leur adéquation comme hôtes potentiels.
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12.
Feeding behavior of biotype E greenbugs from populations maintained either on corn or sorghum was studied on four corn germplasm entries and two sorghums using a computerized electronic insect feeding monitor. Greenbug fecundity and weight were also measured. Both populations showed differences in time to committed phloem ingestion and time spent ingesting phloem among plant entries, but the two populations did not respond similarly to each entry. Corn-reared greenbugs fed more readily on resistant sorghum than did sorghum-reared greenbugs, whereas sorghum-reared greenbugs fed more readily on some corn. Feeding behavior was not correlated with fecundity. Corn-reared greenbugs were equally or more fecund than sorghum-reared greenbugs on all entries. Time to committed phloem ingestion was negatively correlated with adult weight in the corn-reared population. Offspring of corn-reared greenbugs attained equal or greater weight than those of sorghum-reared ones, even though corn-reared greenbugs weighed less on their colony host (OH45) than did sorghum-reared greenbugs on their colony host (NC + 630X). Weight and fecundity were positively correlated across both populations and all entries, but both greenbug populations were more fecund and weighed more on sorghum and Antigua corn than on the other corn entries. The results confirm that biotype E greenbugs can colonize and use corn as a host, although they are more fecund on sorghum. The results also suggest that corn-reared greenbugs are different from sorghum-reared greenbugs because of either genetic or physiological adaptation, with a corresponding change in fecundity and adult weight. The implications of these results for biotype development are discussed.
Résumé Le comportement alimentaire du biotype E de S. graminum, provenant de souches maintenues soit sur maïs (OH45), soit sur sorgho (NC + 630X) a été examiné sur 4 cultivars de maïs (Antigua, AP670, OH45 et 2570), un sorgho sensible (NC + 630X) et un résistant (PI264453), à l'aide d'un enregistreur électronique à programme d'analyse. La fécondité et la poids ont été analysés séparément. Les résultats des souches on été comparés en fonction des cultivars, et les relations entre comportement alimentaire, fécondité et poids analysées.Le comportement alimentaire des différentes souches sur sorghos résistants et sur 2 cultivars de maïs (2570 OH45) ont divergé, mais pas toujours dans la même direction. Par exemple, les insectes élevés sur maïs ont consommé plus facilement le sorgho résistant que ne l'ont fait les insectes élevés sur sorgho, tandis que le contraire a été observé avec le maïs OH45. Les 2 souches ont montré le même comportement alimentaire sur les différents cultivars. Le maximum de temps à été consacré à s'alimenter sur sorgho résistant et le moins sur le maïs AP6.70.Bien qu'il n'y ait eu aucune différence entre les comportements alimentaires des souches élevées sur maïs et sur sorgho, elles ont présenté des différences de poids et de fécondité. Ces résultats ont montré l'absence de corrélation entre l'ingestion de phloème (PI) et le moment de la première consommation de phloème (CPI) d'une part, et la fécondité d'autre part. Sur tous les cultivars, les insectes élevés sur maïs ont toujours été au moins aussi féconds que ceux élevés sur sorgho. Il en est de même pour le poids de leurs descendants, bien que les insectes élevés sur maïs pèsent moins sur leur hôte propre (OH45) que les insectes élevés sur sorgho sur leur hôte propre (NC + 630X). Les corrélations entre poids et fécondité ont été positives dans les 2 souches et pour tous les cultivars, mais les 2 souches ont été plus fécondes et ont gagné plus de poids sur sorgho et sur le cultivar Antigua de maïs que sur les autres cultivars de maïs. Or, les sorghos et le maïs Antigua sont considérés comme manquant de DIMBOA, qui doit être vraisemblablement présent dans les autres cultivars de maïs. DIMBOA est undacide hydoxamique commun dans le maïs connu pour réduire la fécondité, la survie et la prise de nourriture des hétéroptères.Ces résultats confirment les possibilités de colonisation du maïs par le biotype E de S. graminum, bien qu'il ait été plus fécond sur sorgho. Ces résultats suggèrent aussi que les insectes élevés sur maïs sont différents des insectes élevés sur sorgho, par adaptation génétique ou physiologique, avec modification concomitante du poids des adultes et de la fécondité. Par suite de ces différences, les insectes élevés sur maïs sont plus aptes à utiliser le maïs et le sorgho résistant que les insectes élevés sur sorgho. Tout ceci suggère les possibilités de développement d'un biotype dangereux pour le maïs.
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13.
Résumé Des élevages expérimentaux deCallosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae) sur les graines deVicia faba décortiquées ou non, ou sur des pastilles faites des mêmes graines, ont permis de mettre en évidence une barrière empêchant le développement de la bruche.Avec les graines entières, toutes les larves meurent au premier stade enfoncées dans le tégument; alors qu'elles se développent normalement dans les graines décortiquées.Avec des pastilles de broyats de graines non décortiquées, la majorité des larves meurt avant le terme de leur développement; la plus forte mortalité est observée au quatrième stade larvaire. Les larves, qui survivent, accusent une augmentation de leur durée de développement par rapport à celles qui se nourrissent aux dépens des pastilles faites de graines sans tégument.  相似文献   

14.
Pour vingt-deux espèces de levures étudiées, la petite quantité d'acide lactique toujours formée au cours de la fermentation alcoolique du sucre est constituée par l'acided (–), avec des traces d'acidel (+). Par contre, les levuresSaccharomyces veronae forment, suivant les conditions, souvent exclusivement de l'acidel (┌) à des taux élevés et, en tout cas, des quantités toujours nettement supérieures aux autres levures. Observée sur seize souches deSaccharomyces veronae d'origine différente, cette formation d'acidel (├) lactique est un caractère de l'espèce.  相似文献   

15.
A fly parasite,Lixophaga diatraeae (Townshend), of the sugarcane borer,Diatraea saccharalis (F.), is currently being produced at our laboratory to determine if it can be released periodically in sugarcane fields and control sugarcane borers. This parasite is reared on sugarcane borers in the laboratory. Frequently more than one parasite develops on a single host insect and host insects vary in size.When several parasites entered the same host some did not develop because of competition between them. This problem was more acute in young host sugarcane borers than in older sugarcane borers. The early 5th stage sugarcane borer larva was the most suitable stage for parasite development.
Résumé Quand des larves deDiatraea saccharalis (Borer de la canne à sucre) sont parasitées par la TachinaireLixophaga diatraeae, la mortalité s'accroît avec l'augmentation du nombre de parasites hébergés par les larves-hôtes et cela, du début du 1er stade jusqu'au 4ème stade larvaire; cependant la mortalité est plus faible chez les larves les plus âgées au moment de l'attaque du parasite. La durée du développement larvaire des asticots de la Tachinaire est plus courte chez les larves hôtes les plus âgées et diminue également en fonction du nombre de parasites par hôte; toutefois la durée du développement nymphal n'est pas affectée par le superparasitisme. Par contre le poids des pupes du parasite décroît avec la densité du parasitisme.La taille des Tachinaires n'influence pas le choix des partenaires lors de l'accouplement, mais le nombre d'ufs pondus s'accroît avec le poids des femelles. Le superparasitisme n'affecte pas la longévité du diptère parasite, mais les femelles vivent plus longtemps que les mâles, qu'elles soient issues d'un hôte faiblement ou fortement parasité.Les asticots deLixophaga muent deux fois à l'intérieur de l'hôte; elles émergent au cours du 3ème stade larvaire pour la pupaison. Une compétition se manifeste entre les asticots, le taux de survie dépendant du nombre de parasites par larve-hôte, de la localisation des asticots sur le tronc trachéen longitudinal de l'hôte, et de la promiscuité entre ces larves endoparasites.
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A study of sampling variability in field populations of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata (Say), on tomato in eastern Ontario, showed that inter-plant variance was the major source of variation for eggs and larvae, and that intra-plant variance was the major source for adults. For eggs and larvae, the most appropriate sample unit was the basal one-sixth of the plant with its foliage or fruit. For adults, it was preferable to take the whole plant. The number of plants required for reliable population estimates was inversely proportional to population density; this relationship was graphed for three levels of sampling precision (10%, 15%, and 20% standard error).
Résumé Dans le but d'expliquer pourquoi le Doryphore est un ravageur de peu d'importance pour la tomate, des études de populations ont été entreprises dans l'est de l'Ontario en 1968. L'objet était de réaliser des tables de vie écologiques et d'élucider le ou les facteurs qui sur tomate agissent sur les populations de l'insecte. Ce travail rapporte la variation entre les échantillons pour les différents stades de développement et se base sur l'étude de ces faits pour concevoir une méthode d'échantillonnage pour l'estimation des populations et de leur mortalité.L'analyse de variance montre que la variance entre les plantes hôtes est la source principale de la variation du nombre d'ufs et de larves, et que la variance à l'intérieur de l'échantillon de plante-hôte était à l'origine de la variation observée dans le nombre d'adultes.Pour les ufs et les larves l'unité d'échantillonnage la plus favorable est la partie basale de la plante avec son feuillage et ses fruits, représentant 1/6 de l'individu entier. Pour les adultes il est préférable de prendre la plante entière. Le nombre des plantes nécessaires pour aboutir à des estimations valables est inversement proportionnel à la densité de population; ces relations ont été traduites en graphiques pour 3 niveaux de précision de l'échantillonnage (10%, 15% et 20% de l'erreur standard). Dans les conditions des populations existantes il a été montré qu'un homme travaillant 40 heures/semaine pourrait recueillir et examiner un nombre suffisant d'échantillons pour obtenir une précision de 15%.


Contribution No. 338, Ottawa Research Station.  相似文献   

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In previous screening tests the two wild crop relatives Avena macrostachya (Bal., ex Coss. et Dur.) and Hordeum bogdani (Wil.) demonstrated a high degree of resistance to the aphid Rhopalosiphum padi (L.). In a choice situation using wild and cultivated oats and barley, alate aphids settled in lower numbers on the wild species. The results were, however, variable in the Avena combination. Nymph production was significantly higher, development time shorter and adult weight higher on the cultivated varieties. From the third instar and onwards the excretion of honeydew was significantly lower on the resistant plants. In general the honeydew contained less than 1% free amino acids although excreta from H. vulgare contained 3.5%. The percentage of free amino acids found in the honeydew was similar for all plant species (5.2–7.6%) except for H. vulgare, on which the aphids excreted 22% of the amounts ingested. Amino acids excreted in high proportions on all plants included asparagine, -aminobutyric acid, glutamic acid, and glycine. Tissue sectioning did not reveal any obvious mechanical barriers to stylet penetration. The potential use of these wild species as sources for aphid resistance breeding in oats and barley is considered.
Résumè Lors d'examens systématiques antérieurs, Avena macrostachya (Bal. ex Coss. & Dur.) et Hordeum bogdani (Wil.) ont présenté une résistance élevée au puceron Rhopalosiphum padi (L.). Lorsqu'ils avaient un choix comprenant de l'avoine et de l'orge cultivés, les pucerons ailés ont atterri en nombres moins importants sur les espèces sauvages. Les résultats étaient cependant variables dans le complexe avoine. La production de nymphes et le poids des adultes étaient plus élevés sur espèces cultivées, ainsi que la durée du développement était plus longue sur les espèces sauvages. A partir du troisième stade, l'excrétion de miellat a été significativement plus faible sur les espèces résistantes. En général, le miellat y contenait moins de 1% d'acides aminés bien que sur H. vulgare il en contînt 3,5%. Les pourcentages d'acides aminés libres du miellat étaient semblables sur toutes les plantes (5,2–7,6%), à l'exception de H. vulgare sur lequel les pucerons excrétaient 22% des taux ingérés. Les acides aminés excrétés en fortes quantités sur les différentes plantes, comprenaient l'asparagine, l'acide -aminobutyrique, l'acide glutamique et la glycine. Des coupes de tissus n'ont révélé aucun obstacle mécanique clair à la pénétration des stylets. Les possibilités d'utiliser ces espèces sauvages comme source de résistance aux pucerons dans la sélection de l'avoine et de l'orge ont été examinées.
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18.
Résumé Les auteurs ont isolé plus de 700 souches de bactéries lactiques à partir de raisins, de moûts, de vins de diverses origines et à différents stades de conservation. Ils étudient ici 253 souches de bacilles hétérofermentaires, dans le but d'établir une classification simple et un catalogue permettant un repérage facile des souches.Il est commode de classer les souches d'après la fermentation des pentoses, en raison de la netteté de ces tests, alors que parfois ceux appliqués à d'autres sucres ont des caractères moins tranchés. On retrouve alors la classification qui avait été déjà donnée par Vaughn, Douglas et Fornachon en 1949.Les bacilles pentoses négatifs (26 souches) forment l'espèce Lactobacillus fructivorans. Ceux qui font fermenter seulement l'arabinose (4 souches) ou seulement le xylose (155 souches) correspondent respectivement à Lactobacillus desidiosus et à Lactobacillus hilgardii. L'espèce Lactobacillus brevis comprend les bacilles pentoses positifs (68 souches).
A study of two hundred and fifty strains of lactic acid bacteria
Summary The authors have isolated more than 700 strains of lactic acid bacteria found in grapes, musts and wines of various origins and at different states of conservation. They study in this work 253 strains of heterofermentative bacilli in order to work out a classification and a catalogue allowing easy identification of the strains.It is convenient to classify the strains from the fermentation of pentoses, on account of the accuracy of these tests, tests on other sugars having sometimes less specific characters. The results are consistant with the classification already established by Vaughn, Douglas and Fornachon in 1949.Pentose negative bacilli (26 strains) constitute the species Lactobacillus fructivorans. The ones which ferment only arabinose (4 strains) or only xylose (155 strains) correspond to Lactobacillus desidiosus and Lactobacillus hilgardii. The pentose positive strains (68) belong to the species Lactobacillus brevis.
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Females of the gall midge Rabdophaga terminalis (H. Loew) (Diptera: Cecidomyiidae) are very selective in their choice of host plants at oviposition. In preference trials, eggs were laid almost exclusively on S. alba and S. fragilis. One single oviposition occurred on S. viminalis but none on S. triandra, S. daphnoides or S. smithiana. Significantly more eggs were laid on S. alba than on S. fragilis. No differences were detected between clones of the same species regarding oviposition in laboratory trials. Within the species of S. alba, larger buds were preferred. However, this did not explain the preference of S. alba to S. fragilis. There was agreement between plant species selected by the females and survival of the larvae. No galls developed when eggs were transferred to species that were not oviposited on. There was no difference between S. alba and S. fragilis in larval growth, but after two weeks of development there was a significantly higher proportion of larvae in cocoons and pupae on S. alba. There was a negative linear relationship between weight of larvae and larval number per gall, indicating larval competition. The negative slope was steeper for S. alba than for S. fragilis when larvae were weighed after two weeks of development. There were some discrepancies between laboratory and field data on infestation of S. alba and S. fragilis. Higher infestation levels were related to denser stands in the field.
Résumé Etude de la ponte et des performances larvaires de Rabdophaga terminalis (Diptera; Cecidomyiidae) sur plusieurs espèces de saules avec examen particulier de l'influence de la taille des bourgeons.La ponte et les performances larvaires de la cécidomyie galliforme, Rabdophaga terminalis (H. Loew) ont été étudiées sur plusieurs espèces et clones de saules cultivés en Suède. Les femelles sélectionnent avec soin les plantes hôtes lors de la ponte. Dans des essais préférentiels, les oeufs ont été pondus presque exclusivement sur S. alba et S. fragilis; une ponte a été observée sur S. viminalis et aucune sur S. triandra, S. daphnoïdes ou S. smithiana. Significativement plus d'oeufs ont été pondus sur S. alba que sur S. fragilis. Les essais au laboratoire n'ont pas permis de déceler des différences entre clones de la même espèce. Chez S. alba, les plus gros bourgeons étaient préférés, mais ceci ne permet pas d'expliquer la préférence pour S. alba par rapport à S. fragilis. Il y a coïncidence entre les plantes choisies par les femelles et al survie des larves; il n'y avait pas développement de galles quand des oeufs étaient transférés sur des espèces qui n'avaient pas reçu de pontes. La croissance larvaire sur S. alba et S. fragilis ne présentait pas de différences, mais après 2 semaines de développement il y avait significativement plus de larves en cocons et pupes sur S. alba. La corrélation entre le poids des larves et le nombre de larves par cellule était linéaire et négative, ce qui indique une compétition larvaire; la pente était plus raide pour S. alba que pour S. fragilis quand les larves étaient pesées au bout de 2 semaines de développement. Il y a eu quelques discordances entre les résultats au laboratoire et les données de terrain sur la contamination de S. alba et S. fragilis. Les plus fortes contaminations étaient observées à l'extérieur sur pépinières denses.
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A method for injection of substances into the intestinal lumen via the anal pore is described for fourth instar larvae of Aedes aegypti. Both oral and anal injections were possible with fourth instar larvae of Toxorhynchites amboinensis.
Résumé On a pu introduire à partir du pore anal des échantillons liquides d'environ 1/3 l dans la lumière intestinale de larves du 4e stade d'Aedes aegypti. Un colorant injecté s'est réparti dans l'intestin postérieur et l'intestin moyen.11 l de solution ont pu être injectés oralement ou analement dans des larves de 4e stade de Toxorhynchites amboinensis. Les mortalités moyennes ont été de 20% (0 à 30%) pour des larves de A. eegypti et de 4% (0 à 10%) pour les larves de T. amboinensis. Nous avons évalué l'interêt de cette technique pour l'étude de l'action directe de toxines et d'autres substances sur les cellules intestinales. Nous avons souligné les possiblités de prélèvement local et de mesures physiologiques (pH, potentiel électrique transépithélial).
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