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1.
Oatman  E. R.  Gilstrap  F. E.  Voth  V. 《BioControl》1976,21(3):269-273
The effect of different release rates of a predaceous mite,Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, on the twospotted spider mite,Tetranychus urticae Koch, on strawberry was investigated in southern California in 1970–71. The spider mite population reached a peak of 206.3 active stages/leaflet in the low-rate (5/plant) release plot on May 4 and 169.1/leaflet in the high-rate (10/plant) release plot on May 18, compared to a peak of 433.4/leaflet in the control (no release) plot on May 11. The mean numbers of spider mites in the low-, and high-rate release plots were significantly different from the control from April 6 through June 15, but were never significantly different from each other. The predator population reached a peak of 13.1 and 23.8 active stages/leaflet in the low-, and high-rate release plots, respectively, on May 25 which was 3 weeks and 1 week after the spider mite population reached its peak in these plots. The seasonal mean numbers of spider mite active stages in the low-, and high-rate release plots were significantly different (P=0.05) from the control, but were not significantly different from each other. There were no significant differences in fruit yield (g/plant) or fruit size between the low-, and high-rate release and control plots.
Résumé Des lachers de l'acarien prédateurPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot ont été réalisés en 1970–71 dans deux fraiseraies de la Californie du Sud infestées parTetranychus urticae Koch. La densité des populations larvaires deT. urticae a atteint le 4 mai un maximum de 206,3 par foliole là où le lacher avait été de 5 par plante (parcelle 1) et de 169,1 pour 10 prédateurs par plant (parcelle 2) le 11 mai, alors que le témoin en contenait 433,4 par foliole. La densité des populations larvaires deT. urticae était comparable dans les parcelles 1 et 2 entre le 6 avril et le 15 juin, mais divergeait sensiblement de celle du témoin. Les populations de larves du prédateur ont atteint un maximum de 13,1 et 23,8 par foliole dans les parcelles 1 et 2 les 13 et 25 mai, respectivement, soit 3 semaines et 1 semaine après que celles deT. urticae aient atteint leur maximum. Pour la saison, la densité moyenne des populations larvaires deT. urticae enregistrée dans les parcelles 1 et 2 différaient considérablement de celle du témoin (P=0.05), mais la différence entre les terrains 1 et 2 n'était pas significative. Il n'y a pas eu de différences importantes entre la récolte de fraises (g/plante) ou la dimension des fruits récoltés dans les parcelles 1 et 2 et le témoin.
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2.
Populations of the June beetle,Amphimallon solstitialis (Coleoptera: Scarabaeidae), were sampled from grasslands near Darmstadt, Germany, and found to be infected by a number of diseases and parasitic nematodes. Several milky diseased larvac were found, andBacillus popilliae type A 1 isolated as the causative agent. The bacterium readily infected healthy larvae ofA. solstitialis when administeredper os in the laboratory, but was not infective to larvae ofMelolontha hippocastani by this route. A large mermithid nematode was found parasitising 10% of theA. solstitialis larvae at one site andHeterorhabditis bacteriophora was found infecting larvae at the other.
Résumé Des populations deAmphimallon solstitialis (Col.: Scarabaeidae) ont été échantillonnées dans deux prairies distinctes près de Darmstadt (Allemagne) et se sont révélées infestées par des maladies et des nématodes parasites. Plusieurs larves dans chaque site étaient infectées par la maladie laiteuse etBacillus popillae, type A1 a été isolé comme étant l'agent responsable. La bactérie infeste facilement des larves saines deA. solstitialis quand elle est administrée par voie orale au laboratoire mais n'a pas d'effet infectieux pour les larves deMelolontha hippocastani par cette même voie. Un grand nématode mermithide a été trouvé parasite de 10% des larves deA. solstitialis sur un seul site, mais comme seuls les jeunes ont été trouvés, la détermination à l'espèce n'a pu être faite.Heterorhabditis bacteriophora était responsable de l'infection de 1,5% des larves sur seulement un site. Plusieurs larves deA. solstitialis présentaient une couleur ambrée, identique à celle trouvée sur le scarabéeCostelytra zealandica infecté parSerratia spp., et ne se nourrissaient pas de carotte au laboratoire. Les bactéries isolées à partir de ces larves ne provoquent aucun effet visible quand elles sont données en nourriture à des larves saines.
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3.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

4.
P. Silvie 《BioControl》1991,36(3):431-441
Résumé Le parasitisme naturel deS. derogata et deC. flava, 2 Lépidoptères phyllophages du cotonnier a été étudié pour la première fois au Tchad en 1986 et 1987. Le pourcentage de parasitisme des larves deS. derogata récoltées dans les champs avoisinait en moyenne 18,5% en 1986, année avec une faible infestation de larves et 14,1% en 1987, année avec une forte infestation. En 1986,Meteoridea testacea (Braconidae) était le parasito?de le plus commun tandis qu'en 1987, quand plus de larves h?tes étaient disponibles,Apanteles syleptae (Braconidae) était l'espèce la plus commune. En 1987, des parasito?des secondaires sortaient de beaucoup de cocons de braconides apportés du champ au laboratoire, pour une étude ultérieure. En 1987, 15,7% des larves deC. flava récoltées dans les champs furent parasitées. Les parasito?des primaires qui sortaient de ces larves étaient tous spécifiques des espèces. Le parasito?de primaire le plus commun étaitAleiodes aligharensis (Braconidae). Par opposition, les parasites secondaires n'étaient pas spécifiques, mais c'étaient les mêmes espèces qui infestaient les cocons des parasito?des deS. derogata.   相似文献   

5.
The virulence of the DAT F-001 isolate ofMetarhizium anisopliae forAdoryphorus couloni was tested by exposing final instar larvae (L3) to concentrations of 101 to 107 spores/g in a sand-peat mix for up to 112 days at 20°±2°C. All concentrations were pathogenic to L3 larvae and survival was dependent on concentration and correlated with exposure time. The time to kill 50% of the treated larvae (LT50) ranged from 18.9 days (107 spores/g) to 82.7 days (101 spores/g). The effect of DAT F-001 on feeding by L3 larvae was determined by comparing the production and weight of frass pellets/larva/day of untreated control larvae with larvae rolled in sporulating cultures ofM. anisopliae DAT F-001 and DAT F-054 (low virulence). Exposure to, and infection byM. anisopliae DAT F-001 had minimal impact on larval feeding. L3 larvae continued to feed at the same rate as both untreated and DAT F-054 treated larvae virtually until they died.
Résumé La virulence deM. anisopliae DAT F-001 pourA. couloni a été analysée en exposant des larves L3 à des concentrations de 101 à 107 spores/g dans un mélange de sable et de tourbe pendant un maximum de 112 jours à une température de 20°±2°C. Toutes les concentrations sont pathogènes pour les larves L3; la survie dépendait de la concentration et est en corrélation avec le temps d'exposition. Les LT50 sont compris entre 18,9 jours (107 spores/g) et 82,7 jours (101 spores/g). L'effet de DAT F-001 sur l'alimentation des larves L3 a été évalué en comparant la production et le poids des fèces/larve/jour des larves non-traitées avec des larves roulées dans des cultures sporulées deM. anisopliae DAT F-001 et DAT F-054 (faible virulence). L'exposition àM. anisopliae DAT F-001 suivie de l'infection a peu d'effet sur l'alimentation des larves. Les larves L3 continuent à s'alimenter au même rythme que les larves non-traitées de DAT F-054, quasiment jusqu'à leur mort.
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6.
B. Hurpin  P. H. Robert 《BioControl》1969,14(4):349-357
Résumé Les résultats des infections au laboratoire des larves deM. melolontha par le virus de la ≪sphéro?dose≫ ont fait l'objet d'essais sur le terrain dans la Sarthe. Cette expérimentation, en parcelles, préliminaire à des applications à une échelle plus agricole, a mis en évidence la possibilité d'implantation de la maladie dans un sol non contaminé naturellement et le développement de cell-ci avec le temps. D'après cet exemple les possibilités d'emploi de ce type de virus en lutte microbiologique contre les insectes sont discutées.
Summary The results of laboratory infections ofMelolontha melolontha larvae by the virus of ≪sphero?dosis≫ have been tested in the field in Sarthe. These plot experiments were made preliminary to applications on a larger agricultural scale, and have shown the possibility to implant the disease in a naturally non-infected soil, and the further development of this disease. By this example, the possibilities to use this type of virus in microbial control against insects are discussed.
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7.
Résumé L'auteur a étudié l'effet des lachers deTrichogramma cacoeciae en nombres différents sur 8 parcelles de 100 arbres chacune. En outre, 2 parcelles supplémentaires ont été choisies dans lesquelles 500 000 spécimens de Trichogrammes ont été introduits respectivement une semaine et deux semaines plus tard. Les résultats sont montrés par les figures 2, 3. Même la diminution par 20 du nombre des Trichogrammes libérés affecte à un faible degré seulement, la réduction du pourcentage d'infestation des fruits (fig. 2). La figure 3 montre clairement combien il est important que le Trichogramme soit introduit au moment favorable de la biologie du ravageur.   相似文献   

8.
Invertebrate predation was shown to be the greatest mortality factor on diapausing larvae ofBathyplectes curculionis (Thomson) in Illinois. Feeding tests were conducted in which specific predators were determined by exposingB. curculionis larvae to various surface dwelling invertebrates found in alfalfa fields. In addition, field plantings of parasite larvae in modified cages were used to determine the size of predators, and also, if litter density affected predation. Seasonal activity ofB. curculionis predators was also measured from 4 April 1975 to 18 November 1975 via 15 pitfall traps located in 3 alfalfa fields. Results from feeding studies showed that spiders,Cicindelidae, Formicidae and smallStaphylinidae never preyed uponB. curculionis larvae in cocoons. The 2 groups of predators which consumed the larvae were field crickets,Gryllus pennsylvanicus Burm., and various species ofCarabidae. Predation on the parasite larvae planted in the field was mainly caused by moderately sized invertebrates, and was not significantly affected by litter density. The greatest number of total predators (G. pennsylvanicus plus Carabids) caught/day/pitfall trap, and the greatest predation on field-plantedB. curculionis larvae, occurred concurrently during September and October. These data suggest that predation during September and October may be significant in reducing field populations of diapausing parasite larvae. Based on feeding studies and pitfall trap catches,Gryllus pennsylvanicus and the carabids,Abacidus permundus (Say),Evarthrus sodalis LeConte,Harpalus pennsylvanicus DeGeer andScarites subterraneus Fab., were the most important predators onB. curculionis larvae.
Résumé Il a été montré que les prédateurs invertébrés sont le plus grand facteur de mortalité des larves en diapause deBathyplectes curculionis (Thomson) en Illinois. On a fait des essais alimentaires dans lesquels on a déterminé des prédateurs spécifiques en exposant les larves deB. curculionis à divers invertébrés trouvés dans les champs de luzerne. De plus, des larves du parasite, dans des cages modifiées implantées dans les champs, ont été employées pour vérifier la taille des prédateurs et aussi pour savoir si la densité de la litière a influencé les prédateurs. L'activité saisonnière des prédateurs deB. curculionis a été mesurée du 4 avril 1975 au 18 novembre 1975 au moyen de 15 pièges placés dans 3 champs de luzerne. Les résultats des essais alimentaires montrent que les araignées,Cicindelidae, Formicidae et de petitsStaphylinidae n'ont jamais utilisé comme proie les larves en cocon deB. curculionis. Deux groupes de prédateurs ont consommé les larves: les grillons,Gryllus pennsylvanicus Burm., et des espèces variées deCarabidae. Pour la plupart ce sont des invertébrés de taille modérée qui ont utilisé comme proie les larves implantées dans les champs, la densité de litière n'étant pas significative. Le plus grand nombre de prédateurs au total (G. pennsylvanicus plusCarabidae) attrapés par jour et par piège et la plus grande consommation de larves deB. curculionis se sont produits concurremment en septembre et en octobre. Ces données indiquent que les prédateurs en septembre et octobre peuvent être très importants pour réduire le nombre de larves parasites en diapause. Si l'on juge selon les essais alimentaires et selon ce qu'on a attrapé dans les pièges,Gryllus pennsylvanicus et lesCarabidae, Abacidus permundus (Say)tEvarthrus sodalis LeConte,Harpalus pennsylvanicus DeGeer,et Scarites subterraneus Fab., on, constitué les prédateurs spécifiques les plus importants des larves deB. curculionis.


This publication was supported by the Illinois Natural History Survey, The Illinois Agricultural Experiment Station, National Science Foundation, and the U.S. Environmental Protection Agency, through a grant (NSF GB-34718) to the University of California. The findings, opinions and recommentations expressed herein are those of the author(s) and not necessarily those of the University of California, the National Science Foundation and the Environmental Protection Agency.  相似文献   

9.
G. M. Tatchell 《BioControl》1981,26(3):291-299
The effects of temperature and granulosis virus infection both on the development ofPieris rapae L. and the area of cabbage leaf consumed by larvae were investigated. The duration of the larval period increased from 12.9 days at 24°C to 45.3 days at 13°C. The thermal constant for larval development was 196.1 day °C above the threshold temperature of 9.4°C. The area of cabbage leaf consumed per day increased with larval age so that 5th instar larvae ate 70.9% of the total food consumption. Virus infection extended the larval instar in which death occurred and reduced the potential food consumption by as much as 99.6%. Larger virus doses reduced food consumption within the same instar more than smaller doses. The results are discussed in relation to the feasibility of using granulosis virus for the control ofP. rapae.
Résumé L'étude a porté sur les effets de la température et de l'infection provoquée par le virus de la granulose sur le développement dePieris rapae L. et la quantité de feuillage de chou consommée par les larves. La durée du stade larvaire a augmenté de 12,9 j à 24°C à 45,3 j à 13°C. La constante thermique pour le développement larvaire a été de 196,1°C au-delà du seuil de température de 9,4°C. La superficie de feuillage consommée par jour s'est accrue en fonction de l'age des larves de sorte que les larves au 5e stade ont mangé 70,9% de la superficie totale consommée. L'infection provoquée par le virus a augmenté la durée du stade de mortalité et a diminué la consommation potentielle de feuillage de 99,6%. Des doses plus élevées de virus ont réduit la consommation dans le même stade davantage que les doses plus faibles. Les résultats sont discutés par rapport à la possibilité d'utiliser le virus de la granulose dans la lutte biologique contreP. rapae.
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10.
Selected strains ofMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor. were grown on oat grain and tested in field experiments againstOryctes rhinoceros L. It was found thatM. anisopliae survived in breeding site materials for at least 24 months, with survival not greatly affected by the type of material or by seasonal factors. Naturally occurring breeding sites were examined 3 months after they had been surface treated with oat grain inoculum ofM. anisopliae. In most sites all the larvae had been killed by the fungus while some contained both diseased and apparently healthy larvae. Recommendations are made for the use ofM. anisopliae as part of a general control programme for this coconut pest.
Résumé Certains types sélectionnés deMetarhizium anisopliae ont été cultivés sur des grains d'avoine et examinés en tant qu'insecticides biologiques au cours d'expériences pratiques contre lesOryctes rhinoceros. Les résultats ont montré queM. anisopliae peut survivre sur les matériaux du lieu de culture pendant au moins vingt-quatre mois, leur survie n'étant pas particulièrement affectée par le type de matériel ou par les facteurs saisonniers. Les lieux de culture naturels ont été examinés trois mois après qu'ils aient été traités superficiellement par l'inoculum de grain d'avoine deM. anisopliae. La plupart des lieux de culture contenaient seulement des cadavres de larves d'O. rhinoceros tués par le champignon tandis que certains autres contenaient à la fois des larves malades et des larves en apparence saines. L'utilisation deM. anisopliae est recommandée dans le cadre du programme général de lutte contre cet insecte nuisible qui s'attaque à la noix de coco.
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11.
Résumé La persistance des conidiospores deNomuraea rileyi (F.) Samson à la surface du couvert végétal a été étudiéein situ en culture de féverole (?Féverole 1 et 2?) et de chou. L'effet du rayonnement solaire sur la survie du germe a été analysé, d'une part, dans des microparcelles recouvertes d'écrans sélectifs arrêtant les radiations de longueurs d'onde inférieures à 320 nm (UV A+) ou à 400 nm (UV) ou par un écran total vis-à-vis du rayonnement direct (RYT) et, d'autre part, dans une microparcelle découverte (RYT+). Les conditions microclimatiques ont été suivies pendant toute la durée des expérimentations et le contr?le de l'activité résiduelle du champignon a porté essentiellement sur le dénombrement des spores viables sur milieu nutritif après mise en suspension d'un broyat des échantillons de feuilles prélevés sur le terrain. Dans le cas des variantes expérimentales (RYT+) et (RYT) le potentiel infectieux a été éprouvé sur des larves deSpodoptera littoralis Boisd. (Lépidoptère Noctuidae) alimentées pendant 24 h avec des rondelles de feuilles recueillies dans le couvert. La durée de demi-vie de l'inoculum sporal est étroitement liée à l'ensoleillement; par temps clair elle peut atteindre un minimum de 3,6 h (?Féverole 1?), alors que dans les microparcelles totalement protégées du rayonnement direct, elle est supérieure à 40 h. Les données d'activité pathogène confirment l'inactivation de l'inoculum soumis au rayonnement solaire. Parallèlement, le recours aux écrans transparents (UV A+) ou opaques (UV) au proche ultra-violet (320–400 nm) a permis de démontrer clairement l'effet léthal de l'UV A naturel sur les conidiospores deN. rileyi, dont les demi-vies peuvent être réduites jusqu'à 4 fois (?Féverole 1?: XUV A +=11,6 h au lieu de XUV−=48,2 h). A partir de ces résultats, on estime que par temps ensoleillé en été, le potentiel d'inoculum deN. rileyi exposé au rayonnement solaire direct peut chuter de 104 fois en une semaine, alors que par temps couvert cette réduction n'aurait été que de 100 fois. Avec la collaboration technique deH. Vermeil de Conchard.  相似文献   

12.
Résumé

Au cours des dernières décennies, les essais de régénération du chêne-liège en forêt de la Mamora se sont heurtés à des attaques massives de vers blancs sur les racines des jeunes plants, avec un taux de réussite des plantations ne dépassant guère 12% dans la majorité des parcelles de régénération. La biologie de Sphodroxia maroccana Ley (Coleoptera : Melolonthidae), le ravageur principal, a été en partie élucidée, avec encore des lacunes concernant la période exacte ?émergence des mâles par rapport aux femelles, la longévité des imagos et la sex-ratio. La sècheresse esti vale est parmi les autres causes de dépérissement des jeunes plants. Lors de la première année suivant la plantation dans des parcelles expérimentales, la mortalité cumulée due aux attaques larvaires et à la sècheresse a varié entre 41% et 68% selon les blocs considérés dans les parcelles. La mortalité liée aux attaques des larves de S. maroccana était comprise entre 24 et 43%, avec une distribution en taches des dégâts, plus ou moins importantes selon la densité initiale des plants. L’isolement par micro-extraction en phase solide des effluves femelles de S. maroccana a permis ?identifier le résorcinol (1,3-benzènediol) comme composé phéromonal présumé. La fonction de cette molécule comme phéromone reste toutefois à démontrer.  相似文献   

13.
Refined petroleum products have been used since last century for the control of phytophagous arthropod pests. The response ofHelicoverpa spp. and its natural enemies to petroleum oil sprays on cotton was investigated under laboratory choice/no-choice and small plot field conditions at the Australian Cotton Research Institute at Narrabri in New South Wales. In oviposition choice and no-choice tests, petroleum oil sprays suppressed oviposition inHelicoverpa punctigera (Wallengren) but notH. armigera (Hubner) (Lepidoptera: Noctuidae).H. punctigera females laid about seven times as many eggs on the control (water sprayed) cotton plants as on either petroleum oil spray alone or oil mixed with Kelgum. HoweverH. armigera females laid the same number of eggs on both treated and control plants. In field trials, the number of eggs per metre per sample date found on the plots treated with petroleum oil spray was 3.83 compared with 6.29 and 7.82 eggs respectively on plots treated with conventional insecticide sprays and the unsprayed plots. The number of larvae found on plots treated with petroleum oil sprays was 2.9 times higher than the conventional insecticide sprayed plot, however, this was 1.6 times fewer than the unsprayed plot. The cotton yields from plots treated with petroleum oil sprays was 3.70 bales/ha compared with 7.32 and 2.69 bales respectively from the conventional insecticide treated and the unsprayed plots. Petroleum oil sprays had little or no effect on predatory beetles, bugs, lacewings and spiders.
Résumé Des produits de pétrole raffiné ont été utilisés depuis le siècle dernier pour lutter contre les arthropodes ravageurs phytophages. La réponse deHelicoverpa spp. et des ses ennemis naturels à des pulvérisations d'huile de pétrole sur cotonnier a été étudiée en laboratoire dans des expériences de choix et d'absence de choix ainsi que dans de petites parcelles en plein champ à l'Institut de Recherche australien sur le coton (Narrabri, Nouvelles Galles du Sud). Dans des expériences de choix/non choix concernant l'oviposition, les pulvérisations d'huile de pétrole empêchaient la ponte d'Helicoverpa punctigera (Wallengren) mais pas deH. armigera (Hubner) (Lep.: Noctuidae). Les femelles deH. punctigera pondent environ 7 fois plus d'oeufs sur les plants de coton témoins (pulvérisés avec de l'eau) que sur les plants traités à l'huile de pétrole seule ou en mélange avec du Kelgum. Par contre,H. armigera pond le même nombre d'oeufs sur les plants traités ou témoins. Dans les essais en plein champ, les parcelles pulvérisées avec de l'huile de pétrole comportent significativement moins deHelicoverpa et présentent une récolte plus importante que celles non traitées; cependant le nombre de chenilles est plus élevé et la récolte moindre que dans les parcelles traitées avec des insecticides. Les pulvérisations d'huile de pétrole ont un effet faible ou nul sur la faune auxiliaire.
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14.
Les observations faites sur deux cucurbitacées africaines, Lagenaria siceraria Molina (Standl.) et Citrullus lanatus Thumb (Matsum & Nakai) ont permis d’inventorier l’entomofaune (utiles et ravageurs) associée à la pratique culturale. L’évaluation des dégâts occasionnés par les ravageurs a mis en évidence leur impact sur la production. Suivant un schéma expérimental, des parcelles de 49 m2 traitées au CYPERCAL 50 EC (50 g/l de Cypermétrine) et au FURADAN 5G (50 g/kg de Carbofuran) et non traitées ont été disposées en blocs aléatoires. Les observations ont porté sur l’identification et le dénombrement des insectes, sur le pourcentage de plants attaqués ainsi que sur la production de baies mûres et de graines. Au total, 71 espèces ont été identifiées, réparties en 41 familles et 10 ordres (Coléoptères, Hyménoptères, Diptères, Lépidoptères, Orthoptères, Homoptères, Hétéroptères, Dictyoptères, Odonates et Dermaptères). Les principaux ravageurs appartiennent à la famille des Chrysomelidae (Lamprocopa occidentalis, Aulacophora foveicolis, Aulacophora africana, Asbecesta cyanipennis, Ootheca mutabilis et Lilioceris livida), des Coccinellidae (Henosepilachna elaterii et Henosepilachna reticulata) et des Meloidae (Mylabris holosericea). Plus de 50 % de plants sains ont été recensés dans les parcelles traitées contre 0 à 33 % dans les parcelles témoins. Les nombres moyens des baies obtenues dans les parcelles traitées (37,16 ± 2,99 pour L. siceraria et 42,33 ± 2,58 pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) plus importants que ceux observés dans les parcelles témoins (29,33 ± 4,67 pour L. siceraria et 31,33 ± 3,5 pour C. lanatus). Les rendements moyens en graines dans les parcelles traitées (222,39 ± 15,78 kg/ha pour L. siceraria et 127,4 ± 8,16 kg/ha pour C. lanatus) sont significativement (P < 0,001) supérieurs à ceux observés dans les parcelles témoins (144,4 ± 14,52 kg/ha pour L. siceraria et 88,18 ± 8,09 kg/ha pour C. lanatus). Les traitements insecticides, en réduisant les populations de ravageurs et les dégâts sur les plants, ont entrainé une augmentation du rendement à l’hectare de plus de 40 %.  相似文献   

15.
Résumé L'endoparasito?deMicrocharops anticarsiae (Hym.: Ichneumonidae), est un des agents naturels de régulation d'Anticarsia gemmatalis (Lep.: Noctuidae). La préférence pour un stade de l'h?te, les effets sur la sex ratio et la réponse fonctionnelle ont été étudiés expérimentalement chezM. anticarsiae pour six densités différentes de l'h?te. Dans des expériences de choix impliquant 2 stades de développement consécutifs ou dans les cas où étaient offerts en même temps les quatre premiers stades larvaires, les femelles du parasito?de n'ont présenté aucune préférence pour un stade donné. Ces résultats montrent que les femelles deM. anticarsiae acceptent tout h?te disponible indépendamment de son stade. La sex ratio présente des différences significatives entre les quatre stades de l'h?te (G3df=18.21, p<.001). La sex ratio du parasito?de est plus favorable aux femelles chez les larves se développant dans le 4e stade de l'h?te. Une réponse fonctionnelle de type II a été observée chez les parasito?des femelles en réponse à des densités variables de l'h?te. Ces informations fondamentales concernant les effets de la sex ratio ont montré quel est le stade de l'h?te qui doit être parasité pour obtenir la sex ratio la plus favorable aux femelles, tandis que la réponse fonctionnelle a fourni le taux moyen (38.0±7.5) de parasitisme par femelle. Ces informations sont importantes pour la production en masse deM. anticarsiae pour le programme de lutte biologique.   相似文献   

16.
Investigations with the sugarcane borer sex pheromone have been conducted in the laboratory and field since 1964 to: (1) develop a suitable synthetic diet for rearing large numbers of larvae; (2) develop a reliable bioassay to aid chemical studies of the pheromone; (3) study male response in the field to the pheromone; (4) determine the effects on natural populations of trapping males in small field plots; and (5) identify the pheromone. More than 1,000,000D. saccharalis have been reared on synthetic diets during the past 4 years. Bioassay techniques for detecting active fractions separated during chemical studies have been developed. Statistically significant reductions in sugarcane borer infestations and damage to sugarcane have been attained in small replicated field plots. Male movement in the field has been studied utilizing marking and release techniques. About 1400 males of the bluegrass webworm,C. teterrellus, responded to cagedD. saccharalis females during two years of field work, thus providing evidence for a lack of species specificity of the pheromone.
Résumé La découverte en 1964 d’une phéromone sexuelle efficace chez le foreur de la canne à sucre,Diatraea saccharalis (F.) a stimulé la recherche pour identifier et synthétiser la phéromone et faire l’étude de ses possibilités d’emploi dans la lutte contre ces ravageurs.D. saccharalis est le principal insecte nuisible à la canne à sucre en Louisiane où il cause environ 13% des pertes annuelles. Les femelles vierges commencent à émettre ce produit chimique après l’émergence et elles sont le plus attractives pendant les trois premiers jours de vie, ensuite l’attraction diminue avec l’age. Généralement les femelles cessent d’attirer les males après l’accouplement et la majorité des femelles s’accouplent seulement une fois dans la nature, où l’activité sexuelle a lieu entre une heure et quatre heures du matin. Plus d’un million de larves ont été élevées en laboratoire ces quatre dernières années. Environ 75% des abdomens des femelles obtenues ont été utilisés par les chimistes qui cherchent à identifier la phéromone. Des réductions significatives de l’infestation par le foreur et des préjudices à la canne à sucre ont été enregistrées dans de petites parcelles où étaient disposés 400 à 800 pièges par acre, chaque piège contenant une femelle vierge. Il n’y a pas eu de réductions significatives l’année suivante quand la densité des pièges a été réduite à 80 par acre, cependant les captures de males ont augmenté de presque 2,5 fois. Les nombres de males marqués recapturés au point de lacher ne diffèrent pas significativement si les lachers ont été faits à des distances de 40, 80, 160 et 320 pieds du piège renfermant les femelles vierges, et seulement 4,44 pour cent des males ont été recapturés. Ces phénomènes sont peut être dus à la dispersion des males à partir des points de lacher avant leur réponse à la phéromone. Le manque de spécificité de la phéromone a été déjà signalé. Pendant les deux ans d’essais dans la nature, les pièges avec les femelles vierges deD. saccharalis ont attiré beaucoup de males deCrambus teterrellus Zincken.


Presented at the symposium OILB on borers of graminaceous plants. Paris, 24th sept. 1970.  相似文献   

17.
In an effort to suppress the tuliptree aphidIllinoia liriodendri (Monell), approximately 2,000 eggs ofChrysoperla carnea (Stephens) from a commercial insectary were released 4 times on each of 8 tuliptreesLiriodendron tulipifera L. in Berkeley, California, during the spring of 1984. On trees foraged by the Argentine antIridomyrmex humilis (Mayr), 98% of the eggs ofC. carnea were removed from the egg release tapes by the ants. A total of about 1,250 larvae per tree eclosed from the 8,000 eggs released on each tree without ants. Fifty percent of the larvae that did eclose died due to cannibalism or entrapment in the sticky egg release tapes and approximately 625 first instar larvae on each tree were free to forage for aphids. Inundative lacewing releases ofC. carnea did not suppress populations ofI. liriodendri due to ant predation, the low viability of commercial eggs (0–73% eclosion),
Résumé Dans le but de limiter les populations du puceron du tulipierIllinoia liriodendri (Monell), 4 lachers d'environ 2.000 œufs de provenance commerciale deChrysoperla carnea (Stephens) ont été réalisés au cours du printemps 1984 sur 8 tulipiersLiriodendron tulipifera L., à Berkeley en Californie. cannibalism by emerged larvae, and inadequate release technology. Sur les arbres visités par la fourmi d'ArgentineIridomyrmex humilis (Mayr), 98% des œufs deC. carnea ont été enlevés du support artificiel par les fourmis. Sur les arbres exempts de fourmis, la mortalité de 50% des larves est due au cannibalisme ou à leur engluement sur le support de lacher. A partir de 8.000 œufs déposés sur chaque arbre sans fourmi, on aboutit à environ 625 larves de 1er stade susceptibles de rechercher des pucerons. Les lachers inondatifs deC. carnea n'ont pas limité les populations d'I. liriodendri. Les raisons en sont: la consommation par les fourmis, une faible viabilité de la plus grande partie des œufs commercialisés (0–73% d'éclosions), une technique inadaptée pour le lacher des œufs et le cannibalisme par les larves elles-mêmes deC. carnea.
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18.
La localisation des ?ufs et des larves dePsyllaephagus euphyllurae SILV. endoparasite du psylle de l'olivier (Euphyllura olivina COSTA) ainsi que le régime alimentaire de la phase post-embryonnaire sont identifiés par examen microscopique des coupes histologiques de larves de 5c stade parasitèes. L'entomophage dépose les 2/3 de ses ?ufs dans le thorax et son régime alimentaire comprend 2 phases bien distinctes:
  • - une première phase stéatophage de 7 à 7,5 jours pendant laquelle la larve ingère le tissu adipeux de l'hôte,
  • - une deuxième phase sarcophage de 1 à 1,5 jours au cours de laquelle la larve dePsyllaephagus euphyllurae fortement mandibulée consomme tous les organes de l'hôte à l'exception des téguments qui sont alors momifiés.
  • Pendant la 1ère période, la digestion commence à être visible chez une larve âgée de 3 jours, et durant la 2ème période, elle suit l'ingestion des organes de l'hôte qui sont sous forme de fragments non reconnaissables dans le tube digestif moyen.  相似文献   

    19.
    A new virus infecting the pink bollwormPectinophora gossypiella has been detected and purified from dead larvae collected from naturally infested cotton fields. The purified icosahedric virions measured 27±1 nm in diameter and contained RNA genome. Three capsid proteins of 31.7, 32.6 and 47.4 Kd have been separated on polyacrylamide gel. The purified virus was not highly infectious to the host larvae revealed while the pupal period survived from infected larvae was significantly prolonged. The virus particles infecting the midgut cells are grouped in paracrystallin arrays. The virus was vertically transmitted through infected adults. The main characteristics of this virus place are quite relative to the Picornavirus group.
    Résumé Un nouveau virus infectant le ver rose du cotonnier,Pectinophora gossypiella, a été isolé et purifié à partir de larves mortes récoltées en champ de coton. Les virions purifiés de 27±1 nm de diamètre, ont une forme icosaédrique et contiennent un génome à ARN. Trois protéines capsidaires de 31,7, 32,6 et 47,4 Kd ont été trouvées dans les virions. Le virus purifié n'est pas hautement infectieux pour les larves, cependant la durée du stade chrysalide est supérieure chez les lots infectés artificiellement. Dans les tissues atteints, les virions sont dispersés dans le cytoplasme des cellules de l'intestin ou bien groupés en amas paracrystallins de même type que chez d'autres insectes infectés avec des picornavirus. Les adultes malades transmettent ce virus à leur descendance. Par sa forme, sa taille et ses caractéristiques chimiques, ce virus libre peut être placé près des Picornavirus d'insectes.
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    20.
    J. Fargues  A. Vey 《BioControl》1974,19(3):311-323
    Résumé L'étude histopathologique des modalités d'infection des larves deL. decemlineata parBeauveria bassiana au cours de la mue a été réalisée pour mettre en évidence les phénomènes pathologiques particuliers se manifestant au cours du renouvellement du tégument en présence d'une infection cryptogamique. Les techniques histologiques et la microscopie électronique à balayage permettent de suivre la pénétration du champignon chez les larves en prémue, montrant les modalités d'invasion du liquide exuvial et de contamination secondaire du tégument en formation. L'étude des perturbations de la mue chez les larves contaminées souligne l'importance des zones de déchirure du nouveau tégument, non seulement comme voies préferentielles de pénétration des éléments mycéliens multipliés dans le liquide exuvial, mais aussi comme portes d'entrée pour les bactéries. Ces observations apportent une contribution originale à l'étude des mécanismes pathologique provoquant une mortalité différée des insectes.
    Summary The histopathological study of the infectious procces of larvae ofL. decemlineata byB. bassiana was carried out on moulting larvae infected experimentaly. The experiments showed that the differed mortality among this type of insect with a short larval cycle, interrupted by close successive moults, depends on the interaction between the penetration of the fungus and the throwing out of the infected integument. The penetration ofB. bassiana into the larvae at the ecdysial stage was caracterized by invasion of the moulting fluid: infection of the integument in formation and hypodermical histolysis. The disturbance of the tissues was followed by integumental ruptures of the young larva during the emergence from the ecdysis. A double infectious process, of larvae in the moulting stage was shown. On one hand, an infection of the intermoult-integument occurred. On the other hand, the injured regions were routes for massive penetration of hyphal bodies in the hemolymph. Such injuries, also allowed the entrance of bacteria from the moulting fluid to the hemolymph and then caused a septicemia. Larvae after ecdysis, with blackened integumentary patches or with cicatrices, showed hyphal bodies in the hemolymph, which may explain the differed mortality caused by the fungus.
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