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1.
The coefficient of dispersion, an index of the relative proportion of the population at high and low densities, was calculated for a number of outbreak area populations of the red locust. The comparison of these indices showed that the proportion of the population at high densities was greatest near the middle of the adult locust's life. The data suggested that the proportion of locusts at high densities was greater with higher mean locust densities and after the formation of swarms. On the other hand this value was probably lower in a habitat made up of patches of tall and short grass or of burnt-off ground and unburnt stands, than in uniform grassland, and was probably also lower after insecticide attack than before.
Résumé Les populations adultes du criquet nomade dans certains foyers d'origine ont été estimées pendant un certain nombre d'années. La technique employée consiste à conduire un véhicule suivant un tracé préétabli de façon à couvrir systématiquement la superficie et de compter le nombre de sauterelles chassées d'une bande de la largeur d'un Land Rover; les nombres sont notés tous les 160 mètres.Le coëfficient de dispersion (la variance divisée par la moyenne) a été calculé par le comptage des criquets s'envolant dans les sections de 160 m. Celui-ci est un index de la proportion relative de criquets à des densités hautes et basses. Il est indépendant de la grandeur totale de la population de sorte qu'il est possible de faire des comparaisons tant entre les distributions de la population dans des régions différentes et les distributions existant à des périodes différentes dans la même région.La comparaison de ces indices démontra qu'en général le coëfficient de dispersion était le plus élevé vers le milieu du stade adulte (juin, juillet, aôut) c.à.d. qu'à ce moment la plus grande proportion de la population était concentrée sur la plus petite surface.A cause du nombre d'exemples relativement petit il est difficile de déterminer l'effet indépendant d'autres facteurs sur le coëfficient de dispersion. Il est cependant probable qu'à une densité moyenne de criquets plus élevée la proportion de criquets était plus grande à des densités élevées.En outre la densité des criquets formant des essaims est en effet très élevée; la formation d'essaims tendait à accroître le coëfficient de dispersion.Un traitement insecticide paraissait réduire le coëfficient de dispersion. Ceci n'est pas surprenant puisque seuls les essaims en repos on été attaqués.Enfin il est possible que la proportion de criquets à des densités élevées était plus grande dans un habitat relativement uniforme que dans un habitat consistant en des morceaux de terre avec des herbes longues et courtes ou en des terres incinérées et des plages non incinérées.
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2.
The sequence of behavioural steps from male attraction until copulation is described and analyzed for Yponomeuta padellus L. (Yponomeutidae, Lepidoptera). Males respond to a pheromone emitting female with wing fanning followed by upwind zigzagging flight. Males will land near the females and then walk while wing fanning. The antennae drum onto the substratum and the abdominal-hair pencils are displayed. When in contact with a female the male drums with his antennae onto wings, head and antennae. Mostly a clasping attempt follows. A male has a higher chance to be accepted when he firt encounters the rear of a female instead of the head. Females refuse males by walking away or wing fanning or a combination of both.
Résumé Les séquences du comportement depuis l'attraction du mâle jusqu'à la copulation ont été décrites et analysées chez Y. padellus (L.). Les mâles réagissent à une femelle émenttant une phéromone par un hattement d'ailes suivi d'un vol en zigzag contre le vent. Les mâles atterriront près des femelles et marcheront avec leurs ailes en battement. Les antennes tambourinent le substrat et les pinceaux abdominaux sont déplyés. Lorsqu'il est au contact de la femelle, le mâle tambourine avec ses antennes les ailes, la tête et les antennes. Généralement suit une tentative d'étreinte. Les chances de succès sont les plus élevées quand les premiers contacts du mâle sont avec la partie postérieure de la femelle plutôt qu'avec la tête. Les femelles refusent les mâles en s'écartant ou en battant des ailes ou les deux à la fois.Il semble qu'en plus des stimuli cliniques, des stimuli mécaniques fournis par les écailles sont nécessaires pour que les mâles localisent la femelle et s'orientent pour une tentative d'étreinte.
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3.
Interspecific pheromone responses indicate that the sex pheromones of eight species of the genus Yponomeuta Latreille are species specific. Female calling activity reaches a peak in the dark period, but at times varying from 1 to 10 days for different species. The response of the males to some chemicals corresponds with electrophysiological reaction patterns found by Van der Pers & Den Otter (1978).
Résumé Le comportement de pariade a été observé au laboratoire chez huit espèces du genre Yponomeuta avec des photopériodes 16/8 (L/O).Pendant l'appel sexuel, caractérisé par l'abaissement en avant de l'abdomen, provoquant l'extrusion de ses derniers segments et l'exposition des glandes à phéromones, il y a libération de la phéromone femelle.Toutes les espèces d'Yponomeuta ont le même comportement d'appel, mais le moment de la scotophase où il est maximum et l'âge auquel il débute, diffèrent suivant les espèces.La réponse des mâles aux phéromones sexuelles a été déterminée par un test biologique simple. Chaque espèce d'Yponomeuta présente un âge caractéristique de réponse optimale des mâles. L'étude du comportement des mâles en présence d'extraits d'abdomen femelles montre que chaque espèce possède une phéromone spécifique.Le comportement des mâles en présence de certaines substances chimiques est moins net qu'avec les phéromones femelles, bien qu'en accord avec les observations électrophysiologiques d'autres auteurs.
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4.
An apparent fluctuating preference in acridids for food of different water contents is confirmed for Schistocerca gregaria nymphs. Short- and long-term preference tests reveal that previous diet, through its effect on locust water balance and overall food intake, can influence feeding behavior on high-water content (wet) and low-water content (dry) food. Locusts given only wet or dry food for 3 days prior to testing initially chose the food not received in pretreatment when given a choice of the two. They had decreased latencies to feed, increased meal length and decreased switching between food types as compared with locusts given the option to regulate water intake before testing. It is suggested that the behavior of the single-diet locusts has several related causes, among them, deterrence of the food, disturbed water balance in the locust, and chronic hunger. Long-term preference tests reveal that fifth-instar locusts given a continuous choice between wet and dry food take significantly more of their total dry matter from dry food each day until the last feeding day of the instar (day 9), when they take 97% of their total dry matter from wet food. This behavioral regulation of water and dry matter intake is adaptive: locusts with access to a mixed diet of wet and dry food have increased growth as compared with ones given only wet food. The growth increase is due largely to increased dry matter consumption, with some contribution from increased digestive efficiency and reduction in respiratory rate.
Résumé L'étude de larves de dernier stade de Schistocerca gregaria confirme les observations sur les acridiens d'une préférence apparemment labile pour les aliments à différentes teneurs en eau. Des observations sur les choix à court et à long termes rélèvent que le régime alimentaire antérieur, par son action sur le régime hydrique du criquet et sur sa prise totale de nourriture, peut influer sur le comportement alimentaire face à des aliments à forte teneur en eau (humides ou frais) ou à faible teneur (secs). Des criquets, approvisionnés uniquement en aliments secs ou frais pendant les 3 jours précédant l'expérience, choisissent de préférence la catégorie d'aliments non fournie pendant ce prétraitement. Par comparaison avec des criquets ayant eu la possibilité d'ajuster leur apport en eau avant l'expérience, ils présentaient une diminution du temps de latence avant de s'alimenter, une prolongation de la durée des repas et une diminution du nombre de changements de type d'aliments. II est suggéré que le comportement des criquets, à régime alimentaire composé d'un seul type, a plusieurs causes associées, en particulier la répulsion pour le végétal, la perturbation de l'état hydrique du criquet, et la faim chronique. Des tests sur les préférences à long terme montrent que des larves de 5ème stade ayant eu un choix continu entre aliments frais et secs prirent significativement plus de leur matière totale d'aliments secs jusqu'à ce qu'elles parviennent au dernier jour d'alimentation du stade (jour 9), alors elle prélevèrent 97% de leur matière sèche totale d'aliments frais. Cette régulation comportementale de l'absorption d'eau et de matière sèche est adaptative: des criquets ayant accès à une alimentation mixte (nourriture sèche et fraîche) ont unt croissance supérieure à ceux nourris exclusivement d'aliments frais. La croissance supérieure est due pour beaucoup à une consommation accrue de matière sèche, avec une légère contribution de l'amélioration de l'efficacité digestive et de la réduction du taux de respiration.
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5.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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6.
The patterns of flight activity of adult Distantiella theobroma were recorded in an actograph placed in the field. Flight activity of virgin females showed a non-linear increase with age, was highest around mid-day and related to sex attraction behaviour. Mated females and males both showed sharp peaks of activity in the late afternoons. Male flight was depressed by low light intensities and all activity declined with falling light intensity in the evenings and ceased entirely during the hours of darkness.
Résumé Un appareil a été conçu pour enregistrer l'activité de vol dans les conditions naturelles et a été utilisé pour étudier le comportement des mâles et des femelles de D. theobroma, aux diverses phases de leur vie imaginale.L'activité de vol de D. theobroma eest exclusivement diurne. Les femelles restent relativement inactives pendant les premiers trois jours de leur vie imaginale. Après le début de maturité et bien que non encore accouplées, on note un accroissement de leur activité qui est maximum vers le milieu du jour, mais s'atténue pendant la fin de l'après-midi, alors qu'elles manifestent un comportement d'appel et se révèlent attractives pour les mâles.Les femelles qui se sont accouplées montrent un début d'activité tôt le matin et qui s'accroît pour atteindre un pic bien marqué en fin de l'après-midi, pour décliner ensuite avec la baisse de l'intensité lumineuse. L'activité des mâles commence plus tard et atteint son maximum vers 16h30. Ceci coïncide avec le moment où le plus grand nombre de femelles manifestent un comportement d'appel. Le vol des mâles n'apparaît qu'au-dessus d'un certain seuil d'intensité lumineuse et est inhibé par la pluie.Le changement avec l'âge de l'activité des femelles vierges présente des modalités caractéristiques qui se révèlent concorder avec les variations du nombre de mâles attirés par les femelles vierges de différents âges.


This work was done as part of the programme of the International Capsid Research Team which was sponsored by the International Office of Cocoa and Chocolate.  相似文献   

7.
Pour rechercher son partenaire sexuel Zabrotes subfasciatus doit utiliser les signaux olfactifs émis soit par les mâles ou par les femelles. Le pouvoir attractif de l'odeur des mâles et des femelles sont donc étudiés et comparés par olfactométrie. Le comportement de mâles et de femelles vierges et inséminées, mis en contact des graines de la plante hôte ou non, est observé en fonction de l'âge des imagos. En aucun cas, les odeurs des mâles n'exercent une attraction sur les femelles. Les femelles vierges en absence de graines de haricot (Phaseolus vulgaris) n'exercent pas d'attraction sur les mâles vierges. Par contre les odeurs des femelles vierges mises en contact avec les graines de haricot sont très attractives pour les mâles vierges et varie en fonction de l'âge: il est plus affirmé chez les femelles plus âgées. L'émission de la phéromone sexuelle est interrompue après l'insémination des femelles mais reprend au bout d'un certain temps après celle-ci.  相似文献   

8.
The perception of cuticular female sex pheromone (15, 19, 23-trimethylheptatriacontane=morsilure) in Glossina m. morsitans was studied electrophysiologically and behaviourally. Electrophysiological studies indicated no sensitivity of the tibial sensilla or the contact chemoreceptive hairs on the legs of males to the pheromone. However, electroantennograms were recorded during stimulation of antennae from male flies with the odour of morsilure, which indicated that the pheromone is detected by the insect via olfactory receptors on the antennae. This was further confirmed by behavioural experiments in which the antennal movements of intact males stimulated with the odour of both synthetic pheromone and female decoys were studied. Behavioural responsiveness to morsilure increased with increasing starvation and was not due to a general sensitivity to paraffins. These studies indicate that tsetse flies may be able to recognize conspecifics at close range using their sense of olfaction.
Résumé La perception de la phéromone sexuelle des femelles de Glossina m.morsitans, la morsilure (15, 19, 23-triméthylheptatriacontane) a été examinée par électrophysiologie et par le comportement. L'électrophysiologie n'a pas révélé de sensibilité des sensilles tibiales, ni des poils chimioréceptives de contact sur les pattes des mâles à la phéromone. Cependant, les électroantennogrammes recueillis pendant la stimulation des antennes des mâles par l'odeur de morsilure, ont montré que la phéromone est décelée par l'insecte grâce aux récepteurs olfactifs des antennes. Ceci a été confirmé ultérieurement par des expériences de comportement au cours desquelles ont été examinés les mouvements antennaires de mâles intacts stimulés par l'odeur de phéromone synthétique et de femelles.La réponse comportementale à la morsilure a augmenté avec le jeûne, elle n'était pas due à une sensibilité générale aux paraffines.Ces études montrent que les mouches tsé-tsé peuvent être capables de reconnaître leurs congénères à faible distance grâce à l'olfaction.
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9.
    
The spatial and temporal distribution of eggs by Callosobruchus chinensis L. indicates under-dispersion. This holds true for either individual females or populations, and after antennectomy as well. An experimental design for assaying ovipositional preference of many seed species together is advanced, in which equal surface areas of the different seeds are available for oviposition.
Résumé La distribution des oeufs dans l'espace et dans le temps chez Callosobruchus chinensis L. est determinée quantitativement. Une distribution plus uniforme que celle qu'on pouvait attendre d'une distribution au hasard apparaît pendant la ponte normale. L'inhibition de la ponte pendant quelques jours entraine, dans la distribution des oeufs, des groupements, qui s'éliminent par la suite. L'antennectomie n'influence pas cette distribution uniforme. Les femelles ne distinguent pas leurs propres oeufs de ceux pondus par d'autres femelles. Si l'on ajoute des graines additionelles dans un récipient dans lequel la ponte s'est faite pendant un certain temps, les femelles concentrent alors leur ponte sur les nouvelles graines, jusqu'à ce que la densité soit égale dans l'espace. Un système expérimental est proposé pour évaluer la ponte préférentielle lorsque beaucoup de différentes sortes de graines sont mélangées ensemble et que chaque sorte est représentée par une aire égale. Lorsque sept sortes de graines ont été évaluées de cette manière, on a trouvé qu'on pouvait distinguer trois groupes de préférence, le groupe primaire comprenant quatre sortes de forme et de taille semblables.


I—General considerations of developmental compatibility. J. Ins. Physiol. 10: 783–788.
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10.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
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11.
The vast majority of wild-type females of Lucilia cuprina are anautogenous. The survival of wild-type anautogenous females following emergence was compared with that of females from laboratory-selected autogenous strains, when deprived of sucrose and given ad lib access to water, deprived of water and given ad lib access to sucrose, or deprived of both water and sucrose.Anautogenous females survived substantially longer than autogenous females when only sucrose was supplied, but the opposite applied when the flies were supplied with water only. Anautogenous females survived somewhat longer than autogenous females in the absence of both sucrose and water. Thus, autogenous females might be at a disadvantage in the dry conditions which often prevail in areas occupied by the species.
Résumé La grande majorité des femelles de L. cuprina est anautogène. Cependant, l'observation de femelles autogènes dans la nature, et la sélection au laboratoire d'une lignée autogène à partir d'une souche anautogène indique que cette espèce est susceptible de devenir autogène.Le stade de développement ovarien des femelles capturées dans la nature montre que l'habitat est généralement carencé en aliments riches en protéines susceptibles de permettre le développement ovarien de L. cuprina. Dans de telles conditions, les femelles autogènes devraient être avantagées; leur très grande rareté indique que certains désavantages doivent être associés au génotype autogène. On a constaté que les femelles autogénes qui viennent d'émerger ont une teneur en eau plus faible que les anautogènes; ceci suggère que l'un des coûts possibles de l'autogénie pourraît être une aptitude réduite à supporter les périodes de privation d'eau suivant l'émergence. Pour cette raison, la survie de femelles sauvages anautogènes a été comparée à celles de lignées autogènes sélectionnées au laboratoire, en absence de sucrose, en présence ad lib. de sucrose, ou sans eau ni sucre.Pouvues uniquement de sucrose, les femelles anautogènes survivent 12 heures de plus que les autogènes, tandis qu'en présence exclusive d'eau les femelles autogènes survivent 19 heures de plus. En absence de sucrose et d'eau les femelles anautogènes survivent environ 5 heures de plus. Il semble que la mortalité des femelles autogènes privées totalement d'aliments est due principalement à un stress hydrique, tandis que le sucrose et le stress hydrique ensemble paraissent jouer un rôle dans la mort des femelles anautogènes. Ces résultats montrent que l'autogénie des femelles peut être un désavantage lors des conditions sèches fréquentes dans l'aire de cette espèce.
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12.
A. Mirimanoff 《Protoplasma》1953,42(2):250-260
Résumé Le présent travail expose quelles sont les réactions de la cellule végétale lorsque cette dernière est soumise à l'association d'un toxique et d'un « mouillant » (Netzmittel).Les variables sont: la nature de la cellule végétale, celle du toxique et celle du mouillant.Alors que les mouillants cationiques, eux-mêmes toxiques, exercent une simple action additive, les mouillants anioniques révèlent dans de nombreux cas une synergie de toxicité. Celle-ci se manifeste surtout avec les champignons et les bactéries Gram+, les végétaux supérieurs se montrant indifférents. Cette synergie varie également avec la structure moléculaire du mouillant.Les mouillants non ioniques peuvent au contraire exercer une action antagoniste, c'est-à-dire diminuer la toxicité.Ce dernier phénomène se produit dans certains cas à la suite d'une réaction chimique entre le mouillant et le toxique; la nature de la cellule est alors indifférente. Dans d'autres cas, il y a absence de réaction chimique et le phénomène ne se produit qu'avec certains types de cellules (champignons surtout).La nature chimique du toxique joue, dans la synergie, un rôle moins important que dans l'antagonisme.Des hypothèses sont formulées pour tenter d'élucider le mécanisme des cas de synergie et d'antagonisme.  相似文献   

13.
Laboratory experiments and observations on the oviposition behaviour of the almond seed wasp Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) revealed that the females of this species deposit a host-marking pheromone, immediately after an oviposition, by dragging the tip of their abdomen on the fruit surface. This pheromone enables them to discriminate between the infested and uninfested fruit and to select for oviposition the latter. Its primary function is apparently the prevention of repeated ovipositions in already infested fruit, thus contributing to the optimal utilisation of the available resources for larval development. The responses of individual females to different treatments of almonds, in a series of two-choice tests, revealed that the pheromone can be perceived by the females on direct contact and, when at high concentrations, also olfactorily from a short distance. The pheromone was present inside the abdomen and thorax of females but not of males, and, although water soluble, could not be entirely removed from heavily infested almonds when rinsed with water. Direct observations revealed that after an average of 3.7 successive visits to pheromone-bearing almonds, females were induced to walk or, most often, fly away from the experimental set-up. This suggests that the pheromone may also contribute to the dispersion of the wasps.
Résumé Des expériences de laboratoire et des observations concernant le comportement de ponte de Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) ont montré que, immédiatement après la ponte, les femelles déposent une phéromone de marquage de l'hôte en trainant le bout de leur abdomen sur la surface de l'amande. Cette phéromone les rends capable de distinguer les fruits infectés des non-infectés dt de sélectionner pour la ponte les derniers. Apparemment, la fonction principale de cette phéromone est la prévention de la répétition des ovipositions dans les fruits déjà infectés et la répartition uniforme des oeufs dans les amandes, contribuant ainsi à la meilleure utilisation des ressources disponsibles pour le développement des larves. Des expériences de deux choix entre des fruits de différents traitements ont montré que la phéromone pouvait être perçue par les femelles par le direct contact et, quand elle était à hautes concentrations, par olfaction d'une courte distance. La phéromone était présente dans l'abdomen et dans le thorax des femelles, et bien qu'elle soit soluble à l'eau, elle ne pouvait pas s'éloigner entièrement par lavage des amandes sérieusement infectées à l'eau. Les observations ont démontré qu'après un numéro de 3.7 visites successives sur des amandes portant de la phéromone les femelles s'éloignaient du lieu de ponte en marchant ou, le plus souvant, en s'envolant, ce qui suggère que la phéromone contribue à la dispersion des femelles.
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14.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

15.
Résumé Un comportement d'agrégation est fréquemment observé chez les larves et les adultes de Forficula auricularia L. L'hypothése d'un contrôle phéromonal de ce comportement est confirmée expérimentalement par un test biologique qui, en condition de choix, met en évidence le regroupement des forficules dans des abris déjà visités par d'autres individus de l'espèce, préférentiellement aux abris témoins. Une interattractivité existe entre tous les stades de développement et la phéromone intervient également pendant la phase de soins maternels: les traces de larves du premier stade encore confinées dans le terrier maternel, ainsi que de femelles en période de soins, provoquent l'agrégation de larves âgées. La comparaison de l'attractivité de différents extraits par l'hexane (traces, fractions de corps, feces) indique la localisation de la sécrétion phéromonale au niveau des pattes, et désigne les glandes tibiales comme organes sécréteurs.  相似文献   

16.
Groups of females of Glossina austeni and G. morsitans morsitans fed on rabbits with 75 ppm sulphaquinoxaline and 7.5 ppm pyrimethamine in their diets had markedly lower fecundity than other groups fed on rabbits supplied with additive-free diets. There was little effect on the longevity of female flies. Females of G. austeni produced normal numbers of puparia for one reproductive cycle, large numbers of aborted larvae in succeeding reproductive cycles and many females eventually became sterile. The effect on G. m. morsitans was less marked but when the dose rate of the additives in the rabbit diet was quadrupled this species also showed greatly reduced fecundity, with no effect on longevity. In G. austeni, those puparia which were produced in later reproductive cycles were lighter and less viable than those produced in the first cycle.It is concluded that the toxicant in the rabbit diet was sulphaquinoxaline acting as a systemic insecticide but, at these low dose rates, at a sub-lethal level. The possible mode of action of sulphaquinoxaline and the significance of the results for the laboratory rearing of haematophagous arthropods are discussed.
Résumé Des groupes de femelles de Glossina austeni et Gl. morsitans morsitans sont nourris sur des lapins, euxmêmes alimentés avec des aliments artificiels de type commercial, qui ont été ou non additionnés de composés chimiques coccidiostatiques, soit 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm de pyrimethamine. Quand les glossines sont nourries sur des lapins ayant reçu l'aliment additionné des substances coccidiostatiques, la fécondité de G. austeni (en termes de production de pupes viables par femelle) est réduite de façon nette, bien que la longévité demeure inaffectée; G. m. morsitans se révèle moins sévèrement touchée.Dans les expériences conçues pour étudier l'effet de la sulfaquinoxaline et de la pyrimethamine, les lapins reçoivent un aliment en poudre auquel sont ajoutées des quantités appropriées de ces substances. Des groupes de femelles de G. austeni nourries sur des lapins ayant reçu un aliment contenant 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm pyrimethamine se reproduisent normalement pendant un premier cycle reproducteur, après quoi elles engendrent un grand nombre de larves avortées et beaucoup de femelles deviennent éventuellement stériles. Les pupes produites par G. austeni au cours des cycles reproducteurs plus tardifs sont plus légères et moins viables que celles produites lors du ler cycle. Quand le taux des composés coccidiostatiques est quadruplé dans l'aliment des lapins, la fécondité de Gl. m. morsitans est aussi fortement réduite, sans effet sur la longévité. Quand Gl. morsitans est alimentée artificiellement sur du sang contenant 75 et 300 ppm. de sulfaquinoxaline, la fécondité des femelles est sérieusement réduite. Aucune différence ne se décèle quant aux effets relatifs de ces deux doses du composé coccidiostatique; il est possible que les mouches en absorbent une même petite quantité dans les deux cas, en raison de la faible solubilité du produit, qui n'est soluble que dans des solutions alcalines. La sulfaquinoxaline, aux faibles doses absorbées agit comme un insecticide systémique à des doses sub-létales. Ce coccidiostatique peut agir en interférant avec le métabolisme du folate au niveau des ovaires; les effets sur la fécondité deviennent progressivement plus marqués chez les femelles âgées et chez celles qui ont cessé de se reproduire on observe des ovaires atrophiés.L' incidence de ces faits sur les conditions d'élevage des Glossines, et d'autres arthropodes hématophages, est discuté.
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17.
This paper determines reproductive limits and variation in performance of male twospotted spider mites Tetranychus urticae Koch when virgin females are provided ad libitum over the first eight days of adult life. Theree phases of male reproduction were studied: copulations, insemination and reproduction. An average one day old male copulated 15 times, inseminated 15 females, and contributed to 336 daughters. All parameters declined with age. The average male inseminated 70 females and contributed to 1145 daughters in the first days. Variability between males was small for all parameters considered. These data suggest that the number of sperm transferred at each insemination, rather than the number of inseminations, is the limiting step to higher male reproductive output.
Résumé La reproduction est un processus qui nécessite généralement un mâle et une femelle. Cependant la biologie des populations ne s'est traditionnellement intéressée qu'à la contribution des femelles dans ce processus. Un effet de cet accent sur les femelles est que l'activité reproductrice des mâles a été très ignorée. Cet article examine, dans un contexte démographique, l'activité reproductrice des mâles de T. urticae, acarien arrhénotoque et phytophage. Trois séquences de l'activité reproductrice des mâles ont été examinées: 1) la copulation, 2) l'insémination, 3) la reproduction.En moyenne un mâle de 1 jour a copulé 15 fois, inséminé 15 femelles et a eu 336 filles. Pendant les 8 premiers jours, le mâle moyen a inséminé 70 femelles et a eu 1145 filles. Ces résultats suggèrent que le nombre de spermatozoïdes transférés à chaque insémination, plus que le nombre d'inséminations, est le facteur limitant d'une forte contribution du mâle à la reproduction.
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In the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina, the number of ovarioles, and hence the maximum number of eggs developed in each ovarian cycle, is a linear function of adult size (headwidth). Field females have a mean headwidth of 3.0 mm (range=2.30–3.50 mm) and a mean potential fecundity/cycle of 232 eggs (range=111–318 eggs). Realised fecundity is influenced by the quality and amount of protein in the adult diet. All field females appear to have the same minimum protein requirement for egg maturation, i.e., whatever their size (potential fecundity) females must obtain sufficient protein to mature at least 110 eggs in order to become gravid. Females whose protein intake exceeds this minimum but falls short of the amount needed for maturation of their full egg complements resorb some of their oocytes and mature the remainder. Since potential fecundity increases with fly size, large females resorb more oocytes than small females under suboptimal protein regimes, i.e., the proportion of oocytes resorbed increases with fly size. Under field conditions, females rarely matured full complements of eggs, which indicates a general shortage of protein-rich material. The mean reduction in fecundity of field females during these studies was 53.4 eggs/cycle (23.2%).
Résumé Chez Lucilia cuprina Wied., le nombre d'ovarioles, et ainsi le nombre maximum d'oeufs développés au cours de chaque cycle ovarien, est une fonction linéaire de la taille de l'adulte (largeur de la tête). La largeur moyenne de la tête des femelles de la nature est 3 mm (2,3 à 3,5) et la fécondité potentielle moyenne par cycle de 232 oeufs (111 à 318).La fécondité réelle est influencée par la qualité et la quantité de protéines dans le régime alimentaire. Toutes les femelles de la nature semblent avoir les mêmes exigences minimales en protéines pour la maturation des ovocytes, c'est à dire que quelle que soit leur taille (fécondité potentielle) les femelles doivent obtenir les protéines suffisantes à la formation d'au moins 110 ovocytes pour devenir gravides. Les femelles dont l'absorption de protéines dépasse ce minimum, mais est insuffisant pour permettre la maturation de la totalité de leurs ovocytes, en résorbent quelques uns et conduisent à maturité le reste. Puisque la fécondité potentielle augmente avec la taille des mouches, les grosses femelles résorbent plus d'ovocytes que les petites avec un régime suboptimal en protéines, c'est à dire que la proportion d'ovocytes résorbés augmente avec la taille des mouches. Dans les conditions de la nature, la totalité des ovocytes parvient rarement à maturité, ce qui indique une limitation générale en aliments riches en protéines. La réduction moyenne de la fécondité chez les femelles de la nature a été au cours de cette étude de 53.4 oeufs par cycle (23,2%).
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The possible usefulness of sex pheromones for controlling Adoxophyes orana (F. v. R.) has been tested in field experiments.The mating frequency of the female moths and the period of flight activity in the night have been determined. Light trap catches and random samples showed that 50–60% of the female moths mated once only and 22–37% mated twice. The percentage of virgin female moths was 4–8. These percentages were fairly constant throughout the whole summer flight period, except during the first days. Old female moths were especially attracted to the light trap. A. orana is a typical night flier with its maximum activity around midnight, as shown by light and sex traps. The length of the flight period depends on the length of the dark period.Some comparative catching experiments with sex traps were carried out. More males were caught in traps which contained two instead of one virgin female, or which contained more female equivalents. More than two virgin females per trap did not increase the catches. Mating caused considerable decrease in female attractiveness which recovered partly after a period of oviposition.Minimum night temperatures below 12° C lowered the flight activity and also the sex trap catches. The wind is a determining factor for the upwind orientation of the male moths to the attractive females. The ratio of moths caught flying upwind: flying downwind was 80 : 20 at wind velocities below 7m/sec; at wind velocities above 7m/sec this ratio altered to 60 : 40. More overshootings and downwind casts took place. During a preliminary release experiment all male moths were recaptured in the section of the area upwind from the release centre.
Résumé L'utilisation possible des phéromones sexuelles pour la lutte contre Adoxophyes orana a été testée dans une série d'expérimentations dans la nature.La fréquence des accouplements et la période d'activité de vol des papillons femelles ont été précisées. Les récoltes aux pièges lumineux et les échantillonages faits au hasard ont montré que 50 à 60% des femelles ne s'accouplaient qu'une fois, et 22 à 37% deux fois. Le pourcentage des femelles vierges était de 4 à 8%. Ces pourcentages furent à peu pr`es constants pendant toute la période de vol au cours de l'été, sauf durant le début de saison. Les femelles âgées étaient spécialement attirées par les pièges lumineux. A. orana est un insecte typiquement nocturne, dont l'activité de vol est maximum vers minuit, comme le révèlent les captures avec les pièges lumineux ou les attractifs sexuels. La durée de la période de vol dépend de la longueur de la nuit.Quelques expériences comparatives de capture avec des pièges à base d'attractifs sexuels ont été réalisées. Les mâles sont capturés en plus grand nombre dans les pièges contenant 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, ou qui contenaient davantage d'attractif sexuel. Le nombre de mâles capturé ne s'accroît pas plus si le piège renferme plus de 2 femelles vierges. L'attraction des femelles diminue considérablement après leur accouplement, mais se manifeste à nouveau partiellement après une période de ponte.Une température nocturne inférieure à 12° diminue l'activité de vol et le rendement des pièges sexuels. Le vent est un facteur déterminant, car les mâles s'orientent face au vent pour repérer et rejoindre les femelles attractives. La proportion des papillons capturées volant vent debout ou vent arrière est de 80 : 20 quand la vitesse du vent est inférieure ou égale à 7 m/sec. ; pour les vitesses du vent supérieures à 7 m/sec. cette proportion est modifiée et passe à 60 : 40. Plus la vitesse du vent s'accroît et dépasse cette valeur, plus on capture d'insectes emportés par le vent. Au cours d'expériences préliminaires de lâchers de papillons mâles, tous ceux-ci ont été recapturés dans la zone balayée par le vent à partir du point de lâcher.
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The mechanisms adopted to ensure mating success, fertility and fecundity of E. insulana (reared in the laboratory on an artificial diet) were studied. Male moths mate only once a night but mate several times (mean 4.2) during their life span. Females will mate up to 3 times per night and an average of 2.6 times over their life span. One spermatophore can nevertheless be sufficient for a female to lay fertile eggs throughout her life with no reduction in potential fecundity.A female moth is ready to mate by the second night after emergence. The preoviposition period is greatly prolonged in unmated females. Thus if mating is delayed up to about the 9th night, eggs are saved to be laid, after mating, as fertile eggs. If mating is delayed to a greater extent, thus occurring after egg laying has already begun, the potential reduction in reproduction is not very great, because of the low daily (and total) egg-laying rate before mating and the increased longevity of unmated females.It appears reasonable to expect egg production to be substantially reduced only when a marked reduction in the effective proportion of adult males in a population is achieved.
Résumé Cette étude porte sur les mécanismes qui assurent le succès des accouplements, la fertilité et la fécondité d'E. insulana, élevé sur aliment artificiel en laboratoire.Les papillons mâles s'accouplent plusieurs fois (en moyenne 4, 2) au cours de leur vie mais seulement une fois par nuit et 2,6 fois en moyenne au cours de leur vie. Un seul spermatophore peut néanmoins être suffisant pour permettre à une femelle de pondre des oeufs fertiles tout au long de sa vie, sans réduction de sa fécondité potentielle.Un papillon femelle est apte à s'accoupler dès la 2ème nuit après l'émergence. La période de préoviposition est très prolongée chez les femelles non accouplés. Ainsi, si l'accouplement est retardé jusque vers la 9ème nuit, les oeufs sont conservés et peuvent être pondus après accouplement en demeurant fertiles. Si l'accouplement est retardé plus longtemps, après que la ponte ait déjà commencé, la réduction potentielle de la reproduction n'est pas très grande, en raison du faible taux de ponte journalier avant l'accouplement et de la longévité accrue des femelles vierges.Il semble que l'on quisse s'attendre à une réduction substantielle de la ponte seulement quand intervient une nette diminution du nombre des mâles présents dans la population
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