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1.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
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2.
Zusammenfassung Die spezifische Wirkung von männlichen und weiblichen funktionellen Ersatzgeschlechtstieren auf die Produktion von Ersatzgeschlechtstieren wurde bei der TermiteKalotermes flavicollis (Fabr.) untersucht. In Kolonien von Larven und Nymphen des I. Stadiums hat ein männliches Geschlechtstier bei Abwesenheit des funktionellen Weibchens keine oder nur eine äusserst schwache Hemmwirkung auf die Entstehung männlicher Ersatzgeschlechtstiere. Eine solche Hemmwirkung wird jedoch deutlich, wenn ein zweites männliches Geschlechtstier vorhanden ist. Einzelne weibliche Geschlechtstiere hemmen auch bei Abweseneit funktioneller Männchen die Entstehung weiblicher Ersatzgeschlechtstiere sehr stark. Weibliche Geschlechtstiere geben also immer ein geschlechtsspezifisch wirkendes, hemmendes Pheromon ab, während die männlichen Geschlechtstiere ein entsprechendes Pheromon nur bei Anwesenheit des Geschlechtspartners abgeben, wobei dieser bis zu einem gewissen Grade durch ein gleichgeschlechtiges Geschlechtstier ersetzt werden kann.Ein einzelnes Männchen hat eine stimulierende Wirkung auf die Entstehung weiblicher Ersatzgeschlechtstiere. Diese Wirkung ist auf ein Pheromon zurückzuführen, das in Kopfextrakten von Ersatzgeschlechtstieren nachweisbar ist. Die Produktion dieses stimulierenden Pheromons scheint eingestellt zu werden, sobald das Männchen das geschlechtsspezifische hemmende Pheromon abgibt.Obschon alle Versuche mit Ersatzgeschlechtstieren durchgeführt wurden, haben die Befunde wahrscheinlich auch für primäre Geschlechtstiere Gültigkeit.
Summary The specific effect of male and female functional replacement reproductives upon the transformation of larvae and 1st stage nymphs into replacement reproductives has been studied inKalotermes flavicollis (Fabr.).In the absence of functional females, a single male reproductive has no inhibitory effect, or only a very slight one, upon the transformation of male larvae and nymphs into replacement reproductives. Such an inhibitory action becomes evident, however, if a second male reproductive is present. A single reproductive female exerts, in the absence of a male reproductive, an almost complete inhibition on the transformation of female larvae and nymphs. Female reproductives thus always produce a sex-specific inhibitory pheromone, whilst male reproductives only produce a comparable pheromone when they are in the presence of a female reproductive. The female here can be replaced by another male reproductive, but the effect is not so pronounced.Single male reproductives have a stimulatory effect upon the transformation of female larvae and nymphs into replacement reproductives. This action is due to a pheromone which can be demonstrated in extracts of heads of replacement reproductives. The production of this stimulatory pheromone seems to be suppressed as soon as the male gives off the sex-specific inhibitory pheromone.Although all experiments have been performed with replacement reproductives, it is probable that the findings are also valid for primary reproductives.

Résumé L'action spécifique de sexués de remplacement mâles et femelles sur la transformation de larves et de nymphes du premier stade a été étudiée chez le termiteKalotermes flavicollis (Fabr.). En l'absence d'un sexué femelle, un seul sexué mâle n'a que peu ou pas de pouvoir inhibiteur sur la transformation des larves et nymphes mâles en sexués de remplacement. Cependant, ce pouvoir inhibiteur devient apparent si un deuxième sexué mâle est présent. En revanche, en l'absence d'un sexué mâle, un seul sexué femelle inhibe presque complètement la transformation des larves et nymphes femelles. Les sexués femelles produisent donc toujours une phéromone inhibitrice qui agit spécifiquement sur les larves du même sexe, tandis que les sexués mâles ne produisent une phéromone analogue qu'en présence d'une femelle fonctionnelle. Jusqu'à un certain degré, la femelle peut être remplacée dans cette action inductrice sur le mâle par un autre mâle fonctionnel.Un seul sexué mâle exerce en l'absence du sexué femelle un pouvoir stimulateur à l'égard de la transformation des larves et nymphes femelles en sexués de remplacement. Cette action est due à une phéromone qui a pu être mise en évidence dans des extraits de tête de sexués de remplacement. La production de cette phéromone stimulatrice semble être supprimée dès que le mâle produit la phéromone qui inhibe spécifiquement le développement des larves et des nymphes mâles.Bien que ces expériences aient été exécutées avec des sexués de remplacement, les résultats obtenus sont, selon toute probabilité, valables aussi pour les sexués primaires.


Durchgeführt mit Hilfe eines Forschungskredits des Schweizerischen Nationnalfonds zur Förderung der wissenschaftlichen Forschung.  相似文献   

3.
A virus infection, associated with enlargement of the salivary glands (ESG) and gonadal pathology in Glossina pallidipes Austen (Diptera: Glossinidae), was studied in field-caught and laboratory-reared flies. The lifespan of both sexes of infected (ESG-) flies was significantly shorter than that of flies with normal salivary glands (NSG). NSG-females, mated to infected males only or to both infected and normal males, produced predominantly male progeny. In general, NSG-parents produced only NSG-progeny, and ESG-females only ESG-progeny. ESG-males were usually sterile, but a few NSG-females inseminated by ESG-males produced NSG-progeny. One NSG-female, mated first to an ESG-male and then to an NSG-male, produced 3 ESG-sons. As will be discussed, this virus may have important effects (reduced insemination rates, fecundity and lifespan, and sex ratio distortion) on laboratory colonies of G. pallidipes as well as on the regulation of its natural populations.
Résumé C'est à partir de mouches capturées et élevées au laboratoire à Kibwezi au Kenya, qu'a été étudiée l'infection virale, accompagnée d'hyperplasie des glandes salivaires (ESG) et la pathologie des gonades de G. pallidipes Aust. La durée de vie des mouches contaminées (ESG)_des 2 sexes était significativement plus brève que celle des mouches aux glandes salivaires normales (NSG). Des femelles NSG accouplées uniquement à des mâles contaminés ou à des mâles sains et contaminés, ont donné une descendance majoritairement mâle.En général, des parents NSG ont donné uniquement des enfants NSG, et des femelles ESG des enfants ESG. Les mâles ESG étaient généralement stériles, mais quelques femelles NSG inséminées par des mâles ESG ont donné des enfants NSG. Une femelle NSG accouplée en premier avec un mâle ESG et ensuite à un mâle NSG, a donné 3 fils ESG. Bien que les transmissions orales et sexuelles puissent être naturellement des modes de contamination, la transmission verticale de la mère à la descendance semble être le mécanisme le plus significatif du maintien de ce virus. L'apparition d'enfants ESG de parents NSG est dans quelques cas vraisemblablement due à la présence du virus chez quelques mouches NSG sans qu'il y ait apparemment infection, sans symptômes visibles. Le virus ESG peut avoir des effets importants (diminution des taux d'insémination, de la fécondité, de la durée de vie, et modification de la fréquence des sexes) dans les souches de laboratoire et aussi sur la régulation des populations naturelles de ce vecteur des trypanosomiases africaines.
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4.
In a study of male alary dimorphism, clones of pea aphid, Acyrthosiphon pisum (Harris), were collected five times over two seasons in one location and once each from three other latitudes in the Great Plains region of North America. All clones produced some males when subjected to a short photoperiod (L14: D10 or L13: D11) at 20 °C. The presence of three distinct classes of clones based on the morph of males they produced (apterous only; alate only; apterous and alate in equal proportions) provides evidence for a genetic basis for the dimorphism. The relative frequencies of clones producing only apterous males varied geographically, providing some evidence to support the hypothesis that populations are not panmictic over the Great Plains region.
Résumé Le dimorphisme alaire mâle, — ou présence de mâle ailé et aptère —, s'observe à l'intérieur et en fonction des clones de A. pisum Harris. Notre objectif est de décrire la distribution et la fréquence de ces deux morphes. 143 clones de pucerons du pois ont été récoltés sur Medicago sativa dans quatre stations de la Grande Plaine d'Amérique du Nord, entre 44° 45 et 53° 12 N: à cinq reprises pendant deux saisons dans une station, et une fois dans chacune des 3 autres stations. Tous les clones, soumis à une photopériode courte: L14: D10 ou L13: D11 à 20 °C, ont produit quelques mâles. Les 8 échantillons ont donné à la fois des mâles aptères et ailés, et les observations dans les clones confortent les expériences.Trois classes de clones ont été formées à partir des morphes produits: mâles aptères seuls, mâles ailés seuls, ou quantités égales de chaque morphe. La fréquence par rapport à la distribution binomiale a été utilisée pour montrer que pour presque tous les clones produisant les deux morphes, les proportions étaient 1:1. Ces observations prouvent que la présence ou l'absence d'ailes est déterminée génétiquement, probablement par un gène diallélique lié au sexe. La fréquence des clones produisant uniquement des mâles aptères varie en fonction des populations examinées, ce qui laisse supposer une perte de panmixie à travers la Grande Plaine, quant au morphe des mâles.
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5.
The fecundity of asexual and sexual morphs of Sitobion avenae (F.) is compared. The cost of sex is quantified in terms of the reduction in numbers of offspring produced. The cost is much greater than the halving of fecundity that is usually assumed to be associated with the production of males.
Résumé Les fécondités des virginipares ailés, des gynopares ailés et des ovipares d'un même clone de Sitobion avenae ont été déterminées à 12°C. Bien que les types qui ayant donné naissance à des sexués aient eu une fécondité initiale plus élevée que celle de la lignée asexuée, celle-ci a été significativement plus féconde après 15 jours de reproduction.Les résultats du laboratoire ont été utilisés pour évaluer la fécondité de lignées sexuées et asexuées pendant quatre générations à 12°C. La reproduction parthénogénétique a présenté un avantage numérique sur la reproductions sexuée dans le rapport 320/1. La reproduction sexuée a été accompagnée d'une diminution significative de la fécondité potentielle. Bien que la reproduction sexuée de S. avenae soit avantageuse dans les régions où les hivers sont durs, parce que les oeufs sont résistants au froid, les lignées asexuées présentent un avantage considérable en ce qui concerne la fécondité potentielle pour l'augmentation de la population en automne et elles conservent de plus la capacité d'un accroissement numérique ultérieur si l'hiver est doux.
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6.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

7.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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8.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

9.
Résumé ChezCalotermes flavicollis, la formation des sexués néoténiques est plus facile, ou plus rapide, dans le sexe femelle que dans le sexe mâle.Les sexués femelles montrent un pouvoir inhibiteur à l'égard des individus femelles; les sexués mâles inhibent les mâles de façon moins complète; la stabilisation complète peut être obtenue dans les élevages unisexués, formés uniquement de mâles ou de femelles.La régulation du nombre des néoténiques ne se fait pas de la même façon dans les élevages et dans les élevages . Dans les premiers, 2 néoténiques subsistent, quelquefois 3; dans les seconds ne persiste qu'un seul néoténique , rarement deux.Ces résultats mettent en lumière le rôle différent joué par les mâles et les femelles dans les sociétés de Termites.  相似文献   

10.
Higher temperatures led to a less rapid transition from virginopara production to ovipara and male production by apterous, virginoparousAphis rubicola Oestlund exposed from birth to short-day conditions. At 19.4° more than 95% of the progeny were sexuals, whereas only ca. 58% were such at 25.1°. A 2-day cessation of reproduction preceded male production at 19.4° but not at 21.5° and 25.1°. Temperature increases led to the earlier deposition of most progeny, an earlier, more extended period of male production, a smaller decrease in reproductive rate prior to male production, and a lower ovipara: male ratio.
Résumé Des températures plus élevées ont provoqué un passage moins rapide de la production de virginipares à la production d'ovipares et de mâles, par des virginipares d'Aphis rubicola Oestlund, exposées depuis la naissance à des jours courts. A 19,4° les sexués constituaient plus de 95% de la descendance, contre seulement 58% à 25,1°. La reproduction s'arrête pendant deux jours avant la production de mâles à 19,4° mais non à 21,5° ni 25,1°.L'élévation de la température a provoqué l'émission plus précoce de la plupart des descendants; une production de mâles plus précoce et plus prolongée précédée d'une moindre diminution de la production, et enfin un rapport ovipare-mâle plus faible.
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11.
The Panzano strain of the migratory locust, Locusta migratoria, originating from North Italy, was used for laboratory experiments under conditions of either 12 or 16 hrs illumination per day. Preliminary experiments demonstrated that in this strain 16 hrs day-length led to delayed and reduced egg-laying, while 12 hrs day-length induced early and intensive oviposition. In subsequent experiments sexual behaviour of males kept under either regime of the photoperiod was observed in the presence of receptive females. Kept under 12 hrs day-length, males exhibited vigorous sexual behaviour, approximately at the same level of intensity from the 2nd till the 5th–6th week of the experiment. In contrast, under 16 hrs illumination the intensity of male sexual behaviour gradually increased from the 2nd till the 9th–10th week. Thus, photoperiod affected the intensity of male sexual behaviour in this strain.
Résumé La souche Panzano de Locusta migratoria provenant du nord de l'Italie, a été utilisée pour des expériences de laboratoire sous des conditions d'éclairement de 12 h ou 16 h par jour. Des expériences préliminaires avaient montré que chez cette souche, une durée d'éclairement de 16 h par jour retardait et réduisait la ponte, tandis qu'avec un éclairement de 12 h celle-ci était précoce et intense. Dans les expériences ultérieures on a observé le comportement sexuel de mâles, en présence de femelles réceptrices, alors qu'ils sont soumis à l'une ou l'autre de ces deux photopériodes. Maintenus sous une photopériode de 12 h les mâles montraient un comportement sexuel intense, se maintenant à peu près au même niveau de la seconde semaine jusqu'à la 5ème ou 6ème semaine de l'expérience. Au contraire, avec un éclairement de 16 h, l'intensité du comportement sexuel s'accroissait graduellement de la seconde semaine jusqu'à la 9ème ou 10ème semaine. Ainsi, la photopériode modifiait l'intensité du comportement sexuel mâle chez cette souche de Locusta migratoria.
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12.
Résumé 10 II existe dans le rein de Protopterus Dolloï un segment sexuel situé immédiatement après le tube contourné. Chez le mâle en activité spermatogénétique, ce segment prend une allure très caractéristique par l'hypertrophie de ses cellules et la vacuolisation prononcée de la base cellulaire. Chez le mâle en dehors de l'activité spermatogénétique, le segment sexuel est revêtu d'un epithelium cubique présentant de longs flagelles. La même structure s'observe chez la femelle, jeune ou adulte.20 II n'a pas été possible de rapporter les modifications cycliques du segment mâle à l'existence de cellules interstitielles testiculaires.30 La présence d'un segment mâle est peut-être à mettre en rapport avec la nidification.40 Le segment d'union et les segments excréteurs renferment des cellules bordantes à canalicule intracellulaire axial, analogues à celles signalées chez plusieurs espèces d'Amphibiens (Rana, Xenopus).  相似文献   

13.
Summary Studies of the mechanism of caste determination in termites were carried out on the southern Florida Kalotermitid,Neotermes jouteli (Banks). It was found that pseudergates of this species can respond to isolation by rapid and extensive production of supplementary reproductives (SRs). Similarly, soldier production was found in groups from which this caste was removed.The intensity with which SRs were produced (Ir) was found to vary with the natural colony from which the pseudergates originated. Low IR was found in colonies which had large pseudergates and produced alates. High IR was found in colonies which had small pseudergates and did not produce alates. It was concluded that IR declined as a function of colony age.In high IR colonies all pseudergates were found to be capable of SR transformation. In low IR colonies larval forms with the same size characteristics as pseudergates of high IR colonies were found to be totally incapable of SR transformation.Male and female reproductives were found to play different roles in inhibiting SR transformation in isolated groups. The female reproductive totally blocked female SR formation and partially blocked male SR formation. The male reproductive partially blocked both male and female SR formation to the same extent. In addition, a pair of reproductives of the same sex was found to be as fully inhibitory as a normal bisexual pair.The extent to which an isolated group of pseudergates underwent SR transformation was found to increase with the amount of time each day that reproductives were absent. Female pseudergates were less sensitive to the absence of reproductives than males.SR transformation could not be inhibited by restricting isolated pseudergates to a diet of filter paper impregnated with freshly obtained fecal droplets from 25 pairs of supplementaries each day. Reproductives with sealed anuses were fully inhibitory for a week after isolated controls began transformation. It was concluded, therefore, that proctodeal feeding is probably not the mechanism of transmission of the postulated inhibitory pheromones.
Zusammenfassung Studien des Mechanismus der Kastenbestimmung in Termiten wurden an KalotermitidNeotermes jouteli (Banks) von suedlichen Florida durchgefuert. Es ergab sich, dass Pseudergaten dieser Art auf Isolierung mit schneller und extensiver Produktion von Ersatzgeschlechtstieren (EG) reagieren. In Gruppen von denen diese Kaste entfernt war fand man Soldatenproduktion.Die Intensitaet mit der EG produziert wurde (IR) war unterschiedlich in den natuerlichen Kolonien von denen Pseudergaten kamen. Niedrige IR wurden in Kolonien gefunden die grosse Pseudergaten hatten und Imagines produzierten. Hohe IR wurden in Kolonien gefunden, die kliene Pseudergaten hatten und keine Imagines produzierten. Daraus kann man schliessen, dass IR abnahm als Funktion des Alters der Kolonie.In Kolonien mit hohem IR, fand man dass alle Pseudergaten faehig zur EG Transformation waren. In Kolonien mit niedrigem IR fand man, dass Larvenformen mit denselben Groessencharakteristiken wie Pseudergaten von Kolonien mit hohen IR voellig unfaehig waren die EG Transformation zu vollbringen.Maennliche und weibliche Geschlechtstiere spielten unterschiedliche Rollen in der Hemmung der EG Transformation in isolierten Gruppen. Das weibliche Geschlechtstier blockierte die weibliche EG Formation voellig und die maennliche EG Formation teilweise. Das maennliche Geschlechtstier blockierte maennliche und weibliche EG Formation teilweise zu demselben Masse. Ausserdem findet man ein Paar Geschlechtstiere desselben Geschlechts genauso hemmend wie ein normales Paar verschiedenes Geschlechts.Das Mass, in den cine isolierte Gruppe von Pseudergaten die EG Transformation durchmachte, erhoete sich mit der taeglichen Zeitspahne in der die Geschlechtstiere abwesend waren. Weibliche Pseudergaten waren weniger empfindlich gegen die Abwesenheit von Geschlechtstieren als maennliche.EG Transformation en konnte nicht gehemmt werden indem man die isolierten Pseudergaten taeglich auf eine Diat von Filterpapier mit frischen Tropfen von Darmextraken von 25 Paaren von Ersatzgeschlechtstieren beschraenkte. Ersatzgeschlechtstiere mit versiegelten Daermen waren eine Woche voellig gehemmtend, waehrend isolierte Kontrolltiere die Transformation begannen. Daraus ist zu schliessen, dass Darfuetterung wahrescheinlich nicht der Mechanismus ist zur Uebertragung hypotetischer hemmender Pheromons.

Résumé Des études du mécanisme de la détermination des castes chez les termites ont été faites chezNeotermes jouteli (Banks), (Famille Kalotermitidae), de la Floride du sud. On a trouvé que les pseudergates de cette espèce peuvent répondre à l'isolement par une production rapide et importante de sexués néoténiques (SRs). De la même façon, la production de soldats s'observe chez des groupes dont on a enlevé cette caste.L'intensité avec laquelle les SRs se sont produits (dénommée IR) varie avec la colonie d'origine des pseudergates. Une IR basse est trouvée chez des colonies qui avaient des grands pseudergates et qui produisaient des ailés. Une IR haute est trouvée chez des colonies qui avaient des petits pseudergates et qui ne produisaient pas d'ailés. On conclut que l'IR tombait avec l'âge de la colonie d'origine.Chez les colonies d'IR haute, tous les pseudergates étaient capables de se transformer en SRs. Chez les colonies d'Ir basse, les formes larvaires de la même taille que les pseudergates dans les colonies d'IR haute étaient complètement incapables de se transformer en SR.Les sexués mâles et femelles se sont trouvés jouer des rôles différents dans l'inhibition de la transformation en SR chez des groupes isolés. La femelle a bloqué complètement la formation de SRs femelles et, en partie, la formation de SRs mâles. Le mâle a bloqué, en partie, la formation de SRs mâles et de SRs femelles au même point. En plus, une paire de sexués du même sexe était aussi inhibitrice qu'une paire bisexuelle.Le nombre de SRs produits par un groupe de pseudergates isolés croissait avec le nombre d'heures par jour d'absence des sexués. Les pseudergates femelles répondaient moins à l'absence des sexués que les mâles.La transformation en SR ne pouvait pas être inhibée si on limitait l'alimentation des pseudergates isolés au papier de filtre imprégné de gouttes fécales obtenues de 25 paires de SRs par jour. Les sexués avec des anus bloqués étaient complètement inhibiteurs pour une semaine après que des témoins isolés commençaient à se transformer. On a donc conclu que l'alimentation proctodéale probablement n'était pas le mécanisme de transmission des phéromones inhibitrices postulées.


This work was supported by a Rockefeller University Graduate Fellowship.  相似文献   

14.
Résumé Au cours de l'été 1983 dans un agrosystème de Charente (Nord du Bassin Aquitain), les auteurs ont utilisé la technique du piégeage lumineux associée à des lâchers d'insectes marqués. Afin de mimer les émergences possibles des papillons à partir de chenilles hivernantes, les insectes colorés étainent lâchés dans une parcelle de blé (Triticum) (à antécédent cultural maïs), à égale distance de 4 pièges disposés dans 4 parcelles adjacentes. Les captures d'insectes colorés montrent clairement que les femelles quittent le blé et se dirigent vers le maïs, confirmant par là le rôle de l'antécédent cultural sur les infestations annuelles. Les captures d'insectes sauvages indiquent à cette époque une prédominance des mâles due probablement à la protandrie d'environ 8 jours chez l'espèce et à une mobilité naturelle supérieure à celle des femelles. Les implications écologiques et agronomiques de ces déplacements sont discutées et un schéma d'explication des différents types de mouvements des papillons de pyrale: déplacements d'émergence et déplacements quotidiens alternatifs, est proposé.  相似文献   

15.
Interspecific pheromone responses indicate that the sex pheromones of eight species of the genus Yponomeuta Latreille are species specific. Female calling activity reaches a peak in the dark period, but at times varying from 1 to 10 days for different species. The response of the males to some chemicals corresponds with electrophysiological reaction patterns found by Van der Pers & Den Otter (1978).
Résumé Le comportement de pariade a été observé au laboratoire chez huit espèces du genre Yponomeuta avec des photopériodes 16/8 (L/O).Pendant l'appel sexuel, caractérisé par l'abaissement en avant de l'abdomen, provoquant l'extrusion de ses derniers segments et l'exposition des glandes à phéromones, il y a libération de la phéromone femelle.Toutes les espèces d'Yponomeuta ont le même comportement d'appel, mais le moment de la scotophase où il est maximum et l'âge auquel il débute, diffèrent suivant les espèces.La réponse des mâles aux phéromones sexuelles a été déterminée par un test biologique simple. Chaque espèce d'Yponomeuta présente un âge caractéristique de réponse optimale des mâles. L'étude du comportement des mâles en présence d'extraits d'abdomen femelles montre que chaque espèce possède une phéromone spécifique.Le comportement des mâles en présence de certaines substances chimiques est moins net qu'avec les phéromones femelles, bien qu'en accord avec les observations électrophysiologiques d'autres auteurs.
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16.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
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17.
Eggs of Diabrotica virgifera from subtropical Mexico, when compared with those from South Dakota, are more resistant to desiccation and have a more intense diapause. Diapause occurs at the same embryological stage in the two populations and both can be dormant at humidities below 100%. The data suggest that the diapause mechanism evolved in a tropical climate to overcome a dry season and that same mechanism also adapts the species to a temperate climate.
Diapuse chez diabrotica virgifera (Coleoptera: chrysomelidae): comparaison de lévolution des oeufs provenant de populations adaptées au climat tempéré ou au climat subtropical
Résumé La diapause des ufs de Diabrotica virgifera, dans la zone subtropicale du Mexique, est plus intense que celle des ufs des populations du South Dakota, et ces ufs sont en même temps plus résistants à la dessication. La diapause intervient au même stade embryonnaire dans les deux populations et, dans les deux cas, la dormance peut se maintenir pour une humidité relative inférieure à 100%. Les faits observés suggèrent que le mécanisme de la diapause chez Diabrotica virgifera s'est développé sous un climat tropical pour assurer la survie pendant la saison sèche, ce même mécanisme ayant aussi permis à l'espèce de s'adapter à un climat tempéré.
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18.
The sequence of behavioural steps from male attraction until copulation is described and analyzed for Yponomeuta padellus L. (Yponomeutidae, Lepidoptera). Males respond to a pheromone emitting female with wing fanning followed by upwind zigzagging flight. Males will land near the females and then walk while wing fanning. The antennae drum onto the substratum and the abdominal-hair pencils are displayed. When in contact with a female the male drums with his antennae onto wings, head and antennae. Mostly a clasping attempt follows. A male has a higher chance to be accepted when he firt encounters the rear of a female instead of the head. Females refuse males by walking away or wing fanning or a combination of both.
Résumé Les séquences du comportement depuis l'attraction du mâle jusqu'à la copulation ont été décrites et analysées chez Y. padellus (L.). Les mâles réagissent à une femelle émenttant une phéromone par un hattement d'ailes suivi d'un vol en zigzag contre le vent. Les mâles atterriront près des femelles et marcheront avec leurs ailes en battement. Les antennes tambourinent le substrat et les pinceaux abdominaux sont déplyés. Lorsqu'il est au contact de la femelle, le mâle tambourine avec ses antennes les ailes, la tête et les antennes. Généralement suit une tentative d'étreinte. Les chances de succès sont les plus élevées quand les premiers contacts du mâle sont avec la partie postérieure de la femelle plutôt qu'avec la tête. Les femelles refusent les mâles en s'écartant ou en battant des ailes ou les deux à la fois.Il semble qu'en plus des stimuli cliniques, des stimuli mécaniques fournis par les écailles sont nécessaires pour que les mâles localisent la femelle et s'orientent pour une tentative d'étreinte.
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19.
Sex attraction by pheromones seems general among the Tortricidae. Using virgin live females, female gland extracts or synthetic chemicals similar to known tortricid pheromones, it is shown that the species are attracted very specifically to their own pheromones. However, because of differences in seasonal cycles, circadian rhythms and secondary chemicals, many species may use the same primary attractant, without much interspecific attraction. There is some correlation between taxonomic groupings and pheromone structures.
Résumé L'attraction sexuelle par les phéromones semble être la règle chez les Tortricidae. L'attraction interspécifique a été étudiée dans la nature au moyen de femelles vierges vivantes, et de produits chimiques synthétiques semblables aux phéromones de Tortricidae dont la structure chimique a été élucidée. En général, les mâles d'une espèce donnée sont attirés très spécifiquement par un produit ou par un mélange qui, à leur égard, a valeur de phéromone.Cependant, le même produit attractif est souvent utilisé par plusieurs espèces. Il existe dans ce cas des différences de cycle saisonnier, de rythme circadien ou de produit chimique additionnel servant à l'attraction, de sorte que l'attraction interspécifique demeure un évènement rare. On observe une corrélation entre les groupements taxonomiques et la structure chimique des phéromones: dans la sous-famille des Olethreutinae, il y a surtout des alcools insaturés à 12 carbones et leurs acetates; dans la sous-famille des Tortricinae, surtout des alcools à `4 carbones et leurs acetates, généralement avec une double liaison en position 11.
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20.
The technique of producing sterile male red scale (Aonidiella aurantii (Mask.)) by treatment with 14C has been further investigated. In a group of males with a mean count rate of 6300 c.p.m., 75% emerged and mated normally with control females, but these females produced only 10% of the number of larvae produced by females mated with untreated males. In another group of males with a mean count rate of 14200 c.p.m., only 31% emerged but there was no further reduction in fertility. A count rate of 6000 c.p.m. is suggested as the optimum 14C content for producing viable sterile males in laboratory conditions. The prospect of using this method of sterilization in a sterile-male project is rejected because of the difficulty of producing males with a predictable level of 14C, and the high variability in the numbers of larvae produced by females mated with them.
Résumé De nouvelles expériences ont été réalisées pour vérifier si des larves de la cochenille rouge, ayant absorbé du 14C, peuvent produire des mâles stériles, sans que le traitement affecte l'émergence des adultes et leur aptitude à s'accoupler.Des disques de feuilles de citronnier ont été marquées en les exposant au 14CO2. On les a réparties en deux groupes selon leur radioactivité, indiquée en c.p.m. par un compteur Geiger: un groupe correspondant à 19 000–27 000 c.p.m., l'autre à 29 000–57 000 c.p.m. d'activité. On a transféré des larves de cochenille rouge sur ces disques marqués au 14C et sur un groupe de disques témoins. On les a laissées se développer jusqu'à ce que les mâles et les femelles puissent être distingués. Les mâles traités furent alors accouplés aux femelles non traitées, et à titre de contrôle des mâles non traités furent accouplés à des femelles non traitées. On a noté le nombre de mâles émergeants, le nombre de femelles qui s'étaient accouplées, et le nombre de larves de leur descendance. On a également vérifié la radioactivité des mâles pour chaque traitement.Du premier groupe de mâles dont la radioactivité moyenne était de 6 300 c.p.m., 75% émergeait, contre 85% du groupe de contrôle, tandis que du second groupe ayant une radioactivité moyenne de 12 000 c.p.m., seulement 31% émergeait. Le nombre de femelles fertilisées était proportionnel aux nombres de mâles qui émergeaient, et on n'a pas pu montrer que des mâles marqués fussent incapables de s'accoupler. Le nombre moyen de larves produites par femelle et par jour était de 1.74 dans le groupe de contrôle (22 femelles fertilisées), de 0.17 dans le premier groupe traité (56 femelles fertilisées) et de 0.56 dans le second groupe traité (13 femelles fertilisées). On a conclu qu'une radioactivité de 6 300 c.p.m., dûe à l'absorption de 14C était optimale pour la production de mâles à fécondité diminuée sans réduire considérablement leur survie.On considère que les fortes variations dans la reproduction de femelles élevées sur des disques différents dans un seul traitement étaient causées d'une part par les taux de développement différents des insectes marqués, et d'autre part par le fait qu'un mâle individuel est capable d'accoupler plusieurs femelles. Puisqu'il n'y a pas moyen de réduire ces variations, on a rejeté la possibilité d'appliquer la même méthode pour développer un projet de mâles stériles.
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